July 28, 2016

Batterie Asus k72j

Tesla a résolu le problème de l’autonomie, tranche Dan Galves, analyste à la Deutsche Bank. Son secret Il utilise des batteries… d’ordinateur portable. Ces petites batteries au lithium ion, dites de format 18650, sont produites par dizaines de millions pour les appareils nomades. Leur coût défie toute concurrence. Reste que pour propulser une voiture avec ces équipements, il faut en combiner des milliers, jusqu’à 8 000 pour la Model S ! Une gageure alors que la chimie explosive du lithium ion impose une gestion délicate de chaque batterie.

Les spécialistes n’y croyaient pas. Aucun constructeur ne s’y est risqué et le secteur a opté pour de grosses batteries spécifiques, plus chères, moins énergétiques, moins sûres. Tesla, lui, a persisté et mis au point un système matériel et logiciel capable de gérer cette complexité. Et il a codéveloppé avec Panasonic des batteries optimisées. Tesla dispose d’un système de batterie unique et propriétaire affichant une densité énergétique double et un coût réduit de moitié par rapport aux autres constructeurs, évalue Dan Galves.

Deuxième rupture : miser sur l’intégration verticale. La start-up a eu du mal à convaincre les équipementiers de travailler pour elle. Elle a donc été conduite à faire elle-même de nombreux éléments : fontes, pièces en plastique, câbles, écran tactile, peinture… Et elle en a fait un atout. Nous avons une agilité sans équivalent, vante Jérôme Guillen, nous pouvons mettre en Å“uvre des modifications très rapidement. À ce credo, que ne renierait pas une bonne vieille entreprise du Mittlestand allemand, Tesla ajoute sa touche Silicon Valley : la Model S est connectée en permanence par téléphonie mobile au constructeur, qui peut réaliser à distance des mises à jour logicielle.

Troisième rupture : rendre l’électrique séduisant et partir du haut de gamme. Dès le départ, avec son Roadster, le californien a rejeté tout complexe d’infériorité face au thermique. L’électrique doit être un atout, et non un pis-aller permettant de rouler vert. On doit être récompensé, et non puni, de conduire électrique, martèle Jérôme Guillen. La technologie électrique est encore coûteuse Raison de plus pour ne pas la brider dans de tristes et poussives voitures qui resteront bien plus onéreuses que leurs sÅ“urs thermiques. Mieux vaut miser sur la performance et susciter le désir, prône le vice-président chargé des ventes. Tesla a fabriqué non pas une petite voiture urbaine mais une grosse sportive, futuriste et très high-tech. Tesla positionne l’électrique sur le haut de gamme. C’est un changement complet de paradigme, salue Rémi Cornubert.

« N ous nous sommes affranchis de tout l’héritage du véhicule thermique. »Jérôme Guillen, vice-président de Tesla chargé des ventes et des servicesQuatrième rupture : réinventer la relation client. Pour vendre ses voitures, le nouvel entrant sait qu’il doit convaincre. Et il ne fait pas confiance aux concessionnaires pour pousser les véhicules électriques. Il s’en passe donc, et vend dans ses magasins (45 à ce jour) aux allures d’Apple Store, qu’il installe en centre-ville et dans les centres commerciaux. Un vrai pavé dans la mare pour le secteur. Les autres constructeurs observent de très près les remous. L’enjeu Le contact direct avec le client, c’est ça la bataille, pointe Rémi Cornubert.

Tesla est aussi le seul constructeur à utiliser internet. Toutes les commandes de véhicules – réalisées en magasin ou non – passent par le web. Le constructeur contrôle son service après-vente, effectué exclusivement dans ses 50 garages, et s’appuie sur la connectivité de la voiture pour anticiper les pannes. Enfin, il veut rassurer ses clients sur tous les plans. La panne sèche Tesla installe et opère un réseau de chargeurs ultra-rapides gratuit. La revente Tesla garantit la valeur du véhicule après trois ans. La dégradation de la batterie Tesla la garantit pendant huit ans. Tesla ne lâche pas son client d’un pouce.

Le californien veut électriser la rentabilité de l’auto. Son modèle de troisième génération, la Gen 3, prévu pour 2016-2017, est annoncée à environ 35 000 dollars avec une autonomie supérieure à 300 km. Grâce à une chaîne de puissance qui lui reviendra selon nous à environ 10000 dollars par voiture, Tesla peut produire le Gen 3 à un coût similaire à ses rivaux thermiques, du type de la BMW Série 3. Mais les coûts d'usage et de maintenance plus faibles des véhicules électriques peuvent justifier un prix supérieur par rapport à ses rivaux. Permettant ainsi à Tesla de réaliser des marges plus élevées, estime Dan Galves. Et l’analyste de prédire à l’horizon 2020 la vente de 220 000 Tesla (70 000 Model S et X, et 150 000 Gen 3) avec une marge opérationnelle de 20,6%. Deux à trois points de plus que Porsche pour des volumes 50% plus importants ! Une vraie rupture… à confirmer.

Après le succès de son Roadster, chouchou des stars d’Hollywood, Tesla a réussi à produire une vraie voiture : la Model S. Et il se paye le luxe de crouler sous les éloges. La Model S a été élue voiture de l’année par les magazines américains Motor Trend et Automobile Magazine. Le renommé Consumer Reports l’a titrée meilleure voiture jamais testée. Elle s’affiche comme le véhicule le plus sûr des États-Unis, après avoir brillé aux tests de sécurité routière.

Tesla a réussi son pari de faire de l’électrique un atout : sept places grâce à l’espace gagné en l’absence de moteur thermique, punch de l’électrique, 0 à 100 km/h en 4,4 à 6,2 secondes suivant les versions, autonomie certifiée de 390 à 502 kilomètres, planche de bord de concept car, grand écran tactile… Tesla devrait confirmer gagner de l’argent avec la Model S dix ans après la création de l’entreprise. Nous avons essayé le « Boxer Brief Radiashield », un caleçon anti-onde prétendant protéger la fertilité masculine des ondes des téléphones portables et autres appareils électromagnétiques. Nos impressions.

Livré dans un petit coffret élégant, le « Boxer Brief Radiashield » a été conçu par la société new-yorkaise Belly Armor. Il est vendu 49 dollars aux États-Unis, soit 45 euros au taux de change d’avril 2015. Le distributeur pour la France, la société Alvok, le propose à 59 euros (livraison comprise) sous la terminologie Belly Armor.
Il protège la « fertilité masculine », menacée, précise l’emballage, « par l’exposition aux ondes électromagnétiques émises notamment par les téléphones portables, tablettes numériques… ». Il ne s’agit pas pour autant d’un dispositif de soin. Les conditions générales de vente précisent que ni le producteur ni le distributeur « ne prétendent pouvoir diagnostiquer, prévenir ou traiter des maladies ou autres problèmes de santé ».
La baisse de fertilité est-elle ou non un « problème de santé » ? Ce point de sémantique en tête, nous poursuivons notre découverte du produit. Le Radiashield se mérite. C’est un caleçon qui se lave seulement à l’eau froide, jamais en machine, avec un détergent doux. Il est relativement confortable, mais nous le déconseillons aux cyclistes. Les coutures sont inopportunément placées. Il est composé à 95 % de modal, une fibre textile obtenue, nous apprend Wikipédia, par « le filage de fibres de cellulose de bois, souvent du hêtre ». Le Boxer Radiashield contient aussi – d’où son nom – du Radiashield, un tissu intégrant des fils d’argent anti-rayonnement. Dans quelle proportion exactement ? On l’ignore, car la notice mentionne 5 % de Spandex (du lycra) et de Radiashield, sans plus de précision.

L’ensemble est censé avoir « les mêmes propriétés de protection qu’une feuille d’aluminium de 6 mm d’épaisseur ». 0,6 cm ? Ce n’est pas une feuille, c’est une tôle pour aile d’Airbus. En pratique, deux épaisseurs de papiers aluminium de cuisine de quelques microns bloquent totalement la réception d’un smartphone. Le Radiashield est loin d’avoir la même efficacité. Même emmitouflé dans trois épaisseurs de caleçon, nos portables captent le signal deux fois sur trois.
Aller plus loin dans les expérimentations ? Au préalable, il faudrait avoir quelques indices sur les effets des ondes des portables ou du Wi-Fi sur la fertilité masculine. On en est loin.
« AUCUNE PREUVE D’UN LIEN DE CAUSE À EFFET »

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July 27, 2016

Akku Dell RN873

Die Darstellung von Inhalten findet über das 15,6-Zoll / 39,62-Zentimeter große LCD-Display statt, das eine Full-HD Auflösung von 1920 x 1080 Pixel unterstützt. Die Medienwiedergabe von CDs und DVDs kann über das Super-Multi Double-Layer Laufwerk erfolgen und Speicherkarten, lassen sich über das SD-Lesegerät abrufen. Weiterhin gehört zur Ausstattung eine Webcam hinzu, integrierte Lautsprecher und die Anschlüsse für HDMI, USB 3.0, 2x USB 2.0, Ethernet LAN und Kopfhörer. Die Vernetzung kann mittels Ethernet LAN, WLAN 802.11 b/g/n und Bluetooth erfolgen.

Für die Bedienung des Acer Aspire Notebooks steht eine Acer Fine Tip Tastatur, der Nummernblock und das Gesten-Touchpad bereit. Die Energieversorgung erfolgt über den 3200mAh (3-Zellen) Lithium-Ionen-Akku, der bei normalen Anwendungen bis zu fünf Stunden an Laufzeit bereit stellt. Im Lieferumfang ist noch ein Netzteil und eine Bedienungsanleitung enthalten und zum Kauf, könnt ihr 199 Payback Punkte sammeln. Bewertungen und Testberichte zum Notebook, könnt ihr in die Kommentare schreiben.

Bewertung zum Acer Aspire ES1-571-P3L7 Notebook
Mit diesem Notebook der Acer Aspire ES15 Baureihe könnt ihr euch wieder einmal ein gut ausgestattetes Office- und Multimedia-Gerät zulegen, das ein 15,6-Zoll Full-HD Display mit sich bringt, 8GB an Arbeitsspeicher und die große Festplatte. Wie gängig kommt das Windows 10 Betriebssystem zum Einsatz und die Akkulaufzeit, fällt ganz passabel aus, mit fünf Stunden Laufzeit.

Bewertungen zum Acer Aspire ES1 Notebook, konnten wir unter anderem bei Notebooksbilliger.de ausfindig machen, wo dieses Modell mit 4,5 von 5 Sternen bewertet worden ist. Ein paar weitere Alternativen aus der Acer Aspire Serie an Notebooks, darunter auch mit größeren 17,3-Zoll Displays, findet ihr weiter unten im Preisvergleich vor.

Erinnert Ihr Euch noch an die dicken Handys von damals, die nur telefonieren konnten, dafür aber einen Akku hatten, der eine Woche durchhielt? Wir träumen immer noch davon, dass auch unsere aktuellen Smartphones endlich mal eine Nacht ohne Kabelanschluss überleben. Asus und Ulefone haben jetzt zwei dicke Smartphones auf den Markt gebracht, die locker ein paar Tage durchhalten.

Mit einem gehörigen Nachteil: Sie sind dick. Und auch die restliche Ausstattung lässt ziemlich zu wünschen übrig. Wir lassen das Asus ZenFone Max und das Ulefone Power gegeneinander antreten. Welches kann neben der Akkulaufzeit noch mit Features punkten?Die Smartphones verfügen beide über ein 5,5-Zoll-Display. Während das Asus aber nur eine Auflösung von 1280 x 720 Pixeln bietet, kommt das Ulefone auf Full HD (1920 x 1080). Insgesamt gefällt uns der Bildschirm beim Ulefone viel besser. Die Farben sehen echter aus. Das ZenFone Max hat auch auf der höchsten Helligkeitsstufe einen Gelbstich.

Asus Zenfone Max und Ulefone PowerDie Rückseite vom Asus-Smartphone ist griffiger als die vom Ulefone(© 2016 CURVED)Asus Zenfone Max und Ulefone PowerVon den Maßen sind sie fast identisch(© 2016 CURVED)Beide haben eine 16-Megapixel-Kamera und eine zweifachen Blitz. Nur das Ulefone hat zusätzlichen einen Fingerabdruckscanner auf der Rückseite(© 2016 CURVED)Das Asus ZenFone Max und das Ulefone Power laufen mit Android Lollipop(© 2016 CURVED)Beide Smartphones setzen auf den normalen Micro-USB-Anschluss. Typ-C passt hier noch nicht(© 2016 CURVED)

Asus Zenfone Max und Ulefone PowerAsus Zenfone Max und Ulefone PowerAsus Zenfone Max und Ulefone PowerAsus Zenfone Max und Ulefone PowerAsus Zenfone Max und Ulefone PowerWas am Ulefone nicht gut gelungen ist, ist die Rückseite aus Plastik. Sie ist glatt und nicht griffig, was bei so einem großen, schweren Gerät ungünstig ist. Asus hat dagegen eine Art Lederimitat verwendet und die Rückseite stärker abgerundet. So liegt das ZenFone Max besser in der Hand.

Von den Maßen nehmen sich beide Smartphones nicht viel. Das ZenFone ist mit 10,6 Millimetern ein bisschen dicker und mit 156 Millimetern Höhe und 77,5 Millimetern Breite ein wenig größer als das Ulefone Power (155mm x 77mm x 9,5mm). Das Gewicht ist aber ziemlich ungewohnt hoch: Das Ulefone wiegt 190 Gramm, das Asus ZenFone sogar 202 Gramm. Zum Vergleich: das iPhone 6s wiegt 143 Gramm.

Das Herzstück beider Smartphones ist der jeweils große Akku. Beim ZenFone Max hat Hersteller Asus 5000 mAh spendiert. Laut eigener Angaben soll dieser bei ausgeschaltetem WLAN, Bluetooth und Display für eine Standby-Zeit von 38 Tagen reichen. Im Test wurden bei alltäglicher normaler Nutzung zweieinhalb Tage erreicht.Das Ulefone Power legt noch ein bisschen drauf: Der Akku hat hier eine Kapazität von 6050 mAh. Laut Hersteller soll das für vier Tage Nutzung ausreichen. In unserem Test kamen wir immerhin knapp auf dreieinhalb Tage. Das Ergebnis ist bisher unschlagbar.

Beim Testen der beiden Smartphones überkam uns der Gedanke, dass sich die komplette Entwicklung nur auf den Akku konzentriert hat. Denn um möglichst lange Laufzeiten zu erreichen, verbauen die Hersteller sehr schwache Prozessoren.Im Asus ZenFone steckt beispielsweise der vierkernige Snapdragon 410 von Qualcomm (1,2 GHz) mit der Adreno 306 GPU und zwei Gigabyte Arbeitsspeicher. Der Prozessor arbeitet zwar energieeffizient, eignet sich aber nicht für Programme, die Leistung brauchen. Aufwändige Spielgrafik könnt Ihr vergessen. Per AnTuTu-Benchmark kam das ZenFone im Punkt 3D gerade mal auf 301 Punkte. Insgesamt erreicht es 25.396 Punkte. Zum Vergleich: das iPhone 6S schafft in der 3D-Kategorie mehr als 39.000 Punkte und kommt insgesamt auf einen Wert von mehr als 132.000.

Das Ulefone schneidet ein bisschen besser ab und erreicht im Benchmark bei AnTuTu insgesamt 37.440 Punkte. Der chinesische Hersteller hat in seinem Power-Modell den achterkernigen Mediatek MT6753 (1,3 GHz) verbaut. Als Grafikhelfer kommt der Mail T720 zum Einsatz und drei Gigabyte Arbeitsspeicher stehen zur Verfügung.Allerdings haben beide Geräte nur 16 Gigabyte internen Speicher. Immerhin könnt Ihr diesen per Micro-SD-Karte erweitern. Beim Ulefone geht das allerdings nur, wenn Ihr auf einen Sim-Karten-Slot verzichtet. Beim Asus dagegen könnt Ihr das Smartphone als Dual-Sim betreiben und zusätzlich die Micro SD einlegen.

Ãœber ein App-Icon auf dem Homescreen werden alle im Hintergrund laufenden Apps beendet und Arbeitsspeicher freigegeben(© 2016 CURVED)(© 2016 CURVED)Apps kann der Autostart verwehrt werden, um noch mehr Akku zu sparen(© 2016 CURVED)Asus Zenfone Max und Ulefone PowerAsus Zenfone Max und Ulefone PowerAsus Zenfone Max und Ulefone Power

Als Betriebssystem kommt beim Ulefone Android 5.1 und beim Zenfone Android 5.0 (mit eigener grafischer Oberfläche und Apps) zum Einsatz. Zumindest für das Ulefone soll irgendwann das Update auf Android 6.0 Marshmallow erscheinen. Beim ZenFone warten softwareseitig noch Funktionen, um die Akkulaufzeit weiter zu verbessern. Beispielsweise werden im Hintergrund laufende Apps beendet. Wer Wert auf einen Fingerabdruckscanner legt, findet diesen nur beim Ulefone.

Die Auflösungen der Kameras sind auf beiden Datenblättern identisch: Die rückseitige Linse löst mit 16 Megapixel auf, dir Frontkamera mit 5 Megapixel. Bei den Aufnahmen zeigen sich aber deutliche Unterschiede.Das Ulefone Power scheint oft einen milchigen Schleier über den Bildern zu haben. Dadurch wirken sie zwar heller, aber auch farblos. Beim Asus ZenFone Max sind die Aufnahmen dagegen dunkler, doch die Farben intensiver und näher an der Realität.

Mit dem Ulefone ist es nahezu unmöglich, Gruppenselfies zu machen. Die Brennweite ist so gering, dass man gerade einmal selbst zu sehen ist. Beim Asus ZenFone Max haben die Selfies ein leichtes Rauschen über dem Bild. Beim Heranzoomen sind "vermatschte" Flächen sichtbar.Das Asus ZenFone Max ist bereits seit März in Schwarz und Weiß im deutschen Handel erhältlich. Es kostet 249 Euro. Das Ulefone Power gibt es hierzulande bisher noch nicht zu kaufen. Einige Onlineshops wie etwa Gearbest, die uns das Testgerä freundlicherweise zur Verfügung gestellt haben, bieten aber schon importierte Varianten mit deutschsprachigem Betriebssystem für etwa 155 Euro an. Es kommt in den Farben Dunkelblau (fast Schwarz), Weiß und mit Holzoptik.

Auch wenn das ZenFone Max kein perfektes Display und eine eher schlechte Leistung an den Tag legt: Wenn Ihr das Smartphone hauptsächlich benutzt, um ein bisschen im Netz zu surfen, Schnappschüsse zu machen, zu chatten und zu telefonieren, bekommt Ihr durch den großen Akku ein interessantes Gerät. Durch die gummierte Rückseite liegt es besser in der Hand als das Ulefone Power.Das wiederum bietet mehr Leistung und eine noch bessere Akkulaufzeit als der Konkurrent von Asus. Allerdings fällt hier die Kamera negativ auf. Und durch die Kombination aus Größe, Gewicht und Oberfläche liegt es nicht gut in der Hand. Auch reagieren Tastatur und Bildschirm träger als beim ZenFone.
Das kostenlose Programm Notebook BatteryInfo ergänzt die Akkuanzeige des Betriebsystems. Es informiert den Anwender über alle herstellerspezifischen Akkuparameter und visualisiert die elektrischen Werte wie Akkukapazität, Akkulaufzeit und elektrische Leistung im laufenden Betrieb.

Funktionalität: Das Freeware-Programm Notebook BatteryInfo nutzt die Akku-Kenngrößen, die das Notebook dem Betriebssystem zur Verfügung stellt und bereitet diese anwenderfreundlich numerisch und grafisch auf. Notebook Batteryinfo gibt Detailinformationen über den im Notebook verwendeten Akku preis, die die Windows-Akku-Standardanzeige nicht bietet. Mittels eines Taskbar-Elements hat der Anwender die wichtigsten Informationen unmittelbar im Blickfeld und per Rechtsklick auf das Batteriesymbol einen schnellen Zugriff auf weitere detaillierte Werte und Einstellungen. Dazu zählen die allgemeinen Akku Informationen wie Gerätename, Akku ID, Akku-Hersteller, Seriennummer, Temperatur oder die konstruktionsbedingte Kapazität sowie der Abnutzungsgrad des Akkus. Als aktuelle Akku-Werte erfasst das Programm den Ladestatus, die verbleibende Laufzeit, die Akku-Kapazität, die Ladungsmenge sowie die Akku-Spannung und den Akku-Strom. Das Taskbar-Batteryinfo-Element zeigt die Akku-Kapazität in Prozent, die verbleibende Laufzeit des Akkus sowie den aktuellen Leistungsverbrauch in Echtzeit an. Darüber bietet das Programm zahlreiche individuelle Einstellungsoptionen. Mehr Funktionen soll die neue Version 1.3 des BatteryInfo-Tools bietet, die sich allerdings noch in der Entwicklungsphase befindet.

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Akku Dell 4JK6R

Konkrete Details und Spezifikationen zu den Kernkomponenten des EliteBook 1030 nennt HP in seiner Produktmeldung noch nicht. HP teilte lediglich mit, dass das EliteBook 1030 lüfterlos arbeiten wird und mit energiesparenden Prozessoren der Intel Core M CPU-Reihe der 6. Generation (Skylake) ausgerüstet ist. Intel listet derzeit folgende Core-M-Prozessoren: Zudem wird es Modellvarianten des EliteBook 1030 geben, die SSDs mit bis zu 512 GB und bis zu 16 GB Arbeitsspeicher an Bord haben. Neben dem QHD+-Touchscreen werden auch Ausführungen mit FHD-Displays ohne Touchfunktion erhältlich sein.

Ein Vierzellen-Akku mit 40 Wh sorgt laut HP bei der Serie EliteBook 1030 für eine Laufzeit bis zu 13 Stunden. Zur weiteren Ausstattung des EliteBook 1030 zählen gemäß HP beispielsweise die Audiotechnik von Bang Olufsen sowie Sicherheits- und Management-Tools: HP Client Security, HP Sure Start und der HP Touchpoint Manager sollen für eine erhöhte Sicherheit sorgen.

Das Huawei P9 ist ein flottes Top-Modell mit einer exzellenten Dual-Kamera, dessen Performance sogar das Galaxy S7 im Benchmark übertrumpft. Dennoch hält eine Ladung des 3000-mAh-Akkus bei durchschnittlicher Nutzung einen Tag lang durch. Der Hersteller hat das Smartphone allerdings mit einigen Funktionen ausgestattet, mit denen Ihr noch etwas mehr Laufzeit aus dem Energiespeicher herauskitzelt.Auf dem Huawei P9 ist standardmäßig Android 6.0 Marshmallow vorinstalliert. Allerdings legt der Hersteller noch die unternehmenseigene Benutzeroberfläche EMUI darüber, die das Google-Betriebssystem um einige Funktionen erweitert. So dürft Ihr bestimmte Zeiten festlegen, zu denen sich das Smartphone regelmäßig automatisch abschaltet und wieder hochfährt.

So müsst Ihr es nicht mehr manuell abschalten, wenn Ihr schlafen geht oder im Büro seid. Ihr habt dabei die Wahl, ob das eine einmalige Angelegenheit ist, nur wochentags aktiviert wird, oder jeden Tag gelten soll. Ihr findet die Funktion unter Einstellungen | Smart Assistance | Schedule power on and off.So manche App zehrt auch dann an Eurem Datenvolumen, wenn sie gar nicht aktiv ist, was gleichzeitig den Akku belastet. Das Huawei P9 gibt Euch aber die Gelegenheit, die Datenübertragung im Hintergrund für jede App einzeln festzulegen. Das bedeutet aber auch, dass von Euch geblockte Apps keine Push-Benachrichtigungen mehr anzeigen.

Solltet Ihr also Messenger und soziale Netzwerke wie WhatsApp, Snapchat und Co. auf diese Weise vom Netz abschneiden, entgehen Euch womöglich wichtige Nachrichten. Folgt dem Pfad Settings > Notification panel status bar > Notification center, um Apps auszuwählen. Überlegt außerdem, welche Apps Ihr wirklich braucht und welche nicht, und deinstalliert am besten sämtliche Software, auf die Ihr verzichten könnt.

Das EMUI des Huawei P9 enthält einen eigenen Energiespar-Modus. Ist dieser einmal aktiviert, drosselt sich der Prozessor automatisch. Der Datenverbrauch wird ebenfalls zu einem gewissen Grad modifiziert, um Akku zu sparen. Diese Option solltet Ihr besonders dann aktivieren, wenn Ihr gerade nicht die volle Leistungsfähigkeit des Geräts benötigt.Um aber die volle Performance etwa für ein anspruchsvolles Spiel zu erhalten, empfiehlt es sich, den Energiespar-Modus wieder zu deaktivieren, zumindest für die Dauer der Session. Öffnet dazu den Akku-Manager unter Einstellungen | Erweiterte Einstellungen und wählt dann Power Plan an.

Keine Komponente eines Smartphones benötigt so viel Energie wie der Bildschirm, das gilt auch für das Huawei P9. Kein Wunder, ist der Full HD-Screen mit 5,2 Zoll doch auch nicht eben klein. Regelt daher die Helligkeit so weit runter, wie es noch für Euch angenehm ist. Es lohnt sich zumindest, in die Einstellungen zu schauen, da ein zu hell eingestelltes Display nur unnötig Akku frisst.

Aggressives Rot trifft schnelle Hardware: HP erweitert die Omen-Serie um zwei Spieler-Notebooks und ein stationäres Gamer-System. In letzterem steckt High-End-Hardware wie Grafikkarten mit Nvidias Pascal-Technik, bei ersteren hält sich HP zurück.
HP Inc. hat seine seit 2014 bestehende Omen-Serie um drei neue Systeme erweitert, die sich alle an PC-Spieler richten: Zwei Gaming-Notebooks mit 15,6 und 17,3 Zoll eignen sich für unterwegs, für den heimischen Schreibtisch gibt es den Omen-Desktop samt passendem Monitor. Obendrein deutete HP an, dass mit Omen X in den kommenden Monaten eine weitere Serie erscheinen solle, die schnellere Hardware nutze als die aktuellen Omen-Modelle.

Im Omen 15,6 und im Omen 17,3 verbaut der Hersteller zwar flotte Skylake-Prozessoren bin hin zum Core i7-6700HQ, jedoch maximal eine Grafikeinheit vom Typ Geforce GTX 965M v2. Die basiert auf Nvidias GM206-Chip mit Maxwell-v2-Architektur und nicht auf der neuen Pascal-Technik. Entsprechende Mobile-Grafikeinheiten stehen noch aus, was mit HPs Andeutung zusammenpasst. Beide Omen-Notebooks nutzen einen 1080p- oder 4K-UHD-Bildschirm ohne Touch mit mattem IPS-Panel und bis zu 300 cd/qm Helligkeit. Bei einigen Modellen verbaut der Hersteller eine Realsense-Tiefenkamera im Displayrahmen.

Je nach Ausstattungsvariante stecken 12 bis 16 GByte DDR4-Arbeitsspeicher in den Omen-Notebooks. Käufer haben die Wahl zwischen Festplatten mit 7.200 Umdrehungen pro Minute und einem oder zwei Terabyte Kapazität oder SSDs mit PCIe-Anbindung und 256 oder 512 GByte Speicherplatz. Auch die Kombination aus Flash-Drive und HDD wird angeboten, dann stehen aber maximale 256 GByte als Sata-6-GBit/s-SSD zur Verfügung. Die Akkulaufzeit der 24,5 und 29,9 mm flachen Geräte gibt HP mit bis zu zehn Stunden an.

Das Gewicht liegt bei 2,1 und 2,8 kg. Gekühlt werden die Spiele-Notebooks mit zwei nach hinten pustenden Lüftern und einer Heatpipe-Konstruktion. Der Akku befindet sich im vorderen Teil der Notebooks, ausgewählte Modelle verfügen über eine Fast-Charge-Funktion. Die weiteren Eigenschaften umfassen USB-3.0-Ports, Gigabit-Ethernet, HDMI und ac-2x2-WLAN. HP verkauft beide Omen-Notebooks zu einem Startpreis von 1.200 Euro ab voraussichtlich Anfang Juni 2016; die US-Preise reichen von 1.000 bis 1.300 US-Dollar.

Im Omen-Desktop stecken Micro-ATX-Boards mit Prozessoren bis hin zum Core i7-6700K mit Skylake-Technik und Grafikkarten bis hin zu Nvidias neuer Geforce GTX 1080 mit Pascal-Architektur. HP verbaut zudem auch AMDs Radeon R9 390X, die im Briefing genannte Fury X taucht in der Pressemitteilung nicht mehr auf. Die Omen-Systeme sind mit RGB-LEDs ausgestattet, sollen leicht aufrüstbar sein und werden optional mit einer AiO-Wasserkühlung für die CPU angeboten. Der Startpreis liegt bei 1.200 Euro, der Marktstart soll Anfang Juli 2016 erfolgen.

Für August kündigte HP zudem ein 32-Zoll-Display mit 2.560 x 1.440 Pixeln, IPS-Technik und Freesync-Unterstützung an.Ein neuer Leak aus China verrät offenbar alle Specs zum kommenden Samsung Galaxy Note 6. Angeblich soll das Phablet einen der größten Akkus in der Geschichte der Smartphones bekommen.Bei Leaks zu neuen Smartphones stellt sich eigentlich nicht mehr die Frage, ob es sie geben wird, sondern nur, wer der Erste ist, der sie verbreitet. Im Falle des Samsung Galaxy Note 6 könnte diese Ehre einem Nutzer der chinesischen Plattform Weibo zuteilwerden. Dort wurde laut Phone Arena nämlich gleich ein ganzer Satz an angeblichen Specs veröffentlicht.

Glaubt man dem Leak, dann wird das neue Samsung-Phablet über ein 5,77 Zoll-Display mit einer Auflösung von 2560 x 1440 Pixeln verfügen. Im Vergleich zum Vorgänger, dem Galaxy Note 5, würde die Bildschirmdiagonale demnach bei gleicher Auflösung um 0,7 Zoll wachsen. Beim Prozessor könnte Samsung den gleichen Weg gehen, wie schon beim Galaxy S7. So sollen einige Modelle des Note 6 mit dem hauseigenen Exynos 8890 ausgestattet werden, während andere einen brandneuen Snapdragon 823-Chip bekommen könnten. Ein ordentliches Upgrade könnte es beim Arbeitsspeicher geben, der auf 6 GB RAM anwachsen könnte und damit sogar so manchen Laptop hinter sich lassen würde.

Der größte Akku in einem Smartphone?
Für Power-User dürfte hingegen ein anderer Wert interessant sein. Angeblich soll das Galaxy Note 6 nämlich über einen Monster-Akku mit einer Kapazität von 4200 mAh bekommen. Zum Vergleich: Das ebenfalls sehr gut ausgestattete Galaxy S7 Edge besitzt lediglich einen 3600 mAh-Akku und das letztjährige Galaxy Note 5 kann sogar nur mit 3020 mAh aufwarten. Selbst der aktuelle Akku-König Huawei Mate 8 kann nur mit 4000 mAh aufwarten. Sieht man von einigen chinesischen Smartphones ab, dürfte das Galaxy Note 6 damit der unumstrittene Akku-Champion werden.

Genauso wie Galaxy S7 und S7 Edge könnte laut Leak auch das Note 6 wasser- und staubfest nach dem Standard IP68 werden. Zudem gibt es Spekulationen über zwei verschiedene Varianten des Phablets. Neben einer normalen Version könnte Samsung demnach auch ein Modell mit Curved-Screen auf den Markt bringen – das Galaxy S6 Edge+ lässt grüßen.

Release vermutlich im August oder September
Wie belastbar diese Informationen sind, ist zum jetzigen Zeitpunkt leider noch unklar. Bis zum Release des Galaxy Note 6 dürften wahrscheinlich noch einige Monate ins Land ziehen. Höchstwahrscheinlich wird Samsung sein Tablet irgendwann im August präsentieren. Die Europa-Premiere könnte dann Anfang September auf der IFA 2016 stattfinden. Sollte Samsung seinen bisherigen Veröffentlichungsrhythmus beibehalten, wird es das Note 6 erst danach zu kaufen geben.
Als nächstes Angebot aus der Notebook- und Laptop-Sparte bei Real, geht diesmal das Acer Aspire ES1-571-P3L7 Notebook in den Verkauf, das ihr ab Montag dem 27.6.2016 bis Samstag dem 2.7.2016 in der 26. Kalenderwoche zum Preis von 399€ kaufen könnt, sowie über die monatliche Finanzierung.

Das Acer Aspire ES1-571-P3L7 Notebook geht mit einem Intel Celeron 3556U Dual-Core Prozessor in den Verkauf, der Taktfrequenzen mit bis zu 1,7GHz bereit stellt und mit 2MB an Cache ausgestattet ist. Der Prozessor sortiert sich eher im Einsteiger-Bereich ein und dazu folgt ein regulärer Intel HD-Grafikchipsatz, der also für die Multimedia-Wiedergabe ausgelegt ist, aber nicht zum spielen von anspruchsvollen Spielen. Die Hardware wird ergänzt durch 8GB an DDR3 Arbeitsspeicher und über die 1000GB (1 Terabyte) große HDD-Festplatte.

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July 26, 2016

ASUS K72JU バッテリー

ある一定の人数で、スマートフォンのアプリを使ったあとはほぼ自動的に終了させる人がいる。iPhoneユーザーであればホームボタンをダブルタップしてから、Androidユーザーであればマルチタスクボタンを押してから、スワイプ。それまでに使っていたアプリをすべて閉じる。深いカタルシスが得られるだけでなく、浄化しているような、リセットしているような気分がする。何より、アプリが1つも走っていないならバッテリーが長持ちするはずだ!

いや、これは間違いだ。先日、アップルとグーグルともに、アプリを閉じたところでバッテリーの寿命が改善されることはないと認めた。Androidのエンジニアリング部門ヴァイスプレジデント、ヒロシ・ロックハイマーによると、むしろ、ことをさらに悪化させる可能性すらあるという。

だから、すぐに止めよう。このことはことさら秘密にされていたというわけでもないが、プラットフォーム側の人間がそれを認めたというのは、いい報せだ。大事なことなので、もう一度言っておく。アプリを閉じるのは止めよう。そんなことをしてもまったく役に立たない。

iOS9にアップデートしたiPhoneのバッテリーを長持ちさせるには アップル製品のバッテリー性能が80%を切ったら、タダで交換してもらえるようになるノートPCのバッテリー寿命を「4倍延ばす」方法なぜそうなのかを知りたいなら、"マルチタスク”がどのように動作しているか、基本を理解すると役に立つだろう。iOSでは、アプリには5つのステータスがある(Androidでも設定はほとんど同じのようだ)。「Not Running」はわかりやすくて、起動していないアプリは"動作していない”ということだ。「Active」は、スクリーン上で起動している状態だ。「Inactive」の状態は、アプリが"最前面”にあるが、アプリを開いたままロック画面にするなど何も動いていない状態である。「Background」は、アプリは前面にないけれどメール確認や最新ツイートを取得するなどの動作をしている状態で、最後の「Suspended」は、アプリがバックグラウンドにあって、何もしていない状態だ。この状態のとき、アプリはメモリーを確保しているが、動作は何もしていない。

AndroidでもiOSでも、アルゴリズムを用いたメモリー管理が行われている。一般的に、しばらく休止状態にあるアプリや必要以上にパワーやメモリーを使用しているアプリなど、終了するべきと判断されたアプリは終了される。こうしたアルゴリズムは、ユーザーがデータを必要とするときや、再びアプリを開く必要があるタイミングなどをよく理解している。

すでにメモリーにあるアプリは、イチから起動する場合よりも素早く開く。これは、コンピューターを完全に再起動するよりもスリープを解除するのに似ている。よって、すべてのものをそのつど強制的に開き直したり再起動したりするよりも、システムに任せておいた方がはるかにいいのだ。バッテリーうんぬんとは別の話で、そうした強制的な操作は、スマートフォンの動作を遅くしてしまうのである。

もし、どうしてもバッテリーを節約したいなら、できることはたくさんある。画面の明るさを下げよう。アプリのバックグラウンドでの更新動作をオフにしよう。iOSなら省電力モードを、AndroidならDozeモードをオンにしよう。位置情報の共有は、それが不要なアプリではオフにしよう。さらに、とにかく節約したくてしょうがないというのなら、機内モードにしておこう。だが、アプリをスワイプして消すのはやめるべきだ。それは役に立たないどころか、むしろ事態を悪化させるのだ。ノートパソコンで映画を観たいのだけどコンセントが近くにない、なんてことがありがちですよね。そんな時に重要になってくるのですが、動画プレーヤーと動画形式によってパソコンのバッテリーの消費量がずいぶんと変わってきます。
アメリカのメディア「TechSpot」はWindows 8上で各種動画プレーヤーを使ってH.264やXvid、新参であるHEVC形式など様々なエンコード形式の動画を再生するテストを行いました。結果は驚くべきものになりました。
Atomプロセッサーを搭載したタブレットとIvy Bridgeベースのノートパソコン上でトイストーリー3を再生してみたところ、Windows 8のVideosアプリ(Metroモードで起動するデフォルト動画アプリ)が人気プレーヤーであるVLCなどを含む他の動画プレーヤーよりもバッテリー寿命が3時間半以上も長いことが明らかになりました(ライフハッカー編集部イチオシのWindows用動画プレーヤー「Daum PotPlayer」は残念ながらテスト対象には選ばれていませんでした)。VideosアプリはWindowsメディアプレーヤーよりもさらに20%バッテリー寿命が長かったそうです。
動画形式で言うと、720p H.264が最も消費電力が少ない形式であり、1080p HEVCよりも120%バッテリーが長持ちしました。
一般社団法人電子情報技術産業協会(JEITA)のパーソナルコンピュータ(PC)事業委員会は20日、多くの国内メーカーが採用しているノートPCのバッテリ動作時間測定法「JEITAバッテリ動作時間測定法」を改訂することを発表した。

 ノートPCのカタログスペックなどに記載するバッテリ駆動時間を測定する方法として、2001年6月20日にJEITAが公開した「JEITAバッテリ動作時間測定法(Ver.1.0)」が今日に至るまで広く使い続けられている。簡単にまとめると、指定されたMPEG-1(320×240ドット)動画をHDDから読み出して20cd/平方m以上の画面輝度で再生し続けた場合の「測定法a」の駆動時間と、画面輝度最低でデスクトップ画面を表示し続けた場合の「測定法b」駆動時間を足し、2で割った値を算出するものだ。

 近年のCPUや画像処理性能向上や、無線通信が一般的になるなどの使用環境の変化に伴い、この測定法をおよそ13年ぶりに見直し。「JEITAバッテリ動作時間測定法(Ver.2.0)」(JEITA測定法2.0)として発表した。

 都内で行なわれた説明会では、JEITA PC事業委員会 委員長の加茂朗氏が挨拶し、「13年前に取りまとめられて以降、今回が初めての改訂。21日よりJEITAのWebサイトで計測法も公開し、周知していく」と紹介した。また、説明会の最後で行なわれた質疑応答の場では、なぜ13年間変更がなかったものが今になって改訂されるのかについて問われ、「近年は使用環境が非常に変わったこと」と「ガイドラインなので頻繁に変えることはお客さんにとっても良くない」の2つの理由であるとした。

 改訂内容の解説は同バッテリ動作時間測定法TG 主査の米田清一氏が説明。JEITAバッテリ動作時間測定法 Ver.1.0について「2001年に当時の社団法人電子情報技術産業協会が取りまとめた方法で、ユーザーがノートPCを購入する比較の目安として一定の役割を果たしたと思っている」とコメント。

 また、本測定法の目的として「搭載デバイスやOSを問わず、さまざまな機器で比較できることを目的とした、目安にできる共通の測定法。あくまで目安なので、ユーザーの使用状況における実使用時間ではない」という点についてもはっきりと言及している。

 なお、現状はバッテリを搭載したノートPCを対象としており、タブレットについては別途、JEITA内のタブレット委員会で検討が進められているという。特にAndroidについては、画面輝度を維持したままアイドル状態で放置することができないなどの制約から、本測定法をそのまま適用することは難しいという。

JEITAバッテリ動作時間測定法(Ver.2.0)の概要
JEITA測定法2.0でも、従来と同様、動画再生をし続けた場合の測定法aと、アイドルを続けた場合の測定法bを実施し、2つの動作時間を足して2で割ったものを、本測定法の駆動時間とする点は同様だ。

 ただし、測定方法が見直されている。大きな違いは以下に示す通りだが、画面輝度を150cd/平方mへ引き上げることや、無線LANをアクセスポイントへ接続した状態で行なうこと、動画ファイルがH.264/AVC形式のものへ変更され、フルスクリーン再生することが定義される。また測定法bについても、従来は画面を最低輝度にして表示し続けるものだったが、こちらも150cd/平方mの輝度で維持するよう変更された。画面輝度は白の輝度であることも定められている。

 使用する動画ファイルは、21日にもJEITAのWebサイトにアップロードされる見込み。映像は「ITE/ARIBハイビジョン・システム評価用標準動画像第2版 Aシリーズ」を用いており、映像コーデックH.264/AVC、映像ビットレート10Mbps、フレームレート29.97fps、音声コーデックAAC、音声ビットレート160kbpsで、2分21秒の動画ファイルになっている。

 ちなみに、無線LANについてはオンにすることを定めているが、実際の通信を測定において行なわない。これについては、電波環境などを統一した環境で測定を行なうことが難しいためで、統一された測定方法での動作時間を提供する本来の目的を優先したものとしている。

JEITA測定法Ver.1.0と2.0の違い
本測定法に基づいて測定した駆動時間をカタログなどに記載する場合は、「JEITA測定法2.0準拠」であることを示すことが定められる。

 また、Ver.1.0では測定条件を併記することについて定められておらず、「問い合わせがあったら答えられるようにする」程度のガイドラインになっていたが、Ver.2.0では、「OSの輝度設定で約150cd/平方mへ設定する方法」、「使用する動画ソフト」、「動画ファイルの格納場所」、「出荷状態から測定環境までの設定変更内容」の4点について、「情報公開すべき項目」として定めている。例えば、測定の安定性を高めるためにバックグラウンド処理の停止やアプリケーションのアンインストールなどは認められるが、その場合は出荷状態からの変更内容として記載しなければならない。

 本測定法の施行は2014年4月1日で、現時点でASUS、NECパーソナルコンピュータ、エプソンダイレクト、東芝、日本ヒューレット・パッカード、パナソニック、富士通、マウスコンピューター、ユニットコムが採用を予定しており、4月1日以降に発売される製品のカタログなどに、新測定法による駆動時間が順次掲載されるとしている。

 なお、JEITA測定法2.0で測定した場合、Ver.1.0で測定した場合に比べて「機器にもよるが、おおむね7~8割程度」(米田氏)の駆動時間になるという。4月1日から全てをVer.2.0での記載に切り替えてしまうと従来製品との比較が難しくなるなどの観点から、"施行から1年程度を目処に新旧測定法による動作時間を併記することは妨げない”とされている。

 ただし、優良誤認に繋がる表現は避けるよう、どちらの測定法による結果なのかを明記し、「Ver.1.0の結果のみを単独記載しない」、「併記の際は左側または上側にVer.2.0の結果を表示する」、「Ver.1.0の結果をVer.2.0の結果より大きく記載してはいけない」といったガイドラインを定めている。 一般社団法人電子情報技術産業協会(JEITA)は2014年2月20日、ノートパソコンのバッテリー駆動時間の測定法を改訂すると発表した。新版では、測定時のパソコン環境の条件が大きく変わる。「機種によって異なるが、これまでの測定法によるバッテリー駆動時間は、改訂後の測定法では7~8割程度に短くなる」(JEITAパーソナルコンピュータ事業委員会の加茂朗委員長)とみられる(写真1)。

 改訂されるのは、「JEITA バッテリ動作時間測定法」。バッテリー駆動時間を計測する際のパソコンの環境設定や使用する動画ファイル、測定方法などを詳細に定めたガイドラインである。 2001年8月に施行されたVer.1.0は、ノートパソコンのバッテリー駆動時間の目安として、主要なメーカーが現在も採用している。カタログなどで記載されているバッテリー駆動時間は、このJEITA測定法で計測されたものが多い。 ただし、パソコンの利用環境や使用する技術が様変わりしたことで、バッテリー駆動時間のカタログ値が実態に合わないケースも散見された。このためJEITAは測定法を見直し、約12年ぶりに改訂する。

 Needさん、バッテリーはだんだん弱くなりますし、寿命もあります(寿命はだいたい3年ほどですが、最新のノートパソコンならもっと長いかも...)。あなたのノートパソコンのバッテリーがどのような状態かはわかりかねますが、以下に有用なツールを紹介するので、試してみてください。

■バッテリーのテストとモニタリング:Windows編
以前ご紹介した『Battery Eater』は、負荷テストをしてバッテリーのもちを計測してくれる無料のWindowsツールです。もし、計測された値より実際のもちが悪いようなら、後述のバッテリーのもちをよくする方法を試してみてください。
110725-batteryeater.jpg
ライフハッカー読者の中には『BatteryBar』を勧める人もいます。これは、無料版とPro版があり、タスクバーに常駐するタイプのプログラムです。バッテリー残量を表示するとともに、充電と放電の履歴も記録するので、バッテリーの残り時間の予測に使えます。

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July 25, 2016

Batería Fujitsu FMVNBP186

No nos encontramos ninguna arista que destaque sobre las demás y la curvatura para aligerar el impacto visual del grosor del equipo es muy efectiva, aunque tampoco necesaria ya que este cuenta con unas dimensiones extremadamente compactas: con 357 por 235 y un grosor de 17 mm, actualmente es el portátil de 15” más compacto del mercado, sin importar el sector al que esté dirigido.Con un peso de tan sólo 2 Kg en la unidad probada es también uno de los más ligeros, pudiendo serlo aún más si la pantalla elegida es la Full HD sin la capa táctil, bajando hasta los 1,78 Kg.

Una vez abrimos el portátil vemos la explicación a tan reducidas dimensiones. La clave del éxito reside en la pantalla InfinityEdge, que cuenta con un marco extremadamente reducido, al estilo de los televisores de alta gama. De hecho, es tan que ni siquiera hay espacio en la arista superior para ubicar la webcam, que se sitúa en la parte inferior de la misma.Y ya que hemos hablado del abrir el portátil, vamos a mencionar un detalle que aunque no es problemático sí que puede llegar a incomodar. No es posible abrir el portátil con una mano, básicamente por la dureza de la bisagra y por el extra de peso de la pantalla táctil. Sospechamos que en la versión táctil la operación será bastante más sencilla por este motivo.

La parte interior está realizada en plástico de muy buena calidad con un acabado imitando la fibra de carbono, y que ofrece una sensación de robustez aunque es algo susceptible a dejar huellas.Pero ser tan compacto tiene sus consecuencias. Y éstas llegan en forma de conectividad física. Había que sacrificar puertos si se quería ofrecer un diseño tan afilado, y en este caso el damnificado ha sido el puerto RJ-45, aunque podremos conseguirlo gracias a un adaptador de Dell que incluye esta conexión junto a un USB 3.1.Con este accesorio orginal de Dell multiplica tus conexiones
Lo que sí incluye el equipo es un USB 3.0 junto al lector de tarjetas SD y un botón que indica el nivel de carga de la batería en el lateral derecho.

En el lateral izquierdo nos encontramos un USB 3.0, un HDMI, un Jack para auriculares, y la nueva conexión Thunderbolt 3, con un ancho de banda de hasta 40 Gb/s, y que es capaz de transmitir audio, vídeo o datos. El aspecto monolítico y el reducido tamaño del XPS inducen a pensar que el mantenimiento es algo sólo reservado al servicio técnico de turno. Nada más lejos de la realidad.Lo cierto es que el mantenimiento del Dell XPS 15 es bastante sencillo, y no requiere de ninguna dote especial para acceder al interior del mismo. Basta retirar los 12 tornillos de la parte inferior, dos de ellos ocultos bajo la chapa de XPS, sin necesidad de soltar ninguna grapa ni partir nada en el intento.

En el interior vemos el disipador compartido para la CPU y la GPU, con heatpipes que transcurren a través de ellos y que disipan el calor a través de los dos ventiladores incluidos, siendo bastante sencillo quitarlo para cambiar la pasta térmica y poder limpiar los ventiladores. Tenemos accesibles las dos ranuras para la memoria RAM, que en este caso podemos ampliar a 32 GB de memoria DDR4 sustituyendo los módulos que ya vienen integrados.Si hablamos del almacenamiento, disponemos de un puerto M.2 donde está incluida la unidad SSD principal de 512 GB, que es la única unidad incluida en nuestra review del Dell XPS 15, pudiendo sustituirse por cualquier otra unidad M.2.

Si has escogido la versión con batería de 56 Wh, amplia tu almacenamiento con este SSD de 512 GB
También tenemos la opción de incluir un disco adicional de 2,5”, aunque se tiene que tener en cuenta que este debe tener un grosor de 7 mm, al contrario de lo estándar de los discos duros de 2,5” en estos momentos, que se sitúa en 9,5 mm, por lo que hay que asegurarse que el disco es compatible.El problema es que en esta versión, que incluye la batería opcional de 84 Wh, el espacio reservado para la unidad de 2,5” queda ocupado por ésta, por lo que sólo tendremos la opción de utilizar esta bahía en el caso en el que tengamos la batería de 56 Wh.

Desde Dell no se han andado con rodeos, y la pantalla del XPS 15 es una de las mejores que podemos encontrar. Cuenta con un panel IPS de resolución 4K, con 3840 por 2160 pixeles, otorgando a sus 15,6 pulgadas una nitidez excelente.El brillo y el contraste también están a buen nivel, y con el 50% de brillo conseguimos una visibilidad muy buena. Configurado al máximo, su brillo es elevado pero afecta sensiblemente a la vida útil de la batería. Pero por otro lado tenemos una característica muy interesante y nada habitual en los portátiles gaming: la pantalla táctil. El funcionamiento es excelente, lógicamente por la potencia del equipo, pero también por la respuesta y la sensibilidad del panel. Además su protección frente a las huellas es mejor de lo esperado, y se encuentra a un nivel similar al de los mejores smartphones del momento.

Esto puede deberse en parte por la adopción del cristal Corning Gorilla Glass NBT, que utiliza la misma tecnología expuesta es estos últimos, y que nos da una protección adicional frente a caídas. Cuando muchos comparan este equipo con el Macbook Pro de 15”, incluso se suele ir más allá, y muchos lo consideran como un Macbook con Windows. Bueno, quizás esto es muy exagerado, aunque se aprecian ciertas similitudes que pueden hacerte pensar en ello. Si empezamos por el teclado, este cuenta con un diseño y distribución similares a las del Macbook, donde vemos un teclado con una tecla de intro completa, pero más delgada de lo habitual. El tacto de las teclas es excelente, con un tacto y recorrido muy buenos, y una separación entre teclas adecuada.

Este teclado también incorpora retroiluminación LED en color blanco, con la posibilidad de poder apagarlas mediante la tecla F10, o regularlas con dos niveles de intensidad. En el touchpad volvemos a encontrar similitudes con el modelo de la manzana. Aunque en este sentido es una comparación meritoria para el XPS, ya que desde sus comienzos, el tacto y respuesta de los touchpad de Apple siempre han sido una referencia, y en este caso, el touchpad del XPS 15 tiene un funcionamiento fantástico.El tacto es muy bueno, y hacer scroll o zoom es mucho más fácil que con otros portátiles, donde los movimientos realmente fluidos, algo que no estamos acostumbrados a ver en portátiles con Windows, aunque es cierto que su última versión también representó una gran mejora en este aspecto.Si nos movemos al apartado del audio, este cuenta con dos altavoces situados en la parte frontal. No contamos con un subwoofer en la parte inferior, principalmente por falta de espacio. Sin embargo hemos comprobado que esto no impide tener una buena calidad de sonido, con unos agudos muy claros y unos graves bastante conseguidos.

Parece mentira que un equipo de estas características sea capaz de albergar semejante potencial de hardware. Y es que hace no mucho este portátil casi se hubiera considerado como un ultrabook. Un ultrabook muy potente.Bajo este compacto chasis, el Dell XPS esconde en su interior uno de los procesadores para portátil más potentes del mercado, el Intel i7 6700HQ, acompañado en este caso de 16 GB de memoria RAM DDR4 que funciona a una frecuencia de 2133 MHz.

Optimiza al máximo tu portatil para jugar
Hasta aquí es lo que podría considerarse normal en un equipo de estas características, pero es que además está integrada la tarjeta gráfica GTX 960M, un procesador con 640 núcleos cuda que pueden alcanzar una frecuencia de 1202 MHz gracias al Nvidia GPU boost 2.0. Cuenta con un ancho de banda de 128 bits y 2 GB de memoria GDDR5 dedicada.

Con esta configuración podemos decir que el rendimiento es aceptable si hablamos de un portátil gaming. Reescalando a full HD seremos capaces de mover la gran mayoría de juegos disponibles con detalles en alto o muy alto en algunos casos. Eso si, debemos olvidarnos de jugar en 4K salvo en casos puntuales y bajando el nivel de detalles.En la galería a continuación podéis ver la configuración de detalles a los que se ha jugado en los diferentes juegos y benchmarks durante nuestra prueba del Dell XPS 15.

Pasamos al almacenamiento, donde solo tenemos la unidad principal SSD de 512 GB con formato M.2, ya que como vimos anteriormente, la bahía de 2,5 pulgadas está ocupada por la batería. Concretamente, estamos hablando del Samsung PM951, que utiliza el protocolo NVMe para superar con creces el límite de transferencia de los discos SATA para alcanzar velocidades por encima de los 1000 MB/s. Las cifras que obtenemos son espectaculares, superando los 1500 MB/s en lectura secuencial, aunque los resultados en el ASSSD no son concluyentes con una bajísima velocidad de lectura, probablemente debido a la falta de compatibilidad del programa, ya que en otros test los resultados son acordes a lo esperado.

Y ha llegado el momento de hablar de uno de los aspectos que posiblemente más puede preocupar a un usuario que quiere utilizar un ordenador para jugar como son las temperaturas de funcionamiento, más aún teniendo en cuenta lo compacto que es este equipo y la cantidad de aluminio que utiliza.Análisis del Alienware X51, un ordenador sobremesa gaming del tamaño de una consola
Y lo que era de esperar se cumple. En reposo el procesador mantiene buenas temperaturas, en el entorno de los 40 grados, aunque esta se dispara en cuanto jugamos, situándose la tarjeta gráfica en el entorno de los 90 grados con facilidad mientras jugamos, aunque durante los juegos no hemos tenido signos de throttling, algo que si sucedió en las pruebas de stress con el programa AIDA, donde el procesador bajo su frecuencia automáticamente para reducir temperaturas.

Algo que puede resultar incómodo es el calor desprendido por la carcasa, no tanto en la parte inferior donde se mantiene en unos niveles razonables, sino en el apoyo de las muñecas, donde se aprecia claramente un incremento de temperatura en la zona cercana al teclado, sobre todo en los laterales).

Batería
A pesar de ser tan ligero y delgado, la batería del Dell XPS 15 tiene una capacidad bastante grande en la unidad de pruebas que tenemos, ya que incluye la de mayor capacidad entre las dos posibilidades que dispone, con 84 Wh en lugar de los 56 Wh de la versión más básica. Hablamos de una capacidad considerable, aunque los componentes de este Dell XPS 15 también demandan una gran cantidad de energía, especialmente su pantalla. La resolución 4K junto a la capa táctil incrementan el consumo de una manera notable con respecto a la versión Full HD, y a pesar de contar con una batería de mayor capacidad, los resultados no llegan a ser tán buenos como cabría esperar de una batería de esta capacidad, aunque si lo son en términos absolutos. Con un uso normal navegando y reproduciendo contenidos multimedia, la autonomía permite hasta unas 6 horas de autonomía.

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Batería Fujitsu FPCBP238AP

Dell Chromebook 13 no es una ganga con un precio de 429 dólares porque sabemos que los clientes de estos productos esperan computadoras de 300 o menos. Pero para una categoría que está pegando fuerte, con el crecimiento de la educación y la empresa, el Chromebook 13 es una computadora portátil que no se anda con juegos.El Flip Asus Chromebook tiene una bisagra que gira hasta 360 ??grados y aprovecha las actualizaciones de Chrome OS específicamente para mejorar la interfaz táctil.

Tenemos Chromebooks de gama baja para traer la productividad web a aquellos que no tienen mucho dinero y también, por supuesto, al sector de la educación que mira mucho los precios. El modelo más barato que hemos visto, el Chromebook Hisense en Wal-Mart, cuesta sólo 149 dólares pero nuestra selección de gama baja es un poco más cara, pero mucho más versátil.Ese es el Asus Chromebook, el primer ChromeBook convertible por 249 dólares. El Flip cuenta con un chasis de aluminio y una pantalla táctil IPS de máxima calidad. La pantalla es de sólo 10,1 pulgadas en comparación con las 11 pulgadas de la competencia pero lo compensa con la versatilidad de los 360 ??grados. Tiene una CPU Rockchip 3288 de bajo consumo que mantiene el Flip Chromebook por delante de la competencia y una batería que puede llegar hasta las 10 horas.

Que los smartphones condicionan nuestras vidas es una realidad que nadie discute. Y ya no sólo por el uso ocioso que hacemos de ellos sino por el hecho demostrado de que cada vez realizamos más tareas de nuestra vida diaria a través del móvil. Operaciones de banca, compras online, documentos profesionales, reservas turísticas… La vida móvil es una tendencia ya no de futuro sino de presente, y las tecnologías caminan en esa vía. Los propios smartphones se refinan, actualizan y optimizan con nuevas funciones, más capacidades y diseños revolucionarios.

El esfuerzo de los grandes fabricantes (Apple, Samsung…) por sacar al mercado el modelo más novedoso y puntero es cada vez mayor, al igual que las exigencias de los usuarios. Sin embargo, y pese a esos grandes esfuerzos y millonarias inversiones, aún no han encontrado con la fórmula para aumentar la duración de la batería, que representa precisamente la primera y más importante demanda de quienes adquieren los teléfonos.

De hecho, el 89% de los consumidores estarían dispuestos a sacrificar otras prestaciones siempre y cuando dispongan de mayor autonomía. Si bien es una asignatura pendiente que ya viene de lejos, la exigencia ha dejado de ser anecdótica a convertirse en una auténtica necesidad. Un reciente estudio de Ebiquity advierte de que nueve de cada diez personas en EEUU padece el Síndrome de la Batería Baja (SBB), un cuadro de ansiedad y pánico a que el smartphone se quede sin batería y que afecta hasta el punto de condicionar las actividades de su vida diaria.

¿Eres de los que entran a tomar algo en un bar para poder cargar el móvil? ¿Has llegado a pedirle a un extraño que te lo cargue? ¿Eres de los que vuelves a casa antes porque el porcentaje de carga es peligrosamente reducido? ¿Sientes ansiedad cuando el smartphone te avisa de que estás por debajo del 20% o, peor aún, del 10% y no hay un enchufe a la vista? ¿Anulas un plan porque el móvil se está cargando en casa y aún no está completo? Si respondes afirmativamente a varias de estas preguntas, es muy probable que, como muchos otros, te encuentres afectado por este síndrome.

No reviste seriedad pero sí es cierto que te puede condicionar la vida a niveles exagerados. Además, la proximidad del verano amenaza con agravar el problema: largas jornadas en la playa, o en los macro festivales, salidas a la montaña… Un sinfín de planes en espacios abiertos sin tomas de corriente, donde cargar el móvil no es sólo difícil, sino imposible. Que no cunda el pánico. La solución es tan sencilla como contar con un extra de batería portátil a la que enchufar el móvil para alargar su vida durante horas. Y esa solución existe.

Cada día saltan a los medios noticias de nuevas y revolucionarias tecnologías para alargar la batería del smartphone durante días, más allá de las 24 horas que aguantan actualmente (aquellos que sí lo hacen). Mientras esas promesas no se cumplen, hay pequeños trucos de uso diario que parecen ayudar a que se mantengan más tiempo encendidos, pero no solucionan el problema ni mucho menos. Frente a esta realidad, los powerbanks o baterías externas para móviles se confirman como la salvación para todos aquellos que sufren pánico a que el teléfono se apague antes de poder llegar a casa o encontrar un enchufe.

Las opciones son infinitas. Tanto por la variedad de formas, colores, tamaños, capacidad y potencia, las posibilidades de combinación para conseguir una batería externa a buen precio y de la mejor calidad no tienen límite. Por ello, es importante tener en cuenta qué es lo que buscamos y saber que según la capacidad de almacenamiento que escojamos y el modelo de smartphone con el que se use, tanto el modelo de powerbank como la carga que nos proporciona también varían.

Así, y para que sirva como ejemplo, la carga que nos da una batería externa en un iPhone 5S oscila entre del 96% en un modelo de 1500mAh al 358% en el más alto de la gama (10000mAh). Sea como sea, una carga casi completa está garantizada. Y eso son horas y horas de funcionamiento de móvil. Y un gran alivio para los afectados por el SBB. Mientras tanto, y en lo que a modelos se refiere, nos encontramos desde el más básico powerbank formato llavero hasta las potentes powercards pasando por modelos de lo más originales.

Porque son cómodos, fáciles de transportar, de tamaño reducido y fiables, los cargadores externos son uno de los productos estrella de este verano tanto para usuarios particulares como para aquellas empresas que quieran hacer innovar en sus regalos publicitarios al regalar powerbanks personalizados para tener un detalle con sus clientes o empleados. Unos regalos de empresa que no sólo les ‘salvan la vida’ en determinados momentos sino que les permiten combatir la ansiedad y mantener a raya el Síndrome de la Batería Baja, sin dejar que les llegue a condicionar su rutina diaria. El aliado perfecto para disfrutar del verano… ¡Con la única preocupación de que sea nuestra propia batería, y no la del móvil, la que nos marque el ritmo!

¿Te ha pasado que cuando más lo necesitas se te acaba la batería del celular? Pues esto ya no será un problema si estás fuera de algún lugar donde puedes cargar tu móvil tradicionalmente, es decir a corriente.
Ahora, podrás cargarlo con solo cuatro pilas.
Un video de Youtube muestra cómo hacer un cargador portátil casero. El cual es sencillo de realizar y práctico para transportar. Para armarlo solo necesitas: una caja de batería 4, un cargador USB, cuatro pilas AA 15V, una pistola de silicona, pinzas y una máquina para soldar.
- ¡Tom Hiddleston le declaró su amor a Taylor Swift con una camiseta!
Aquí te dejamos el video para que realices este cargador portátil y dejes de lado esa preocupación de que cuando más lo necesitas y no tienes dónde cargar tu celular, se te va a acabar la batería.Cuando pensamos en un portátil gaming se nos viene a la mente un equipo con un cierto volumen, unas prominentes salidas de refrigeración y una estética que delate qué es lo que tenemos entre manos. Esto es lo que correspondería con la propia división de Dell para ordenadores gaming como es Alienware, que ofrece una estética inconfundible y una inequívoca esencia gaming.

Pero esto no quita para que existan otro tipo de productos que puedan resultar interesantes para un público que busque un rendimiento elevado en videojuegos y poder pasar desapercibido ante las miradas del público general. Los Dell XPS son equipos para todo, que ofrecen un diseño sobrio y elegante, a diferencia de sus primeros modelos que si estaban destinados al mundo gaming. De hecho, sería normal que muchos lo confundieran con un sencillo ultrabook. Nada más lejos de la realidad.

imagen del Dell XPS 15
En este análisis del Dell XPS 15 tenemos un hardware bastante potente en el que destaca su potente procesador i7 6700HQ de 4 núcleos junto a una tarjeta gráfica Nvidia GTX 960M y 16 GB de memoria RAM DDR4 repartidos en dos bancos. También cuenta con una espectacular pantalla táctil con resolución 4K con lo que obtenemos una gran versatilidad.

Aquí tienes el Macbook pro de 15" a un gran precio
Pero lo más llamativo de este equipo es ser el portátil gaming de 15” más ligero del mercado, gracias a un diseño que puede encontrar paralelismos con el Macbook pro 15 de Apple, uno de los rivales más directos que puede encontrar.Uno de los apartados en los que destaca este ordenador portátil es el diseño, aunque lo hace sin ser llamativo tal y como son la mayoría de portátiles gaming. Hemos de dejar claro que este no es un portátil con una orientación exclusivamente para gaming, sino que busca ofrecer una estética más sencilla y sin ©â€ âˆš.

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July 23, 2016

Batería Fujitsu FPCBP175

Por último, podemos ver el tiempo estimado de vida de esta desde que instalamos el sistema operativo y el tiempo de vida real que estamos consiguiendo con las cargas. Si los valores son demasiado dispares es probable que esta esté llegando al final de su ciclo de vida.Como podemos ver, una completa, interesante y desconocida función de Windows que nos puede ayudar a saber más sobre la batería de nuestro portátil, a identificar posibles problemas y a prever un posible fallo en la misma.Hace unas semanas, Opera ha anunciado al público una nueva característica para su navegador en las plataformas de Windows y OS X que tiene como objetivo hacer que las baterías de los portátiles duren más tiempo, algo que siempre viene muy bien en los tiempos que corren. Hasta ahora, esta función sólo estaba disponible en el canal de las versiones beta de Opera, pero hoy ha sido anunciada de manera oficial la versión final que ya está disponible para todos los usuarios.

Y es que, hoy en día, no podemos negar que los usuarios están esperando como agua de mayo la llegada de una nueva tecnología que dote a los dispositivos con una batería capaz de pasar más horas lejos de los enchufes. La compañía afirma que esta nueva función (junto con el bloqueador de anuncios integrado de Opera) puede extender de manera sorprendente la vida de la batería hasta en un 50% en el uso de Chrome.

Algunos usuarios ya han informado que tras utilizar la versión beta de Opera en su MacBook Air durante las últimas semanas, aunque la mejora de la batería ha sido evidente, el aumento de la autonomía no ha sido del 50%, ni mucho menos. Aunque cabe mencionar que desde Opera se habla de que las pruebas fueron realizadas con un portátil que ejecutaba Windows 10, por lo que la experiencia puede ser un tanto diferente dependiendo del dispositivo.

Hay un número cada vez mayor de opciones. Dependiendo del formato (tradicional, 2 en 1, o convertible), se pueden encontrar una gran multitud de opciones.Pero si lo que usted busca son los procesadores de Intel de quinta generación Broadwell y los nuevos modelos deportivos de hardware de sexta generación Skylake, o busca una PC portátil de lujo que vale la pena, este promete ser un gran año para cualquiera que compre un nuevo equipo. Hemos redondeado nuestras mejores opciones de todos Las PCs portátiles hasta el momento, incluyendo el Spectre x2 de HP y el recién coronado como mejor portátil de videojuegos, el MSI GT72S Dominator Pro G Dragon.

El Dell XPS 13 tiene una gran pantalla en un espacio reducido y es posiblemente el mejor Ultrabook del año. Hemos tenido mucho tiempo para pensar en esto y el Dell XPS 13 se pone la cumbre como mejor Ultrabook. Su exterior de aluminio y fibra de carbono rezuman calidad. Pero el salto más innovador es su pantalla, con InfinityEdge (forma elegante de decir que prácticamente no tiene marco. De este modo, Dell consigue poner una pantalla de 13 pulgadas en el cuerpo de una computadora portátil que no es mucho más grande que la típica PC portátil de 11 pulgadas.

El XPS 13 ha sido siempre uno de los Ultrabooks más rápidos que hemos visto, punto de referencia sobre el cual todos los demás han sido valorados. Antes nos basábamos en la iteración del Intel Broadwell que Dell sigue vendiendo pero que ahora está siendo suplantado por nuevos CPU Skylake de Intel.Si tuviéramos que quejarnos de algo, sería el pequeño teclado.Hubiéramos deseado que las teclas fueran un poco más grandes.Hasta el momento podemos decir que el XPS 13 es bastante más rápido gracias a la CPU Skylake y su tarjeta SSD PCIe. En definitiva, ponemos al XPS 13 como un Ultrabook verdaderamente compacto con una pantalla que destaca en su categoría.

El Spectre x360 de HP es probablemente el mejor portátil 2 en 1 del año. Es nuestra selección como el mejor Ultrabook 2 en 1y un primer competidor para el XPS 13 de Dell. Con un cuerpo de aluminio sólido, el x360 Spectre es moderna y rinde bien, se puede girar la pantalla cuando sea necesario. El teclado del Spectre x360 es un lujo comparado al estrecho teclado del Dell XPS 13, pero también en comparación, el portátil de HP es más amplio.

El rendimiento es de primera clase, pero HP fue quien tuvo el control de los térmicos lo que resultó en disminuir la velocidad del CPU. HP ha actualizado desde su BIOS para mantener el rendimiento aún con cargas más pesadas aunque resulta en más ruido del ventilador. También tiene un sonido excelente, batería muy duradera y el apoyo táctil en todos los modelos. Asus da una increíble relación calidad precio con este Ultrabook. El UX305 de Asus, el mejor Ultrabook para su bajo coste. Con 8 GB de RAM y un SSD de 256GB por sólo 700 dólares. Uno pensaría que Asus podría escatimar en calidad de construcción o poner una pantalla pésima, pero no. El cuerpo es de aluminio y la pantalla tiene una resolución 1920x1080 con acabado antirreflejo. Es también una de las computadoras más delgadas, por lo menos de 12 mm de grosor y un peso de sólo 1,1 kg.

La CPU es el Intel Core M en el UX305 original y el nuevo m3 Core en el UX305 más actualizado. Sin embargo, no hay retroiluminación del teclado, que es bastante estándar en cualquier Ultrabook de hoy en día. El trackpad, que no es un dilema, es un poco plasticoso. Aun así, es una ganga para lo que se ofrece por el mismo precio.El Surface Book de Microsoft es caro pero rápido, único y replantea radicalmente lo que serán las computadoras portátiles.

El Surface Book de Microsoft se describe básicamente como un artículo de lujo. La versión con el GPU debajo del teclado no se consigue si no es por 1.900 dólares pero lo que se obtiene es glorioso. Comencemos por la alta resolución de una hermosa pantalla de 13,5 pulgadas, con opción de una discreta GeForce, Skylake de doble núcleo y una autonomía excepcional. También se puede quitar la pantalla para usarla como Tableta e incluye lápiz digital.

El rendimiento en general es increíble pero sobre todo en cargas de gráficos, incluyendo la codificación de video con aceleración, algo que en lo que sobresale frente a toda su competencia. Los que pueden permitírselo van a conseguir lo que quieren: un hermoso laptop que probablemente va a iniciar conversaciones en la cabina de primera clase mientras se vuela de Dubai a Londres.

El Surface Pro 4 es una versión mejorada del Surface Pro 3 y mejor en todos los sentidos. Está bien, hablamos mucho de las Surface, pero es que la serie Surface de Microsoft es realmente un paso más allá de los típicos dispositivos convertibles que separan la pantalla del teclado para ejecutarse de forma independiente. Han salido a la luz muchos clones del Surface que pueden dar mucha guerra: Lenovo presenta su nueva MIix 700, HP tiene su Spectre 12 X2 y se espera que esta batalla continúe a lo largo de los primeros meses del año.

El mejor a día de hoy es, sin embargo, el Surface Pro 4. Tiene una pantalla de primera clase, un gran rendimiento, y su teclado y trackpad están muy por delante de los diseños de la competencia. Lo elegimos por encima del Surface Pro 3 por su rendimiento y mejor resistencia térmica (con menos ruido del ventilador). La única advertencia: es caro y el teclado añade 130 dólares al precio. Eso significa que la gama media del Surface Pro 4 con 256 GB de almacenamiento, 8 GB de memoria RAM y Core i5 es una PC que en total cuesta 1430 dólares.

Sin embargo, para aquellos que realmente valoran la portabilidad (porque realmente es el rendimiento de una computadora en una tableta) es perfecto.El pie de apoyo en el Spectre x2 se repliega hasta 150 grados y se sale con un interruptor.Si piensa que el Surface Pro 3 es la alternativa al Surface Pro 4, se equivoca. Por 800 dólares, el Spectre x2 de HP ofrece 128GB de almacenamiento, 4 GB de RAM, y los últimos procesadores de Intel Skylake de serie Core m3, que funcionan con baja potencia. Viene con el teclado, también.Es una gran opción, especialmente si tenemos en cuenta que el Surface Pro 3 cuesta 830 dólares y tiene un procesador Atom. Lo único en lo que sobresale la portátil de Microsoft es en la batería y la portabilidad. La batería del x2 Spectre dura casi una hora menos y es más de 200 gramos más pesada. Pero la pantalla más grande del Specter X2 y el mejor rendimiento lo posicionan por delante del Surface Pro. En tareas de oficina y hogar.

Aunque amemos nuestras computadoras de escritorio para videojuegos, a veces es bueno tener una PC portátil o semi portátil, tiene más sentido. La MSI GT72S Dominator Pro G Dragón, que incorpora una GPU GeForce GTX que ofrece el mismo rendimiento que una computadora de escritrorio. Sí, una PC portátil que realiza todo tan rápido como un equipo de escritorio. Tiene un procesador Core i7-6820HK de 3.2GHz a 4.0GHz.

El único inconveniente de este sistema es su peso, aunque con un panel IPS de 17,3 pulgadas es normal que pese lo que pese. Con un coste de 3.100 dólares, incluye todo lo anterior más el CPU quad-core Skylake y pantalla G-Sync 75Hz. MSI además regala una mochila para disminuir la picadura de ese precio, y honestamente, una instalación de escritorio similar no es astronómicamente más barato, pero sigue siendo una buena cantidad que nos ahorramos. Se obtiene lo que se paga y eso es el rendimiento de un escritorio en una computadora portátil.

El Dell Chromebook 13 es el primero construido expresamente para los negocios, con una amplia gama de configuraciones y precios que van desde los 399 hasta los 899 dólares.Mientras se siente que muchos Chromebooks de gama baja son como juguetes, el Chromebook 13 está hecho para los adultos. Su construcción incluye una tapa de fibra de carbono duro con un marco de goma para una mayor durabilidad. Alberga una pantalla de 13,3 pulgadas, de resolución 1920x1080 IPS y puede ser anti-reflejo o pantalla táctil con Gorilla Glass. Dentro del cuerpo de magnesio se encuentra una CPU Celeron Broadwell que ofrece gran rendimiento, y la duración de la batería es de entre 12 y 13 horas.

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Batería FPB0244

¿Cómo realiza la gestión Opera para lograr esto? La compañía dice que cuando está activo, este modo limita la actividad de fondo de las pestañas, activa la CPU con menos frecuencia mediante la programación de los diferentes temporizadores de JavaScript, reduce la velocidad de fotogramas a 30 cuadros por segundo y afina sus parámetros de codecs para la reproducción de vídeo forzando el uso de aceleración por hardware.

Vale la pena señalar que Opera no publicó ningún punto de referencia hacia Safari en OS X, lo cual tiene sentido, dado que Apple también utiliza técnicas similares para extender la vida de la batería en sus ordenadores portátiles, por lo que la diferencia no sería probablemente tan notable en este navegador, tal y como apuntan en TechCrunch.Los noruegos acaban de anunciar la versión 38 de su navegador web, una actualización que incluye mejoras que seguramente alegrará a muchos, especialmente a aquellos que tienen un ordenador portátil en sus manos; pues es complicado hacer que la batería del portátil pueda durar un tiempo adicional, y más si no tenemos el cargador con nosotros, o simplemente no hay dónde cargarlo.

Por suerte ya no tenderemos que lidiar con este problema, pues Opera 38 promete reducir hasta el 50% el consumo de la batería. El navegador incluye una opción que ahora nos permitirá navegar en modo ‘ahorro’ haciendo que la autonomía de nuestra computadora portátil pueda durar tiempo extra.Esta opción sólo se mostrará cuando el navegador detecte que el ordenador no está conectado a la corriente y que su funcionamiento depende de la batería. Cuando esto pase, aparecerá un icono en la parte superior derecha. Una vez ubicado, debemos hacer clic en el icono y activar la opción ‘ahorro’. Tras esta acción, el navegador empezará optimizar su rendimiento.

Para que esto sea posible, el navegador reduce la actividad de los procesos secundarios y desactiva acciones automáticas. Por ejemplo, pausa las animaciones visuales del navegador así como también los plugin que no estén en uso. Del mismo modo, reduce la actividad de las pestañas en segundo plano y las llamadas a la CPU.Las baterías de los portátiles cada vez duran más y funcionan mejor que los modelos de hace unos años, pero siguen sin estar a salvo del desgaste y al cabo de un tiempo pierden parte de su capacidad total. Si quieres saber cómo calibrar la batería del portátil para optimizar su duración, puedes hacerlo fácilmente con estos consejos.
Batería Portátil

¿Recuerdas cuando estrenaste tu nuevo portátil y la batería duraba horas y horas? Con el uso y con cada ciclo de carga y descarga la capacidad de las baterías se queda lejos del 100%, aunque el sistema operativo nos indique lo contrario.
Todo ello se debe a la composición de las baterías, en las que hay elementos químicos que, por su propia naturaleza, se deterioran con el paso del tiempo. No obstante, no hay que resignarse a perder unos valiosos minutos de autonomía en nuestros portátiles, y la forma más efectiva de mantener la batería en buen estado es calibrándola cada cierto tiempo.
Por ejemplo, la mayoría de los fabricantes recomiendan calibrar la batería cada dos meses aproximadamente, de manera que sea capaz de cargarse al máximo de su capacidad teórica.
A grandes rasgos, el proceso consiste en cargar al 100% la batería el equipo, dejar que se descargue por completo, aguantar unas horas sin encender el portátil y entonces volver a conectarlo a la luz.

Paso 1: Carga tu batería y mantén el portátil conectado otras dos horas
Para empezar, lo único que tienes que hacer es conectar tu portátil a la corriente eléctrica y asegurarte de que la batería se carga por completo.
Déjalo un par de horas más conectado tras llegar al 100% y entonces desconéctalo, para que la batería comience a consumirse. Durante ese tiempo podrás utilizar tu portátil sin problemas (de hecho, es recomendable, para que la batería se descargue con el uso normal).

Paso 2: Deja que la batería se consuma y mantenla sin recargar una noche
En cuanto el portátil se quede sin energía, tendrás que mantenerlo unas cinco horas como mínimo sin carga alguna. Si puedes esperar un poco más, mejor que mejor, así que recomendamos que lo hagas de noche antes de acostarte y así al día siguiente ya estará todo listo, sin hacerte malgastar tu tiempo.
Paso 3: Vuelve a cargar el portátil hasta llegar al 100%
Por último, solo te queda volver a enchufar el portátil a la luz para que el proceso de recarga comience. Al llegar al 100%, ya habrás completado el proceso de carga de la batería. ¡Así de fácil!
Seguro que tu ordenando portátil en más de una ocasión no te informa de forma correcta del tiempo de carga que le queda a su batería, lo que se convierte en un problema ya que esto hace que se pueda perder un trabajo o, simplemente, que no se tengan datos concretos para conocer cuánto tiempo se podrá utilizar el equipo sin necesidad de recarga. Esto se pude solucionar con un recalibrado del componente.

Lo cierto es que se pude pensar que hacer esto resulta complejo, pero nada más lejos de la realidad. Simplemente hay que seguir unos pasos específicos y mecánicos que permite realizar el mencionado recalibrado, y que se pueda tener información concreta y exacta de lo que permite la batería (en ocasiones es posible recuperar algo de autonomía, pero generalmente esto no se consigue).
El proceso que vemos a indicar no es especialmente complejo, pero sí hay un detalle muy importante: se debe seguir en el orden indicado ya que, de otra forma, el recalibrado no se hace de forma adecuada y por lo tanto no sirve para nada.
A continuación indicamos los pasos a seguir para llegar a buen puerto y que, de esta forma, la información que se muestra de la duración de la batería en le sistema operativo correspondiente (ya sea Windows o Mac) sea la correcta y no tengas sorpresas desagradables.

Descarga la batería del portátil completamente (que se apague el equipo por esta razón).
Cárgala completamente, al 100% sin encenderlo y deja conectada la alimentación al equipo tanto tiempo como habitualmente te dura la batería en uso -es decir, si tu portátil tiene una autonomía de cinco horas, son estas las que debes mantener conectado el ordenador-.
Ahora enciende el equipo y utilizalo hasta que de nuevo se descargue por completo, esto es importante.
Deja sin conectar el ordenador el tiempo que dura la autonomía habitual (siguiendo el ejemplo anterior, cinco horas).

Recarga entonces el portátil al 100% y, entonces, ya se puede utilizar de firma normal con una recalibración correcta.
Los pasos que hemos proporcionado es recomendable hacerlos una vez cada dos meses, ya que de esta forma, no se pone en problema a la batería y, evidentemente, no se da tiempo a que la perdida de precisión en la información sea muy grande.
En las últimas semanas Amazon Echo se ha convertido en uno de los gadgets más importantes de Amazon, no sólo por lo que ofrece sino por el simple hecho de su participación en Internet de las Cosas y en domótica. El problema de este altavoz inteligente para muchos usuarios es que necesita una toma de corriente para que funcione, algo que hace que Amazon Echo no se pueda mover por la casa o llevar a otros sitios que no tengan una toma de corriente cerca.

Muchos usuarios tienen la posibilidad de adquirir las versiones móviles de Amazon Echo, versiones que no están disponibles en todos los mercados ni ofrecen la misma calidad que Amazon Echo.Amazon Echo podrá ser más móvil con Battery Base
La empresa Mission Power ha creado un dispositivo para hacer que Amazon Echo sea tan móvil como queramos sin perder la calidad de este altavoz inteligente. El accesorio se llama Battery Base o una base de batería que proporciona a Amazon Echo una fuente de energía sin por ello perder estética o movilidad, al contrario. Esta Battery Base se acopla en la parte inferior del altavoz inteligente, algo que hará que el altavoz sea más alto pero a cambio podrá ser tan móvil como queramos.

Amazon Tap y Echo Dot son dos alternativas móviles a Battery Base y de Amazon pero no ofrecen la misma calidad de sonido ni las mismas prestaciones que el Amazon Echo original. El precio de Battery Base será de 49 dólares, algo interesante si realmente necesitamos portar Amazon Echo o no queremos comprar un altavoz para cada habitación de la casa, sin embargo si queremos utilizar Alexa y no sus altavoces, puede que la mejor opción sea adquirir Amazon Tap y no Amazon Echo más Battery Base, al menos nuestros bolsillos lo agradecerán.

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July 22, 2016

Batterie Asus r500v

La Surface 3 ne manque pas de charme : cet appareil hybride tablette-ordinateur est simple à l’usage, polyvalent, assez réussi esthétiquement. Nos tests permettront de vérifier que ses performances globales ne ternissent pas le tableau. Nos premières impressions, de ce côté, sont plutôt bonnes. Un gros bémol, son prix. Un budget de 750 € donne accès à des ordinateurs portables bien plus puissants.
Grâce à un stylet, un clavier à fixation magnétique et une station d’accueil, le dispositif SmartPad3 peut faire office de tablette tactile, d’ordinateur portable ou d’ordinateur de bureau. La SmartPad 3 propose un écran tactile 11,6 pouces dans une définition Full HD, un stockage sur SSD de 64 à 512 Go avec extension par carte MicroSD, des liaisons sans-fil Wi-Fi / 3G / 4G / GPS / Bluetooth et des connectiques USB / HDMI.

Evi SmartPad3 (2)Côté OS, le choix sera laissé à l’utilisateur. On peut ainsi commander la SmartPad 3 avec Windows 8.1 ou Windows 10, mais aussi la recevoir sans OS pour l’équiper d’une solution Linux. Pour animer le SmartPad3, le choix s’est porté un processeur Intel Core M-5Y10c dual-core 0,8-2GHz couplé à une mémoire vive 4 ou 8 Go. Quant à l’alimentation, elle passe par une batterie 6 000 mAh qui laisse envisager jusqu’à 10 heures en bureautique.

Le prix de la SmartPad3 démarre à 699 euros pour une configuration avec RAM 4 Go / SSD 64 Go, sans 3G ou 4G et sans OS. Les accessoires sont également optionnels.Grâce à un stylet, un clavier à fixation magnétique et une station d’accueil, le dispositif SmartPad3 peut faire office de tablette tactile, d’ordinateur portable ou d’ordinateur de bureau. La SmartPad 3 propose un écran tactile 11,6 pouces dans une définition Full HD, un stockage sur SSD de 64 à 512 Go avec extension par carte MicroSD, des liaisons sans-fil Wi-Fi / 3G / 4G / GPS / Bluetooth et des connectiques USB / HDMI.Evi SmartPad3 (2)Côté OS, le choix sera laissé à l’utilisateur. On peut ainsi commander la SmartPad 3 avec Windows 8.1 ou Windows 10, mais aussi la recevoir sans OS pour l’équiper d’une solution Linux. Pour animer le SmartPad3, le choix s’est porté un processeur Intel Core M-5Y10c dual-core 0,8-2GHz couplé à une mémoire vive 4 ou 8 Go. Quant à l’alimentation, elle passe par une batterie 6 000 mAh qui laisse envisager jusqu’à 10 heures en bureautique.

Le prix de la SmartPad3 démarre à 699 euros pour une configuration avec RAM 4 Go / SSD 64 Go, sans 3G ou 4G et sans OS. Les accessoires sont également optionnels.Sommaire Malgré un certain immobilisme en termes de design et de spécifications, le MacBook Air d'Apple reste un ultra portable de référence grâce à son extraordinaire autonomie. Les performances ne sont pas en reste.
Au cours des dernières années, le MacBook Air a consciencieusement évolué, en intégrant les dernières générations de processeurs Intel ou en modifiant quelquefois sa connectique ou le type de disque SSD embarqués. Mais ces changements sont mineurs, surtout comparés au tout nouveau MacBook 12 pouces, incroyablement fin et bien dessiné, ou encore au MacBook Pro mis à jour en 2012 avec un écran Retina et un design affiné.

Nous n'enterrons pas pour autant le MacBook Air. Il reste l’un des ordinateurs portables les plus pratiques du marché grâce à sa finesse, ses excellents clavier et pavé tactile, ses performances et sa formidable autonomie. À 999 euros, le MacBook Air 11 est le moins cher des MacBook. Le modèle de 13 pouces commence à 1 099 euros. Il est à la portée de beaucoup de consommateurs qui ne veulent pas débourser les 1 450 euros du nouveau MacBook ou d’autres modèles concurrents sous Windows souvent aussi chers.

De nombreuses machines portables concurrentes ont rattrapé les MacBook Air d'Apple, et parfois réussi à le dépasser en terme de design. Le MacBook Air conserve obstinément la plus grande autonomie. Cela tient au passage à la nouvelle puce Intel Core i de 5ème génération alias Broadwell. Le gain de performance s'avère négligeable, mais ces nouveaux processeurs apportent en revanche une amélioration significative en matière d’efficacité énergétique. Outre ce nouveau processeur Core i, la dernière plateforme Broadwell d'Intel comprend une nouvelle partie graphique. Le MacBook Air 2015 bénéficie aussi d’un saut de performance pour le transfert des données grâce au passage au Thunderbolt 2. Le stockage flash qui est passé à l’interface PCIe depuis la précédente mise à jour du MacBook Air offre aussi un débit plus rapide. Reste que dans le cadre d’un usage quotidien il est peu probable que vous remarquiez ces améliorations.

Lors de notre test d’autonomie, ce MacBook Air 2015 a tenu 18 heures, écrasant son prédécesseur ainsi que tous ses concurrents. Et même si des tâches plus exigeantes ou du streaming vidéo réduisent ce temps de 40%, on est encore sur la base d’une journée complète d’autonomie.

Si nous ne tenions pas compte de son écrasante autonomie et de son prix d’attaque assez bas, nous pourrions mettre ce modèle de côté pour suggérer le MacBook Pro ou bien le MacBook 12 pouces. Mais il s'agit bien de trois produits distincts avec leurs forces et leurs faiblesses qui s’adressent à une clientèle spécifique. Selon nous, le MacBook Air restera encore pour un bon moment le choix des étudiants et des nomades habitués aux cafés Wi-Fi.

Design et fonctionnalités
La silhouette du MacBook Air est très reconnaissable. Elle n'a pas changé depuis 2010 et elle est quasiment similaire à la version d’origine sortie en 2008. La finition en aluminium, toujours aussi minimaliste et moderne, a depuis été largement copiée par la concurrence. Il pèse toujours 1,3 kg et se place au milieu de la gamme Apple dans ce domaine. Le MacBook 12 pouces, plus léger, affiche 920 grammes et le MacBook Pro 13 pouces, plus lourd, se place à 1,6 kg.

C’est en soulevant le capot de l’écran que l’on constate un certain vieillissement. La plupart des PC portables modernes sont équipés d’écrans tactiles et surtout de bordures d’écran plus fines avec des vitres quasi bord à bord. Cela donne un aspect plus net que l’on trouve d’ailleurs sur les MacBook Pro et le MacBook 12 pouces.

Sur le MacBook Air, la bordure de l’écran est épaisse. Ce qui lui donne un aspect moins moderne et dépassé. Certains concurrents, comme le Dell XPS 13, sont allés plus loin avec des écrans qui couvrent presque toute la surface. Cela ne fait que montrer à quel point cette partie du design du MacBook Air est datée. Mais d’autres éléments de ce design restent complètement d’actualité, en l’occurrence le clavier et le pavé tactile. Et bien que l’on ne retrouve pas le système Force Touch qui équipe les pavés tactiles des MacBook 12 pouces et le MacBook Pro, la différence ne se remarque pas. Nous n’avons toujours pas trouvé de pavé tactile qui rivalise celui des MacBook en terme de gestes multipoints.

Le MacBook Air 13 pouces 2015 conserve le même clavier chicklet des générations précédentes de MacBook (à l’exception de celui du nouveau MacBook 12 pouces). D’autres PC portables sont arrivés à la hauteur de ce clavier, mais ne l’ont pas dépassé. Il reste l'un des meilleurs claviers d'ordinateur portable actuellement disponibles sur le marché.

L’un des domaines où le MacBook Air aurait bien besoin d’une mise à jour est l’écran. La définition stagne à 1 440 x 900 pixels alors que des portables Windows de milieu de gamme offrent de la Full HD à 1 920 x 1 080 pixels. Certains portables haut de gamme, dans les mêmes ordres de prix que le MacBook Air, sont même passés à l’Ultra HD tandis que les MacBook Pro et le MacBook 12 pouces ont droit à des écrans très haute définition Retina. Le MacBook Air est un laissé pour compte dans ce domaine.

Au moment de sa sortie en 2008, le MacBook Air fut décrié pour n’avoir qu’un seul port USB. Depuis, Apple, moins radical, a revu sa copie avec deux ports USB. Le MacBook Air 13 (2015) propose une paire de ports USB 3.0, un port Thunderbolt 2 (qui fait aussi office de sortie mini DisplayPort et HDMI / VGA / DVI avec des adaptateurs) et un emplacement pour carte mémoire micro SD. C’est le nouveau MacBook 12 pouces qui reprend la philosophie minimaliste avec un port unique (USB-C) pour tout faire, y compris l’alimentation. Mais si l’histoire peut servir de guide, alors on peut s’attendre à ce que les prochaines générations voient leur connectique évoluer et s'enrichir.

Le passage au processeur Intel Core i de 5ème génération n’entraine pas de grande différence de performance par rapport à la 4ème génération qui équipait le modèle de l’année dernière, surtout pour les tâches courantes. En usage quotidien (navigation Web, bureautique, lecture vidéo et audio...), n’importe laquelle de ces deux générations de processeurs est plus que suffisante. Ce MacBook Air 13 (2015) est arrivé juste derrière le MacBook Pro 2015 à notre test de performance. Mais il faut savoir que la plupart des machines sous OS X Maverick que nous avons essayées se sont révélées plus rapides à notre test iTunes que les configurations sous OS X Yosemite.

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Batterie Asus k75

Mais le XPS 13 est important à bien d’autres titres. Il s’agit de l’un des premiers modèles équipés de la nouvelle puce Intel Core i de 5e génération, également connue sous le nom de Broadwell. Le modèle testé est équipé d’un processeur Core i5 avec 256 Go de SSD et d’un écran tactile d'une définition de 3 200 x 1 800 pixels, le tout pour un prix de 1438,80 euros (TVA comprise ).

Le nouveau processeur Intel offre de bonnes performances avec une vitesse et une autonomie correctes, mais il ne surpasse pas les modèles équipés d’une puce de la génération précédente. Il se peut que les performances s’améliorent au fur et à mesure que les éditeurs de logiciels optimiseront leurs produits. Il est en tout cas meilleur que la puce Core M Broadwell que nous avions testé fin 2014. Cette dernière, destinée aux tablettes et PC ultra fins, n’a pas été à la hauteur de nos attentes en termes de performances et d’autonomie.

Vous choisirez cet ultraportable de Dell parce qu’il intègre un grand écran dans un petit châssis et qu’il se rapproche le plus de ce que serait le renouvellement esthétique idéal du MacBook Air. Le Dell XPS 13 dans la configuration que nous avons testée est le premier PC portable que nous plébiscitons en ce début d’année.

Design et fonctionnalités
Vu de dessus, ce nouveau XPS 13 (2015) n’a pas l’air très différent du modèle précédent. L’un comme l’autre arborent un capot couleur argent/aluminium aux coins arrondis avec le logo Dell trônant au centre. À l’époque nous avions surnommé le "DellBook Air" et cette comparaison tient toujours, même si cette nouvelle version est plus proche dans ses dimensions du MackBook Air 11 pouces. En effet, mis côte à côte avec un MacBook Air 13 pouces, la différence est frappante. Le cadre de l’écran du portable Apple a l’air subitement très épais et les espaces vides autour du clavier du MacBook tranchent avec l’agencement dense du Dell XPS 13 (2015). Vu de profil, le modèle de 2015 se distingue avec un design beaucoup plus angulaire que son prédécesseur.

Si la surface externe propose une finition métallique mate, l’intérieur est d’un noir basique avec un motif qui vient entourer les touches du clavier elles-mêmes noires. Ces touches sont rétroéclairées, ce qui est une bonne chose étant donné la compacité du clavier. Leur disposition et leur format chiclet les rendent ergonomiques et réactives. Les touches de fonctions F sont inversées, ce qui veut dire que l’on peut ajuster le volume ou la luminosité d’écran sans avoir à appuyer simultanément sur la touche Fn. Le pavé tactile cliquable de grande dimension est équivalent à ceux que l’on trouve sur d’autres modèles haut de gamme de la marque. Il fonctionne bien pour les actions basiques mais nous avons trouvé que le défilement à deux doigts n’était pas assez fluide. Il nous est arrivé par exemple de passer directement sur l'écran tactile pour faire défiler de longues pages web.

L’écran d'une diagonale de 13,3 pouces est vraiment la première chose que l’on remarque en regardant l’XPS 13 (2015) du fait de son design quasiment bord à bord. Notre modèle d’essai était équipé de l’option haut de gamme avec un écran tactile IPS de 3 200 x 1 800 pixels. Les configurations premier prix proposent un écran classique avec une définition de 1 920 x 1 080 pixels. Notre machine offre un affichage clair et lumineux avec d'excellents angles de vision.

Il existe d’autres PC portable 13 pouces qui offrent une telle définition, notamment les Lenovo Yoga Pro et certains modèles 15 pouces sont compatibles Ultra HD / 4K. Cette définition peut entamer les performances et l’autonomie, mais elle s’avère très confortable pour la retouche photo et le montage vidéo. Beaucoup d’applications ainsi que Windows 8 lui-même s’accommodent bien de ces définitions élevées.

Le cadre ultrafin a obligé Dell à positionner la webcam non pas au-dessus mais sous l’écran. Nous l’avons testé avec Skype et elle fonctionne bien. Sa position donne un cadrage en contre-plongée, et laisse beaucoup de place au plafond derrière l'utilisateur.Connectique, performances et autonomie
Avec un châssis aussi petit, certains ports n’ont pu être intégrés. On trouve un port mini DisplayPort, 2 ports USB 3.0, un port audio et un emplacement pour carte mémoire SD. En revanche, pas de HDMI, ni de port Ethernet. Il y a une option intéressante qui est l’indicateur de niveau de batterie situé sur la côté gauche, mais le bouton pour l’activer n’est pas très maniable. Dell nous a fourni quelques accessoires optionnels qui compensent ces manques. Parmi ces derniers, un adaptateur USB apporte une sortie HDMI, une prise Ethernet, une sortie VGA et un port USB 2.0. Il y a également une batterie externe USB d'une puissance de 12 000 mAh qui ressemble à un petit disque dur portable.

Ce test nous a permis de découvrir l’une des nouvelles puces Broadwell Core i5 Intel de 5ème génération. Nous n'avions essayé que le Core M, une puce Broadwell pour les portables ultrafins, les tablettes et les hybrides comme le Lenovo Yoga 3 Pro. Nous avions apprécié le fait qu’il permette de concevoir des designs inventifs et de supprimer le refroidissement par ventilateur. Mais les performances pour les tâches courantes se sont révélées décevantes, beaucoup moins moins bonne qu’avec un Core i5 standard.

Le XPS 13 (2015) utilise une puce Core i5-5200U à 2,2 GHz. Nous l’avons mesuré face à d’autres portables 12 et 13 pouces équipés de processeurs Core i5. La machine de Dell surpasse légèrement ses concurrents à nos tests multitâches et s'avère très compétitif sur les tests d’applications individuelles. L'écart avec les puces Core i5 de 4ème génération, comme celle qui équipe la Surface Pro 3, n'est pas énorme.

Cela n’a rien de surprenant. Intel n’a pas promis une hausse radicale des performances, mais une évolution vers une meilleure gestion de l'énergie. Le Dell XPS 13 (2015) s’est montré rapide et réactif et définitivement plus agréable à utiliser que le Yoga 3 Pro et son Core M. La puissance est amplement suffisante pour la plupart des tâches courantes comme la bureautique, le streaming vidéo en HD, la retouche photo ou le montage vidéo basiques. La dernière version de la plateforme graphique d’Intel se nomme HD 5500 et comme les versions précédentes, elle n’est pas vraiment adaptée au jeu vidéo. Beaucoup d'anciens titres tourneront sans problème. En revanche, même en baissant la définition à 1 920 x 1080 pixels, Bioshock Infinite ne tourne qu’à 13 images par seconde (ips) et Tomb Raider à 12,1 ips (test réalisé avec le niveau de détails poussé au maximum).

Sans atteindre celle du MacBook Air, l’autonomie du Dell XPS 13 (2015) est très correcte. Lors de notre test de lecture vidéo en boucle, la machine de Dell a tenu sept heures, ce qui est sensiblement identique à la Surface Pro 3 ou le Spectre X2 d’HP, et 90 minutes de plus que le Yoga 3 Pro.Avec un tel design bord à bord, ses performances et son prix d’attaque à 1200 euros (hors TVA) soit le même niveau tarifaire que le MacBook Pro 13 pouces, le Dell XPS 13 (2015) est une excellente affaire. Dans la pratique, il s’avère facile à utiliser et performant, à recommander sans hésitation !

Microsoft a lancé il y a quelques jours la Surface 3, une version allégée de la Surface Pro 3. Son écran est plus petit (10,8 pouces au lieu de 12) et elle est globalement moins puissante (processeur, mémoire vive), mais Microsoft dégaine le même argument : entre tablette et PC, pourquoi choisir ? Le géant informatique destine ce modèle à un public dont les besoins informatiques sont limités à la bureautique, la navigation Internet et le multimédia. Son prix est plus raisonnable, mais à 599 € minimum sans le clavier, il reste élevé au regard de ce que propose la concurrence. Voici nos premières impressions.

Depuis la prise en main de cette tablette, nous avons testé en laboratoire la Surface 3 de Microsoft.
La vaste campagne publicitaire à laquelle il s’adonne pour vanter les mérites de sa nouvelle tablette traduit ses ambitions : avec la Surface 3, Microsoft veut séduire le grand public. Pour y parvenir, le géant informatique propose une version allégée de sa Surface Pro 3. La première différence est immédiate : l’écran de la nouvelle tablette est plus petit, il passe de 12 à 10,8 pouces (soit de 32,5 à 25,4 cm). La Surface 3 est plus légère, tant au niveau de son poids (622 grammes au lieu de 800) que de ses caractéristiques. Elle intègre un processeur moins puissant (Intel Atom X7) et moins de mémoire vive (2 ou 4 Go). Ce qui provoque des ralentissements, voire des bugs, lorsque plusieurs programmes sont ouverts simultanément (écran figé, problèmes d’affichage, manque de réactivité . Et contrairement à ce que sous-entend Microsoft dans son spot publicitaire, la Surface 3 n’est pas conçue pour jouer, en tout cas pas à des jeux trop gourmands (jeux 3D par exemple). Pas de problème pour jouer à des jeux de simulation « simples » (avion, voiture, etc.).

La Surface 3 est déclinée en deux versions, avec 64 ou 128 Go de stockage (dont 30 Go environ occupés par le système !), vendues respectivement 599 et 719 €. Microsoft prévoit de lancer les mêmes modèles intégrant un port de carte SIM pour se connecter à Internet via les réseaux 4G (après souscription à une offre d’un opérateur mobile). Les prix ne sont pas encore annoncés, mais on peut tabler sur une centaine d’euros supplémentaires pour cette option.
Ces prix s’entendent pour la tablette seule. Même si, dans sa publicité, Microsoft présente la Surface 3 avec clavier et stylet, ces accessoires sont vendus séparément. Le clavier « Type Cover » (il sert de protection à l’écran lorsqu’il est rabattu) est vendu 150 €, un tarif assez élevé, surtout qu’il est très bruyant à l’usage. Pour le stylet, comptez 50 €. Lui n’est pas indispensable, mais les utilisateurs qui ont besoin de prendre des notes ou de dessiner apprécieront sa précision et les options proposées (épaisseur de trait, couleurs, mais aussi raccourci pour faire une capture d’écran ou ouvrir le logiciel de prise de note). Notez d’ailleurs que Microsoft a équipé la tablette d’une technologie qui permet de poser la paume de la main sur l’écran quand on écrit, exactement comme sur un cahier. Quoi qu’il en soit, pour vous offrir « la tablette qui remplace votre ordinateur », comme Microsoft la présente dans sa pub, il faudra donc dépenser 749 € minimum. Un niveau de prix qui l’éloigne des meilleures tablettes tactiles (Samsung Galaxy Tab S 10.5, iPad Air 2…) et se rapproche sérieusement des performants ultrabooks, notamment de modèles plus compétitifs comme les Samsung ATIV Book 9 Lite (750 &euro ou Asus Zenbook UX305FA (790 &euro . La Surface 3 garde toutefois un avantage sur ces PC en termes de poids, puisqu’avec son clavier, elle atteint 880 grammes, moins que les 1,46 kg du Samsung et 1,2 kg de l’Asus. Nos tests en laboratoire départageront leurs performances, et permettront d’évaluer l’autonomie de la tablette. Microsoft promet jusqu’à 10 heures en lecture vidéo, mais il est permis d’en douter. Pour la Pro 3, là où le fabricant annonçait jusqu’à 9 heures de navigation Internet, nous n’avons pas pu dépasser 5h24 !
DES FINITIONS SOIGNÉES, MAIS…

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July 21, 2016

Akku Dell M5701

Bislang gebe es allerdings noch ein paar Hürden zu überwinden, bis die Technologie marktreif sei, so Cui. Derzeit werden die möglichen Kosten berechnet. Cui hat das Patent auf die Technologie angemeldet und denkt über die Gründung einer Firma oder zumindest Vereinbarungen mit Akku-Herstellern nach. Wann die ersten kommerziell produzierten Akkus mit zehnfacher Lebensdauer auf dem offenen Markt zu erwarten sind, ist daher unklar. Cui sprach in diesem Zusammenhang von "mehreren Jahren".

Den Akku von null auf 70 Prozent in zwanzig Minuten aufladen: Der für seine Smartphone-Prozessoren bekannte Hersteller MediaTek hat auf der Computex 2016 eine neue Technologie vorgestellt. Mit "Pump Express" 3.0 soll das Laden wesentlich schneller vonstattengehen als aktuell üblich.

Die Technologie namens Pump Express 3.0 soll zunächst exklusiv dem neuen Chipsatz Helio P20 vorbehalten sein, berichtet CNET. Doch auch in nachfolgenden Smartphone-Chipsätzen von MediaTek wird die Technologie voraussichtlich zum Einsatz kommen. Demnach werden es vor allem Android-Smartphones sein, deren Akku damit in kürzester Zeit mit neuer Energie versorgt werden kann – laut Hersteller bis zu zwei Mal so schnell wie mit derzeit erhältlichen Lade-Technologien.

Wie MediaTek in einer Pressemitteilung bekannt gibt, soll Pump Express 3.0 bei einer Ladezeit von fünf Minuten bis zu vier Stunden Gesprächszeit für Smartphones ermöglichen. Es sei die erste Lösung im Bereich der Schnellladevorrichtungen, die ein direktes Laden über einen USB-Port Typ-C ermöglicht. Der Ladekreislauf würde umgangen, um den Akku direkt mit neuer Energie zu versorgen – ohne dass die Gefahr der Überhitzung bestünde.

Der Vorgänger der neuen MediaTek-Technologie, Pump Expres 2.0, wird von einigen großen Smartphone-Herstellern wie Sony, Meizu und Lenovo verwendet. Demnach ist es wahrscheinlich, dass auch Pump Express 3.0 in zukünftigen Smartphones und Tablets dieser Hersteller zu finden sein wird. Erste Geräte, die davon profitieren, sollen Ende 2016 auf den Markt kommen. MediaTek ist allerdings auf diesem Gebiet nicht alleine: Oppo hat eine vergleichbare Technologie entwickelt, mit der ein Akku innerhalb von 15 Minuten voll aufgeladen werden kann.
Größere Tablets eignen sich zwar wunderbar für Enter- und Infotainment. Sie versagen aber, sobald es um die professionelle Erfassung von langen Texten geht, schnelle Hardware-Schnittstellen oder Leistung benötigt werden. Hier dominieren klar die Ultrabooks. Doch dafür sind diese schwerer, dicker und ungeeignet, wenn Sie gerne mit einem Stift Dokumente bearbeiten oder kreativ sein wollen. Die Lösung für dieses Dilemma sind Detachable-Ultrabooks (manchmal auch als Hybrid-Notebook bezeichnet), die seit Microsofts Surface Pro 4 wieder mehr in den Fokus der Öffentlichkeit gerückt sind. Bei diesen Mischlingen können Sie das Display beziehungsweise das Tablet vom Tastaturteil abtrennen (englisch: detachable) - flexibler geht es kaum.

Ein Gedanke, zwei Designs
Die Designer konnten allerdings nicht alle Stärken der Tablets und der Ultrabooks in einem Gerät vereinen. So entstanden zwei parallele Designs, die mal mehr Tablet-, mal mehr Ultrabook-DNA in sich tragen. Zu den Ersteren zählen zum Beispiel das Microsoft Surface Pro 4 und das HP Spectre X2. Sie sind besonders stylish, dünn, und ihre magnetisch anhaftende Tastatur erinnert mehr an eine Schutzhülle als an ein konventionelles Eingabegerät. Entsprechend wenig Platz bleibt für einen ausdauernden Akku und im Falle des Surface Pro 4 auch für Schnittstellen.

Dagegen verfolgen das Toshiba Portégé Z20t-B-11P und das Lenovo ThinkPad Helix 2 mehr den Ultrabook-Ansatz. Sämtliche Leistungskomponenten und der Massenspeicher stecken zwar auch hier im Tablet, der Tastaturteil bietet jedoch genug Platz für ein herkömmliches Keyboard, Touchpad, zusätzliche Schnittstellen und einen zweiten Akku. Dafür sind diese Modelle deutlich dicker und schwerer. Im Vergleichstest zeigt sich jedoch, dass die unterschiedlichen Designs speziell in einem Punkt zwar messbar, in der Praxis aber gar nicht so weit auseinander liegen: nämlich bei der Leistung. Der Grund hierfür sind die im Vergleich zu Notebooks oder Ultrabooks recht schwachen Prozessoren.

Da sie im dünnen Tablet-Teil untergebracht sind, dürfen CPUs bei Detachables nur wenig Abwärme erzeugen. Denn für eine aktive (hörbare) Kühlung fehlt meist sowohl der Platz als auch das Verständnis der Anwender. Entsprechend taugen Detachable-Ultrabooks prinzipiell nur als Produktivitätswerkzeug im Office, zum Internetsurfen und zur Medienwiedergabe. Lediglich die stärkeren Modelle sind stark genug für einfachere Spiele und etwas Grafikbearbeitung. Dies geht aber zulasten der Laufzeit. Im Endeffekt sind Detachable-Ultrabooks zwar näher an der eierlegenden Wollmilchsau dran als alle früheren Versuche, die perfekte Lösung sind sie aber immer noch nicht.

HPs exzellent verarbeitetes Spectre X2 (12-a001ng) ist die direkte Konkurrenz zum Microsoft Surface Pro 4. Mit seinem acht Millimeter dünnen, abgerundeten Aluminiumgehäuse, dem stabilen Edelstahlständer und dem 12-Zoll-Touch-Display sieht das HP-Detachable ihm auf den ersten Blick recht ähnlich. Ein genauerer Blick offenbart jedoch schnell gravierende Unterschiede, wie zum Beispiel das helle, aber nur in Full-HD auflösende Display (192 ppi). Beim Arbeiten fiel uns das aber kaum auf. Zum Lieferumfang jedes Spectre X2 gehören ein sehr gut funktionierender Active-Styles-Stift (Wacom-kompatibel) und eine für diese Notebook-Klasse beeindruckende Aluminium-Tastatur mit Beleuchtung, eingebauten Lautsprechern (B&O-Technik) und sehr großem Touchpad. Sie lässt sich magnetisch andocken und bietet einen sehr hohen Schreibkomfort. Nur in angewinkelter Position gibt sie zur Mitte hin minimal nach.

Intel RealSense und zweimal USB 3.1
An Schnittstellen bietet das Spectre X2 fast alles: Von LTE, NFC, Bluetooth und WLAN-ac bis hin zum microSD-Kartenleser und zweimal USB 3.1 Typ-C ist fast alles vorhanden - nur Videoein- oder -ausgänge fehlen. Warum aber die rückseitige 8-MP-Kamera die Intel-RealSense-3D-Technologie besitzt und nicht die 5-MP-Kamera in der Front, erschließt sich uns nicht. Für die Leistung sorgen ein Intel Core M3-6Y30 der aktuellen Skylake-Generation und eine M.2-SSD mit 256 GByte Speicherplatz, aber nur 4 GByte Arbeitsspeicher.

Der ausklappbare Ständer aus Edelstahl sieht zwar filigran aus, hält das Tablet aber stabil in Position.
Im Prinzip reichen die für Windows 10 Pro aus, 8 GByte wären aber performancefreundlicher gewesen. Aber auch so erweist sich das Spectre X2 in diesem Vergleichstest als zweitschnellstes Exemplar, allerdings mit viel Rückstand zum führenden Surface 4 Pro. Die 4.511 Punkte im 3DMark CloudJetzt 1 Monat Save.tv gratis testen! Gate bestätigen, dass Sie auf dem Spectre X2 anspruchslose Spiele und Browser-Games spielen können.

Lesetipp: Laptop kaufen – darauf müssen Sie achten?Mit 4.471 Punkten im PCMark 7 und 2,24 Punkten im Cinebench R11.5 taugt es gut für den Office-Einsatz. Am guten PCMark-7-Wert hat natürlich die flotte SSD mitgewirkt. Ihre Leserate von 475,1 MByte/s liegt auf einem für M.2-SATAIII-SSDs guten Niveau. Im Laufzeittest schneidet das 1,2 Kilogramm schwere Spectre X2 deutlich besser ab als das leichtere Surface 4 Pro. Der 42-Wh-Akku im Spectre genügte in unserem Akkutest für satte 4:19 Stunden.

Wem auch ein Full-HD-Display reicht, der bekommt mit dem HP Spectre X2 (12-a001ng) ein toll ausgestattetes und extrem hochwertiges Detachable, inklusive sehr gutem Preis-Leistungs-Verhältnis.Das Lenovo ThinkPad Helix 2 richtet sich wie das Toshiba Portégé Z20t-B-11P an Business-Anwender. ThinkPad-typisch ist die Verarbeitungsqualität auf einem sehr hohen Niveau. Das beginnt beim mattierten Gehäuse aus einer robusten Aluminium-Kunststoffverbindung und hört bei den sehr strapazierfähigen Scharnieren des Ultrabook Pro Keyboards noch lange nicht auf. Die beleuchtete und spritzwassergeschützte Tastatur, das Glas-Touchpad und der Trackpoint funktionieren hervorragend. Außerdem liegt dem ThinkPad Helix 2 ein aktiver Digitizer (Wacom) bei. Mit ihm lässt es sich auf dem mit Gorilla-Glas geschützten 11,6-Zoll-Touch-Display (Full-HD) sehr präzise schreiben.

Perfekte Business-Ausstattung
Drücken Sie auf den seitlichen Arretierungsknopf, trennen Sie das Tablet vom Tastaturdock. An Schnittstellen stehen Ihnen dann ein Kopfhöreranschluss, ein Mini-HDMI-Ausgang, ein USB-3.0-Port, die SIM- und microSD-Karten-Slots zur Verfügung. Bis auf den Videoausgang sind alle mit Klappen vor Dreck und Spritzwasser geschützt. Funktechnisch ist das ThinkPad Helix 2 mit allem ausgerüstet, was der Business-Anwender benötigt: WLAN-ac, LTE, Bluetooth, NFC. Für eine bessere Administrierbarkeit und Sicherheit sorgen Intels vPro-Plattform und ein Fingerabdruckleser.

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Akku Dell PR002

Hier findet Ihr die Option "Energiesparmodus" und könnt diese mit dem virtuellen Schalter aktivieren. Außerdem habt Ihr die Möglichkeit, dort selbst zu bestimmen, bei welchem Ladestand das Galaxy S7 in den Energiesparmodus versetzt wird. In dieser Betriebsart wird beispielsweise der Prozessor heruntergetaktet, um Ressourcen zu sparen.

Eine besonders schnelle Möglichkeit, um den Akku des Galaxy S7 zu entlasten, ist der integrierte Notfallmodus. Dieser sorgt dafür, dass alle unnötigen Stromverbraucher abgeschaltet werden, um die verbleibende Akku-Energie so effizient wie möglich auszunutzen. Zum Aktivieren des Notfallmodus drückt Ihr einfach den Ein/Aus-Schalter Eures S7, bis ein Menü erscheint. Dort tippt Ihr auf den Button "Notfallmodus".

In dieser Betriebsart wechselt das Galaxy S7 in der Darstellung des Bildschirms auf Grautöne, schaltet bis auf Mobilfunk alle verzichtbaren Funkschnittstellen ab und beendet bis auf einige wenige Programme alle Anwendungen. In diesem Modus stehen Euch außerdem nützliche Funktionen zur Verfügung, mit denen Ihr beispielsweise Euren Standort mit einer Handbewegung per SMS oder ein Notsignal senden könnt. Den Notfallmodus könnt Ihr übrigens wieder so verlassen, wie Ihr ihn eingeschaltet habt: Einfach die Einschalttaste so lange drücken, bis das entsprechende Menü erscheint und die Option "Notfallmodus deaktivieren" auswählen.

In den "Einstellungen" könnt Ihr mit dem "Smart Manager" Euer Galaxy S7 mit einer Berührung optimieren und nicht benötigte Apps entfernen lassen
In den "Einstellungen" lässt sich unter dem Menüpunkt "Akku" der "Energiesparmodus" aktivieren
Beim längeren Druck auf die Einschalttaste des Smartphones erscheint ein Menü, in dem Ihr über den "Notfallmodus" den Akkuverbrauch auf ein Minimum reduziert
Gegenwärtige Laptops werden nicht nur effizienter, auch die Akkutechnologie schreitet voran. Wo wir jetzt stehen, zeigt sich schon an den aktuellen Laptops im Outdoor-Bereich. Wir wagen einen Blick in die IT-Kristallkugel.
Laptops, deren Akkus erst nach 18 Betriebsstunden schlappmachen, sind schon auf dem Markt. Denn Prozessoren schrumpfen und der doppelt effiziente Akku steht schon kurz bevor. Den Trend hin zu noch langlebigeren Notebooks kann man erstmals an den kommenden Outdoor-Laptops mit Militärstandards beobachten. Die dicken Gehäuse erlauben der speziellen Geräteklasse die Aufnahme leistungsstarker Zusatzakkus, die im Zweigespann bis zu 27 Stunden Betriebsdauer ermöglichen.

Die Gehäuse der sogenannten Rugged-PCs sind meist aus kratzfesten Materialien wie Magnesium gefertigt und überleben Stürze aus mehr als 70 cm Höhe. Zusätzlich kommen in der Regel Scharniere aus Stahl zum Einsatz. Getac, einer der Hersteller, spricht bei seinem neusten «B300» sogar von 30 Stunden Betriebszeit, wenn zwei Akkus im Einsatz sind. Auch Dell gibt für seine neusten Workstation-Noteboooks der XPS-Serie (bei zwei Batterien) eine Laufzeit von bis zu 22 Stunden an. Vor zwei Jahren noch hätte man bei dieser Geräteklasse bestenfalls an eine Maximalleistung von 15 Stunden denken können. Ein kompaktes Toughbook mit einer 13,3-Zoll-Diagonalen mag sich mit seinen 3,7 kg dennoch schwer anfühlen. Kostenpunkt der gepanzerten Mobilrechner: bis zu 6000 Franken.

Nicht zuletzt spielen die immer effizienter werdenden Prozessoren eine Rolle. Sowohl AMD als auch Intel reduzieren gerade die Grösse ihrer Prozessoren auf 14 Nanometer und packen immer mehr Cores mit rein. Schon jetzt ist ein Core-M-Motherboard kleiner als eine Zigarettenschachtel, der Prozessor selber ist gegenüber dem Haswell-Vorgänger um 37 Prozent geschrumpft. Das alles lässt den Notebook-Herstellern natürlich mehr Platz für Komponenten. Flash-Speichermodule mit immer grösseren Kapazitäten werden zudem preislich attraktiver und tragen gegenüber rotierenden Magnetfestplatten zu längeren Akkulaufzeiten bei. Glaubt man AMD, sollen PC-Prozessoren bis zum Jahr 2020 bis zu 25 Mal effizienter werden. Wenn das zutrifft, dauert es nicht mehr lange, bis ein Akku 50 Stunden leistungsbereit sein könnte.
Anfang des Jahres hat Samsung auf der Consumer Electronics Show (CES) in Las Vegas das neue 12 Zoll große Galaxy TabPro S vorgestellt. Seit dem 29. Februar ist das Windows-10-Tablet, das mit dem sogenannten Book Cover Keyboard ausgeliefert wird, auch hierzulande ab gut 1.000 Euro erhältlich. Ob das Galaxy TabPro S das Zeug zum mobilen Notebook-Ersatz hat, zeigt der folgende Test von inside-handy.de.

Mit dem Galaxy Tab S hat Samsung im Sommer 2014 erstmalig ein hochwertiges und technisch in der Oberklasse angesiedeltes Tablet auf den Markt gebracht. Ein Jahr später folgte das noch etwas edler wirkende Galaxy Tab S2 und Anfang des Jahres auf der CES in Las Vegas nun das Galaxy TabPro S, der sich wie der Name schon anteasert, an professionelle Anwender richtet.

Von den gewählten Materialien bewegt sich das Galaxy TabPro S in der Highend-Klasse: Mit nur 6,3 Millimetern ist es für ein 12-Zoll-Tablet sehr dünn und mit 693 Gramm auch entsprechend der Größe noch relativ leicht und handlich. Vom Design erinnert sehr viel an die Galaxy S6/S7-Serie. Zum einen wäre da der Metallrahmen, aber auch die doch sehr stark aus dem Gehäuse hervorstehende Kamera auf der Rückseite. Die Rückseite ist nicht aus Metall, sondern aus einem sehr hochwertig anmutenden Kunststoff gefertigt.

Alles rund um die Featured-News gibt's hier Der 3D-Drucker für die Hosentasche So erlebst Du die Welt in 360° Jetzt kostenlose CallYa Prepaid-Karte sichern! Giga-Speed 4G|LTE Max für alle mit dem iPhone SE Mit LTE-Highspeed auch zuhause schnell surfen Forscher der amerikanischen Stanford-Universität haben eine Entdeckung gemacht, mit der Laptop-Akkus statt vier Stunden wie bisher bald 40 Stunden halten könnten. Die aufladbaren Lithium-Ionen-Akkus enthalten zusätzlich Silizium und können dadurch um das Zehnfache mehr Ladung speichern.

Entwickelt wurden die neuen Akkus vom Assistenz-Professor Yi Cui und einigen Kollegen im Bereich Material- und Ingenieurwissenschaften an der Stanford-Universität. Cui zu der gemeinsamen Forschungsarbeit: "Das ist keine kleine Verbesserung, das ist eine revolutionäre Entwicklung." Und die ist folgende: Die Forscher haben einen Weg gefunden, Siliziumdrähte so in aufladbaren Lithium-Ionen-Akkus einzusetzen, dass diese bis auf das Zehnfache mehr aufgeladen werden können. Lithium-Ionen-Akkus kommen derzeit in Laptops, Handys, iPods oder Digitalkameras zum Einsatz.

In der Zeitschrift "Nature Nanotechnologie" veröffentlichten Cui und die restlichen Forscher eine Dokumentation zur ihrer Forschungsarbeit. Dort erläutert Ciu, dass die Leistungssteigerung der Akkus durch den Einsatz von Siliziumdrähten als Bestandteil der Anode erreicht wird. Laut Dokumentation haben Silizium-Anoden theoretisch die höchste Lade-Kapazität und eignen sich dadurch eigentlich sehr gut für Akkus. Dieser Umstand ist schon seit langem bekannt. Allerdings hat das Material Eigenschaften, die es für den Einsatz unbrauchbar machen: Silizium dehnt sich aus, wenn es geladen wird und schrumpft bei Gebrauch wieder zusammen. Dieser Kreislauf sorgt für eine langsame Pulverisierung des Siliziums und damit wird die Lebensdauer des Akkus deutlich verringert.

Das Geheimnis des neuen Akkus: Das Silizium wird nicht als Film oder als einzelne Partikel in den Lithium-Ionen-Akku eingebracht, sondern in Form von Drähten. In dieser Form kann sich das Silizium ausdehnen und zusammenziehen, ohne Schaden zu nehmen. Das Geheimnis des neuen Akkus: Das Silizium wird nicht als Film oder als einzelne Partikel in den Lithium-Ionen-Akku eingebracht, sondern in Form von Drähten. In dieser Form kann sich das Silizium ausdehnen und zusammenziehen, ohne Schaden zu nehmen.
Dieses bekannte Problem haben Cui und seine Kollegen umgangen, indem sie eine neue Art von Silizium-Anode entwickelt haben. In dieser Anode ist das Lithium des Akkus in unzähligen winzigen Silizum-Drähten eingefasst. Jeder dieser Drähte ist etwa so klein wie ein Tausendstel der Dicke eines Blatt Papiers. Die Drähte dehnen sich bis auf das Vielfache ihrere Größe aus, wenn sie das Lithium aufnehmen, aber sie brechen dadurch nicht. Durch die Anordnung und die Formung zu Drähten kann sich das Silizium ausdehnen und wieder zusammenziehen, ohne dadurch die Struktur zu zerstören.

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July 20, 2016

Batterie Asus p43e

This new program extends eligibility to everyone not covered by other RSU programs, effectively making everyone who works at Apple eligible for an RSU grant. This is an unusual step, and very special — just like our team.Please check HRWeb for details on this new program.At Apple, our most important resource — our soul — is our people. Along with our many progressive benefit plans, this is another way for us to say thanks. On behalf of the Executive Team, I’d like to thank you for your many contributions to Apple. Working with all of you is the privilege of a lifetime.
L'ÉTUDE SANTÉ DU JOUR – Le nombre de notifications envoyées sur les smartphones a explosé en quelques années. D'après les conclusions d'une étude, la distraction causée par les sons et les vibrations de ces messages d'alerte ont pour effet de nous faire commettre trois plus d'étourderies.

Nous regardons en moyenne 150 fois par jour l'écran de notre smartphone.Nous regardons en moyenne 150 fois par jour l'écran de notre smartphone. Graeme Roy/AP/SIPA Photo:
Il y a celles qui reproduisent un tintement de verre, les premières notes d'un opéra, le cui-cui d'un oiseau, ou bien encore un vrombissement d'un paquebot. En quelques années, les messages d'alerte sur les smartphones ont envahi notre quotidien, pour le pire et le meilleur. On sait aujourd'hui que nous regardons en moyenne 150 fois par jour l'écran de notre smartphone.

Entre les messages d'alerte des sites d'informations, les messages Facebook ou encore celles de vos jeux, cela représente près d'une notifications toutes les six minutes au cours de la journée. Et les effets sur notre concentration d'être anodins. A en croire les conclusions d'une étude menée par des chercheurs de l'université d'État de Floride, la perte d'attention que causent les notifications est la même que celle d'un appel téléphonique, et cela même si vous l'ignorez !

â–º Méthodologie : un test d'attention mené auprès de 150 étudiants américains
Les trois scientifiques de l'université d'État de Floride ont demandé à 150 étudiants américains de passer un test pour évaluer leur niveau d'attention. Pour cela, les participants devaient observer une série de chiffres sur un écran d'ordinateur. Et toutes les secondes, un nouveau numéro apparaissait sur l'écran. Les cobayes devaient appuyer sur le clavier à chaque fois que le chiffre changeait, sauf lorsque c'était le nombre 3. Sans que les étudiants le sachent, les scientifiques les ont répartis en trois groupes : ceux qui ont reçu des appels, ceux qui ont reçu des texto et ceux qui n'ont pas été dérangés. Les appels et les textos étaient envoyés par les chercheurs.

â–ºCe que l'étude a montré : trois fois plus de bourdes que les autres
D'après les résultats de l'étude, le simple fait de recevoir une notification "push" sur son smartphone distrait autant que de répondre à un message texte ou un appel téléphonique. Même si la personne n'y prête pas une attention particulière. Les étudiants qui avait reçu des messages d'alerte ont fait trois plus de fautes que ceux qui n'en ont pas reçu lors du test. Les pires scores étaient ceux des participants qui avaient reçu des appels (sans même y répondre). Leur conclusion : il suffit d'entendre une sonnerie ou une vibration sur son smartphone pour perdre sa concentration.

â–º Ce que cela va changer : apprenez à vous déconnecter
En attendant la démocratisation des smartwatch, dont les effets sur l'attention ne devraient évidemment rien arranger à l'affaire, il est peut être temps de prendre de bonnes habitudes. La plupart des smartphones proposent aujourd'hui de définir la période pendant laquelle vous souhaitez recevoir des messages d'alerte sur votre téléphone. D'autant que toutes ces notifications réduisent l'autonomie de votre smartphone en utilisant la batterie. En outre, on peut imaginer les dangers que cela peut provoquer lorsqu'on est au volant. Un dernier conseil pour la route : apprenez à vous déconnecter !

Le clavier à des petites touches très espacées. On y trouve les caractères accentués et tout ce qu’on trouve sur un clavier d’ordinateur, avec bien sûr des fonctions spécifiques pour l’iPad, comme le bouton « home« , 2 touches pour sélectionner les caractères précédents ou suivants, lancer le diaporama…

Entouré en rouge, le bouton d’allumage
Au niveau de la frappe, j’ai l’impression qu’il faut taper « relativement fort », par rapport au clavier virtuel avec lequel je suis totalement habitué, mais c’est juste une question d’habitude. Ce qui me gêne le plus c’est que les touches sont trop petites pour mes gros doigts ! C’est en cela que je trouve le clavier virtuel plus pratique 😉Même si le clavier est amovible, il est difficile de voir l’iPad dans sa fonction ludique ! Placé de cette manière avec ce clavier, on pense tout de suite à un MacBook, enfin, à un ordinateur portable !Bon, c’est tout de même la bonne position pour regarder des films !Il est évident que pour utiliser ce clavier il faille être assis à une table ou un bureau. Encore une fois le côté sérieux se fait sentir.

Bien que ce soit agréable et pratique pour mes mails ou pour taper mes articles, je dois impérativement me mettre sur une table pour pouvoir le faire. Alors qu’en temps habituel, je tape mes articles assis sur un fauteuil ou la nuit dans mon lit. Ici avec le clavier il faut absolument être sur une table ou un bureau… Je trouve qu’on perd un peu le côté sympa et décontracté de la frappe sur l’écran pour le sérieux du bureau !

Un bricoleur connu sous le nom de Wermy vient de publier une vidéo sur YouTube où il présente une version revisitée de la console portable Game Boy lancée par Nintendo en 1989. La première chose visible, c’est l’intégration de deux boutons supplémentaires. En ouvrant la trappe à l’arrière, on trouve une batterie Lithium-Ion que l’on pourra recharger en Micro-USB et un circuit Raspberry Pi. À l’allumage ensuite, l’affichage monochrome a laissé la place à un affichage couleur.

Avec cette console, on pourra rejouer aux hits Game Boy, mais aussi Game Boy Advance, Nes, Super Nes ou Mega Drive. Les jeux seront stockés sur une carte MicroSD à glisser dans un convertisseur MicroSD/SD intégré dans une cartouche Game Boy et chargés grâce à l’émulateur Emulation Station. À noter qu’un port Mini-HDMI a été prévu pour afficher le contenu sur un écran d’ordinateur ou un téléviseur.

La i3, petite citadine électrique signée BMW, c’est l’assurance de se faire remarquer dans la rue, surtout dans sa livrée orange et noire. Un comble pour une voiture électrique qui émet zéro émission et zéro bruit. Cette stricte quatre places détonne par son design qui rompt avec la tradition BMW. Mais une fois à son volant, on tombe vite sous le charme de cette puce des villes qui cache bien son jeu avec un moteur électrisant. Une petite revue de détail s’impose.

« Stream Flow », c'est le terme utilisé pour le nouveau design caractérisant les BMW i3 et i8 ; le second véhicule étant radicalement opposé à la i3 puisque qu'elle fait partie du club très fermé des supercars ou voitures hyper sportives en version électrique. Comment décrire la i3 ? Ce n'est pas un cube auquel on aurait ajouté quatre roues. La i3, c'est un concept devenu réalité avec un large habitacle aéré sans montant central. Elle donne presque l'impression d'entrer dans un loft. Effet accentué par la présence de portes antagonistes s'ouvrant en grand telles deux portes-fenêtres. Nul besoin de rabattre les sièges avant pour grimper à l'arrière. Une fois à bord, un sentiment de zénitude s'empare de nous. C'est presque un deuxième chez soi où l'on prend le temps de profiter en faisant abstraction de la folie automobile qui nous entoure, surtout quand on circule à Paris !

Après cette mise en bouche enflammée, examinons plus en détail cette surprenante i3. Avec ces 3,99 m de longueur, la i3 boxe bien dans la catégorie des compactes. Elle est même petite par rapport à ses concurrentes déclarées que sont la Nissan Leaf (4,4 m), la VW eGolf (4,19 m) et la Renault ZOE (4,08 m). Son volume de coffre de 260 l (plutôt petit) atteint les 1100 l une fois la banquette passagers rabattue. À l'avant, sous le capot, un petit espace de rangement accueille un petit sac de voyage en plus du câble de recharge domestique.

BMW-i3-coffre-avant-WEB.jpg À l'avant se loge la prise de recharge domestique. Il reste un soupçon de place pour un petit sac de voyage.Installé confortablement à bord, pied sur le frein, on presse le contact situé sur un bloc faisant office de boîte de vitesses, elle-même installé derrière le volant. La i3 est une pure automatique. Comme toutes les voitures électriques, rien n'indique que le moteur est en route hormis l'écran de contrôle positionné juste derrière le volant, s'illuminant tel un sapin de Noël. D'ailleurs, ledit écran mériterait d'être surélevé car la partie supérieure du volant le masque un peu.

Fini le tableau de bord tourné vers le conducteur, place à la planche de bord totalement droite. Le petit écran faisant office d'ordinateur de voyage est partiellement caché par le volant.Les personnes qui ne sont pas adeptes de la boîte automatique risquent d'être un peu déroutées par les passages de vitesses. Et pourtant, il n'y a rien de plus simple : saisissez le bloc d'une main, faîtes le pivoter sur la position D (Drive) et retirer le frein à main électrique. La i3 se met en mouvement dans un silence total. Rien ne filtre dans l'habitacle. Le moteur électrique (capacité de 18,8 kWh) placé sur l'essieu arrière délivre une puissance de 125 kWh, soit 170 CV. Les watts répondent présents puisque BMW annonce une vitesse maximale de 150 km/h et un 0 à 100 km/h abattu en 7,2 secondes, soit autant qu'une Mini Cooper S. C'est la meilleure de sa catégorie. Nous n'avons pas eu le plaisir de vérifier cette donnée, mais nous avons pu apprécier sa vivacité à chaque démarrage dès que le feu tricolore passait au vert.

BMW-i3-boiteautoWEB.jpg Automatique, la boîte de vitesse se situe au volant. Il suffit de basculer le sélecteur sur l'action désirée.Il va de soi qu'à ce rythme la batterie ne peut tenir longtemps malgré une autonomie de 130 à 200 kilomètres annoncée par le constructeur. Dans la réalité, nous avons parcouru 121 kilomètres sur deux jours à une vitesse moyenne de 30 km/h. La consommation électrique s'est établie quant à elle à 16,9 kWh, bien loin des 12,9 kWh annoncés. Mais à aucun moment nous n'avons ressenti l'angoisse de la panne sèche. Et pour cause, notre modèle de i3 était doté d'un « prolongateur d'autonomie » qui prend la forme d'un moteur bicylindre de 34 CV (issu de la branche moto de BMW) accompagné d'un minuscule réservoir de 9 litres. Cet ensemble alourdit la voiture de 120 kg (1315 kg contre 1195 kg sans lui). Sa fonction : servir de groupe électrogène à la batterie électrique lorsque l'autonomie tend vers la panne sèche. Grâce à lui, on bénéficie d'une autonomie supplémentaire de 150 kilomètres. Cela s'avère bien utile lorsque l'on se trouve en rase campagne.

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Batterie Asus a83u

mère de YeshnaAsha, la mère de Yeshna: « Ma fille et moi étions les meilleures amies »
Le jeudi 25 février. C’est le jour où elle a parlé à Yeshna pour la dernière fois. Et Asha Rughoobin s’en souvient encore.« Je l’ai appelée. C’est elle-même qui a décroché. Je lui ai demandé si son frère et elle se portaient bien. Elle m’a répondu que tout allait bien. »Asha confie lui avoir alors demandé si le temps s’était amélioré, vu qu’il pleuvait à Maurice. Elle lui a ensuite posé des questions sur ses études. Conversation qui aura duré une bonne quinzaine de minutes. « On rigolait beaucoup. Elle était joyeuse. Yeshna et moi étionsles meilleures amies. J’ignorais que c’était la dernière fois que j’entendais sa douce voix.Elle était la lumière de la famille. »

Asha explique qu’elle doit à présent prier pour son fils, qui est à l’hôpital. « Mo lamin drwat inn fini koupe. Pa les mo lamin gos koupe. Aster, priy pou mo garson. Mo pa kone kifer sa garson-la inn bizin touy mo zanfan. Ma fille avait toute la vie devant elle. »Le petit frère a donné sa version à la police
Famille Vikram Les enfants devaient rejoindre leurs parents depuis l’année dernière.
Bien qu’il soit toujours admis à l’hôpital, le frère de Yeshna, âgé de 11 ans, se porte légèrement mieux. Mercredi, il a donné une première déposition aux enquêteurs de la MCIT. Il a dit qu’il ne connaît pas le nom de leur agresseur mais qu’il le connaît uniquement de vue.

Des photos de Yeshna Rughoobin sur le cellulaire du suspect
Yeshna RughoobinBabita, la mère de Tavish, le suspect de 17 ans, a remis le cellulaire de ce dernier aux enquêteurs de la Major Crimes Investigation Team (MCIT), le week-end dernier. Ceux-ci ont déposé le téléphone à l’IT Unit de la police à des fins d’analyse.Selon nos renseignements, plusieurs photos de Yeshna Rughoobin auraient été retrouvées sur le portable de l’adolescent. L’on n’écarterait pas non plus la possibilité que le jeune homme se les soit procurées sur la page Facebook de l’adolescente.

Autre point relevé : le cellulaire ne contenait pas de SIM Card. Les messages et les appels aussi ont tous été effacés. Il nous revient que le dernier appel que Tavish a fait sur son portable pour contacter Yeshna remonte au 19 février, soit une semaine avant le drame. La police soupçonne qu’il a utilisé un autre cellulaire pour appeler l’adolescente à compter du 19 février.Selon la mère du suspect, il semblerait que vendredi dernier, Tavish avait laissé son cellulaire à la maison avant de se rendre chez les Rughoobin. « J’ai constaté que la batterie de son téléphone était morte. Je ne comprends pas grand-chose à l’informatique. Au contraire, je demandais à mon fils de me montrer comment l’utiliser », confie-t-elle.Elle ajoute qu’elle lui a acheté ce téléphone, qui coûte Rs 13 000, à crédit l’année dernière. « Tavish avait besoin d’Internet pour faire des projets au collège. Comme nous n’avons pas d’ordinateur, je lui ai acheté ce portable pour qu’il puisse faire ses devoirs. »

Une tablette tactile appartenant au jeune homme a aussi été retrouvée au domicile du suspect. C’était lors d’une fouille effectuée par une équipe de la MCIT en présence de Babita. L’appareil informa­tique sera bientôt examiné par l’IT Unit.Par ailleurs, les cellulaires de Yeshna et de sa grand-mère ont également été saisis par la police avant d’être envoyés à l’IT Unit pour y être analysés.Le grand-père « sombre peu à peu dans la dépression » Suresh Rughoobin, l’époux de Reshma, a perdu la joie de vivre. « Mon père a cessé de fumer pendant trois ans. Mais il a recommencé après le double meurtre. Il a l’air de sombrer peu à peu dans la dépression », raconte Vikram.

Pas plus tard que mercredi, dit-il, il a disparu de la maison. « Nous l’avons cherché pendant 45 minutes. Son comportement a changé. Il ne parle presque plus. »Par ailleurs, Vikram ne cache pas sa colère envers des internautes. « Certains ont posté des commentaires désobligeants sur ma fille sur Facebook sans savoir de quoi il en retourne. Ma fille n’a aucune relation avec son agresseur et elle a été tuée de manière atroce. Je condamne sévèrement cet acte et je souhaite que la police prenne les actions nécessaires contre ces internautes », fulmine Vikram.

Avant d'entrer dans le vif du sujet de l'Internet des objets, et après la série d'écrans Acer Predator, voici un second produit que nous avons découvert dans le cadre de notre tournée à Taïwan. Une startup locale dénommée Serafim nous a effectivement présenté Odin, « la première souris à projection laser du monde »En exposant une frise chronologique des innovations en la matière, Serafim part de l'invention de la souris en 1968, passe par la souris à boule en 1983, puis par la souris à molette, la souris tactile capacitive d'Apple en 2009 et pose son invention immédiatement après.

L'apport du produit Odin est pourtant mineur : l'appareil offre approximativement les mêmes prestations qu'un pavé tactile (touchpad) tel que celui d'Apple, si ce n'est qu'en recourant à la projection il est plus petit et plus léger (40 g). On peut le transporter plus facilement avec son ordinateur portable, auquel on le relie via micro-USB, il ne fonctionne pas sur batterie. Il prend en charge des gestes en multipoint tels que le défilement ou le zoom à deux doigts.

Techniquement, l'appareil projette les délimitations du pavé tactile virtuel à l'aide d'un rayon laser rouge, avec les deux boutons au dessus plutôt qu'en dessous. La détection des mouvements repose quant à elle sur une triangulation avec deux capteurs infrarouges.Financée avec succès sur Kickstarter, la souris à projection laser Serafim Odin est désormais proposée en précommande au prix préférentiel de 70 dollars, livraison comprise, pour une livraison d'ici les prochains jours. Son prix public sera ensuite de 90 dollars.
Pixel C est la première tablette de Google sous Android. Il dispose d’un écran de 10,2 pouces avec une résolution Quad HD de 2560 x 1800 pixels, ainsi qu’une densité de pixels de 308 ppp et est conçu pour être utilisé avec un clavier d’accompagnement qui double également comme un couvercle de protection. La tablette ne remplace pas tout à fait votre ordinateur portable, mais elle pourrait être considérée comme le plus sexy tablette Android sur le marché.

À ne pas confondre avec un modèle de Pixel plus tôt, ce qui est un affublé d’ordinateur portable Chromebook qui coûte deux fois plus cher, le pixel C pèse 517 grammes (deux fois plus que le clavier attaché et est livré dans un boîtier tout en aluminium qui est de 7 mm épais. Il exécute la version 6.0 Android Marshmallow, au moins jusqu’à la prochaine mise à jour. Il est alimenté par le processeur CPU 64 bits octa-core Nvidia Tegra X1 avec un coeur 256 Maxwell GPU intégré. Nvidia affirme que cette puce peut afficher la vidéo 4k à 60 images par seconde, donc si vous pouviez trouver un jeu Android avec ces spécifications, cela pourrait être très impressionnant. Pixel C est livré avec 3 Go de RAM. Il dispose d’un capteur photo arrière de 8 mégapixels et d’une caméra avant de 2 mégapixels. Son stockage est de 32 Go ou 64 Go et disposant d’une batterie non amovible de 9000 mAh.
Bref, comme une tablette autonome, le Pixel C est superbe même si le stockage est un peu limité, mais si vous pouvez vivre avec 32 Go il est bon avec la valeur à 499 euros. Payer un supplément de 169 euros pour le clavier. Le clavier est bien conçu, vous auriez toujours préféré un ordinateur portable avec un clavier pleine taille. Si vous avez besoin d’exécuter des applications Windows, la Surface 3 est légèrement moins chère, même avec le clavier en option, mais rappelez-vous qu’il existe des options encore moins chères comme l’Asus Transformer T100HA.

Cette semaine, nous parlions d’un smartphone LeTV Max 2 abritant un chipset Snapdragon 820 avec 6 Go de mémoire vive. Voici un autre modèle qui entend offrir la même combinaison. Apparu sur la plate-forme de financement participatif Indiegogo, il est proposé par la startup suédoise Symetium, qui espère lever l’équivalent de 1,10 million d’euros.Sous environnement Android 6.0 Marshmallow, ce smartphone de Symetium ( visuels ci-dessus ) veut offrir un écran OLED 5 pouces en 1 920 x 1 080 pixels avec protection Gorilla Glass 4, des capteurs photo 5 / 24 Mégapixels, une mémoire flash 64, 128 ou 256 Go et une batterie 4 000 mAh. Symetium parle d’un modèle haut de gamme qui pourrait être utilisé comme un PC une fois placé dans un dock.

Côté tarifs, la jeune société annonce les équivalents de 620, 710 et 885 euros pour les capacités 64, 128 et 256 Go. Les premiers contributeurs pourront obtenir la version 64 Go pour l’équivalent de 440 euros. Symetium espère pouvoir effectuer les premières livraisons en juillet 2016.Apple vient de mettre en place une opération permettant à tous les employés de bénéficier d'actions gratuites. L'opération, portant le nom de « Restricted Stock Units » (ou RSU) se destinait jusqu'à présent aux seuls cadres dirigeants d'Apple sélectionnés et validés par le Conseil d'Administration. Une attribution de RSU est alors considérée comme une incitation à rester dans l'entreprise.

Cette nouvelle distribution, dévoilée ce jour par l'intermédiaire d'un mail de Tim Cook à destination de tous les employés et destinée à retenir les salariés sur une plus longue période, s'étend donc à l'ensemble des employés.Bien sûr les quantités d'actions disponibles et attribuées ne sont pas dans les mêmes proportions, mais certains employés de l'Apple Care ou des Apple Store ont commencé à bénéficier aujourd'hui de 1000 à 2000$ d'actions, pouvant évoluer avec le temps et ainsi garantir un revenu complémentaire. Le but avoué est de retenir au maximum les employés et de minimiser la fuite des cerveaux...

For many years, we have offered people across the company the opportunity to become shareholders in Apple by participating in the Employee Stock Purchase Plan (ESPP), which makes Apple stock available at a discount that’s exclusive to our employees. Many of you have taken advantage of this program, and I am told we have one of the highest participation rates of any company offering employee stock purchase plans.

In addition to the ESPP, employees in certain roles have been eligible to receive restricted stock units. Each year, the management team recommends eligible employees — typically from our product areas — to receive RSUs as an incentive to continue their important contributions to Apple. Each grant is approved by the Board of Directors.This year, I’m excited to let you know that the Executive Team has created a new program for stock ownership through RSU grants. It’s designed to reach employees who were not previously eligible, including many in our amazing retail and AppleCare teams.

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July 19, 2016

Akku Dell 312-0083

Dabei muss auch Bienas gut informiert sein und das zu Besprechende vor Ort gesehen haben. Einmal im Monat zieht er einen weißen Overall an, nimmt ein Dosimeter mit, ein Messgerät für die Strahlendosis, und begibt sich ins Kernkraftwerk. Das letzte Mal hat er sich ein Bild verschafft von den Zugängen zum Sicherheitsbehälter, der den radioaktiven Block umgibt.

Das Dosimeter schlug bei Bienas noch nie Alarm wegen radioaktiver Strahlung. Bei einem abgeschalteten Kraftwerk ist das Risiko eines gefährlichen Störfalls deutlich geringer als bei einem Reaktor in Betrieb. Die Zerfallswärme sinkt bei einem abgeschalteten Werk vor allem am Anfang rasch ab. Dass es in Brunsbüttel heute zu einer Kernschmelze kommt, ist so gut wie ausgeschlossen. Doch vollkommen sicher ist Brunsbüttel damit noch lange nicht. Die Brennelemente produzieren nach wie vor Wärme, im Kraftwerk befindet sich eine Menge radioaktives Material. Erst 2014 hat man bei einer Kamerainspektion einer Kaverne unter 70 Stahlfässern mit radioaktivem Abfall 18 Fässer mit Rostschäden entdeckt.

Den radioaktiven Abfall mit besseren Trennungsverfahren zu verringern – das war einer der am häufigsten geäußerten Wünsche, als Sascha Gentes vom Cluster Rückbau und seine Kollegen in deutschen Kernkraftwerken nachgefragt haben, mit welcher Forschung sie am meisten helfen könnten. Auch an besseren Betonfräsen werden die Wissenschaftler nun arbeiten. Und ihr Wissen weitergeben. In Fortbildungen für Ingenieure wie Bienas oder auch etwa für Kollegen aus Südkorea. Außerdem hält er am KIT eine Vorlesung über den Rückbau. "Knapp 20 Studenten pro Jahr nehmen daran teil, und bisher haben sie nach dem Studium alle einen Job gefunden", sagt Gentes. Den Großteil der Arbeitgeber stellen dabei nicht die Kernkraftwerksbetreiber. Doch die externen Firmen, die sich auf Rückbau spezialisiert haben und die Kernkraftwerksbetreiber dabei unterstützen, suchen regelmäßig gut geschulte Ingenieure. Ebenso die verschiedenen Gutachter und Genehmigungsbehörden.

An dem Genehmigungsverfahren liegt es auch, dass Bienas noch nicht wirklich beginnen kann mit dem eigentlichen Rückbau: Stilllegung und Rückbau bedürfen der Genehmigung der Aufsichtsbehörde. Das Land Schleswig-Holstein hat noch keine Genehmigung erteilt, der eingereichte Rückbauplan wird noch geprüft. Wann genau die Genehmigung erteilt wird, ist allerdings ungewiss.

Bienas und sein Team haben schon so viel gemacht, wie es eben geht. Sogar das Isolationsmaterial von nicht mehr gebrauchten Rohrleitungen wurde entfernt. Bienas könnte frustriert sein, aber er formuliert es positiv: "Ich sehe voller Erwartung dem ersten Lastwagen entgegen, der Rückbaumaterial wegbringt." Andererseits: Wenn Bienas ein Jahr länger braucht, hat er ein Jahr länger seinen Job in Brunsbüttel.

Weltweit gibt es noch fast 600 Reaktoren, erst 155 von ihnen wurden heruntergefahren. Noch ist Deutschland weltweit das einzige Land, was sich für einen derart zügigen Ausstieg aus der Kernenergie entschieden hat. Doch auch wenn weltweit derzeit mehr als 60 Kernkraftwerke gebaut werden, mittelfristig werden die Katastrophe von Fukushima und der Aufstieg der erneuerbaren Energien die Kernenergie Stück für Stück verdrängen. Auch wenn Bienas’ Arbeit in Brunsbüttel beendet ist, dürfte er deshalb als Rückbauexperte mit jahrelanger praktischer Erfahrung ein gefragter Mann sein.

Wer einen Samsung-Computer nutzt, sollte sich gut überlegen, ob er Windows 10 installiert. Laut Samsung gibt es wegen Treiber-Schwierigkeiten nach wie vor Probleme, auch Kunden klagen. Eine Lösung ist noch nicht gefunden, man arbeitet aber daran.
Zumindest optisch ist der Kindle Oasis keine Überraschung mehr. Im Vorfeld waren bereits einige Bilder im Netz gelandet. Die Specs können sich aber durchaus sehen lassen.

Nachdem die japanischen Amazon-Mitarbeiter den US-Kollegen laut Motherboard wahrscheinlich versehentlich zuvorgekommen sind, spart sich Amazon den ganz großen Aufriss ums neue Lesegerät. Bilder hatte der Ableger aus Fernost schließlich schon Anfang der Woche gezeigt. Was da aufgefallen ist:

Amazon hat das Kindle-Design radikal geändert. Der Bildschirm ist nicht mehr zentriert. Stattdessen gibt es jetzt an einer Seite, je nach dem wie Ihr das Gerät haltet, eine erweiterte Fläche für einen besseren Griff. So soll sich der Oasis noch mehr wie ein echtes Buch anfühlen. Das Gehäuse ist zudem keilförmig. Im Prinzip könnt Ihr Euch den Kindle wie ein MacBook Air im geschlossenen Zustand vorstellen. Dazu soll das Lesegerät 20 Prozent leichter als jeder andere Kindle sein und an der dünnsten Stelle nur 4,6 Millimeter messen.Weitere spannende Zahlen: Der Oasis wiegt in der WLAN-Variante 131 Gramm. Zum Vergleich: Das vorherige Spitzenmodell Voyage bringt 180 Gramm auf die Waage. Um dieses Traumgewicht zu erreichen, hat Amazon auf ein noch dünneres Display zurückgegriffen. An der Auflösung ändert sich aber nichts, der sechs Zoll große Bildschirm zeigt weiterhin 300 Pixel pro Zoll.

Zusätzlich zum Kindle Oasis gibt es eine neue Akku-Hülle, das sogenannte Charging-Cover. Wie das Smart Cover beim iPad haftet es magnetisch am Kindle. Das Cover versorgt den Kindle mit Strom, sobald dessen Akku zu Neige geht. So sollen monatelange Laufzeiten drin sein. Dass der Oasis die im Vorfeld kolportierten 20 Monate schafft, scheint aber unwahrscheinlich. Sonst hätte Amazon diese Zahl stark beworben. Zum vier Gigabyte großen Speicher heißt es schlicht: "Fasst tausende von Büchern." Da sollte also auch die größten Leseratten keine Schwierigkeiten haben.

Mit der Hülle soll der Akku des Kindle Oasis mehrere Monate durchhalten.(© 2016 Amazon)
Den neuen Kindle gibt es als reine WLAN- oder als 3G-Variante ab 289,99 Euro. Super: Ein Charging-Cover ist im Lieferumfang bereits enthalten. An 27. April kommt der eBook-Reader auf den Markt. Er verdrängt allerdings nicht den Voyage sondern ist noch einmal eine Klasse für sich.
Der Discounter Aldi wird in seinen Süd-Filialen ab dem 19. Dezember ein Gaming-Notebook von Medion im Angebot haben. Ein Aldi-Angebot an einem Samstag? Ja. Normalerweise gibt es neue Technik-Angebote immer donnerstags. Nachdem aber die letzten beiden Donnerstage im Dezember auf den 24. und 31. fallen, hat sich Aldi Süd wohl für einen Verkaufsstart an einem Samstag entschieden.

Wir haben das Aldi-Notebook vom 19.12. getestet: Medion P7644 - starkes Aldi-Notebook im Test
Das Notebook trägt offiziell die Bezeichnung Medion P7644, ist allerdings ein Mitglied der Medion Gaming-PC/Notebook-Familien Erazer. Das Erazer-Logo findet sich unter anderem auf der Oberseite der Tastatur.

Zur Ausstattung des Medion P7644 gehört der mit 2,5 Gigahertz getaktete Intel Core i7-6500U. Die Intel-Core-CPU der sechsten Generation (Skylake) ist seit dem dritten Quartal 2015 verfügbar und wird im 14-Nanometer-Verfahren hergestellt. Die CPU besitzt zwei Kerne (vier Threads), 4 Megabyte Intel Smart Cache und erhöht die Taktung bei Bedarf über die Turbo-Boost-Technik auf bis zu 3,1 Gigahertz.

Das Notebook Medion P7644 wird ab dem 19. Dezember bei Aldi-Süd für 899 Euro erhältlich sein, wie von Aldi gewohnt mit einer Garantie von 3 Jahren.Unterm Strich ist das Medion P7644 für diesen Preis und mit dieser Ausstattung ein echtes Schnäppchen. In dem Gaming-Notebook steckt aktuelle Technik, wie ein Blick auf die CPU und den USB 3.1 Typ-C beweisen. Einziger "Schwachpunkt" ist die Grafikkarte, die nicht so recht zu der schnellen Intel-Core-i7-CPU passen will.Das Notebook ist damit spieletauglich, bei anspruchsvolleren Titeln allerdings muss man sich wohl mit mittleren Details zufrieden geben. Weitere Infos zum Notebook selbst finden Sie auch auf dieser Seite,.

Alternative: Wenn Sie auf der Suche nach einem wirklich voll spieletauglichen Notebook mit 17,3-Zoll-Display sind, dann ist dieses MSI-Notebook einen Blick wert. Es kostet aber auch deutlich über 2000 Euro.
Das dünnste MacBook-Modell erhält eine Generalüberholung: Wie Apple in einer Pressemitteilung verkündet, ist das MacBook (2015) ab sofort mit aktualisierter Hardware erhältlich. Sowohl die Prozessoren, der Speicher als auch die Akkuleistung wurden verbessert. Außerdem ist das Notebook nun in einer neuen Farbvariante erhältlich.

Das neue MacBook (2016) steckt nach wie vor in einem Unibody-Gehäuse aus Aluminium, ist aber nun außer in den Farben Silber, Gold und Space Grau auch in der Variante Roségold zu haben – wie etwa auch das iPhone 6s oder das iPhone SE. Im Innern kommen nun die aktuellen Intel-Core-M-Prozessoren der sechsten Generation mit bis zu 1,3 GHz Takt zum Einsatz. Im Turbo-Modus lassen sich die CPUs kurzzeitig auf bis zu 3,1 GHz hochtakten. Außerdem soll die integrierte Intel HD Graphics 515-GPU für eine im Vergleich zum Vormodell 25 Prozent bessere Grafikleistung sorgen.

Auch der Arbeitsspeicher soll nun mit einer Anbindung von 1866 MHz für eine deutlich höhere Leistung sorgen, unterstützt von ebenfalls im Vergleich zum Vormodell beschleunigten SSD, welche per PCIe-Bus angebunden ist. Des Weiteren gehören nun 8 GB RAM zur Standard-Ausstattung des neuen MacBook. Der Akku soll nun für deutlich höhere Laufzeiten sorgen: Mit einer Ladung verspricht Apple bis zu 10 Stunden drahtloses Webbrowsing oder 11 Stunden iTunes-Filmwiedergabe.

Das neue MacBook (2016) ist ab heute, dem 19. April 2016, bei Apple und einen Tag später bei autorisierten Händlern verfügbar. In der günstigsten Konfiguration mit 1,1 GHz Dualcore-Prozessor, 8 GB RAM und 256 GB SSD kostet das 12-Zoll-Notebook 1449 Euro. Das teurere Modell mit 1,2 GHz-CPU, 8 GB RAM und 512 GB SSD ist für 1799 Euro zu haben. Beim Kauf in Apples Online-Store könnt Ihr für den Prozessor, den Speicher oder die SSD noch andere Ausführungen wählen, die sich dann allerdings auf den Gesamtpreis niederschlagen. Falls Ihr einen ersten Eindruck vom MacBook gewinnen wollt, könnt Ihr dies mithilfe unseres Kurztests des Vormodells.

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Akku Dell 312-0680

Die Tastatur können Sie leicht anwinkeln, um ergonomischer zu tippen. Die Kombination steht auch abseits des Schreibtisch noch stabil, zum Beispiel auf dem Schoß: Aber nur sofern Sie lange Oberschenkel haben, denn durch den Standfuß vergrößert sich die Tiefe des Notebooks. Die Tasten sitzen in einem Raster von 17,5 Millimetern, sind also etwas kleiner als bei den meisten Notebooks. Dafür bringt die Tastatur eine Hintergrundbeleuchtung und ein Touchpad mit, in das ein NFC-Modul integriert ist: Damit können sich Notebook-Nutzer kontaktlos per Smart Card authentifizieren. Anmeldung per Fingerabdruck ist ebenfalls möglich, weil ein entsprechender Scanner auf der Rückseite des Tablet-Gehäuses sitzt.

Die stabile Tastatur besitzt einen klaren Druckpunkt und bleibt auch beim schnellen Tippen leise. Für echtes Notebook-Feeling sorgt vor allem das tolle Touchpad: Die Oberfläche ist griffig, trotzdem können Sie den Finger schnell darüber bewegen, um den Mauszeiger schnell und präzise zu positionieren. Die integrierten Maustasten haben einen wunderbar eindeutigen Druckpunkt und arbeiten sehr leise - sie wären auch eine echte Zierde für jedes Notebook-Touchpad.

Im Elite x2 arbeitet ein lüfterloser Core m5 aus der Skylake-Generation. Ihm zur Seite stehen 8 GB Arbeitsspeicher und eine SSD von Lite-On. Die Rechenleistung dieser Kombination ist insgesamt gutes Mittelmaß, aber nahezu optimal für die Büro-Arbeit: Vor allem bei Office-Aufgaben spielt die schnelle SSD ihre Stärke aus. Dass der Core M etwas hinter einem Core i5 zurückliegt, weil er mit einem deutlich niedrigeren Standardtakt arbeitet, merken Sie dagegen vor allem bei Multimedia-Programmen.

Das Display zeigt 1920 x 1280 Bildpunkte, hat also das gleiche3:2-Format wie der Bildschirm des Surface Pro 4. Die Auflösung und die Punktedichte von 192 ppi sollte für die meisten Anwender ausreichen, obgleich viele Premium-Hybride in der gleichen Preisklasse mit mehr Pixeln protzen. Die Bildqualität ist sehr ordentlich, aber nicht überragend. Die Helligkeit liegt bei rund 280 cd/qm, der Kontrast bei 759:1 - das ist nicht schlecht. Aber wenn Sie unter verschiedenen Lichtverhältnissen und überwiegend draußen arbeiten, ist bei diesen beiden Werten mehr immer besser. Positiv: Die Blickwinkelstabilität ist sehr hoch.

Zusammen mit der Tastatur wiegt das Elite x2 knapp über 1200 Gramm - ungefähr so viel wie leichte 13-Zoll-Notebooks. Die haben aber mehr Platz für einen größeren Akku. Im Elite x2 fasst der Akku 36,85 Wattstunden: Das reicht für knapp sechs Stunden Laufzeit beim WLAN-Surfen und für rund neun Stunden im normalen Office-Betrieb. Dabei verbraucht das Elite x2 mit dem Core M knapp zwei Watt weniger als ein Notebook mit Core i5.

Für Unterwegs-Arbeiter hat das Elite x2 einen unschlagbaren Vorteil gegenüber dem Surface Pro 4: Es ist auch mit LTE erhältlich. Im Testgerät sitzt ein LTE-Modem von Qualcomm, das bis zu 150 Mbit/s im Download schafft. Noch schneller sind Sie im WLAN unterwegs: Das 11ac-Modul von Intel erreicht im Test hervorragende 268 MBit/s über eine kurze Funkstrecke. Beim LTE-Modell des Elite x2 bekommen Sie übrigens drei Jahre lang den Datentarif HP Mobile Connect mit 200 MB Datenvolumen pro Monat inklusive. Einen Ethernet-Anschluss hat das Tablet nicht. Er lässt sich über einen USB-Adapter für rund 30 Euro nachrüsten. Der Adapter passt in den USB-3.0-Port des Elite x2.

Neben dieser USB-Buchse in Standardgröße sitzt ein Typ-C-Anschluss am Gehäuse. Darüber lässt sich das Tablet laden oder mit einem zusätzlichen Adapter ein VGA-/HDMI- oder Displayport-Monitor anschließen. Mit der passenden Docking-Lösung für rund 250 Euro erweitert der kleine Anschluss das Tablet sogar um Mehr-Monitor-Betrieb und zusätzliche USB-3.0-Anschlüsse: Die ausreichende Datenrate dafür liefert ein Thunderbolt-3-Controller. Der interne Speicherplatz lässt sich außerdem über eine Micro-SD-Karte um bis zu 200 GB erweitern.

HP verkauft das Elite x2 in zahlreichen Konfigurationen: Die günstigste kostet knapp 1000 Euro, ohne LTE und ohne passende Tastatur. Immer dabei ist ein aktiver digitaler Eingabestift. Um ihn nicht zu verlieren legt HP Klebeschlaufen bei, die sich am Gehäuse befestigen lassen. Das ist eine deutlich weniger elegante Lösung, als beim Microsoft Surface Pro 4, wo der Stift magnetisch am Gehäuse hält - vor allem, weil Sie die Schlaufe nicht rückstandsfrei wieder vom Gehäuse losbekommen.

Der schleswig-holsteinische Umwelt- und Energiewendeminister Robert Habeck (Bündnis90/Die Grünen, l.) steht am im Februar 2016 im stillgelegten Kernkraftwerk Brunsbüttel neben Vattenfall-Geschäftführer Pieter Wasmuth an einem Kran, mit dem die Bergung rostiger Fässer durchgeführt wird. © Carsten Rehder/dpa
Henning Bienas macht das kaputt, was andere aufgebaut haben. Er würde das nie so sagen, aber im Grunde trifft es das ziemlich gut. Der 38-jährige Ingenieur steht vor einem Miniaturmodell des Kernkraftwerks Brunsbüttel, ein schwarzer Klotz mit einem grauen Schornstein. Mit den Brennelementen da drin könnte man halb Hamburg ein Jahr lang mit Strom versorgen, sagt er. Macht man aber nicht. Stattdessen arbeitet Bienas am Gegenteil, dem Rückbau: Das Kernkraftwerk wird Stück für Stück bis auf den letzten Stein entfernt, bis am Ende wieder eine grüne Wiese da ist, wie es im Fachjargon heißt. Viele Bauteile strahlen radioaktiv; das macht den Rückbau nicht nur extrem kompliziert, sondern immer auch ein Stück bedrohlich.

Das Original-Kernkraftwerk Brunsbüttel bei Hamburg steht nur hundert Meter entfernt von dem Bürogebäude, wo Bienas und seine derzeit rund 250 Kollegen untergebracht sind, dazu kommen 120 Arbeiter von Sicherheits- und Zuliefererfirmen, die nur zeitweise hier arbeiten. Vom Rückbau ist dem riesigen Gebäude bislang nichts anzusehen. Düster thront es am Ufer der Elbe, die hier so breit ist, dass man an manchen wolkenverhangenen Tagen das gegenüberliegende Ufer nicht sehen kann. Brunsbüttel ist eines von neun Kernkraftwerken, die in den vergangenen Jahren heruntergefahren wurden. Das letzte deutsche Kernkraftwerk soll 2022 vom Netz gehen. Die Zukunft der Kernenergie ist ihre Abschaffung geworden.

Vor wenigen Wochen haben sich nun fünf Hochschulen und Forschungsinstitutionen zum Cluster Rückbau zusammengeschlossen, um das Mammutprojekt wissenschaftlich zu begleiten. Ein Kernkraftwerk zurückzubauen kostet oft mehr als eine Milliarde Euro. Zwar gibt es das grundsätzliche Wissen und die Mittel für einen Rückbau in Deutschland, drei Kernkraftwerke wurden hierzulande schon vollständig zurückgebaut. Doch das liegt teilweise Jahrzehnte zurück. Es ist wie mit dem Autofahren. Vor 15 Jahren gab es auch schon gute Autos. Trotzdem möchte niemand auf die heutige Ausstattung und Technik verzichten, sagt Sascha Gentes vom Karlsruher Institut für Technologie (KIT), der am Cluster federführend beteiligt ist. Die Technologien im Rückbau werden mit jedem Jahr besser. Dabei geht es vor allem um zwei große Ziele: einen schnelleren Rückbau mit weniger Abfall und damit weniger Kosten.

Für Bienas ging es während seines Maschinenbaustudiums in Flensburg noch darum, Strom zu produzieren. Er hatte damals den Schwerpunkt Energietechnik gewählt, er ist also eigentlich Spezialist für Windkraftanlagen und Solarstrom. Aber später im Studium änderte er seine Richtung noch einmal, er spezialisierte sich auf Kraftwerkstechnik. Ich wollte nicht nur fünf Megawatt betreuen, sondern eher 800 Megawatt, sagt Bienas. Noch heute führt er Besucher am liebsten zu einem Balkon im Reaktorraum. Von dort aus kann man nach unten in ein Wasserbecken schauen, in dessen Tiefe die Brennstäbe schimmern. Jeder ist beeindruckt. Von der enormen Macht, die von den kleinen Röhren ausgeht. Ihrer Zerstörungskraft. Und ihrem Potenzial. Einer Million Menschen Strom zu geben zum Kochen, zum Arbeiten, zum Leben.

Doch obwohl der Reaktor heruntergefahren wurde und kein einziges Watt an Strom mehr produziert, braucht es ständig 250 Menschen, um alles in Ordnung zu halten. Denn das Kernkraftwerk ist, auch wenn es vom Netz genommen ist, zunächst über einige Jahre im sogenannten Nachbetrieb. Solange das Kernkraftwerk noch Brennelemente hat, können die Strahlenschutzmaßnahmen kaum verringert werden. Es ist auch noch ein Großteil der konventionellen Technik in Betrieb. Lüftungsanlagen, Heizung, Klimaanlagen. Und dann ist da noch der Papierkram. Die Behörden verlangen einen detaillierten Plan, wie der Rückbau ausgeführt werden soll.

Bienas war ursprünglich wegen des Gegenteils nach Brunsbüttel gekommen, das war 2008. Er wollte helfen, das Kernkraftwerk nach ein paar Jahren wieder ans Netz anzuschließen. Dazu hatte er eine Projektmanagementausbildung gemacht, mit seinem Chef hatte er schon über eine Weiterbildung zum Schichtleiter gesprochen. Dann kam der 11. März 2011. Bienas war gerade im Kernkraftwerk, als ihm ein Kollege erzählte, dass es im japanischen Fukushima ein Erdbeben und eine Flutwelle gegeben habe, die womöglich Probleme mit einem Kernkraftwerk nach sich ziehen würde. Bienas war überzeugt, dass nichts passieren würde. Die Japaner haben moderne Technologie und Erfahrung mit Erdbeben. Dass das so ein Ausmaß annimmt, hätte ich nicht erwartet, sagt er. Und schweigt.

Relativ schnell wurde dann klar, dass Brunsbüttel, das als eines der störanfälligsten Kernkraftwerke in Deutschland galt und auch als Pannenmeiler bekannt ist, nicht wieder ans Netz gehen würde. Das, worauf Bienas hingearbeitet hatte, war dahin. Ich fuhr mit meiner Familie eine Woche in den Urlaub an die Ostsee. Dort las ich ein Buch über den Rückbau von Kernkraftwerken, sagt Bienas. Als er zurückkam, tat er das, was ein pragmatischer Mensch bei unbeeinflussbaren Ereignissen eben tut: Er blieb. Aber vor allem in den ersten Jahren dachte er immer mal wieder: Wie schön wäre es, wenn wir Strom produzieren könnten.

Stattdessen soll Brunsbüttel jetzt ein neues Produkt produzieren: Abfall. In entsprechend sicherer Form, sagt Bienas. In welcher Reihenfolge welche Teile zurückgebaut werden, muss im Detail geplant werden: Einerseits will man radioaktive Abfälle früh herausbringen, andererseits braucht es Kontrollsysteme für die Reaktoreinheiten, die erst später entfernt werden können.

Ingenieure haben über viele Jahre hinweg Jobchancen beim Rückbau, auch weil dieser aufwendig ist: Es gibt zwei Methoden: Der unmittelbare Rückbau wie in Brunsbüttel dauert mindestens 15 Jahre, auch weil die Kernelemente einige Jahre abkühlen müssen. Der sichere Einschluss dauert deutlich länger, weil das Werk nach Entfernen der Brennelemente verschlossen wird, bis die Strahlung der anderen Komponenten abklingt.

Bienas trägt als Projektmanager bei dieser Gratwanderung zur Balance bei. Zu 50 Prozent besteht meine Arbeit darin, Menschen zusammenzubringen, sagt Bienas. Ein Beispiel: Der Reaktordruckbehälter ist eine von mehreren Barrieren, um das Austreten radioaktiver Stoffe zu verhindern. Wenn geplant werden soll, wie er abgebaut wird, lädt Bienas die Demontage-Ingenieure ein zu einer gemeinsamen Sitzung mit den Experten für die Entsorgung radioaktiver Abfälle. Welche Maße haben die Teile, wenn sie zerlegt sind? Wie lassen sie sich abtransportieren?

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July 18, 2016

Batterie Asus g73sv

« Je connais bien cette traversée – les papiers ne sont pas vérifiés, et les véhicules peuvent passer sans contrôle. »
À la fin de chaque jour qui passait sans réception de la vidéo, Kate me rassure et me demandait d’attendre d’être patient. Mais chaque soir, El Chapo l’a contactait avec retard et affichait toujours plus de doutes. Pas au sujet de mes questions, mais apparemment sur la façon de réaliser cette bande vidéo lui-même. « Kate, parlons franchement. Le gars dirige une entreprise de plusieurs millions de dollars avec un réseau d’au moins 50 pays, et il n’y a pas un seul putain de mec dans cette jungle, avec lui, qui parle anglais ? Et maintenant vous me dites que son Messenger est off et qu’il n’a pratiquement plus aucun accès à un putain d’ordinateur ? Et vous me dites qu’il n’a pas les compétences techniques pour faire une vidéo tout seul et l’envoyer aux Etats-Unis ? »

Je me demande ‘comment quelqu’un peux gérer un putain de business de la sorte ? » Je me la joue à la Trump et harcèle Kate de coups de téléphone tous les jours, de sms et de mails cryptés. Au final, le retard n’a rien à voir avec de l’incompétence technique. A ma grande surprise. Peu importe l’infamie attribuable à cet homme et à son incontestable génie, c’est aussi un homme humble, un mexicain rural, dont la perception de sa place dans le monde offre une fenêtre extraordinaire sur une énigme de disparité culturelle. Il est devenu évident que ce paysan-agriculteur devenu milliardaire-baron de la drogue semble être dépassé et un peu perplexe à l’idée qu’il puisse être un centre d’intérêt pour le monde au-delà de ses montagnes. Et les retards, jour après jour, pourraient révéler son insécurité, celle d’un adolescent maladroit et timide devant une caméra. Ou tout cela n’avait-il été qu’une performance bien orchestrée?

Le second argument est puisé dans la difficulté d’optimiser un jeu, à cause de la complexité des API graphiques et de leur gourmandise en termes de puissance, causée par la latence induite par les pilotes graphiques et l’API. Un argument qui n’existera bientôt plus, grâce à l’arrivée de Vulkan. Toutefois, cette nouvelle API rendra plus difficile le développement d’un moteur graphique et physique. Les petits studios seront donc moins tentés de créer le leur, et seront plutôt encouragés à passer par des middlewares, comme les fameux moteurs Unity (Hitman Sniper, Lara Croft GO, etc.) et Marmalade (SimCity Buildit, Earn to Die 2, etc.) qui ont déjà prévu d’intégrer le support de Vulkan. Il sera donc plus facile, au final, pour un studio, de sortir un jeu davantage optimisé et plus performant que les titres actuels, à moins d’utiliser un moteur développé en interne.

La question des options graphiques
GameBench devrait donc permettre à toute l’industrie mobile de pousser les performances vers le haut, et d’utiliser pleinement la puissance disponible des puces mobiles pour se rapprocher davantage de l’expérience disponible sous iOS. En effet, de nombreux rapports depuis quelques mois ont montré la supériorité d’iOS dans la majorité des jeux, que ce soit au rayon des performances ou en termes de qualité, même si l’inverse était vrai pour certains titres. Il arrive en effet parfois qu’un jeu sous Android soit limité à 30 FPS, contrairement à son homologue iOS, ou encore que certains titres aient des graphismes moins élevés sur certains appareils. Il serait évidemment intéressant que les développeurs intègrent des options permettant aux joueurs de régler leur framerate, la définition d’affichage et le niveau de détail.

Ce type d’options est dans les faits délicat à mettre en Å“uvre. Elles existent sur certains titres comme Asphalt 8 qui se contente de régler le niveau de détails. Sur Grand Theft Auto, il est possible de réduire la définition. Mais certaines app empêchent tout changement de définition, comme Real Racing 3, bloqué en Full HD même sur un terminal QHD.

Un développeur présent sur place nous a confié que donner le choix des options graphiques aux joueurs avait déjà posé problème sur un titre mobile d’Activison. Les possesseurs de terminaux peu puissants poussaient tout de même les détails au maximum et se plaignaient des mauvaises performances du titre, ce qui s’est traduit par l’attribution de notes faiblardes sur le Play Store. Pour Trials Fusion, l’éditeur a donc choisi une autre stratégie : un mini benchmark transparent se lance lors de l’ouverture du jeu afin de régler automatiquement les options graphiques et physiques selon la puissance du téléphone. Pour l’anecdote, sur certains smartphones peu puissants, le seul fait d’activer plusieurs bandes-son en même temps peut faire ralentir le jeu.

GameBench et Vulkan, pour renforcer un écosystème fragmenté
Pousser l’industrie mobile dans le bon sens n’est donc pas une tâche facile. Vulkan devrait toutefois aider GameBench dans cette tâche, malgré l’énorme fragmentation des terminaux Android, du téléphone bas de gamme au superphone intégrant la dernière puce du moment.

GameBench a également d’autres pistes pour révolutionner l’industrie du benchmark mobile : proposer aux constructeurs et développeurs des badges prouvant la bonne optimisation d’un titre ou les bonnes performances d’un terminal. Ce système sera présenté lors de la GDC, en mars 2016 à San Francisco. Les constructeurs désireux de se voir attribuer un badge démontrant les bonnes performances du produit devront alors confier leur appareil à un organisme indépendant qui mesurera les performances du terminal selon le protocole de test de GameBench. En cas de succès de l’initiative, on peut donc espérer voir, sur les étals des revendeurs, des terminaux très performants arborer un joli badge "Performance maximale” avec le logo GameBench. Certains sites spécialisés comme FrAndroid pourraient également attribuer ce genre de badges en respectant la méthodologie fixée par l’éditeur.

Sur tous les fronts en cette fin d’année, OnePlus annonce avoir conclu un tout nouveau partenariat. Destiné à l’univers du jeu mobile, il a été conclu avec la firme suisse AirConsole, basée à Zurich, et pas vraiment connue sur la scène internationale. L’idée : permettre aux joueurs mobiles de jouer sur un écran d’ordinateur (ou de TV connectée, pourquoi pas) en utilisant le smartphone comme manette. Il suffit pour se faire de se connecter au site AirConsole.com à la fois sur l’écran et sur le téléphone, et d’entrer sur le mobile le code unique fourni sur le navigateur. La connexion prend quelques secondes et, pour les assidus de ces titres qui souhaitent conserver leurs performances, il est possible de s’y connecter avec des identifiants Facebook. Les autres se contenteront d’une connexion en mode Invité.

Une fois connecté, AirConsole propose une petite sélection de titres, 13 au total, dont trois sont des exclusivités de OnePlus. Quel que soit leur statut, il est en tout cas possible d’y jouer que l’on dispose d’un téléphone de la marque ou non, et sans être fan de la marque sur les réseaux sociaux (grâce au mode invité . Ne vous attendez pas à des folies : nous avons par exemple testé Silly Run Valley, un runner game simpliste dans un décor de Far West. Le multitouch est de la partie, et l’accéléromètre est lui aussi pris en charge. Si OnePlus et AirConsole ne révolutionnent pas le jeu mobile, ils ont le mérite de proposer une petite solution sympathique pour s’occuper sans avoir quoi que ce soit à installer sur un smartphone. Pas beaucoup plus sans doute, pour une opération qui risque de n’apporter que peu de visibilité aux deux parties de ce partenariat.

Plutôt que d'apprendre à nos chères têtes blondes à écrire correctement (et rapidement) au clavier, nos instances dirigeantes préféreraient que l'on fasse évoluer notre bon vieux AZERTY français.Dans un document publié sur le site du ministère de la Culture, on apprend surtout que le clavier français n'est pas normé, contrairement à d'autres pays européens. En clair, chaque constructeur informatique peut décider comme bon lui semble de la disposition des touches. Dans les faits, les différences se cantonnent souvent à la position de certaines touches de fonction, notamment entre les claviers d'ordinateur fixe et portable.

Les utilisateurs de Mac savent également très bien que les claviers siglés d'une Pomme sont assez différents de leurs homologues PC, parfois à tort, ou à raison. Par exemple, le « @ » est disponible sans combinaison de touche sur Mac, alors qu'il faut faire « Alt Gr-0 » sur PC. A l'inverse, le « Alt-E » des € -plus logique- se transforme en « Alt-$ » sur Mac. Le clavier parfait n'existe donc pas... pour le moment.

L'un des plus gros reproches du gouvernement cible les touches majuscules, qui ne permettraient pas de placer facilement des accents. À, Ç ou encore É sont en effet difficiles à écrire sans connaitre l'astuce (il suffit, sur Mac, de laisser le verrouillage des majuscules actif et de sélectionner la bonne lettre minuscule), ce qui nous pousse souvent à les ignorer. Autre complication, l'espace insécable (« alt-espace » sur Mac), les double-chevrons « » des citations ou encore certains symboles comme les ≤ et ≥.

L'idée d'une norme fait donc son chemin, même si l'AFNOR précise qu'il ne s'agira là que de « lignes directrices » (ou « norme volontaire ») et que les constructeurs resteront libres de leurs choix. Nous verrons si tous ces échanges (prévus cet été débouchent réellement sur de belles solutions ou si le clavier AZERTY actuel perdurera encore quelques siècles !
PUBLICITÉ - Si l'objectif était d'attirer l'attention, c'est réussi. Le réseau de salles de sports "low cost" Vita Liberté a décidé de frapper fort pour son arrivée à Nice, déployant une campagne d'affichage qui fait polémique. Sur les affiches que les Niçois ont pu découvrir, et qui ont été partagées sur les réseaux sociaux, on voit une femme souriante, dans un club de fitness, avec un message un peu particulier:

« Ce paysan-agriculteur devenu milliardaire-baron de la drogue semble être dépassé et un peu perplexe à l’idée qu’il puisse être un centre d’intérêt pour le monde au-delà de ses montagnes. »
Lorsque toutes ces embûches ont été dépassées, surtout par Kate mais aussi par mon insistance implacable, ce que je craignais le plus, durant mon engagement avec El Chapo Guzmán et le cartel de Sinaloa était la colère potentielle d’une actrice mexicaine vers un acteur américain qui avait, avec détermination, abusé son amitié pour récupérer une vidéo. Et puis un message crypté de Kate est arrivé: « Je l’ai! » Je me suis presque cogné au plafond de joie quand le message a sonné sur mon téléphone, « … vous êtes un enfoiré arrogant. » Je l’avais mérité. Évidemment, un coursier d’El Chapo lui avait livré la vidéo. Kate et moi nous sommes retrouvés, je fis mes excuses, et elle a transféré la vidéo à partir de son appareil vers le mien. À la maison, j’ai éteint les lumières, me suis assis avec la transcription en anglais fournie par Kate qui commençait par les mots : «. La vidéo dure 17 minutes Appuyez sur play. »

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Batterie Asus x5c

Ce n’est pas vraiment une révélation mais nous ne sommes pas tous égaux devant la chose et cela vaut aussi bien pour les hommes que pour les femmes.Mais si la libido varie en fonction des individus, elle peut aussi être influencée par plusieurs facteurs psychologiques ou physiques. Des personnes soumises à un important stress éprouveront généralement moins de désir sexuel.Même chose pour celles qui consomment quotidiennement des substances psychoactives.Si l’on en croit les dernières études en date, alors environ 20% des hommes et des femmes connaîtraient des baisses de libido régulières.

Cette variation du désir peut s’avérer très problématique dans certains couples et notamment lorsqu’elle touche un seul partenaire.Partant de ce constat, Fiera a imaginé un nouveau produit capable de stimuler le désir féminin.Ce sextoy est compact, il tient dans la main et il ressemble un peu à une souris d’ordinateur. Pour l’utiliser, la femme devra placer sa bouche au niveau de son clitoris et il ne lui restera plus qu’à le mettre sous tension pour activer les trois têtes pivotantes. L’appareil commencera à masser la zone et à stimuler la circulation sanguine vers cette partie de l’anatomie féminine.

L’utilisatrice pourra régler l’intensité du massage en fonction de ses goûts. Une fois excitée, il ne lui restera plus qu’à faire appel à son partenaire.Fiera a demandé à plusieurs scientifiques et à plusieurs médecins d’analyser l’impact du produit sur la libido féminine. D’après les résultats de l’étude, le produit serait vraiment efficace, notamment chez les femmes ménopausées. C’est plutôt une bonne nouvelle car il est tout de même proposé à 250 $.GameBench est un outil permettant de relever et d’analyser les performances et le comportement d’un appareil mobile à l’usage. Nous l’utilisons par exemple dans la partie performances de nos tests de smartphones et tablettes. Mais GameBench s’adresse également aux constructeurs et éditeurs, puisque certains acteurs tels que Samsung, Meizu, mais aussi Facebook utilisent le logiciel lors de la conception de leurs appareils. La force de GameBench est en fait de pouvoir mesurer les performances en utilisation réelle des applications et jeux, quand d’autres benchmark ne reflètent pas toujours la réalité. GameBench pourrait donc pousser toute l’industrie mobile dans la bonne direction, afin de limiter la triche, d’augmenter les performances réelles et non théoriques des appareils, et de forcer les développeurs à optimiser les applications. Mais pour y arriver, le chemin est assez tortueux.

FrAndroid utilise GameBench depuis maintenant un peu plus d’un an. Ce logiciel a totalement modifié la façon dont nous testons smartphones et tablettes du point de vue des performances. En effet, avant son existence, il fallait se référer à des benchmarks synthétiques et applicatifs ou à un ressenti totalement subjectif. Il était aussi possible de réaliser une vidéo pour montrer la différence sur les temps de chargement. Mais il n’existait pas d’outil grand public pour mesurer et analyser les performances et le comportement d’appareils mobiles en usage réel, c’est-à-dire avec de véritables applications et de vrais jeux.

Le SoC est la puce qui regroupe le processeur (CPU), la puce graphique (GPU) et quelques autres composants comme parfois le modem ou des co-processeurs.
Les benchmarks synthétiques comme AnTuTu et GeekBench se contentent de mesurer les performances brutes du SoC, ce qui ne représente pas nécessairement les performances obtenues en pratique. Les benchmarks applicatifs tels que PCMark ou 3DMark et GFXBench tentent quant à eux de simuler de véritables utilisations, comme le scroll sur une page web ou l’affichage d’une scène en 3D, mais il existe un biais : la triche.

La triche la plus répandue est celle qui consiste, pour les OEM, à détecter le lancement du benchmark (grâce au nom du processus) et de passer le SoC en mode hautes performances afin d’augmenter les fréquence de fonctionnement, ce qui ne reflète pas le fonctionnement "normal” de la puce. HTC et Samsung ont par exemple déjà été pris en flagrant délit de triche sur 3DMark. C’est notamment pour cette raison que des outils comme GameBench ont vu le jour.

Comme vous l’avez compris, GameBench va plus loin que de simples benchmarks synthétiques et applicatifs. Il peut mesurer et analyser les performances de n’importe quelle application utilisée par le grand public, et non pas d’un benchmark utilisé par les testeurs et les constructeurs de smartphones. Nous utilisons Real Racing 3 pour mesurer les performances dans les jeux gourmands pour un appareil mobile, mais il est tout à fait possible de mesurer les performances de Facebook, par exemple. GameBench se charge de relever le nombre d’images par secondes, l’indicateur de fluidité par excellence.

Un écran de smartphone fonctionne la plupart du temps à 60 Hertz, ce qui signifie qu’il rafraîchit les informations 60 fois par seconde. Le GPU (puce graphique) va donc devoir lui envoyer 60 images par seconde (60 FPS) pour que l’ensemble soit visuellement fluide. Si l’application est mal optimisée, ou le SoC pas assez puissant, le framerate (nombre d’images par seconde) sera inférieur à 60 FPS et l’utilisateur pourra percevoir une sensation de ralentissements : l’ensemble ne sera pas fluide.

Pour ceux qui pensent encore que 24 ou 30 FPS est la limite acceptable, je les invite à tester un écran d’ordinateur à 30 Hz (et à lire l’excellent papier de No Frag sur le sujet) en usage bureautique et Internet. Tout semble trop lent, contrairement à certains jeux en 30 FPS qui restent largement jouables. C’est pour cette raison que Google souhaite une interface à 60 FPS grâce, notamment, à l’accélération matérielle du GPU.

Bien entendu, GameBench n’est pas une nouveauté en soi. Les développeurs et les constructeurs d’appareils mobiles disposent déjà d’outils similaires, capables de mesurer et analyser les performances de leurs applications ou appareils à l’image de Facebook qui a racheté Little Eye Labs en 2014 pour internaliser l’outil de benchmark de la société afin d’améliorer les performances et la consommation énergétique de l’application de réseau social. La plupart des concepteurs de puces (ARM, Nvidia, Imagination Technologies, etc.) proposent également leurs propres outils de benchmark à leurs clients.

Mais GameBench est le premier éditeur mobile à rendre disponible son application pour le grand public et à proposer une interface facilement utilisable. GameBench est ainsi largement répandu, que ce soit chez les journalistes, les constructeurs, mais aussi les développeurs. Nous avons pu en rencontrer certains le 15 octobre dernier, lors d’un évènement organisé à Londres. Toutes ces personnes étaient présentes pour débattre du sujet des performances sur les appareils mobiles. C’était aussi l’occasion pour GameBench de présenter une nouvelle version de son application, disponible pour Windows, OS X et Linux, permettant de mesurer, en temps réel, les performances d’un appareil iOS ou Android. Le plus intéressant, pour moi, était les nombreuses conférences et tables rondes sur le sujet des performances dans le mobile, loin des discours commerciaux et marketing des marques, puisque j’étais le seul journaliste (ou intrus, au choix) dans la salle.

Le premier point à retenir est la volonté de tous les acteurs présents dans la salle de trouver un moyen d’augmenter les performances dans le domaine mobile. Ce n’est pas une simple déclaration d’intention, puisque tous les participants disposent de moyens pour augmenter les performances des appareils mobiles. On peut citer Google qui édite des directives à destination des développeurs pour les aider à optimiser leur code et qui dispose même d’une équipe dédiée à cette tâche pour les aider au quotidien. Celle-ci a d’ailleurs développé un outil pour débuguer et optimiser les applications 3D : Graphics Debugger (GAPID). Les concepteurs de puces fournissent également le même types d’outils et font constamment évoluer leurs puces pour prendre en charge de nouvelles fonctionnalités, comme les nouvelles versions des API graphiques, à l’image d’Open GL ES 3.1. Mais la révolution pourrait provenir de Vulkan, la future API graphique multi-plateforme.

Vulkan + GameBench = duo gagnant ?
Une API est une interface de programmation permettant de faire le lien entre le logiciel (par exemple un jeu et son moteur graphique) et le matériel et donc la puce graphique (aussi appelée GPU). Vous devez sûrement connaître DirectX, l’API graphique de Windows et OpenGL ES, l’API graphique utilisée sous Android.
Vulkan est une API graphique actuellement développée par le Khronos Group, le consortium d’entreprise à la base d’OpenGL. Vulkan va apporter deux nouveautés révolutionnaires. La première, c’est le support multi-plateforme avec une seule version, ce qui signifie qu’un jeu PC supportant Vulkan sera très facilement et rapidement portable sous Android sans trop de modifications. La seconde, c’est un accès de bas niveau au GPU de la part des développeurs. Ces derniers pourront donner des instructions plus directes à la puce graphique et ainsi passer outre le pilote graphique, afin d’augmenter les performances.

Cet outil grand public permet, en quelque sorte, de mettre la pression sur l’ensemble de la chaîne, des concepteurs de puces aux constructeurs de terminaux en passant par les développeurs de jeu. GameBench permet en effet de classer les smartphones entre eux en termes de puissance – et donc indirectement les puces entre elles, même si une même puce peut avoir des performances différentes selon les terminaux -, mais aussi les jeux entre eux. Il suffit de comparer les performances d’une liste de jeux sur un même terminal pour tenter de cerner leur degré d’optimisation. Un jeu très bien optimisé sera ainsi largement plus apprécié des joueurs qu’un titre beau graphiquement, mais trop gourmand.

Un jeu très bien optimisé sera ainsi largement plus apprécié des joueurs qu’un titre beau graphiquement, mais trop gourmand.
Jusqu’à récemment, les développeurs pouvaient se retrancher derrière la puissance insuffisante des puces mobiles. Mais on assiste depuis quelques mois à une croissance exponentielle de leur puissance, ce qui rend cet argument caduc.

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July 17, 2016

Batterie Sony vgp-bps14_s

Nous montons quelques marches pour arriver sur un terre-plein derrière les bungalows. Une famille de locaux a préparé un buffet de tacos, enchiladas, poulet, riz, haricots sauce piquante et carne asada… de la viande grillée. « Carne Asada » la façon du cartel de nommer les découpes de cadavres comme celui de Juarez après les exécutions de masse des narcos. J’opte donc pour les tacos. El Chapo nous entraîne vers une table de pique-nique ; on nous sert à boire. On s’installe à la faible lueur d’une rangée de lampes, mais tout autour de ce périmètre règne une obscurité profonde. Je vois 30, 35 personnes autour de nous. (El Chapo confiera plus tard à El Alto que, hors champ, une centaine de ses soldats se tenait à proximité.) Aucune arme lourde en vue, ni même aucun Danny Trejo. Globalement, cette équipe me fait plus penser à des étudiants d’une université mexicaine. Bien coiffés, bien habillés et loin d’être rustres. Pas un seul fumeur dans le lot. Seuls deux ou trois portent des sacs à dos, qui leur tombent au niveau de la taille et dont je suppose qu’ils contiennent des armes. Notre hôte semble s’inquiéter que Kate, en tant que seule femme présente, ne supporte pas l’intimidante vision de la force. Ce qui se vérifiera quelques heures plus tard.
Alors que nous nous installons à cette table de pique-nique, nous faisons les présentations. A ma gauche, Alonzo. Alonzo est un des avocats d’El Chapo. Quand je parle des avocats d’El Chapo, ça se complique un peu. Durant son emprisonnement, les seules visites autorisées étaient celles de ses « avocats. » Evidemment, la plupart étaient plutôt des lieutenants qui avaient été « validés » comme faisant partie de son équipe légale. Alonzo a rendu visite à El Chapo à la prison d’Altiplano deux heures avant son évasion audacieuse. Alonzo dit qu’il n’était pas au courant de ce projet d’évasion. Mais il souligne qu’il n’a pas échappé à un interrogatoire musclé par les enquêteurs après-coup.

« Je deviens totalement paranoïaque. »
A ma droite, Rodrigo. Rodrigo est le parrain des deux jumelles de 4 ans qu’El Chapo a eu avec la reine de beauté Emma Coronel. Rodrigo me préoccupe particulièrement. Son regard semble lointain mais il est fixé sur moi. Et j’entends comme des bruits dans ma tête. Des tronçonneuses. Je me sens déchiré. Je deviens totalement paranoïaque. Mes yeux semblent envoûtés, contraints à glisser mon regard à la droite de Rodrigo. Sur Ivan, le fils aîné d’El Chapo. A 32 ans, il est considéré comme l’héritier à venir du cartel Sinaloa. Il est attentif, avec le calme de sa maturité. Tout comme son frère, il porte une montre fabuleuse. Et juste en face de moi, il y a Kate, qui est à sa droite. Derrière Alonzo, Alfredo. El Alto est au bout de la table. Espinoza, toujours debout, s’excuse auprès d’ El Chapo et lui demande s’il peut s’allonger une petite heure pour reposer son dos. Espinoza est assez drôle comme gars. C’est comme s’il avait fait une expédition de plusieurs heures pour arriver au sommet d’un volcan dont il rêverait de voir les entrailles, et une fois arrivé en haut disait : « Je vais piquer un somme, je regarderai dans le trou plus tard. »

Avec l’aide de Kate pour la traduction, je commence à expliquer mes intentions. Je sens bien que je l’intrigue. Le seul gringo parmi mes collègues qui profite de la confiance d’El Chapo en Kate pour demander une interview. J’ai senti son amusement alors que je posais cartes sur table. Il m’a demandé quelles étaient mes relations avec le président Vénézuélien Hugo Chavez dans ce qui m’a semblé être un test de ma propension a être corrompu dans des associations improbables.
Je me lance dans la réponse à cette question qui ressemble plus à un test décisif pour mesurer l’indépendance de ma démarche. Je lui explique fièrement qu’un membre de ma famille travaille à la Drug Enforcement Agency, et que de par mon travail en Haïti (je suis directeur de J/P HRO, une organisation non gouvernementale basée à Port-au-Prince), j’ai de nombreuses relations au sein du gouvernement des Etats-Unis. Je lui assure que ces relations n’ont aucun rapport avec mon intérêt pour lui. Mon seul but est de lui poser des questions et de transmettre ses réponses au grand public, pour qu’il se fasse son idée sur la question.

Je lui explique que j’ai compris beaucoup de choses en m’intéressant aux narcos, qu’il y a une hypocrisie sous-jacente dans la complicité des acheteurs. Je savais que je ne pourrais pas me le mettre dans la poche facilement, je savais que la seule carte que je pouvais jouer pour que les choses se déroulent au mieux, était de lui témoigner de la fascination, ainsi que mon désir que son jugement soit suspendu. Et quoi qu’on pourrait dire de lui, il était évident qu’il n’était pas qu’un simple visiteur dans notre vaste monde.
Après mon introduction, El Chapo me gratifie d’un sourire chaleureux. En fait, dans ce qui allait devenir une interview de 7 heures, je ne l’ai vu sourire que quelques fois, brièvement. Et comme c’est le cas de nombreux hommes célèbres, il a beaucoup de charisme. Quand je lui ai demandé ses rapports avec le gouvernement mexicain, il a marqué une pause. « Pour ce qui est des politiciens, je garde mon opinion pour moi. Ils font leur travail et moi le mien. »
Derrière son sourire, son visage a une expression de certitude absolue. Une question m’est venue en observant ses traits. Quand il parlait, et quand il écoutait. Qu’est-ce qui peut effacer toute trace de doute dans le regard d’un homme ? Est-ce le pouvoir ? La sagesse ? L’absence d’âme? L’absence d’âme… N’était-ce pas ce que ma morale m’obligeait à percevoir en lui ? N’était-ce pas ce que je devais voir en lui pour moi-même ne pas être assimilé à un camarade ? Un partisan ? J’ai essayé, les amis. J’ai vraiment essayé. Et je me suis remémoré encore et encore le nombre de cadavres, la dévastation qui existe dans tous les recoins du monde des narcos. « Je ne veux pas passer pour une nonne, » me dit El Chapo. Bien que cette comparaison ne me soit quand même pas venue à l’esprit. Cet homme simple, qui vit simplement, entouré de l’affection de ses fils, ne m’apparaît pas exactement l’incarnation du grand méchant loup. Il réveille des questions de complexité culturelle et de contexte ; les survivalistes et les capitalistes ; les fermiers et les technocrates ; les entrepreneurs malins en tout genres… Certains font de l’argent et d’autres dirigent.

« Je savais que la seule carte que je pouvais jouer pour que les choses se déroulent au mieux, était de lui témoigner de la fascination. »
On nous apporte une bouteille de Tequila. El Chapo nous en sert un fond à chacun. Il porte un toast en regardant Kate. « Je ne bois pas en temps normal, dit-il, mais je veux trinquer avec vous. » Après un coup d’œil au verre, je prends une petite rasade. Il me demande s’il est célèbre aux Etat-Unis. « Oh, oui, » lui dis-je, et je l’informe que la veille du décollage pour Mexico, j’ai vu que Fusion Channel repassait en boucle son édition spéciale : A la recherche d’El Chapo. Il semble se réjouir de cette absurdité, et lui-même et ses camarades gloussent ; je regarde le ciel et me dit que ce serait drôle qu’un drone armé vole au-dessus de nos têtes. Nous sommes dans une clairière, dégagée à perte de vue… Je siffle ma tequila et oublie mon drone.

Je me laisse porter par le sentiment de sécurité que le calme d’El Chapo et ses hommes instaure. Je sens que s’il y avait une menace, ils le sauraient. Nous mangeons, buvons et parlons pendant des heures. Il s’intéresse à l’industrie du cinéma et à son fonctionnement. Il n’est pas étonné de l’argent que ça rapporte. Le haut profit généré par cette industrie n’a aucun impact sur ses finances à lui. Il nous laisse entendre que nous devrions nous reconvertir dans le pétrole. Il dit qu’il aimerait bien s’investir dans le secteur de l’énergie, mais que ses fonds de provenance illicite limitent ses opportunités d’investissement. Il cite (mais me demande de taire les noms) un certain nombre d’entreprises corrompues, mexicaines et étrangères. Il souligne avec un dédain amusé les nombreux moyens mis en place pour blanchir son argent grâce à ces compagnies, qui récupèrent elles aussi leur part du gâteau des narcos.

« Combien va te rapporter l’écriture de cet article ? » me demande-t-il. Je lui réponds que quand je fais du journalisme, je ne suis pas payé. Et je comprends que pour lui, l’idée de travailler sans que ça rapporte quoi que ce soit est une ânerie. Contrairement à nos gangsters habituels, comme John Gotti qui clame n’être qu’un simple businessman mais se cache derrière de nombreuses compagnies internationales, El Chapo assume pleinement ses activités illicites, clamant fièrement, « Je fournis plus d’héroïne, de méthamphétamine, de cocaïne et de marijuana que n’importe qui dans le monde. J’ai une flotte de sous-marins, d’avions, de camions et de navires. »

« Pour lui, l’idée de travailler sans que ça rapporte quoi que ce soit est une ânerie. »
Il ne souffre d’aucune culpabilité. Et malgré le challenge que cela représente de faire du business de façon aussi clandestine, il a bâti un empire. Je me souviens d’articles de presse indiquant que l’homme en face de moi avait mis un contrat de centaines de millions de dollars sur la tête de Donald Trump. Je mentionne Trump. El Chapo sourit, en disant ironiquement, « Ah ! Mon ami ! » Son désir de me parler librement, son sens de l’auto-plébiscite et son absence de remords me font exactement penser à Tony Montana dans le Scarface d’Oliver Stone. Dans la scène du dîner avec Elvira, jouée par Michelle Pfeiffer, elle invective Tony Montana à haute voix et devant tout le monde. Les gens le regardent, mais au lieu de se laisser humilier, il réagit et leur donne une leçon. « Vous êtes tous une bande de trous du cul. Vous savez pourquoi ? Vous n’avez pas les tripes d’être ce que vous voulez être. Vous avez besoin de gens comme moi. Vous avez besoin de mecs comme moi. Pour pouvoir les montrer du doigt et dire : c’est lui le méchant ! Comme ça vous passez pour quoi ? Des gentils ? Vous n’êtes pas les gentils, vous savez juste vous cacher… mentir. Moi ? Je n’ai pas ce problème. Moi ? Je dis toujours la vérité, même quand je mens. Alors dites au revoir au méchant. Allez. C’était la dernière fois que vous voyiez un vrai méchant, je vous le dis ! »

Je suis curieux de savoir, dans le tumulte actuel du Moyen-Orient, quel impact l’économie frénétique des opiacés a sur son business. Je lui demande : « De tous les pays et toutes les cultures avec lesquels vous faites du business, lesquels sont les plus compliqués à gérer ? » En souriant, il me répond sans équivoque : « Aucune ». Il n’y a pas un seul politicien au monde capable de répondre à cette même question aussi clairement ou franchement. Mais là encore, les enjeux sont différents pour une personne influente mondialement, qui se débarrasse tout simplement de tous les obstacles qui pourraient lui barrer la route.

« Difficile de trouver un endroit sécurisant ; bienvenue dans le monde de Chapo. »
J’ai expliqué mon intention, j’ai demandé s’il accepterait de m’accorder deux jours pour une interview formelle. Mes collègues devaient partir le matin mais j’ai demandé à rester et ai proposé d’enregistrer nos échanges. Il prend une pause avant de répondre. « Je viens juste de vous rencontrer. J’accepte, mais dans huit jours. Vous pouvez revenir dans 8 jours ? » Je lui dis oui. Je demande à ce que nous prenions une photo ensemble pour prouver à mes éditeurs chez Rolling Stone que l’entrevue promise a bien eu lieu. « Adelante, » dit-il. Nous nous levons tous de table ensemble et suivons El Chapo dans un des bungalows. Une fois à l’intérieur, je vois les premières armes lourdes. Un M16 est posé sur un canapé en face du mur blanc neutre contre lequel nous allons prendre la photo. Je lui explique que dans un souci d’authentification, il serait mieux que nous nous serrions la main, en regardant la caméra mais sans sourire. Il obtempère. La photo est prise avec le téléphone d’Alfredo. Il me l’enverra plus tard.

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Batterie Sony vgp-bps13a_s

La version de 4 To est la capacité la plus élevée pour ce genre de disque portable. Elle rivalise avec ce que proposent de nombreux modèles de disques durs externes de bureau dont les disques durs sont physiquement beaucoup plus grands. Ce Seagate est parfait pour ceux qui veulent transporter avec eux l'intégrité de leurs bibliothèques vidéo et musicale.

La taille du nouveau Backup Plus Slim est équivalente à celle des disques durs portables récent tels que le My Passport Ultra de WD (Western Digital). Il s’agit surtout du modèle le plus fin allant jusqu’à 2 To. Bien qu’il soit un peu plus épais, le Backup Plus est pour sa part le premier disque dur aussi compact offrant 4 To d’espace de stockage. Il faut savoir que Seagate propose aussi un Backup Plus Fast de 4 To lui aussi, mais qui intègre deux disques durs au lieu d’un seul.

Comme la plupart des modèles portables, les Backup Plus et Plus Slim sont alimentés via leur port micro USB 3.0 par un câble standard livré avec l’appareil. Ce dernier assure donc l’alimentation et le transfert des données. Lors de notre essai, il a très bien fonctionné sur tous les ports USB 3.0 et 2.0 que nous avons testé. Le boîtier du disque est en aluminium ce qui lui confère à la fois robustesse et légèreté.

Le disque est préformaté en NTFS et fonctionne directement sous Windows. Il est aussi possible de télécharger le pilote NTFS pour Mac afin qu’il fonctionne sur des machines Apple sans reformatage. Et si vous voulez le formater en HFS+ pour qu’il fonctionne nativement sur les Mac, vous avez à disposition un pilote HFS+ pour Windows grâce auquel vous pourrez utiliser le disque dur externe "formaté Mac" sur une machine Windows.Avec le Elite x3, HP souhaite proposer aux professionnels un smartphone performant et polyvalent sous Windows 10.Alors que les parts de marché de Microsoft dans le domaine des smartphones ne semblent pas vouloir grimper, la firme se devait de proposer autre chose que ses Lumia. C’est désormais chose faite grâce à HP qui a profité du MWC 2016 pour dévoiler le Elite x3. Avec ce produit, les deux sociétés s’adressent avant tout aux professionnels à la recherche d’une solution complète.

Le mélange entre smartphone, tablette et PC
Le HP Elite x3 est un grand smartphone de 6 pouces fonctionnant sous Windows 10 Mobile. Outre mêler les mondes du smartphone et des tablettes avec cette grande taille, le terminal est compatible avec la fonctionnalité Continuum et propose ainsi de se transformer en PC fixe ou portable. Il suffira pour cela de le docker au choix sur un dock HP (ports Ethernet et USB) pour déporter l’affichage sur un écran ou au HP Mobile Extender, une sorte d’ordinateur portable sans composants internes doté d’un écran plat de 12,5″, d’un clavier et d’une batterie.

Quatre jours plus tard, le 2 Octobre, El Alto, Espinoza, Kate et moi-même montons à bord d’un vol charter auto-financé à partir de d’un aéroport de la région de Los Angeles pour une ville au centre du Mexique. Après l’atterrissage, un chauffeur de l’hôtel nous prend en minibus et nous conduit à l’hôtel qu’on nous avait conseillé de réserver. Méfiant envers tous les êtres vivants ou objets autour de moi, je scanne les voitures et leurs chauffeurs, les mères, les nourrissons en poussettes, les grands-mères, les paysans dans la rue, les toits du bâtiment, les rideaux aux fenêtres. Je regarde le ciel en quête d’hélicoptères. Il ne fait aucun doute dans mon esprit, que le DEA et le gouvernement mexicain ont surveillé chacun de nos mouvements. Depuis le moment où Kate était devenue visible avec son Tweet de Janvier 2012 au début de nos négociations cryptées avec El Chapo, j’ai été avais été déconcerté par sa volonté de prendre le risque de notre visite. Si Kate était surveillée, alors tous ceux qui étaient sur le même vol avec elle, devaient l’être. Je ne vois aucun espion mais je me doute qu’ils sont là, tout près.

A travers le pare-brise, alors que nous approchons de l’hôtel, je vois sur le trottoir un homme, la quarantaine, vêtu de façon décontractée, montrer son chemin à notre chauffeur tout en composant un numéro sur son téléphone portable. C’est Alonzo, j’allais l’apprendre, qui est un associé d’El Chapo.
Nous récupérons nos bagages et quittons le mini-van. Presque immédiatement, le trafic autour du point de ramassage se dissipe. Hors de ma vue, quelqu’un bloque les rues avoisinantes. Puis, un convoi solitaire de SUV apparaît en face de notre hôtel. Alonzo nous demande d’abandonner nos appareils électroniques et de les laisser derrière – téléphones portables, ordinateurs, etc. J’avais laissé le mien à Los Angeles, ayant anticipé cette demande.
Mes collègues donnent les leurs au guichet de l’hôtel. Nous sommes emmenés dans les véhicules. Alonzo porte un fusil de chasse, mes collègues et moi derrière lui. Alonzo et le pilote parlent rapide et silencieusement en espagnol.
Mon espagnol est mauvais. La journée, je m’en tiens bien souvent aux bonjours et au revoirs (hola et adios). Le nuit, avec quelques verres dans le nez, je peux m’en sortir, parler lentement et écouter. La conversation sur les sièges avant ne semble aucunement menaçante, juste un échange coopératif pour organiser la logistique de notre voyage. Tout au long de l’heure et demie de route en dehors de la ville, à travers les terres agricoles, les deux hommes reçoivent de fréquents messages sur leurs BlackBerry – peut-être des consignes pour notre itinéraire pour garder notre convoi en sécurité.

A chaque message reçu, l’aiguille du compteur de vitesse grimpe. Nous allons à plus de 100 miles à l’heure. J’aime la vitesse. Mais pas quand ce n’est pas moi qui suis au volant. Pour me calmer, je me dis que j’ai toutes les raisons de mémoriser l’itinéraire de notre voyage. C’est sur quoi j’essaie de me concentrer et non pas sur les échanges entre les deux étrangers qui nous conduisent.
Nous arrivons sur un aérodrome à la piste boueuse. Les gardes du corps en costume se tiennent à côté de deux avions monomoteurs à hélice 6 places. Ce n’est que lorsque l’on monte à bord de l’un des deux avions que je me rends compte que notre pilote est le fils d’El Chapo, Alfredo Guzmán, 29 ans. Il monte à côté de moi, choisit parmi notre escorte personnelle d’aller pour voir son père avec nous. Il est beau, maigre et bien habillé, avec une montre-bracelet qui pourrait valoir plus que tout l’argent stocké par les banques centrales de la plupart des États-nations. Il a une putain de montre-bracelet.

Les avions décollent, et nous voyageons environ deux heures, tels deux oiseaux rebondissant côte à côte au-dessus de la jungle montagneuse. Je réalise une fois de plus tous les risques que prend El Chapo en nous recevant. Nous n’avions pas les yeux bandés, et tout voyageur expérimenté aurait pu être en mesure de repérer une série de points, qui, par triangulation auraient permis de retracer notre itinéraire. Mais grâce à sa foi en Kate, qu’il n’avait pourtant jamais connue qu’à travers des lettres ou par BlackBerry Messenger, nous bénéficions d’une confiance totalement inhabituelle de sa part.

Je demande à Alfredo comment il peut être sûr que nous ne sommes pas suivis ou surveillés. Il sourit (je note que ses yeux ne cliquent pas beaucoup) et me montre la commande rouge du brouilleur de radar, sur la tableau de bord de l’avion. «Ce bouton bloque la couverture radar au sol, » dit-il. Il ajoute qu’ils ont une taupe à l’intérieur qui les prévient lorsque l’avion de surveillance en haute altitude de l’armée est déployé. Il est certain que nous ne sommes pas surveillés. Avec Kate aidant à la traduction, nous bavardons pendant tout le vol. Je fais très attention à ne rien dire qui pourrait gâcher l’accueil que son père nous réserve avant même que nous ne soyons arrivés.

Après deux heures d’avion, nous amorçons la descente au cÅ“ur des montagnes pour atterrir au niveau de la mer. Le pilote utilise son téléphone crypté pour contacter du monde au sol. J’ai l’impression que les militaires sont en train de renforcer les opérations dans la zone de recherche. Notre piste d’atterrissage semble être soudainement devenue dangereuse. Après quelques minutes de discussion avec le sol et des tours en rond à basse altitude, nous trouvons une piste alternative où deux SUV attendent dans l’ombre d’une rangée d’arbres, et nous posons. Le vol a été assez chaotique pour que nous ayons tous bu quelques gorgées de tequila Honor, une nouvelle marque que Kate vend. Je descends de l’avion, j’avance d’un pas léger, en mesurant chacun de mes gestes, vers les véhicules qui nous attendent. Je jette mon barda à l’arrière d’un des SUV ouverts et me rends derrière les arbres pour pisser. La queue à la main, je me dis que je tiens là une partie bien vulnérable de mon corps face aux couteaux de narcos irrationnels ; je lui accorde un profond regard avant de la rentrer dans mon pantalon.

« Notre piste d’atterrissage semble être soudainement devenue dangereuse. »
Espinoza avait subi il y a peu une lourde chirurgie. Il s’est étiré, a réajusté son corset chirurgical, l’exposant à tous. J’ai eu peur qu’un de nos hôtes ne confonde le corset avec un dispositif qui aurait contenu une puce ou un tracker. Alors que tous les yeux sont rivés sur lui, Espinoza ajuste méthodiquement le velcro autour de son ventre, relève doucement la tête et répond aux regards suspicieux par son plus beau sourire. « Chirurgie du dos », dit-il en espagnol. La situation s’apaise instantanément.
Nous avançons dans la jungle, à travers la montagne, dans un convoi de deux camions, traversant rivière sur rivière pendant 7 longues heures. Espinoza et El Alto sont avec le pilote dans le premier véhicule, Kate et moi-même sommes avec Alonzo et Alfredo dans le camion de derrière. Parfois la jungle s’ouvre sur de vastes champs, puis se referme à nouveau sur nous. Tandis que nous prenons de l’altitude, des panneaux indiquent des noms de villages. Et alors que nous semblons arriver aux portes d’Oz, le plus haut sommet visible depuis là où nous nous trouvons, nous arrivons à un check point militaire. Deux soldats du gouvernement en uniforme, armes au poing, s’approchent de notre véhicule. Alfredo baisse la fenêtre passager ; les soldats reculent, avec un air embarrassé, puis nous laissent passer. Wow, c’est donc ça le pouvoir d’un des visages de Guzman ? Et la corruption de toute une institution ? Cela signifie-t-il que nous approchons de notre homme ?

« Wow, c’est donc ça le pouvoir d’un des visages de Guzman ? Et la corruption de toute une institution ? »
En fait, il a fallu encore quelques heures de jungle avant d’avoir un signe indiquant qu’on se rapprochait. Des étrangers sont apparus, comme sortis de nulle part, sur la piste boueuse, faisant un point avec nos pilotes et échangeant des appareils radio. Les téléphones sont inutiles ici, j’imagine qu’il y a des antennes radio à différents points élevés pour rendre possibles leurs communications internes.

Nous étions partis de Los Angeles à 7 heures du matin. A 21h, heure du tableau de bord du véhicule, nous arrivons dans une clairière où plusieurs SUV sont garés. Une petite équipe d’hommes semble nous attendre. Sur un tertre proche, j’aperçois quelques vieux bungalows. Je sors du camion, cherchant l’approbation de mes hôtes pour aller récupérer mon sac dans le coffre. On m’en donne l’autorisation. Je le récupère. Et alors que je le sors du coffre… il est là. Juste derrière le camion. Le fugitif le plus célèbre du monde : El Chapo. En un clin d’œil, mon esprit fait le tour des centaines de photos et articles le concernant. Aucun doute, c’est bien lui. Il porte une chemise en soie à motifs sur des jeans noir et semble incroyablement soigné et en bonne santé pour un homme en fuite. Il ouvre la porte de Kate et la salue comme si c’était sa fille qui revenait après de longues études. Il semble important pour lui de témoigner son affection en personne, ce qu’il n’avait pu faire jusqu’alors que de très loin. Après l’avoir saluée, il se tourne vers moi avec un sourire hospitalier et me tend la main. Je la lui serre. Il me tire vers lui dans une embrassade amicale et m’adresse une longue phrase d’accueil dans un espagnol trop rapide pour mes oreilles. Je reprends mes esprits, le temps de lui expliquer en mauvais espagnol que Kate sera ma traductrice tout au long de notre rencontre. C’est là qu’il réalise que je n’ai pas compris ce qu’il m’a dit. Il rit avec son équipe d’avoir cru que je parlais espagnol, et de mon émotion passagère qui l’avait laissé s’étaler en présentations alors que je ne comprenais rien.

Posted by: retrouve3 at 08:18 AM | No Comments | Add Comment
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