September 07, 2016

Batterie Asus g73jh-ati-5870

Il est bien entendu possible de sauvegarder ses patterns préférés ainsi que leur tempo (48 à 240 bpm) et d'enchaîner les mesures aux signatures rythmiques variées (poke aux fans de prog). On a accès à divers effets (reverb, EQ et spatialisation sonore) ainsi qu'à un accordeur chromatique et à un métronome, que l'on peut régler sur l'écran situé sur la face supérieure.Le Stageman 80 peut également enregistrer l'intégralité de votre performance (c'est-à-dire les sources branchées, les boucles et les effets) en WAV (44,1 kHz / 16 bits) — au maximum 50 pistes et 3 heures en continu. Certains l'adorent, d'autres s'arrachent les cheveux rien qu'à y penser, mais ce qui est certain, c'est que 40 ans encore après son invention, le Rubik's Cube ne laisse personne indifférent. Le fabricant audio (entre autres) Bigben, qui malgré son nom est bel et bien gaulois, reprend l'aspect du casse-tête créé par le sculpteur et architecte hongrois éponyme, mais (à notre plus grand regret) n'en fait pas un jeu fonctionnel. Qu'à cela ne tienne, parlons de l'enceinte.

Comme toujours, on dispose d'une entrée auxiliaire analogique en mini-jack ainsi que d'une connexion Bluetooth (facilité d'appairage grâce à la présence d'une puce NFC). La BT10RUBIKS embarque également un kit mains libres qui promet de réduire les bruits parasites ambiants. Le volume, enfin, est réglable en effectuant une rotation de l'étage supérieur du cube. Bigben nous promet 8h d'autonomie ainsi qu'une puissance de 10 Watts.Juste pour le plaisir, entretenons-nous quelques secondes de ce merveilleux petit cube : ErnÅ‘ Rubik l'invente en 1974 pour amener ses étudiants d'architecture à s'intéresser à la géométrie en 3 dimensions, et à son mécanisme interne. La première version était monochrome, ce n'est qu'ultérieurement que le professeur pense à colorer chaque face d'une nuance différente. Constatant que l'état initial était particulièrement complexe à retrouver après mélange aléatoire, il décide alors de le commercialiser comme casse-tête. Le succès est exponentiel : entre 1980 et 1982, plus de 100 millions de cubes sont vendus à travers le monde, raflant au passage une multitude de prix.

Le Rubik's Cube étant un excellent support pédagogique pour vulgariser la théorie des groupes et l'analyse combinatoire, profitons-en pour vous donner une idée des possibilités qu'il offre : il y a plus de 43 trillions (millions de millions de millions) de positions (combinaisons) différentes, ou plus précisément 8! (qu'on lit factorielle 8, c'est-à-dire 8 x 7 x 6 x 5 x 4 x 3 x 2) x 12! x 3^7 x 2^10. Si l'on suppose qu'un être humain peut passer en revue en moyenne une combinaison par seconde, il lui faudrait environ 128 600 823 045 années pour résoudre le cube... soit dix fois plus que l'âge approximatif de notre univers. Allez, bonne chance !
Face au succès des PC portables Yoga de Lenovo ou du Spectre x360 de HP, certains constructeurs semblent un brin jaloux et proposent donc leur propre version du laptop "convertible 360". C'est notamment le cas d'Asus, qui vient d'annoncer le ZenBook Flip UX360CA, un laptop qui tente d'allier le design premium de la gamme ZenBook et une charnière "façon Yoga". On retrouve donc un châssis en aluminium brossé et des mensurations très intéressantes (1,3 kg pour 13,9 mm d'épaisseur), et en même temps la possibilité de transformer la machine en tablette. Une tablette cependant assez volumineuse, puisque ce ZenBook Flip propose une dalle de 13,3 pouces au format 16:9. Cette dernière est de type IPS et affiche deux définitions différentes en fonction du modèle choisi : Full HD (1920 x 1080 px) ou QHD+ (3200 x 1800 px).

Le reste des caractéristiques est sans surprise pour de l'ultraportable : processeur Intel Core m de dernière génération (au choix, m3 6Y30, m5 6Y54, ou m7 6Y75), 4 ou 8 Go de mémoire vive (LPDDR3) et 128, 256 ou 512 Go de stockage en SSD. La connectique est quant à elle plutôt complète pour une machine de ce format, puisqu'on y trouve deux ports USB 3, un port USB Type-C, une sortie micro HDMI, une sortie jack, ainsi qu'un lecteur de cartes SD. L'autonomie annoncée est par ailleurs alléchante, puisque le ZenBook Flip aurait une durée de vie de 12 heures. Durée qui sera vérifiée lors d'un test dans notre labo.

Pour le moment, le ZenBook Flip UX360CA n'a ni prix ni date de sortie. Nous avons contacté Asus France pour en savoir plus à ce sujet, et attendons un retour de leur part.
Le DP-X1 arbore un écran tactile de 4,7 pouces d'une définition de 1 280 x 720 px et fonctionne avec le système d'exploitation Android (5.1.1). L'appareil est équipé d'un processeur à 4 cÅ“urs cadencés à 2,2 GHz, associé à 2 Go de mémoire vive. La mémoire interne est de 32 Go, extensible via deux logements microSD d'une capacité maximale de 200 Go chacun. Le DP-X1 intègre une connexion sans-fil Wi-Fi 802.11a/b/g/n/ac (Wi-Fi Direct/WPS) et la technologie Bluetooth avec codecs SBC et aptX. Son autonomie est annoncée à 16 heures (en lecture asymétrique Flac 96 kHz / 24 bits).

Les formats audio pris en charge sont les suivants : DSD (jusqu'à 11,2 MHz), Flac, Alac, WAV, AIFF, Ogg Vorbis MP3, AAC et MQA (à partir de la prochaine mise à jour gratuite). Ce dernier format lossless permet, d'après le constructeur, de garantir à l'utilisateur qu'il écoute exactement la musique validée par l'artiste en studio, y compris dans le cadre d'une diffusion en streaming via une compression sans perte. La fréquence d'échantillonnage peut monter jusqu'à 24 bits/384 kHz. De nombreux réglages sont également présents pour ajuster les caractéristiques sonores à travers des filtres numériques, un égaliseur offrant jusqu'à 16 384 bandes distinctes.

La puissance de sortie maximum est de 2 x 75 mW en asymétrique (32 ohms) et 2 x 150 mW en symétrique (32 ohms). D'après le constructeur, le DP-X1 offre une distorsion harmonique totale inférieure à 0,006 % pour une sensibilité de 115 dB sur une réponse en fréquence qui s'étale de 20 Hz à 80 kHz. On trouve sur le boîtier différentes connectiques, parmi lesquelles une sortie casque 2,5 mm à 4 pôles, une sortie casque 3,5 mm (avec mode sortie ligne) et une entrée micro USB-B/OTG.
Côté technique, le DP-X1 semble bien construit grâce à un circuit électronique optimisé qui sépare bien les différents composants (alimentation, convertisseurs et amplificateurs), permettant de réduire le bruit. Ce lecteur se dote également de deux convertisseurs numériques/analogiques Sabre ESS Technology ES9018K2M et deux amplificateurs Sabre 9601K jumelés, fournissant un circuit équilibré et qui offrirait un contrôle amélioré des signaux symétriques.
Le marchand en ligne Materiel.net propose une nouvelle gamme de PC portables dédiés aux jeux, au design similaire, mais proposant différentes configurations : 15 ou 17 pouces pour l'écran et GTX 970M ou 980M pour la carte graphique, pour des prix allant de 1709 € à 2259 €. Nous avons passé quelques jours en compagnie du modèle d'entrée de gamme, équipé d'une dalle 15 pouces et d'une GeForce GTX 970M. Une machine assez similaire au Gigabyte P55W, notamment. Le résultat est-il aussi convaincant ?

Comme nous l'évoquions dans notre article de présentation, la nouvelle gamme Berserk de Materiel.net reprend intégralement le châssis des P75 du constructeur Clevo. On se trouve donc face à un portable typiquement dans l'esprit « gamer » tout de noir vêtu et profitant d'un revêtement de type soft-touch sur l'intégralité de son châssis. Cette matière a certes l'avantage d'être très agréable au toucher, mais reste assez salissante, les traces de doigts ayant tendance à facilement se voir.La construction et les finitions sont globalement bonnes et nous n'avons relevé aucun défaut de fabrication, même si l'on peut éventuellement tiquer sur l'écart assez large et disgracieux entre l'écran et le châssis ou sur la relative austérité de l'ensemble. Quoi qu'il en soit, si ce n'est certainement pas le portable le plus beau que nous ayons vu, le Berserk MK1 a le mérite de faire dans l'efficacité.

Concernant le confort d'usage, là encore, nous sommes devant une moyenne correcte, sans plus. Le clavier propose une frappe assez souple et précise, et n'est pas sans rappeler celle des machines Alienware. Il profite par ailleurs d'un rétroéclairage paramétrable sur trois zones via un outil logiciel. Ce dernier est cependant assez abscons et il faut beaucoup tâtonner, au début tout du moins, pour maitriser ses secrets.La connectique fait quant à elle dans le classique et l'exhaustivité, puisque l'on profite de quatre ports USB 3, une sortie HDMI, deux DisplayPort, un port Ethernet, une sortie jack pour un casque, une entrée pour un micro, ainsi que deux ports pour le son surround. Ajoutez à cela un lecteur de carte mémoire, et vous obtenez un panel de branchements très complet. Le touchpad est en revanche assez petit (107 x 62 mm), mais il a le mérite de proposer un lecteur d'empreinte digitale. La glisse est agréable et précise, mais on passera très rapidement à une souris, bien plus adaptée dans le cadre d'un usage vidéoludique.

Côté refroidissement, le Berserk MK1 15 s'en sort plutôt bien, avec un point chaud relevé à 41,7°C en façade, juste sous l'écran, et 48°C sous le châssis, malgré l'utilisation d'un processeur de PC fixe. Encore une fois, on se situe à un niveau médian pour cette gamme de machines. On relève cependant un niveau de bruit assez bas, puisque nous n'avons pas dépassé les 43 dB, alors que les ventilateurs tournaient à plein régime.La partie affichage du Berserk MK1 15 est constituée d'une dalle mate de 15,3 pouces en Full HD (1920 x 1080 px) compatible G-Sync. Elle propose un taux de contraste de 1045:1 et une luminosité maximale de 337 cd/m², soit des chiffres très bons pour cette catégorie de produit, qui garantissent une excellente lisibilité, quel que soit l'environnement où l'on se trouve.

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Batterie Asus g53sw-xa2

Nouveauté chez Aorus, la température du châssis (48,1°C) est bien contenue malgré la configuration puissante, mais les nuisances sonores restent très élevées (52 dB(A)). Si de prime abord le constat est positif, il l'est en fait beaucoup moins quand on mesure la température des composants : certes, les cartes graphiques restent à une température normale de 65°C en moyenne et en jeux, mais le CPU monte à plus de 80°C alors qu'il est loin d'être exploité à son maximum. Des valeurs qui ne causeront pas d'arrêt du système, mais qui accéléreront sans aucun doute le vieillissement des composants.L'Aorus X5 ici testé exploite la technologie G-Sync Mobile dans une dalle IPS mate WQHD+ (2880 x1620 px) 75 Hz. Les valeurs de contraste (940:1) et de luminosité maximale (300 cd/m²) sont plus que correctes et garantissent une bonne lisibilité, quelle que soit la luminosité ambiante.

Le delta E — écart moyen entre les couleurs idéales et celles réellement affichées, qui doit être inférieur à 3 pour être parfait — est très correct (4,3). La température des couleurs (7101 K) n'est pas très loin de la norme de 6500 K. La courbe de gamma est quant à elle beaucoup moins satisfaisante ; les dégradés de noir sont bien retranscrits, mais les blancs sont brûlés.La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-5700HQ, 16 Go de mémoire, deux cartes graphiques Nvidia GeForce GTX 965M en SLI et un SSD de 256 Go accompagné d'un HDD de 1 To. Contrairement au reste du test, qui est valable pour toutes les déclinaisons de l'Aorus X5, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.

On retrouve ce type de configuration dans de nombreuses machines pour joueurs, comme le Gigabyte P55 ou le P37X. Sans surprise, l'indice de performance mesuré ici (155) s'approche de celui des deux portables précédemment cités.En pratique, le X5 démarre en un temps record (6 s) et s'éteint presque aussi promptement (8 s). Des temps que l'on doit à la présence du SSD, qui permet également d'avoir des temps de copie très courts ainsi que des temps de chargement en jeu bien plus rapides qu'avec un HDD mécanique.Cette configuration offre un excellent confort lorsque l'on doit utiliser des programmes lourds comme la compression vidéo, l'export de photographies. Les programmes plus légers sont également parfaitement gérés et même si ce portable est dévolu aux joueurs, on pourra s'en servir pour une multitude d'activités plus "productives".

La solution graphique choisie par Aorus est constituée d'un duo de cartes Nvidia GeForce GTX 965M. Cette carte est en fait une demie GTX 980 de bureau avec 1024 unités de calcul, 64 unités dédiées à la gestion des textures et 32 unités de rendu. La fréquence de base du GPU est de 924 MHz, comme sur sa grande sÅ“ur, la GTX 970M. Et si la fréquence de la mémoire graphique (4 Go de GDDR5 par carte) est de 1250 MHz comme sur le reste de la série 900M, le bus et limité à 128 bits. Cette solution était annoncée comme plus performante qu'une seule GTX 980M et c'est bien le cas :

Ce choix ne déçoit pas en pratique. Il permet de jouer à un large panel de jeux avec toutes les options au maximum en définition Full HD (1920 x 1080 px), tout en restant à plus de 60 i/s de moyenne (Battlefield 4 : 80 i/s ; BioSchock Infinite : 93 i/s ; Hitman Absolution : 60 i/s, Metro Last Night : 58 i/s). Seuls des titres très gourmands comme Crysis 3 ont réussi à faire baisser le framerate à une moyenne de 50 i/s.
ARTICLE RECOMMANDÉ : Nous avons testé le G-Sync Mobile de Nvidia
Dans la définition native de la dalle (2880 x 1620 px), le nombre d'images par seconde tombe évidemment aux alentours de 30 i/s avec la totalité des jeux, mais c'est dans ce cas que l'on apprécie la présence de la technologie Gsync Mobile, qui lisse le nombre d'images par seconde pour éviter tout effet de déchirement de l'image et qui rend les jeux étonnamment fluides.

Il est également à noter que nous n'avons rencontré aucun problème de pilotes liés à la configuration en SLI. Tous les jeux testés ont parfaitement reconnu le duo SLI, même s'il faut bien noter qu'il s'agit de titres âgés de quelques mois déjà.Le X5 est particulièrement peu encombrant (390 x 272 x 22,9 mm) pour un modèle gamer de cette puissance. Le poids est également particulièrement contenu (2,5 kg). Ce portable peut donc être déplacé très simplement, mais cela ne le rend pas nomade pour autant puisqu'il n'a tenu que 2h15 lors de notre test d'autonomie (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², rétroéclairage du clavier éteint, casque branché .

En matière de connectique, il ne manque absolument rien au X5. On trouve trois ports USB 3.0, deux ports USB 2.0, un port HDMI, un mini-DisplayPort, un port Ethernet, un port surround, un D-sub, un lecteur de cartes SD, une entrée micro et une sortie casque (S/PDIF).L'Aorus X5 est équipé d'une entrée jack micro et d'une sortie jack casque. Cette dernière est de très bonne qualité. La puissance maximale est très élevée et sans distorsion. La spatialisation est dans le même registre.Les haut-parleurs sont légèrement en retrait, avec une belle puissance de sortie. Les basses sont cependant inexistantes, tandis que les aigus sont convaincants, mais malheureusement accompagnés d'un peu de distorsion à haut volume.
En janvier 2015, le HP Envy x360 récoltait trois petites étoiles, essentiellement à cause d'une dalle médiocre et d'une mauvaise colorimétrie. Le constructeur américain a depuis fourni de jolis efforts de ce point de vue, que ce soit sur ces gammes Envy ou Spectre ; cette nouvelle version de son hybride 15 pouces arrive donc à point nommé.

La version 2016 du Envy x360 propose une dalle IPS Full HD (1920 x 1080 px) ou 4K (3840 x 2160 px), ce qui semble bien plus judicieux que l'écran TN en 1366 x 768 px de l'année dernière. Côté processeur, on trouve de l'Intel i5 ou i7 de génération Skylake, qui s'accompagne de 8 Go de mémoire vive au maximum. Le stockage est par ailleurs paramétrable en fonction de la configuration choisie : présence unique d'un SSD (jusqu'à 256 Go), couple SSD + HDD (jusqu'à 2 To) ou HDD uniquement. La connectique est assurée par deux ports USB 3, un port USB Type-C, une sortie HDMI, ainsi qu'un lecteur de carte SD.HP affirme avoir largement travaillé sur le châssis de l'appareil et annonce un poids de 2,04 kg, pour 18,8 mm d'épaisseur. Il fait donc presque jeu égal, voire mieux, que le dernier Dell XPS 15, qui affiche 1,98 kg pour 23 mm d'épaisseur. L'autonomie aurait également été améliorée, passant de 8 heures à 11 heures.

Bref, sur le papier, ce nouveau PC portable HP Envy x360 a tout du bon produit, et il nous tarde de pouvoir mettre la main dessus. Il va cependant falloir être patient puisque sa disponibilité est annoncée pour juillet, à partir de 899 €.
Une fois n'est pas coutume, nous vous parlons aujourd'hui du fabricant nippon Korg, et plus précisément de sa dernière invention. Eh non, il ne s'agit pas d'un synthétiseur, mais d'une enceinte nomade. Enfin d'un ampli. Et d'un looper. Et d'un séquenceur. Oui, tout cela à la fois.Korg définit le Stageman 80 comme un ampli portable multifonction de haute qualité. Commençons donc par la première partie : le bi-ampli de classe D de 2 x 40 W alimente deux haut-parleurs de 4" et promet de sonoriser une petite à moyenne salle, ou même une performance de rue.

Il est possible d'y brancher deux guitares/basses via une entrée jack 6,35 mm, un micro grâce à l'entrée XLR, une source auxiliaire (stéréo) en mini-jack (lecteur audio, mais aussi clavier, par exemple) ainsi qu'une pédale. Il dispose également d'une sortie ligne/casque stéréo en mini-jack.Pour continuer, ce petit appareil embarque non moins de 3 Go de patterns rythmiques "de haute qualité" (24 genres musicaux, 2 variations par genre, 3 patterns par variation), profitant de toute l'expertise reconnue de Korg dans le domaine de la synthèse de son. Inspiré du jeu de grands batteurs et percussionnistes, le nouvel algorithme développé par le fabricant nippon, "Real Groove Technology", vous évite d'accompagner votre performance des habituelles rythmiques-Playmobil.

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September 06, 2016

Batterie Asus x52jr

En y regardant de plus près, cependant, on découvre quelques défauts. La charnière de l'écran ne semble pas être d'une solidité à toute épreuve, tandis qu'une fois l'ordinateur fermé, le jeu entre la dalle et le corps de l'appareil est assez présent. On constate aussi des arêtes très tranchantes à l'avant et sur les côtés, qui ne sont pas très agréables sous la paume. Côté connectique, rien à signaler, on reste dans du standard pour cette gamme de machines : 2 ports USB 3, 1 port USB 2, une sortie HDMI, un port Ethernet, un lecteur de carte SD et une entrée/sortie Jack pour un casque et/ou micro. Le niveau de chauffe reste quant à lui assez bas, avec un point chaud constaté à 45,3 degrés. Dommage cependant que la partie droite du clavier monte un peu trop en température lorsque la machine est beaucoup sollicitée, ce qui nuit au confort de frappe. Le niveau sonore ne dépasse en revanche pas les 37 dB et l'on profite donc d'un PC très silencieux, quelles que soient les circonstances.

Dès l'allumage, on comprend tout de suite que l'écran de ce Toshiba Satellite sera son talon d'Achille. Difficile d'être surpris, cependant, lorsque l'on sait que l'on a affaire à une dalle TN de 15,6 pouces, affichant une définition de 1 366 x 768 pixels. Angles de vision médiocres, luminosité faible, couleurs très froides… Avant même de poser notre sonde, on sait.Comme prévu, les chiffres ne nous font pas mentir : taux de contraste de 393:1, luminosité maximale bloquée à 233 cd/m2 et température des couleurs de 11 360 K (6 500 K attendus). Petite cerise sur le gâteau, le Delta E moyen monte à 12,2. On rappelle que le Delta E (dE) représente l'écart entre les couleurs mesurées et les couleurs idéales et doit être inférieur à 3 pour être considéré comme bon. Bref, les blancs sont presque bleus, les noirs tirent vers le gris et la fidélité est aux abonnés absents. Et inutile de préciser qu'il sera quasiment impossible de travailler correctement dans un environnement extérieur avec un poil de soleil.

La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i3-4005U, 4 Go de mémoire vie, une carte graphique Nvidia GeForce 920M et un disque dur de 1 To à 5 400 tr/min. Entre un processeur double cÅ“ur cadencé à 1,7 GHz de génération Haswell, seulement 4 petits gigaoctets de RAM et un disque dur mécanique tournant à 5 400 tours par minute, on ne peut pas dire que l'on espérait des performances inoubliables sur ce PC portable. Comme pour l'écran, nos craintes sont globalement justifiées : la machine accuse régulièrement quelques lenteurs, notamment dans le lancement d'applications et le traitement de tâches impliquant des accès au disque dur (compression sous Winrar, par exemple). Le démarrage de l'OS prend presque 25 secondes, tandis qu'il s'éteint complètement en 19 secondes.

Malgré ces quelques soucis de lenteur et un indice de performance franchement bas, cette configuration reste suffisante pour un usage bureautique assez poussé, un peu de retouches graphiques ou vidéo légères, et bien entendu du surf sur le web. Reste tout de même que l'on regrette l'absence d'un disque dur un peu plus rapide, voire d'un SSD, ce qui lui aurait franchement permis de gagner quelques points.Vous espérez jouer à quelques titres récents et en 3D sur le Toshiba Satellite C55-C-1F0 ? Oubliez tout de suite. Malgré le joli autocollant « Nvidia » sous le clavier, la carte graphique 920M ne permet pas vraiment de profiter d'un jeu, à moins d'aimer le rétro-gaming ou le pixel-art. En revanche, aucun souci pour décompresser et lire des vidéos, quel que soit le format.

Avec ses 2,2 kg et ses 23,5 mm d'épaisseur, on ne peut pas dire que la machine rentre dans la catégorie des Ultrabook. Cependant, elle reste suffisamment compacte pour être transportée sans souci dans un grand sac, d'autant plus que son chargeur est de petite taille. L'autonomie est quant à elle honnête, puisque notre test de lecture vidéo (visionnage d'une série Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché atteint les 176 minutes. On peut également tabler sur 6 heures d'utilisation polyvalente.Équipé d'une prise Jack pour un casque-micro, le Toshiba Satellite C55-C-1F0 affiche également un large haut-parleur juste au-dessus de clavier. Hélas, le son délivré est franchement médiocre : le volume maximal est assez faible, la distorsion arrive rapidement et les aigus ainsi que les basses brillent par leur absence.
Le savoir-faire de MSI en matière de PC portables "gamers" n'est plus vraiment à prouver, la marque étant devenue avec Asus leader sur ce marché. Nombreux sont les modèles à avoir obtenu 5 étoiles dans notre labo : GE72, GS60, GT80... Autant de produits certes chers, mais parfaits pour jouer dans d'excellentes conditions.

Cette promotion chez Materiel.net est en intéressante, car elle permet de profiter de 7 % de réduction sur de nombreux PC portables MSI, en entrant le code 9E5A-9BNJ-KPPNPJ. Le "monstre" GT80S, équipé d'un SLI de GTX 980M et vendu 3 799,90 €, tombe ainsi à 3 533,90 €. Annoncé en janvier dernier lors du CES 2016, le nouveau PC portable X5S d'Aorus est désormais disponible à la vente, au prix public de 2 549 €. Comme ses prédécesseurs, nous avons affaire à un laptop "gamer" très haut de gamme, qui mise à la fois sur la puissance et sur la compacité de son châssis. En effet, rares sont les machines équipées d'une carte graphique Nvidia GeForce GTX 980M qui ne dépassent pas les 23 mm d'épaisseur. Avec une telle finesse se posent bien entendu les questions de la chauffe et de la nuisance sonore. Chose que nous vérifierons bien entendu lors d'un prochain test.

Quoi qu'il en soit, le X5S est une machine luxueuse, à la puissance de feu élevé. Outre sa carte graphique qui devrait permettre de jouer à tous les derniers titres en Full HD à 60 images par seconde, il profite d'un processeur Intel Core i7-6700HQ, de 16 Go de mémoire vive (DDR4), d'un SSD de 256 Go et d'un HDD de 1 To tournant à 7200 tours par minute. Sa dalle de 15,6 pouces n'est également pas en reste et affiche une définition UHD (3 840 x 2 160 pixels). Difficile d'espérer, en revanche, pouvoir jouer dans de bonnes conditions à des jeux récents en 4K, même avec une 980M.La connectique se veut très complète : une sortie HDMI 2.0, un mini DisplayPort, un port VGA, 3 ports USB 3, un port USB Type-C, un port Ethernet. Aorus évoque également la présence de deux haut-parleurs intégrés, accompagnés d'un caisson de basse.

Bref, le tarif d'entrée est certes très élevé, mais ses composants et le faible encombrement de son châssis pourraient bien rendre ce X5S intéressant pour les joueurs exigeants (et fortunés).
Entre les puissants X3+ (un 13") et le X7 Pro (un 17"), Aorus n'avait encore aucune machine. Un vide comblé par le nouveau X5, un portable pour joueurs qui affiche lui aussi une fiche technique alléchante pour les amateurs d'ordinateurs portables sous stéroïdes (processeur Intel Core i7-5700HQ, duo SSD et HDD, 16 Go de mémoire vive, SLI de Nvidia GeForce GTX 965M).
Le châssis du X5 reprend le design des X3+ et X7 Pro. Nous faisons donc face à une machine entièrement en aluminium noir et qui arbore une tête d'aigle rétroéclairée sur le capot et sur le touchpad. Les lignes sont anguleuses et l'arrière du châssis, présente des larges grilles de ventilation façon véhicule de sport.

Les finitions et la qualité générale de l'assemblage sont sans défauts. La charnière est solide et oppose une résistance qui semble promettre une bonne longévité. Nous n'avons noté aucun jeu et lorsque l'on porte la machine. Elle montre une bonne rigidité, rien ne se tord ou ne bouge. Sur ce point la machine n'a pas à rougir de ses concurrents, que ce soit chez Asus ou MSI.Le clavier chiclet rétroéclairé (sur deux niveaux d'intensité dispose de touches de bonne taille et correctement espacées. Leur rebond manque toutefois de consistance, tandis que la course est légèrement trop courte pour offrir un confort optimal lors des longues séances de frappe. Certaines sont dédiées aux macros sur la partie gauche du clavier ; un bon point pour les amateurs de MMO. Le touchpad est relativement petit et sa surface est constituée de verre. Cela facilite certes la glisse, mais il se couvre très vite de traces de doigts. Il gère par ailleurs tous les raccourcis propres à Windows. Si on ne peut le conseiller aux joueurs, qui préfèreront bien sûr une bonne souris gamer, il est parfaitement adapté à la bureautique et à la navigation.

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Batterie Asus n82jv-x8ej

Peu d'évolutions dans notre guide des laptops, mais tout de même un changement notable, dans la catégorie "le choix de la rédaction". Alors que le MSI PX60 squatte cette place depuis de nombreux mois, il se fait enfin dégager par le constructeur Dell. En effet, le PX60 reste clairement une excellente machine, mais n'est plus tout à fait au goût du jour. On lui préfère un PC équipé d'un processeur de dernière génération et surtout d'un écran tout bonnement bluffant.
Si vous suivez régulièrement l'actualité des PC portables dédiés au jeu, ce GS60 devrait vous être familier. MSI a en effet déjà sorti différentes machines sous ce nom, qui ont toutes un point commun : des dimensions et un poids réduits. Ce nouveau GS60 reprend donc les grandes lignes de ses prédécesseurs, mais opte pour la nouvelle génération de processeurs Intel. Couplé à une carte graphique Nvidia GeForce GTX 970M, il devrait nous faire profiter d'une expérience vidéoludique de haut niveau.

La philosophie des GS60 de MSI est simple, et n'a jamais changé : essayer de caser les composants les plus puissants et haut de gamme possible, dans un châssis fin et léger. Sur ce dernier point, le GS60 tient une fois de plus toutes les promesses, puisque l'on profite d'un PC portable qui ne dépasse pas 20 mm d'épaisseur et un poids de 2 kg. Bref, une jolie prouesse, d'autant plus que le constructeur n'a pas lésiné sur la finition et le design. La sobriété et la « classe » propres à la gamme se retrouvent parfaitement dans ce GS60 : retour de l'alliage de magnésium noir, large touchpad entouré d'un liseré argenté, clavier chiclet rétroéclairé conçu par Steelseries, logo MSI discrètement illuminé… Autant de petits détails qui font la différence. On regrette toutefois un revêtement assez brillant qui retient les traces de doigts ainsi que des bandes autour de l'écran un poil trop larges à notre goût. On constate en tout cas très peu de différences de conception par rapport au GS60 Ghost Pro testé l'année dernière, sauf du côté de la connectique. Certains choix du constructeur risquent en effet de faire grincer des dents, puisqu'il n'y a désormais plus que deux ports USB 3.0, situés sur le côté gauche.

Pour compenser, on trouve un port USB Type-C sur la droite, certes bienvenu, mais encore trop peu utilisé pour être vraiment indispensable. Le reste de la connectique ne change en revanche pas par rapport au précédent GS60 : un port Ethernet, une sortie HDMI, un mini DisplayPort, un lecteur de carte SD, ainsi qu'une sortie jack pour un casque et une entrée pour un microphone. Un mot, enfin, sur la température et le bruit dégagés par la machine. On note un point chaud de 50°C sur la partie supérieure gauche du clavier, et jusqu'à 66,8°C dans la partie arrière, lorsque le PC est beaucoup sollicité. Dans ces moments-là, la soufflerie s'active en fanfare et le bruit monte à 42 dB. Bref, si le GS60 est une machine au design discret, sa propension à la chauffe et à la ventilation gâche un peu la magie.La dalle est ici une IPS mate de 15,6 pouces en Full HD (1920x1080x), mais il existe également une version 4K de cet écran, qui fait tout de même grimper la facture d'au moins 400 €. Un écart énorme pour un intérêt minimal, d'autant plus que jouer correctement en 4K avec une carte graphique GeForce GTX 970M relève tout simplement de l'impossible.

L'année dernière, nous vantions les mérites de l'écran du précédent GS60, en le gratifiant de 5 jolies étoiles. Force est de constater que le bilan est un peu moins bon 12 mois plus tard, même s'il reste globalement très positif. On regrette tout d'abord l'absence de compatibilité avec G-Sync qui, même si elle reste une fonctionnalité plus intéressante sur les PC fixes, est très appréciable sur les laptops.

On profite par ailleurs d'un Delta E de 4,6, ce qui est correct, mais pas exceptionnel. On rappelle que le Delta E représente l'écart entre les couleurs idéales et les couleurs affichées, et doit être en dessous de 3 pour être considéré comme excellent. La température des couleurs est de 7011 K (pour une référence à 6500 K), ce qui se traduit par des teintes très équilibrées, mais qui virent très légèrement vers le bleu. La luminosité maximale monte à 288 cd/m², ce qui est assez moyen, d'autant plus que le modèle de l'année dernière affichait 297 cd/m². Enfin, le taux de contraste (975:1) et le gamma (2,3) restent très bons pour cette catégorie de produit.Au final l'écran du GS60-6QE est tout de même d'excellente facture. On profite d'une belle colorimétrie, de noirs assez profonds et d'une bonne lisibilité, quel que soit l'environnement extérieur.

La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-6700HQ, 16 Go de mémoire vive en DDR5, une carte graphique Nvidia GeForce GTX 970M, un SSD de 128 Go et un disque dur de 1 To à 7200 tr/min. On arrive ici à la principale nouveauté de ce MSI GS60 : l'intégration d'un processeur Intel de 6e génération, estampillé Skylake. Concrètement, nous avons ici affaire à un Core i7-6700HQ, CPU gravé en 14 nm et doté de 4 cÅ“urs. La fréquence de l'ensemble est de 2,6 GHz (3,5 GHz en mode Turbo). Intel a également amélioré le processeur graphique intégré — appelé HD Graphics 530 — qui prend désormais nativement en charge la 4K à 60 Hz sur un DisplayPort et 24 Hz sur le HDMI. Bref, sur le papier, ce processeur a tout pour afficher d'excellentes performances, tout en consommant sensiblement moins qu'une machine équipée d'un CPU plus ancien.

Une fois passé à la moulinette de nos benchmarks, en effet, l'indice de puissance est très bon, mais pas largement supérieur à celui des processeurs haut de gamme de l'année dernière. Plus étonnant, l'indice de performance est exactement le même que celui du MSI GS60 de 2014. Bref, si ce chiffre peut finalement légèrement décevoir, il faut bien avoir conscience que la puissance ici délivrée est largement suffisante pour tous les usages, même les plus poussées. Ajoutez-y 16 Go de RAM en DDR5, un SSD de 128 Go et vous obtenez une machine extrêmement véloce, qui exécutera toutes vos tâches sans broncher. Les chronos sont également excellents, avec un démarrage en 15 secondes et un arrêt en 11 secondes.

Si le processeur de ce GS60 évolue quelque peu et bascule sur la nouvelle génération d'Intel, la partie graphique est désormais bien rodée. On retrouve en effet une Nvidia GeForce GTX 970M, bien connue des joueurs nomades. Pour rappel, nous avons affaire à un GM204 à 1 280 unités de calcul fonctionnant à 924 MHz de base. Le tout est accompagné de 3 Go de GDDR5. Sans grande surprise, donc, on profite de très bonnes performances dans les jeux. Vous pourrez en effet afficher 57 images/seconde sur Battlefield 4 en qualité « ultra », 86 images/seconde sur Tomb Raider (qualité extrême, Tress-FX désactivé ou encore 29 images/seconde sur Metro Last Light (là encore, en qualité Ultra). Bref, pour une expérience totalement fluide et optimale, il faudra tout de même baisser légèrement le niveau de détails sur certains titres très exigeants en ressource (on pense notamment à The Witcher 3 ou Dragon Age Inquisition). Pas de quoi brider le plaisir vidéoludique.

Comme nous le disions en introduction, le GS60 de MSI a l'avantage d'être un PC portable gamer très facile à transporter, notamment grâce à son poids de 2 kg et sa finesse (20 mm). N'espérez pas pour autant l'utiliser véritablement sans le brancher sur le secteur, puisque notre test d'autonomie (visionnage d'une série Netflix, luminosité à 200 cd/m², casque connecté n'a pas dépassé 1h51. On reste toutefois dans une moyenne correcte pour ce genre de machine.Note : en raison d'un problème technique, nous n'avons pas pu tester la partie audio dans les conditions habituelles imposées par notre protocole.

Les haut-parleurs du GS60 occupent une large bande juste au-dessus du clavier, tandis que la connectique propose une entrée micro et une sortie casque. Cette dernière délivre une puissance très correcte et une bonne spatialisation, mais a tendance à vite arriver dans la distorsion. Les HP sont quant à eux très moyens, mais ce n'est guère une surprise sur ce genre de machine ; la puissance reste limitée, les basses et les aigus sont très peu présents. On se contentera donc de les utiliser avant tout pour faire passer de la voix ou les sons système. Ce PC portable Satellite de Toshiba est, à première vue, une véritable machine d'entrée-milieu de gamme. Son tarif est en effet fixé à moins de 500 € et on profite donc d'une configuration et d'un design éloignés d'un produit premium : châssis en plastique, processeur Intel Core i3, carte graphique GeForce 920M de chez Nvidia, ou encore absence de SSD, au profit d'un disque dur de 1 To. Mais la qualité de l'expérience utilisateur est-elle tout de même satisfaisante ?

« Le plastique, c'est chic » pourrait-on dire en voyant pour la première fois le Toshiba Satellite C55-C-1F0. La conception de la machine est en effet en parfaite cohérence avec son positionnement tarifaire et vous ne trouverez pas la moindre trace d'aluminium ou d'un quelconque matériau noble sur son châssis. Ne faisons cependant pas preuve de mauvaise foi, puisque l'ensemble est étonnamment agréable à l'Å“il. L'effet « brossé » sur le capot et autour du clavier y est sans doute pour beaucoup, mais pas seulement : les bords autour de l'écran sont plutôt discrets, le plastique ne craque pas et l'ergonomie générale est bonne. On profite en effet d'un clavier chiclet équipé d'un pavé numérique très confortable — mais sans rétroéclairage —, ainsi que d'un touchpad certes un peu petit, mais profitant d'une glisse rapide et précise.

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September 03, 2016

Batería Lenovo L10M4P12

Donde por ahora no hay discusión es en la enorme calidad del lápiz digital del iPad Pro, aquí está claro: si eres una persona que usa este tipo de accesorios, el iPad Pro es para ti. ¿Quién se debería comprar el Surface Pro 4? Si buscas un portáil ligero, cómodo, táctil y con un diseño del que puedes presumir, este es tu equipo. Eso sí, prepara la cartera. Esta semana acaba oficialmente la feria IFA de Berlín que se corona como uno de los grandes eventos de tecnología en Europa. Entre las novedades existe una nueva generación de portátiles con una de las mayores actualizaciones en procesadores de los últimos años, conocida por su nombre en clave Skylake. Y sí, te afecta más de lo que parece. Sobre todo si estás pensando en comprar un nuevo portátil.

Se trata de la sexta generación de procesadores Intel Core que promete mejoras de velocidad, portátiles más delgados y que no necesitan ventiladores, además de suponer un menor de consumo de energía.
Según Intel, en el mundo existen 500 millones de equipos con más de 4 años de vida. Funcionan bien pero están acercándose a ese punto donde la batería y el rendimiento están lejos de lo que eran cuando se compraron.
Las capacidades de ‘Skylake’ Intel promete en cada generación la mayor velocidad, el mejor consumo de energía y los mejores gráficos. Simón Viñals, director de tecnología de Intel España, explica a Teknautas que con Skylake la velocidad aumenta hasta 2,5 veces comparada con equipos anteriores. También se reduce el consumo de energía permitiendo arañar una hora más de uso. "Un PC con Intel Core M de última generación puede tener una vida de batería equiparable a la de una tablet moderna como un iPad Air 2, de unas 10,5 horas. Con un Core M7, que tiene un rendimiento superior, lograría unas 10,1 horas".

Intel hace estas comparaciones con equipos de hace 5 años, los mismos que las principales marcas del sector buscan reemplazar. Cuando se comparan con las útlimas generaciones de Intel Core, Simon Viñals añade que "con un PC de cuarta generación, de hace dos años, se logra una mejora de un 60% de consumo de energía”. ¿Cómo lo logra? Entre algunos de sus trucos está la tecnología Intel Speed Shift Technology que adapta el rendimiento de una forma dinámica.
La mejora gráfica de Skylake también es importante. Con los nuevos gráficos HD de Intel se mejora el rendimiento en aplicaciones y juegos, pero serán los procesadores equipados con tecnología Intel Iris Graphics los que podrán ejecutar los juegos actuales.

Kirk skaugen demuestra 'skylake' en idf14Kirk skaugen demuestra 'skylake' en idf14
La gama más popular de procesadores para portátiles suelen ser los Intel Core M. Están diseñados para tener un funcionamiento similar a la gama superior Intel Core iX, pero con menor consumo y calentamiento que permitirá tener portátiles y equipos híbridos más potentes que no necesitan ventiladores.

Presente en versiones anteriores, Skylake incluye tecnología inalámbrica como Wireless Display para emitir la pantalla de tu PC a un televisor, Wireless Docking para profesionales que usen un dock de conexiones al llegar a su puesto de trabajo, y la gran sorpresa que se espera para 2016: la carga inalámbrica.
Intel quiere traer al mundo del PC la carga por inducción. Funcionará de forma similar a la de los móviles, capaces de cargar su batería con el contacto de bases especiales. Intel Wireless Charging promete la misma experiencia para portátiles: con que toque la superficie plana de inducción conectada a una toma de corriente, la batería se cargará.

La última versión del sistema operativo de Microsoft ocupa un lugar especial en el desarrollo de Skylake. No solo se trata de la velocidad, también de aprovechar nuevas tecnologías que esperan los usuarios usen en su día a día.
En Windows 10 podrás activar tu equipo con un comando de voz tipo "Cortana, despierta”. Automáticamente te mostrará el escritorio o la pantalla de acceso donde escribes tu contraseña.
Intel RealSense y Windows Hello toma datos de 78 puntos de referencia de la cara
Las contraseñas también son algo que quieren cambiar. La tecnología RealSense de Intel y Windows Hello permite que con mirar a la cámara puedas acceder a tu escritorio automáticamente. Esta es una característica con varios años de antigüedad, pero se ha mejorado centrándose en una mayor seguridad. Hasta ahora, se podía saltar esta protección con fotos del propietario, pero para esta nueva generación se asegura que la tecnología de Intel es capaz de diferenciar incluso a dos gemelos idénticos gracias a que toma datos de 78 puntos diferentes de la cara.

Esta tecnología de reconocimiento no sirve solo para acceder a tu equipo, Intel prevé su uso como solución para aprobar pagos online o acceso a servicios web almacenando tus contraseñas en su aplicación Intel TrueKey.
¿Hasta cuándo debería esperar?
Los principales fabricantes ya están trabajando en nuevos equipos que incorporen Skylake. Intel confirma que se podrán empezar a vender entre finales de septiembre y principios de noviembre, pero las fechas exactas son competencia de los fabricantes y varían según el país.

La campaña de vuelta de las vacaciones no tendrá una nueva generación de portátiles y habrá que esperar algunas semanas para hacerse con un equipo con Skylake. Entre que lleguen a los fabricantes y estos pongan a la venta los nuevos portátiles en España, no será hasta el próximo otoño cuando veamos una mayor variedad de equipos de donde elegir y con más ofertas de precios.
¿Conclusión? Si ibas a comprarte un nuevo portátil, espera al menos dos o tres meses, verás aparecer en las tiendas los primeros portátiles con procesadores Skylake. Y si puedes esperar a comienzos del año que viene, mejor que mejor, la variedad será entonces mucho mayor.

La escena es cada vez más frecuente. Los cafés de moda están llenándose de un perfil de usuario sobre el cual no parece haber acuerdo en el mundo de la hostelería. Algunos los llaman "los okupas del café” y responden a un perfil bastante generalizado: hipsters con el rostro iluminado por las pantallas de sus iPads o portátiles, y que se pasan horas ocupando una mesa al fresquito de la climatización del local y disfrutando de su música, y por descontado, de su ancho de banda. ¿Es rentable este tipo de usuario? En Estados Unidos es un debate candente en el que algunos propietarios han optado por cerrar el grifo por completo eliminando la red inalámbrica, una decisión excesivamente radical con la que a buen seguro que perderán clientes. Pero otros propietarios han comenzado a optar por atacar el problema de raíz y sin cortarse un pelo se han dispuesto a expulsar a los usuarios que se pasan toda la mañana con un cortado disfrutando del wifi y ocupando una mesa.
Hagamos números. Poco más de un euro es todo el peaje que tienen que pagar algunos para disfrutar, como mínimo, de una buena hora de trabajo. En pleno 2015 nos cuesta pensar que un establecimiento hotelero no cuente con una red inalámbrica al servicio de los clientes, pero… ¿cuál es el límite? Es precisamente esa fina barrera la que separa la cortesía rentable para el negocio del gorrón la que emborrona el planteamiento. Es como si uno deja el bote de los caramelos en recepción y llega un cliente y se lleva todos con el puño cerrado. "Pero… ¿no son gratis?”. Sí y no. Un conocido café ubicado en Washington ha optado por coger el toro por los cuernos con un planteamiento transparente: ¿has terminado tu café? Pues a tu casa.

Mark Fustenberg, propietario de Bread Furst, un conocido café ubicado en Washington DC, se hartó de la descarada ocupación de las mesas de lo que él entendía como "gorrones del wifi". Un café les daba para toda la mañana mientras observaba como grupos de clientes hambrientos asomaban por la puerta, veían las mesas ocupadas y enfilaban hacia otro sitio. El Washington Post recoge con crudeza la nueva estrategia de la dirección del local hacia este tipo de clientela. Ya conoce uno la extraña incomodidad e indefensión que se siente cuando se ha terminado el café y el camarero lo retira de la mesa y le deja sentado sin ninguna excusa en una superficie impoluta. Pues bien, este propietario ha ido más lejos indicando a los okupas la puerta de salida en cuanto han terminado su consumición. Tal cual.

¿Se imagina alguien al camarero de nuestro bar de toda la vida señalándonos la salida del local? Sería una ofensa que, desde luego, pagaría cara. Pero al dueño de este negocio no se le han caído los anillos a la hora de apuntar con el dedo acusador a los que más morro le echan al asunto. "Lo siento, pero aquí no puedes venir a trabajar”, espeta sin miramientos mientras pasa el trapo debajo del portátil en una clara invitación a abandonar el local. "Pero… ¿y el café que me he tomado?”, responde el aludido con sorpresa. "Espero que te haya gustado, pero hay otros clientes que quieren ocupar esta mesa”. A morro, morro y medio. Y al cliente no le queda otra que irse con la música a otra parte. La medida tiene sentido, pero realmente, no del todo.
Mike Elgan es un conocido y veterano blogger que ha denunciado públicamente esta nueva caza de brujas contra los hipsters del portátil. A su argumentación, no le falta lógica: grandes empresas basan su modelo de negocio en este ambiente relajado de conversación y portátil, y nos referimos, entre otras, a Starbucks. A estas alturas, nadie se atreve a toser las cifras de este coloso de la hostelería, pero el periodista, que se reconoce a sí mismo como un okupa del wifi, pone otros argumentos sobre la mesa: ¿no han sido siempre los cafés una cuna para la creatividad para cientos de escritores?

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Batería Lenovo 42T4867

Está por ver cuál será el alcance exacto de este fallo de seguridad, pero de momento supone una bofetada para Dell, una compañía que siempre ha asegurado que todas las aplicaciones preinstaladas en sus equipos pasan antes por revisiones de "seguridad, privacidad y usabilidad". Claramente algo ha fallado en este caso. El fiasco puede acabar siendo similar al que vivió Lenovo a comienzos de año. De hecho, como señala la publicación especializada ArsTechnica, investigadores de seguridad de la firma Duo Security han encontrado que estos certificados defectuosos de Dell se estaban utilizando para ofrecer conexiones vía HTTPS a sistemas SCADA, es decir, sistemas utilizados para controlar y supervisar procesos industriales a distancia en plantas de energía, presas o líneas de producción. El riesgo de seguridad es por tanto más serio y real de lo que parece.

Otro año más y por cuarta vez consecutiva Microsoft regresa con una de las mayores sorpresas que la empresa ha lanzado en las últimas décadas: su híbrido Surface, mitad tableta, mitad portátil. Un ingenioso (y exitoso) intento de reinventar el PC. Se trata del nuevo Surface Pro 4, la evolución de un equipo que ha demostrado que en Microsoft, cuando se lo propone, sabe de verdad diseñar 'hardware'.
El Surface Pro 4 llega justo en un momento donde hasta Apple, con su iPad Pro, ha entrado en la carrera de las tablets de gran tamaño y con lápiz digital, hasta ahora señas de identidad de Microsoft. En Redmond se han propuesto reinventar el portátil y, tras los primeros pasos en falso del Surface, cuatro generaciones después han logrado perfeccionar un aparato que es lo que el PC siempre soñó ser.

¿Por qué cambiar lo que funciona? Si en algo destaca el Surface es en su diseño, por lo que Microsoft ha optado por dejarlo prácticamente inalterado. Eso sí, desaparece el logotipo de Windows que estaba en uno de sus laterales y que hacía la función de botón de inicio físico. El cambio más destacado repite desde el Surface Pro 3: el pie trasero usa una bisagra con un gran ángulo de apertura. Permite cambiar la inclinación de la pantalla casi sin limitaciones, prácticamente hasta dejarlo tumbado. Es una función muy cómoda que mejora la experiencia de uso diaria, sobre todo al escribir a mano con el lápiz digital.

Gracias a la mejora de los materiales usados, Surface Pro 4 adelgaza respecto al equipo del año pasado, pasando de los 9,1 milímetros y 800 gramos, a los 7,55 y 766 gramos. No es un cambio drástico, pero en la primera edición su peso estaba en 910 gramos y 13 milímetros de grosor. Eso ya se nota. Repite la misma pantalla de 12,3 pulgadas que ahora alcanza una altísima resolución (2.736 x 1.824 píxeles, es decir, 267 puntos por pulgada). El equipo incluye además un puerto para auriculares, un puerto USB 3.0, un puerto MiniDisplay Port para conectar una pantalla externa y una entrada para conectar tarjetas SD.

Llevar el Surface en la mochila o incluso en la mano es tremendamente más cómodo que cargar un portátil tradicional. Es ligera y con su nuevo teclado es muy fácil escribir casi en cualquier situación. Vale, en alguna ocasión, sobre todo cuando lo posas sobre el regazo, no es tan estable como un portátil tradicional o incluso una tableta. Pero no es ningún drama, se puede escribir sin problema encima de casi cualquier superficie.Una de las nuevas características de Windows 10 es la posibilidad de acceder a tu ordenador sin usar contraseñas. Windows Hello permite que con sistemas biométricos (gracias al reconocimiento de tu rostro, huella dactilar o del iris) se use como forma de identificación para iniciar sesión.
Como han demostrado otras empresas, controlar el software, te permite mejorar el hardware. Para ello, el Surface Pro 4 incluye una cámara de infrarrojos que es capaz de detectar tu rostro para acceder al equipo. El resultado es sorprendente, más rápido que cualquier otro sistema de acceso de este mismo tipo que hayamos probado. Un pequeño punto para Microsoft. En las versiones anteriores de Surface, Microsoft consiguió un teclado que permitía una escritura cómoda y sencilla, manteniendo una disposición de teclado con un tamaño del 100%. Pero todos fallaban en lo mismo: el trackpad.

En nuestra experiencia, no hay muchos portátiles Windows con un trackpad multitáctil decente que no tenga problemas en algunos gestos. Ahora ya hay una excepción: los gestos multitáctiles en el Surface Pro 4, como el scroll vertical, funcionan perfectamente. La respuesta es buena y por ahora, no hemos sufrido problemas con su comportamiento.
Donde sí hemos encontrado problemas es en la reacción del teclado con Windows 10. En alguna ocasión al encender el equipo el trackpad responde, pero el teclado no. Se trata de un problema del sistema operativo, que al pasar a un modo tablet desactiva ciertas funciones, como el uso de teclado, aunque esté conectado. Solo podemos esperar que Microsoft lance una actualización para arreglar estos pequeños (pero molestos) problemas.

La apuesta por el uso del lápiz digital en esta tableta llega desde su nacimiento. Aunque las primeras ediciones del Surface con Windows 8 ya aprovechaban todo lo posible lo que ofrece la escritura en una pantalla, con Surface Pro 4 no vemos una gran diferencia respecto a ediciones anteriores. Por desgracia para Microsoft, lo que si podemos decir es que, si lo comparamos con otros dispositivos, como el iPad Pro, su tecnología de lápiz digital queda por debajo. Si lo usas para escribir o para hacer anotaciones rápidas, este lápiz funciona perfectamente. Pero usándolo con la aplicación OneNote, notamos que no tiene la misma soltura. Existen varios factores. El principal es que cuando se dibujan trazos redondos estos no llegan a ser completamente suaves. Pero tampoco es capaz de detectar diferentes ángulos, algo muy importante para diseñadores, creativos e ilustradores.

La edición más interesante de este equipo sigue siendo una de las más caras. Al contrario que las tabletas, con Surface no eliges la capacidad de memoria, si no la potencial del procesador.
Surface Pro 4 cuesta 999 euros, pero con un procesador Intel Core i3. Es suficiente para trabajar, pero sigue siendo algo limitado hoy en día. Si quieres suficiente potencia y ejecutar sin problema cualquier aplicación o juego, tienes que elegir el modelo intermedio o superior. Uno de las peores características de Surface Pro 4 sigue siendo la batería, mediocre para un equipo de este precio
La versión con Core i5 cuesta 1.099 euros, mientras que la más alta, con un procesador Intel Core i7 cuesta 1.799 euros. Recuerda que estos precios no incluyen el teclado, un accesorio completamente necesario para este equipo. Añade por tanto 149,99 euros y haz las cuetas. Exacto: es caro.

Uno de las peores características de Surface Pro 4 sigue siendo la batería, mediocre para un equipo de este precio. Es incomprensible que ya en su cuarta generación no seamos capaces de lograr más de seis horas de uso.
Mientras navegamos en internet, usamos alguna aplicación de retoque como Photoshop, escuchamos música con Spotify y escribimos en Word, Surface Pro 4 logra entre cinco y seis horas de media. Esto es un problema. La gran mayoría de portátiles, incluidos los más delgados, ya superan las ocho horas de batería, mientras un tablet como el iPad superan las 10 horas de uso.

Las comparaciones son odiosas, pero necesarias. Con la llegada del iPad Pro y el intento de Apple de venderlo como una tableta capaz de sustituir al portátil, Surface tiene aun más difícil encontrar un nicho de nuevos usuarios que no tengan ya una edición anterior o sean usuarios leales de Windows.
Las diferencias son brutales en todos los frentes, pero especialmente en los sistemas operativos. iOS no logra la funcionalidad y rapidez de uso que tiene Windows 10, aunque se hace difícil no pensar que sistemas como iOS no vayan a ser el futuro de la computación. Por otra parte, aunque el iPad Pro tiene una pantalla más grande, Surface acaba siendo más cómodo para trabajar con el teclado.

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September 02, 2016

Batería IBM 92P1090

Aunque en la época fue imposible hacer realidad el sueño de Kay, su concepto de Dynabook influyó en los avances posteriores. En Xerox PARC dieron un primer paso con la creación de NoteTaker. Disponía de un software avanzado para la época, pero solo se fabricaron diez prototipos de este portátil.
Mientras Xerox se centraba en el software, el resto de la industria de los 70 fabricaba primitivos ordenadores portátiles con el sistema operativo exitoso en aquel momento, el CP/M. El desconocido The Small One de GM Research, con pantalla a color e incluso disco duro, o el IBM 5100, que se hacía llamar portátil aunque pesaba 25 kilos, fueron algunos de ellos.

En 1980, Adam Osborne, famoso editor en Silicon Valley por sus manuales sobre informática, compartió con el ingeniero Lee Felsenstein su plan para fabricar un ordenador portátil fácil de usar.
Pese a que Osborne siempre defendió que la bombilla se le había encendido a él, el propio Felsenstein señaló hace unos años que era "demasiada coincidencia" que el proyecto se le hubiera ocurrido espontáneamente. Según su testimonio, un consultor de Apple le explicó la idea a Steve Jobs en 1978. Este la rechazó, pero Osborne acabó enterándose.

El editor y el fundador de la firma de la manzana mordida nunca se llevaron bien. Osborne se atrevió a asegurar a varios miembros de Apple que su Osborne 1, con una apariencia similar al NoteTaker, se iba a vender más que el Apple II y el Macintosh juntos. Jobs acabó dejándole un mensaje telefónico llamándole estúpido.
Con su pequeña pantalla, su memoria de 60 kilobytes y sus 10 kilos, es cierto que el Osborne 1 conquistó a los ejecutivos. Por fin podían llevar su ordenador a casi cualquier parte, o al menos así lo pregonaba la publicidad de la época: la pesada maleta blanca parecía tan ligera como un libro a juzgar por la sonrisa de su dueño.

Osborne se embolsó solo durante el mes de septiembre de 1981 un millón de dólares y otras compañías se sumaron a la moda de fabricar sus propios modelos. Compaq, Dynalogic y Kapyro se convirtieron en competidores del considerado primer portátil de éxito comercial de la historia. Sin embargo, el Osborne 1 no era un portátil tal y como lo conocemos ahora, sino más bien una máquina que podía transportarse gracias a un asa. Según destaca Evan Koblentz, no cumplía las tres características básicas que exigimos a los portátiles en la actualidad: su tamaño no era pequeño, carecía de una pantalla plegable y no podía utilizarse con baterías.

Dos ordenadores a los que la historia no ha hecho justicia fueron en realidad los que innovaron para que ahora teclees cómodamente en el lugar que desees. En 1981, veía la luz el británico DVW Husky, un ordenador autónomo gracias a sus pilas alcalinas que le permitían mantenerse despierto entre 20 y 30 horas. Al año siguiente, Grid Systems Corporation, una compañía que contaba con dos exingenieros de Xerox PARC, presentaba el Grid Compass 1100, un dispositivo con una pantalla plegable y más amplia que la de sus antepasados. La empresa también vendía discos duros, lectores de disquetes, impresora o escáneres, por lo que se hizo un hueco en el mercado.

En 1983, el mismo año en el que Osborne, incapaz de adaptarse al mundo de los nuevos portátiles, se declaraba en quiebra, apareció un ordenador que llamaría la atención del gran público. El Radio Shack TRS-80 Model 100, un asequible portátil que funcionaba con baterías, se hizo especialmente popular entre los periodistas. Bill Gates afirmaría años más tarde que aquel portátil fue su favorito. "Parte de mi nostalgia por esa máquina se debe a que era la última en la que escribí un porcentaje muy alto de código en el producto", aseguró. Mientras los portátiles evolucionaban, también lo hacían los dispositivos más pequeños. En los años 90, comenzaron a aparecer las primitivas PDA, entendiendo como tales las que tenían una pantalla táctil y la posibilidad de instalar programas. Una de las primeras fue la Sony PTC-300 Palmtop en 1991, ideada por el ingeniero japonés Tomoshi Hirayama cuando viajaba en un avión. Hirayama necesitaba un "cerebro auxiliar" en esos momentos, así que pensó que sería útil que un dispositivo fuera capaz de entender su propia letra.

Si bien muy pocos Sony PTC-300 llegaron al mercado occidental, inauguró la competición de las agendas digitales personales. A los dos años llegaría el Apple Newton, con el que se podían tomar notas, guardar contactos o enviar faxes.
A pesar de que durante los tres primeros meses Apple vendió 50.000 unidades, en 1998 se dejaron de fabricar estos dispositivos. La firma de la manzana mordida ofrecía menos de lo que prometía. El pésimo funcionamiento del sistema de reconocimiento de escritura de Newton, que hasta Los Simpson parodiaron, fue una de las principales críticas a esta PDA que quiso adelantarse a su tiempo. La gran vencedora de la carrera fue la startup Palm, que lanzó al mercado su mítica PalmPilot en 1996. Su batería duradera, su efectivo reconocimiento de escritura, su adecuado tamaño para el bolsillo, su rápida capacidad de respuesta y su precio (299 dólares) fueron algunos de los motivos del éxito de esta PDA. En 18 meses, la compañía había vendido más de un millón de PalmPilots.

Lógicamente, los smartphones acabaron por enterrar a las PDA, aunque el primero no fue precisamente el que se impuso. En 1992, a un ingeniero de IBM, Frank Canova, se le ocurrió combinar dispositivos. Dos años más tarde, nacía IBM Simon, un teléfono que permitía, además de llamar, mandar faxes o recibir correos. Con su medio kilo y una batería que tan solo duraba una hora, el invento de Canova fue un rotundo fracaso.
El IBM Simon no vivió demasiado, pero su legado aún permanece en tu bolsillo, como el de tantos otros dispositivos que, desde hace 60 años, no han querido echar raíces en un lugar concreto.
"Durante mis doce años de investigación, he visto a mucha gente asignando definiciones muy específicas a cada término imaginable: móvil, portátil, laptop, notebook, subnotebook, handheld, ordenador de bolsillo, agenda, PDA y otros. Pienso que es ridículo", defiende Evan Koblentz. Por eso, él ha estudiado todos aquellos que supusieron un paso evolutivo desde los orígenes hasta ese smartphone que llevas a todas partes.

Lo que comenzó con una queja de varios usuarios en la página Reddit, ha acabado con Dell reconociendo un grave error de seguridad y pidiendo disculpas. Algunos de los portátiles de la compañía, entre ellos el nuevo XPS 15, llevan instalado un certificado raíz inseguro que permitiría a un atacante hacerse pasar por casi cualquier página legítima, desde Google a tu banco, y robar datos e información. El fiasco es muy similar al ocurrido el pasado febrero con Lenovo y su 'adware' instalado de fábrica 'Superfish'. "Sentimos mucho lo ocurrido y estamos tomando medidas para solucionarlo", ha dicho la compañía en uno de sus foros de soporte. El problema reside en un certificado llamado 'eDellRoot' que viene instalado de fábrica en muchos ordenadores Dell. No se trata de 'malware' ni 'adware', aclara Dell, sino de un software desarrollado por la propia empresa que sirve para facilitar las tareas de mantenimiento del sistema y ofrecer soporte online.

El problema es que la clave privada de este certificado no estaba correctamente protegida. Cualquier atacante con mínimos conocimientos técnicos podría extraer la clave de este software y utlizarla entre otras cosas para crear páginas falsas (por ejemplo, de tu banco online) sin que el navegador detecte que el certificado es inseguro. El resultado es que eventualmente podríamos ser víctima de un robo de información, todo gracias al programa instalado de fábrica en los ordenadores Dell.
¿Cómo eliminar el certificado? La compañía aún no ha dado datos sobre cuántos ordenadores están afectados a nivel mundial y de qué modelos se trata. Ha asegurado sin embargo que hoy miércoles 24 lanzarán una actualización de software para sus ordenadores que comprobará si el certificado está instalado en el equipo y, de ser así, lo eliminará. Dell ha publicado también una aplicación que sirve de desintalador del programa defectuoso (puedes descargarla aquí).

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Batería IBM 08B8178

La solución para sobrevivir en tan paranoico escenario es algo que la polaca domina a la perfección: la virtualización. Esta tecnología hoy tan en boga permite aislar en compartimentos separados los programas y componentes más importantes del sistema. Así, si un virus infecta un programa no afecta al resto, o bien podemos consultar nuestra cuenta bancaria sin que el sistema lo sepa.La idea no es nueva, se llama seguridad por aislamiento y la usa también Amazon en su nube, pero hasta ahora no se había probado en ordenadores personales. Qubes OS le da una interfaz amigable, fácil de usar, con colores que delimitan cada compartimento y, gracias a la virtualización, podemos usar indistintamente Linux y Windows.
Pero Qubes tenía un gran problema, como explica su portavoz, Michael Carbone: No todos los ordenadores soportan la virtualización. Las características que necesita Qubes para funcionar no están presentes en todos los portátiles. Esto había hecho hasta ahora bastante complicado poder alojar Qubes OS en un ordenador accesible al público y, por tanto, que la gente pudiera probarlo. Pero, de repente, apareció el portátil Librem.

Bueno, más bien diríamos que apareció el conocido ex-trabajador de la National Security Agency (NSA), Edward Snowden: a finales del año pasado, Snowden aseguraba en una entrevista estar realmente emocionado con Qubes. Pocas semanas después se anunciaba la colaboración entre Qubes y Purism, la empresa que fabrica los portátiles Librem, asesorada por el periodista, íntimo de Snowden, Jacob Appelbaum.
Cada chip de nuestro hardware, cada línea de código del software, todo lo que hacemos está hecho con la intención de respetar tus derechos de privacidad, seguridad y libertad, asegura la publicidad de los portátiles Librem, que se comercializan en los formatos 13 y 15. La intención de Purism es hacer ordenadores medianamente asequibles, sin puertas traseras secretas y creados desde cero siguiendo las directrices del software libre.

Todos los chips de los portátiles Librem funcionan con sofware libre y son revisados uno a uno para garantizar esa privacidad, seguridad y libertad de las que hacen gala. Además, el ordenador tiene unos interruptores físicos que permiten desactivar totalmente el micrófono, la webcam, la tarjeta WiFi y el Bluetooth, según convenga. Pero el portátil tenía un importante fallo: su sistema operativo.
PureOS es el sistema que viene por defecto en los portátiles Librem, muy criticado porque, entre otras cosas, en su diseño no ha participado ni un solo experto en seguridad. No es esta la única crítica que ha mermado la imagen de Purism: la comunidad de creadores de software de bajo nivel no están nada contentos con que Librem se anuncie como libre cuando el firmware de su BIOS no lo es.

Purism tenía, pues, un problema de autenticidad, algo muy necesario cuando estás vendiendo tus productos vía campañas de crowdfunding. Así las cosas, el matrimonio con Qubes OS es bueno para Purism porque acalla a quienes criticaban la seguridad de su sistema operativo y, además, alía su producto a la respetada imagen de la hacker Joanna Rutkowska.
A cambio, Joanna consigue un portátil, caro pero no más que un Mac (alrededor de 1.500&euro , para hacer correr en él su visionario sistema operativo y que la gente pueda conocerlo. El español Francisco Alonso, del equipo de seguridad de Fedora y buen conocedor de Qubes, no ve mal la jugada: No he tenido oportunidad de usar Librem y soy bastante crítico con el proyecto, aunque admiro el trabajo que están haciendo ya que han conseguido hacer viable una idea que muchos estaban esperando.
¿Qué es? Una lámpara portátil de la colección Edison de la divertida marca Fatboy. De diseño minimalista, más blanca que el blanco y en tres tamaños diferentes -petit, médium y grand-, es inalámbrica para que puedas llevarla allí donde vayas. Es un homenaje al inventor de la bombilla, lleva incorporada una batería que se recarga con un cable micro USB y puedes añadir un control remoto para atenuar o incrementar la intensidad de la luz.

¿Por qué la deseo? Porque faltan enchufes en mi vida y con los alargadores me tropiezo. Porque nunca sé en qué lugar necesito poner luz e imagino una versión victoriana de mí misma caminando por un caserón con un una lámpara Edison en la mano a modo de moderno candelabro. Porque en las noches sin luna quiero poder iluminar una jarapa en la playa y porque en las tardes de invierno me encanta fabricarme nidos y arrebujarme a leer con un edredón y un coñac.¿La tendré algún día? Sigo creyendo en los reyes magos, así que confío en que uno de ellos se deje caer por Amazon y me saque de las tinieblas. Solo le costará 64,95 euros.
Mucho antes de que los portátiles cupieran en un maletín y los smartphones conquistaran nuestros bolsillos, los ordenadores ya se transportaban de un lugar a otro. Eso sí, muchos no podían cogerse precisamente con una mano.
Uno de los primeros en desplazarse, el DYSEAC, ocupaba dos remolques de 12 metros de largo. Uno llevaba el ordenador y otro el sistema de refrigeración y el equipo eléctrico de esta máquina de 1954, construida por la Oficina Nacional de Estándares para el Cuerpo de Señales del ejército estadounidense.

El periodista Evan Koblentz ha rastreado la evolución de la informática desde aquel gigantesco aparato y ha reunido decenas de tesoros olvidados en su libro Del ábaco al smartphone: la evolución de los ordenadores móviles y portátiles. En el libro utilicé los términos móvil y portátil como intercambiables. En mi opinión, ninguno de los términos tiene un significado específico, explica Koblentz a Teknautas. En el siglo XXI damos por sentado que los portátiles han de ser pequeños y ligeros, pero en realidad el tamaño no importa. El DYSEAC pertenece a ese grupo porque fue concebido para ser trasladado. Aunque demostró sus debilidades cuando la arena se infiltró en sus circuitos mientras viajaba, al ejército estadounidense le encantó aquel prototipo y continuó desarrollando ordenadores instalados en remolques durante las décadas de los 50 y 60. Desde entonces, muchos otros mamotretos portátiles han hecho historia.

El primer ordenador digital de propósito general que es tan ligero, compacto y robusto que puede viajar a cualquier parte... con una fuente de alimentación. Usa menos energía que una tostadora.
Así describía un optimista anuncio de 1958 publicado en Fortune el RECOMP, un acrónimo de Reliable Computer ("ordenador fiable” en castellano). Dos personas tenían que transportar esta máquina de 90 kilos desarrollada por la compañía North American Aviation. El MICROPAC pesó 50 kilos menos que el RECOMP: era el ordenador de propósito general más pequeño de 1962 gracias a sus 1.462 micromódulos, unos componentes revolucionarios por aquel entonces. En honor a los walkie-talkies, al MICROPAC se le acabó denominando irónicamente Breakie-Backie (algo así como "rompespaldas”), porque llevarlo a cuestas debía conllevar un buen esfuerzo.

Aunque no se hizo demasiado famosa, esta máquina, diseñada para el control del guiado de misiles, supuso un primer paso hacia los ordenadores que cabían en un escritorio o en un maletín, que aún tardarían una década en llegar.
Un visionario ideó incluso una tablet cuarenta años antes de la llegada del iPad, aunque no llegaría a fabricarse. Alan Kay escribió Un ordenador personal para niños de todas las edades en 1972, cuando trabajaba en el Centro de Investigación de Xerox en Palo Alto, más conocido como Xerox PARC. En el artículo, Kay preveía la aparición de manipuladores de información portátiles y personales y presentaba el Dynabook (libro dinámico), un ligero dispositivo que permitiría escuchar música durante horas y que mostraría gráficos y textos.

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September 01, 2016

Akku HP 694864-851

Das Ultrabook kommt mit vorinstalliertem Windows 8 daher, ein Upgrade auf Windows 8.1 ist nach Installation der Windows-Updates natürlich problemlos möglich. Zum System selbst muss ich, denke ich, nichts mehr sagen, denn das ist hinlänglich mit allen Stärken und Schwächen bekannt.Interessant sind speziell bei diesem Gerät andere Aspekte – beispielsweise die vorinstallierte Bloatware, die es leider bei fast jedem Gerät in unterschiedlichen Ausmaßen gibt – hier ist ebenfalls reichlich davon dabei. Das wären dann z.B. verschiedene Samsung-Softwares, wie Link, Kies, SideSync, HomeSync Lite und die hauseigene Update-Anwendung. Dazu kommen dann noch andere Applikationen – etwa Bitcasa und Office 2010 (für dessen Aktivierung aber eine eigene Lizenz vonnöten ist) und Norton Internet Security, sowie Norton Studio (jeweils 60-Tage-Trial) und Adobe Photoshop Elements 11 (90-Tage-Trial).Daneben gibt es aber auch recht nützliche Dreingaben, wie z.B. SW Update, mit der sich die Firmware-Versionen einfach und zentral aktuell halten lassen und Recovery, mit dem sich das System sichern lässt.

Wie gesagt: Einige wenige Dreingaben sind sicherlich sinnvoll und nützlich – generell sehe ich es aber nicht allzu positiv, dass die Hersteller ihre Geräte liebend gerne mit eigenen Erweiterungen ausstatten. Insbesondere dieses Gerät wäre prädestiniert gewesen für ein Ausrufezeichen: Premium-Qualität und ein unberührtes System – das wünsche ich mir. Samsung scheint aber zumindest SideSync und HomeSync sehr wichtig zu sein, mit denen man unter anderem auch Daten kabellos ans Galaxy-Smartphone senden kann – sonst würden die Namen der Applikationen schließlich nicht direkt auf der Handballenablage prangen.Nichtsdestotrotz: Windows 8.1 macht auf dem ATIV Book 9 Plus größtenteils Spaß. Das Modern UI lässt sich über den Touchscreen wunderbar bedienen, wobei ich diesen nicht exklusiv bediene – alleine aus dem Grund, dass mir dann irgendwann der Arm abfallen würde, wenn ich selbigen ständig zum Display anheben müsste.

Was aber weniger Spaß bereitet, ist die Skalierung der Anwendungen. Diese wurde mit Windows 8.1 stark verbessert, wirkt sich aber noch immer nicht global auf alle Anwendungen aus. So kommt es dann und wann mal vor, dass Fenster (z.B. beim Intel-Treiber) nicht skaliert werden und somit bei maximaler Auflösung extrem klein dargestellt werden.Durch den eingesetzten Haswell-Prozessor darf man natürlich sehr hohe Akkulaufzeiten erwarten und diese erreicht das ATIV Book 9 Plus auch problemlos. Die vom Samsung angegebenen elf Stunden Akkulaufzeit erreichte ich zwar nicht, allerdings kam ich im Akkubetrieb mit 50% Displayhelligkeit auf eine Laufzeit von ca. 9 Stunden, was ich schon sehr beeindruckend dafür finde, dass Windows und die Hardware natürlich nicht zu 100% aufeinander abgestimmt sind, wie es z.B. bei MacBooks der Fall ist. Diesen Wert habe ich wohlgemerkt mit Windows 8.1 und der dadurch möglichen Auflösung von 3.200 x 1.800 Pixeln erreicht, „begnügt" man sich mit 1080p kann man hier sicherlich noch einmal bisschen mehr rausholen.

Auch bei der Performance gibt sich das Ultrabook keine Blöße. Alltagsaufgaben und Multitasking mit mehreren Anwendungen meistert es problemlos. Ich konnte beispielsweise problemlos ein 1080p-Video in Sony Vegas rendern und dabei Chrome einwandfrei mit 20 Tabs nutzen.Sicherlich darf man hier nicht erwarten, dass man großartig Spiele spielen kann, denn letzten Endes handelt es sich hier immer noch um ein Ultrabook und eine eigene GPU fehlt komplett, sodass lediglich die Intel-GPU zum Einsatz kommt – mit niedrigen Details sind gelegentliche Gaming-Sessions aber trotzdem möglich.

Das verhältnismäßig leistungshungrige, weil schlecht programmierte, Minecraft konnte ich beispielsweise problemlos spielen. Borderlands 2, Counter-Strike: Global Offensive und Team Fortress 2 waren mit heruntergeregelten Grafikdetails ebenfalls problemfrei möglich. Wie gesagt: Das Samsung ATIV Book 9 Plus ist keine Gaming-Maschine, aber es ist generell durchaus möglich, damit zu spielen.Die Stereo-Lautsprecher sind mir während des Tests sehr positiv aufgefallen. Sicherlich darf man hier keinen umwerfenden Klang erwarten und den bekommt man auch nicht, allerdings erzeugen diese einen doch recht ansehnlichen Sound, wenn man eben bedenkt, dass es sich hier um Speaker in einem Ultrabook-Body handelt. Vor allem die Lautstärke ist bemerkenswert.

Die beiden Lüfter arbeitet im normalen Betrieb flüsterleise und sind praktisch nicht hörbar. Im Hochbetrieb (z.B. beim Rendern von Videos oder beim Spielen) drehen die dann natürlich auf, sind aber auch dann nicht störend.Die Betriebstemperatur hält sich beim ATIV Book 9 Plus in angenehmen Grenzen. Natürlich wird es bei längeren und anspruchsvolleren Sessions merklich warm, ist dabei dann aber nicht unangenehm. Ich drücke es mal so aus: Ein Spiegelei kann man auf der Rückseite des Ultrabook nicht braten. Das Samsung ATIV Book 9 Plus wird seinem dicken Preis definitiv gerecht. Hier bekommt man ein ausgezeichnetes Ultrabook mit dem aktuell wohl besten Design am Markt, einer ausgezeichneten Verarbeitung und einem extrem hochauflösenden Display. Der Touchscreen ergibt Sinn und macht mit Windows 8.1 Spaß, wenngleich der Arm auf Dauer etwas ermüdet. Dazu kommt dann noch die sehr hohe Akkulaufzeit des Haswell-Prozessors und eine durchweg gute Performance.

Meiner Meinung nach war das Samsung Series 9 und das ASUS Zenbook Prime schon immer die herausragenden Alternativen im Ultrabook-Markt und mit dem ATIV Book 9 Plus unterstreicht Samsung diesen Anspruch einmal mehr.Natürlich ist das Gerät mit einer UVP von 1.549 Euro (Straßenpreis unter 1.400 Euro) sehr teuer, allerdings bekommt hier eben auch etwas für sein Geld. Alles andere wäre aber auch enttäuschend gewesen. Hersteller müssen in diesen Gefilden extrem hohen Ansprüchen gerecht werden – Samsung hat das geschafft und ich muss tatsächlich sagen, dass ich mich insgesamt ein wenig in das Ultrabook verliebt habe.Ihr müsst los, habt euren Laptop oder euer Smartphone aber noch nicht aufgeladen? Kein Problem mit dem bald erscheinenden HP Powerup Backpack. Dieser kann mithilfe seines integrierten 22.400 mAh Akkus eine Vielzahl an Geräten auch unterwegs mit Strom versorgen.

Zwar dürften die meisten von euch einen externen Akku besitzen, der sich provisorisch im Rucksack verstauen lässt, meist fliegen Smartphone, Akku und Kabel dann jedoch umher, was auf Dauer für keines der Geräte gut sein dürfte. Auch das Aufladen von Laptops unterstützen die meisten Akkupacks nicht, weshalb der angekündigte HP Powerup Backpack nach einem interessanten Produkt klingt. In einem relativ schlichten, und meiner Meinung auch schönen, Design gehalten unterscheidet sich HPs neuer Rucksack sehr von den normalen Gaming-Modellen des Herstellers. Die Kabel lassen sich vom in der vorderen Tasche verstauten 22.400 mAh (84 Wh) Akku dank einiger Kabelöffnungen flexibel durch das ganze Innere verlegen und ermöglichen damit eine ausreichende Organisation. Nachgeladen wird der Energiespeicher über ein herkömmliches HP-Laptop-Ladegerät, wobei auch Adapter anderer Hersteller diesen Zweck erfüllen sollten.

Der HP Powerup Backpack, welcher die meisten Smartphones 6-8 Mal und Laptops bis zu einem Mal voll aufladen kann, macht meiner Meinung nach einen schicken und durchaus praktischen Eindruck. Mit einem Preis von 199 US-Dollar fällt er dafür jedoch auch nicht unbedingt günstig aus, Informationen zu einem Deutschland-Start sind zudem noch nicht bekannt.HP hat heute wie angekündigt einen neuen Laptop vorgestellt und möchte mit diesem eine neue Ära einleiten. Passend dazu gibt es auch ein neues Logo.Bei HP hat man gestern bereits angekündigt, dass man heute einen neuen Laptop vorstellen wird, mit dem man vor allem das Macbook von Apple angreifen möchte. Dieser ist jetzt offiziell und hört auf den Namen HP Spectre. Es ist mit 10,4 Millimeter der weltweit dünnste Laptop. Doch wie sieht es mit der Leistung aus?Wahlweise kann man den Spectre mit einem i5 oder i7 ausstatten und dürfte so deutlich mehr Leistung, als zum Beispiel mit einem Macbook bekommen. Intern kann man bis zu 512 GB Speicher und 8 GB Arbeitsspeicher auswählen. HP nennt eine Akkulaufzeit von 9,5 Stunden und hat 3 USB Type C-Anschlüsse verbaut.

Der Laptop fällt optisch definitiv auf, wobei man ihn wegen dem neuen HP-Logo vielleicht auch gar nicht direkt als HP-Laptop einordnet. Der HP Spectre besitzt ein 13,3 Zoll großes IPS-Display, welches mit 1980 x 1080 Pixel auflöst. Ein Highlight sind Stereo-Lautsprecher von Bang & Olufsen. Das Spectre wiegt 1111 Gramm.Preislich gesehen geht es bei 1170 Dollar los, man wird den HP Spectre ab dem 25. April in den USA vorbestellen können. Ab dem 22. Mai soll er dann im Einzelhandel landen, wobei hier nur von Best Buy die Rede ist. Informationen für den deutschen Markt gibt es zum aktuellen Zeitpunkt leider noch keine.In ein paar Tagen startet eine neue Kampagne auf Kickstarter, die euch für 99 Dollar ein Gadget namens Superbook verkaufen möchte. Es handelt sich dabei um einen Laptop, der ein 11,6 Zoll großes Display besitzt, das mit 1366 x 768 Pixel auflöst. Das war es eigentlich auch schon, was es zur Ausstattung zu sagen gibt, denn das Highlight des Gerätes ist die Verbindung zum Android-Smartphones. Dieses dient hier als Grundlage für die Funktionsfähigkeit des so genannten Superbooks.

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Akku HP FE06

Die Transformer Pads von Asus sind dafür bekannt, dass sie Tablet und Laptop in einem Gerät vereinen. Externe Tastaturen für Tablets gibt es viele, bei Asus legt man hier jedoch wert drauf, dass sowohl Tablet, als auch Tastatur gemeinsam entwickelt werden. All zu viel ist über die neuen Transformer noch nicht bekannt, sie besitzen allerdings gute Frontlautsprecher und kommen natürlich mit Android 4.4 daher.Das 10 Zoll große Display soll mit 1080p auflösen und unter der Haube soll ein Intel-Prozessor werkeln. Die Kombination aus Tablet und Tastatur mit zusätzlichen Akku wird wohl auch wieder für eine lange Akkulaufzeit sorgen. Tablet-Laptop-Hybriden sind ja eigentlich ein Schwerpunkt bei Windows und nicht so beliebt bei Android, bei Asus versucht man es aber anscheinend immer mal wieder aufs Neue.Samsungs Ultrabooks gehören seit jeher zu den Topmodellen um hochpreisigen Segment. Das Series 9 hat seinerzeit Maßstäbe in Sachen Design und Portabilität gesetzt und mit dem neuen ATIV Book 9 Plus versucht Samsung natürlich, diesen hohen Standard weiter aufrecht zu erhalten und andere Aspekte weiter auszubauen.

Ich hatte das High-End-Ultrabook (genauer gesagt die Ausführung mit der Modellbezeichnung „940X3G K01") nun über die vergangenen Tage bei mir im Testbetrieb und konnte mir daher ein Bild darüber machen, wie viel „Ultrabook" man denn für den doch recht stolzen Preis von 1.549 Euro bekommt. Die technischen Daten lassen durchaus aufhorchen. In ATIV Book 9 Plus ist ein Intel Core i5 4200U verbaut, dessen Taktung je nach Last 1,6 GHz bis 2,6 GHz beträgt. Der Prozessor wird dabei durch den Intel HD Graphics 4400 als GPU unterstützt, dazu kommen dann noch eine 128 GB große SSD und vier GB RAM, wobei ich hier lieber acht GB RAM gesehen hätte. Vier GB sind heute durchaus schneller voll, als man glauben mag.

Das Highlight der technischen Ausstattung ist aber definitiv das Display. Dieses ist 13,3" groß, unterstützt Touchscreen-Eingaben für Windows 8 und löst mit 1.920 x 1.080 Pixeln auf – letzteres erhöht sich durch das Update auf Windows 8 sogar auf 3.200 x 1.800 Pixel, was schon wahnwitzig viel ist, sich aber natürlich auch auf die Akkulaufzeit niederschlägt, welche durch den Haswell-Prozessor aber sowieso schon sehr ansehnlich ist. Hier die technischen Details nochmal nacheinander aufgelistet: Ports: Mini-HDMI, Mini-VGA, 2 x USB 3.0, Proprietärer Ethernet-Port (mit Dongle für RJ45), Audio In/Out, SDXC-Kartenleser, Kensington-Lock
Der Lieferumfang ist weitgehend nicht von Überraschungen geprägt. Neben dem Ultrabook liegt noch das Netzteil, ein (natürlich) viel zu kurzes Kleeblatt-Stromkabel, einige Schnellanleitungen und ein Ethernet-Dongle bei. Ein HDMI-Adapter für den Betrieb eines externen Monitors fehlt hier leider, der muss gesondert angeschafft werden.

Die Verarbeitung des ATIV Book 9 Plus sucht wirklich seinesgleichen. Das Gerät ist komplett aus Aluminium gefertigt, fühlt sich unheimlich wertig an und nirgendwo sind auffällige Spaltmaße zu sichten. Dazu ist das Gehäuse auch kein bisschen flexibel und es gibt bei der Benutzung keine knirschenden Geräusche.Ebenso beeindruckt mich das Scharnier. Das Display lässt sich mit einer Hand öffnen, ohne die Unterseite mit der anderen Hand festhalten zu müssen und sitzt trotzdem so fest, dass es nicht nach hinten oder vorne wegkippt. Auch bei der Benutzung des Touchscreens wackelt das Display nur minimal.

Mindestens ebenso beeindruckend ist das Design des Gerätes. Das komplette Ultrabook ist in der Farbe „Mineral Ash Black" gehalten, welche einen sehr hübschen Eindruck macht und sich erfrischend von der Masse an silbernen MacBook-Verschnitten abhebt. Des Weiteren schindet auch die geringe Dicke gehörig Eindruck. Das wiederum bedingt zwar, dass nur einige wenige Ports zur Verfügung stehen, allerdings ist dies ein Kompromiss, den ich persönlich gerne eingehe. Das ATIV Book 9 Plus ist in allererste Linie ein mobiles Gerät und das unterstreicht das Design und die Bauart – in diesen Belangen ist es bedingungslos mobil.Ebenfalls positiv sind Details, wie der geringe Rahmen und das Display herum, sowie die silberne Umrandung des Touchpads. Diese kleinen Dinge lassen das Gerät noch einmal hochwertiger erscheinen.

Eine kleine Schwäche hat das Design dann aber doch: Zwar sind die Kanten „entschärft" worden, aber trotzdem noch recht scharf. So können diese bei längerer Benutzung negativ auffallen, da sich die Kanten gerne mal in die Handballen „reinbohren". Mir zumindest ist das immer wieder mit der rechten Hand, mit der ich das Touchpad bediene, aufgefallen und es stört wirklich. Eine etwas ausgeprägtere Abrundung hätte hier Wunder gewirkt Die Tastatur des ATIV Book 9 kommt im typischen Chiclet-Stil daher, die einzelnen Tasten sind daher voneinander getrennt, haben eine schöne Größe (vor allem natürlich, weil das Numpad fehlt) und sind sehr flach. Der Anschlag sehr knackig gewählt, man muss die Tasten also nicht stark drücken, um sie zu betätigen. Ob einem das gefällt, ist Geschmackssache und ich kann gut nachvollziehen, dass einige Nutzer diesen sehr knappen Anschlag nicht mögen, mir persönlich gefällt das allerdings.

Das sind wohlgemerkt sehr subjektive Eindrücke – jeder tippt unterschiedlich und hat andere Anforderungen an eine optimale Tastatur, mir kommt diese Tastatur in meinem Schreibstil aber sehr entgegen. Weniger subjektiv natürlich ist die Hintergrundbeleuchtung der Tasten, dessen Leuchtkraft sich über die Funktionstasten regeln lässt. Das ist natürlich vor allem in dunkleren Umgebungen sehr nützlich und ein nicht zu unterschätzender Vorteil.Auch das Touchpad ist größtenteils gelungen. Die Haptik ist einwandfrei, die Finger gleiten problemlos über die Fläche hinweg und auch die Größe des Trackpads gefällt. Ebenfalls positiv empfinde ich die integrierten Klickflächen – abgetrennte Tasten für Links- und Rechtsklick empfinde ich als unpraktisch, da diese das Touchpad nur unnötig einengen. Rein von der Haptik her gefällt mir dieses Touchpad sogar besser, als das typische MacBook-Touchpad und das will schon was heißen.

Nicht ganz optimal empfinde ich allerdings die Möglichkeiten des Touchpads. Sicherlich werden die Touchpad-Gesten von Windows 8 unterstützt (schließlich ist die Unterstützung auch eine Voraussetzung seitens Microsoft), allerdings gibt es abseits dieser Gesten keine weiteren. ASUS ermöglicht beispielsweise mit den eigenen Touchpad-Treibern das Vor- und Zurückblättern im Browser und Explorer, Multitasking im Desktop-Modus und weitere Dinge. Das fehlt mir beim ATIV Book 9 Plus, hier hat Samsung Potential liegen gelassen.Das Display gefällt mir insgesamt sehr gut. Die maximale Auflösung habe ich ja bereits erwähnt – das Bild ist gestochen scharf, was aber auch keine Überraschung mehr ist. Bereits mit 1080p macht das Display viel Spaß, aber 3.200 x 1.800 Pixel setzen dem ganzen schon die Krone auf.

Samsung gibt die maximale Helligkeit mit 350 nit an, was ein ausgezeichneter Wert wäre. Zum Vergleich: Apple gibt hier 300 nit an. Das Display des ATIV Book 9 Plus kann tatsächlich sehr hell werden – im Umkehrschluss heißt das auch, dass das Display bei mittlerer Helligkeitseinstellung noch immer hervorragend lesbar ist, was hier auch der Fall ist.Die Farben werden bei diesem Display sehr neutral wiedergegeben, was mir persönlich gut gefällt. Samsung ermöglicht allerdings auch die Auswahl mehrerer vorkonfigurierter Farbprofile – wer es also z.B. etwas kräftiger mag, dürfte hier fündig werden.

Liebhaber von matten Displays werden hier allerdings enttäuscht, denn im Gegensatz zu den älteren Modellen der Series-9-Serie ist das Display beim ATIV Book 9 Plus kein mattes, sondern ein spiegelndes. Der Grund dafür ist schlichtweg die Integration des Touchscreens (der übrigens ausgezeichnet funktioniert). Zwar bevorzuge ich ebenfalls matte Displays, muss aber sagen, dass mir dieses Display auch bei direkter Sonneneinstrahlung noch vergleichsweise gut gefiel.Wen übrigens weitere technische Faktoren interessieren: Das ATIV Book 9 Plus erreicht einen sRGB-Wert von 95% und einen Adobe-RGB-Wert von 74% – beides sind durchaus sehr gute Werte. Um das Ganze in ein Verhältnis zu setzen: Das 2013er MacBook Air erreicht 67% beim sRGB-Wert und 51% beim Adobe-RGB-Wert.

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