March 31, 2017

Batterie Asus K53SV-2GG-SX006V

Vendredi, la Japan Aerospace Exploration Agency (JAXA) a reconnu que des informations sensibles concernant un projet de fusée à longue portée nommé Epsilon avaient peut être été subtilisées sur l'ordinateur d'un de ses salariés par un virus informatique. Apparemment, ce dernier a pu collecter des informations et les transmettre à l'extérieur. Pour l'instant, l'agence JAXA ne sait pas très bien quel type d'informations a été envoyé, mais l'ordinateur piraté contenait des spécifications et des informations sur le fonctionnement de son programme de fusée Epsilon, ainsi que sur le développement de plusieurs types de lanceurs liées au programme.Une enquête pour savoir quelles informations ont été subtilisées est actuellement en cours. L'agence cherche aussi à savoir si d'autres ordinateurs ont également été infectés. Le salarié concerné travaillerait à Tsukuba, dans des installations de l'agence situées au nord-est de Tokyo. Le virus a été détecté le 21 novembre et l'ordinateur infecté a été immédiatement déconnecté du réseau. Suite à ses investigations, l'agence a découvert mercredi que certaines informations avait été subtilisées.

La fusée Epsilon est une fusée à trois étages suffisamment puissante pour mettre en orbite basse de la Terre de lourdes charges - jusqu'à 1 200 kg - et pourrait être utilisée à des fins militaires. La fusée doit renouveler les versions existantes, et coute moins chère à fabriquer. Elle est unique tant par ses caractéristiques physiques que par son système de lancement, entièrement nouveau. Celui-ci permet de contrôler le système et les lancements à distance à partir d'un ordinateur portable connecté à Internet. Le premier vol de la fusée est prévu l'année prochaine. Elle doit mettre un nouveau télescope spatial en orbite.L'agence japonaise JAXA s'est excusée pour la fuite et a déclaré qu'elle poursuivait son enquête afin de savoir exactement quelles informations avaient été divulguées. Elle annonce aussi qu'elle va renforcer la sécurité pour prévenir d'autres incidents. En juillet 2011, l'ordinateur d'un de ses employés avait déjà été infecté par un virus. Celui-ci avait cliqué sur un logiciel envoyé en pièce jointe dans un mail. L'enquête, bouclée en mars dernier, concluait que seules des données images non secrètes avaient été subtilisées, de même que 1 000 adresses mails enregistrées sur l'ordinateur. Avec son dernier système d'exploitation, Microsoft peine à suivre le rythme d'adoption de Windows Vista, un flop qui avait marqué l'année 2007.

Selon les données récoltées par la compagnie de mesures d'audience sur le web NetApplication, la part de marché de Windows 8 sur les PC Windows n'était que de 1,6 % le 22 décembre dernier. Rappelons que le dernier système d'exploitation de Microsoft a été officiellement lancé le 26 octobre 2012 même s'il était déjà disponible pour les constructeurs et les abonnés MSDN depuis le 15 aout 2012. Dans le même laps de temps, soit deux mois, Windows Vista représentait déjà 2,2 % de tous les systèmes Windows fin 2007. Net Applications mesure l'utilisation des systèmes d'exploitation en enregistrant l'OS et la version utilisés par les machines des internautes qui visitent 40 000 sites environ. Le ralentissement du rythme d'adoption de Windows 8 et sa piètre performance par rapport à Vista est un signe inquiétant pour le dernier système d'exploitation de Microsoft. Vista avait été qualifié de panne rare par l'éditeur de Redmond, en partie parce qu'il avait été beaucoup moins adopté par les clients, notamment par rapport à son prédécesseur, Windows XP, ou à son successeur, Windows 7. La part de marché en ligne de Vista a atteint son sommet à l'automne de 2009 avec 20,3 % de tous les systèmes Windows.

Mais comme la fête de Noel n'a pas été prise en compte par NetApplications - un nombre important de PC Windows 8 a bien sûr été déballé - le dernier OS de Microsoft devrait enregistrer un bond étonnant quant à son utilisation sur le web au cours de la dernière semaine de décembre et atteindre le rythme d'adoption de Vista en 2007. D'après les calculs de notre confrère Computerworld, la part de marché en ligne de Windows 8 devrait bondir à 4 % durant cette dernière semaine et égaler celle de Vista, deux mois après son lancement. Les statistiques de NetApplications corroborent d'autres données qui indiquent que le lancement de Windows 8 n'a pas généré de sursaut pour les ventes de PC comme c'était historiquement observé après la commercialisation d'un nouvel OS Microsoft. Fin novembre, le NPD Group soulignait que, dans les quatre semaines suivant la sortie de Windows 8, les ventes de PC aux États unis avaient baissé de 21 % par rapport à la même période en 2011. Les derniers chiffres de NPD Group, cité par le New York Times le week-end dernier, indiquent que les achats de PC Windows par les consommateurs américains - de fin octobre jusqu'à la première semaine de décembre - ont été en baisse de 13 % par rapport au même tronçon l'année dernière.

Et même si Windows 8 a connu une forte progression pour rattraper Vista, il aura du mal à conserver le même rythme: à la fin du troisième mois suivant la sortie de Vista, l'OS représentait 3,3 % de toutes les copies de Windows. Pour égaler ce résultat, Windows 8 devrait doubler sa part actuelle d'ici fin janvier 2013. La trajectoire d'adoption de Windows 8 est tombée derrière celle de Vista pour la première fois ce mois-ci (avec des chiffres arrêtés au 22 décembre pour NetApplications il est vrai). L'adoption de Windows 8 est - pour l'instant - beaucoup plus lente que celle de Windows 7, le système d'exploitation lancé en 2009 qui a prospéré autant que Vista a sombré.

À la fin de son deuxième mois de disponibilité, Windows 7 représentait 6,2 % de toutes les machines Windows sur le web, soit près de quatre fois celle de Windows 8 (jusqu'au 22 décembre). À ce stade, il semble pratiquement impossible pour Windows 8 de faire aussi bien que son prédécesseur immédiat, du moins à court terme: à la fin du troisième mois de Windows 7 - ce qui donne le 31 janvier 2013 pour Windows 8 -, il avait encore gagné deux points en pourcentage avec une part de 8,2 % de tous les systèmes Windows. En fait, Windows 7 a continué à gagner des parts en décembre 2012, selon les chiffres préliminaires de Net Applications. Jusqu'au 22 décembre, la part d'utilisation en ligne de Windows 7 sur les ordinateurs personnels était de 45,6 %, soit neuf dixièmes de point supplémentaire par rapport à novembre. L'échec relatif de Windows 8 face à Windows 7 ou même Vista n'est pas difficile à expliquer selon les analystes, qui avaient prédit une faible demande pour le nouveau système d'exploitation, accusant concomitamment la faiblesse de l'économie, la confusion engendrée par l'OS avec sa double interface, la réticence des entreprises qui migrent toujours vers Windows 7, et la concurrence des «tablettes, avec notamment l'iPad d'Apple, la Kindle d'Amazon et la Nexus de Google. Ni Vista ni Windows 7, bien sûr, n'ont dû faire face à la concurrence des tablettes.

Et ce dernier point est primordial selon les experts. Parce que le succès de Windows reste étroitement lié au nombre de nouveaux PC vendus, et les ventes perdues suite aux achats de tablettes entrainent mécaniquement en net ralentissement de l'adoption du système d'exploitation. Et l'arrivée de tablettes Windows 8 n'a encore rien changé à la donne. Les utilisateurs qu'ils soient de simples particuliers ou des employés se tournent de plus en plus vers les tablettes - dont la quasi-totalité exécute un système d'exploitation non-Microsoft - en tant que terminal mobile préféré, ce qui entraine un ralentissement de la croissance des ventes d'ordinateurs portables Windows. Le cabinet d'études IDC a , par exemple, récemment relevé ses prévisions de ventes de tablettes à 122 millions d'appareils en 2012, soit une hausse de 72 % par rapport à 2011.Un peu plus tôt cette année, IDC avait déclaré que le total des ventes de PC dans le monde devrait atteindre 367 millions d'unités en 2012, soit moins de 1 % au-dessus de celles de 2011, 364 millions. Nokia Siemens Networks et Ballard Power Systems veulent des piles à combustible alimentées par du méthanol pour faire fonctionner les réseaux mobiles en cas de panne électrique. Les deux partenaires travaillent avec NTT DoCoMo pour tester cette technologie. Selon eux, les piles à combustible au méthanol sont moins chères que le diesel et prennent moins de place que les batteries.

La nécessité de disposer de stations mobiles de secours pour alimenter les réseaux GSM en électricité a été de nouveau mise en évidence après le passage de l'ouragan Sandy sur la côte est des États-Unis. « Les piles à combustible alimentées par du méthanol pourraient fournir une alternative aux batteries actuelles et aux générateurs de secours à moteur diesel », ont déclaré hier Nokia Siemens Networks et Ballard. « Les piles à combustible sont respectueuses de l'environnement, plus silencieuses et plus économiques que le diesel. Elles prennent moins de place et, à puissance égale, elles pèsent moins lourd qu'un générateur de secours », ont assuré les deux entreprises. La station de secours combinée à une pile à combustible développée par Nokia Siemens et Ballard peut fournir de l'électricité pendant environ 40 heures sur un réservoir unique de 225 litres, ce qui représente une consommation d'environ 5,6 litres de méthanol par heure. « Comparativement, un générateur diesel consomme environ trois litres par heure », indique Nokia Siemens. Mais, selon Nokia Siemens, ce différentiel n'est pas significatif, puisqu'il faut aussi tenir compte du fait que les générateurs diesel demandent beaucoup plus d'entretien et que le diesel est trois fois plus cher que le méthanol. D'autre part, la disponibilité du combustible est un élément clé pour déterminer un tel choix. « Au Japon, les partenaires ont vérifié quel carburant les fournisseurs étaient en mesure de livrer en quantité suffisante et le méthanol s'est avéré être le meilleur choix », a ajouté Nokia Siemens.

L'opérateur japonais NTT DoCoMo est le moteur du projet de pile à combustible. Il a testé la station de secours combinée à une pile à combustible sur un site de recherche et de développement situé dans le Yokosuka Research Park au Japon. « Le système a également été approuvé par le ministère japonais de l'Économie, du Commerce et de l'Industrie (METI) », selon Nokia Siemens. « Nous avons spécialement développé ce projet en partenariat avec DoCoMo. Après le tsunami notamment, nous avons cherché un moyen de donner plus de résilience à leur réseau », a déclaré Ben Roome, responsable des relations avec les médias chez Nokia Siemens. L'entreprise née de la fusion de Nokia Networks et de Siemens COM espère que les tests menés par DoCoMo vont déboucher sur un contrat commercial. « Après quoi, nous pourrons développer des solutions similaires pour les autres opérateurs », a avancé Ben Roome.Les piles à combustible, qui convertissent l'énergie chimique du combustible en électricité, pourraient aussi servir à alimenter ou à recharger les smartphones. Lors de la récente exposition CEATEC qui s'est tenue début octobre au Japon, l'entreprise japonaise ROHM Semiconductor a montré une petite pile à hydrogène destinée à charger des appareils portables. L'entreprise espère vendre ses cellules - qui délivrent suffisamment d'énergie pour recharger un smartphone en deux heures - à partir du mois d'avril de l'année prochaine.

L'entreprise américaine Lilliputian Systems, qui compte Intel comme bailleur, travaille également à la mise au point d'une pile à combustible pour recharger les smartphones et autres appareils portables. En septembre, elle a levé 40 millions de dollars de fonds supplémentaires pour démarrer la fabrication à grande échelle de sa pile. Selon le site web de Lilliputian Systems, l'entreprise prépare activement le lancement d'un système d'alimentation portable nommé USB Mobile Power System. Du slip renforcé de fils d'argent à la puce collée derrière le mobile, voire le lit à baldaquin isolant, la peur des ondes électromagnétiques, liée à la prolifération des smartphones et du wifi, fait naître un marché florissant d'accessoires censés protéger le corps humain. "Au mieux, ces produits sont sans effet, et au pire ils aggravent la situation", estime cependant Jean-Philippe Desreumaux, directeur fréquences et protection de Bouygues Telecom. Dans le cas du téléphone mobile, il indique à l'AFP que "si on modifie la réception, en masquant par exemple l'antenne avec un étui, l'appareil reçoit moins bien voire plus du tout le signal, et il va donc émettre encore plus fort car il n'arrive plus à joindre l'antenne relais". "On n'a aucune garantie que ces systèmes soient protecteurs comme leurs concepteurs l'affirment", juge également Joe Wiart, responsable du laboratoire de dosimétrie d'Orange, qui parle de "gris-gris".

  1. http://globaldoctoroptions.com/story/akkusmarkt/
  2. http://akkusmarkt.comunidades.net/
  3. https://akkusmarkt.quora.com/
  4. http://folgenden.jugem.jp/

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Akku Asus K53SV-SX174V

Auf der Rückseite befinden sich, deutlich in einem Riegel aus Metall hervorgehoben, die Kamera sowie der Schacht für die SIM-Karte. Dieser ist innen mit der Unterschrift des Mechanikers versehen, der das Smartphone zusammengebaut hat.Auch das Signature Touch bietet wieder Zugang zu Vertus Concierge-Service. Ein rund um die Uhr verfügbarer Assistent ist per Knopfdruck auf die sogenannte Rubin-Taste am rechten Rand erreichbar. Mit Vertu Life gibt es zudem eine App, die Zugang zu exklusiven Veranstaltungen bietet. Vertu Certainty schützt die Daten des Nutzers.Das Signature Touch wird mit Android in der Version 4.4 ausgeliefert, die genaue Version gibt Vertu nicht an. Der eingebaute Akku hat eine Nennladung von 2.275 mAh und soll eine Standby-Zeit von knapp 16 Tagen ermöglichen. Das Vertu Signature Touch soll ab Juli 2014 erhältlich sein. Der Preis beträgt je nach Ausstattung mindestens 8.000 Euro.Erst mit dem jüngsten Update reiht Oneplus sein Topsmartphone One in die Updateversorgung von Cyanogenmod ein - dementsprechend wichtig ist es. Nach der Aktualisierung sinkt die Akkulaufzeit des Smartphones allerdings dramatisch.
Vor kurzem verteilte Oneplus das erste Update für sein Smartphone One. Das Update ist wichtig, da es das Oneplus One in die Aktualisierungsversorgung von Cyanogenmod einbindet; Nutzer sollten es also installieren, um künftig automatisch Updates direkt von Cyanogenmod zu erhalten.

Zugleich behebt die Aktualisierung einige kleine Fehler: So funktionieren auf unserem Testgerät jetzt der Equalizer und die Themenverwaltung zuverlässig. Nach einigen Tagen mit der neuen Version stellen wir allerdings einen gravierenden Nachteil fest: Seit dem Update ist die Akkulaufzeit bei unserem Testgerät eklatant gesunken. Konnten wir mit der ursprünglich installierten Version von CM11S das One bei durchschnittlicher Nutzung ohne Probleme einen Tag benutzen, ist dies seit dem Update nicht mehr möglich. Das morgens aufgeladene Smartphone hatte mit der ursprünglichen CM11S-Version gegen 22 Uhr noch über 40 Prozent Akkustand übrig. Seit dem Update sind es bereits gegen 18:30 Uhr nur noch 20 Prozent. Durchschnittliche Benutzung heißt: E-Mails überprüfen, Facebook nutzen und ab und an ein grafisch nicht sonderlich aufwendiges Spiel spielen. Die Art der Nutzung hat sich dabei seit dem Update nicht geändert.Ein Blick auf die Stromnutzung zeigt an zwei verschiedenen Tagen das gleiche, normale Bild: Hauptverbraucher ist der Bildschirm, gefolgt vom Android-System. Weshalb unser Modell seit dem Update bei gleicher Nutzung derartig mehr Akkuleistung benötigt, ist unklar.

Da das Update erst künftige Aktualisierungen möglich macht, muss der Nutzer es installieren - mit der bei der Auslieferung installierten Version sind direkte Updates von Cyanogenmod offenbar nicht möglich. Die neue CM11S-Version scheint sich von der ursprünglich installierten in einigen Punkten deutlich zu unterscheiden: Bei der Installation wird das Smartphone bis auf die Fotos und Videos komplett gelöscht. Darauf weist Oneplus zwar an mehreren Stellen deutlich hin, allerdings kommt so etwas bei anderen großen Herstellern von Android-Geräten höchst selten vor. In der Regel kann ein Update ohne Datenverlust aufgespielt werden.Wie verbreitet das Akkulaufzeitproblem ist, ist schwer abzuschätzen. Im Internet gibt es noch kaum Nutzerberichte zum Oneplus One, da das Smartphone nicht ohne weiteres erhältlich ist. Auch Tests der Fachpresse können an einer Hand abgezählt werden.Oneplus hat mittlerweile die Akkulaufzeit mit einem weiteren Update für das One in den Griff bekommen. Der One-Akku hält bei durchschnittlicher Nutzung wieder einen Tag durch.Mit dem One (E hat HTC sein aktuelles Topmodell One (M in ein Kunststoffgehäuse gesteckt. Dabei bleibt die Hardware nahezu gleich, allerdings verzichtet HTC auf die Dual-Kamera - zugunsten einer höher auflösenden Variante.

HTC hat mit dem One (E eine Kunststoffvariante seines aktuellen Topgerätes One (M vorgestellt. Anstelle des Aluminiumgehäuses hat das One (E einen Unibody aus Polycarbonat - den Akku kann der Nutzer also auch hier nicht ohne weiteres wechseln. Vom Design her sehen sich beide Geräte sehr ähnlich. Auch das One (E hat die zwei charakteristischen Lautsprecher auf der Frontseite, die für Stereosound sorgen. Die Rückseite des Smartphones ist sowohl längs als auch quer leicht gewölbt, daher soll das Smartphone besonders gut in der Hand liegen.Die grundlegende Hardware hat HTC beim One (E unverändert gelassen: Im Inneren arbeitet ein Snapdragon-801-Prozessor, der Arbeitsspeicher ist 2 GByte groß. Der eingebaute Flash-Speicher hat eine Größe von 16 GByte, ein Steckplatz für Micro-SD-Karten bis 128 GByte ist vorhanden. Auch das Display wurde vom One (M übernommen: Es ist 5 Zoll groß und hat eine 1080p-Auflösung.Anders sieht es bei der Kamera aus: Beim One (E hat sich HTC gegen das Dual-Kamera-Konzept mit der 4-Megapixel-Kamera und einer zusätzlichen Linse für die Erfassung von Tiefeninformationen entschieden und stattdessen eine normale 13-Megapixel-Kamera eingebaut. Diese hat keine "Ultra Pixel", dürfte also weniger lichtempfindlich sein - was zwar zu schlechter ausgeleuchteten Bildern in dunklen Situationen führen dürfte, dafür aber zu weniger Überstrahlungen bei Tageslicht. Dies empfanden wir beim Test des HTC One (M stellenweise als störend. Die Frontkamera hat wie beim One (M 5 Megapixel.

Das One (E unterstützt Quad-Band-GSM, UMTS und LTE sowie WLAN nach 802.11a/b/g/n. Bluetooth läuft in der Version 4.0, ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut. Das Smartphone wird wie das One (M mit Android 4.4.2 und der HTC-Oberfläche Sense in der Version 6.0 ausgeliefert.Nach Angabe der deutschen HTC-Vertretung wird das One (E nicht in Deutschland erscheinen. Das Smartphone kommt Ende Juni 2014 in Russland, China und weiteren ausgewählten Märkten unter anderem in Osteuropa in den Handel. Auch in den USA soll es bei einigen Händlern erhältlich sein. Für einige Märkte soll eine Dual-SIM-Variante angeboten werden. Einen Preis hat HTC nicht genannt.Aldi-Süd verkauft diese Woche Medions Android-Tablet Lifetab E10320. Für 180 Euro gibt es das 10-Zoll-Tablet, das im Frühjahr 2014 bereits bei Aldi-Nord zu haben war.

Das Medion-Tablet E10320 wird ab dem 5. Juni 2014 bei Aldi-Süd für 180 Euro verkauft. Das baugleiche Modell war im März 2014 zum gleichen Preis bereits bei Aldi-Nord im Sortiment. Das Tablet ist von den technischen Daten her fast identisch mit dem Lifetab E10316, das im Dezember 2013 ebenfalls für 180 Euro angeboten wurde. Wie das Vorgängermodell bietet auch das neue Medion-Tablet für den Preis eine vergleichsweise gute Ausstattung. Für ein Tablet mit 10 Zoll großem HD-Display, Quad-Core-Prozessor und 16 GByte Flash-Speicher verlangen andere Hersteller deutlich mehr. Im Unterschied zum Dezembermodell wurde das Gewicht reduziert und die Hauptkamera bietet eine höhere Auflösung, so dass ein Hauptkritikpunkt an der Ausstattung des alten Modells beseitigt wurde.Das Lifetab E10320 hat einen 10,1 Zoll großen IPS-Touchscreen mit einer Auflösung von 1.280 x 800 Pixeln. Das ist bei günstigen 10-Zoll-Tablets im Grunde die minimale Displayauflösung. Der im Tablet verwendete Quad-Core-Prozessor läuft mit einer Taktrate von 1,6 GHz und arbeitet mit ARM-Cortex-A9-Kernen. Der Arbeitsspeicher ist 1 GByte groß und es gibt 16 GByte Flash-Speicher sowie einen Steckplatz für Micro-SD-Karten, die maximal 64 GByte groß sein dürfen. App2SD wird voraussichtlich nicht unterstützt.

Das Tablet hat ein WLAN-Modul, zu dem nur bekannt ist, dass es WLAN-n abdeckt. Es wird vermutlich nur Single-Band-WLAN unterstützen. Zudem sollen Bluetooth 2.1 und ein Micro-HDMI-Anschluss vorhanden sein. Ein Mobilfunkmodem ist nicht eingebaut. Auf der Vorderseite kommt erneut eine 2-Megapixel-Kamera zum Einsatz. Das alte Modell hatte auch auf der Rückseite ein solches Modell. Nun gibt es als Hauptkamera eine 5-Megapixel-Ausführung samt Autofokus, so dass sie bessere Fotos machen sollte als die alte.Auf dem Tablet läuft Android 4.2 alias Jelly Bean. Es gibt derzeit keine Informationen dazu, ob ein Update auf Android 4.3 oder auf Android 4.4 alias Kitkat geplant ist. Vorinstalliert ist die Office-Suite von Softmaker, die auch bei Medions 8-Zoll-Modell Lifetab S7852 enthalten ist.Das Tabletgehäuse misst 263 x 172 x 10,5 mm und wiegt 550 Gramm. Damit ist es rund 25 Gramm leichter als das Dezembermodell. Der eingebaute Lithium-Polymer-Akku soll eine maximale Laufzeit von rund sechs Stunden bieten. Unter welchen Bedingungen dieser Wert erreicht wird, ist nicht bekannt.Mit dem Xperia T3 hat Sony ein großes und dünnes Android-Smartphone mit außergewöhnlichem Design vorgestellt. Die Hardwareausstattung gehört zur guten Mittelklasse, das Gerät kommt mit Quad-Core-Prozessor und LTE-Unterstützung.

Sony hat mit dem Xperia T3 ein neues Android-Smartphone präsentiert. Das Xperia T3 soll durch sein Design und das Material des Gehäuses punkten, die Hardwareausstattung positioniert das Smartphone als typisches Mittelklassegerät. Das Xperia T3 von Sony ist nach Angaben des Herstellers das dünnste 5,3-Zoll-Smartphone der Welt: Mit 7 mm ist das Edelstahlgehäuse des Gerätes tatsächlich nicht dick. Sony setzt auch beim neuen Smartphone die Designlinie seiner jüngsten Geräte fort, allerdings ist die Rückseite des Xperia T3 an den Rändern etwas abgeflacht. So wirkt das Smartphone etwas weniger kantig als beispielsweise das Xperia Z2. Das 5,3 Zoll große Display hat eine Auflösung von 1.280 x 720 Pixeln, das ergibt eine Pixeldichte von 277 ppi. Diese eher niedrige Auflösung dürfte sich positiv auf die Akkulaufzeit auswirken. Wie beim Xperia Z2 kommt auch beim Xperia T3 ein Triluminos-Display zum Einsatz, das Farben realistischer anzeigen soll.Im Inneren des Smartphones arbeitet ein nicht näher benannter Snapdragon-Prozessor mit vier Kernen und einer Taktrate von 1,4 GHz. Der Arbeitsspeicher ist 1 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher nur 8 GByte. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten bis 32 GByte ist eingebaut. Dieser dürfte für Apps allerdings nicht nutzbar sein: Sony unterstützt bei seinen aktuellen Geräten kein App2SD, so dass sich Apps nicht auf eine externe Speicherkarte verschieben lassen.

Das Xperia T3 unterstützt Quad-Band-GSM, UMTS und LTE. WLAN beherrscht das Smartphone nach unbekanntem Standard, Bluetooth läuft in der Version 4.0. Ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut.Auf der Rückseite ist eine 8-Megapixel-Kamera mit Autofokus, LED-Fotolicht und Exmor-RS-Sensor eingebaut. Die Frontkamera hat 1,1 Megapixel.Der Akku des Xperia T3 hat eine Nennladung von 2.500 mAh und soll eine Standby-Zeit von über 28 Tagen ermöglichen. Die Sprechzeit soll knapp 13 Stunden betragen, Videos sollen über acht Stunden lang abgespielt werden können. Diese Zeiten wurden laut Sony nach Richtlinien der GSMA gemessen. Ein Stromsparmodus soll die Akkulaufzeit verlängern können.Das Edelstahlgehäuse des Xperia T3 misst 150,7 x 77 x 7 mm, das Smartphone wiegt 148 Gramm. Anders als beispielsweise die Xperia-Geräte der Z-Serie ist das Xperia T3 offenbar nicht vor Wasser und Staub geschützt.

Sony will das Gerät Ende Juli 2014 weltweit in den Farben Schwarz, Weiß und Lila auf den Markt bringen, einen Preis hat der Hersteller noch nicht genannt.Mit dem Transformer Book 5 treibt Asus die Mischung aus Android und Windows auf die Spitze: Das 12,5-Zoll-Convertible mit abnehmbarer Tastatur läuft mit Windows 8.1, kann aber wie ein Padfone auch ein Android-Smartphone aufnehmen - und dann als Android-Tablet genutzt werden. Wer sich nicht entscheiden kann, ob er einen Windows-Laptop, ein Android-Tablet, ein Windows-Tablet oder ein Android-Smartphone kaufen möchte, findet mit Asus' neuem Transformer Book 5 womöglich das passende Produkt: Das Convertible ist alles in einem. Auf den ersten Blick ist das Transformer Book 5 ein 12,5 Zoll großes Notebook mit Windows 8.1, das dank abnehmbarer Tastatur auch als Windows-Tablet genutzt werden kann. Es kommt ein Intel-Prozessor "der neuesten Generation" zum Einsatz - welcher genau verrät Asus nicht. Es könnte sich um einen Haswell Refresh handeln oder schon um einen Broadwell. Der Arbeitsspeicher ist 4 GByte groß, der Flash-Speicher im Tablet bis zu 128 GByte. Im Tastatur-Dock ist eine zusätzliche HDD mit 1 TByte verbaut.

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Akku ASUS N51TP

Glance ist ein Anstecker für das Uhrenarmband, der wie eine Smartwatch Informationen vom Smartphone anzeigt. So sollen dem Träger Anrufe, eingehende SMS und E-Mails signalisiert werden.
Sony hat mit der HDR-AS20 eine neue Actionkamera vorgestellt, die mit WLAN ausgestattet ist und das Echtzeitbild auf ein Armband mit Display übermittelt, mit dem der Kameramann die Aufnahmen kontrollieren kann. Die Sony HDR-AS20 ist eine kompakte und stoßsichere Kamera, die hauptsächlich zum Filmen eingesetzt wird und über ein Stereomikrofon und eine Bildstabilisierung verfügt. In der Kamera arbeitet ein CMOS-Sensor des Typs 1/2,3 Zoll, der eine Auflösung von 11,9 Megapixeln erreicht und zum Filmen in Full-HD mit 60p/50p beziehungsweise 30p/25p im Format MPEG-4 AVC/H.264 gedacht ist. Bei Bedarf kann auch mit 1.280 x 720 Pixeln und 120 Bildern pro Sekunde gearbeitet werden, um flüssige Zeitlupenaufnahmen zu erzielen.Die HDR-AS20 ist der Nachfolger der HDR-AS15 und verfügt wie sie über ein Objektiv von Zeiss, dessen Aufnahmewinkel bei 170 Grad liegt. Schaltet man den Verwackelungsschutz ein, reduziert sich der Blickwinkel auf 120 Grad. Es handelt sich dabei allerdings nicht um eine optische, sondern um eine elektronische Bildstabilisierung.

Mit Schutzgehäuse kann die Kamera in bis zu 60 Meter Tiefe mitgenommen werden. Über WLAN schickt sie ihr Bild auf das optional erhältliche Armband RM-LVR1, das ein kleines Display hat. Auch das Armband ist wasserfest und staubdicht und ermöglicht neben der Bildkontrolle auch die Aufnahmesteuerung. Bis zu fünf Actioncams des gleichen Typs lassen sich damit kontrollieren.Die kleine Kamera misst 24,5 x 47,0 x 82,0 mm und wiegt mit dem mitgelieferten Akku 83 Gramm. Damit sind etwa 130 Minuten lange Aufnahmen möglich. Wer auf WLAN verzichtet, kann 150 Minuten lang filmen. Das Videomaterial landet auf einem Memory Stick Micro oder einer MicroSD-Karte.Die HDR-AS20 von Sony soll ab Juli 2014 für rund 200 Euro erhältlich sein. Den Preis für das Armband gab Sony noch nicht bekannt.Anstatt das Galaxy S3 auf Android 4.4.2 zu aktualisieren, bringt Samsung ein neues Kitkat-Smartphone: Die Hardware des Galaxy S3 Neo entspricht bis auf etwas mehr Arbeitsspeicher der des Galaxy S3, auch der Preis ist fast gleich. Samsungs neues Android-Smartphone Galaxy S3 Neo ist in Deutschland erhältlich. Das Gerät ist im Grunde ein alter Bekannter: Von der Hardware her ist es fast baugleich mit dem über zwei Jahre alten Galaxy S3, nur der Arbeitsspeicher wurde leicht vergrößert.

Das Super-Amoled-Display ist unverändert 4,8 Zoll groß und hat eine Auflösung von 1.280 x 720 Pixeln. Im Inneren arbeitet weiterhin ein Quad-Core-Prozessor mit einer Taktrate von 1,4 GHz. Der eingebaute Flashspeicher ist 16 GByte groß, den Arbeitsspeicher hat Samsung von 1 GByte auf 1,5 GByte vergrößert. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten ist eingebaut.Der erhöhte Arbeitsspeicher könnte damit zusammenhängen, dass das Galaxy S3 Neo mit Android 4.4.2 alias Kitkat ausgeliefert wird. Dem ursprünglichen Galaxy S3 hatte Samsung das Update auf die aktuelle Android-Version mit dem Verweis auf einen zu geringen Arbeitsspecher verweigert. An der restlichen Hardware scheint es nicht gelegen zu haben. Die Oberfläche des Galaxy S3 Neo hat noch nicht das neue Design des Galaxy S5.Wie das Galaxy S3 unterstützt auch das S3 Neo Quad-Band-GSM und UMTS sowie WLAN nach 802.11a/b/g/n. Bluetooth läuft in der Version 4.0, ein GPS-Empfänger mit Glonass-Unterstützung ist eingebaut. Auf der Rückseite hat das Galaxy S3 Neo unverändert eine 8-Megapixel-Kamera mit Autofokus und LED-Fotolicht, die Frontkamera hat 1,9 Megapixel.Auch beim Akku hat Samsung alles beim Alten gelassen: Er hat unverändert eine Nennladung von 2.100 mAh, was dem Galaxy S3 Neo eine Standbyzeit von knapp 14 Tagen ermöglichen soll. Im UMTS-Modus soll die maximale Sprechzeit 14 Stunden betragen. Das Gehäuse des Smartphones misst 136,6 x 70,7 x 8,6 mm, das Gewicht beträgt 132 Gramm.

Das Galaxy S3 Neo ist im Onlinehandel für knapp 270 Euro erhältlich. Das ursprüngliche Galaxy S3 ist mit 255 Euro nur unwesentlich günstiger. Mit dem Galaxy Note 3 Neo hatte Samsung im Februar 2014 bereits das Note 2 wiederverwertet und es in ein neues Gehäuse gesteckt.Apple hat ein Firmware-Update veröffentlicht, das die Probleme mit einer schnellen Akkuentladung bei Macbook-Air-Modellen beheben soll. Diese entluden sich teilweise bei geschlossenem Display. Das SMC Update 2.0 von Apple soll Akkuprobleme beseitigen, die bei manchem Macbook Air dazu führten, dass sich der Stromspeicher bei geschlossenem Display deutlich zu stark entlud. Das Update für den System Management Controller steht für das Macbook Air bereit, das Mitte 2013 erschienen ist. Für das Macbook Air von 2014 gibt es kein Update. Der SMC kümmert sich im Macbook vor allem um die Energieverwaltung.Die Software wird über die Softwareaktualisierung von OS X eingespielt und erfordert einen Systemneustart. Es ist rund 800 KByte groß und dementsprechend schnell einzuspielen. Die Aktualisierung ist laut Apples Knowledgebase-Eintrag nur bei Systemen mit OS X Mavericks 10.9.2 und späteren Versionen sowie OS X Mountain Lion 10.8.5 und späteren Versionen möglich.

Der Akku des Macbook Air ist wie der des Macbook Pro fest verbaut. Schon einmal hatte Apple mit einem Update des SMC versucht, ein Akkuproblem bei dieser Modellreihe zu beheben. Das vorherige Update auf Version 1.9 erschien am 1. Oktober 2013.HTC hat den Verkaufsstart der Miniversion des HTC One (M bekanntgegeben: Das One Mini 2 hat ein Aluminiumgehäuse, kommt mit Android 4.4.2 und kostet bereits weniger als die empfohlenen 450 Euro. HTCs neues One Mini 2 ist eine verkleinerte Version des aktuellen Topsmartphones One (M und jetzt im Handel erhältlich. Vorgestellt hatte HTC es Mitte Mai 2014. Das HTC One Mini 2 soll 450 Euro kosten und ist im Fachhandel und bei den deutschen Providern T-Mobile, O2, 1&1, Vodafone und Mobilcom-Debitel in den Farben Grau oder Silber zu bekommen. Exklusiv bei Vodafone soll das Smartphone in der Farbe "Amber Gold" erhältlich sein. Im Onlinehandel ist es bereits für unter 450 Euro bestellbar: Die graue und die silberne Variante kosten hier 435 Euro.Das One Mini 2 sieht dem One (M äußerlich sehr ähnlich, es hat auch ein Aluminiumgehäuse und Stereolautsprecher auf der Vorderseite. Das Display ist mit 4,5 Zoll allerdings kleiner als das des One (M , auch ist die Auflösung mit 1.280 x 720 Pixeln geringer.

Auch die restliche Hardware hat HTC wie beim Vorgängermodell gegenüber dem Topmodell deutlich abgespeckt. Im Inneren arbeitet ein Snapdragon-400-Prozessor mit einer Taktrate von 1,2 GHz. Der Arbeitsspeicher ist 1 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher 16 GByte. Anders als das erste One Mini hat das neue Modell einen Steckplatz für Micro-SD-Karten bis 128 GByte.Ein weiterer Unterschied zum HTC One (M ist die Kamera: Das One Mini 2 hat statt einer Dual-Kamera, die bei der Aufnahme Tiefeninformationen aufnimmt, ein normales Kameramodul. Dieses hat mit 13 Megapixeln eine deutlich höhere Auflösung als die Ultra-Pixel-Kamera des One (M .Wie das One (M benötigen Nutzer für das One Mini 2 jetzt eine Nano-SIM-Karte, die beim jeweiligen Provider angefordert werden kann. Der vermutlich fest eingebaute 2.100-mAh-Akku soll im UMTS-Modus eine maximale Sprechzeit von 16 Stunden liefern. Im Bereitschaftsmodus wird eine Akkulaufzeit von 23 Tagen versprochen. Ausgeliefert wird das One Mini 2 mit Android 4.4.2 und HTCs Benutzeroberfläche Sense 6.

Phinergy und Alcoa wollen der Reichweitenangst bei Elektroautos ein Ende bereiten: Eine Aluminium-Luft-Batterie soll ein Elektroauto 1.000 Kilometer und weiter fahren lassen. Am kommenden Sonntag werden auf dem Circuit Gilles Villeneuve die Formel-1-Hybridmotoren aufheulen. Sehr viel leiser ist es dieser Tage auf der Rennstrecke in Montreal in der kanadischen Provinz Québec zugegangen: Dort haben zwei Unternehmen ihre Akkutechnik an einem Elektroauto, einem umgebauten Citroen, vorgeführt. Das fuhr und fuhr und fuhr und fuhr. Sagenhafte 1.600 Kilometer Reichweite versprechen der Aluminiumkonzern Alcoa und der israelische Akkuhersteller Phinergy. Möglich machen soll das eine Kombination aus einem herkömmlichen Lithium-Ionen-Akku und einer Aluminium-Luft-Batterie.Diese besteht aus Aluminiumplatten, die als Anode dienen. Das Metall reagiert mit Sauerstoff und einem Wasser-basierten Elektrolyt. Dabei wird das Aluminium zu Aluminiumhydroxid und es entsteht elektrischer Strom. Das Aluminiumhydroxid wird in dem Elektrolyt gelöst. Daraus lasse sich später wieder Aluminium gewinnen, sagt Alcoa. Es gehe nichts verloren.

Das Konzept sieht so aus: Das Elektroauto verfügt über einen Lithium-Ionen-Akku, der an der Steckdose oder der Ladesäule geladen wird und das Auto auf den täglichen Kurzstrecken mit Strom versorgt. Auf langen Strecken oder wenn der Lithium-Ionen-Akku leer ist, kommt die Aluminium-Luft-Batterie zum Einsatz.Eine Autobatterie soll aus Aluminiumplatten bestehen, die laut Phinergy jeweils eine Reichweite von etwa 32 Kilometern ermöglichen. Die Leistungsfähigkeit der Batterie hängt von der Zahl der Platten ab. Eine Batterie mit 50 Platten soll laut Phinergy in Kombination mit einem Lithium-Ionen-Akku eine Reichweite von 1.600 Kilometern ermöglichen.Der Fahrer muss ab und zu etwas Wasser in den Akku nachfüllen. Allerdings: Die Aluminium-Luft-Batterie kann nicht einfach wieder aufgeladen werden. Stattdessen muss das Elektroauto in die Werkstatt, wo die aufgebrauchten Anoden ausgetauscht werden. Das soll allerdings schnell gehen.Die Anoden will der kanadische Zweig von Alcoa in der Aluminiumhütte in Baie-Comeau in Québec herstellen, wo Wasserkraftwerke den Strom liefern. Dabei soll kein Kohlendioxid frei gesetzt werden, erklärt Alcoa. Die Technik soll in ein bis zwei Jahren einsatzbereit sein.

Mit dem Signature Touch hat Vertu sein erstes wirklich leistungsfähiges Luxus-Smartphone vorgestellt. Das Gerät kommt mit Snapdragon-801-Prozessor, Full-HD-Display und wird von einem einzelnen Techniker per Hand gefertigt. Vertu hat das Android-Smartphone Signature Touch vorgestellt. Anders als vorige Modelle des Luxus-Herstellers hat das neue Smartphone nicht nur ein edles Äußeres, sondern verfügt auch über leistungsfähige Hardware. So kommt das Signature Touch mit einem Snapdragon-801-Prozessor mit einer Taktrate von 2,3 GHz, einem 4,7 Zoll großen Full-HD-Display und einer 13-Megapixel-Kamera. Diese ist vom Traditionshersteller Hasselblad zertifiziert. Der interne Speicher ist 64 GByte groß, zum Arbeitsspeicher macht Vertu keine Angaben.Das Signature Touch unterstützt Quad-Band-GSM, UMTS und LTE. WLAN beherrscht das Smartphone nach 802.11a/b/g/n und ac. Bluetooth läuft in der Version 4.0 LE, ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut. Die eingebauten Lautsprecher sind von Bang & Olufsen.Für die Käuferschicht des Vertu-Smartphones dürfte neben diesen inneren Werten auch das Äußere des Gerätes wichtig sein. Das Signature Touch wird von einem einzelnen Techniker per Hand in England gefertigt. Das Gehäuse ist aus Titan und mit Applikationen aus handgenähtem Leder versetzt. Die Ohrmuschel ist - wie bei Vertu üblich - mit einem Keramik-Inlay hervorgehoben.

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March 30, 2017

Batterie ASUS N53JQ

En supposant que vous vouliez passer à Windows 8, vous devrez d'abord décider quelle édition choisir. Car certaines fonctionnalités ne sont disponibles que dans la version Windows 8 Enterprise. C'est le cas notamment de Windows To Go, qui fait de Windows 8 un système d'exploitation idéal pour les entreprises qui ont déjà adopté, ou prévoient d'adopter une politique Byod (Bring Your Own Device).De manière générale, le Byod présente des avantages et des inconvénients, aussi bien pour l'entreprise que pour les salariés. Parmi les désagréments les plus évidents, l'entreprise prend le risque d'exposer ses données et ses réseaux à des ordinateurs qui peuvent potentiellement véhiculer des logiciels malveillants, être perdus, volés, et compromettre des informations sensibles. Quant au salarié, il va encombrer son ordinateur personnel de logiciels et de données qui ne lui appartiennent pas et qu'il n'a aucune envie d'utiliser en dehors de son environnement de travail.

La raison pour laquelle Windows To Go est un outil bien adapté au Byod, c'est qu'il permet de démarrer sur une version complète de Windows 8 depuis une clé USB ou d'un disque dur externe avec pratiquement n'importe quel ordinateur portable de son choix. Quand le salarié est dans l'entreprise, il peut utiliser l'environnement bien sécurisé du système Windows 8 fourni par son employeur. Quand il ne travaille pas, il retrouve son ordinateur exactement dans l'état où il était avant. Windows To Go supprime donc la plupart des inconvénients associés au Byod. Un autre avantage, c'est que, s'il rencontre des problèmes avec son système sur clef USB, par exemple l'infection par un malware, il est très simple de cloner une nouvelle image de Windows To Go et de faire comme si rien ne s'était jamais produit.

Avant de faire son choix, il faut garder à l'esprit plusieurs éléments. Tout d'abord, comme mentionné ci-dessus, Windows To Go est disponible uniquement avec Windows 8 Enterprise. Ensuite, Windows To Go nécessite au moins un lecteur flash USB de 32 Go, et est uniquement compatible avec des matériels spécifiques pris en charge par Microsoft. Certaines caractéristiques et fonctions ne sont pas disponibles dans Windows To Go : elles sont désactivées pour séparer l'environnement virtuel de Windows 8 avec le matériel sous-jacent et le logiciel installé sur le PC personnel du salarié. Par exemple, les disques durs internes de l'ordinateur sont désactivés par Windows To Go. La fonction de mise en veille prolongée, l'environnement de récupération Windows, et Windows 8 App Store ne sont pas non plus disponibles par défaut. La SNCF a ouvert à la gare de Lyon une borne de recharge de téléphones portables, accessible gratuitement à tous les voyageurs.

Le service de la SNCF testé à la gare de Lyon à Paris permet recharger un terminal mobile, et ce, sans chargeur. Samsung, Nokia, HTC... de nombreuses marques peuvent être alimentées, grâce aux différents câbles mis à la disposition des voyageurs par l'entreprise ferroviaire. Accessible gratuitement, la borne a été installée dans le hall 2 sous la verrière, à côté de l'enseigne Berko. Selon un agent SNCF, qui s'exprime sur son compte Twitter, ces bornes pourraient par la suite être déployées dans d'autres gares, en fonction de leur accueil lors de cette expérimentation. Nul doute que la sortie de Windows 8 est l'un des faits marquants de l'année 2012 dans le secteur IT et apportera une vraie bouffée d'oxygène au marché. Avec son système d'exploitation, Microsoft joue la convergence des plateformes matérielles en ciblant à la fois les tablettes tactiles, les PC portables et les ordinateurs de bureau dotés de claviers et de souris. Pour nos intervenants, Windows 8 a déjà le mérite de changer la perception du bureau de travail des salariés dans les entreprises avec l'entrée dans une ère plus mobile. Toutefois, sur le terrain, les avis des professionnels sont partagés entre la qualité et la fiabilité du système et ses usages surtout via l'interface Metro (ou ModernUI), qui ne fait pas forcément l'unanimité pour une utilisation sur les postes non tactiles. Cette réserve s'étend aussi à la migration des postes vers ce nouvel OS. En effet, de nombreuses entreprises encore majoritairement sous Windows XP sont aujourd'hui plutôt dans une phase de migration vers Windows 7. De ce fait, Windows 8 sera-t-il vu comme un système de transition en attendant que les entreprises sur le terrain franchissent vraiment le pas de l'ère mobile pour tous leurs salariés et pas seulement les cadres dirigeants et les responsables.

Les trois quarts de l'humanité se servent désormais d'un téléphone portable, selon « Tirer le meilleur du mobile », un rapport de la Banque mondiale. Dans le monde, le nombre d'abonnements à la téléphonie mobile est passé de moins d'un milliard en 2000 à plus de six milliards en 2012, dont près de cinq milliards dans les pays en développement. Posséder plusieurs abonnements étant devenu courant, le taux de pénétration du mobile dans le monde pourrait bientôt dépasser celui de la population humaine.« La révolution du mobile n'en est qu'à ses débuts : les appareils mobiles sont de moins en moins chers et de plus en plus puissants, tandis que les réseaux doublent leur bande passante tous les 18 mois environ, et s'étendent à présent aux zones rurales » explique Tim Kelly, l'un des auteurs de ce rapport.

Au total, plus de 30 milliards d'applications mobiles auraient été téléchargées en 2011. Dans beaucoup de pays, ces applications sont vectrices de développement économique. La Banque mondiale cite de nombreux exemples, parmi lesquels le gouvernement de l'État de Kerala (Inde), qui a déployé plus de vingt applications et facilité plus de trois millions d'échanges entre l'administration et les citoyens depuis son lancement en décembre 2010, ou encore l'écosystème de paiement mobile M-PESA (Kenya). Au salon Pepcom's Digital Experience qui se tient dans le cadre du CES 2013, l'entreprise néo-zélandaise PowerbyProxi a fait la démonstration d'une technologie sans fil qui permet de recharger en même temps des batteries AA, des smartphones et même des casques.PowerbyProxi affirme que sa technologie sans fil améliore le standard Qi (prononcer «tchi») actuellement utilisé dans des systèmes de recharge sans fil pour tablettes ou systèmes audio. Selon le Wireless Power Consortium, à l'origine de la norme Qi, les produits de près de 140 fabricants sont actuellement certifiés conformes à ce standard. Selon Greg Cross, cofondateur et président de PowerbyProxi, « la technologie sans fil mise au point par son entreprise utilise le couplage de charge lâche, lequel, contrairement à la norme Qi plus restrictive, n'exige pas d'imposer un paramétrage strict aux appareils pour bénéficier d'une efficacité de charge maximale. Le président de PowerbyProxi a annoncé que des chargeurs et autres produits compatibles avec la technologie seraient disponibles d'ici un an à 18 mois.

Lors de sa démonstration, Greg Cross a fait évoluer un smartphone Nokia au-dessus d'un tapis de charge pour montrer comment fonctionnait cette technologie sans fil, quel que soit l'endroit où se trouvait l'appareil. Ensuite, il a placé trois mobiles dans des zones différentes autour du chargeur pour montrer que tous étaient chargés en même temps, à la même puissance que celle fournie par une prise murale.Fady Mishriki, cofondateur et CEO de PowerbyProxi, a fait la démonstration de piles AA intégrant des minirécepteurs sans fil (ils occupent environ 10 % de la hauteur de la pile). Le CEO de PowerbyProxi a inséré les piles dans un camion électrique qu'il a ensuite placé dans une boîte de charge. Les LED des piles équipées de minirécepteurs ont commencé à clignoter, indiquant que la charge était en cours. La boîte peut charger jusqu'à huit piles de plusieurs appareils en même temps. « Ça marche avec tout type de piles, des piles rechargeables AA, mais aussi des piles au lithium-ion ou même des batteries personnalisées », a déclaré Fady Mishriki.

Comme la technologie Qi, PowerbyProxi utilise des techniques de charge reposant sur l'induction magnétique. Pour que ça marche, les appareils à charger doivent être en contact avec une surface de chargement, comme un tapis de charge. Ou, dans le cas de la boîte de charge, ils doivent être entourés par une surface de charge sur trois côtés. À ce jour, Duracell est le premier et principal fournisseur de tapis de charge. Ils sont équipés de la technologie Powermat mise au point par Duracell.La technologie à résonance magnétique, qui permet de recharger des périphériques placés à proximité d'un chargeur, devrait être disponible très prochainement. Par exemple, la technologie à résonance magnétique mise au point par WiTricity peut servir à charger aussi bien des batteries de voiture que de PC portables. Cette technologie est basée sur la même technologie d'émission/réception à partir d'une bobine que l'induction magnétique, mais elle permet de transmettre l'énergie à une plus grande distance.

Pour faire sa démonstration au CES, PowerbyProxi a créé son propre matériel, mais, à long terme, l'entreprise n'a pas l'intention de fabriquer et de vendre ses propres produits. Elle envisage de licencier sa technologie à des fabricants de systèmes de charge et de terminaux mobiles. « Ils peuvent décliner la technologie de multiple façon », a déclaré Tony Francesca, vice-président du développement commercial chez PowerbyProxi. La technologie mise au point par l'entreprise néo-zélandaise comporte un processeur intelligent pour contrôler le transfert d'énergie. Si des objets métalliques non conformes sont placés sur un tapis ou dans la boîte de charge, aucune énergie n'est transmise. Selon Tony Francesca, « la capacité à faire la différence entre des appareils compatibles et des appareils contenant des métaux (du fer notamment) est importante, particulièrement pour la technologie de charge sans fil utilisée dans les accoudoirs des véhicules automobiles ou les tapis de charge ».

La technologie de PowerbyProxi peut être entièrement intégrée à la carte mère d'un smartphone. Le récepteur et la bobine peuvent être placés à l'intérieur des appareils mobiles à côté d'autres composants sans modification de l'appareil lui-même. Ce qui n'est pas le cas des récepteurs compatibles avec la norme Qi. « Dans les smartphones, ils doivent être installés en dehors de la carte mère afin d'éviter une surchauffe », a expliqué Greg Cross. Bas Fransen, directeur du marketing du Wireless Power Consortium (WPC), qui a créé la norme Qi, a confirmé qu'aujourd'hui la technologie était présente dans de nombreux smartphones, mais qu'elle n'était pas installée sur la carte mère.

Greg Cross a affirmé qu'un tapis de charge intégrant sa technologie permettait de charger simultanément jusqu'à trois appareils à pleine capacité (5 watts), soit une charge totale de 15 watts. Actuellement le standard Qi permet une charge de 5 watts, mais il devrait passer à 15 watts d'ici un an. La GamePad, un appareil hybride à mi-chemin entre la tablette et la console de jeu portable, devrait être commercialisé par Archos au mois d'octobre, selon le site SlashGear.Les caractéristiques et les premières images de l'Archos GamePad viennent d'être révélées sur internet. Contacté par l'agence Relaxnews, le constructeur français confirme l'information et s'apprête même à communiquer rapidement de plus amples informations au sujet du GamePad. Sous ses allures de PS Vita grand format, le GamePad se présente comme une console 7 pouces, équipée d'un processeur double coeur cadencé à 1,5 GHz et fonctionnant sous Android 4 Ice Cream Sandwich. Elle permettrait de profiter de l'ensemble des jeux disponibles sur Google Play. Son prix serait légèrement inférieur à 150€. En France, responsables informatiques et salariés se rejoignent sur un point : leur réticence face au Byod. Le déluge marketing sur le sujet n'est pas près d'ensevelir la tribu gauloise qui a plusieurs motifs pour rechigner.

70% aux Etats-Unis et en Chine, mais moins de 50% en France, décidément les français ne sont pas amateurs de Byod, le fameux bring your own device, selon une étude () commandée par Cisco. Des deux côtés, employeurs et salariés français, les réticences se bousculent. Le Byod est-il un facteur positif ? 40% seulement des responsables informatiques en France en sont convaincus. Aux Etats-Unis en Asie et en Amérique latine, ce pourcentage grimpe allègrement à 80%.Les français appliquent carrément des politiques restrictives. 51% des entreprises interrogées interdisent l'utilisation de terminaux mobiles personnels au travail. Ce qui limite la possibilité de télécharger des applications d'entreprise, estime l'étude. Facteur aggravant, la sécurité est jugée plus préoccupante qu'ailleurs. 33% des responsables informatiques la juge comme étant le premier obstacle au développement du Byod.Inversement, le Byod possède quelques avantages. Même si les pourcentages sont moins importants que sur les items précédents, les responsables informatiques relèvent ici plusieurs facteurs. Pour 15% d'entre eux les salariés concernés sont plus efficaces, 12% assurent que leur satisfaction s'en ressent, 17% assurent que le Byod permet de réduire les coûts en entreprise.

  1. http://akkusmarkt.jimdo.com/
  2. http://blogs.elle.com.hk/akkusmarkt/
  3. http://wwwakkusmarktcom.doodlekit.com/blog
  4. http://akkusmarkt.bravesites.com/

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Akku ASUS N43JM

Die Sensorik sowie die Flugeigenschaften und -fähigkeiten entsprechen weitgehend denen der großen Schwester, der AR.Drone. Das gilt auch für die Fähigkeit, vorprogrammierte Kunststücke im Flug auf Knopfdru ck auszuführen. Eine Funktion ist allerdings dem Rolling Spider vorbehalten: Wird er in die Luft geworfen, fliegt er automatisch, auch ohne expliziten Startbefehl. Die Verbindung zwischen Steuergerät und Drohne wird per Bluetooth Low Energy hergestellt. Dieser Funkstandard spart zwar Strom, eine Übertragung des Kamerabildes ist dadurch aber nicht möglich. Die Kamera befindet sich an der Unterseite der Drohne und wird primär genutzt, um die Fluggeschwindigkeit zu ermitteln, analog der Funktionsweise einer optischen Maus. Eine Speicherung des Kamerabildes - nicht aber von Videos - ist trotzdem auf der Drohne selbst möglich. Das Bild kann über die eingebaute USB-Schnittstelle abgerufen werden. Leider konnten wir die Bildqualität vor Ort nicht prüfen.Das erste verfügbare fahrende Modell von Parrot ist der Jumping Sumo. Er fährt nach dem Segway-Prinzip nur auf zwei Rädern. Der in Bildern und Video teilweise sichtbare Schwanz dient primär nicht als Stütze, sondern es handelt sich dabei um einen Federmechanismus, der während der Fahrt über dem Boden schweben kann. Wird die Feder per Fernsteuerung gespannt und wieder ausgelöst, kann der Jumping Sumo im Stand oder während der Fahrt bis zu 80 cm hoch springen. Alternativ können mit dem Federmechanismus auch Gegenstände weggestoßen werden.

Die Räder können einfach in zwei Stellungen gedrückt werden: eng anliegend, um enge Kurvenradien und Kunststückchen zu ermöglichen, oder weiter auseinander für eine höhere Fahrstabilität. Wie auch sein fliegendes Pendant verfügt das Modell über mehrere einprogrammierte Manöver, um sich zum Beispiel per Tastendruck exakt um 90 oder 180 Grad zu drehen.Das Videobild der eingebauten Kamera wird zur Smartphone-App übertragen und entspricht qualitativ dem Livebild der AR.Drone 2.0, wenn es nicht sogar etwas besser ist. Sowohl Videos als auch Bilder lassen sich während der Fahrt aufnehmen, auf dem Sumo selbst per USB-Stick.Die Verbindung zwischen Steuergerät und dem Modell erfolgt per WLAN im 2,4- oder 5-GHz-Band. Der Akku ist identisch zum Akku im Rolling Spider, der Jumping Sumo soll damit aber auf gut 20 Minuten Laufzeit kommen. Auch dieser Wert schien realistisch.Das Gehäuse des Jumping Sumos wirkt stabil, aber viele kleinere Öffnungen im Gehäuse, teilweise mit direkter Sicht auf die Elektronik, machen den Einsatz abseits von Pfützen und staubigen Pisten empfehlenswert.

Wer bereits mit der Steuerung von Parrots AR.Drone 2.0 per Smartphone oder Tablet vertraut ist, muss nicht umlernen. Das Konzept wurde auch für die neuen Modelle übernommen. Beide lassen sich über die dritte Version der kostenlosen App Freeflight steuern. Freeflight 3 soll es für Android, iOS sowie Windows 8.1 und Windows Phone 8.1. geben. Wem die Steuerung über das Smartphone nicht zusagt oder wer experimentieren möchte, dem steht auch die direkte Programmierung per SDK offen.Beide Modelle sollen in Deutschland ab Juli 2014 im Handel verfügbar sein. Der fliegende Rolling Spider hat einen unverbindlichen Verkaufspreis von 99 Euro, der fahrende Jumping Sumo soll 159 Euro kosten.Microsoft hat mit dem Nokia X2 ein weiteres Smartphone mit einem angepassten Android vorgestellt. Mit einem Preis von 130 Euro richtet es sich vor allem an Smartphone-Einsteiger.Das neue Nokia X2 von Microsoft hat eine verbesserte Ausstattung und eine neue Firmware bekommen. Damit soll die träge Reaktionsgeschwindigkeit der Nokia-X-Modelle beseitigt werden. Mit der Nokia-X-Reihe bietet Microsoft Smartphones für Einsteiger an. Der Hersteller will damit eine Lücke zwischen einfachen Handys und den eigenen Lumia-Smartphones mit Windows Phone schließen. Das Nokia X2 hat eine Displaygröße von 4,3 Zoll und liegt damit zwischen den Einsteiger-Nokia-X-Modellen und dem Nokia XL mit einem 5 Zoll großen Touchscreen. An der üblichen Auflösung von 800 x 480 Pixeln hat sich nichts geändert. Für ein Gerät mit dieser Displaygröße ist die Auflösung noch tolerabel. Während die bisherigen Nokia-X-Smartphones nur einen Zurück-Knopf hatten, gibt es nun zusätzlich einen Home-Button, um bequem zum Hauptbildschirm wechseln zu können.

Das neue Modell läuft mit Qualcomms Dual-Core-Prozessor Snapdragon 200 mit einer Taktrate von 1,2 GHz. In den anderen Nokia-X-Smartphones steckt der Dual-Core-Prozessor Snapdragon S4 mit einer Taktrate von 1 GHz. Demnach könnte das Nokia X2 zügiger und flotter in den Menüs arbeiten und sich dadurch besser bedienen lassen.Aufgestockt wurde auch der Arbeitsspeicher, der nun 1 GByte beträgt. Wie gehabt gibt es nur 4 GByte Flash-Speicher und einen Steckplatz für Micro-SD-Karten mit bis zu 32 GByte. Auf der Gehäuserückseite befindet sich eine 5-Megapixel-Kamera mit Autofokus und einem LED-Licht. Auf der Displayseite befindet sich eine einfache VGA-Kamera für Videotelefonate.Das Smartphone unterstützt lediglich die beiden UMTS-Frequenzen 900 sowie 2.100 MHz und ist mit Quad-Band-GSM bestückt. Generell haben alle Nokia-X-Smartphones zwei SIM-Kartensteckplätze, um etwa berufliche von privaten Telefonaten separieren zu können. Es gibt Single-Band-WLAN nach 802.11 b/g/n, Bluetooth 4.0 und einen GPS-Empfänger.

Das Nokia X2 läuft mit der von Microsoft stammenden Android-Anpassung Nokia X Platform 2. Welche Android-Version der Microsoft-Software zugrunde liegt, ist nicht bekannt. Prinzipiell laufen alle Android-Apps auf dem Nokia X, allerdings gibt es keinen Play Store, sondern einen Microsoft-eigenen Store, in dem deutlich weniger Apps vorhanden sind als in Googles Play Store. Im Unterschied zu anderen Android-Versionen gibt es einen Kachel-Startbildschirm, der stark an Windows Phone erinnert. Noch in diesem Sommer will Microsoft die neue Version auch für die anderen Nokia-X-Modelle bereitstellen.Das neue Modell misst 121,7 x 68,3 x 11,1 mm und wiegt 150 Gramm. Mit einer Akkuladung soll im UMTS-Betrieb eine maximale Sprechzeit von 13 Stunden möglich sein, die sich im GMS-Modus auf 10 Stunden verringert. Im Bereitschaftsmodus wird eine Laufzeit von 23 Tagen versprochen. Wer auf dem Browser per Mobilfunk im Internet surft, muss den Akku nach 4 Stunden wieder aufladen. Der 1.800-mAh-Akku ist austauschbar.

Microsoft will das Nokia X2 im zweiten Halbjahr 2014 zum Preis von 130 Euro in Deutschland verkaufen. Es könnte das erste Smartphone der Nokia-X-Reihe werden, das offiziell in Deutschland verkauft wird. Bisher gibt es einige Nokia-X-Modelle zwar, aber offiziell vermarktet Microsoft die Geräte hierzulande nicht. Microsoft hat Nokias Mobiltelefongeschäft kürzlich übernommen.Vor vier Jahren gab es übrigens bei Nokia schon einmal ein Mobiltelefon mit der Bezeichnung X2. Das Nokia X2-01 war ein Handy mit Hardware-Tastatur und kam Ende 2010 auf den Markt.Die Profibastler von iFixit haben versucht, das neue Surface Pro 3 von Microsoft auseinanderzunehmen. Dabei zerbrach ihnen das Displayglas. Unmengen Klebstoff halten auch die inneren Komponenten wie den Akku an ihrem Platz. Nicht einmal der Tausch von Akku oder SSD ist gefahrlos möglich.Die Bastler von iFixit klagen über die geringe Reparaturfreundlichkeit von Microsofts Surface Pro 3. Die SSD des Tablets könne zwar getauscht werden, aber dabei riskiere man, dass das Tablet beim Öffnen kaputt gehe. iFixit selbst verkauft auch Reparaturwerkzeuge.

Grund dafür sind große Mengen Klebstoff. Sie müssen langsam und gleichmäßig erwärmt werden, um dann zäh wie Teer zu werden. So lassen sich die Komponenten befreien. Das ist ein übliches Verfahren bei kleinen und vor allem flachen Geräten, doch in diesem Fall zerbrach iFixit dabei das Display-Deckglas. Mit einiger Mühe konnten die Bastler das Surface Pro 3 danach dennoch öffnen. . Ein nicht unüblicher Reparaturwunsch ist der Austausch des Akkus, doch auch dieser war fest eingeklebt. Beim Versuch, ihn herauszunehmen, verbog er sich, was nicht ganz ungefährlich ist. Im Inneren gab es kaum Überraschungen. Microsoft erschwert das Reparieren aber zusätzlich durch einige ungewöhnliche Schrauben, was bei der Demontage einen gut sortierten Werkzeugkasten voraussetzt. Die mSATA-SSD HFS128G3AMNB mit 128 GByte Speicherplatz stammt von SK Hynix, und das kombinierte Funkmodul Marvell 88W8897 enthält neben WLAN und Bluetooth außerdem ein NFC-Modul, das von Microsoft aber ungenutzt bleibt. Das Surface Pro 3 unterstützt kein NFC.

Der Lüfter erinnere an ein Notebook-Modell mit integriertem CPU-Kühler, bemerkt iFixit. Sowohl das Motherboard als auch der Kühler unterschieden sich radikal von dem deutlich aufwendigeren Design im Surface Pro 1 und Pro 2.Angesichts der geringen Reparaturfreundlichkeit vergibt iFixit nur einen Punkt. 10 ist die Maximalpunktzahl. Doch auch die Konkurrenz kam kaum besser weg. Das iPad Air von Apple bekam immerhin 2 Punkte, doch auch hier sorgt der Einsatz von sehr viel Klebstoff für massive Probleme beim Austauschen des Akkus. Auch hier ist die Gefahr groß, das Display beim Öffnen zu beschädigen.Das Medion-Tablet Lifetab S7852 gibt es ab sofort auch direkt in Medions Onlineshop. Bei Medion hat es eine andere Bezeichnung und ist 20 Euro teurer als in den Aldi-Filialen.Statt Lifetab S7852 heißt es jetzt Lifetab S7851, ansonsten ist das Medion-Tablet baugleich mit dem Modell, das Anfang Mai 2014 über den Lebensmittel-Discounter Aldi für 150 Euro verkauft wurde. In Medions Onlineshop kostet das 8-Zoll-Tablet im Aluminiumgehäuse allerdings 20 Euro mehr - also 170 Euro. Wie bei Apples erster Version des kleinen iPads ist das Display beim Medion-Tablet 7,85 Zoll groß, hat ein Seitenverhältnis von 4:3 und eine Auflösung von 1.024 x 768 Pixeln. Das ergibt eine Pixeldichte von 163 ppi, die Darstellung ist dementsprechend nicht übermäßig scharf. Ein Treppeneffekt bei Schriften ist mit dem bloßen Auge leicht zu erkennen, wie unser Test des Lifetab S7852 ergeben hat.

Der Bildschirm hat einen merklichen Gelb-Grün-Stich, dementsprechend erscheinen weiße Inhalte nicht wirklich weiß. Ansonsten sind Farbwiedergabe und Kontrast am Preis des Tablets gemessen gut. Die Displayabdeckung ist jedoch nicht kratzfest und zieht Fingerabdrücke geradezu magisch an. Diese lassen sich nicht so leicht wieder abwischen wie bei anderen Tablets mit entsprechender Schutzbeschichtung. Das Display ist blickwinkelstabil, schaut der Nutzer allerdings schräg auf das Tablet, wird das Bild krisselig. Dies scheint am Material der Bildschirmabdeckung zu liegen.Selbst bei einem Preis von nur 170 Euro ist der fehlende Helligkeitssensor nicht mehr zeitgemäß. Die Helligkeit lässt sich nur manuell einstellen, zudem ist die maximale Helligkeit mit durchschnittlich 242,5 cd/qm nicht besonders hoch. Selbst in Innenräumen wünscht man sich oft ein helleres Display - draußen ist es nur schwer, Inhalte abzulesen. Der Lagesensor arbeitet ohne nennenswerte Verzögerung.Auf der Rückseite des Tablets ist eine 5-Megapixel-Kamera mit Autofokus eingebaut, ein Fotolicht gibt es nicht. Die Frontkamera für Videotelefonie hat 2 Megapixel. Die Bildqualität der Hauptkamera ist für ein Tablet dieser Preisklasse gut und eignet sich für anständige Schnappschüsse. Details wirken bei Vergrößerung zwar schnell verwaschen, zudem sind bereits bei Tageslichtaufnahmen farbige Artefakte sichtbar. Kontrast, Farbwiedergabe und Schärfe stimmen aber.

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Akku ASUS G55VW

Philips' Hue-Lampen sind per Funk über das Zigbee-Protokoll fernsteuerbar und so über ein Smartphone oder Tablet sowohl in ihrer Helligkeit als auch farblich beeinflussbar. Wen es bislang nervte, jedes Mal das Mobilgerät hervorholen zu müssen, um das Licht zu verändern, kann stattdessen nun ein Philips Tap montieren. Der kleine Schalter mit vier Tasten bietet die Möglichkeit, eine von vier Lichtstimmungen automatisch aufzurufen. Die Schalter sind nun in den Apple Stores erhältlich. Eine Online-Bestellmöglichkeit soll folgen. Die kreisrunden Schalter brauchen keine Batterie oder einen Akku, obwohl sie per Funk arbeiten. Die Hue Taps werden durch kinetische Energie versorgt, die beim Tastendruck entsteht. Pro Hue-Bridge, zu denen die Schalter per Zigbee-Protokoll funken, können 25 Schalter verbunden werden. Die Reichweite liegt bei 15 bis 30 Metern.Die Philips Hue Taps messen 75 x 25 mm und wiegen etwa 90 Gramm. Sie sollen ungefähr 50.000 Ein- und Ausschaltvorgänge überstehen und können an der Wand montiert werden. Das Gerät kostet rund 60 Euro.Panasonic hat mit dem 3E ein stabiles Tablet mit Windows 8.1 Pro für den Schuleinsatz vorgestellt, das mit einer Anstecktastatur auch zu einem vollwertigen Notebook umgebaut werden kann. Ein ansteckbares Mikroskop und ein Temperaturfühler sind für Versuche gedacht.

Das 3E-Tablet von Panasonic ist mit einem 10 Zoll großem Touchscreen mit 1.366 x 768 Pixeln ausgerüstet und nur für den Schuleinsatz gedacht. Damit es nicht kaputtgeht, wenn es einmal herunterfällt, hat Panasonic seine Erfahrung mit sogenannten Rugged-Notebooks eingebracht und das Tablet stabil konstruiert. So soll es Spritzwasser und Staub widerstehen und Stürze aus 70 cm Höhe schadlos überstehen. Eine abnehmbare Tastatur mit Trackpad verwandelt das Gerät in ein Notebook. Die eingebaute Kamera kann mit einem Aufsatz in ein einfaches Mikroskop verwandelt werden und auch ein Temperaturfühler ist ansteckbar. Das Gerät erinnert insofern stark an das Education Tablet von Intel, das ebenfalls über eine Makrolinse verfügt. Das Touchdisplay kann Stift- und Fingereingaben erkennen. WLAN, Bluetooth und ein Mobilfunkmodul sind eingebaut.Das Tablet hat einen USB-3.0-Port, während die Dockingstation mit Tastatur mit einem USB-Anschluss ausgerüstet ist. Dazu kommen ein MicroSD-Slot, Audioanschlüsse sowie Micro-HDMI. Die Akkulaufzeit soll bei acht Stunden liegen, wobei in der optionalen Tastatur ein weiterer Akku untergebracht ist, der die Laufzeit noch verlängern soll.

Das Tablet misst 277,2 x 177,7 x 11,6 mm, mit Dock ist es 281,3 x 231,3 x 27,8 mm groß. Ohne Tastatur wiegt es rund 680 Gramm.Mit einem auf 1,3 GHz getakteten Atom AZ3740D von Intel ist das Gerät nicht gerade ein Geschwindigkeitswunder. Je nach Bedarf kann es mit 32 oder 64 GByte Flashspeicher geordert werden, der RAM umfasst 2 GByte.Das Panasonic 3E soll ab rund 500 US-Dollar kosten und unter anderem mit Lernsoftware von Kno bestückt sein. Intel hat das Unternehmen im vergangenen Jahr gekauft.Unter iOS 8 können Apps nicht mehr ungehindert im Hintergrund arbeiten. Benötigen sie dafür allzuviel Strom, wird das neue mobile Betriebssystem sie beenden, um die Akkulaufzeit zu erhöhen.Apple bemüht sich bei der kommenden iOS Version 8 um ein besseres Akkumanagement. Dazu soll das Betriebssystem für iPhones, iPads und den iPod touch auf Apps achten, die im Hintergrund laufen und den Akku stark belasten. Laut einem Bericht von Heise.de sollen dann Stromsparmechanismen zuschlagen und die im Hintergrund laufenden Apps beenden. Für Entwickler ist das sicherlich Anreiz, sich damit auseinanderzusetzen, wie ressourcenfreundlich ihre Apps sind. Mit der Auswertung von Logeinträgen können sie es auf ihren Geräten erkennen.

Die Informationen stammen laut Heise von einer WWDC-Session zum Thema "Programmieren von energieeffizientem Code", die Apple veranstaltete. Schon unter dem Desktop-Betriebssystem OS X 10.9 alias Mavericks führte Apple eine Funktion ein, die Informationen zum Strombedarf einzelner Programme anzeigt. Apps mit erheblichem Energieverbrauch werden dabei namentlich aufgeführt. In der Aktivitätsanzeige ist dem Thema sogar eine ganze Rubrik mit statistischen Auswertungen gewidmet.Apple hatte iOS 8 auf dem Entwicklerevent WWDC 2014 Anfang Juni 2014 vorgestellt. Ende Juni veröffentlichte Apple die zweite Betaversion von iOS 8. Diese ist nur zahlenden Entwicklern zugänglich. Das neue mobile Betriebssystem ermöglicht es unter anderem, die körperliche Fitness und die Heimsteuerung zu verwalten. iOS bietet eine stärkere Integration von Wearables und Verbesserungen bei der Zusammenarbeit mit der iCloud, eine neue Foto-App sowie Neuerungen für Unternehmenskunden. Microsoft beginnt Anfang Juli 2014 mit dem Verkauf des Lumia 930. Der Preis für das Nokia-Smartphone mit Windows Phone 8.1 wird bereits zur Markteinführung unterhalb des Listenpreises liegen.

Mehrere Händler geben übereinstimmend an, dass das Lumia 930 am 11. Juli 2014 verfügbar sein wird. Den Listenpreis gibt Microsoft mit 580 Euro an, im Handel kann das Windows-Phone-Smartphone zu einem Preis von rund 550 Euro vorbestellt werden. Microsoft hat den angekündigten Termin für die Markteinführung knapp verfehlt: Es wurde für das zweite Quartal 2014 erwartet. Das Lumia 930 ist die europäische Variante des Lumia Icon vom Februar 2014 und hat neben Quadband-GSM sowie UMTS auch LTE mit europäischen Frequenzen. Als wir uns das Lumia 930 im April 2014 anschauten, fiel die gute Verarbeitung auf. Der Rahmen ist aus Aluminium, in die Rückseite ist ein Einleger aus mattem Kunststoff integriert, der sich hochwertig anfühlt. Das zur Seite abgerundete Display hat eine Größe von 5 Zoll, eine Auflösung von 1.920 x 1.080 Pixeln und ist mit Gorilla Glass 3 gegen Kratzer geschützt.Das Display stellt Inhalte scharf dar, die Farben sind angenehm. Die Schwarzwerte sind dank OLED-Technik kräftig, das Display kann insgesamt sehr hell eingestellt werden. Laut Nokia schafft der Bildschirm bis zu 600 cd/m². Das wurde unter einer künstlichen Sonne demonstriert: Hier zeigte sich die selbst bei Sonnenschein gute Farbdarstellung. Der 600-Lumen-Modus ist nicht manuell aktivierbar und wird offenbar nur automatisch per Lichtsensor geregelt.

Auf der Rückseite baut Nokia wie beim Lumia 1520 eine 20-Megapixel-Kamera mit Pureview-Technik und sechslinsiger Zeiss-Optik ein. Diese lässt sich auch direkt per separatem Auslöserknopf bedienen. Als Kamera-App kommt Nokias Camera zum Einsatz, die leicht zu erreichende Einstellungsmöglichkeiten hat.Die Bildqualität ist wie beim Lumia 1520 sehr gut, dank der Pureview-Technik deutlich besser als bei Smartphones anderer Hersteller. Auch bei starker Vergrößerung sind Details noch sehr gut zu erkennen. Dank der hohen Pixelanzahl kann der Nutzer verlustfrei in die Aufnahme zoomen. Mit Nokia Camera ist es möglich, nachträglich den Bildausschnitt zu verändern - auch hier lässt die Bildqualität dank der Pixelanzahl erst bei sehr starker Vergrößerung nach.Das Lumia 930 läuft mit Windows Phone 8.1, so dass drei Kachelspalten möglich sind. Auch der persönliche Assistent Cortana ist dabei, der Apples Siri in der Funktionalität in vielen Bereichen übertrifft. Das neue Action Center zeigt System- und App-Benachrichtigungen sowie bis zu vier Schnelleinstellungsoptionen an und gefiel uns gut. Beispielsweise kann die Kamera als Schnellwahl in das Action Center gelegt werden. Allerdings ist es schade, dass nur maximal vier Schnellwahlsymbole möglich sind.

Dank des verbauten Snapdragon-800-Quad-Core-Prozessors von Qualcomm mit einer Taktrate von 2,2 GHz und 2 GByte Arbeitsspeicher läuft das Lumia 930 wie erwartet flüssig in den Menüs. Apps werden schnell gestartet, auch mehrere offene Programme stellen kein Problem für das System dar. Der Akku soll laut Nokia für 9 Stunden Videowiedergabe reichen, Nokia nennt aber nicht die Bedingungen für ein solches Ergebnis. Huaweis neues Mittelklasse-Gerät Ascend G6 geht in Deutschland in den Verkauf: Für 180 Euro erhält der Käufer ein Android-Smartphone mit Quad-Core-Prozessor, 8-Megapixel-Kamera und Android 4.3.Huaweis Mittelklasse-Smartphone Ascend G6 ist in Deutschland auf den Markt gekommen. Äußerlich orientiert sich das Ascend G6 am Design des Ascend P6: Wie Huaweis Top-Modell des vergangenen Jahres hat es die charakteristische Rundung am unteren Rand, die beim Ascend P7 etwas unauffälliger gestaltet wurde. Das Display des Ascend G6 ist 4,5 Zoll groß und hat eine Auflösung von 960 x 540 Pixeln. Das ergibt eine Pixeldichte von 245 ppi. Im Inneren des Smartphones arbeitet ein Quad-Core-Prozessor von Qualcomm mit einer Taktrate von 1,2 GHz. Der Arbeitsspeicher ist 1 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher nur 4 GByte. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten ist eingebaut. Es ist davon auszugehen, dass Huawei auch beim Ascend G6 das Kopieren von Spieledaten auf die Speicherkarte ermöglicht.

Das Smartphone unterstützt Quad-Band-GSM und UMTS, eine LTE-Unterstützung gibt es nicht. WLAN beherrscht das Gerät nach 802.11b/g/n, also nur auf der Frequenz 2,4 GHz. Ein GPS-Empfänger ist eingebaut, auf einen NFC-Chip müssen Käufer verzichten.Auf der Rückseite hat Huawei eine 8-Megapixel-Kamera mit Autofokus und Fotolicht eingebaut. Die Kamera auf der Vorderseite eignet sich dank einer Auflösung von 5 Megapixeln auch für Selbstporträts - Huawei hat dafür einen Selfie-Assistenten installiert. Das Ascend G6 hat Android in der Version 4.3, über das Huaweis eigene Benutzeroberfläche Emotion UI 2.0 Lite installiert ist.Das Gehäuse des Smartphones misst 130 x 65 x 7,5 mm, das Gewicht liegt bei 115 Gramm. Der eingebaute Akku hat eine Nennladung von 2.000 mAh und soll eine Standby-Zeit von knapp 10,5 Tagen ermöglichen. Die Sprechzeit soll bei drei Stunden liegen.Das Ascend G6 ist im Handel erhältlich: Im Onlinehandel kostet das Smartphone aktuell 180 Euro, wahlweise in Weiß oder Schwarz. Auf einer Veranstaltung in Berlin hat Parrot den Verkaufsstart für seine neuen Minidrohnen bekanntgegeben und die Preise genannt. Dabei konnte Golem.de sie ein wenig ausprobieren.

Das französische Unternehmen Parrot hatte den fliegenden Rolling Spider und den fahrenden Jumping Sumo erstmalig auf der Messe CES 2014 in Las Vegas vorgestellt. Nun hat das Unternehmen seine beiden neuen Modelle auch in Deutschland präsentiert, Golem.de war dabei.Der Rolling Spider ist ein Miniquadcopter. Er passt auf einen Handteller und wiegt nur 55 Gramm. Trotz des geringen Gewichtes fühlt sich das Gehäuse stabil und hochwertig an, es erinnert an ein Matchbox-Auto. Es dürfte manchen Absturz besser verkraften als die Styroporhülle der AR.Drone.10 Gramm schwerer wird die Drohne, wenn die Stützräder angesetzt werden. Sie dienen zum Schutz der Propeller, erlauben der Drohne aber auch, auf dem Boden oder der Zimmerdecke herumzurollen beziehungsweise kontrolliert eine Wand auf- und abzufahren. Die Stützräder wirken zwar sehr fragil, da sie aus Kohlenstofffasern bestehen, sollten sie aber einiges aushalten.Der 550-mAh-Akku nimmt den meisten Platz im Gehäuse ein. Damit sollen bis zu 8 Minuten Flugzeit möglich sein. Wir hatten beim Antesten den Eindruck, dass die Angabe realistisch ist.

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March 29, 2017

Batterie Asus G73JW-TZ227V

Emirates teste des tablettes HP sous Windows 8 pour l'expérience client Pour être encore plus près des préoccupations de ses clients en première classe, les services en vol deviennent encore plus personnalisés. Les membres de l'équipage seront munis de tablettes ElitePad 900 de HP fonctionnant sous Windows 8 afin de garder une trace de tous les besoins de leurs passagers.Les tablettes exécutent un programme exclusif baptisé Knowledge Driven Inflight Service (Service en vol piloté par les connaissances). Toutes les préférences des passagers, pour les repas, les places ou d'autres choix, peuvent être consultées sur KIS pour que l'équipage puisse connaître autant d'informations que possible sur les passagers à leur charge. « Dans l'industrie des services, depuis les compagnies aériennes jusqu'aux hôtels et plus, le feedback sur ce qui s'est bien passé et sur ce que vous pourriez faire différemment est inestimable », déclare Kevin Griffiths, vice-président senior en charge du personnel de cabine pour Emirates.Avec l'application KIS, l'équipage de cabine peut entrer des notes sur les « rapports individuels » produits durant chaque voyage, qui aident les 24 membres d'équipage à fournir un service client exemplaire.

« Disons qu'un client aime vraiment un repas et qu'il le dit à un membre d'équipage, nous pouvons prendre ces commentaires et ils peuvent être synchronisés sur le terrain pour les équipes et les cadres dans plus de 20 services différents. Cela nous permet de rester plus connectés à l'expérience des clients finaux. » Le logiciel KIS a été développé dans le début des années 2000 et il était auparavant exécuté sur des ordinateurs portables HP Compaq T1100. Mais la flexibilité des tablettes a convaincu la compagnie aérienne de mettre les portables au rebut.« Avec les tablettes, les membres d'équipage ont pu prendre l'information à l'endroit où cela est nécessaire sur un vol », plutôt que d'utiliser des ordinateurs portables dans une partie reculée de l'avion et de revenir avec une réponse différée à une question ou une enquête. «C'est plus efficace. » La compagnie Emirates a choisi les tablettes Windows 8 plutôt que l'iPad, car la compagnie est déjà largement équipée en solutions de Microsoft et qu'elle avait construit KIS comme une application Microsoft précédemment. « Nous avons pris conscience que la prise d'une nouvelle application et la mise en oeuvre d'un nouveau système d'exploitation auraient été beaucoup plus coûteux et plus difficile pour l'entreprise, tandis que l'utilisation de Windows 8 serait beaucoup plus facile. »

KIS a été reconstruit pour tirer parti des fonctionnalités du récent système d'exploitation, telles que les capacités tactiles. « Nous aurions pu migrer l'application en cours, mais nous avons dit non. Dans les systèmes d'arrière-plan, nous avons réutilisé certains éléments, mais en frontal, tout est nouveau pour donner les mêmes informations de manière beaucoup plus intuitive. »Le développement de la version de Windows 8 de KIS a pris environ six mois à compter du POC (Proof of concept) jusqu'à la réalisation finale, selon Kevin Griffiths. La compagnie aérienne a choisi l'ElitePad HP 900s parce qu'il est conçu pour les entreprises, et qu'il est livré avec un service support aux entreprises et des services de sauvegarde. « Cela signifie que le coût total de possession et de support est beaucoup plus facile à gérer pour nous que si nous avions introduit des appareils grand public.»Emirates déploie un programme de tests pilotes ce mois-ci, en équipant 100 membres de personnel de bord d'une tablette. Avant de lancer un déploiement à plus grande échelle sur 3 à 4 mois à compter de Janvier 2013. Les tablettes ont été essayées sur une série de vols d'essai à ce jour. Emirates a environ 16 000 membres d'équipage de cabine dans le monde entier.

« Nous avons testé à fond l'application sur le matériel », a déclaré Kevin Griffiths. « La réaction a été incroyable. J'étais sur l'un des trois vols où nous les avons utilisées pour de vrai. L'équipage a adoré. A la fin du vol, lorsque nous avons dû reprendre la tablette du chef de bord, nous avons presque dû la lui retirer des mains. Ils nous ont demandé est-ce que je peux être le premier à l'utiliser pour de vrai? » À l'origine positionnée sur le segment des gamers, désormais réservé à Alienware, la série XPS de Dell fait aujourd'hui la part belle au design et à l'innovation. Pari réussi avec le XPS 14z équipé d'un Intel Core i-7.Le marché des PC portables est aujourd'hui sous l'influence d'un constructeur californien bien connu pour le design et la finition de ses produits. Si on commence à voir apparaître des clones visiblement inspirés du MacBook Air, les fameux ultrabook d'Intel, les portables traditionnels n'échappent pas à l'influence de la firme à la pomme. Chez Dell, le XPS 14z affiche ainsi une belle robe grise. Si la coque est en polycarbone avec quelques parties seulement en aluminium brossé, le constructeur texan a fait un réel effort au niveau du design avec un châssis élégant équipé d'un écran 14 pouces (1 366 x 768 pixels) et un clavier confortable et rétro éclairé. Un bon compromis entre le 13,3 et le 15 pouces pour les utilisateurs nomades qui désirent travailler ou se divertir avec un écran de bonne dimension.

Le XPS 14z affiche un poids de 2 kg, avec le lecteur optique et un disque dur de 750 Go, pour une épaisseur de 23 mm. Les ingénieurs de Dell ont réalisé un remarquable travail d'intégration même si on ne découvre que deux ports USB (un 2.0 et un autre 3.0), un lecteur SD, un port mini-DisplayPort et un connecteur Gigabit Ethernet. C'est clairement du côté de l'USB qu'on éprouve un manque. Une fois la souris et un disque dur externe branché, on ne peut plus raccorder de clef USB. La partie matérielle redonne le sourire avec une carte mère équipée d'un processeur Intel Core i7-2640M cadencé à 2,80 GHz, 8 Go de RAM (avec Windows 7 Home Premium 64 bit) et deux circuits graphiques : celui livré en standard par Intel (Graphics HD 3000), et celui fourni par Nvidia (GT 520M/1 Go). Pour faire le lien et la bascule entre économie d'énergie et performances, ce portable utilise la technologie Optimus de Nvidia en fonction des activités détectées. Il est toutefois toujours possible de forcer la main à l'utilitaire et d'imposer le circuit de son choix à une application. Ce portable est donc bien armé pour affronter les principaux usages professionnels et ludiques même si les jeux 3D, type HomeFront, ne tourneront qu'en basse définition. Pas de problème pas contre avec les jeux de stratégie WarCraft III ou StarCraft 2. Les capacités graphiques sont modestes, mais elles satisferont les joueurs occasionnels. D'autres machines chez Dell et Alienware sont destinées aux gamers.

Livré avec deux adaptateurs secteurs, un léger pour les voyages et un classique pour le bureau, le XPS 14z est équipé d'une batterie 8 cellules. Pas de miracles du côté de l'autonomie, comptez 5 heures de lecture vidéo environ avec le circuit graphique Intel. La bonne surprise finale est du côté du prix. Ce modèle est en effet proposé à partir 1 100 euros (hors livraison). Un prix très intéressant pour un PC portable performant, élégant et bien équipé capable de concurrencer un MacBook Pro. Bien connu pour ses cartes mémoire, SanDisk s'est diversifié avec une gamme de SSD. Pour ce début d'année, la société annonce deux modèles à destination des PC portables, l'Ultra Plus, et des serveurs, le X110. Ces deux SDD exploitent des composants Nand flash gravés en 19 nm contre 24 nm pour les modules de précédentes générations. Cette amélioration technologique apporte plusieurs avantages, dont une plus faible consommation électrique et la capacité de stocker plus de données sur une seule puce mémoire ou réduire la taille d'une puce pour une capacité donnée.

Le modèle Ultra Plus se destine au marché dit de « seconde monte », c'est-à-dire tous ceux qui désirent améliorer très simplement les performances de leur PC ou de leur Mac en remplaçant leur disque dur par un SSD. Disponible au format 2,5 pouces (7 mm) et doté d'un contrôleur Sata 3.0 (6 Gb/s) , il est proposé en trois capacités: 64, 128 et 256 Go. SanDisk annonce une vitesse de lecture séquentielle théorique allant jusqu'à 530 mégaoctets par seconde contre 155 et 445 en écriture suivant le modèle. Déjà disponible sur Amazon.com et Microcenter.com, le Plus Ultra est proposé, suivant les trois capacités disponibles, à 75, 110 et 220 $ HT. Soit un prix moyen d'un dollar par Go comme nous vous l'annoncions en décembre dernier.Également proposé au format 2,5 pouces en Sata 3.0, le X110 de type professionnel est disponible avec 64, 128 et 256 Go pour répondre aux différents besoins des entreprises. SanDisk indique ici aussi des vitesses théoriques flatteuses en lecture et en écriture : 505 et 445 Mo/s pour un MTBF de 2 millions d'heures. Mais à la différence des disques durs ce critère n'est pas très pertinent sur un SSD dépourvu d'éléments mécaniques.

Bien connu pour ses cartes mémoire, SanDisk tente une percée sur le marché pas si éloigné des SSD. Il prévoit que les produits SSD représenteront un quart de son chiffre d'affaires en 2014, contre environ 10% aujourd'hui. Pour réussir son pari, la firme a acheté coup sur coup l'entreprise Pliant, spécialisée dans le développement de SSD, et deux autres sociétés spécialisées dans le logiciel pour SSD, FlashSoft et Schooner. L'application de partage de photos Instagram a annoncé que, suite aux nombreuses critiques sur ses nouvelles conditions d'utilisation, elle allait revenir aux règles d'origine pour tout ce qui concernait l'usage de la publicité sur son service.

"Les craintes dont vous nous avez fait part portaient principalement sur la publicité et les conséquences de nos changements sur vous et vos photos", a expliqué jeudi soir le co-fondateur de la société Kevin Systrom dans un message de blog. "Il y avait de la confusion et des inquiétudes réelles sur l'apparence de nos potentiels produits publicitaires et la façon dont ils fonctionneraient", a-t-il noté, ajoutant qu'Instagram revenait donc aux règles en vigueur depuis le lancement du service, en octobre 2010. Lorsque l'application avait annoncé lundi l'actualisation de ses conditions d'utilisation, censée notamment permettre de croiser les données recueillies auprès de ses utilisateurs avec celles obtenues par sa maison mère, le réseau social Facebook, beaucoup de membres s'étaient offusqués d'une possible utilisation de leurs photos à des fins commerciales, sans compensation.

"Je veux être clair: Instagram n'a pas l'intention de vendre vos photos", a répété M. Systrom, s'excusant de n'avoir pas su "exprimer clairement" les projets du groupe. Mardi dernier pourtant, M. Systrom avait indiqué qu'Instagram allait modifier certains termes des nouvelles règles sans donner plus de précisions. L'application, qui revendique plus de 100 millions d'utilisateurs dans le monde, permet de prendre des photos depuis son téléphone portable, de les retoucher avec une série de filtres esthétisants, puis de les mettre en ligne. Les prochains MacBook et iMac devraient sans doute être plus chers que les modèles actuels, en raison du coût de l'écran Retina équipant la future série de portables d'Apple. Mais cela ne devrait pas empêcher les fans d'achèter ce modèle, si l'on en croit les avis des utilisateurs de Twitter.

  1. http://globaldoctoroptions.com/story/akkusmarkt/
  2. http://akkusmarkt.comunidades.net/
  3. https://akkusmarkt.quora.com/
  4. http://folgenden.jugem.jp/

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Akku ASUS X71SL

Eine große Rolle spielt dabei die Wortvorhersage: Während der Nutzer ein Wort schreibt, macht die LG-Tastatur ihm zwei Vorschläge: einen links oberhalb der Tastatur, einen anderen rechts. Mit einem Wisch nach oben des jeweils rechten oder linken Daumens wählt der Nutzer ein Wort aus - je nachdem, welchen Vorschlag er annehmen möchte. Alternativ kann auch einfach weitergeschrieben werden. Problematisch finden wir, dass es zu lange dauert, bis die vorgeschlagenen Wörter erscheinen - wir sind deutlich schneller, wenn wir einfach mit zwei Daumen den Text eintippen, ohne die Wischfunktion zu verwenden.Praktisch ist die Möglichkeit, über die Leertaste im eben geschriebenen Satz zu navigieren, um beispielsweise Tippfehler auszubessern. Wie bei einer Sensorleiste kann der Nutzer den Cursor auf dem Display bewegen.Wer seine Texte lieber wie mit Swype oder Swiftkey eingibt, kann in den Einstellungen der Tastatur auch die sogenannte Pfadeingabe aktivieren. Auch die Größe der Tastatur kann angepasst werden.Im Inneren des G3 arbeitet Qualcomms Snapdragon 801 mit vier Kernen und einer Taktrate von 2,5 GHz. Das Smartphone gibt es wahlweise mit 16 GByte Flash-Speicher und 2 GByte RAM, oder mit 32 GByte Flash-Speicher und 3 GByte RAM. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten ist eingebaut.

Das G3 unterstützt Quad-Band-GSM, UMTS und LTE sowie WLAN nach 802.11a/b/g/n und ac. Bluetooth läuft in der Version 4.0, ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut.Das Gehäuse des G3 ist aus Kunststoff, LG hat komplett auf Metallelemente verzichtet. Diese hätten das Smartphone laut LG um bis zu 300 US-Dollar teurer gemacht. Bei einigen der Farbvarianten sehen die abnehmbaren Rückdeckel aber auf den ersten Blick wie Metall aus. Das Gehäuse ist sehr gut verarbeitet, knarzt nicht und ist verwindungssteif. Beim Design orientiert sich LG an dem des Vorgängers G2. Dementsprechend hat der Hersteller auch beim G3 sämtliche Bedienungselemente auf der Rückseite untergebracht. Der Einschalter befindet sich auf Zeigefingerhöhe, darüber und darunter die Taster für die Lautstärkeregulierung. Anders als beim Galaxy Flex ist im Einschaltknopf keine LED eingebaut, über eingehende Nachrichten wird der Nutzer über eine kleine Lampe auf der Vorderseite informiert.

Die Rückseite des G3 ist geschwungen, weshalb das Smartphone gut in der Hand liegt. Der Einschaltknopf ist gut mit dem Finger erreichbar, ist aber nicht mehr so leicht von den Lautstärketasten zu unterscheiden - dafür passt er sich vom Aussehen her besser in das Gesamtdesign des G3 ein.Trotz einer Bildschirmdiagonalen von 5,5 Zoll ist das G3 mit 147 x 74,6 x 9 mm nur unwesentlich größer als das G2 mit seinem 5,2-Zoll-Display. Das erreicht LG dadurch, dass die Abstände zwischen Display- und Gehäuserand gering sind: Links und rechts betragen sie nur knapp 3,5 mm bis zur Außenkante. Das Smartphone wiegt 155 Gramm.Aufgrund der Größe lässt sich das Smartphone gut mit einer Hand bedienen, wenngleich auch Nutzer mit großen Händen mit dem Daumen nicht in alle Ecken kommen. Die Tastatur, die Bildschirmsperre und die Wähltastatur kann der Nutzer auf die linke oder rechte Seite des Bildschirms verlagern, um die einhändige Bedienung zu vereinfachen.Das G3 arbeitet absolut flüssig, Ruckler können wir weder in den Menüs noch bei Spielen beobachten. Auch grafisch intensive Spiele wie Riptide GP2 laufen ruckelfrei. Mehrere geöffnete Apps beeindrucken das G3 ebenfalls nicht merklich.

In den Benchmarks schneidet das G3 trotz Snapdragon 801 teilweise schlechter als die Konkurrenz von Sony, HTC und Samsung ab. Im Geräte-Benchmark Geekbench 3 schafft das G3 im Single-Modus zwar mit 970 Punkten ein Ergebnis auf dem gleichen Level, im Multi-Modus liegt es mit 2.563 Zählern aber 400 Punkte hinter dem Galaxy S5.Auch im Grafik-Benchmark GFX Bench liegt das G3 hinter der Konkurrenz: Im T-Rex-Test kommt das Smartphone onscreen auf 20,1 fps, das sind 9,5 fps weniger als beim HTC One (M . Im anspruchsvolleren Manhattan-Test schafft das G3 onscreen 7,1 fps, das sind 5,5 fps weniger als beim Xperia Z2. Im 3D-Mark von Futuremark kommt das G3 auf 16.215 Punkte im Icestorm-Unlimited-Test. Es liegt damit auf dem Niveau der aktuellen Konkurrenzgeräte.Das LG G3 mit 16 GByte Flash-Speicher und 2 GByte Arbeitsspeicher ist aktuell für 480 Euro erhältlich. Das große Modell mit 32 GByte Speicher und 3 GByte RAM kostet 600 Euro.LG hat mit dem G3 einen sehr guten Nachfolger des bisherigen Topmodells G2 vorgestellt. Was das Display betrifft, gibt es aktuell kaum ein besseres Smartphone auf dem Markt. Zunächst sind die Unterschiede zwischen dem 1440p-Bildschirm des G3 zu einem guten 1080p-Display zwar nur schwer auszumachen; im direkten Vergleich ist der Qualitätsunterschied aber schnell zu sehen - und genauso schnell möchte man die absolut scharfe Bilddarstellung nicht mehr missen.

Bis auf die hilfreiche Infrarot-Fokussierhilfe der Kamera verzichtet LG auf weitere unnötige Hardwarespielereien und konzentriert sich mehr auf die Verbesserung des Nutzerkomforts. Dies gelingt dem Hersteller mit einer aufgeräumten Nutzeroberfläche und praktischen Erweiterungen gut. Die neue Tastatur ist im Grunde sehr durchdacht, krankt aber an den viel zu langsamen Wortvorschlägen.Bei der Vorstellung des G3 hatte LG eine Akkulaufzeiterhöhung von 20 Prozent versprochen - dieses Versprechen kann LG laut unseren Tests nicht einhalten. Zwar ist die Laufzeit des G3 ausreichend - besonders im Hinblick auf den 1.440p-Bildschirm -, besser als bei der Konkurrenz ist sie aber nicht.Zusammen mit der guten Kamera, einer guten Verarbeitung und interessantem Zubehör wie dem Circle Cover ist das LG G3 ein Topgerät, das uns besonders dank des Displays und der aufgeräumten Oberfläche insgesamt besser gefällt als das Samsung Galaxy S5 und das HTC One (M . Bei einem aktuellen Preis von 480 Euro für die 16-GByte-Version ist es zudem etwas günstiger als die Smartphones der Konkurrenz.Die Profibastler von iFixit haben sich Samsungs neuer Smartwatch Gear Live angenommen und diese in ihre Einzelteile zerlegt. Der Akkutausch funktioniert einfach, während bei einem Displaydefekt die Uhr wohl ein Totalschaden wäre.

Die Samsung Smartwatch Gear Live ist nach Ansicht der Bastler von iFixit leicht zu warten. Der Gehäusedeckel lässt sich einfach entfernen und gibt den Blick auf das Innere frei, das durch mehrere Dichtringe gegen das Eindringen von Wasser geschützt ist. Lediglich ein Werkzeug zum Aufdrücken und einen T5-Schraubendreher benötigt derjenige, der die Uhr öffnen möchte. Der winzige Akku lässt sich herausnehmen und leicht ersetzen, wenn er am Ende seiner Lebensdauer angekommen ist.Auch das Uhrenarmband kann problemlos getauscht werden, wenn es einmal defekt sein sollte. Einige sehr kleine und auf flexiblen Leiterbahnen aufgebrachte Bausteine können dabei allerdings leicht zerstört werden.Wenn jedoch das Uhrendisplay kaputt gegangen oder sein Glas verkratzt oder gesprungen sein sollte, dann ist die Smartwatch Gear Live wohl ein Totalschaden, denn das Display ist mit dem Glas verbunden und auch noch in das Uhren-Chassis eingeklebt. iFixit hat gar nicht versucht, es herauszunehmen, weil es mit großer Wahrscheinlichkeit zerbrechen würde.Die Samsung Gear Live mit Android Wear scheint ein weiteres Problem zu haben, wie die Website Mobiflip berichtet. Bei denjenigen, die die Uhr bei der Google I/O Entwicklerkonferenz geschenkt bekamen, ist gelegentlich die Plastikschiene ausgerissen, die das Ladekabel festhält. So hält das Ladekabel nicht mehr, und die Uhr kann nicht mehr geladen werden. Damit wird sie wertlos. Ob es sich hierbei um einen Fehler handelt, der in der Serie korrigiert werden kann, ist nicht bekannt. Die Uhr kostet rund 200 Euro und ist ab sofort erhältlich.

LG hatte bei der G Watch hingegen auf eine Lademöglichkeit gesetzt, die per Magnet festgehalten wird. Dort dürften bauartbedingt keine Abnutzungserscheinungen entstehen. Sony nutzt den gegenwärtigen Trend zu Smartphone-Selbstporträts: Mit dem Xperia C3 stellt der Hersteller ein Android-Smartphone mit hochauflösender Frontkamera und nach vorne gerichtetem Blitz vor. Die restliche Hardware ist eher durchschnittlich, bei der Akkulaufzeit verspricht Sony einiges. Sony hat ein neues Android-Smartphone vorgestellt, das sich explizit an Selbstporträt-Knipser richtet: Das Xperia C3 hat eine 5-Megapixel-Frontkamera, die durch ein LED-Fotolicht unterstützt wird. Ansonsten bietet das Smartphone hauptsächlich Hardware der Mittelklasse, beim Display setzt Sony auf Größe. Der Triluminos-Bildschirm ist 5,5 Zoll groß, hat allerdings nur HD-Auflösung - also 1.280 x 720 Pixel. Wie bei den Xperia-Topmodellen soll das Display durch die mobile Bravia-Engine Farben besser darstellen. Im Inneren des Xperia C3 arbeitet ein Snapdragon-Prozessor mit vier Kernen und einer Taktrate von 1,2 GHz. Der Arbeitsspeicher ist 1 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher 8 GByte. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten bis 32 GByte ist eingebaut. Das Smartphone unterstützt neben Quad-Band-GSM und UMTS auch LTE. Das Xperia C3 hat zwei Steckplätze für zwei SIM-Karten, die unabhängig voneinander verwendet werden können.

Die Kamera auf der Rückseite des Xperia C3 hat 8 Megapixel und einen Exmor-RS-Bildsensor. Highlight des Smartphones ist jedoch die Frontkamera: Mit 5 Megapixeln, einem Abbildungswinkel von 80 Grad und einem LED-Fotolicht eignet sie sich wie kaum eine andere für Selbstporträts. Der Blitz soll im Zusammenspiel mit der HDR-Funktion der Kamera für gut aussehende Selfies in nahezu allen Lichtsituationen führen. Sony nennt die Kamera selbst "PROselfie Cam".Mit AR-Effekten können die Selbstporträts noch aufgehübscht werden - beispielsweise durch Schnurrbärte oder Hüte. Dies funktioniert auch bei Videos, die mit der Frontkamera aufgenommen wurden. Zudem gibt es einen Verschönerungsmodus, der für bis zu zwei Personen im Bild angewendet werden kann.Vom Design her orientiert sich das Xperia C3 an den anderen Sony-Smartphones: Am rechten Rand befinden sich der charakteristische Einschaltknopf und ein separater Kameraauslöser. Das Smartphone ist nur 7,5 mm dünn und wiegt 150 Gramm. Der Akku hat eine Nennladung von 2.500 mAh und soll eine Standby-Zeit von fast 45 Tagen ermöglichen. Die Sprechzeit soll 24 Stunden lang sein. Unter welchen Bedingungen diese Werte gemessen wurden, ist unbekannt.Das Xperia C3 soll ab August 2014 weltweit in den Verkauf gehen, der Start erfolgt in China. Das Smartphone soll in Weiß, Schwarz und Mint erhältlich sein, einen Preis hat Sony noch nicht genannt.

Von Helico Aerospace Industries stammt eine Drohne, die eine Gopro transportiert und denjenigen verfolgt und filmt, der den passenden Tracker am Handgelenk trägt. So werden Aufnahmen möglich, die bislang nur mit Hubschrauber oder begabten Drohnenpiloten machbar waren. Die Drohne Airdog verfolgt denjenigen, der einen kleinen Empfänger mit sich trägt und richtet dabei sogar die mitgeführte Gopro slo aus, so dass die Person jederzeit im Blickfeld ist. Die Verbindung zwischen Tracker und Drohne funktioniert nach Herstellerangaben über eine Distanz von bis zu 300 Metern, so dass gute Übersichtsaufnahmen möglich sind. Die dazugehörige App kann die Entfernung aber auch kürzer einstellen, damit mehr Details gefilmt werden können. Der Nutzer kann während des Flugs mit der Fernbedienung eingreifen, um zum Beispiel die Distanz zu verändern. Ansonsten arbeitet die Drohne ab dem Startsignal autonom und begleitet den Anwender, bis der die Aufnahme beendet oder der Akku droht, zur Neige zu gehen. Dann landet die Drohne am Ausgangspunkt.

Die vier Arme des Quadcopters können eingefaltet werden, um das Gerät besser transportieren zu können. Der Airdog ist flugbereit etwa 516 x 350 mm groß, soll bis zu 65 km/h schnell sein und einem Gegenwind von bis zu 50 km/h widerstehen. Mit Akku wiegt Airdog 1,8 kg. Der Akku soll eine Flugdauer von 10 bis 20 Minuten ermöglichen.Finanziert wird die Entwicklung des Quadcopters Airdog über die Crowdfinanzierungsplattform Kickstarter. Dort sind schon über 700.000 US-Dollar zugesagt worden, obwohl die Entwickler nur 200.000 US-Dollar benötigen.Airdog kostet 1.195 US-Dollar und soll im November ausgeliefert werden. Wer die Drohne von außerhalb der USA bestellt, muss mit 50 US-Dollar Versandkosten sowie Zoll und Einfuhrumsatzsteuer rechnen. Die Kickstarter-Kampagne läuft noch bis zum 26. Juli 2014.Die US-Behörde für Transportsicherheit TSA erlaubt bei Direktflügen in die USA die Mitnahme von Smartphones, Tablets und Notebooks nur noch, wenn deren Akku geladen ist. Die Sorge vor sprengstoffgefüllten Attrappen ist groß. Wer in die USA fliegen will, muss an diversen europäischen und afrikanischen Flughäfen oder im Nahen Osten nun sein Smartphone oder Notebook zurücklassen, wenn der Akku leer ist. Ansonsten darf er nicht mitfliegen. Die neuen Sicherheitsbestimmungen hat die US-Behörde für Transportsicherheit TSA in einer Randnotiz auf ihrer Website publiziert.

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Akku Acer BTP-AHD1

Das Viva i10G ist 239 x 180 x 9,25 mm groß und wiegt 588,7 Gramm. Der eingebaute Akku hat eine Nennladung von 8.000 mAh, eine Akkuladung soll für eine Standby-Zeit von knapp acht Tagen reichen. Benutzt werden kann das Tablet laut Hersteller bis zu sechs Stunden lang, bevor der Akku alle ist.LG hat ein Armband vorgestellt, das Kinder tragen sollen, die alleine unterwegs sind. So können sich Eltern jederzeit den Aufenthaltsort ihres Sprösslings online auf einer Karte anzeigen lassen. LG hat ein Wearable speziell für Kinder vorgestellt, das Eltern den Aufenthaltsort ihrer Kinder auf Basis von GPS- und WLAN-Daten anzeigen kann. LG empfiehlt das Armband für Kinder im Kindergarten- und Grundschulalter. Zunächst wird das Gerät nur in Südkorea vermarktet - dem Heimatland des Konzerns. Eine Einführung in anderen Ländern ist geplant, doch für Deutschland besteht aktuell kein konkreter Plan, das Armband in den Handel zu bringen.Die Anzeige des Aufenthaltsorts erfolgt über eine Smartphone-App, die auf dem Handy der Eltern installiert werden muss. Die Positionsbestimmung kann entweder auf Knopfdruck manuell oder in regelmäßigen Abständen und zu bestimmten Uhrzeiten automatisch erfolgen.

Das Armband ist auch ein einfaches Handy - die Eltern können über die App mit dem Kind eine Sprechverbindung aufbauen, auch anders herum funktioniert das System. Mit einem Knopfdruck kann das Kind seine Eltern anrufen. Weitere Nummern können nicht gewählt werden.Falls das Kind nicht antwortet, baut Kizon dennoch einen Kontakt auf und schaltet das Mikrofon des Armbands ein. Im Wearable steckt ein Speicher mit 64 MByte RAM sowie ein Akku mit 400 mAh. Das Kizon misst 34,7 x 55,2 x 13,9 mm.Auch für längere Ausflüge ist das System geeignet. LG gibt eine mittlere Akkulaufzeit von etwa 36 Stunden an. Das Armband aus Polythiourethan (PTU) ist in drei Farben erhältlich und nach Herstellerangaben wasserbeständig."Kinder gehören ebenso wie Senioren zur idealen Nutzergruppe für Wearables", meint LG-Chef Jong-seok Park. "Unser Ziel ist es, einer der Marktführer im Segment der Wearables zu werden. Hierfür sind wir ständig auf der Suche nach neuen Wegen, wie wir diese tragbaren Geräte auf nützliche Weise in das tägliche Leben der Konsumenten integrieren können."Ein recht ähnliches System gibt es auch von einem anderen Anbieter. Das uhrenähnliche Armband Filip ist für Eltern gedacht, die im Notfall wissen wollen, wo ihre Kinder sind. Dazu ist nicht nur ein Telefon mit fünf fest einprogrammierten Nummern, sondern auch ein GPS-Peilsender eingebaut. Die Position der Kinder lässt sich so auf dem Smartphone darstellen.

LG bringt als letzter großer Hersteller sein neues Android-Topsmartphone auf den Markt: Das G3 hat eines der aktuell besten Smartphonedisplays - die Akkulaufzeit ist aber nicht so überragend wie angekündigt. LG hat sich Zeit gelassen und fast ein Vierteljahr länger als die Konkurrenz gebraucht, um sein neues Topsmartphone G3 offiziell vorzustellen. Was die grundlegende Hardware betrifft, gleicht das Gerät in weiten Teilen denen der anderen großen Hersteller wie Samsung, Sony und HTC: Im Inneren arbeitet ein Snapdragon-801-Prozessor, der Arbeitsspeicher ist wahlweise 2 oder 3 GByte groß und LTE wird unterstützt. LG ist weltweit der erste große Hersteller, der ein Display mit einer Auflösung von 2.560 x 1.440 Pixeln in einem Smartphone verbaut. Bei einer Bildschirmdiagonalen von 5,5 Zoll ergibt das eine sehr hohe Pixeldichte von 534 ppi. Auch einige interessante Änderungen an der Benutzeroberfläche haben wir entdeckt, besonders an der Tastatur. Der Akku übertrifft aber nicht wie versprochen den des Vorgängers.Das Display des G3 sieht ungewöhnlich gut aus. Bildschirminhalte werden absolut scharf angezeigt. Einzelne Pixel oder Treppeneffekte sind auch bei genauem Hinsehen mit bloßem Auge nicht auszumachen. Im direkten Vergleich zu einem Full-HD-Display wie etwa dem des Oneplus One fallen zunächst keine großen Unterschiede auf, bei näherer Betrachtung wirken aber insbesondere feine, detailreiche Inhalte auf dem G3 noch einmal glatter und sehen insgesamt besser aus. Dies betrifft auch und besonders Schriften, die auf dem Display des G3 unglaublich gut aussehen.

Farben stellt das G3 kräftig, klar und natürlich dar. Die Farbtemperatur ist neutral mit leichter Tendenz zu warm - und eignet sich damit für die meisten Einsatzbereiche gut. Eine Farbverwaltung für das Display hat das G3 nicht.Mit 429 cd/qm verfügt das G3 über ausreichend Helligkeitsreserven, um Bildschirminhalte auch bei hellem Licht gut sichtbar darzustellen. Der Bildschirm wird durch kratzfestes Glas geschützt. Fingerabdrücke bleiben nicht sonderlich stark haften und lassen sich leicht wieder abwischen. Der Helligkeits- und der Lagesensor funktionieren ohne nennenswerte Verzögerung.Auf der Rückseite hat LG eine 13-Megapixel-Kamera mit Autofokus und doppeltem LED-Fotolicht eingebaut. Dank eines optischen Bildstabilisators bleiben Aufnahmen auch bei schwierigen Lichtverhältnissen länger stabil. Der BSI-Sensor bringt zusätzlich eine höhere Lichtempfindlichkeit. Das Fotolicht besteht aus zwei einzelnen LEDs mit unterschiedlichen Lichtfarben. Dadurch soll die Farbgebung besser sein als bei anderen Smartphones mit nur einer LED. Tatsächlich haben wir am Blitz nichts auszusetzen, sowohl angeblitzte Personen als auch ausgeleuchtete kleine Räume sehen anständig aus. Der Blitz gleicht verschiedene Farbtemperaturen gut aus.

Links neben der Kameralinse ist ein Infrarotsender eingebaut. Dieser dient, anders als der kleinere am oberen Rand des Smartphones, nicht zur Steuerung von elektronischen Geräten. Stattdessen dient er als Unterstützung für den Autofokus der Kamera: Mit Hilfe von Infrarotstrahlen erfasst die Kamera des G3 Tiefeninformationen und soll daher etwas schneller scharf stellen als andere Smartphonekameras.Tatsächlich fokussiert die Kamera des G3 sehr schnell. Tippt der Nutzer den gewünschten Fokussierbereich nicht explizit an, stellt die Kamera selbsttätig den Fokus ein. Dies funktioniert je nach Situation unterschiedlich gut.Die Qualität der Bilder ist gut: Die mit dem G3 geschossenen Fotos weisen einen angenehmen Kontrast, natürliche Farben und eine angenehme Schärfe auf. Feine Details verschwimmen zwar bei starker Vergrößerung, dies bewegt sich aber noch im akzeptablen Rahmen.Die Kamera-App des G3 ist recht übersichtlich und hat weitaus weniger Aufnahmemodi als beispielsweise die des Samsung Galaxy S5. Neben dem Automatikmodus gibt es lediglich einen Panorama-Modus, einen Dual-Modus und den Magischer-Fokus-Modus. Die Dual-Option nimmt gleichzeitig ein Bild der Hauptkamera und der Frontkamera auf. Die Kamera auf der Vorderseite hat eine Auflösung von 2,1 Megapixeln.

Der "magische Fokus" ermöglicht es, im Nachhinein den Schärfepunkt des aufgenommenen Fotos zu verändern. Dies wird durch eine reine Softwarelösung ermöglicht: Es werden mehrere Bilder mit verschiedenen Fokusebenen gemacht, die dann zusammenmontiert werden. Das funktioniert in der Praxis gut, die Fokusebenen wechseln nahtlos.Die Videoaufnahmefunktion kann auch Aufnahmen in 4K, also mit einer Auflösung von 3.840 x 2.160 Pixeln, machen. Zudem sind stark verlangsamte Filme mit 120 fps möglich, diese haben dann aber nur eine Auflösung von 1.280 x 720 Pixeln. Dies ist bei anderen Herstellern wie Sony aber genauso.Bei der Frontkamera hat sich LG einiges einfallen lassen, um das Aufnehmen von Selbstporträts zu vereinfachen. So gibt es einen auf dem Display des G3 einblendbaren weißen Rahmen, der in dunklen Umgebungen als Frontleuchte fungiert. Zudem gibt es einige Möglichkeiten, ein Selbstporträt per Sprach- oder Gestensteuerung auszulösen. Hält der Nutzer beispielsweise seine Hand vor die Kamera und schließt diese zur Faust, wird ein dreisekündiger Countdown gestartet.

Der wechselbare Akku des G3 hat eine Nennladung von 3.000 mAh. LG verkündete bei der Präsentation des Smartphones, dass trotz des hochauflösenden Displays die Akkulaufzeit um bis zu 20 Prozent besser als bei Konkurrenzgeräten sei. Einen 1080p-codierten Film können wir 4,5 Stunden lang anschauen, bis der Akku leer ist. Für ein Topsmartphone ist das bestenfalls ein durchschnittlicher Wert, die Konkurrenzgeräte von Samsung und HTC halten hier deutlich länger durch. Bei der alltäglichen Nutzung hält das G3 gut anderthalb Tage durch. Das ist anständig - aber weit entfernt von der versprochenen längeren Laufzeit. Immerhin bringt der hochauflösende Bildschirm keinen Nachteil bei der Akkulaufzeit.Einen Ultra-Stromsparmodus wie das Samsung Galaxy S5 oder das HTC One (M hat das G3 nicht. Über einen normalen Stromsparmodus können aber bestimmte Funktionen abgestellt werden, wenn der Akkuladestand unter einen Schwellenwert sinkt.Das G3 wird mit Android in der Version 4.4.2 alias Kitkat ausgeliefert. Darüber installiert LG seine eigene Benutzeroberfläche, die verglichen mit vorigen Versionen optisch dezenter gestaltet wurde. Anders als noch beim G2 sind die Icons nicht mehr so bunt, insgesamt wirkt die Oberfläche aufgeräumter.

Neu ist der persönliche Assistent Smart Notice, der anders als Google Now ausschließlich auf Basis eines Widgets arbeitet. Smart Notice weist den Nutzer unter anderem auf verpasste Anrufe, per SMS versprochene Rückrufe, Termine und das Wetter hin. Hier haben wir mitunter interessante Hinweise erhalten - beispielsweise eine Schneeankündigung Anfang Juli. Womöglich muss LG hier noch etwas nachbessern.Auch beim G3 kann der Nutzer zwei Apps in einer Dual-Window-Funktion parallel nutzen. Zudem stehen wieder die Qslide genannten Mini-Apps zur Verfügung, die als kleines, verschiebbares Fenster über der aktuell verwendeten Anwendung genutzt werden können. Aussortiert hat LG die Möglichkeit, Apps mit einer Drei-Finger-Geste in einer Art Zwischenspeicher abzulegen. Diese Funktion fanden wir im Test des G Pad 8.3 nicht besonders hilfreich.Nutzer können das G3 komplett verschlüsseln. Zudem können einzelne Bilder und Videos versteckt werden, so dass sie nicht in der Galerie auf dem Smartphone erscheinen. Wird das G3 an einen PC angeschlossen, werden diese versteckten Dateien zwar aufgeführt, können aber nicht angesehen werden.Das G3 hat zudem einen Kill Switch, kann also aus der Ferne gelöscht und unbrauchbar gemacht werden. LG bietet hier allerdings keine eigene Lösung an, sondern kooperiert mit McAfee. Dessen Mobile-Security-App ist mit einer 5-Jahres-Lizenz vorinstalliert, der Service lässt sich aber nur mit einem Benutzerkonto nutzen. Hat der Nutzer dieses erstellt, kann er im Falle eines Verlustes das Smartphone über eine spezielle Internetseite orten, sperren und löschen. Auch eine Überwachung der SIM-Karte ist möglich. Hat der Dieb die Ortungsdienste allerdings abgestellt, ist das gestohlene G3 nicht über die McAfee-Software auffindbar.

Mit Knock Code können Nutzer auch das G3 mit einem selbst bestimmbaren Klopfmuster entsperren. Knock Code wurde mittlerweile auch bei den günstigen LG-Smartphones eingeführt. Ein Vorteil dieser Entsperrungsart ist, dass der Nutzer nach der Eingabe der Klopfzeichen direkt zum Sperrbildschirm geleitet wird. Ohne Knock Code lässt sich das G3 auch per einfachem Doppeltipp aus dem Standby-Modus aufwecken. Das G3 hat keine eingebauten Navigationstasten, sondern nutzt Softwaretasten. Diese können nach persönlicher Vorliebe angeordnet und erweitert werden. So ist es beispielsweise möglich, die Q-Slide-Funktion oder die Quick-Memo-App ebenfalls auf die Navigationsleiste zu legen.LG hat seine Displaytastatur komplett umgearbeitet. Für den Hersteller ist die beidhändige Eingabe mit den Daumen die beste Lösung, weshalb die neue Tastatur stark auf diese Eingabemethode ausgerichtet ist.

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March 28, 2017

Batterie ASUS G71G

Le Galaxy Note 2 - commercialisé dans une centaine de pays - devrait se vendre trois fois mieux que le Galaxy Note sur les trois premiers mois suivant le lancement, affirme Samsung. Le géant sud-coréen avait écoulé environ deux millions d'exemplaires du Note au cours des trois premiers mois après sa sortie en novembre 2010. Il en avait vendu plus de 10 millions d'unités fin septembre avant le lancement de son successeur. "Cela signifie que cette nouvelle catégorie de produit, dont nous sommes à l'origine, s'est enfin installée avec succès" sur le marché, a estimé l'industriel, soulignant que les ventes aux États-Unis, en Europe et en Asie s'accéléraient. Le Galaxy Note 2 est légèrement plus grand (écran de 5,5 pouces pour une dimension totale de 15,1 cm de long sur 8 cm de large) que le produit vedette de Samsung, son téléphone multifonctions Galaxy S 3. Il fonctionne sous le système d'exploitation Google Android, et possède un stylet pouvant être utilisé comme un stylo ordinaire ou pour remplacer le doigt. Le Galaxy Note II est dotée d'un processeur quadricoeur, qui permet d'utiliser plusieurs applications à la fois, plus rapidement qu'avec la puce de la précédente version.

La communication de Samsung sur les ventes du Galaxy Note II coïncide avec la sortie dans 34 pays, dont les Etats-Unis et la France, de l'iPad mini d'Apple, son grand rival américain. Mais tablette, version aux dimensions réduites de l'iPad, est surtout en concurrence avec le Kindle Fire d'Amazon et la Nexus 7 de Google. En prélude au CES de Las Vegas, Lenovo a présenté plusieurs ordinateurs portables. Le plus intéressant est le ThinkPad S430 qui intégrera les puces Ivy Bridge et la technologie Thunderbolt d'Intel. Un portable double processeur et double OS, puis un ultrabook professionnel complète le catalogue.A quelques jours du démarrage de la grande messe technologique à Las Vegas, le CES, Lenovo dévoile plusieurs ordinateurs portables. Parmi ceux-ci, on note le ThinkPad Edge S430 qui sera le premier ordinateur de la marque chinoise à intégrer un port Thunderbolt. Cette technologie promue par Intel et Apple rivalise avec l'USB 3.0 pour le transfert de données d'un périphérique. Il s'agit d'un premier signe que les constructeurs de PC (Acer, Asus et Sony notamment) s'intéressent à cette technologie et que les fabricants de périphériques vont étoffer leurs portefeuilles produits compatibles.

Ce portable aura aussi un pionnier dans l'intégration des puces Core de troisième génération d'Intel. Plus connue sous le nom de code Ivy Bridge, cette micro-architecture qui succèdera aux puces Sandy Bridge, doit améliorer les performances notamment graphiques et l'autonomie de la batterie. Les puces Ivy Bridge ne seront disponibles qu'au premier semestre 2012. Le ThinkPad Edge S430, équipé d'un écran 14 pouces, devrait être livré en juin prochain au prix de 749 dollars. A noter que deux autres portables de la série Edge, le E430 (14'') et le E530 (15,6 pouces) seront aussi équipés des processeurs Core de troisième génération d'Intel. Ils ne seront par contre pas équipés de base avec le port Thunderbolt. Leur prix devrait commencer à 549 dollars.

Parmi les autres ordinateurs présentés, le ThinkPad X1 Hybrid comprend deux processeurs (x86 et ARM) et deux systèmes d'exploitation (Windows 7 et Android). Mesurant moins de 1,5 cm d'épaisseur et pesant moins de 1,8 kg, il est doté d'un écran de 13,3 pouces et pourra embarquer les processeurs Intel Core i3, i5 et i7. Il comprend un mode IMM (Instant Media Mode) qui pour économiser l'autonomie de la batterie fait fonctionner le deuxième processeur, un Snapdragon Dual Core APQ8060 de Qualcomm cadencé à 1,2 Ghz et épaulé par 16 Go de mémoire flash. L'OS choisi par Lenovo est Android de Google, un simple clic depuis le bureau de Windows permet de basculer sur cette configuration. Moins gourmande en ressource, elle permettra de regarder des vidéos, d'écouter de la musique, surfer sur le web. Le constructeur annonce ainsi une autonomie de 10h. Ce portable sera disponible dans le deuxième trimestre 2012 pour un prix de 1599 dollars.

Lenovo succombe également à la tendance des ultrabooks avec le ThikPad T430 à orientation professionnelle. Il reprend les codes définis pour ce type d'équiement, finesse (moins de 2 cm) et légereté (1,8 kg). Doté d'un écran de 14 pouces, il embarque différents choix de processeurs Intel Core. Idem pour le stockage où le disque dur d'une capacité maximale de 1 To peut être remplacé par un SSD. Lenovo annonce une autonomie de 6h. Le prix de ce portable pro est de 660 euros et sera disponible en août prochain. Le serveur Bunker XRV-5241 de NCS Technologies peut travailler sous des températures extrêmes, résister aux chutes et à l'altitude. Il peut même être parachuté sur des zones de crise ou de conflits, si nécessaire.Le Bunker XRV-5241 est un serveur rack 1U conçu pour l'armée et les militaires postés en première ligne, et travaillant dans des environnements difficiles. L'appareil de NCS Technologies répond aux spécifications du ministère de la Défense américain en matière d'environnement, de température et de chocs. « Cet équipement, qui tient dans une valise spéciale, peut être parachuté lors d'actions de déploiements tactiques », a déclaré John Callahan, directeur marketing chez NCST. Le Bunker XRV-5241 peut résister à une chute d'environ 1 mètre, mais en cas de parachutage, il doit être placé dans un caisson adapté.

Les serveurs ne sont pas réputés pour leur robustesse, mais certains fabricants développent des ordinateurs portables répondant aux spécifications de l'armée américaine. C'est le cas de Panasonic, dont le Toughbook peut résister à des chutes et à des conditions environnementales difficiles sans impact sur les composants et les données. Le serveur de NCST est capable de fonctionner dans des situations extrêmes, pour les déploiements militaires lointains. Il peut également être utilisé sur un camion ou un bateau en situation de combat.Le Bunker XRV-5241 peut supporter des températures comprises entre 0 et 50 degrés Celsius en fonctionnement et des températures comprises entre moins 40 et plus 70 degrés Celsius lorsqu'il est à l'arrêt. De la même façon, il peut travailler à 3 000 mètres d'altitude, mais supporte les altitudes de 7000 mètres quand il est éteint. Cette machine peut également résister à un certain degré de choc, en cas de chute d'un véhicule, par exemple. « Le Bunker XRV-5241 est protégé par un double châssis très robuste et les disques durs ont été montés sur amortisseur », a expliqué John Callahan.

Le châssis est composé d'acier épais. Le serveur pèse 15,9 kg. D'autres « caractéristiques exclusives » empêchent cette machine de se plier ou de s'incliner », a ajouté le directeur marketing. « En outre, pour protéger les disques durs, un système bloque l'éjection ou le retrait du disque dur », a-t-il précisé. Enfin, les composants ont été assemblés de telle sorte qu'ils restent solidaires les uns des autres quelles que soient les circonstances. Un système maintient aussi en place les cartes d'extension, type contrôleurs RAID, cartes réseau et graphiques. Sans cela, elles pourraient facilement tomber en cas de choc.Les serveurs ont besoin de refroidissement, mais la capacité de résister à des températures élevées signifie qu'ils peuvent rester sur les racks sans climatiseur pendant de longues périodes. Ce modèle est livré avec une alimentation de 750 watts, mais des kits permettent de le brancher sur d'autres sources d'énergie, celles présentes sur les véhicules notamment, sans avoir besoin d'équipement supplémentaire.

Le serveur bisocket est construit autour de la puce Intel E5-2600, basée sur l'architecture Sandy Bridge. Il dispose de huit emplacements mémoire pour une capacité totale de 256 Go de RAM. Il affiche également quatre emplacements pour le stockage, supporte l'Ethernet LAN et la norme PCI-Express 3.0. Son prix démarre à 3700 dollars HT. Il sera vendu directement sur les marchés verticaux. Avanade et Nokia ont conclu aujourd'hui un accord d'une collaboration pour permettre l'intégration d'applications orientées métiers comme Microsoft Office ou des solutions CRM.Avanade et Nokia ont conclu aujourd'hui un accord d'une collaboration pour permettre l'intégration d'applications orientées métiers telles que Microsoft Office, des solutions CRM et l'accès aux informations de l'entreprise pour améliorer la collaboration, la productivité et les ventes à la gamme Lumia de Nokia.

Avanade relève que plus de 54% de cadres et de décideurs informatiques ont déclaré que leurs employés utilisent leurs smartphones pour leur travail. Par ailleurs, 42% des employés souhaiteraient utiliser leurs portables pours des tâches complexes comme la création de contenu ou le CRM. Niko Mykkänen, responsable mondial des ventes B2B auprès de Nokia explique à ce propos : «La croissance de l'utilisation d'appareils grand public au travail a créé des opportunités pour les entreprises, mais également des vulnérabilités qui doivent être prises en compte. En travaillant ensemble Nokia et Avanade veulent créer des solutions métiers pour répondre aux besoins de l'entreprise et également offrir une meilleure expérience utilisateur aux collaborateurs.» Présentée l'année dernière au CES en tant que Project Fiona, la tablette dédiée au jeu de Razer avec ses doubles manettes est de retour sous la forme du Razer Edge, équipé de Windows 8, d'un processeur Intel, le tout à partir de 999 $ HT.

Bien connu pour sa gamme de périphériques dédiés aux gamers - claviers, souris, casques et manettes -, Razer lance la Edge, une tablette Windows 8 équipée d'un processeur Intel Core i5 ou i7 écran 10 pouces et de composants dignes d'un PC pour tenter de synthétiser ce qui se fait de mieux en matière de tablette, PC et console. Avec un écran légèrement plus petit que celui de la Microsoft Surface Pro, cette ardoise propose des graphismes bien plus fins, grâce à la présence d'un circuit graphique spécifique, et non d'une puce tout-en-un (SoC), actuellement en vogue sur les tablettes et les portables. Mais surtout, la Edge pourra utiliser des jeux PC à conditions d'avoir suffisamment de place pour les installer. Razer distribuera l'appareil en Amérique du Nord et dans les régions d'Asie Pacifique, et le site web de la marque permettra de recevoir une alerte pour se tenir informé de la disponibilité du produit. Une souris et un clavier sont prévus pour le mois de septembre. Razer a déjà prévu un gamepad très remarqué et une batterie longue durée. Edge dispose par ailleurs d'un port HDMI, pour être reliée à un écran plus grand ou une TV.. Selon une étude d'IHS iSuppli, la croissance du marché des SSD devrait être plus soutenue en 2013 avec le développement des ultrabooks. L'activité datacenter se porte bien aussi par l'afflux de produits.

Tout comme les lecteurs MP3 ont dopé les ventes de mémoire flash NAND au milieu des années 2000, les ultrabooks devraient conduire au doublement des ventes de SSD en 2013. Au niveau mondial, les livraisons de SSD devraient augmenter pour atteindre 83 millions d'unités cette année, contre 39 millions en 2012, explique une étude d'IHS iSuppli. Les prévisions pour 2016 sont estimées à 239 millions en 2016, ce qui représentera 40% du marché des disques durs. Il est à noter que le cabinet d'analyses exclu les modèles hybrides qui combine disque à plateaux et mémoire flash.« Le sort du marché des SSD est étroitement lié à celui des ultrabooks et des portables ultra-légers qui utilisent cette technologie » souligne Ryan Chien, analyste spécialisé sur la mémoire et le stockage chez IHS. Il ajoute, « alors que les ventes de SSD avaient progressés de 124% l'année dernière, la croissance actuelle déçoit, car les ventes d'ultrabook ont été mauvaises. Toutefois, si les ventes des récentes générations d'ultrabook décollent, le marché des SSD connaîtra une croissance plus vigoureuse ». Il souligne que l'arrivée de Windows 8 et des prochains processeurs Haswell d'Intel devraient stimuler l'intérêt des consommateurs et la croissance des SSD.

Si les ventes de SSD progressent fortement, les prix moyens des mémoires flash NAND sont en baisse. L'analyste constate qu'en négociant, il est possible d'obtenir des SSD avec un prix au gigaoctet de 80 à 90 cents HT, voir même moins. Par exemple, Micron a récemment présenté un SSD de 1To à 599 dollars. Cette baisse des prix attire aussi bien des geeks, que des constructeurs de PC qui n'hésitent plus à installer des SSD dans leurs produits.Sur la partie datacenter, IHS Supply constate également une forte demande des SSD en raison du lancement de baies de stockage flash de la part des grands constructeurs, mais aussi des start-ups. Le développement récent autour des mémoires non volatiles comme la STT-RAM et la resistive RAM va permettre d'améliorer les performances des SSD. Il devrait se vendre un million de tablettes multimédia en France à l'occasion des fêtes de fin d'année, selon GfK. Voici une sélection de petites ardoises 7 et 10 pouces - de type classique et hybride - pour les retardataires.

  1. http://akkusmarkt.jimdo.com/
  2. http://blogs.elle.com.hk/akkusmarkt/
  3. http://wwwakkusmarktcom.doodlekit.com/blog
  4. http://akkusmarkt.bravesites.com/

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Akku Acer TravelMate 6595

Oben auf der Kamera befindet sich neben dem Sucher noch ein winziger Blitz, der auf Knopfdruck herausschnellt; einen Blitzkontakt für ein externes Blitzlicht gibt es nicht mehr. Darüber hinaus sind dort der sehr gut austarierte Auslöser mit angenehmem Druckpunkt sowie der Ein- und Ausschalter untergebracht.Die rechte Seite des Gehäusedeckels wird von einem Wahlrad dominiert, mit dem die unterschiedlichen Aufnahmemodi ausgewählt werden. Auf der rechten Gehäuseseite sind zwei filigrane Klappen mit dahinterliegenden Anschlüssen für Micro-USB und Micro-HDMI angebracht, die keinen vertrauenerweckenden Eindruck hinterlassen.Der Kamera-Akku wird über USB geladen, Sony legt kein Extra-Ladegerät bei. Das mag ärgerlich sein, doch viele besitzen mittlerweile mehrere USB-Ladeteile. Auf der Kamerarückseite dominiert das Display, das sich nicht nur nach unten, sondern auch nach oben klappen lässt. Anders als bei der RX 100 II kann es senkrecht in die Höhe gestellt werden. Selfies lassen sich so sehr gut kontrollieren, zumal automatisch ein Countdown eingeblendet wird.

Rechts neben dem Display befinden sich der Video-Aufnahmeknopf, ein Funktions- und ein Menübutton sowie ein Wählrad mit Kippfunktion und innenliegendem Auswahlknopf. Darunter wurden noch der Play- und der Löschknopf untergebracht. Die Unterseite verfügt über eine Stativbohrung sowie eine kombinierte Batterie- und Speicherkartenklappe. Die RX 100 III nimmt SD-Karten auf.Neben den Reglern und Knöpfen gibt es wie bei Sony üblich enorm viele Bildschirmmenüs, die teilweise auch sehr exotische Einstellungen ermöglichen. Ein Handbuchstudium (PDF) ist für neue Nutzer nicht nur empfehlenswert, sondern erforderlich.Ein großer Vorteil von Sonys Bedienungsansatz ist die Möglichkeit, ein schnell erreichbares Bildschirmmenü mit den gebräuchlichsten Funktionen selbst zusammenzustellen und praktisch alle Knöpfe frei zu belegen.

In den letzten Jahren sind die Displays von Smartphones immer weiter gewachsen. Aktuell gibt es kaum mehr ein Modell der Oberklasse, dessen Bildschirmdiagonale weniger als fünf Zoll misst. » Mehr erfahren
Die Wahl der ISO-Einstellung gehört unserer Erfahrung nach auf einen Knopf, und auch die Belichtungskorrektur sollte schnell zu erreichen sein. Eine schnelle Justierung des Autofokus-Messpunktes ist ebenso wünschenswert wie das Umschalten zwischen verschiedenen Belichtungsmessmethoden. Hier muss und kann jeder selbst herausfinden, welche Funktionen ihm im Schnellmenü wichtig sind. Die Handhabung der Kamera kann so durch eine geschickte Belegung und Menüzusammenstellung deutlich verbessert werden. Leider sind die Knöpfe unbeleuchtet, was das Hantieren im Halbdunkel erschwert. Mit dem oben angebrachten Drehrad kann der Benutzer zwischen den diversen Modi wechseln, wobei auch Halbautomatiken und eine vollkommen manuelle Betriebsart auswählbar sind. Auf den ersten Blick wirkt die Benennung von Programmen wie "Intelligente Automatik" und "Überlegene Automatik" zwar etwas drollig, doch eine Bildschirmhilfe erklärt die Unterschiede recht gut. Panoramen lassen sich ebenfalls durch Schwenken der Kamera entweder in der Horizontalen oder in der Vertikalen aufnehmen.

Die RX 100 III wäre keine Sony-Kamera, wenn sie nicht auch Videos aufnehmen könnte. Sony ermöglicht Aufnahmen im MP4- oder XAVC-S-Format mit Datenraten von bis zu 50 Mbit/s in Full-HD. Wer will, kann auch kleine Videos mit 100 Bildern pro Sekunde für Zeitlupenwiedergaben aufnehmen.Dank WLAN (2,4 GHz) kann die Kamera ihre Bilder zum Rechner oder mobilen Endgeräten schicken und von letzteren auch ferngesteuert werden. GPS gibt es nicht. Um die Verbindungsdaten leichter auszutauschen, wurde NFC integriert. Die Bildübertragung funktioniert problemlos und relativ schnell, was auch an der übersichtlichen Größe der JPEGs (7 bis 13 MByte) liegt, die die Kamera produziert. Wahlweise können Rohdaten (20 MByte pro Bild) oder beide Formate aufgezeichnet werden. Sony überträgt aber nur die JPEGs sowie die Filme auf Smartphones und Tablets.Die Kamera kann über WLAN online gehen und eine der Apps herunterladen, die Sony anbietet. Kostenlose Apps zum Übertragen der Fotos von der Kamera zu Flickr oder zur einfachen Bildbearbeitung sowie eine Fernsteuerung sind ebenso vorhanden wie kostenpflichtige Anwendungen.

Schon beim ersten Versuch fällt auf, dass die Kamera schwerer ist, als sie auf den ersten Blick wirkt. Das Gehäuse ist vollgestopft mit Elektronik, und auch das neue, lichtstarke Objektiv dürfte zum gesteigerten Gesamtgewicht beitragen. Dennoch ist die Kamera immer noch so klein und leicht, dass sie überallhin mitgenommen werden kann, was für die Wahl einer Kompaktkamera einer der Hauptgründe ist.Die Autofokusgeschwindigkeit bewegt sich auf hohem Niveau, auch wenn die Kamera leichte Schwierigkeiten bei kontrastarmen Motiven hat. Einige Gewöhnung erfordert die Bedienung, wenn man nicht nur im Vollautomatikprogramm bleibt, in dem die Kamera vollkommen unproblematisch ist und meist auch sehr gute Aufnahmen liefert. Wird jedoch etwas verstellt werden, macht sich die Kompaktheit bemerkbar: Vieles funktioniert nur über die Bildschirmmenüs.

Sonys Entscheidung, das Objektiv vollständig zu überarbeiten und es mit mehr Lichtstärke auszustatten, hat sich als Volltreffer erwiesen. Der leicht flaue Eindruck, den die Bilder der Vorgänger bei voller Brennweite erweckten, ist vollständig verschwunden. Die Fotos der Mark III sind auch an den Bildrändern deutlich schärfer. Wie gehabt treten bei harten Kontrasten hin und wieder chromatische Aberrationen auf, doch die lassen sich mit Bildbearbeitungsprogrammen gut beheben. Weil Sony aus Platzgründen keine Sonnenblende integriert, ist das Objektiv etwas seitenlichtempfindlich. Die Rohdaten der Kamera zeigen erst das Potential des Sensors, das dieser bei der eigentlich sehr guten JPEG-Umsetzung nicht ganz ausschöpfen kann. Im JPEG-Modus wirken die Farben etwas grell, doch das ist Geschmackssache.Mit Bildbearbeitungsprogrammen wie Lightroom lassen sich aus dunklen Bereichen noch viele Informationen herausholen - sofern es Rohdaten sind, die dem Programm vorgesetzt werden. Ein Neutraldichtefilter in der Kamera sorgt dafür, dass auch bei offener Blende und starkem Licht sowie mit der Schärfentiefe gearbeitet werden kann. Natürlich ist der dreistufige Neutraldichtefilter auch beim Filmen wichtig. Leider hat Sony aber versäumt, ein Filtergewinde in das Objektiv zu fräsen, so dass weitere Filterexperimente oder Vorsatzlinsen nicht möglich sind.

Eine Lichtempfindlichkeit von maximal ISO 12.800 weckt das Interesse jedes Fotografen, doch diese Einstellung sollte nur als Notbehelf bei fehlendem Stativ genutzt werden, denn die Bilder sind damit verrauscht und flau. Bis ISO 6.400 sind sie aber gut nutzbar, wenngleich man sie in diesem Fall nur noch postkartengroß ausdrucken sollte. Für die Benutzung im Netz mit üblicherweise deutlich verkleinerten Motiven reichen aber auch höhere Empfindlichkeiten noch aus. Die 20-Megapixel-Auflösung eignet sich auch für Ausschnittsvergrößerungen, und manchmal ist es deshalb gar nicht so problematisch, dass das Objektiv nur eine 70mm-Brennweite erreicht.Um verwacklungsfreie Bilder mit hoher Durchzeichnung anzufertigen, kann die Kamera von allein mehrere Aufnahmen in sehr kurzer Folge aufnehmen und sie miteinander verrechnen. Dieses Prinzip wird sowohl bei den HDR-Aufnahmen als auch bei hohen Lichtempfindlichkeiten eingesetzt, um entweder die Bildqualität zu erhöhen oder eine Belichtungsreihe zum Erfassen von großen Helligkeitsunterschieden einzusetzen.

Die Sony RX 100 Mark III ist ab rund 840 Euro im Handel erhältlich, Sony verlangt 850 Euro. So viel kostet auch eine ordentliche Spiegelreflexkamera oder eine Systemkamera mit einem Objektiv. Die Frage ist daher: Weshalb sollte man Sonys Kompaktkamera kaufen, die schließlich mit einem fest eingebauten Objektiv auskommen muss? Wer keine große Kamera mit sich herumschleppen will und diese daher viel zu Hause herumliegen würde, der wird nach einem kleineren Modell suchen - oder gleich das Smartphone verwenden, das schließlich immer dabei ist. Im Gegensatz zu diesem bietet Sonys Modell eine weitaus höhere Bildqualität, ist flexibler einsetzbar, erzeugt Rohdaten-Bilder und verfügt nicht zuletzt über einen Zoom und einen Sucher.Sony hat mit der Sony RX100 Mark III ein neues Meisterstück geschaffen - mit einer Bildqualität, die man dem kleinen Gerät gar nicht zutraut. Auch das Bedienungskonzept ist rund, wenn man sich daran gewöhnt hat - dies bringt die komplexe Technik auf kleinstem Raum mit sich, die dem geübten Nutzer freie Hand lässt, wenn er das wünscht. Wer will, kann die Sony auch als reine Knipskamera verwenden.

Natürlich ist es schwer, so ein kleines, aber lichtstarkes Objektiv zu entwickeln und einen OLED-Sucher ins ohnehin knappe Gehäuse zu stecken. Wenn eine Kompakte aber so viel kostet wie eine DSLR, fällt die Kaufentscheidung trotzdem schwer. Dem sowohl preis- als auch qualitätsbewussten Käufer bleiben nur zwei Möglichkeiten: Entweder das Vorgängermodell kaufen und sich nicht über den fehlenden Sucher und das lichtschwache Objektiv ärgern oder einfach ein Jahr warten, bis der Marktpreis der "III" auf ein erträgliches Niveau gefallen ist. Dann ist sie klar für den Kauf zu empfehlen.Macbooks besitzen seit langem ein magnetisches Ladekabel, das sich bei Zugbelastung löst und so Stürze des Notebooks verhindert. Das gleiche soll es nun für iPhones geben, allerdings nicht von Apple, sondern von einem Kickstarter-Projekt. Ärger mit Apple ist vorprogrammiert.
Das Kickstarterprojekt Cabin will einen Adapter für den Lightning-Port entwickeln, damit ein magnetisches Ladekabel daran Halt findet. Das Prinzip ist von Apples Macbooks bekannt, wird vom Hersteller selbst jedoch nicht angeboten. Das System besteht aus dem Stecker für das iPhone sowie einem magnetischen Adapter für das Lightning-Kabel. Außerdem wird eine Akkuhülle mit 2200 mAh für das iPhone 5S entwickelt, die mit dem Magnetladestecker harmoniert. Diese kann in eine Dockingstation gestellt werden, die sowohl das iPhone als auch den Akku der Hülle auflädt.

Die Entwickler bieten diverse Pakete der vier Zubehörteile an. Für 60 US-Dollar gibt es die Dockingstation, den Magnetadapter für das Lightning-Kabel und den Microadapter für das iPhone. 89 US-Dollar werden für das gleiche Paket verlangt, wenn zusätzlich noch die Akkuhülle beiliegt. Die Kampagne läuft noch bis zum 29. August und hat schon jetzt rund 32.000 US-Dollar von den erforderlichen 50.000 US-Dollar eingespielt.Ob das Projekt unbehelligt umgesetzt werden kann, ist fraglich. Apple hatte 2012 in den USA ein Patent beantragt, den Magsafe-Anschluss am iPhone und iPad zu nutzen und es gleichzeitig als Datenkabel zu verwenden.Mit dem G3 S hat auch LG eine abgespeckte Version seines Topsmartphones G3 vorgestellt. Das G3 S hat wie viele Minivarianten anderer Hersteller deutlich weniger leistungsfähige Hardware, der Infrarot-Fokus ist allerdings auch hier eingebaut.LG hat eine Miniversion seines kürzlich vorgestellten Topsmartphones G3 vorgestellt. Das G3 S hat zwar das gleiche Design wie das G3, weist aber bei der Hardware deutliche Unterschiede auf. LG verfolgt damit das gleiche Konzept wie Samsung oder HTC bei ihren Minivarianten.
Besonders deutlich wird dies beim Display: Statt eines 5,5-Zoll-Bildschirms mit einer hohen Auflösung von 2.560 x 1.440 Pixeln hat das G3 S ein 5 Zoll großes Display mit einer deutlich niedrigeren Auflösung von 1.280 x 720 Pixeln.

Auch der Prozessor ist schwächer als der des G3: Anstelle eines Snapdragon 801 mit vier Kernen und einer Taktrate von 2,5 GHz kommt ein Snapdragon 400 zum Einsatz. Dieser ist mit 1,2 GHz getaktet. Der Arbeitsspeicher des G3 S ist 1 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher 8 GByte. Das normale G3 gibt es in einer 16-GByte-Version mit 2 GByte Arbeitsspeicher oder einer 32-GByte-Variante mit 3 GByte RAM.Die Kamera auf der Rückseite des G3 S hat 8 Megapixel und ein einzelnes LED-Fotolicht anstelle des doppelten Lichtes des G3. Den Infrarot-Autofokus hat LG auch bei der Miniversion eingebaut. Er ermöglicht schnelles Scharfstellen auch in dunkleren Umgebungen. Auf der Vorderseite hat LG eine 1,3-Megapixel-Kamera eingebaut, die wie beim G3 auch mit einer Handgeste ausgelöst werden kann.Das G3 S unterstützt Quad-Band-GSM, UMTS und LTE. WLAN beherrscht das Smartphone nach 802.11a/b/g/n, Bluetooth läuft in der Version 4.0. Ein NFC-Chip und ein GPS-Empfänger mit Glonass-Unterstützung sind eingebaut. Der Akku hat eine Nennladung von 2.540 mAh und ist austauschbar.

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Akku Toshiba PA3587U-1BRS

Zu Preis und Verfügbarkeit des Polo Tech macht Ralph Lauren noch keine Angaben. Das Shirt lässt sich auch in Deutschland über die Webseite des Herstellers vorbestellen. In den USA dürfen die Balljungen und -mädchen bei den U.S. Open Tennis Championships damit auftreten. Außerdem trägt es der Jungprofi Marcos Giron beim Training und bei Fotosessions.Statt Luke Skywalker sitzt auf dem Hoverbike von Malloy Aeronautics zwar nur eine Puppe mit Kamera im Kopf, doch dafür hebt das Fluggerät wirklich ab. Vier Propeller bewegen das Spielzeug vorwärts. Auf einem größeren Modell sollen auch Menschen fliegen können. Das Hoverbike erinnert an eine Kreuzung aus Motorrad und Helikopter. Der Quadcopter mit zwei leicht verschränkten Mantelrotoren vorne und hinten erlaubt das Fliegen in unmittelbarer Bodenhöhe. Wer will, kann das ferngesteuerte Modell aber auch höher fliegen.

Die Puppe, die rittlings auf dem Hoverbike sitzt, verfügt über eine Kamera im Kopf und filmt so den Flug aus Ich-Perspektive. Später soll auch eine dreifach größere Version entstehen, die einen menschlichen Piloten befördert, doch nun muss erst einmal ein Modell davon fertiggestellt werden. Die Macher sehen seine Einsatzmöglichkeiten nicht nur im Freizeitbereich, sondern auch beim Viehtrieb. Das Modell misst 1,1 x 0,6 x 0,16 Meter und wiegt leer 2,2 kg. Dazu kommen noch einmal rund 1 kg Akkus. Die maximale Nutzlast darf 4,8 kg betragen, wobei der Hersteller 1,5 kg Zuladung empfiehlt. Die Fluggeschwindigkeit wird mit 20 km/h angegeben. Mit 20 Prozent Akku-Restladung und 750 Gramm Zuladung sind nach den Tests Flüge von 10 Minuten möglich. Das reicht selbst für eine leichte Spiegelreflexkamera, die unterhalb des Gefährts montiert werden kann.Zum leichteren Transport können die beiden Mantelpropeller übereinander gefaltet werden. Malloy hat eine Kickstarter-Kampagne zur Finanzierung des Modellbau-Projekts ins Leben gerufen, die rund 50.000 britische Pfund (62.000 Euro) eingebracht hat und noch bis zum 1. September 2014 läuft.

Ein Hoverbike-Modell ist als Bausatz für umgerechnet ab rund 750 Euro erhältlich. Dabei fehlen Roboter, Akkus, Fernsteuerung und Flugdynamikregelung. Auch ein sofort flugfähiges Modell mit allem Zubehör und einer Transporttasche wird angeboten: Dieses Hoverbike ist mit 1.440 Euro aber ein teurer Spaß.Eine Alternative zum Hoverbike entwickelt das Unternehmen Aerofex mit dem Aero-X. Hier kommen allerdings nur zwei Rotoren zum Einsatz. Das Aero-X soll angeblich 2017 auf den Markt kommen. Der Preis liegt bei 85.000 US-Dollar.
Fenster zu Solarkollektoren - das soll eine Entwicklung von US-Forschern ermöglichen: Sie haben einen farblosen durchsichtigen Kunststoff entwickelt, der Sonnenlicht einfängt und an Photovoltaikzellen weiterleitet.
Forscher der Universität des US-Bundesstaates Michigan in East Lansing haben ein durchsichtiges Solarmodul entwickelt. Es kann beispielsweise auf Fenster aufgebracht werden. Das Modul fängt Sonnenlicht ein und leitet es auf eine Photovoltaikzelle weiter.

Transparent Luminescent Solar Concentrator (LSC) nennen die Forscher um Richard Lunt ihre Entwicklung. In den Modulen aus Kunststoff befinden sich organische Moleküle, die einen bestimmten Teil des Sonnenlichts absorbieren. Dabei handelt es sich um Wellen im nicht sichtbaren Bereich. Das Licht wird dann an den Rand des Moduls weitergeleitet, wo es auf Photovoltaikzellen trifft. Diese wandeln das Licht in elektrische Energie.Der Kunststoff könne so angepasst werden, dass er nur Licht im ultravioletten und im nahen Infrarotbereich einfange, das dann in einem anderen Bereich des infraroten Spektrums leuchte, erklärt Lunt. "Weil die Materialien kein Licht im sichtbaren Spektrum absorbieren oder emittieren, erscheinen sie für das menschliche Auge komplett transparent", erklärt Lunt.An solchen Modulen wird bereits seit längerem geforscht. Bisher seien diese aber farbig gewesen. "Niemand möchte hinter farbigem Glas sitzen", sagt Lunt. "Das sorgt für eine bunte Umgebung - das ist, wie in einer Disco zu arbeiten." Anwendungen gibt es nach Angaben der Forscher viele: Sie denken in erster Linie an Fenster, die auf solche Module aufgesetzt werden können.

Mit einem solchen Kunststoff könnten aber auch die Displays von verschiedenen Mobilgeräten, Smartphones oder etwa E-Book-Reader ausgestattet werden, mit deren Hilfe dann der Akku der Gerätes geladen werden kann. Es könnten aber auch Oberflächen in Sonnenkollektoren verwandelt werden, an die noch niemand denke.Noch ist die Entwicklung, die die Forscher um Lunt in der Fachzeitschrift Advanced Optical Materials beschreiben, in einem frühen Stadium. Ein Manko sei derzeit noch der Wirkungsgrad, geben sie zu: Der liege bei etwa 1 Prozent. Ziel ist, einen Wirkungsgrad von über 5 Prozent zu erreichen - das ist etwas weniger als farbige LSCs, die einen Wirkungsgrad um 7 Prozent haben.LG hat ein Video seiner kommenden Smartwatch veröffentlicht. Die LG G Watch R wird rund und wieder mit Android Wear ausgestattet sein. Die neue Uhr wird vermutlich auf der Ifa vorgestellt - wenige Monate nach der Vorstellung der ersten Smartwatch.
Das wird Besitzern von LGs Smartwatch G nicht gefallen. Vermutlich schon zur Ifa 2014 im September wird das südkoreanische Unternehmen den Nachfolger LG G Watch R vorstellen.

Wie die Moto 360 von Motorola wird diese Uhr über ein rundes Display verfügen, geht jetzt aus einem Video hervor, das LG vorab veröffentlichte. Die Uhr soll einem älteren Bericht der Korea Times zufolge fast vollständig aus Komponenten bestehen, die der südkoreanische Konzern selbst herstellt. Dazu soll auch ein OLED-Bildschirm anstelle des bei der ersten Generation verbauten LCDs eingesetzt werden. Auch der Akku soll von einem LG-Tochterunternehmen beigesteuert werden.Dem Bericht der Korea Times zufolge kann LG allerdings noch nicht auf die eigene ODIN-Prozessor-Plattform umsteigen, sondern wird wie gehabt ein Qualcomm-Modell einsetzen.Vielen Käufern der ersten Smartwatch-Generation wird es nicht gefallen, wenn ihr Modell schon so kurz nach Marktstart veraltet ist. Die LG G Watch besitzt ein eckiges Gehäuse. Die Hersteller von Smartwatches müssen allerdings noch herausbekommen, welche Funktionen und Designs bei den Kunden ankommen, von daher ist die schnelle Abfolge von Produkten verständlich.Ob LG bei der Entwicklung der neuen Smartwatch mit erfahrenen Uhrenherstellern kooperiert hat, wie der Bericht der Korea Times nahelegt, ist weiterhin nicht bekannt.

Die Entwicklung des Open-Pandora-Nachfolgers Pyra komme so gut voran, dass er bereits 2015 verfügbar sein könnte, gibt Entwickler Michael Mrozek bekannt. Er nennt weitere Details zur Hardware und schätzt den Preis auf etwa 500 Euro.
Der Teamleiter und Initiator des Pyra-Handhelds, Michael Mrozek alias Evildragon, hat auf der Konferenz Rencontres mondiales du logiciel libre (RMLL) in einem Vortrag bekanntgegeben, dass das Pyra bereits ab dem nächsten Jahr verkauft werden könnte. Erstmals ist der freie Open-Pandora-Nachfolger in diesem Februar auf der Fosdem vorgestellt worden. In Anbetracht der vielen Verzögerungen und Rückschläge mit der Open Pandora ist dieses Ziel überaus ambitioniert. Doch das Team komme wesentlich schneller mit der Entwicklung voran als bei dem Vorgängermodell. Das liege unter anderem daran, dass einige Fehler nicht wiederholt werden sollen.So werden laut Bericht die Teile nur noch in Europa produziert, das Gehäuse etwa in Griechenland, und als Betriebssystem soll keine eigene Distribution eingesetzt werden, sondern der Debian-ARM-Port mit möglichst wenig Anpassungen, die über ein Repository bereitgestellt werden sollen. Darüber hinaus wird das Mainboard in drei Bestandteile aufgeteilt.

Die Unterteilung der Hardware auf verschiedene Platinen erlaubt es dem Team, sich kostengünstig voll auf die Entwicklung des eigentlichen Boards für die Eingaben und des Gehäuses zu konzentrieren und anschließend SoC samt CPU zu integrieren.Das Design mit den getrennten Boards wird wahrscheinlich im finalen Produkt beibehalten. Dadurch lassen sich sowohl die CPU als auch das LC-Display, das ebenfalls über ein eigenes Board angeschlossen wird, vergleichsweise einfach austauschen, was Hardware-Upgrades ermöglicht.Noch muss das PCB-Board abschließend gestaltet werden, ebenso wie die Tastatur (Keymat). Das Gehäuse ist ebenfalls so gut wie fertig. Da sich das Team aber noch nicht endgültig für einen Akku und ein Display entschieden hat, könnte sich die Gestaltung des Gehäuses noch in Details verändern.Als SoC soll ein OMAP 5432 von Texas Instruments (TI) benutzt werden. Der Dual-Core-Prozessor auf Basis des ARM Cortex A15 kann mit 1,7 GHz getaktet werden und soll auf bis zu 2 GByte Arbeitsspeicher zugreifen können. Für 3D-Grafikberechnungen steht die SGX544MP2-GPU von PowerVR bereit, den proprietären Treiber dazu stellt TI bereit.

Das eingebaute 5 Zoll große Display soll eine 720p-Auflösung haben, denn ein FullHD-Display würde zu viel Energie benötigen. Dank eines resistiven Touchscreens wird das Pyra ebenso wie das Vorgängermodell wieder bequem mit einem Stylus verwendet werden können. Über einen HDMI-Anschluss soll sich ein größerer Monitor an das Pyra anbinden lassen.Geplant sind zwei Standard-USB-2.0-Anschlüsse, von denen einer ein Kombinationsport für USB 2.0 und eSATA ist sowie eine Micro-USB-3.0-Buchse und ein Micro-USB-2.0-Port zum Laden. Das Funk-Modul soll WLAN nach 802.11a/b/g/n und Bluetooth 4.0 ermöglichen, und die Tastatur wird eine Hintergrundbeleuchtung haben.Mrozek schätzt, dass das Pyra etwa 500 Euro im Verkauf kosten könnte und damit ähnlich viel wie aktuelle Top-Smartphones, die nicht vom Hersteller oder Provider subventioniert werden. Noch lassen sich die Geräte zwar nicht vorbestellen. Das soll möglich werden, sobald mit der Massenfertigung begonnen werden kann.Die Produktion soll schließlich beginnen, sobald 1000 Pyras vorbestellt worden sind. Das Open Pandora verkaufte sich bisher etwa 7000-mal. Eventuell wird die Produktion laut Mrozek auch über Kickstarter oder ähnliche Crowdfunding-Plattformen finanziert. Davon verspricht er sich einen höheren Bekanntheitsgrad. Die Pyras sollen zunächst ausschließlich über den Online-Shop von Mrozek vertrieben werden.

Die Kompaktkamera Sony RX100 Mark III ist schwerer und größer als ihre Vorgänger, kostet mehr und - macht einfach gute Bilder. Sie verfügt über einen nützlichen elektronischen Sucher, ist aber nicht ohne Makel.850 Euro verlangt Sony für die RX100 Mark III - viel Geld für eine Kompaktkamera, die problemlos in einer Hemdtasche verschwindet. Dafür erhält der Nutzer aber eine der besten kompakten Digitalkameras, die es auf dem Markt gibt.In einem mehrwöchigen Praxistest von Golem.de musste die RX100 Mark III zeigen, was sie besser kann als ihr Vorvorgängermodell RX 100, das Golem 2012 ausprobierte und das immer noch erhältlich ist. Dazwischen erschien die RX100 Mark II, die auch schon über ein Klappdisplay verfügt. Ihr fehlen aber der Sucher und ein lichtstarkes Objektiv. Doch der Reihe nach: Sony hat die Sensorgröße der Kamera nicht verändert. Sie liegt immer noch bei einem Zoll, was der Bildqualität zugutekommt, auch wenn 20 Megapixel darauf verteilt sind. Die Lichtempfindlichkeit reicht bis ISO 12.800. Die wichtigste Änderung liegt beim Objektiv.

Das neue Objektiv ist mit f/1,8 im Weitwinkel- beziehungsweise f/2,8 im Telebereich deutlich lichtstärker, reicht aber nur noch bis 70 mm Brennweite (Kleinbildformat). Den unteren Brennweitenbereich hat Sony auf 24 mm erweitert. Die älteren Modelle arbeiten mit einer Brennweite von 28 bis 100 mm (KB) mit f/1,8 beziehungsweise f/4,9. Die fehlenden Millimeter nach oben hin fallen je nach Gewohnheiten beim Fotografieren mehr oder minder stark auf. Wer gerne Übersichtsaufnahmen macht, wird sich über den größeren Weitwinkel freuen.Das Zoomen übernimmt entweder ein kleiner Hebel am Auslöser oder der Kameraring. Der besitzt noch immer keine spürbaren Einrastungen, sondern dreht frei, was den Gewohnheiten entspricht. Doch der Ring kann auch mit anderen Funktionen belegt werden, um zum Beispiel die Blende, die Verschlussgeschwindigkeit oder gar Bildeffekte einzustellen. Hierbei nervt es, wenn durch eine leichte Bewegung die Einstellung verändert werden kann, ohne dass es ein mechanisches Feedback gibt. Das Problem bestand bereits bei den beiden Vorgängermodellen und wurde in der Presse heftig kritisiert, leider ohne Reaktion Sonys.

Die Kamera ist mit zahlreichen Knöpfen übersät, die aufgrund der Gesamtgröße sehr klein ausfallen mussten. Fotografen mit großen Fingern wird es schwerfallen, die Kamera blind zu bedienen.Auf der Vorderseite befinden sich nur das Objektiv und die orangefarbene LED, die dem Autofokus bei Bedarf zur Seite steht. Sie ist sehr grell, lässt sich aber abschalten. Die linke Kameraseite enthält lediglich den Entriegelungsmechanismus für den elektronischen OLED-Sucher, der in der Deckplatte versenkt ist. Er schnellt nach oben und muss ausgezogen werden, damit er benutzt werden kann. Die kompakte Bauform erfordert hier offensichtlich Kompromisse.Der Sucher ist hell, recht klein aber fix. Nur bei sehr schlechtem Licht verzögert er merklich, sonst reagiert er sehr schnell. Gerade bei starker Sonneneinstrahlung ist er zur Motivkontrolle und auch bei der Menüsteuerung unverzichtbar, da das 3 Zoll (7,62 cm) große Display nicht hell genug ist, um es vernünftig abzulesen. Beim Zurückschieben des Suchers wird aus unverständlichen Gründen die Kamera abgeschaltet. Das ist ärgerlich, weil der Neustart mitsamt Objektivvorschub etwas mehr als eine Sekunde dauert.

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March 27, 2017

Batterie Acer Aspire Timeline AS1410

Si l'on compare la Surface Pro à une tablette Android haut de gamme, les variations de prix sont plus nombreuses. En général, les tablettes Android offrent plus de mémoire, à moindre coût, que l'iPad d'Apple. Par exemple, la tablette Nexus 10 de Google coûte 499 dollars HT en version 32 Go. De même pour la Galaxy Note 10.1 de Samsung, qui dispose d'un numériseur pour la saisie au stylet, comme la Surface Pro. Idem, pour le Transformer Pad Infinity d'Asus. Parmi ces trois tablettes cependant, seule l'Asus propose une version 64 Go, au prix de 600 dollars HT environ, et il faut payer 150 dollars HT de plus pour la station d'accueil avec clavier qui comprend aussi un port USB, un lecteur de carte SD et une batterie supplémentaire. Ce qui fait un total de 750 dollars HT pour cette configuration. La Surface Pro se situe donc au-dessus en terme de prix, mais là encore, elle devrait offrir de meilleures performances et une plus grande polyvalence.

Il est intéressant de remarquer que l'iPad ne permet pas de faire tourner des applications MacOS, et que l'Asus ne peut faire tourner que des applications Android. La Surface Pro permettra d'exécuter des applications Windows 8, soit en mode desktop, soit sous l'interface Windows « métro ».En tant que tablette, le prix de la Surface Pro ne semble pas excessif, bien que celle-ci se situe quand même à l'extrémité supérieure de l'échelle de prix. Mais, si l'on regarde les spécifications de plus près, la Surface Pro n'est pas tout à fait une tablette. Celle-ci intègre un processeur Core i5, 4 Go de RAM, un port USB 3.0, un slot pour carte mémoire flash, et même un mini-connecteur DisplayPort. La Surface Pro ressemble plus à un Ultrabook tactile avec stylet, mais sans clavier. Il semblerait bien que la Surface Pro corresponde à la description que faisait Bill Gates de la tablette PC : « le PC est une tablette ».

La Surface Pro a beaucoup de points communs avec les hordes d'ordinateurs portables hybrides arrivés sur le marché et tournant sous Windows 8. Les différences sont mineures, par exemple le port USB unique de la Surface Pro. Si l'on regarde l'Aspire S7 d'Acer, qui intègre un processeur Core i7, celui-ci offre également un affichage en 1080p et pèse 1,3 kilo. La Surface Pro de Microsoft (moins de 1 kg), pèsera, avec sa Cover (250 grs) moins que l'Aspire S7, pour à peu près les mêmes performances.Le prix de la Surface Pro est en fait très attractif au regard du prix de certaines autres tablettes fonctionnant sous Windows. Les Series 7 de Samsung affichent un écran légèrement plus grand (11,6 pouces contre 10,6 pouces pour la Surface Pro) et leur prix démarre à 1149 dollars pour un système Core i5 avec 128 Go de stockage, 4 Go de mémoire, et un clavier. À côté de cela, la propre tablette Surface RT de Microsoft, qui tourne sur un processeur ARM Nvidia, coûte de 699 dollars, avec la Touch Cover.Un argument fort pourrait être de dire que la tablette Surface Pro est tout simplement un ultrabook sans clavier, avec un stylet en plus. Mais Microsoft ne veut pas commercialiser sa tablette comme un PC ou comme un ultrabook, mais en tant que Surface Pro. Le nom et la segmentation sont importants, car la manière dont une entreprise commercialise son produit montre aussi comment elle veut qu'il soit perçu.

La Surface RT est le premier produit commercialisé avec l'appellation Surface (on met de côté les ordinateurs de table Surface pour le moment, qui restent des produits de niche). Personne ne met en doute le fait que la Surface RT est une tablette. Son prix est dans l'ordre de grandeur des tablettes haut de gamme, elle est mince et légère comme la plupart des tablettes équivalentes, et son autonomie est comparable. Mais, parce que la Surface RT est construite autour d'un processeur ARM Tegra 3 de Nvidia, il n'est pas possible de faire tourner des applications x86 sur cette tablette. Le danger n'est pas nul de voir la tablette Surface Pro mise sur le même plan que la Surface RT. Si Microsoft dit que c'est une tablette, alors ce doit être une tablette. Au prix fixé par l'entreprise de Redmond pour la Surface Pro, les gens qui cherchent une tablette sans regarder les spécifications vont probablement ignorer la Surface Pro, uniquement sur le critère du prix. Même si, là encore, ce n'est pas seulement une question de prix.

La large avance des écosystèmes d'Apple et d'Android est aussi un facteur d'attraction important pour les utilisateurs. Il est peu probable que les acheteurs potentiels de tablettes prennent en compte la vaste gamme d'applications de bureau Windows, puisque la firme de Redmond ne cesse de vanter les progrès de son offre d'applications dans le Windows Store. Mais un stock de 20 000 applications semble assez marginal par rapport aux près de 730 000 applications iOS et aux plus de 570 000 applications Android.Les utilisateurs de PC bien informés, qui identifient la tablette Surface Pro pour ce qu'elle est vraiment - un PC déguisé - pourraient se tourner vers elle. Il y a fort à parier aussi que la plupart de ces utilisateurs achèteront au minimum la Type Cover, et peut-être un clavier Bluetooth complet. Les entreprises peuvent également considérer la Surface Pro avec intérêt, dans la mesure où Microsoft a intégré dans le système de sa tablette des capacités de gestion intéressant les entreprises, comme elle l'a fait dans n'importe quel PC. Celles-ci pourront y installer tous les logiciels que leurs salariés souhaitent utiliser, puisque le Surface Pro est un PC sous Windows à part entière.

Finalement, ce qui risque de tuer la tablette c'est son nom de Surface lui-même, et non le produit en tant que tel. La Surface Pro semble avoir les qualités d'un PC pour faire tourner Windows 8. Mais si les acheteurs potentiels la perçoivent comme une simple tablette trop chère, Microsoft pourrait se retrouver avec un grand nombre de stocks excédentaires et la prochaine assemblée générale de l'éditeur pourrait être très mouvementée. Largement équipés en appareils high-tech, les Français sont près de quatre sur dix à disposer d'un smartphone et 15% d'une tablette selon l'Étude Télécom 2012 de Deloitte.En France, 41% des téléphones portables sont désormais des smartphones. Le système d'exploitation le plus populaire est Android (39%), devant iOS (27%), BlackBerry (9%) et Windows Phone (4%). Globalement, 40% des personnes interrogées par Deloitte utilisent actuellement un téléphone Samsung, 17% un Nokia et 12% un Apple. Le marché de l'équipement high-tech touche aujourd'hui la grande majorité de la population. Ainsi 78% des français possèdent un appareil photo numérique, ce qui en fait l'appareil électronique le plus populaire, devant l'ordinateur portable (71%) et le mobile classique (64%). Suivent à égalité le smartphone et le baladeur Mp3 (39%). Au final, seuls 3% des français interrogés ne possèderaient aucun de ces appareils high-tech.

En seulement un peu plus de deux ans, la tablette a déjà conquis 15% de la population. Selon cette étude, l'iPad est la tablette la plus répandue en France, avec respectivement 27% de parts de marché pour l'iPad 2, 14% pour l'iPad original et 5% pour le nouvel iPad. L'ensemble des tablettes Samsung représenteraient 13% du marché et celles d'Archos l'équivalent de 11%.Le taux de multi-équipement est très élevé chez les propriétaires de téléphones et consoles de jeux portables, puisqu'ils sont 35% à en posséder au moins deux modèles. Ce taux baisse à 29% pour les baladeurs Mp3, à 27% pour les appareils photo numériques, à 26% pour les ordinateurs portables et à 25% pour les smartphones. Les propriétaires de tablettes sont quant à eux déjà 11% à en posséder plusieurs.

Dans l'année qui vient, 26% des français prévoient d'acheter un smartphone (contre 10% seulement un autre type de téléphone portable) et 14% une tablette. A l'inverse, seules 2% des personnes interrogées envisagent d'acheter une liseuse électronique. Ils sont au total 55% à ne prévoir aucun achat dans les douze mois qui viennent. Selon une étude publiée par Forrester, 60% des responsables informatiques en France augmentent les budgets mobilité. Le Byod prend donc une place toujours plus importante dans les entreprises.60% des responsables informatiques en France augmentent leurs budgets mobilité pour soutenir l'activité de leurs salariés, selon le rapport « Benchmarking Your Enterprise Mobile Device Operations Initiatives And Plans » publié le 15 octobre 2012 par le cabinet Forrester Research. Dans le même temps, 64% des entreprises se concentrent sur l'amélioration des supports de la mobilité pour leurs salariés, leurs partenaires et leurs consommateurs. Un tiers des entreprises françaises interrogées obtiennent des budgets supplémentaires pour financer les terminaux et applications mobiles.

Au niveau Européen, 67% des salariés peuvent choisir leurs smartphones professionnels dans le monde du travail. Les utilisateurs de tablettes sont 70% à choisir celles qu'ils utilisent dans le cadre de leurs activités professionnelles. En questionnant plus profondément les actes des entreprises et des responsables informatiques vis-à-vis de l'émergence du Bring Your Own Device (BYOD), il ressort que 33% des entreprises françaises se concentrent sur le développement d'une politique globale d'entreprise afin de faire face à l'émergence de ce phénomène.Toujours à ce propos, seulement 16% des sociétés françaises ont mis en place des boutiques d'applications spécialement développées par leurs soins pour leurs salariés. Mais les employés se servent encore massivement de plusieurs équipements. 66% des personnes interrogées utilisent quotidiennement deux appareils ou plus pour leurs activités professionnelles, incluant PC, ordinateurs portables, smartphones et tablettes. Cette étude a été réalisée auprès de plus de 2 300 décideurs de la mobilité et presque 5 000 collaborateurs utilisateurs en Amérique du Nord et en Europe.

De la taille d'une grosse clé USB, le mini-terminal MK802, du Chinois Rikomagic, combine un processeur ARM et l'OS mobile Android 4.0. Il peut aussi fonctionner sous différentes distributions de Linux via une carte microSD. Proposé autour de 70 dollars comme le Mele A1000, il se place entre le Raspberry Pi et le Cotton Candy.Au cours des derniers mois, pas moins de trois PC miniatures sous Linux, vendus pour quelques dizaines de dollars, ont fait les gros titres. Un quatrième vient de s'ajouter à cette liste. Après le Raspberry Pi, le Cotton Candy et le Mele A1000 (petit terminal à base d'ARM vendu avec Android mais pouvant être configuré pour fonctionner avec Ubuntu), voici venir le MK802 du fabricant chinois Rikomagic, basé à Shenzhen. De la taille d'une grosse clé USB (8,8 x 3,5 x 1,2 cm), ce micro PC s'utilise avec Android 4.0 et Linux. Sur le site de son fournisseur, il est présenté comme un dispositif permettant d'exploiter la plateforme de télévision Internet Google TV.

Intégrant une connectivité WiFi et WAPI (Ralink818 , le dernier arrivé est vendu 74 dollars, équipé du processeur SoC mono-coeur ARM AllWinner A10 Cortex A8, cadencé à 1,5 GHz, et d'une mémoire vive DDR3 à haute capacité de 512 Mo. Il exploite un processeur graphique MALI400, dispose de 4 Go de stockage flash, d'un port microSD, de deux ports USB (l'un de taille standard, l'autre micro) et d'une sortie vidéo HDMI 1080p (il faut ajouter un câble HDMI). On peut déjà le trouver en vente sur un site comme Aliexpress. Les utilisateurs pourront recourir à un clavier virtuel sous Android, ou bien adjoindre au MK802 une souris sans fil et un clavier. Ce qui est particulièrement intéressant, c'est de pouvoir exploiter ce mini-PC avec Ubuntu, Debian ou une autre distribution Linux, par l'intermédiaire d'une carte microSD à partir de laquelle le terminal peut démarrer.

  1. http://akkusmarkt.comunidades.net/
  2. https://akkusmarkt.quora.com/
  3. http://folgenden.jugem.jp/
  4. http://www.bloghotel.org/enablesyou/

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Akku Toshiba Satellite Pro L450

In diesem Jahr dürfen die Autos zwei Hybridsysteme haben. Es gibt vier Hybridklassen, die sich durch die Menge der zurückgewonnenen Energie unterscheiden: 2, 4, 6 oder 8 MJ pro Runde. Die Teams können sich für eine entscheiden. Allerdings: Je nach Menge der elektrischen Energie wird der Treibstoff und dessen Durchfluss beschränkt.Audi beherrscht die Langstreckenserie klar seit 2000. In diesem Jahr treten die Ingolstädter erneut mit dem R18 E-Tron Quattro an, der aber gegenüber dem Vorjahr überarbeitet wurde.Der R18 E-Tron Quattro, der für die 2-MJ-Klasse gemeldet ist, wird von einem 6-Zylinder-Turbodiesel mit einer Leistung von 395 kW an der Hinterachse angetrieben - Audi setzt bei den Prototypen bereits seit längerem auf einen Turbodiesel als Antrieb. 2006 trat der Hersteller erstmals mit einem solchen Fahrzeug, dem R10 TDI, in Le Mans an und holte prompt den Gesamtsieg. Es war das erste Mal, dass ein Auto mit Dieselmotor dieses Rennen gewann.Inzwischen ist zu dem Turbodiesel eine MGU hinzugekommen. Sie hat eine Leistung von etwa 170 Kilowatt (kW) und wirkt auf die Vorderachse. Die Energie für die MGU wird beim Bremsen gewonnen. Allerdings verwendet Audi als Speicher keinen Akku, sondern ein Schwungrad. Die kinetische Energie wird in Strom gewandelt, der wiederum ein Schwungrad antreibt, das in einem Vakuumgehäuse untergebracht ist und mit 45.000 Umdrehungen in der Minute rotiert.

Entwickelt hat das System das britische Unternehmen Williams Hybrid Power, eine Abteilung des Williams-Formel-1-Teams, die kürzlich an das britische Unternehmen GKN Land Systems verkauft wurde. Anders als die Konkurrenten setzte Williams 2009 beim Kers auf einen kinetischen Speicher. Der kam in der Formel 1 wegen technischer Schwierigkeiten jedoch nie zum Einsatz.Audi zeigt aber, dass der Schwungradspeicher durchaus funktionstüchtig ist: Schon beim ersten Auftritt 2012 landeten die Audi-Hybridrenner in Le Mans beide auf dem Podium - vor dem praktisch baugleichen R18 Ultra mit einem konventionellen Turbodiesel.In der Saison 2014 wollte Audi den Hybrid-R18 zusätzlich mit einer MGU-H ausstatten. Bei Tests Anfang des Jahres zeigte sich aber, dass die zweite MGU nicht die gewünschte Leistung brachte. Zudem befürchtete Audi, das System könne nicht zuverlässig genug sein, hat deshalb auf die MGU-H verzichtet.Am Steuer der drei Audis sitzen in diesem Jahr unter anderem die ehemaligen DTM-Fahrer Filipe Albuquerque, Oliver Jarvis, Marcel Fässler und Tom Kristensen. Der Däne hat neunmal in Le Mans gewonnen und ist damit einer der erfolgreichsten Langstreckenfahrer. Seine Teamkollegen sind die beiden ehemaligen Formel-1-Fahrer Marc Gené und Lucas di Grassi.

Ihre Gegner sind unter anderem Alexander Wurz und Anthony Davidson, die beide früher in der Formel 1 fuhren, sowie die künftigen Formel-E-Piloten Stéphane Sarrazin und Sébastien Buemi. Sie alle gehen mit den beiden Prototypen Toyota in die Rennen um die WEC.TS040 Hybrid heißt der Bolide von Toyota, dessen Rennteam seinen Sitz in Köln hat. Anders als Audi setzt Toyota auf einen Benzinsaugmotor mit acht Zylindern und einer Leistung von 382 kW. Hinzu kommt je eine MGU an der Vorder- und der Hinterachse, die zusammen eine Leistung von 354 kW haben. Sie speisen zusammen 6 MJ pro Runde ein. Als Energiespeicher hat der TS040 Superkondensatoren. Die können schneller ge- und entladen werden als ein Akku. Außerdem haben sie eine längere Lebensdauer, überstehen also mehr Ladezyklen. Dafür haben sie eine geringere Energiedichte als Akkus, können also bei gleichem Gewicht weniger Energie speichern.Mit seinen knapp 740 kW, etwa 1.000 PS, ist der TS040 aktuell der am stärksten motorisierte Rennwagen für Rundstreckenrennen, also abgesehen von Dragstern, die Beschleunigungsrennen auf einer geraden Strecke fahren. Damit will Toyota schaffen, was dem Vorgänger TS030 Hybrid versagt blieb. In den vergangenen beiden Saisons unterlag Toyota nämlich Audi klar: 2012 fielen beide in Le Mans eingesetzten Autos aus. 2013 kam nur einer von zwei Toyotas in Le Mans ins Ziel. In beiden Jahren unterlag Toyota Audi auch in der Meisterschaft. In der aktuellen Saison sieht es besser für das Team aus Köln aus: Toyota liegt vor Audi. Allerdings sind erst drei von acht Rennen gefahren.

In Le Mans jedoch lag Audi vorn. Scheinbar uneinholbar in Führung liegend, fiel der eine Toyota nach etwa 14 Stunden aus. Und so gewannen die Ingolstädter auch in diesem Jahr - zum wiederholten Mal: Seit 2000 stand in Frankreich nur zweimal kein Audi-Team ganz oben auf dem Podium.In dieser Saison haben die beiden Hersteller zudem Konkurrenz aus Zuffenhausen bekommen: Porsche, in den 1970er und 1980er Jahren bereits sehr erfolgreich, ist in die Prototypen-Serie zurückgekehrt.919 Hybrid heißt der Wagen, mit dem Porsche in der WEC antritt. Er ist damit der Nachfolger des legendären 917, mit dem Porsche 1970 den ersten Le-Mans-Sieg schaffte und dessen Ausführung 917/30 Spyder aus dem Jahr 1973 mit über 1.100 PS, also 810 kW, als der am stärksten motorisierte Rennwagen für Rundstreckenrennen gilt. Im Vergleich dazu ist 919 Hybrid geradezu bescheiden: Er hat einen 4-Zylinder-Benzinmotor mit Turbolader und zwei MGUs. Der Verbrennungsmotor hat eine Leistung von mehr als 370 kW, die MGUs von zusammen etwa 185 kW. Der Porsche-Antrieb ähnelt dem der Formel 1: Die MGU-K wandelt kinetische Energie beim Bremsen in elektrische. Die MGU-H hängt am Turbolader und gewinnt die Energie aus dem Abgasstrom. Porsche setzt also das System ein, das Audi für zu anfällig hält.

Die gewonnene elektrische Energie wird in einem Lithium-Ionen-Akku gespeichert. Sie wird an die MGU abgegeben, die an der Vorderachse sitzt. Das elektrische System des Porsche speist wie das von Toyota 6 MJ ein. Einen anderen Weg haben die Zuffenhausener für ihren ersten Hybridrenner gewählt: 2010 stellte Porsche auf der Automesse in Detroit den 997 GT3 R Hybrid vor. Der 997 GT3 R ist ein seriennaher Tourenwagen, der mit einem zusätzlichen Hybridantrieb ausgestattet wurde. Dieser Hybrid-Tourenwagen hat keinen Akku als Energiespeicher, sondern ein Schwungrad - das System von Williams, das Audi in seinem R18 nutzt.Für die beiden 919 Hybrid sah es in Le Mans anfangs gut aus: Webber und seine beiden Kollegen lagen lange auf dem zweiten Platz. Als der Audi vor ihnen wegen eines technischen Problems an die Box musste, übernahmen sie sogar die Führung. Nach über 22 Stunden mussten aber beide Teams innerhalb kurzer Zeit ihre Porsches abstellen.Aus der Box 56 startete in diesem Jahr der japanische Hersteller Nissan mit einer sehr avantgardistischen Konstruktion.Die Box 56 gibt es erst seit einigen Jahren, und sie ist technisch innovativen Autos vorbehalten. Der Starter wird eingeladen und tritt außer Konkurrenz an. In diesem Jahr war das Nissans Zero Emission On Demand Racing Car (Zeod RC). Das Auto ist schon von der Form her höchst ungewöhnlich: Es hat einen fast dreieckigen Grundriss - die Hinterräder stehen deutlich weiter auseinander als die Vorderräder. Das Auto kommt ohne einen Heckflügel aus und erzeugt Abtrieb durch einen Diffusor.

 

Angetrieben wird es von einem 3-Zylinder-Turbomotor mit einer Leistung von knapp 295 kW und zwei MGUs, die jeweils eine Leistung von 110 kW haben. Der Verbrennungsmotor dient gleichzeitig dazu, den Lithium-Ionen-Akku des Autos zusammen mit dem MGUs zu laden.Der Veranstalter des Rennens, der Automobile Club de l'Ouest (ACO), hatte es Nissan zur Auflage gemacht, dass der Zeod die letzte Runde vor jedem Boxenstopp rein elektrisch fahren sollte. Zwar fiel das Auto schon relativ früh im Rennen mit einem Getriebeschaden aus. Es schaffte aber eine rein elektrische Runde - die in Le Mans immerhin über 13,6 Kilometer lang ist - und erreichte dabei eine Höchstgeschwindigkeit von über 300 km/h. Für die Saison 2015 hat Nissan einen regulären LMP1-H-Boliden angekündigt. Mit der Hybridtechnik besinnen sich die Hersteller auf die alte Rolle des Motorsports zurück: Der war nämlich ursprünglich das Terrain, auf dem Entwicklungen getestet wurden, die anschließend in die Serie einflossen. Das soll auch künftig wieder so werden. Einige Komponenten des 2014er Antriebsstrangs könnten für die Serie interessant sein, sagt Mercedes, der elektrifizierte Turbo beispielsweise oder die Akkus.

Mit dem Akoya P2213T zeigt Medion ein neues Windows-Convertible, dessen abnehmbare Tastatur in einem Winkel von bis zu 300 Grad aufgestellt werden kann. Außerdem kann die Tablet-Einheit mit Bay-Trail-Prozessor komplett abgelöst werden.
Medion hat ein neues Windows-Tablet mit abnehmbarer Tastatur vorgestellt: Das Akoya P2213T hat ein 11,6 Zoll großes Full-HD-Display und eine vollwertige QWERTZ-Tastatur mit großem Touchpad. Die Tastatureinheit dient gleichzeitig als zusätzlicher Akku und Speicherplatz und kann bis zu einem Winkel von 300 Grad ausgeklappt werden. Die Tablet-Einheit hat 128 GByte eingebauten Flash-Speicher und 8 GByte Arbeitsspeicher. Der Prozessor ist ein Pentium N3540 von Intel, ein SoC mit Silvermont-Kernen und Bay-Trail-Architektur. Die Taktrate beträgt 2,16 GHz. Das Tablet kann komplett von der Tastatur-Einheit gelöst und separat verwendet werden.Die Tastatur des Akoya P2213T hat zusätzlichen Speicher eingebaut: 1 TByte HDD-Speicher befinden sich in der dadurch mit 11,5 mm etwas dicken Tastatureinheit. Auch ein Zusatz-Akku ist eingebaut: Mit diesem soll das Convertible auf eine Laufzeit von bis zu zehn Stunden kommen. Das Drehgelenk ermöglicht es, die Tastatur weit nach hinten zu klappen, um sie als Ständer für das Tablet zu nutzen.

Die Tablet-Einheit kommt mit einem Eingabestift, dessen Technologie Medion nicht benennt. Das Tablet verfügt über einen USB-3.0-Anschluss, einen HDMI-Ausgang sowie einen Kartenleser für SD- und Micro-SD-Karten. Die Tastatur hat zusätzlich zwei weitere USB-2.0-Anschlüsse.Das Akoya P2213T wird mit Windows 8.1 ausgeliefert, eine Testversion von Office 365 ist vorinstalliert. Zudem befinden sich zahlreiche Medion-Programme auf dem Tablet, beispielsweise die Home Cinema Suite.Die Tablet-Einheit des Akoya-Convertibles ist 299 x 194 x 10 mm groß und wiegt 710 Gramm; die Tastatur misst 299 x 222 x 11,5 mm und wiegt 890 Gramm. Das Akoya P2213T soll ab dem vierten Quartal 2014 für 400 Euro erhältlich sein. Frühestens im Oktober 2014 wird Oneplus das Vorbestellsystem für das One-Smartphone fertig haben. Wann es dann regulär ausgeliefert wird, ist weiterhin unbekannt. Demnächst soll eine fehlende Funktion nachgeliefert werden.
Oneplus arbeitet noch immer an einem System zur Vorbestellung des One-Smartphones, erklärten die Macher auf Reddit. Allerdings wird es noch mindestens bis Oktober dauern - und dann wird es das One-Smartphone nur zum Vorbestellen geben. Wie lange Käufer dann auf die Auslieferung des Geräts warten müssten, ist nicht bekannt.

Somit bietet der Hersteller das Cyanogenmod-Smartphone weiterhin nur per Einladung an - ohne Einladung kann es nicht gekauft werden. Das hat viele Interessenten an dem Gerät verärgert, in vielen Foren zeigen Betroffene immer weniger Verständnis dafür. Vor mittlerweile vier Monaten wurde das One-Smartphone vorgestellt und eine allgemeine Verfügbarkeit ist noch immer nicht absehbar. Noch im Juni 2014 hieß es von Oneplus, mit den Vorbestellungen im dritten Quartal 2014 zu beginnen. Diesen Termin kann der Anbieter aber nicht einhalten. Der neue Zeitplan sieht nun frühestens den Beginn des vierten Quartals 2014 vor. Gründe für die erneute Verzögerung sind nicht bekannt.Als das One-Smartphone Ende April 2014 vorgestellt wurde, war eine Funktion genannt worden, die bis heute nicht bereitgestellt wurde. Und zwar soll es sich per Sprachbefehl aus dem Standby aufwecken lassen. Der Hersteller arbeite weiterhin daran, aber es wird noch mindestens einen Monat dauern, bis die Funktion angeboten wird. Dann wird es mindestens fünf Monate her sein, dass das Gerät damit beworben wurde.

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Akku TOSHIBA Satellite L670

Als System on a Chip verbaut Lenovo Intels Atom Z3745 mit vier Silvermont-Kernen (bis zu 1,86 GHz) und HD Graphics. 2 GByte Arbeitsspeicher und 16 GByte eMMC mit Option auf bis zu 64 GByte runden das Paket ab. Durch den integrierten 4.290-mAh-Akku soll das Tab S8 rund 6,5 Stunden durchhalten.Die rückwärtige Kamera mit Blende f/2.2 hat 8 Megapixel und die Frontkamera 1,6 Megapixel. Somit sind nur mit der größeren Kamera 1080p-Videos möglich, was für den Preis üblich ist. Lenovo bringt das Tab S8 im vierten Quartal 2014 für 200 Euro in den Handel, dieses Modell bietet Bluetooth 4.0 und WLAN nach n-Standard. Das Tablet läuft mit Android 4.4 alias Kitkat.Zusätzlich gibt es eine teurere LTE-Variante mit Intels XMM7160-Funkmodul. Beide Versionen des Tab S8 gibt es in den Farben schwarz, weiß, blau und gelb.Mit der iPhone-Wärmebildkamera Flir One können Datendiebe offenbar spielend leicht PIN-Nummern an Geldautomaten oder Kassenterminals auslesen. Doch es gibt einen Weg, sich zu schützen.
Mit der in den USA bereits erhältlichen iPhone-Wärmebildkamera Flir One lassen sich offenbar auf einfache Weise PIN-Nummern an Geldautomaten und Kassenterminals ausspähen. Wie das genau funktioniert, zeigt ein Youtube-Video.

Die Flir One sieht auf den ersten Blick aus wie ein Akku-Case. Auf der Rückseite befindet sich jedoch eine Kamera, die Wärmebilder aufnehmen und im iPhone speichern kann. Die Linse ist dabei empfindlich genug, um auch zu erkennen, wenn etwas kurz vorher angefasst wurde.Hat jemand einen Geldautomaten benutzt, reicht es, anschließend ein Foto von dem Keypad zu machen. Die Fingerabdrücke sind laut Video bis zu etwa einer Minute nach Benutzung sichtbar. Der Wärmegrad verrät dabei sogar, in welcher Reihenfolge die Tasten gedrückt wurden. Das Auslesen funktioniert dabei offenbar besser bei Plastiktasten, weil Metalltasten die Wärme schneller abgeben.Es ist nicht das erste Mal, dass Wärmekameras eingesetzt werden, um PIN-Nummern auszuspähen. In der Vergangenheit kosteten die dafür verwendeten Geräte allerdings mehrere tausend Dollar und waren deutlich größer. In den USA kostet die Flir One 349 US-Dollar und ist optisch nicht von einem normalen iPhone-Case zu unterscheiden.Um sich gegen das Auslesen zu schützen, reicht es allerdings, nach der Benutzung zufällige Tasten zu drücken.

Die Ora-X von Optinvent soll nicht nur ein höher aufgelöstes Display als Googles Glass bieten, sondern auch ein breiteres Sichtfeld. Obendrein verspricht Optinvent eine lange Akkulaufzeit und bietet die Ora-X für günstige 300 US-Dollar an.
Das schlagende Argument der Ora-X ist ihr Preis: Hersteller Optinvent verlangt nur 300 US-Dollar für die Datenbrille. Ausgeliefert wird sie aber erst im August 2015 und nur, wenn die Kickstarter-Kampagne erfolgreich beendet wird. Diese dient nicht in erster Linie dazu, die Consumer-Version zu verkaufen, sondern dazu, die für Entwickler gedachte Variante Ora-1 zu verteilen. Diese kostet mit 600 US-Dollar immer noch deutlich weniger als die derzeit 1.500 US-Dollar teure Google Glass.Technisch ähnelt die Ora-1 dieser, ein paar Unterschiede gibt es aber: Unter dem linken Bügel befindet sich der Akku, dieser soll die Brille bei alltäglicher Nutzung acht oder bei durchgehender Verwendung vier Stunden lang mit Energie versorgen. Das wäre deutlich länger als die rund zwei Stunden der Google Glass.

Unter dem rechten Bügel sitzt die Hardware: Angetrieben wird die Ora-1 wie die Glass durch einen Omap-Chip mit zwei Cortex-A9-Kernen und einer PowerVR-Grafikeinheit. Zusätzlich ist 1 GByte Arbeitsspeicher verbaut. Die Ora-1 bietet zudem ein Mikrofon, WLAN nach n-Standard, Bluetooth 4.0, GPS, einen Beschleunigungssensor und ein Gyroskop. Die Steuerung erfolgt mittels eines Trackpads, die eingebaute Kamera bietet 5 Megapixel und ermöglicht somit 1080p-Videos.Interessant ist das Display oder besser gesagt das durch ein Glasprisma projizierte Bild: Dieses löst laut Optinvent mit 640 x 480 Pixel auf, das horizontale Sichtfeld soll 24 Grad betragen. Zum Vergleich: Die Google Glass bietet 640 x 360 Pixel und 23 Grad. Überdies wirbt Optinvent mit sehr hellen 3.000 cd/m2 und einer automatischen Tönung bei Sonnenlicht. Das Glasprisma ist für eine bessere Sicht nach unten klappbar.Auf der Ora-1 läuft Android 4.4.2 (Kitkat), zudem sind Augmented-Reality-Apps wie der Wikitude AR Browser bereits vorinstalliert. Die Entwicklerversion der Datenbrille soll im Dezember 2014 ausgeliefert werden. So bleibt ein gutes halbes Jahr, bis die Consumer-Version Ora-X erhältlich ist.

In einigen Serien wird der Motorsport wieder zum Experimentierfeld für die Serie: Neben der Formel 1 werden auch die Le-Mans-Prototypen von Hybridmotoren angetrieben. Da das Reglement weniger strikt als in der Formel 1 ist, können die Hersteller unterschiedliche Antriebskonzepte verfolgen. In Kürze beginnt die erste Saison der Formel E, in der elektrisch angetriebene Formel-Rennwagen gegeneinander antreten. Das Auftaktrennen der leisen, sauberen Renner findet am 13. September 2014 in der chinesischen Hauptstadt Peking statt. Die Formel E ist aber nicht die einzige Rennserie, der der Weltauto- und Motorsportverband Fédération Internationale de l'Automobile (FIA) neue Antriebe verordnet hat: Die Formel 1 und die Le-Mans-Prototypen (LMP) sind mit Hybridmotoren unterwegs.Einen ersten Anlauf gab es in der Formel 1, als die Teams 2009 ein kinetisches Energierückgewinnungssystem (Kinetic Energy Recovery System, Kers) einführten. Die Autos bekamen ein System, das kinetische Energie beim Bremsen in elektrische wandelte und den Strom in einem Akku speicherte. Die Fahrer konnten diese dann als Zusatzschub abrufen - um die Rundenzeit zu verbessern, ein Ãœberholmanöver zu starten oder sich gegen einen Konkurrenten zu verteidigen.Nur einige Teams setzten ein solches System ein, und in der Saison 2010 war es wieder verschwunden. Ab 2011 bekamen die Fahrer dann den Zusatzschub: Pro Runde standen ihnen 6,7 Sekunden lang zusätzlich 60 Kilowatt (kW), etwa 82 PS, zur Verfügung.

Der neue Antrieb ist allerdings deutlich komplexer. Ziel ist es, Motoren effizienter zu gestalten. So müssen die Formel-1-Boliden 2014 mit einem Drittel weniger Treibstoff auskommen als im Vorjahr: Statt 150 Kilogramm muss ein Fahrer ein Rennen mit 100 Kilogramm Treibstoff bestreiten - die Formel 1 bemisst die Treibstoffmenge in Kilogramm, nicht in Litern. Das Motorenreglement für 2014 sieht zudem sechs statt acht Zylinder und nur noch 1,6 Liter Hubraum vor. Die Drehzahl ist auf 15.000 Umdrehungen begrenzt.Mehr Leistung bekommt der kleinere Motor durch einen Turbolader und ein Energierückgewinnungssystem (Energy Recovery System, ERS), das den Fahrern 33 Sekunden lang etwa 120 kW zusätzlich zu den 600 PS des Verbrennungsmotors zur Verfügung stellt. Das ERS besteht aus der MGU-K (Motor Generator Unit Kinetic - Motor-Generator-Einheit, kinetisch), auch ERS-K genannt, und der MGU-H oder ERHS-H (H steht für Heat, Wärme). Erstere wandelt wie das alte Kers, wenn der Fahrer bremst, kinetische Energie in elektrische und speist sie in einen Akku ein. Die MGU-H ist mit dem Turbo gekoppelt und speichert Energie, die über den Bedarf des Turboladers hinausgeht. Jede MGU darf pro Runde etwa 2 Megajoule (MJ) direkt auf die Hinterachse einspeisen. Zudem dürfen sich die beiden MGU gegenseitig mit Energie versorgen. So kann die MGU-K die MGU-H antreiben, die ihrerseits den Turbo antreibt. Die Turbine bekommt dann auch im unteren Drehzahlbereich Leistung - die fehlt bei einem konventionellen Turbo, wenn die Abgase noch nicht genug Druck erzeugen.

Herausgekommen ist ein Hybridturboantrieb - laut dem Mercedes-Formel-1-Team - "der komplexeste Antriebsstrang, der je im Motorsport gefahren ist", wie ein Mercedes-Vertreter Golem.de zu Anfang der Saison erklärte. Mit dem technischen Meisterwerk können sich allerdings nicht alle anfreunden.Drei Hersteller - Ferrari, Mercedes und Renault - haben einen eigenen Antriebsstrang entwickelt und beliefern die elf Teams. Die Entwickler haben unterschiedlich gute Arbeit geleistet: Mercedes hat den Antrieb im Paket mit dem Auto am besten hinbekommen. Statt Sebastian Vettel liegen in diesem Jahr Lewis Hamilton und Nico Rosberg vorn - derzeit mit leichtem Vorteil für den Deutschen. Auch das zuletzt arg gebeutelte Traditionsteam Williams ist dank des Mercedes-Antriebs wieder zurück auf dem Podium.Die Antriebe von Ferrari und Renault hingegen kommen an den von Mercedes nicht heran. Allenfalls Daniel Ricciardo und Fernando Alonso konnten sich damit anfreunden und Punkte holen. Sebastian Vettel, noch Weltmeister, hätte am liebsten einen Zwölf-Zylinder-Saugmotor ohne irgendwelche Extras.

Dass diese Zeiten zurückkommen, ist jedoch unwahrscheinlich. Im Gegenteil: Es hat sich ein neuer Hersteller gefunden, der einen Hybridmotor bauen will. Honda will nach einigen Jahren der Abstinenz wieder zur Formel 1 zurückkehren. Die Japaner werden ab 2015 wieder die Boliden von McLaren mit Motoren ausstatten. Diese Paarung war schon in der Vergangenheit überaus erfolgreich: Von 1988 bis 1991 gewann McLaren-Honda jeweils die Fahrer- und die Konstrukteursmeisterschaft.Wie Red-Bull-Fahrer Vettel können sich auch viele Fans mit den Neuerungen nicht so recht anfreunden. Viele stören sich am Klang: Die Motoren drehen nicht mehr so hoch wie früher, weshalb der Sound ganz anders ist, als sie es gewohnt sind. Allerdings bietet die aktuelle Saison so viele Zweikämpfe und Überholmanöver wie lange nicht mehr.Die Bedingungen, die ein solcher Antrieb aushalten muss, sind zuweilen hart: Vor allem in Malaysia oder Singapur setzt die Hitze ihnen arg zu. Doch ein Formel-1-Rennen dauert im Höchstfall zwei Stunden. Da sind die Motoren in der Langstreckenweltmeisterschaft der FIA (World Endurance Championship, WEC) ganz anderen Belastungen ausgesetzt. Seit 2012 wird auf der Langstrecke mit Hybridantrieb gefahren.

Die WEC umfasst acht Läufe und wird nach Zeit, nicht nach Rundenzahl respektive Entfernung gefahren: Es gewinnt nicht, wer nach einer bestimmten Rundenzahl als erster die Zielflagge sieht, sondern wer nach der vorgegebenen Zeit die meisten Runden gefahren hat. Sieben Rennen sind jeweils sechs Stunden lang. Hinzu kommt eine der ältesten und prestigeträchtigsten Motorsportveranstaltungen: das 24-Stunden-Rennen von Le Mans. Audi, Toyota und seit diesem Jahr auch Porsche treten in der WEC mit Hybridrennern an. Das Reglement für die LMP1-H, wobei das H für Hybridantrieb steht, macht vergleichsweise wenig Vorgaben: Gefahren wird mit geschlossenen Sportwagen. Das bedeutet, die Räder sind mit Radkästen verkleidet - anders als in den Formel-Serien, wo die Räder freistehen. Festgelegt sind etwa Größe und Mindestgewicht des Autos, das Tankvolumen sowie der Durchfluss des Treibstoffs. Das gibt den Konstrukteuren viele Möglichkeiten.Wie in der Formel 1 hat sich auch in der aktuellen WEC-Saison einiges geändert: Im vergangenen Jahr durften die Prototypen nur ein Hybridsystem haben, das 0,5 MJ in sieben Zonen einer Rennstrecke zurückgewinnen durfte. Die Energie musste vor dem Erreichen der nächsten Zone wieder eingespeist werden.

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March 25, 2017

Batterie Acer TravelMate TM5742-X732

Microsoft devrait augmenter de 15% les licences qui permettent aux utilisateurs d'accéder aux serveurs depuis autant de terminaux qu'ils le souhaitent. Ces prochains tarifs entreront en vigueur le 1erdécembre, mais les contrats de supports passés avant cette date resteront aux anciens tarifs jusqu'à l'expiration de leur contrat. Cette information a été dévoilée par un revendeur britannique sur son blog au mois d'octobre dernier.Pour Paul DeGroot, consultant chez Pica Communications, « les responsables IT vont vérifier dans les effectifs quels sont les périphériques utilisés pour accéder aux serveurs pour obtenir la meilleure offre ». Ainsi, il donne l'exemple d'un seul utilisateur avec un PC de bureau avec un serveur Exchange pour regarder les messages à l'extérieur, via son ordinateur portable ou son smartphone. Si l'entreprise prend en charge une licence d'accès client (CAL) pour chaque terminal, cela lui coûtera 297 dollars. Avec une CAL permettant d'utiliser un nombre illimité de terminaux reviendra à 114 dollars, malgré l'augmentation de 15%.

Parfois, il sera moins cher de payer une licence par terminal, si celui-ci est utilisé par de nombreux travailleurs pour accéder aux mêmes serveurs. Ainsi, une licence pour un PC dans un hôpital dont se servent les infirmières et les docteurs coûtera moins cher que l'achat de plusieurs licences utilisateurs. Pour le consultant, certaines entreprises utilisent une combinaison de CAL et de citer l'exemple d'une société minière où les terminaux sur le terrain sont utilisés par plusieurs personnes alors qu'au siège de l'entreprise, c'est l'inverse. Dans ce cas, il peut être judicieux de décider quel type de licence acheter en fonction de la localisation. Paul DeGroot concède que « ce n'est pas réellement adapté aux besoins, mais la traçabilité des licences serveurs est très difficile. Il est donc plus facile de les gérer selon leur localisation ».

Cette hausse des prix s'explique par la consumérisation de l'IT et l'arrivée croissante des terminaux personnels dans l'entreprise. « Il s'agit d'une réaction prévisible à cette montée en puissance des smartphones et des tablettes en entreprise », souligne le consultant. Le cabinet d'analyste, Constellation Research, avait demandé des commentaires à Microsoft qui lui a confirmé ces changements, ainsi que la date et justifie sa politique « le prix des licences d'accès client utilisateur va changer pour refléter l'apport de plus de valeur ». Il s'agit aussi d'un élément stratégique pour Microsoft, car la majeure partie des revenus de certains produits serveurs provient des licences et non du prix du serveur.Selon le blog du partenaire anglais, l'augmentation va porter sur les licences serveur de : Bing Maps Server, Core Suite, Enterprise Suite, Exchange Server Standard and Enterprise, Lync Server Standard and Enterprise, Project Server, SharePoint Server Standard and Enterprise, System Center 2012 Client Management Suite, System Center Configuration Manager, System Center Endpoint Protection, Visual Studio TFS, Windows Multipoint Server, Windows Server, Windows Server RDS, RMS, Terminal Services.

Selon un autre blog, les licences serveurs ne sont pas les seules concernées par la hausse des prix, plusieurs produits seraient aussi impactés. Ainsi Microsoft proposerait une version unique de SharePoint Server 2013, soit selon certains sites une augmentation de 38% par rapport à SharePoint 2010. Pour Lync Server 2013, la version standard à 695 dollars disparaîtrait au profit de la seule entreprise à 3 646 dollars. Du côté de Visio, la premium serait arrêtée pour ne garder que les versions standards et entreprise, avec une hausse respective des tarifs de 20 et 5%. Enfin, la firme de Redmond ajouterait Visio et Project dans Office 365 avec une hausse de 5 à 8% du prix en fonction de son type d'abonnement. Sorti au Japon il y a deux semaines déjà, New Super Mario Bros. 2, le dernier volet des aventures du plombier moustachu sur la console portable 3DS, insiste sur les vertus de l'épargne.

Les concepteurs de New Super Mario Bros 2 incitent les joueurs à terminer le titre plusieurs fois afin de mettre la main sur le million de pièces jaunes qu'il contient. Une tâche pas si dantesque que ça, au vu de la profusion de pièces dans le jeu. En effet, sur les 621 000 exemplaires du jeu écoulés au Japon entre le 28 juillet et le 5 août, Nintendo a annoncé que 242 personnes sont devenues millionnaires en pièces jaunes, et que la communauté de joueurs avait accumulé un total de dix milliards de pièces. Le mode deux joueurs a été amélioré, et Nintendo lance le bonus fleur d'or, reprend le costume de raton-laveur de Super Mario Bros. 3 et la fonctionnalité StreetPass, récompensant les gamers qui se déplacent avec leur 3DS.New Super Mario Bros 2 sera le troisième jeu Mario de l'année sur 3DS, après les épreuves sportives de Mario & Sonic aux Jeux olympiques de Londres 2012 et Mario Tennis Open. Avant la fin de l'année, un autre titre porté par la mascotte de Nintendo va s'ajouter au catalogue de la 3DS : Paper Mario: Sticker Star. En attendant, les propriétaires de 3DS peuvent incarner le plombier dans Mario Kart 7 et Super Mario 3D Land, tous deux sortis à la fin 2011. Le constructeur japonais vient grossir le cercle des fabricants d'ultrabooks avec sa gamme Vaio T.

Dotés d'un processeur Intel Core i3-2367M (Sandy Bridge ), les Sony Vaio T revendiquent l'appellation ultrabook. Ils sont donc presque légers (1,6 kg) et peu volumineux (17,8 mm) et disposent d'une autonomie de neuf heures. Fabriqué pour supporter les trajets fréquents, ce PC portable sera proposé en versions 11,6" et 13,3" (T11 et T13, respectivement). Au menu : webcam HD intégrée, lecteur SD/MMC, pavé tactile, et démarrage rapide. Rien de révolutionnaire mais des prix qui devraient être plus doux que les subnotebooks de la marque. La gamme Vaio T Series sera disponible au mois de mai, mais les prix n'ont pas encore été officiellement annoncés. Deux projets pilotes ont été menés par Areva Energies Renouvelables pour déployer une application mobile équipant les techniciens de maintenance appelés à intervenir sur des éoliennes ainsi que les opérateurs d'entrepôt de stockage.

Areva Energies Renouvelables est en train de monter en puissance sur la production d'éolienne off-shore et de déployer un parc d'éoliennes dont il s'agira d'assurer la maintenance. Pour ce faire, deux projets ont été menés en parallèle. Leur objectif : mettre en oeuvre une solution mobile intégrée à SAP, qui est la colonne du SI d'Areva. Il s'agit donc de respecter des standards internes qui spécifient par exemple que la gestion des stocks, des achats et des commandes doit être centralisée dans l'ERP. Le cahier des charges impose également un fonctionnement en mode connecté et déconnecté, ainsi qu'un déploiement sur des petits terminaux durcis. Fonctionnellement, il s'agit de gérer de bout en bout toutes les interventions liées à la maintenance, avec une description fine de la base installée, jusqu'à la structure des turbines des éoliennes. La solution doit en outre gérer des codes-barres afin d'identifier les matériels et les lieux d'intervention.

Pour le premier pilote, le choix s'est porté sur L-Mobile, un petit éditeur allemand prêt à adapter en profondeur sa solution. Cet acteur préconise l'utilisation d'un terminal durci sous Windows CE. Cet équipement embarque une base de données qui est synchronisée soit avec un PC portable (via le mécanisme ActiveSync de Microsoft), soit directement avec SAP, par le biais de l'infrastructure SAP NetWeaver Process Integration. Le développement du backend et l'intégration avec SAP n'ont pas représenté un travail énorme. « La plus grande difficulté s'est concentrée sur les écrans », affirme Christophe Merlen, Customer Program Manager chez Areva Renouvelables.Le deuxième pilote repose sur une solution fournie par l'éditeur Mobisys, également allemand, qui comprend un add-on déployé sur l'infrastructure SAP et une application Mobisys installée sur des terminaux durcis sous Windows Mobile Pro 6.5. Elle prend la forme d'écrans prédéveloppés qu'il s'agit juste de personnaliser. Les écrans applicatifs n'affichent que les informations dont l'utilisateur a besoin et activent directement des transactions SAP utilisées pour la gestion d'entrepôts de stockage. Le mode off-line pourra à l'avenir être supporté grâce à un stockage des données en local, en attendant une resynchronisation dès que le réseau sera à nouveau disponible.

Le choix entre les deux pilotes n'est pas encore finalisé mais la décision penche en faveur du second. « La solution de Mobisys évite la création d'un référentiel de données en dehors de SAP. De plus, elle se révèle plus facile à maintenir et plus évolutive », explique Olivier Janiaud, directeur en charge des SI chez Areva Energies Renouvelables. Elle pourrait en effet répondre à d'autres besoins comme la gestion de production ou des expéditions. Ces futurs projets passeraient vraisemblablement par le développement de nouveaux écrans, grâce au Developer Kit que fournit Mobisys.L'Asus Taichi est un ultrabook double-écran capable de se transformer en tablette. Le Taichi est disponible en version 11,6 et 13,3 pouces et fonctionne sous Windows 8. L'appareil dispose d'un écran haute résolution 1920 x 1080 pixels, d'un clavier rétro-éclairé et d'un pavé tactile. Il intègre un processeur Intel 3e génération. Son prix et sa date de sortie sont encore inconnus. L'orchestre belge a fait le choix de remplacer les partitions des musiciens par des tablettes. Une évolution qui s'explique aussi par des économies sur le papier.Le Brussels Philharmonic ambitionne de devenir le premier orchestre au monde à abandonner les partitions en papier pour passer au tout numérique, ce qui lui permettra de réaliser d'importantes économiques et de faire évoluer les méthodes de travail de ses musiciens.

Pour lancer cette mue, les 92 musiciens de l'orchestre bruxellois ont joué cette semaine, sous la direction du chef français Michel Tabachnik, le boléro de Ravel et des extraits de Wagner en suivant les partitions sur des tablettes posées sur leurs pupitres. « C'était un concert test, qui a satisfait tout le monde, les musiciens comme le public. Notre objectif est de passer progressivement au tout-numérique dans les prochaines années », a expliqué jeudi à l'AFP Gunther Broucke, l'administrateur du Brussels Philarmonic.Pour ce projet, l'orchestre travaille avec le groupe sud-coréen Samsung, qui a fourni des tablettes Galaxy Note 10.1, et une jeune start-up belge, NeoScores, qui développe un logiciel innovant spécifiquement destiné aux musiciens.« La musique classique doit, elle aussi, s'adapter à son époque. Depuis des siècles, le fonctionnement d'un orchestre a très peu évolué: les musiciens utilisent des partitions manuscrites puis imprimées, ce qui rend long et complexe la préparation des concerts », explique M. Broucke. « Pour abandonner totalement le papier, il reste encore du travail à faire, notamment dans la numérisation du répertoire classique », souligne-t-il.

Jouant plus de 100 concerts par an, le Brussels Philarmonic évalue à 25 000 euros les économies en papier qu'il pourrait réaliser. Outre ces économies, l'utilisation des tablettes devrait changer les méthodes de travail, notamment du chef d'orchestre, qui pourra tourner les pages de la partition pour l'ensemble ou une partie des musiciens.La France a atteint un parc total de 70,4 millions de cartes SIM en circulation au deuxième trimestre, soit un taux de pénétration de 107,9% par rapport à la population au niveau national, selon l'Observatoire trimestriel de l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep) publié jeudi. Au deuxième trimestre, 900.000 nouvelles cartes Sim ont été vendues, soit une croissance de 6,7% sur un an. Au premier trimestre le nombre de cartes SIM avait déjà fait un bond de 6,1% par rapport à l'année précédente. Les opérateurs de réseaux métropolitains (Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange France et SFR) ont eux gagné 695 000 clients, soit un total de 60,1 millions de clients. L'arrivée de Free, un quatrième opérateur sur le marché du mobile, avec des tarifs très agressifs a contribué à une baisse des prix généralisée qui a sensiblement changé le visage de l'offre proposée aux consommateurs par tous les opérateurs.

  1. http://blogs.elle.com.hk/akkusmarkt/
  2. http://wwwakkusmarktcom.doodlekit.com/blog
  3. http://akkusmarkt.bravesites.com/
  4. http://akkusmarkt.blogs.lalibre.be/

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Akku Sony VGP-BPS8A

Daewoo Shipbuilding and Marine Engineering gehört zusammen mit Hyundai Heavy Industries und Samsung Heavy Industries zu den größten Werften der Welt. Die Daewoo-Werft baut unter anderem die Schiffe der sogenannten Triple-E-Klasse für die dänische Reederei A. P. Møller-Mærsk. Diese Schiffe sind 400 Meter lang und haben eine Kapazität von 18.000 Standardcontainern. Damit sind sie aktuell die größten Containerfrachter.Kyocera hat sein Saphirglas-Outdoorsmartphone Brigadier offiziell vorgestellt. Dabei bestätigen sich die vorher bekannt gewordenen technischen Daten: Das Smartphone hat ein 4,5-Zoll-Display, einen Snapdragon-400-Prozessor und dürfte äußerst widerstandsfähig sein.
Kyoceras neues Outdoorsmartphone Brigadier ist ab sofort erhältlich: Beim US-Netzbetreiber Verizon ist das widerstandsfähige Smartphone für 400 US-Dollar ohne Vertrag bestellbar - das sind umgerechnet knapp 300 Euro. Besonderes Merkmal des Brigadier ist das 4,5 Zoll große Display aus kratz- und stoßfestem Saphirglas, das mit 1.280 x 720 Pixeln auflöst.

Wie im Vorfeld ebenfalls bereits bekannt wurde, ist das Brigadier zudem nach IP68 gegen Wasser und Staub geschützt. Damit ist das Smartphone staubdicht und kann unbegrenzt lange unter Wasser gehalten werden - auch wenn Verizon selbst nur von bis zu 30 Minuten spricht. Das mit 136,4 x 68,3 x 13,2 mm großzügig dimensionierte Gehäuse dürfte weiteren Schutz bieten. Das Smartphone wiegt 187 Gramm.Im Inneren arbeitet ein Snapdragon-400-Prozessor mit einer Taktrate von 1,4 GHz, der Arbeitsspeicher ist wie bereits angenommen 2 GByte groß. Der eingebaute Flash-Speicher hat eine Größe von 16 GByte, ein Steckplatz für Micro-SD-Karten ist eingebaut.Das Brigadier unterstützt neben GSM- und UMTS-Netzen auch LTE. WLAN beherrscht das Smartphone nach 802.11a/b/g/n und dem schnellen ac, Bluetooth läuft in der Version 4.0. Ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut. Auf der Rückseite befindet sich eine 8-Megapixel-Kamera, die Frontkamera hat 2 Megapixel.

Ausgeliefert wird das Brigadier mit Android in der Version 4.4. Der nicht ohne weiteres wechselbare Akku hat eine Nennladung von 3.100 mAh und soll eine Standby-Zeit von über 15 Tagen ermöglichen.Das Brigadier ist aktuell ausschließlich über Verizon erhältlich. Ob das Smartphone auch nach Deutschland kommen wird, ist unbekannt.Für das modulare Smartphone Project Ara von Google muss eine eigene Android-Version erstellt werden, hat der Linaro-Chef dem US-Magazin Networkworld berichtet. Die neuen Funktionen sollen später upstream verfügbar werden.
Das Android-Betriebssystem für Googles Project Ara muss speziell an die Bedürfnisse des modularen Smartphones angepasst werden, wodurch ein zeitweiliger Fork von Android entsteht, wie George Grey, Vorstandschef von Linaro, dem US-Dienst Networkworld erklärt hat. Hauptgrund ist die Umsetzung der erwünschten Plug-and-Play-Funktionen, die mit den Modulen einhergehen. Wenn man einen größeren Akku hinzufügt, muss Android diesen erkennen, das Symbol aktualisieren, und dann hält das Smartphone länger durch, sagte Grey dem Magazin. Um diese Funktionalität zu erreichen, müssen einige interessante Änderungen an Android vorgenommen werden.

Weiter heißt es, Android könne zwar bereits Plug-and-Play für Bestandteile wie SD-Karten, hinzukommen müsse dies aber noch für den Speicher, die Kamera oder weitere Module, die typischerweise in einem Smartphone verbaut sind. In einem klassischen Linux-System ist der Wechsel von Hardware wie etwa PCI-Geräten seit langem kein Problem mehr.Darüber hinaus arbeite das Team an der Umsetzung der Unipro-Treiber. Dieses Unified Protocol diene der Kommunikation der Bestandteile untereinander und werde ähnlich wie USB funktionieren, so dass Module aufgrund verschiedener Treiberklassen wie Netzwerk, Sensor oder Eingabe erkannt werden. Für Module externer Entwickler, die Android nicht erkennt, müssen eigene Treiber geschrieben werden.

Zum Erstellen dieser externen Teile stellt Google das Module Developers Kits (MDK) bereit, dessen finale Veröffentlichung für Ende dieses Jahres geplant ist. Wahrscheinlich ist auch dann mit dem Erscheinen des Betriebssystems zu rechnen. Details zu dem Termin oder der verwendeten Android-Version gibt Grey nicht bekannt. Alle Funktionen für Ara sollen später im Hauptzweig von Android eingepflegt werden. HTC hat in Japan das J Butterfly vorgestellt, das in der verbauten Hardware sehr dem One (M ähnelt. Bei der Dual-Kamera und dem Gehäuse hat der Hersteller das Smartphone allerdings aufgewertet. Mit dem J Butterfly hat HTC eine Variante seines aktuellen Topsmartphones One (M vorgestellt. Das J Butterfly hat wie das One einen 5-Zoll-Bildschirm mit 1080p, einen Snapdragon-801-Prozessor mit einer Taktrate von 2,5 GHz und die Dual-Kamera mit zwei Linsen auf der Rückseite.
Anstelle der 4-Megapixel-Kamera des One (M setzt HTC beim J Butterfly allerdings auf eine 13-Megapixel-Kamera. Diese hat auch keine Ultra-Pixel, dürfte dementsprechend also weniger lichtempfindlich sein als die des One (M . Dafür dürfte die Bildqualität aufgrund der höheren Pixelzahl etwas besser sein.

Bei der Kunststoffvariante One (E hat HTC bereits eine 13-Megapixel-Kamera eingebaut, allerdings ohne die zweite Linse zur Tiefenschärfemessung. Dank dieser können Nutzer des J Butterfly wie beim One (M im Nachhinein den Fokuspunkt neu setzen. Die Frontkamera hat 5 Megapixel.Ein weiterer Unterschied zum One (M ist das Gehäuse: Das J Butterfly ist nach IP55 und IP57 gegen Wasser und Staub geschützt und kann bis zu 30 Minuten lang in einer Tiefe von einem Meter unter Wasser aushalten. Ob das Gehäuse dennoch aus Metall ist, wird aus den technischen Spezifikationen des Smartphones nicht klar.Das J Butterfly hat einen 2 GByte großen Arbeitsspeicher und 32 GByte Flash-Speicher. Neben GSM, UMTS und LTE unterstützt das Smartphone WLAN nach 802.11a/b/g/n und dem schnellen Standard ac. Bluetooth läuft in der Version 4.0, ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut.Ausgeliefert wird das J Butterfly mit Android in der Version 4.4, die Unterversion gibt HTC nicht bekannt. Darauf installiert der Hersteller seine eigene Benutzeroberfläche Sense, die auch beim J Butterfly mit der Nachrichtenübersicht Blinkfeed kommt.

Das J Butterfly ist 145 x 70 x 10 mm groß und wiegt 156 Gramm. Der eingebaute Akku hat eine Nennladung von 2.600 mAh und soll im LTE-Netz eine Standby-Zeit von fast 18 Tagen ermöglichen.Das J Butterfly ist ab dem 19. August 2014 exklusiv beim japanischen Netzbetreiber KDDI erhältlich. Ob das Smartphone auch nach Deutschland kommen wird, ist unbekannt. Das vormals auch nur in Japan vorgestellte Butterfly hatte HTC nach einigen Monaten auch noch nach Deutschland gebracht.Der chinesische Hardwarehersteller hat den Prototyp einer Internetbrille vorgestellt, die Google Glass Konkurrenz machen soll. Der weltgrößte PC-Produzent will vor allem mit der Batterielaufzeit punkten. Der chinesische PC-Hersteller Lenovo will mit einer eigenen Internetbrille gegen Google Glass antreten. Am 30. Juli 2014 stellte der Konzern einen Prototyp vor, der dem Google-Modell in vielen Punkten gleicht.Wie bei Glass wird bei dem Lenovo-Modell das Display auf ein kleines Prisma aus Acryl projiziert, das sich am rechten Auge des Nutzers befindet. Prozessor und Arbeitsspeicher sitzen ebenfalls wie bei Glass am rechten Brillengestell. Lenovo setzt für seine Brille auf eine 5-Megapixel-Kamera und einen 12GB-Speicher. Vorgesehen ist die Steuerung durch Sprachbefehle und Gesten.

Größter Pluspunkt ist laut Lenovo die Batterie, die anders als bei dem Modell von Google nicht im Gerät selbst, sondern am Nacken des Trägers sitzt und über ein kurzes Kabel mit der Brille verbunden ist. Der größere Akku soll eine längere Laufzeit ermöglichen.Weitere Details sind bislang nicht bekannt. Lenovo kündigte an, im Oktober genauere Angaben machen zu wollen. Erste Hinweise gab eine im vergangenen Monat veröffentlichte Patentanmeldung. Die Patentansprüche beziehen sich jedoch ausschließlich auf Tonaufnahmen, die durch Knochenleitung ans Ohr gebracht werden. Ob die Technologie in dem Prototyp zum Einsatz kommt, ist unklar.Der Prototyp ist Teil von Lenovos NBD-Projekt, das sich auf die Entwicklung von internetfähigen Geräten wie Kühlschränken oder Toastern konzentriert. Als Beispiel nannte Lenovo einen drahtlosen Router, der zusammen mit anderen chinesischen Firmen entwickelt wurde und über ein Mobilgerät fernzusteuern ist. Gemeinsam mit dem deutschen Hersteller Luftmed arbeiten die Chinesen an einem per Smartphone bedienbaren Luftreiniger.

Der weltgrößte PC-Hersteller arbeitet nach eigenen Angaben mit Partnern zusammen, um Kosten bei der Entwicklung und Produktion zu sparen. Es gibt jetzt zu viele verschiedene Gerätetypen, die man für das Internet der Dinge entwickeln kann, erklärte Senior Vice President Chen Xudong seine Strategie dem Magazin PC World. Es gibt keine Firma, die das alles allein stemmen kann.Nokia hat in China eine verbesserte Variante des Android-Smartphones XL vorgestellt, obwohl Microsoft gerade erst Nokias Android-Versuche für beendet erklärt hat. Das Smartphone unterstützt nun LTE und hat einen Quad-Core-Prozessor. Nokia hat in China das XL 4G vorgestellt, eine verbesserte Version des auf dem Mobile World Congress 2014 gezeigten XL. Das überrascht, denn Microsoft hat gerade erst Nokias Android-Versuche für beendet erklärt. Stattdessen sollen bestimmte Nokia-X-Produkte zu Lumia-Produkten mit Windows Phone gemacht werden, wie Microsoft-Chef Satya Nadella in einer Mitteilung erklärte.

Das Nokia XL 4G besitzt im Gegensatz zum normalen Modell einen mit 1,2 GHz getakteten Qualcomm Snapdragon 400 MSM8926, der Arbeitsspeicher ist nicht mehr 768 MByte, sondern 1 GByte groß. Das Smartphone unterstützt nun auch LTE, allerdings nur im Netz des chinesischen Mobilfunkbetreibers China Mobile. Die deutschen LTE-Bänder werden nicht unterstützt. Ansonsten ist die Ausstattung wie beim normalen XL von Nokia. Das Display ist 5 Zoll groß und löst mit mageren 800 x 480 Pixeln auf. Der interne Speicher ist mit 4 GByte knapp bemessen, ein Micro-SD-Kartenslot ist vorhanden. Die 5-Megapixel-Kamera besitzt einen LED-Blitz und auch eine Frontkamera für Videotelefonie ist verbaut. Der Akku des 190 Gramm schweren Nokia-Smartphones besitzt eine Nennladung von 2.000 mAh.Die Oberfläche des installierten Android 4.1 ist stark angepasst und unterscheidet sich deutlich von der eines herkömmlichen Android-Smartphones. Sie erinnert an Windows Phone. Nokia hat außerdem auf die Einbindung von Google verzichtet, stattdessen ist ein eigener Appstore vorhanden.

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Akku Samsung X30

Die Technologie soll es möglich machen, Geräte auch dann aufzuladen, wenn sie etwa in der Handtasche oder Hosentasche getragen werden. "Damit ist Aufladen so einfach wie eine WLAN-Verbindung", sagte Gründerin Meredith Perry im Interview mit der New York Times. Die 25-jährige Amerikanerin hatte die Technologie ursprünglich für einen Wettbewerb an ihrer Universität entwickelt.Die Ladestationen sollen nicht dicker als fünf Millimeter sein und wie eine Tapete an der Wand angebracht werden können. Smartphones und Laptops müssen mit einem Empfänger ausgestattet sein, der die Audiowellen in Strom umwandelt.Laut Ubeam könnte die Technologie in Zukunft auch dafür sorgen, dass Geräte und Akkus deutlich dünner werden, weil sie nahezu ununterbrochen aufgeladen werden könnten und entsprechend geringere Ladekapazitäten benötigten. "Wenn überall drahtloser Strom zur Verfügung steht, dann muss der Akku nicht mehr besonders groß sein", sagte Perry. Auch Ladekabel und Adapter für Steckdosen im Ausland könnten mit der Ubeam-Technologie in Zukunft überflüssig werden.

In der Akku-Technologie hat sich in den vergangenen Jahren wenig getan. Die Leistungen verbesserten sich nur geringfügig und setzen dem Design und der Nutzung von Smartphones und Laptops nach wie vor enge Grenzen. Bestehende Drahtlos-Systeme funktionieren nur mit sehr geringer Reichweite. Bei den Verbrauchern stößt die Technologie deshalb auf wenig Interesse.Innerhalb der kommenden zwei Jahre will Ubeam seine Technologie auf den Markt bringen. Neben einer Version für den Betrieb im eigenen Haus plant Ubeam auch eine Variante für den Betrieb in Stadien, an Flughäfen oder in Messehallen. Die Firma will ihre Geräte auch an Hotels oder Kaffeeketten verkaufen.Die Technologie soll laut Ubeam auch die sichere Übertragung von Daten ermöglichen. Das könnte vor allem für die wachsende Zahl an Haushaltsgeräten interessant sein, die mit dem Internet kommunizieren. Dort gilt die Datensicherheit bislang noch als große Schwachstelle.

Allerdings gibt es noch Grenzen für den Einsatz. Laut Ubeam funktioniert die Übertragung der Wellen derzeit nicht durch Häuserwände. Anders als ein WLAN-Router müssen Nutzer also in jedem Raum einen eigenen Transmitter installieren, um die Technologie dort nutzen zu können.Ubeam hat in den USA inzwischen 18 verschiedene Patente für seine Technologie beantragt. Die Firma hat in einer ersten Runde 1,7 Millionen US-Dollar gesammelt. Zu den Geldgebern gehören unter anderen Yahoo-Chefin Marissa Mayer und das Unternehmen Andreessen Horowitz. Derzeit läuft eine weitere Serie-A-Runde.Microsoft bringt das Surface Pro 3 am 28. August 2014 in 25 weiteren Märkten in den Handel - unter anderem auch in Deutschland. Das Tablet kann ab sofort vorbestellt werden, die Preise starten ab 800 Euro.
Microsoft hat offiziell bekanntgegeben, dass das neue Surface Pro 3 ab dem 28. August 2014 in Deutschland erhältlich sein wird. Das 12-Zoll-Tablet mit ansteckbarer Tastatur wird zum gleichen Zeitpunkt zudem in weiteren 24 Märkten erhältlich sein, unter anderem auch in Österreich und der Schweiz.

In Deutschland hat der Vorverkauf des Surface Pro 3 bereits begonnen: Auf der Produktseite des Tablets kann das Gerät bereits vorbestellt werden, die Auslieferung soll laut Microsoft ab dem 28. August erfolgen. In der günstigsten Ausstattung mit Intel-i3-Prozessor, 4 GByte Arbeitsspeicher und 64 GByte internem Speicher kostet das Surface Pro 3 800 Euro. In der teuersten Ausstattungsvariante mit Intel-i7-Prozessor, 8 GByte RAM und 512 GByte Speicher liegt der Preis bei 1.950 Euro.Das Surface Pro 3 hat erstmals ein 12,5 Zoll großes Display. Dieses löst mit 2.160 x 1.440 Pixeln auf. Der eingebaute Akku soll Laufzeiten von bis zu neun Stunden ermöglichen. Wie die Vorgänger hat das Surface Pro 3 einen USB-3.0-Anschluss und einen Mini-Display-Port.In einem ersten Kurztest von Golem.de hat das Surface Pro 3 einen sehr guten Eindruck hinterlassen. Obwohl das neue Surface größer als sein Vorgänger ist, wirkt es aufgrund des dünneren Gehäuses leichter. Der ausklappbare Ständer ist jetzt bis etwa 150 Grad verstellbar, was zusätzliche Arbeitspositionen erleichtert. Beim ersten Surface Pro konnte der Ständer nur in eine Position geklappt werden, beim zweiten Modell wurde erstmals eine zweite Position eingeführt. Die Tastatur des Surface Pro 3 kann etwas in der Höhe verstellt werden, was beim Tippen angenehm ist.

Laut Analysten macht Microsoft mit seinen Surface-Tablets bisher noch keinen Gewinn. Computerworld hat errechnet, dass das Unternehmen im zweiten Quartal 2014 mit den Geräten einen Verlust von 363 Millionen US-Dollar gemacht haben soll - umgerechnet 272 Millionen Euro.Ricoh hat seine winzige Systemkamera Pentax Q mit dem S1-Modell weiterentwickelt. Das in 40 Varianten erhältliche, belederte Gehäuse soll an alte Zeiten erinnern. Der Autofokus der Kamera wurde zudem verbessert und kann nun auch bei Videos eingesetzt werden.
Die Pentax Q-S1 ist das neue Modell der Q-Serie. Dieses Miniatur-Kamerasystem mit Wechselobjektiven arbeitet mit Sensoren im Format 1/1,7 Zoll, die eine Auflösung von 12,4 Megapixeln und eine Lichtempfindlichkeit von ISO 12800 erreichen. Der beweglich aufgehängte Sensor mit einem Crop-Faktor von 4,7x wird zur Bildstabilisierung eingesetzt.Pentax hebt den Autofokus der Q-S1 hervor, der in den Bereichen Gesichtserkennung und Motivverfolgung verbessert wurde. Außerdem kann die Kamera nun während der Videoaufnahme (Full-HD) kontinuierlich scharf stellen. Mittlerweile gibt es acht Wechselobjektive für das Q-System.

Auf der Rückseite der Q befindet sich ein 3 Zoll (7,62 cm) großes Display mit 460.000 Bildpunkten Auflösung. Wer will, kann auch einen optischen Aufstecksucher kaufen, der den Bildausschnitt für das Standardobjektiv eingrenzt. Ricoh bringt in der Q-S1 auch noch einen winzigen Aufklappblitz mit einer Leitzahl von 7 (ISO 100) unter.Neben einer Belichtungsvollautomatik ist eine Motivprogrammfunktion für zahlreiche typische Fotosituationen eingebaut. Wer will, kann stattdessen auch die Programm-, Zeit- oder Blendenautomatik nutzen oder komplett manuell belichten. Die Kamera ermöglicht Belichtungszeiten von 30 Sekunden bis zu einer 1/8.000 Sekunde und kann auch Belichtungsreihen anfertigen.Die Ricoh Pentax Q-S1 misst 58 x 102 x 33,5 mm und wiegt mitsamt Akku 200 Gramm, der für rund 250 Aufnahmen gut ist, bevor er wieder aufgeladen werden muss. Das Gehäuse wird in den Farben Schwarz, Metall, Weiß und Gold verkauft. Dazu kommen acht Texturvarianten. Zudem wird das Standardobjektiv in vier Farben erhältlich sein. Wer will, kann über die Ricoh-Homepage die Farbkombis individuell einstellen und die Kamera vier bis sechs Wochen später beim Händler vor Ort abholen.

Kleinere, leistungsfähigere und beständigere Akkus soll eine Entwicklung von US-Wissenschaftlern ermöglichen: Sie haben nach eigenen Angaben eine sichere Anode aus Lithium konstruiert.
Forscher der Stanford Universität haben einen wichtigen Fortschritt für Lithium-Ionen-Akkus erzielt: Sie haben eine Anode aus Lithium konstruiert. Dadurch sollen die Akkus kleiner und leistungsfähiger werden.Heutzutage sind die Anoden in Akkus meist aus Silizium oder Graphit. Lithium eignet sich als Anodenmaterial aber besser, da es mehr Ionen aufnehmen kann. Es habe aber nicht nur eine hohe Energiedichte, sondern sei auch noch leicht. Manche bezeichneten Lithium deshalb als heiligen Gral der Akkutechnik, sagt Projektleiter Yi Cui.

Das Problem sei aber, dass Lithium Verästelungen ausbilde, schreiben die Forscher in der Fachzeitschrift Nature Nanotechnology. Diese sogenannten Dendriten beeinträchtigten die Leistungsfähigkeit eines Akkus. Sie können aber auch einen Kurzschluss herbeiführen, der das Ende des Akkus bedeutet. Zudem ist das Lithium sehr reaktiv - eine Lithium-Anode reagiert mit dem Elektrolyt, was die Lebensdauer des Akkus verringert.Die Wissenschaftler haben die Lithium-Anode mit einer einzelnen Lage aus Nanohohlkugeln aus Kohlenstoff mit einer Wandstärke von 20 Nanometern beschichtet. Die Nanosphären sind miteinander verbunden und erzeugen eine Bienenwaben-artige Struktur. Die Schicht umhüllt die Anode und unterbindet die unerwünschten Effekte."Die ideale Schutzschicht für eine Lithium-Anode muss chemisch stabil sein, um eine Reaktion mit dem Elektrolyt zu verhindern, und sie muss stabil genug sein, um der Ausdehnung des Lithiums beim Laden standzuhalten", erklärt Cui. Die von ihnen entwickelte Beschichtung erfülle beide Anforderungen.

Sie soll den Akku auch sicherer machen: Wenn das Lithium mit dem Elektrolyt reagiert, wird Wärme freigesetzt, was zu Überhitzen und Feuer führen kann. Die Schutzschicht sorgt dafür, dass das Lithium nur noch in geringem Maße mit dem Elektrolyt in Kontakt kommt. Dadurch soll auch die Feuergefahr verringert werden.Nach Angaben der Stanford-Forscher hat der Akku eine coulombsche Effizienz von 99 Prozent. Diese behält er auch nach 150 Ladezyklen. Die coulombsche Effizienz ist das Verhältnis zwischen der Ladung, die ein Akku beim Laden aufnimmt, und der Ladung, die er beim Entladen abgibt. Das Ziel von Cui und seinen Kollegen ist, einen Akku mit einer Effizienz von 99,9 Prozent zu entwickeln.Die Arbeit auf einer Werft ist körperlich sehr anstrengend. Das südkoreanische Schiffbauunternehmen Daewoo Shipbuilding and Marine Engineering entlastet seine Arbeiter mit einem Roboteranzug.
Der südkoreanische Mischkonzern Daewoo hat Arbeiter in seiner Werft mit Exoskeletten ausgestattet: Die Roboteranzüge sollen die Arbeiter beim Heben und Tragen schwerer Lasten unterstützen. Künftig sollen die Arbeiter mit leistungsfähigeren Exoskeletten ausgestattet werden, wie das britische Wissenschaftsmagazin New Scientist berichtet.

Ein solches Exoskelett besteht aus Beinschienen sowie einem Gerüst am Oberkörper. Das Exoskelett ist aus Aluminium, Stahl sowie kohlenstofffaserverstärktem Kunststoff konstruiert und wiegt 28 Kilogramm. Der Träger soll das Gewicht jedoch nicht spüren, da sich die Konstruktion selbst trägt. Ausgelegt ist es für eine Körpergröße zwischen 1,60 und 1,85 m.Die Gelenke des Exoskeletts werden hydraulisch oder von Elektromotoren angetrieben. Der Akku sitzt auf dem Rücken und hat eine Laufzeit von etwa drei Stunden. Je nach Aufgabe, die zu erledigen ist, kann das System mit zusätzlichen Modulen ergänzt werden, etwa einer Art Kran, der an dem Gerüst befestigt wird, um ein Werkstück zu heben und tragen.Seit gut einem Jahr testet Daewoo Shipbuilding and Marine Engineering die Exoskelette. Die Reaktion der Arbeiter sei durchweg positiv, sagte ein hochrangiger Mitarbeiter dem New Scientist. Sie hätten sich allerdings gewünscht, dass die Exoskelette größere Lasten tragen können und dass deren Bewegungsabläufe schneller werden. Sie planten jetzt Exoskelette mit einer Tragkraft von 100 Kilogramm.

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March 24, 2017

Batterie Toshiba PABAS098

L'année dernière, les prix des SSD ont chuté de 23 %, selon les données du cabinet spécialisé Dynamite Data. La société d'études a en effet surveillé l'état des prix, des rabais et des stocks de plus de 600 disques SSD individuels sur des centaines de sites de commerce électronique au cours des trois dernières années. En août dernier, la firme notait dans un blog que les SSD ont finalement brisé la barrière « magique » de 1 $ HT par gigaoctet de prix, en établissant «la nouvelle norme ». Le prix moyen des produits SSD était de 3 $ par gigaoctet en 2010, alors que les capacités dépassaient rarement les 128 Go. «Nous avons d'abord vu les SSD d'entrée de gamme atteindre le seuil de 1 $ en avril, avec des campagnes pour promouvoir ces rabais », selon Kristopher Kubicki, architecte en chef chez Dynamite Data, qui a publié un message sur le blog de l'entreprise : « Cependant, l'industrie a été très constante et très rapide dans son mouvement. Les plus gros acteurs et les nouveaux venus ont poussé vers le fond [les prix] de 1,5 $/GB $ à 1 $/GB en seulement quatre mois ! Nous connaissons actuellement la plus forte baisse du prix des SSD en trois ans», a-t-il ajouté. «Si l'histoire nous a appris quelque chose, nous allons maintenant voir les prix se stabiliser et la taille des SSD augmenter considérablement au cours des prochaines années. »

Le site DRAMeXchange, lui aussi spécialisé dans le stockage et la mémoire, a rapporté des baisses de prix similaires sur les SSD. En novembre, il indiquait que les tarifs des SSD étaient en baisse de 24 % depuis le début de l'année 2012. Dans le même temps, les prix des disques durs sont restés "gonflés" - soit environ 47 % supérieurs à ce qu'ils étaient avant les inondations de 2011 en Thaïlande. « Malgré le fait que les prix des disques durs soient restés élevés - couplé avec la baisse continue des SSD - les prix par Go des SSD de plus grande capacité (de 300 à 600 Go) sont actuellement neuf fois plus chers que les disques durs 1,8 pouce de 500 Go », a souligné Jessica Chang, analyste chez DRAMeXchange. Les SSD aujourd'hui sont beaucoup plus fiables, avec une plus grande endurance et de meilleures performances (dans certains cas, deux à trois fois meilleures) qu'en 2009.

Il faut également noter l'arrivée de nouvelles catégories de SSD. Par exemple, les disques hybrides combinent une mémoire cache de type flash NAND avec un disque dur à plateaux. En outre, pour suivre les dernières spécifications d'Intel pour les ordinateurs de type ultrabook, les fabricants commencent à produire des PC portables avec deux emplacements de stockage, l'un pour un disque dur et l'autre pour un SSD de faible capacité qui jouera le rôle de mémoire tampon pour accélérer le démarrage du système et réduire le temps de chargement des applications.Même avec ces baisses de prix spectaculaires, les mises à niveau de PC avec des SSD en seconde monte sont toujours considérées comme des achats de niche. « Bien que les disques durs et la mémoire ne soient pas très sexy, ils génèrent beaucoup plus de chiffres d'affaires que les SSD comme pièces de rechange », a précisé Ryan Chien de IHS.

Sur le marché des fabricants et des fournisseurs OEM, Intel et Samsung continuent de dominer le segment avec respectivement les places de n°1 et 2. Ils sont suivis par OCZ, Micron (Crucial) et Kingston, selon M. Chien. Pour les fournisseurs de SSD aux constructeurs de PC et de tablettes, les meilleurs joueurs sont Samsung, Toshiba, Intel, Micron, et Sandisk. Les livraisons aux fabricants de matériel restent le principal marché pour les SSD, précise encore l'analyste. «Samsung n'avait pas vraiment été un acteur important du second marché des SSD jusqu'à la sortie de ses modèles 830 SSD; la combinaison de prix agressifs et l'amélioration des performances du disque flash a toutefois assez rapidement propulsé le coréen vers le haut ». L'activité de cosmétologie de Fujifilm a déployé du Salesforce intégré par Neoxia, avec des développements hébergés sur Force.com. La connexion 3G disponible suffit aux commerciales de terrain, sans aucune nécessité de client lourd déconnecté.

La force commerciale d'Astalift s'appuie sur l'application de CRM dans le cloud de Salesforce.com. (illustration : site de la marque) La force commerciale d'Astalift s'appuie sur l'application de CRM dans le cloud de Salesforce.com. (illustration : site de la marque) La marque de cosmétiques Astalift existe depuis plusieurs années au Japon. Cette activité de Fujifilm se lance en Europe à partir de la France. Les produits de moyen-haut de gamme sont rendus disponibles en parfumeries sélectives Douglas et Nocibé. Pour vendre à ces boutiques, la marque Astalift dispose d'une force commerciale nomade. Celle-ci utilise une gestion commerciale hébergée dans le cloud et délivrée en mode SaaS, sous Salesforce. Des développements spécifiques ont été ajoutés et placés dans Force.com, la plateforme "as a service" de Salesforce.com. Le tout a été développé et intégré par Neoxia.« Nous n'avons reçu aucune demande de la part de nos commerciales pour des développements pouvant fonctionner en mode déconnecté, off-line. Aujourd'hui, le réseau 3G disponible en France est suffisant pour une telle application », indique Franck Bernard, directeur de la division Grand Public de Fujifilm France.

L'application est stratégique puisqu'elle est utilisée pour la gestion de la vente elle-même, le plan de tournée, le relevé de linéaires (et les calculs de parts de marché , les historiques de vente par magasin, les rapprochements entre le déclaratif des commerciales et le chiffre d'affaires effectif pour les calculs "d'incentives", etc. L'usage de l'application de messagerie instantanée Salesforce Chatter pour les échanges entre collaborateurs n'a pas, elle, nécessité d'intégration particulière.L'application a été développée pour proposer dans une même interface l'ensemble des fonctionnalités. Cette application est accessible aussi bien sur les ordinateurs portables des commerciales, leur Blackberry, l'iPad ou l'iPhone utilisés en BYOD (Bring Your Own device). Mis à disposition via l'application, les vidéos et les documents d'accompagnement à la vente sont en revanche chargés en local sur le terminal de la commerciale et non accédés à la volée. Alors que le prix des ultrabooks constitue encore un frein à leur adoption massive, HP vient de faire un pas vers leur plus grande démocratisation en lançant deux modèles à 749 et 799 dollars. Selon le site Digitimes, Apple préparerait de son côté une version « low-cost » de son MacBook Air à 799 dollars.

Selon une étude d'IHS iSuppli publiée en décembre dernier, les ventes d'ultrabooks (hors produits Apple) devraient représenter 43% des livraisons de PC dans le monde en 2015 contre 2% seulement en 2011. Mais, relevait alors le cabinet d'études, le prix élevé de ses ordinateurs ultra-portables constitue un frein au décollage encore plus important de leur diffusion. La situation semble toutefois évoluer dans le bon sens pour inciter plus de consommateurs à l'achat. HP vient en effet d'annoncer le lancement d'ultrabooks dont le prix serait d'environ 150 $ inférieur aux prix actuellement pratiqués tandis que des rumeurs circulent sur la mise sur le marché par Apple d'un MacBook air « à bas prix ».Présenté le 9 mai, l'Envy Ultrabook de HP sera proposé à un prix de 749 $ (580 &euro en version 14'' et 799 $ (620 &euro en version 15,6 '' (disponible en juin). Les deux modèles incluent des processeurs Intel (cahier des charges de l'ultrabook oblige) de dernière génération et propose une autonomie de 8 à 9 heures. L'ensemble est intégré dans une coque de 19,8 mm. Lors du lancement de ces deux modèles, HP a également présentés deux autres modèles d'ultrabooks, les Envy SpectreXT et le EliteBook Folio 9470m. Si le prix de ce dernier qui ne sera disponible qu'en juin n'est pas encore connu, on sait déjà que le SpectreXT sera commercialisé 999 $ (773 &euro , soit au-delà des 800 $ qui constitue le prix de vente plancher des ultra-portables.

Pour proposer un nombre de modèles plus important sous cette barre tarifaire, HP s'est associé à AMD pour proposer une nouvelle gamme de PC portables ultra légers et ultra fins. Ils ne peuvent cependant pas être qualifiés d'ultrabooks puisqu'équipés de processeurs AMD. Baptisés Envy Sleekbooks, ces produits sont également proposés en version 14'' et 15,6'' mais à des prix respectifs de 699 $ (540 &euro et 599 $ (462 &euro seulement, soit bien moins que les Envy Ultrabook. A la différence des produits respectant le cahier des charges des ultrabooks d'Intel, ceux-ci démarrent moins vite et sont un peu moins légers. En revanche, leur autonomie est la même que les Envy ultrabooks.

Confronté à une concurrence qui s'accroît de la part de nombre de constructeurs informatique et à des initiatives de baisse des prix telles que celle de HP, Apple semble vouloir réagir. Numéro un sur le segment des portables ultrafins avec son Macbook Air, le fabricant propose la version 13'' de son produit à 1440 € environ. En comparaison l'ultra-portable Aspire S3 d'Acer est vendu environ 780 € (version 13,3'') et le Portégé (version 13,3'') de Toshiba 980 €. Pour se mettre au diapason tarifaire de la concurrence, Apple pourrait lancer, selon le site Digitimes, un MacBook Air au prix de 799 $ (617 &euro . La mise sur le marché de l'ordinateur pourrait intervenir durant le troisième trimestre 2012. Après une période d'hésitation, HP a fait le choix de combiner ses activités PC et imprimantes dans une seule division. Le constructeur a montré le fruit de cette fusion à Shanghai avec pour le segment professionnel un focus sur les ultrabooks.

Après avoir rassuré sur la pérennité de l'activité PC en mars dernier en la fusionnant avec celle des imprimantes, HP a choisi Shanghai, un des plus gros marché du constructeur, pour convaincre de sa stratégie. « Cette union génère 65 milliards de dollars et vend un équipement toutes les 4 secondes dans le monde, soit 20 millions d'unités », précise Steve Hoffman, directeur du marketing monde chez HP. Pour montrer son retour sur le devant de la scène, HP a annoncé pas moins de 80 produits pro et grand public.Sur la partie professionnelle, la tendance de la consumérisation de l'IT est prise en compte en succombant au design ultrabook. Ainsi, l'Elitebook Folio 9470M affiche une épaisseur de 19 mm, accuse un poids de 1,51 kg et embarque un écran de 14 pouces. James Mouton, vice-président chez HP, précise : « nous avons respecté une demande des entreprises d'être compatible avec des connectivités existantes », c'est pour cela que l'on retrouve une prise RJ45, un slot PC Card, un port VGA. Il sera disponible en octobre prochain. Autre ultrabook pour le monde professionnel, le Spectre XT Pro qui mise sur la finesse (14,5 mm) et la légèreté (1,4 kg) avec un écran de 13,3 pouces et un SSD de 256 Go. Il sera disponible au mois de juin pour un prix débutant à 1 000 euros.

Plusieurs notebook de la gamme Elitebook ont été présentés dont le 2170p, le plus léger, 1,3 kg avec un écran de 11,6 pouces. Ils seront disponibles également au mois de juin. L'ensemble des PC portables vont être équipés de processeurs Intel Core de troisième génération, connue sous le nom Ivy Bridge et attendus le mois prochain. Pour répondre aux inquiétudes des responsables IT, les portables prennent en charge des outils de gestion et de sécurisation, comme la reconnaissance faciale, par empreinte et la présence d'une puce TPM (Trusted Plateform Module) qui chiffre les données sur les SSD ou les disques durs traditionnels.Dans le domaine des stations de travail, on retiendra l'arrivée cet été du HP t410, un système all in one zero client qui a la particularité de disposer d'un seul câble pour l'alimentation et la connexion. Cet équipement utilise la technologie Power over Ethernet et comprend un écran de 18,5''. Il est compatible avec l'ensemble des environnements virtualisés, Citrix, VMware et Microsoft.

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Akku SAMSUNG RV415

In der Testphase brachten die Wissenschaftler den Sensor auf den Oberarmen von zehn gesunden Probanden an. Die Versuchspersonen trainierten anschließend für 30 Minuten auf einem Heimtrainer mit zunehmendem Widerstand. Das Ergebnis: Versuchsteilnehmer, die weniger fit waren und ein Mal oder weniger pro Woche trainierten, erzeugten mehr Energie als jene, die einen besseren Trainingsstand aufwiesen. Teilnehmer, die mehr als drei Mal pro Woche trainierten, erzeugten am wenigsten Energie. Die Forscher führten die Ergebnisse darauf zurück, dass weniger trainierte Menschen schneller ermüdeten und ihre Körper deshalb eher auf die Glykolyse zurückgreifen müssten und so mehr Lactate erzeugten. Die maximal im Text erzeugte Energie lag im Test bei 70 Mikrowatt pro Quadratzentimeter Haut.

Die Wissenschaftler arbeiten nach eigenen Angaben daran, das erzeugte Energielevel zu erhöhen. Letztlich hoffen die Entwickler, auf diese Weise kleinere elektronische Geräte antreiben zu können. Eine Uhr benötigt rund zehn Mikrowatt. Bio-Akkus haben den Vorteil, dass sie sich schneller wieder aufladen als herkömmliche Akkus. Gleichzeitig verwenden sie erneuerbare Energiequellen und sind sicherer, weil sie nicht explodieren oder auslaufen können.Wiko hat mit dem Getaway ein neues, günstiges Android-Smartphone mit Quad-Core-Prozessor, 5-Zoll-Display, Metallrahmen und 13-Megapixel-Kamera vorgestellt. Der Speicherkarten-Slot kann wahlweise auch für eine zweite SIM-Karte genutzt werden.
Mit dem Getaway hat das französische Unternehmen Wiko ein neues Smartphone vorgestellt, das mit einem niedrigen Preis und einer Hardware-Ausstattung im unteren Mittelklassebereich in den Handel kommt. Einige Ausstattungsmerkmale heben das Gerät aber von der Konkurrenz ab.

So hat das Getaway einen Rahmen aus Metall, die Rückseite des Smartphones ist aus Kunstleder. Das Display ist 5 Zoll groß und hat eine Auflösung von 1.280 x 720 Pixeln. Das ergibt eine Pixeldichte von 293 ppi. Der Bildschirm wird durch Gorilla Glass 2 vor Kratzern geschützt.Im Inneren arbeitet ein unbenannter Quad-Core-Prozessor mit einer Taktrate von 1,3 GHz. Da Cortex-A7-Kerne verbaut werden, dürfte der Chip nicht zu den schnellsten gehören. Der Arbeitsspeicher ist 1 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher 16 GByte.Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten bis 32 Gbyte ist eingebaut. Dieser hat noch eine zweite Funktion: Anstelle der Speicherkarte kann der Nutzer auch eine zweite Micro-SIM-Karte einlegen und das Getaway mit Dual-SIM-Option nutzen. Eine ähnliche Funktion hatte Huawei bei der Präsentation des Ascend P7 gezeigt, hier hat es die kombinierte SIM-Speicher-Option aber nicht nach Deutschland geschafft.Das Getaway unterstützt Quad-Band-GSM und UMTS auf den Frequenzen 900, 1.900 und 2.100 MHz. Auf LTE müssen Käufer verzichten. WLAN beherrscht das Gerät nach unbekanntem Standard, Bluetooth läuft in der Version 4.0, ein GPS-Empfänger ist eingebaut.

Auf der Rückseite befindet sich eine 13-Megapixel-Kamera mit Autofokus und LED-Fotolicht. Dank eines BSI-Sensors sollten auch Aufnahmen in dunklerer Umgebung gelingen. Die Frontkamera mit 5 Megapixeln dürfte sich nicht nur für Videotelefonie, sondern auch für ansprechende Selbstporträts eignen.Ausgeliefert wird das Wiko Getaway mit Android 4.4. Der Akku hat 2.000 mAh und soll eine Standby-Zeit von neun Tagen ermöglichen. Es soll ab sofort im Handel in den Farben Navy, Weiß und Champagner erhältlich sein, der Preis beträgt 200 Euro.Gleichzeitig hat Wiko mit dem Lenny auch noch ein günstiges Einsteiger-Smartphone mit einfacher Hardware-Ausstattung vorgestellt. Das Lenny hat ebenfalls ein 5-Zoll-Display, allerdings mit einer deutlich geringeren Auflösung von 854 x 480 Pixeln. Im Inneren arbeitet ein Dual-Core-Prozessor mit einer Taktrate von 1,3 GHz, die Hauptkamera hat 5 Megapixel.Das Lenny hat wie alle Wiko-Smartphones eine Dual-SIM-Option, es wird wie das Getaway mit Android 4.4 ausgeliefert. Es soll voraussichtlich ab Ende August für einen Preis von 100 Euro erhältlich sein.

LGs G Pad 8.0 kann künftig auch ohne WLAN-Zugang oder Smartphone-Hotspot genutzt werden: Das 8-Zoll-Tablet mit Quad-Core-Prozessor, 5-Megapixel-Kamera und LGs Software-Funktionen kommt in einer LTE-Variante nach Deutschland.
LG hat eine LTE-Version des G Pad 8.0 vorgestellt. Damit kann das Mittelklasse-Tablet künftig auch mit einer eigenen SIM-Karte unterwegs genutzt werden. Das G Pad 8.0 in der WLAN-Version hatte LG im Juni 2014 zusammen mit einem 7-Zoll- und einem 10-Zoll-Modell präsentiert.
Das G Pad 8.0 LTE unterscheidet sich bis auf das zusätzliche Mobilfunkmodem nicht von der WLAN-Version. Es hat einen 8 Zoll großen IPS-Bildschirm, der mit 1.280 x 800 Pixeln auflöst. Das ergibt eine nicht besonders hohe Pixeldichte von 189 ppi.Im Inneren arbeitet ein Quad-Core-Prozessor mit einer Taktrate von 1,2 GHz, dabei dürfte es sich wie beim WLAN-G-Pad auch um einen Snapdragon 400 handeln. Dieser zählt mittlerweile nicht mehr zu den schnellsten Chips. Der Arbeitsspeicher ist 1 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher 16 GByte. Ein Steckplatz für Micro-SD-Karten bis 64 GByte ist eingebaut.

Auf der Rückseite hat LG eine 5-Megapixel-Kamera eingebaut, die Frontkamera hat 1,3 Megapixel. Wer trotz der niedrigen Auflösung damit Selbstporträts machen möchte, kann diese wie bei LGs aktuellem Topsmartphone G3 mit einer Handgeste auslösen.Das G Pad 8.0 LTE dürfte wie die WLAN-Version mit Android 4.4.2 ausgeliefert werden. Darauf installiert LG seine eigene Benutzeroberfläche, die einige Zusatzfunktionen bietet. So kann der Nutzer das LTE-Tablet ebenfalls mit einer Klopfsequenz entsperren. Auch die Qpair-App ist auf dem Gerät vorinstalliert: Mit ihr kann ein Smartphone auf Knopfdruck per Bluetooth an das Tablet gekoppelt werden.Dadurch werden Nachrichten wie SMS direkt auf dem Tablet angezeigt und können von dort aus beantwortet werden. Auch Anrufe können angenommen werden. Verwendet der Nutzer gerade keine SIM-Karte im Tablet, kann das G Pad 8.0 LTE wie die WLAN-Version auch über die Verbindung zum Smartphone das mobile Internet nutzen.Das G Pad 8.0 LTE misst 210,8 x 124,2 x 9,9 mm und wiegt 344 Gramm. Der Akku hat eine Nennladung von 4.200 mAh, zur Laufzeit macht LG keine Angaben. Das Tablet soll "demnächst" in den Handel gehen, einen genaueren Zeitpunkt gibt LG nicht an. Der Preis soll 300 Euro betragen.

Mit Verspätung will Asus in Kürze mit dem Verkauf der Zenfone-Smartphones in Deutschland beginnen. Bei der E-Plus-Tochter Base kann das Zenfone 6 mit 13-Megapixel-Kamera bereits gekauft werden.
Die ursprünglich von Asus für Juni 2014 geplante Markteinführung der Zenfone-Smartphones verzögert sich weiter. Erst im September 2014 soll es die Asus-Smartphones in Deutschland geben. Im Mai 2014 hatte Phonehouse im Gespräch mit Golem.de angegeben, die Zenfone-Modelle ab Mitte Juni 2014 in den Verkauf zu nehmen, aber daraus ist bisher auch nichts geworden. Nun hat Base mit dem Verkauf des Zenfone 6 begonnen. Bei Base gibt es das Zenfone 6 ohne Vertrag zum Preis von 250 Euro. Im Unterschied zu dem auf dem Mobile World Congress in Barcelona Ende Februar 2014 vorgestellten Modell wurde der Arbeitsspeicher verdoppelt und das Smartphone erscheint gleich mit Android 4.4 alias Kitkat und nicht noch mit Android 4.3 alias Jelly Bean.

Das Zenfone 6 hat einen 6 Zoll großen IPS-+-Touchscreen und bietet eine Auflösung von 1.280 x 720 Pixeln. Das Display wird mittels Gorilla Glass 3 vor Kratzern und Beschädigungen geschützt und besitzt eine Antischmutzbeschichtung. Für Foto- und Videoaufnahmen gibt es eine 13-Megapixel-Kamera mit Asus' Pixelmaster-Technik. Vor allem unter schlechten Lichtbedingungen sollen damit auch ohne Blitzlicht noch gute Fotos entstehen. Vorne ist eine 2-Megapixel-Kamera untergebracht.Das Asus-Smartphone läuft mit Intels Atom Z2580 mit 2-GHz-Takt. Und der Arbeitsspeicher wurde von 1 auf 2 GByte aufgestockt. Bei Base gibt es das Zenfone 6 nur mit 8 GByte Flash-Speicher, das 16-GByte-Modell wird nicht angeboten. Es hat einen Steckplatz für Micro-SD-Karten mit bis zu 64 GByte, App2SD wird wohl nicht unterstützt.Das Smartphone kommt auf ein Gewicht von 196 Gramm und steckt in einem 166,9 x 84,3 x 9,9 mm großen Gehäuse. Es wird ein Lithium-Ionen-Akku mit 3.300 mAh verwendet; zur Akkulaufzeit liegen keine Angaben vor. Von der Mobilfunkseite her werden die UMTS-Frequenzen mit 850, 900, 1.900 sowie 2.100 MHz und Quad-Band-GSM unterstützt. Zudem gibt es Single-Band-WLAN nach 802.11 b/g/n sowie Bluetooth 4.0.

Eigentlich sollten die Zenfone-Smartphones in Deutschland noch mit Android 4.3 alias Jelly Bean erscheinen, aufgrund der verzögerten Markteinführung werden sie aber nun gleich mit Android 4.4 alias Kitkat ausgeliefert, das gilt zumindest für das Zenfone 6.Voraussichtlich noch in diesem Jahr will Asus auch die kleineren Zenfone-Modelle auf den deutschen Markt bringen. Da sie allesamt eine etwas schlechtere Ausstattung als das Zenfone 6 haben, ist damit zu rechnen, dass sie für deutlich weniger als 250 Euro verkauft werden. Genaue Angaben zum Preis liegen derzeit nicht vor. Alle Zenfones haben die gleiche Mobilfunk-, WLAN- und Bluetooth-Ausstattung und die Displays sind mit Gorilla Glass 3 geschützt.Das Zenfone 5 hat einen 5 Zoll großen IPS-Touchscreen mit einer Auflösung von 1.280 x 720 Pixeln. Die 8-Megapixel-Kamera beherrscht die Pixelmaster-Technik von Asus und auf der Vorderseite ist eine 2-Megapixel-Kamera untergebracht.Es misst 148,2 x 72,8 x 10,34 mm, wiegt 145 Gramm, hat 1 GByte Arbeitsspeicher und wird wahlweise mit 8 oder 16 GByte Flash-Speicher verkauft. Ob sich Asus mittlerweile für einen Prozessor entschieden hat, ist nicht bekannt. Anfang des Jahres standen Intels Atom Z2580 mit 2 GHz und der Atom Z2560 mit 1,6 GHz zur Wahl.

An Einsteiger richtet sich das Zenfone 4, das einen 4 Zoll großen Touchscreen mit einer Auflösung von 800 x 480 Pixeln hat. Die Hauptkamera bietet 5 Megapixel, vorn ist eine 0,3-Megapixel-Kamera untergebracht. Das Smartphone läuft mit Intels Atom Z2560 mit einer Taktrate von 1,2 GHz. Intern gibt es 1 GByte Arbeitsspeicher und wahlweise 4 oder 8 GByte Flash-Speicher. Das Smartphone wiegt 115 Gramm und misst 124,4 x 61,4 x 11,2 mm.Britische Wissenschaftler haben ein Verfahren entwickelt, mit dem Umgebungsgeräusche, Sprache oder Musik im Inneren eines Smartphones elektrische Energie erzeugen. Nicht nur sie hoffen, dass damit die Geräte in Zukunft aufgeladen werden können, denn einer der Unterstützer ist Nokia.
An der Queen-Mary-Universität in London haben britische Materialforscher einen Mikromechanismus gebaut, mit dem sich künftig Smartphones durch Schallenergie aufladen lassen sollen. Wie der Leiter der Forschung, Dr. Joe Briscoe, dem Fachportal Phys.org sagte, entstand das Verfahren durch Zufall: Eigentlich hatten sie an der Verbesserung der Effizienz von Solarzellen gearbeitet, dabei lief Musik. Die Wissenschaftler bemerkten, dass in den Materialproben mehr Elektrizität als ohne Beschallung erzeugt wurde.

Posted by: retrouve3 at 06:37 AM | No Comments | Add Comment
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