June 30, 2016

Batterie Lenovo IdeaPad Z480

3DMark propose désormais deux tests spécialement pensés pour les casques de réalité virtuelle. Dans le même temps, l'application revoit son interface avec une page d'accueil plus intuitive et une mise à jour des tests qui peut se faire de manière indépendante.Alors qu'Oculus a récemment commencé à livrer son casque de réalité virtuelle Rift dans sa version commerciale, tout comme HTC avec son Vive, Futuremark vient d'annoncer une mise à jour de son outil de test des performances pour les cartes graphiques 3DMark. Et justement, elle intègre une nouveauté pour le benchmark maison VRMark.

Une nouvelle scène dans VRMark pour les casques de réalité virtuelle Alors qu'il est possible de tester une scène VRMark dans 3DMark depuis fin décembre, l'éditeur en ajoute aujourd'hui une seconde. Dans les deux cas, elles sont pour le moment pensées afin d'être utilisées avec un Oculus Rift ou un HTC Vive, mais vous pouvez également en profiter sur votre écran d'ordinateur.Futurmark explique que la première scène correspondant aux caractéristiques techniques minimum recommandées pour profiter de l'Oculus Rift dans de bonnes conditions, tandis que la seconde nécessite une partie matérielle plus conséquente. Comme c'était le cas avec la précédente bêta, aucun score ne sera par contre donné à la fin des tests.

Pour en profiter, il faudra disposer d'une version payante de 3DMark : Advanced ou Professional. Dans tous les cas, VRMark est encore en cours de développement et il ne s'agit donc que d'une « preview » pour le moment. Ce n'est pas la seule nouveauté et 3DMark dispose désormais d'une « nouvelle interface utilisateur plus rapide, plus souple et plus facile à utiliser », selon l'éditeur. Désormais, l'écran d'accueil affiche directement le benchmark recommandé pour votre machine, mais vous pouvez évidemment en lancer d'autres si vous le souhaitez.Le code de l'application a également été retravaillé afin d'apporter plus de flexibilité. Depuis Steam, vous pouvez désormais installer et mettre à jour individuellement les différentes scènes, ce qui permet de réduire la quantité de données téléchargée.

Enfin, Futurmark annonce que les tests Ice Storm Unlimited et Extreme sont maintenant accessibles avec la version Basic de 3DMark, tandis que SystemInfo a été mis à jour afin de détecter encore plus de composants. Les notes de version se trouvent par ici. La prochaine grosse mise à jour concernera le test DirectX 12 indique Futurmark.Détrompez-vous, point de robots ici ! Informaticien, Elliot est pris dans un engrenage mêlant multinationale, hackers anarchistes et société secrète."Notre démocratie a été piratée" : à défaut de parler de robots, la série Mr Robot annonce la couleur. Et ce n'est pas le jeune Elliot Alderson (Rami Malek) qui dira le contraire : le jeune ingénieur informatique, spécialisé dans la cybersécurité, met le pied dans un tourbillon qui l'entraîne au coeur du groupe de hackers Fsociety, qui rappelle furieusement les Anonymous. Son leader, un certain "Mr Robot" (Christian Slater) à la tendance anarchiste bien prononcée, essaie de recruter Elliot. Objectif : déclencher la "plus grande redistribution de richesse jamais vue dans le monde".

En face, E-Corp, surnommé Evil Corp, est un géant de l'informatique devenu omniscient, qui combine la superpuissance de Google, lacoolitudeapparente d'Apple et les costumes-cravate de Microsoft : une cible de choix pour changer le monde ! Et cela tombe bien, Elliot travaille – à contrecoeur – pour l'un de ses sous-traitants : AllSafe Security. Comme si ce n'était pas assez pour le scénario, le jeune héros est repéré par un responsable d'E-Corp (Martin Wallström), qui semble être membre d'un mystérieux "groupe de gens puissants qui dirigent secrètement le monde", comme le laisse entrevoir la bande-annonce.
Elliot, de son côté, se bat contre ses propres démons. Solitaire, il essaie de soigner ses problèmes psychologiques en se confiant à son ami imaginaire, à sa psy (Gloria Reuben) et à son amie bien réelle Angela (Portia Doubleday). Il ne peut s'empêcher de passer des heures à surveiller ses proches en piratant leurs comptes, parfois pour leur propre bien. Ou, du moins, ce qu'il considère comme étant leur bien... À l'ombre de sa capuche, ses yeux exorbités cachent un homme à la fois solitaire, torturé, passionné et mystérieux. Autant de caractéristiques qui, parole de journaliste high-tech, sont plus que communes chez les vrais hackers...
Pas d'hérésie technologique

Diffusée depuis le 24 juin 2015 sur USA Network, et pas encore en France, la série de Sam Esmail est écrite pour les geeks amoureux des théories du complot. Mais elle reste un thriller très abordable pour les moins technophiles, et prend soin de ne pas perdre le spectateur dans des dialogues pointus. Encore mieux : elle évite, pour le moment du moins, la plupart des hérésies technologiques que l'on voit partout ailleurs, dans les séries niaiso-geek du type Les Experts ou les blockbusters hollywoodiens. Ici, pas de bip à la noix quand l'écran affiche des informations, pas de virus-informatique-de-l'apocalypse ni de solution-miracle-universelle, pas d'adresse IP qui commence par 925 (le maximum étant 255...), pas d'ordinateur portable dont la batterie tient six mois, pas de clé USB qui contient l'ensemble des données mondiales... Bref, à quelques détails près, les conseillers technologiques d'USA Networks ont fait leur boulot.
Les premiers épisodes diffusés aux États-Unis posent l'intrigue et installent les personnages. Après deux semaines, la série recueille un très rare 9,4/10 de la part de plus de 22 000 internautes sur le site spécialisé IMDB : il n'y a guère que Game of Thrones, Breaking Bad ou True Detective qui se hissent à ce niveau. Mais attention, la série n'en est qu'à ses débuts : le scénario pourrait s'effondrer dans les bons sentiments américains qui font le succès des concurrents...
Ceci est un bon plan à destination de ceux qui cherchent à renouveler leur ordinateur, notamment en achetant une nouvelle tour PC. Lenovo, qui détient désormais Motorola, offre en effet un Moto E à ceux qui dépenseront 500 euros en matériel à ses couleurs.

Vendu entre 100 et 130 euros, le Moto E (4G) est un bon téléphone d’entrée de gamme, compatible avec la 4G et animé par un SoC Snapdragon 410 efficace. Et surtout, il est offert pour l’achat d’un PC portable, une tour ou un moniteur, le tout pour une valeur d’au moins 500 euros dans la sélection présentée sur cette page. L’offre est valable sur ldlc.com jusqu’au 24 févrierprochain, et nécessite d’entrer le code THINK dans le panier d’achat.

Calibrer un écran à la volée, qu’est-ce que c’est ? Apple vient de dévoiler un outil, nommé True Tone display, qui permet aux nouveaux iPad Pro de calibrer les écrans automatiquement. Une fonction que l’on retrouve de plus en plus sur Android, mais qui n’est pas encore proposée nativement.Le marché des solutions solaires pour l'éclairage ou la recharge de téléphones mobiles, destinées aux 1,2 milliard d'Africains et d'Indiens sans accès au réseau électrique, devrait approcher 3 milliards d'euros en 2020. De grandes entreprises françaises y sont présentes.
1,2 milliard de personnes dans le monde n'ont pas accès au réseau électrique, soit 114 millions de plus qu'en 2000. Essentiellement concentrées en Afrique mais aussi en Inde, elles dépensent collectivement 27 milliards de dollars (24,6 milliards d'euros) par an pour s'éclairer et alimenter leurs téléphones portables à l'aide de kérosène, bougies, lampes électriques et autres solutions à base d'énergies fossiles.

Comme le montre une étude menée par l'initiative Global Lighting de la Banque Mondiale avec Bloomberg New Energy Finance (BNEF), les solutions solaires, qui offrent une alternative non seulement bien moins nocives en termes de santé et de climat mais aussi moins onéreuses, sont en plein développement mais font encore face à certains défis, notamment en matière de financement.

Engie, Total et Scheider Electric sur les rangs
L'étude identifie pas moins d'une centaine d'entreprises qui fournissent lampes et kits solaires domestiques à 89 millions de personnes sans accès à une énergie moderne. Mi-2015, 44 millions de lampes et kits équipés de cellules solaires de moins de 10W avaient été vendus. Les ventes de ces produits ont connu une progression annuelle de près de 110% entre 2011 et 2014.Commençons tout d'abord par revenir sur les caractéristiques de base du produit annoncé : il s'agit d'un smartphone sous Windows 10 Mobile de 5,96 pouces, pensé pour un usage 3-en-1 (nous y reviendrons). La définition de la dalle AMOLED est de typeWQHD, soit 2 560 x 1 440 pixels. Modèle haut de gamme oblige, on retrouve une protection de type Gorilla Glass 4, un traitement anti-reflet, une certification IP67 / MIL-STD 810G et une base assez solide pour les composants.

Il est en effet question du Snapdragon 820 @ 2,15 GHz et sa partie graphique Adreno 820, qui sont sans conteste les stars de cette édition 2016 du MWC. Le chipset utilisé est un MSM8996, accompagné de 4 Go de LPDDR4 et de 64 Go d'eMMC 5.1. HP propose un lecteur de cartes microSD (jusqu'à 2 To) via un emplacement double nano SIM ou nano SIM + microSD, un port USB 3.0 Type-C et une connectivité fournie : 802.1ac (2x2) avec support de Miracast, Bluetooth 4.0 LE, NFC et 4G+.

Si le multimédia n'est pas mis de côté avec une partie audio B&O Play et un duo de capteurs photo de 8/16 Mpixels, HP n'oublie pas que son produit vise avant tout une clientèle professionnelle. Le HP Elite x3 intègre un lecteur d'empreintes digitales, un système de reconnaissance de l'iris et un chiffrement certifié FIPS 140-2.La batterie intégrée est un modèle de 4 150 mAh (16 Wh). Les dimensions de l'ensemble sont de 161,8 x 83,5 x 7,8 mm pour un poids de 195 grammes. Un seul coloris est proposé : Graphite.

On est donc en présence d'un modèle qui se veut à la fois puissant et complet, mais qui mise aussi sur ses usages pour se démarquer et séduire en entreprise. Comme nous l'avions vu lors de l'annonce, HP mise en effet sur la fonctionnalité Continuum de Windows 10 Mobile avec son Desk Dock, proposé dans le bundle afin de permettre une utilisation « identique » à celle d'un PC.

Sa connectique est assez classique, puisque outre l'alimentation, on trouve une sortie vidéo DisplayPort, un duo de ports USB 3.0 Type-A, un Type-C, et une prise RJ45 (Gigabit). La plus-value de la solution de HP par rapport à ce que l'on peut voir chez Microsoft ou Acer par exemple vient donc d'abord de l'offre logicielle puisque l'appareil est livré avec HP Workspace.

Comme nous l'avions évoqué lors de l'annonce, la société indique qu'il s'agit d'une solution de virtualisation. Mais il n'est heureusement pas question d'effectuer une telle opération sur le smartphone. HP Workspace est ainsi une solution de « virtualisaton dans le cloud » comme il en existe déjà d'autres. Comprendre : de streaming de vos applications.En effet, il reste encore une grande inconnue pour cet ensemble : son prix. Prévu pour être mis sur le marché d'ici l'été, il coûtera moins cher qu'un Macbook et qu'un iPhone nous promet-on. C'est à la fois assez flou, et la moindre des choses pour un simple smartphone avec deux docks.

Pas de quoi nous rassurer donc, surtout qu'il faudra sans doute rajouter l'abonnement à HP Workspace, ce qui pourra avoir un coût non négligeable à l'année. Il reste donc à faire le plus gros du travail : convaincre.Et c'est bien le choix de l'OS mobile de Microsoft qui peut s'avérer être un problème. Car si le mode Continuum peut avoir son intérêt pour éviter à l'entreprise d'avoir à acheter et maintenir des ordinateurs de bureau, il faudra que ce soit un avantage (financier et/ou pratique) pour elle plus qu'une contrainte.La necessité de devoir passer par HP Workspace pour disposer d'applications pourtant basiques pourra vite apparaître comme une limite problématique, même si le Windows Store continue de se remplir, sans parler de la question du stockage et du contrôle des données.

La convergence louée par Microsoft, mais aussi par d'autres acteurs comme Canonical (Ubuntu), montre ainsi ses limites dans un environnement logiciel qui est encore développé en grande partie pour des processeurs x86. Le raté de Windows RT l'a bien montré, et il faudra sans doute encore du temps pour que la donne soit différente et que l'équilibre soit plus en faveur de telles solutions.Mais c'est le dock sous forme d'ordinateur portable qui nous partage le plus. D'un point de vue technique, l'idée est excellente. On aimerait d'ailleurs sans doute voir bien plus de constructeurs miser sur de telles solutions, et pas forcément pour le marché professionnel. Mais la dépendance au réseau pour l'accès aux applications via HP Workspace va là encore être une source de contraintes assez importante dès lors qu'il s'agira de sortir des usages basiques.

On se peut ainsi se demander si un utilisateur ne préfèrera pas disposer d'un Ultrabook à utiliser en complément de son smartphone, plutôt qu'une telle solution. Le stockage peut en effet être assez simplement unifié à travers des solutions de synchronisation par exemple, et l'on trouve des machines très autonomes basées sur des Core m qui pourront très bien faire l'affaire pour la quasi-totalité des usages, quitte à miser sur de la virtualisation déportée pour des besoins plus gourmands.

Là encore, c'est sans doute le tarif qui sera juge pour certains, même si l'aspect pratique et la fiabilité de la solution d'HP auront un caractère essentiel à la réussite de ce produit. Des points qui restent à découvrir, il faudra donc encore attendre quelques mois pour savoir si ce MWC a donné naissance à une petite révolution ou à une énième déception.

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Batterie Lenovo L08L6C02

Le X-Pro 2 est une franche réussite : plus blindé, plus rapide, plus réactif et plus complet que son prédécesseur, il marque la maturité de la monture X de Fujifilm. Outre ses bonnes performances générales, il produit des images tellement belles en Jpeg que le travail des fichiers RAW est superflu - les photographes pros apprécieront le gain de temps lors du tri des images. Quant à sa montée en ISO, non seulement elle est excellentedans la conservation des détails, mais c'est aussi la meilleure de l'industrie pour la justesse des couleurs. Nos seuls regrets concernent la vidéo, qui n'a pas encore passé le cap de la 4k (mais la cible de ce genre d'appareil s'en fiche peut-être) et l'écran fixe. Pour le reste, le Fujifilm X-Pro est un bijou pour reporter, un boîtier qui a du chien et qui produit de belles images sans avoir à perdre du temps devant un ordinateur. Un must et 5 étoiles bien méritées !
Ces dix dernières années, de nouveaux équipements sont apparus dans nos foyers, alors que certains appareils sont devenus de plus en plus performants, qu’est-ce qui pèse le plus sur nos factures d’énergie aujourd’hui ?
Énergie : qu'est-ce qui consomme le plus dans la maison ?

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À la maison, l’énergie est tellement facile d’accès qu’elle semble inépuisable. Même si l’efficacité énergétique de nos équipements électriques s’améliore régulièrement, il reste une idée reçue : « nous consommons toujours plus ». Mais comment se répartit vraiment notre consommation d’énergie selon les différents postes de nos logements ? Petite revue de détail avec les experts de Guide TopTen.

Depuis, l’électroménager a fait de très gros progrès en matière d’économies d’énergie, en grande partie grâce à l’instauration de l’étiquette énergie à partir des années 90. Aujourd’hui, le froid et le lavage ne pèsent plus que 30 % dans les consommations des appareils électriques hors chauffage et eau chaude(2).

Essentiellement l’audiovisuel et l’informatique. Écrans plats, ordinateurs, et autres box ont envahi nos logements. Ils ont mis du temps avant d’être mieux conçus sur le plan énergétique, et nous accueillons encore des modèles très gloutons en marche et parfois encore en veille. Heureusement, les choses s’améliorent : une télé d’aujourd’hui consomme en moyenne deux fois moins que ce qu’on pouvait acheter il y a cinq ans(3). Ce poste peut donc freiner sa boulimie de Watts, surtout si nous faisons plus attention à l’aspect énergie lors de nos achats.

Et tous ces gadgets, c’est grave docteur ?Rien à voir avec ce qui se fait sur smartphone. Vos photos en intérieur souffriront de bruit, mais à quoi bon utiliser une tablette de la taille d’une feuille A4 comme appareil photo principal ?Quand vous prenez une photo avec l’un des deux appareils photos, la Surface 3 prend une série de photos, parmi lesquelles vous pouvezchoisircelle qui vous convient. L’idée est claire de prendre des photos de vie de famille plutôt que des clichés Instagram.

Elle n’est pas faite pour rester à la maison non plus. La surface 3 comme le Pro offre une grande autonomie. Avec une utilisation normale, légère (c'est à dire pas de jeu), j’ai obtenu 8 solides heures d’autonomie, suffisant pour une journée de travail. Pour recharger vous pouvez utiliser le port microUSB avec un chargeur de téléphone ou une batterie externe.Préférez rester avec le chargeur officiel si possible, avec sa sortie 5,2 V /2,5 A il est plus puissant que la plupart des prises pour téléphone. Recharger avec un chargeur de téléphone prendrait une éternité.

Autre chose à signaler ? Vous pouvez choisir entre plusieurs versions différentes. Wi-fi ou 4G, avec 64 Go ou 128 Go de stockage, avec les options de RAM mentionnées précédemment.Étant donné les possibilités grandissantes de se connecter à un spot wi-fi, je recommanderai la version wi-fi 128 Go. Et même si 128 Go ne suffisent pas pour vous, Microsoft a glissé un slot micro-SD sous la charnière pour l’assise.Les autres ports sont sur le côté : un port USB et un Mini DisplayPort. De manière à brancher facilement la Surface 3 à un écran. Et si vous voulez brancher un clavier ou une souris vous devrez investir dans un Hub USB. Mais ça ne vous coûtera que quelques sous.

Chaque année, le design des tablettes Surface s’est affaibli. Mais l’objet en lui même est devenu bien plus utile.Vous pouviez facilement imaginer la Surface Pro 3 l’an dernier remplacer un ordianteur pour de bon, et alors que je ne dirais pas la même chose pour la Surface 3, ça n’est pas l’objectif d’un appareil de cette taille. À 250 € de moins, c’est un achat plus facile pour quelque chose qu’on n’utilise pas forcément tous les jours.

Le design a ses hautes et ses bas, mais ils s’équilibrent. Le résultat final est un appareil flexible d’une manière assez inhabituelle. Maintenant qu’elle s’est débarrassée des problèmes pour apprivoiser les vieux appareils Windows RT, plus précisément de faire tourner les applications Windows, elle est devenue plus pratique, flexible et convoitable.Mon conseil n°1 est de complètement mettre de coté le modèle d’entrée de gamme à 599 €. Quand pour 120 € (719 &euro de plus vous avez 4 Go de RAM, 128 Go de stockage et un Type Cover, prendre la version inférieure, c’est comme acheter une voiture sans pare brise. Ne faites pas ça.

Qualifié d’ordinateur portable le plus mince au monde par son fabricant, le Spectre de HP fera certainement tourner les têtes.Avec un profil de 10,4 mm, le Spectre de HP est plus mince que le MacBook d’Apple (13,2 mm) ou le XPS de Dell (15,2 mm). Mais s’il se présente comme la version luxueuse du Spectre x360, les ingénieurs de HP ont manifestement tout fait pour ne pas répéter les mêmes erreurs qu’Apple.«Le HP Spectre est l’ordinateur portable le plus fin au monde, et contrairement à la majorité des autres PC ultraminces sur le marché, ce portable ne fait aucuncompromisà l’égard de sa puissance ou de ses caractéristiques», a déclaré Kevin Frost, vice-président et directeur général des systèmes personnels de HP. «Un magnifique écran Full HD de bord à bord, des processeurs Intel Core i couplés avec un son Bang & Olufsen, et un design sexy et mince, les ingénieurs de HP étonnent en établissant une nouvelle norme avec le nouveau Spectre.»

Le Spectre propose ainsi trois ports USB de type C (dont deux sont compatibles avec Thunderbolt) et une prise audio 3,5 mm. Par conséquent, même lorsqu’il sera sur la recharge, il sera possible d’y connecter des accessoires directement sans avoir à passer par un adaptateur multiport.Selon la configuration choisie, son processeur sera un Core i5 ou i7 d’Intel de sixième génération (Skylake), alors que la plupart des ordinateurs ultraminces de ce monde doivent se contenter du plus modeste Core M. HP a intégrer un système de refroidissement, appuyé par deux ventilateurs, afin d’éviter la surchauffe provoquée par l’utilisation de processeurs plus puissants.

En terme d’autonomie, le fabricant promet 9,5 heures, notamment en tirant profit d’une batterie hybride segmentée en deux morceaux. Ce rendement est légèrement inférieur à ce que l’on retrouve chez la concurrence pour un produit aussi mince, mais seulement lorsque l’on fait abstraction de la puissance du processeur.

HP impose également un certain compromis lorsque vient le moment de parler de l’écran du Spectre. Avec sa diagonale de 13,3 pouces, il est non tactile, non détachable, et propose qu’une définition de 1080p, bien qu’on vante la netteté des images qu’il affiche. En terme de mémoire, on y retrouve jusqu’à 8 Go de RAM et un disque dur SSD PCIe proposant jusqu’à 512 Go de stockage.

Du point de vue de ses matériaux de construction, le Spectre est composé d’une coque en fibre de carbone lui conférant à la fois rigidité et légèreté. Pesant 2,45 lb, l’ordinateur est intégré dans un boîtier avec des accents de cuivre lui donnant l’apparence d’un véritable bijou.Enfin, le Spectre intègre une antenne Wi-Fi 802.11ac double (2×2) de nouvelle génération, unsystèmede haut-parleurs Bang & Olufsen, et ce nouvel ordinateur est propulsé par Windows 10.

Certes, avant l’achat, un encadré, qualifié de « très visible » par la Fnac, prévient le client qu’il a « mis [NDLR : drôle de vision des choses !] un service d’abonnement en reconduction tacite dans son panier » et qu’il accepte la conservation de ses coordonnées bancaires par le prestataire de la Fnac « pour les besoins de gestion de [ses] abonnements en renouvellement tacite ». Mais ces informations se noient comme souvent dans la masse des informations de prévente.

Quant au mail de confirmation que la Fnac indique envoyer après chaque adhésion, plusieurs clients assurent ne l’avoir jamais reçu. Marie-Charlotte n’a, par exemple, reçu un mail qu’après la reconduction tacite, et donc après le prélèvement. Comment dès lors aurait-elle pu se rétracter avant la fin du mois d’essai ? La Fnac semble consciente de ce défaut d’information puisqu’elle dit étudier l’envoi d’un mail supplémentaire.
Tentation toujours plus grande de proposer des options annexes
Plus largement, cette histoire révèle la tentation toujours plus grande des sites de vente en ligne de proposer des options et services annexes « à tester ». Ainsi, la Fnac utilise ce procédé pour son service de livraison « Express + » : l’offre est proposée gratuitement à ceux qui veulent une livraison en un jour, avant de devenir payante (49 €/an) après un mois. Même chose chez Amazon avec l’offre Premium à 49 € par an, qui suscite, elle aussi, énormément de plaintes de la part des internautes.

Marie-Charlotte a fini par être remboursée après avoir protesté. Mais elle a dû attendre plus de trois semaines pour récupérer son argent – alors qu'on le lui avait garanti sous 10 jours. « Le conseiller m'a expliqué qu'ils avaient beaucoup de demandes et qu'ils avaient du retard. »
Et si Microsoft avait finalement tout compris à l’univers des tablettes ? Le géant américain a mis un certain temps à venir sur cemarchéouvert par son concurrent Apple, ratant même le coche avec ses premiers modèles. Mais avec sa Surface Pro, quatrième du nom, il tutoie la perfection. Car tout utilisateur de tablette et d’ordinateur portable a compris que l’on ne pouvait pas décemment trimbaler en permanence deux appareils toute la journée.Ainsi, sans connexion internet, vous n'aurez pas accès à cet espace, mais le but est ici surtout de proposer un fonctionnement dans un bureau et de permettre de tout centraliser au sein du téléphone et de l'espace en ligne, sans nécessiter un ordinateur complémentaire.

Dans Workspace, vous pourrez ainsi installer puis lancer des applications Windows classiques, contrairement à ce qu'il est possible de faire via Continuum. En effet, la puce n'étant pas de type x86 et l'OS étant Windows 10 Mobile, il est seulement possible de lancer des applications universelles proposées dans le Windows Store... ce qui constitue une offre assez limitée.

Dans la pratique, l'ensemble fonctionne assez bien même si l'on note une apparence un peu différete pour certaines fenêtres, ce qui n'a rien de bien grave. On appréciera la présence d'un explorateur de fichiers qui permet de naviguer dans les documents locaux mais aussi dans ceux proposés via différents services de stockage en ligne.

HP nous a indiqué que la puissance mise à la disposition de l'utilisateur dépendait des applications et des besoins : gros calculs sous Excel, traitement 3D ou vidéo, la solution s'adaptera afin de vous fournir la puissance nécessaire. Nul doute qu'un abonnement viendra compléter l'ensemble. Reste à en connaître les contours et la tarification, ce qui n'est pas encore évoqué publiquement.

Reste une problématique à régler : que faire lorsqu'un utilisateur a besoin du confort d'un PC et qu'il n'est pas à son bureau ? HP a semble-t-il réussi à trouver une solution intéressante avec son Mobile Extender. Il s'agit d'un appareil de 12,5 pouces (1080p) aux bordures assez fines qui ressemble à un ordinateur portable, qui a la connectique d'un ordinateur portable, mais qui est en réalité une coquille presque vide.

Outre l'écran, on retrouve en effet un minimum de composants et surtout une assez grosse batterie. Aucun chiffredéfinitifn'est donné, puisqu'il s'agissait ici d'un prototype (non fonctionnel), mais il devrait être question d'un peu moins de 50 Wh selon nos informations, de quoi assurer deux jours de fonctionnement en utilisation avec le smartphone.

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June 29, 2016

Batterie Lenovo Thinkpad T61

Le robot Buddy améliore le quotidien, protège la maison, divertit toute la famille et aide à rester proche de ceux que l’on aime. Nous avions rencontré Rodolphe Hasselvander la veille du lancement de la campagne de crowdfunding à Lyon, au cours du salon Innorobo :Startup innovante dédiée à l’univers connecté des enfants de 3 à 11 ans, C-Way se présente comme le premier bracelet de géolocalisation évolutif grâce au concept « Plug & Play ». De nombreux add-ons, comme une montre ou un module cache-cache, transforme le bracelet pour répondre à l’évolution des besoins et développer l’autonomie de l’enfant.

Design Screen HD innove avec les seuls écrans au monde qui se déploient en triptyque pour s’intégrer parfaitement dans votre décoration intérieure. Fermé, l’écran se dissimule en tableau d’ornement personnalisable.Ouvert, grâce à sa technologie brevetée, un grand écran cinéma se déploie sans les gondolements traditionnels des écrans déroulant du plafond. Compatible avec tous les vidéo-projecteurs Haute Définition. Drust développe la plateforme technologique pour la voiture connectée : grâce au « dongle » Akolyt, le conducteur est connecté via son smartphone au cÅ“ur de sa voiture et au reste de l’écosystème automobile. Quelle que soit la situation (conduite, panne, etc.), Akolyt vous aide à devenir un SuperDriver !

EnerBee est une startup qui développe un micro-générateur d’énergie, basé sur le mouvement, qui remplace piles et batteries dans les objets connectés grand public et industriels. La société vise la commercialisation fin 2016 de son premier produit de variateur de lumière sans fil, sans pile, destiné au grand public. La startup FeetMe développe dessemellesconnectées intégrant des capteurs de pression. Initialement destinées aux patients diabétiques pour prévenir les plaies qui touchent les patients, les semelles fournissent un outil d’analyse de la marche embarquée avec des applications multiples (sport et pathologies multiples).

Connectez vos semelles en Bluetooth à n’importe quel dispositif et profiter d’analyses en temps réel de vos patterns de marche. La startup France Craft compte lancer le 1er véhicule personnalisable et évolutif : à la fois hybride et connecté !Inventez votre véhicule sur mesure et nos ateliers le réalisent en quelques heures près de chez vous. France Craft va vous surprendre, l’automobile n’a jamais été aussi libre. Votre mobilité devient l’occasion d’entreprendre. Donnez des roues à vos idées grâce à cette
Immersit transforme le canapé traditionnel en canapé dynamique pour faire ressentir physiquement tout ce qui se passe à l’écran. Il se met à vibrer et à bouger selon le film regardé ou le jeu auquel vous jouez, pour vous immerger dans l’action.

L-See révolutionne la perte de poids en proposant à chacun d’adapter ses efforts à son métabolisme. Nous permettons ainsi une perte de poids optimisée et accélérée en éliminant les privations inutiles. Leka est un petit robot ludique et éducatif pour aider les enfants exceptionnels à vivre des vies exceptionnelles. Grâce à ses stimulations sensorielles et jeux spécialisés, Leka offre un support adapté aux parents et éducateurs pour faciliter la prise en charge des enfants avec autisme, trisomie, polyhandicap…

Essai Tesla Model S P85D (2015)A condition d'opter pour le Pack Premium, l'intérieur se montre flatteur. Image © LQA - N. Meunier
Outre ces nouveautés, le principal événement chez Tesla concerne l'arrivée d'une série de versions à quatre roues motrices, chapeautée par la P85D qui nous intéresse aujourd'hui. Techniquement, la nouvelle venue reprend le moteur arrière à convertisseur spécifique de la précédente P85. Pour cette nouvelle application, il voit sa puissance passer à 476 ch et son couple à 650 Nm (contre 421 ch et 600 Nm auparavant). A cela s'ajoute un second moteur, fort de 224 ch et 330 Nm, qui entraîne les roues avant. Voilà qui fait promettre à Tesla une puissance de 700 ch, ce qui n'est pas loin d'en faire la berline de série la plus puissance au monde, titre toujours dans l'escarcelle d'une autre américaine, la Dodge Charger Hellcat et ses 707 ch.

Certainement pas 700 ch
Si nous employons le terme de promesse, c'est à dessein : jamais le compteur de puissance au tableau de bord n'est en effet venu ne serait-ce que chatouiller la valeur maximale annoncée par la fiche technique, même lors d'accélérations pied au plancher. L'extrême limite que nous avons observée se situe aux environs de 550 ch, sans que nous puissions indiquer de valeur au cheval près faute d'une graduation suffisamment précise. A cela une explication toute rationnelle : la batterie est tout bonnement incapable de délivrer une puissance suffisante pour exploiter les pleines capacités des moteurs électriques. La puissance de l'auto se limite donc à celle de la batterie, les fameux 550 ch observés, ce qui constitue un progrès de 65 ch par rapport à l'ancienne version P85, loin des 215 ch supplémentaires annoncés. Ne jetons toutefois pas la pierre à Tesla : BMW enjolive la réalité de la même manière et dans les mêmes proportions avec sa i3 (lire notre essai de la BMW i3), donnée pour 170 ch mais limitée à 136 ch par la batterie…

Essai Tesla Model S P85D (2015)La Model S P85D associe le moteur de la P85 qu'elle remplace à un deuxième moteur situé à l'avant. Image © Tesla
Malgré cette puissance annoncée inférieure à la réalité, la Model S P85D n'en propose pas moins des accélérations foudroyantes, grâce à son couple disponible dès le démarrage. Chaque départ pied au plancher ressemble aux premiers mètres de Space Mountain et la barre des 100 km/h est franchie en 3,3 secondes. Voilà qui laisse sur place n'importe quelle berline… Du moins sur les premiers mètres. Caractéristiques de la propulsion électrique oblige, la poussée diminue à mesure que la vitesse augmente.

Selon nos calculs, le couple du moteur avant commence à chuter aux environs de 95 km/h et celui du moteur arrière à partir de 130 km/h. Nos tests sur autoroute allemande ont d'ailleurs clairement démontré qu'il fallait un peu d'élan pour atteindre les 200 km/h et encore plus pour les dépasser. Tesla profite largement du fait qu'il est de plus en plus rare de trouver sur lesfichestechniques les chronos sur un kilomètre départ-arrêté ou encore des valeurs d'accélération de 0 à 200 km/h. Si sur route ouverte et aux vitesses légales, la Model S P85D ne craint pas grand-monde, elle est clairement larguée par la concurrence des berlines sportives taillées pour les autoroutes allemandes (BMW M6 Gran Coupé, Audi RS7, Mercedes-AMG CLS 63…) en performances pures.

Essai Tesla Model S P85D (2015)Essai Tesla Model S P85D (2015). Image © LQA - N. Meunier
Si Tesla présente la Model S P85D comme la berline la plus rapide au monde, ce n'est donc vrai qu'en ce qui concerne sa promptitude à passer la barre de 100 km/h. La vitesse de pointe, annoncée comme limitée à 250 km/h, est en effet tout ce qu'il y a de plus commun dans le segment. Encore faut-il trouver une portion d'autoroute allemande illimitée suffisamment dégagée pour l'atteindre, les derniers km/h étant longs à grappiller. Pire : à peine les 250 km/h atteints, notre Model S est bien vite retombée à 214 km/h.

En effet, les 550 ch constatés correspondent à la puissance en crête de la batterie, c'est-à-dire qu'ils ne sont disponibles que pendant une trentaine de secondes. Cette réalité liée à la physique des batteries fait qu'après de ce délai, on retombe à un niveau de puissance inférieur, qui correspond à ce que la batterie peut délivrer sur une longue durée. C'est la puissance en continu, limitée à 163 ch sur cette Tesla, soit moins du quart des 700 ch promis par la fiche technique ! Vu les deux tonnes à emmener, ceux-ci sont clairement insuffisants pour offrir à la Model S P85D des performances en ligne avec ce qu'elle revendique. Et inutile de lever le pied pour espérer retrouver immédiatement toute la puissance, il faut attendre quelques minutes que la batterie "reprenne ses esprits" avant cela.Les deux tablettes phares des rivaux américains ne boxent pas dans la même catégorie. Une différence qui se répercute sur leurs prix respectifs. En tant que tablette, l'iPad Pro a pour lui l'expérience utilisateur Apple (des menus plus limpides) transposée sur grand écran et un écosystème applicatif très riche qui fera la différence pour les professions créatives.

Mais l'interface mobile iOS est vite frustrante au regard de la puissance et du format de l'appareil et l'empêche de se poser en alternative à un ordinateur portable, comme l'avait pourtant suggéré Tim Cook à son lancement. Dans ses configurations hautes, le Surface Pro 4 peut pour sa part complètement remplacer un PC, bien aidé par le logiciel Windows 10 et ses applications de productivité. En revanche, son prix élevé (jusqu'à 2.499 euros sans compter le clavier) le met en concurrence avec des ordinateurs portables au rapport qualité/prix supérieur.

Le recyclage ne permet pas aujourd’hui de subvenir à tous les besoins en matières premières. Mais plus les techniques progressent, plus il couvrira de larges besoins. Quelques mesures peuvent d’ores et déjà être mises en place.D’abord, réduire les mises en décharge par voie administrative en diminuant les volumes autorisés. Ensuite, promouvoir la valorisation des déchets, en particulier par la voie énergétique. Des incinérateurs d’ordures ménagères peuvent localement produire de la chaleur. Dans le cadre du plan "Nouvelles Ressources”, Veolia a proposé trois projets de réutilisation de la chaleur d’incinérateurs existants. Autre sujet, celui des combustibles solides de récupération, ou CSR. Ce sont des déchets non recyclables que nous transformons en vrai combustible avec un pouvoir calorifique bien plus élevé que les déchets mélangés. Les Allemands produisent 7 millions de tonnes de CSR par an. La France à peine 500 000 tonnes. Voilà un gisement de croissance important pour nous. Un certain nombre de barrières réglementaires doivent encore être levées : nous demandons que l’énergie produite avec le CSR soit de l’énergie qualifiée de renouvelable.

"Il y a toutes sortes de plastiques que nous ne savons pas encore bien recycler, comme les coques d’ordinateurs, de téléphones portables ou les pare-chocs des voitures”Le troisième volet concerne la transformation des matières premières. Il y a beaucoup de travail à réaliser sur les plastiques, les déchets électroniques, les métaux rares et les fibres de carbone. Là aussi il y a besoin de certaines évolutions réglementaires, de progrès technologiques, et peut-être un peu d’amorçage de filière au départ. Il y a toutes sortes de plastiques que nous ne savons pas encore bien recycler, comme les coques d’ordinateurs, de téléphones portables ou lespare-chocsdes voitures… Veolia dispose d’une technologie de recyclage des polypropylènes et des polyéthylènes. Désormais, l’enjeu est d’augmenter les flux et de trouver des débouchés poussant les industriels à utiliser des plastiques recyclés. Pour les bouteilles d’eau, c’est déjà fait. Fabriquer une bouteille à partir de plastique recyclé émet 70 % de gaz à effet de serre de moins. Il y a ainsi un avantage environnemental important en termes de pollution.

Les objectifs de "Industrie du futur”
À travers le volet "Nouvelles Ressources”, nous nous sommes fixé des objectifs ambitieux. Aujourd’hui, en France, 22 % des plastiques sont recyclés. En Europe, ce taux est de 29 %. L’Allemagne recycle 47 %. Le plan fixe comme objectif d’atteindre la barre des 50 % à horizon 2025. Je pense que d’ici 2020, on peut passer de 22 % à 32 % de plastiques recyclés sans difficultés. Les technologies existent, il faut améliorer le cadre réglementaire. Pour arriver à 50 %, il va falloir donner un coup de collier, mais ce n’est pas inatteignable.

"En France, 22 % des plastiques sont recyclés. En Europe, ce taux est de 29 %. L’Allemagne recycle 47 %”Ledeuxièmeobjectif porte sur la création de 20 000 emplois à l’horizon 2020 par le développement de nouvelles capacités de tri et de valorisation des déchets.
Le levier est d’abord technique : il faut automatiser le tri. Plus nous automatiserons, plus nous créerons d’emplois. Pourquoi ? Parce que le marché est naissant et le besoin en sites de recyclage est très fort. Chaque année, Veolia ouvre un nouveau centre de tri plus performant en France. L’un des derniers se situe à Amiens. Les opérateurs ne trient plus sur un tapis roulant avec des gants mais face à une tablette d’ordinateur en sécurité pour trier beaucoup plus vite.

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Batterie Lenovo IdeaPad S12

Au total, le secteur devrait peser 3,1 milliards de dollars (2,8 milliards d'euros) en 2020, grâce à une croissance annuelle moyenne des ventes de 34% d'après les estimations de BNEF.Et ce marché n'est pas prêt de se tarir. En effet, si 70% de l'Afrique pourraient être électrifiés au prix d'investissements évalués par l'Agence internationale de l'Energie à 7,5 milliards de dollars (6,83 milliards d'euros), ce sont encore 530 millions de personnes qui ne devraient pas avoir accès au réseau en 2040.

Ce n’est pas le premier programme de rappel de sécurité pour HP, mais celui-ci est massif. Le constructeur appelle en effet ses clients à vérifier leur batterie d’ordinateur portable. « Les batteries affectées étaient expédiées avec des ordinateurs portables HP, Compaq, HP ProBook, HP ENVY, Compaq Presario, et HP Pavilion spécifiques vendus dans le monde entier, de mars 2013 à août 2015, et/ou étaient vendues en tant qu’accessoires ou pièces détachées, ou fournies en tant que remplacement ».

Le problème concerne plus d’une trentaine de références. Ces batteries sont susceptibles de surchauffer, entraînant un « risque d’incendie et de brûlures ». « Il est extrêmement important pour les clients de vérifier si leurs batteries sont affectées, et d’arrêter immédiatement l’utilisation des batteries affectées » signale HP.HP a en outre mis en place un programme de remplacement des produits défectueux. Deux méthodes sont disponibles : une vérification manuelle en renseignant les références du portable et de la batterie, et un utilitaire vérifiant automatiquement si la batterie est affectée ou non.

Enfin, HP fournira « une batterie de remplacement pour chaque batterie vérifiée et éligible, sans frais ». Notez que l’ancienne batterie défectueuse ne doit pas être renvoyée. Le constructeur ne précise pas les délais d’expédition, mais indique, à toutes fins utiles, que « les clients peuvent continuer d’utiliser leur ordinateur portable sans la batterie, en connectant l’ordinateur portable à une source d’alimentation externe ».Alimentez votre système lors de vos déplacements professionnels et personnels grâce à cette batterie OEM pour pc portable HP PI06 . Grâce à haute capacité, cette batterie vous permet de travailler sansinterruptionlors de vos déplacements.

Ce batterie pour HP PI06 contient des composants électroniques avancés et a été testé en accordance avec les standards très stricts de la CE. Le batterie contient une puce qui empêche la surcharge et les courts-circuit. En plus de cela le HP PI06 batterie est composé de ccellules de bonne qualité qui ne souffrent pas d’un ‘effet mémoire’.Le marché des PC se porte mal. Malgré une stratégie hésitante, le groupe coréen Samsung n’abandonne pourtant pas sa position et mise aujourd’hui sur le segment des convertibles pour séduire un nouveau public. Le groupe a présenté cette semaine un nouveau modèle de portable élégant, performant, et relativement bon marché, le Flip 7.

La particularité de ce modèle vient de son écran qui est capable de pivoter à 180 degrés pour adopter différentes poses. Un concept qui n’est pas sans rappeler celui des ordinateurs de la gamme YOGA de Lenovo…Niveau spécificités, le Flip 7 impressionne. Il est proposé en deux tailles d’écran – 13,3 et 15,6″ – et deux variantes – avec un processeur i5 ou i7. L’acheteur a également le choix entre plusieurs capacités de stockage (jusqu’à 128 Go de SSD), et de RAM (jusqu’à 16 Go). Le tout pour un prix d’entrée qui ne devrait pas excéder les 800€ au moment de la commercialisation.

Petite spécificité intéressante : le Flip 7 est doté d’un système de recharge rapide, comme les mobiles du groupe coréen, qui permet de recharger l’équivalent de deux heures de batterie en seulement 20 minutes.Même si l’iPad Pro semble être un produit premium destiné au grand public, il a été positionné comme un appareil dédié aux professionnels par Apple. Ce Pro signifie que des outils dédiés à la création (photographe, designer, illustrateur et ainsi de suite) sont mis en avant sur l’iPad. Le calibrage d’écran devient dès lors indispensable.

Vous l’avez certainement remarqué, de base, les écrans vendus sont trop contrastés, trop lumineux, et une température de couleur tirant sur le bleu. Pourtant, l’écran est le point de départ du travail des images et photos.Théoriquement, les photographes et designers vous le diront : il est impossible de calibrer un écran à la volée. Pour un moniteur ou un écran d’ordinateur portable, il faut passer par une sonde de calibrage ou colorimètre. Sans elle il est impossible même de fixer la luminosité de l’écran ou encore le contraste. Donc je ne parle pas des dominantes colorées…

L’autre problème tient à l’environnement, si vous êtes dans une pièce soumise à la lumière directe du soleil le matin ou dans l’après-midi, ou que vous utilisez des éclairages diffus avec des dominantes de couleurs. C’est encore plus le cas pour un produit mobile, comme un ordinateur portable, une tablette ou un smartphone. Apple a donc introduit True Tone Display : l’iPad Pro va utiliser différentscapteurs, comme le capteur de luminosité, pour calibrer l’écran automatiquement en fonction de l’environnement. L’idée derrière : avoir un rendu des couleurs le plus juste possible.Ce sont des fonctions que l’on retrouve déjà sur Android, comme les produits MediaTek. Le dernier Helio X20 intègre la technologie Miravision Chameleon, nous avions publié une démonstration vidéo pendant le Mobile World Congress. Sur Android N, une option permet de le faire manuellement depuis les paramètres « System UI Tuner », mais l’action n’est pas encore automatique. Nous devrions retrouver ce type de fonctions sur de plus en plus de produits, ce qui n’est pas un mal pour les rendus de nos écrans. Posons le décor Après Android L et Android M, voici Android N. Google continue de suivre l’ordre alphabétique mais surtout, la firme américaine continue d’employer le même processus de déploiement de ses versions Android. Elle commence par une version bêta, dédiée aux développeurs, pour permettre aux éditeurs et développeurs d’intégrer les nouvelles APIs (et … Lire la suite

Alors que les voitures autonomes sont annoncées entre 2025 et 2030, bon nombre de constructeurs (Audi, Ford, BMW, Mercedes, KIA, PSA, Renault), d'équipementiers (Valeo, Delphi, Bosch) sans oublier Google et ses Google Cars font déjà rouler leurs prototypes sur circuits fermés et routes ouvertes — avec autorisation. Toutes ont un point commun : la présence d'un conducteur chargé de reprendre le volant en cas d'incident, comme le prévoit la Convention de Vienne.

Il existe pourtant déjà un véhicule autonome qui roule tous les jours et qui embarque même des passagers. Ce véhicule autonome, baptisé Arma, est une navette made in France conçue et fabriquée par la société lyonnaise Navya. Nous avons eu la chance de voir évoluer cette navette au sein de la centrale nucléaire de Civaux (86), où elle transporte les employés vers leurs différents postes de travail au gré de leur journée. Au total, ce sont près de 6 navettes qui assurent le ramassage des employés, en plus d'un bus thermique traditionnel, le tout opéré par l'opérateur Transdev.

La navette Navya Arma embarque jusqu'à 15 personnes. Ses quatre roues dotées de pneus neige sont directrices.
Extérieurement, la Navya Arma a un petit air de manga, avec ses phares qui remontent haut sur les côtés. Ellemesure4,75 x 2,05 x 2,55 mètres, pour une garde au sol de 0,2 mètre et un poids total à vide oscillant entre 2,1 et 2,350 tonnes. Elle est dotée de 4 roues directrices (2 x 2) dont les pneus de marque Nokian sont adaptés à la neige. Sous le capot moteur, une batterie LifePO4 (Lithium Fer Phosphate) d'une capacité de 33 kWh (temps de charge de 5 à 12 heures par induction) alimente un moteur électrique de 15 kW. Si sa vitesse maximale est de 45 km/h, la navette ne dépasse que rarement les 30 km/h en raison des sites où elle évolue. À noter qu'elle peut franchir des pentes à 12 %. En plus d'être autonomes, ces navettes sont intelligentes et se dirigent d'elles-mêmes vers une station de recharge quand les batteries sont trop faibles.

Si la ceinture de caisse est en matière plastique dure, le haut n'est que baies vitrées qui oblige à l'installation d'une climatisation. Le jour de notre visite, le soleil était au rendez-vous et l'intérieur s'est vite transformé en sauna. Le système de climatisation en question n'avait pas été raccordé ! Pour pénétrer à l'intérieur, deux larges portes automatiques qui coulissent de part et d'autre. Une fois à bord, on compte 11 places assises distinctes (deux rangées de quatre et trois strapontins) tandis que 4 autres personnes peuvent rester debout tout en se tenant aux lanières prévues à cet effet. Considérée comme un minibus, la navette Navya est ornée de son macaron d'assurance.

En bon véhicule autonome la Navya Arma se barde de capteur en tous genres : GPS RTK pour une géolocalisation en temps réel et deux LiDAR dont un positionné sur le toit et un second sur la façade avant. Dotés de 64 faisceaux laser, les LiDAR collectent plus d'un million de données par seconde pour cartographier l'environnement en temps réel. Deux caméras stéréovision scrutent la route sur l'avant et des capteurs sont apposés partout sur la carrosserie. Avant de laisser la navette partir seule, les ingénieurs de Navya cartographient la zone et établissent un circuit. Dans le cas de la centrale de Civaux — qui occupe 224 hectares —, la longueur du circuit ne fait que 2,8 kilomètres. Malgré cette « petite » distance, le trajet est semé d'embûches, comme les stops et les priorités à droite, sans compter la circulation d'autres véhicules qu'il faut prendre en compte. Audépart, les navettes répètent le circuit programmé avec une précision de l'ordre de deux centimètres ! Elles détectent et enregistrent toutes les évolutions survenant sur le parcours. Ainsi, que l'obstacle soit statique ou en mouvement, la navette sera capable de le contourner à la seule condition que l'espace nécessaire soit présent. Si tel n'était pas le cas, elle prévient la supervision — dans le cas de Civaux, elle ne se trouve pas sur place — qui, grâce aux caméras, peut estimer si la navette est en capacité de passer et de la faire repartir. Quel que soit l'incident, les navettes communiquent entre elles pour s'avertir. Les possibilités actuelles des navettes Navya sont le contournement d'obstacles, le croisement et les dépassements par d'autres véhicules et le respect des priorités à droite.

Lors de la présentation des navettes Navya Armia, nous avons été invités à les tester en tant que passagers. À bord, un superviseur armé d'un simple clavier d'ordinateur était présent pour régler les possibles incidents. Une fois installés, ce dernier nous demande où nous souhaitons nous rendre. Un écran tactile sur lequel apparaît le trajet permet de sélectionner les haltes. La navette s'ébroue en douceur et attaque son parcours. Passé la surprise de cette conduite autonome, chacun des journalistes présents à bord discute de choses et d'autres comme si de rien n'était. Comme nous le confiera plus tard le superviseur de notre navette, au bout d'un moment, personne ne fait plus attention qu'il se trouve à bord d'une navette autonome. Pas sûr que l'on ressente le même effet à bord d'une voiture autonome ou semi-autonome où l'attention est de rigueur. En revanche, la Navya Arma freine plutôt fort, voire un poil brutalement. Mieux vaut que les passagers debout soient bien accrochés ! Hormis cela, cette navette est plutôt bluffante. À aucun moment, on ne ressent une quelconque inquiétude ou de l'anxiété en l'absence de conducteur. Finalement, c'est comme si l'on prenait les lignes 1 et 14 du métro parisien ou l'Orlyval qui sont automatisés.

En attendant que la législation change, les navettes autonomes Navya se font les dents — ou plutôt les roues — sur des sites industriels avant de viser les aéroports, les parcs d'attractions, les campus universitaires et les hôpitaux. Aujourd'hui, CARPOSTAL, entreprise de transport suisse, a acquis deux navettes qu'elle teste en parc fermé avant de les « libérer » prochainement dans la ville de Sion où elles transporteront des passagers. En Australie, du côté de Perth, le Royal Automobile Club (RAC) va tester une navette Navya dans le cadre du nouveau plan d'expérimentation des technologies automobilesautonomes.

Pour l'inauguration, les 3 acteurs Navya (Christophe Sapet), Transdev et le directeur du CNPE de Civaux (Louis Bellegarde) étaient présents pour couper le ruban officiel.
C'est le 12 avril dernier que s'est tenue sur le site de Civaux l'inauguration de la mise en service officielle des six navettes Navya Arma, en présence des trois acteurs principaux : Navya, EDF et Transdev (opérateur). Ces six navettes viennent remplacer les deux bus affectés à la tournée sur le site de la centrale. Les navettes effectueront toujours le même trajet de 2,8 kilomètres et 100 à 300 km par jour selon les périodes, avec des rotations plus nombreuses aux heures de pointe. Le temps d'attente pour les salariés sera de 3 minutes entre chaque navette, contre 8 minutes auparavant.

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June 28, 2016

Batería HP HSTNN-UB73

Una vez se le toma el pulso al teclado, uno se acaba acostumbrando a una cuestión tan importante como el recorrido de las teclas: vengo de usar un teclado mecánico, cuyo tacto y nivel presión requerido son muy distintos. Por otro lado, el touchpad ha respondido mejor de lo que cabría esperar, sin obtener reacciones imprevistas y disfrutando de respuestas instantáneas. ¿Lo he usado siempre? Al utilizar con regularidad programas de edición como Photoshop y Premiere, he prefiero optar por un ratón inalámbrico.

A nivel de conectividad, este Yoga cuenta con dos puertos USB 3.0, uno en cada lado, y un puerto USB de tipo C en el lado izquierdo: paraaprovechareste último tipo de conexión te podría convenir comprar un cable KSIX USB-C a micro USB o uno USB-C a USB-C, disponibles e línea a un precio de 12 euros. Yo tengo dichos cables, que me sirven para interconectar diversidad de productos electrónicos, incluido mi Smartphone de Huawei.

Observaciones finales
¿Qué tipo de portátil andas buscando? El Lenovo Yoga 900 me ha dejado ampliamente satisfecho durante el mes de uso, destacando ante todo sus cualidades en autonomía y la ligereza de su estructura. En rendimiento no me ha defraudado, habiendo contribuido en gran medida el disco duro SSD de Samsung, los 16GB de RAM y el procesador Intel i7.

El capitán John Cox, piloto durante 46 años y experto en incendios en aviones, tampoco tiene claro lo que pudo suceder en el vuelo de Egyptair. En declaraciones a la BBC ha indicado que "si los tiempos que nos han indicado son los correctos, hubo tres minutos de avisos de humo y de aumento de temperatura, seguidos de cuatro de vuelo sin alertas y de dos de caída. Para un fuego es un periodo de tiempo muy corto y para una explosión, como una bomba, es un periodo de tiempo muy largo".
John Cox maneja estadísticas que le dan que pensar. Cada año se producen entre 900 y 1.200 incidentes relacionados con el humo en los aviones sólo en Estados Unidos. "Para obtener una cifra global aproximada, basta con duplicar ese número", añade a la BBC Richard Westcott, otro experto en transporte aeronáutico. "La gran mayoría de estos accidentes no acaban en tragedia, pero sí hay incendios que han inducido la caída de aviones".

Según John Cox, "este aumento de incendios se debe a dos motivos: al incremento del número de vuelos y de la gente que sube a bordo con baterías de litio. Por ejemplo, un avión que transporta a 100cienpersonas puede llevar 500 baterías de litio en la cabina. Se encuentran en las cámaras de fotos, ordenadores portátiles, tabletas, teléfonos, libros electrónicos… He calculado que por un avión, al año, pueden pasar hasta 3.500 millones de estas baterías".
Cox precisa que "las baterías pueden explotar por múltiples factores. Las se aplastan accidentalmente, por ejemplo al caerse, son especialmente peligrosas. Y más en el caso de que no sean de una marca fiable".
Respecto a las instalaciones anti-incendios a bordo, Cox añade que "los aviones modernos tienen detectores de humo, pero losextintoresautomáticos sólo están en la zona de carga o bodega. En cuanto a los extintores manuales, sólo suele haber uno en cada baño. El problema es que muchos incendios se ocasionan en lugares inaccesibles a los que no llega la tripulación".
Es probable que no estés muy satisfecho con la duración de la batería de tu portátil Windows, muchas veces las baterías de los portátiles son de por si algo pobres, pero la cosa empeora mucho con el desgaste de la batería con el uso. Pero si intentas exprimir la batería al máximo, los resultados mejorarán mucho.

Un truco para mejorar la duración de tu batería es evitar que se sobrecargue, para lo que debes desenchufar el ordenador a partir de cierto nivel de carga.Battery Limiter es un simple programa pensado para que evites la sobrecarga de tu batería. Al alcanzar cierto nivel de carga, que por defecto es 90%, aunque lo puedes modificar desde un mínimo de 30% hasta un máximo de 93% (en la web de la app dice que el máximo es 96%, pero al menos en mi caso no he podido establecer un límite superior a 93%), comenzará a sonar una molestísima alarma para recordarte que desconectes el cargador.El programa cuenta también con una aproximación de la duración de la batería, aunque en mi experiencia no ha resultado muy certero, y ha calculado una hora y media más del resultado real. Tal vez con el uso esas aproximaciones se vayan afinando.

¿Has conseguido con este truco aumentar la duración de la batería de tu portátil?¿Funcionan correctamente las aproximaciones de duración en tu ordenador?Como reza el dicho popular, "la realidad siempre supera a la ficción” y es que, aunque nos hemos podido imaginar tabletas, asistentes digitales o dispositivos como los smartwatch, no podíamos prever que fuese a surgir, de la noche a la mañana, un nuevo formato de ordenador portátil o, se podría decir, vestible, que está surgiendo unido a la realidad virtual: el ordenador mochila. Y es que estos días en la feria Computex ya se han presentado tres ordenadores de alto rendimiento para juegos (o el llamado "gaming”) orientados a su uso con gafas de realidad virtual como las HTC Vive o las Oculus Rift. Y es que las gafas de realidad virtual de HTC te permiten no sólo girar la cabeza o el cuerpo sino que puedes moverte en tu habitación para usar determinados juegos, lo que puede ser incómodo si tus gafas están conectadas a un ordenador de sobremesa. ¿La solución? el "ordenador mochila”.

Todavía no hay especificaciones muy concretas de algunos de ellos. Del ordenador de MSI se sabe que podrá equipar un procesador Intel Core i7 y un sistema gráfico GeForce GTX 980, mientras que del ordenador de HP se ha comunicado que pesará menos de 5 kilos y tendrá especificaciones suficientes para usar las gafas más avanzadas con procesadores Intel Core i5 o i7, hasta 32 GR de RAM y sistemas gráficos de alto rendimiento. De este modelo de HP se sabe que la autonomía de la batería es de una hora, aunque podrás cambiarla "en caliente”, es decir, sin apagar el ordenador para poder estar de nuevo inmerso en los juegos sin apenas interrupción, y lleva un sistema de ventilación especialmente pensado para llevarlo colocado en la espalda a modo de mochila: muy al contrario de lo que sucede en un portátil, si es que estás valorando la posibilidad de usarlo guardado en una mochila de tela normal.

Además, el ordenador de HP se comercializará con un monitor sin cables (con tecnología inalámbrica de tipo Miracast), así como loshabitualesratón y teclado también sin cables. De momento se desconoce el precio, pero como referencia debes saber que la mayoría de los PC que cumplen con los requerimientos de las gafas de Oculus o HTC rondan los 1.000 euros, de manera que puedes esperar que el precio de este PC mochila esté algo por encima de esa cifra (aunque también dependerá de las configuraciones).

Como ves, la idea es magnífica, aunque no esperes poderte dar paseos muy largos ya que los movimientos están limitados por los que a día de hoy permiten las gafas VR, que son unos pocos metros cuadrados. Sin embargo, si estos ordenadores se hacen populares, es probable que los desarrolladores de las gafas encuentren una fórmula para que puedas ampliar el área en la que te muevas o incluso, por qué no, crear un amplio entorno que mezcle lo real y lo virtual con varios jugadores al tiempo para conseguir una experiencia más rica.

Como ves, la idea es magnífica, aunque no esperes poderte dar paseos muy largos ya que los movimientos están limitados por los que a día de hoy permiten las gafas VR, que son unos pocos metros cuadrados. Sin embargo, si estos ordenadores se hacen populares, es probable que los desarrolladores de las gafas encuentren una fórmula para que puedas ampliar el área en la que te muevas o incluso, por qué no, crear un amplio entorno que mezcle lo real y lo virtual con varios jugadores al tiempo para conseguir una experiencia más rica.

La ropa inteligente ha llegado al mercado. Hace poco más de un año, Google anunciaba que había llegado a un acuerdo con Levi's para colaborar. Poco o nada se sabía sobre la negociación que habían cerrado ambas partes, aunque todo indicaba por dónde irían los tiros: prendas interconectadas con dispositivos móviles. Ahora, este vínculo ha dado lugar al primer fruto: una chaqueta vaquera que te permite consultar tu 'smartphone' sin tener que sacarlo del bolsillo.
En apariencia, se trata de una chaqueta vaquera normal, pero esconde un 'secreto': en uno de sus puños, posee un pequeño cuadrado de fibras, llamado 'smart tag' -etiqueta inteligente- que es el gran maná de esta revolucionaría prenda. Como si se tratara del 'touchpad' de un ordenador portátil, este pequeño cuadrado permite interactuar directamente con tu 'smartphone', que se vincula con la chaqueta a través de 'bluetooth' y ofrece multitud de posibilidades sin tocar la pantalla.

ARM se ha dado cuenta de que probablemente estamos pasando mucho más tiempo con nuestro smartphone. La compañía que está detrás de la mayoría de procesadores móviles ha creado sus nuevos diseños de chips de nueva generación para proporcionar un alto rendimiento y una vida más larga de la batería. ARM anunció el CPU Cortex-A73 en el Computex de Taipei. Los chips basados en el diseño serán un poco más rápidos que sus predecesores pero según ARM, será una generación más enfocada a una mayor eficiencia.

Según Paul Teich, analista de Tirias Research, esto se adapta a lo que está ocurriendo actualmente con los teléfonos. "Encontramos que tenemos suficiente potencia en nuestros smartphones”, comentó. Y con las pantallas cada vez más grandes como quieren los consumidores y teléfonos suficientemente delgados, el tamaño de la batería será el mismo durante un tiempo.

Lo que sí que sigue cambiando, según Teich, es cómo las personas utilizan sus teléfonos. Están jugando a juegos más exigentes, viendo más películas en los aviones y empezando a hacer algo de realidad virtual, lo que significa que están poniendo la pantalla para la prueba a sólo unos centímetros de sus ojos. No son los pequeños momentos de actividades como esperar a que se cargue unapáginaweb o luchar en una emboscada en un videojuego. Son las actividades en curso donde los usuarios necesitan una calidad de experiencia consistente. Por ejemplo, en actividades de muy corta distancia, como la realidad virtual, los usuarios son más sensibles a los retrasos y al tamaño del píxel, según explicó James Bruce, director de soluciones móviles de ARM. Los chips tienen que ser capaces alimentar estas aplicaciones si usar demasiada energía. Al final de una larga sesión visual o de juego, los usuarios aún deben poder hacer una llamada.

Los chips Cortex- A73 deben funcionar a su máxima velocidad durante largos periodos de tiempo, explicó ARM. La diferencia entre el pico y el rendimiento sostenido es mucho menor que en los últimos diseños de CPU de la compañía, los Cortex-A72. Los socios de ARM pueden producir CPU con diferentes números de núcleos según sus necesidades. El Cortex-A73 está dirigido a los smartphones de gama alta así como a otros menos potentes con precios sobre los 200 dólares, según explicó la compañía.

ARM también ha introducido un nuevo diseño GPU, el Mali-G71, basado en su próxima arquitectura de chips gráficos llamada Bifrost. Como el Cortex-A73, será más eficiente y estará diseñado para un rendimiento sostenido, explicó la compañía. También podría llevar a algunos dispositivos móviles a un nuevo nivel.CONTRAS: Su tarjeta gráfica integrada no es lo más potente del mercado, no apta para los más Gamers. El precio puede parecer un poco alto para la configuración más alta de gama. La tecla Windows si a alguien le importa. 🙂

Todo el mundo a día de hoy conoce a Toshiba como una de los fabricantes de aparatos eléctricos y electrónicos entre los que se encuentran sus ordenadores portátiles. Pues bien, la compañía japonesa acaba de encontrarse desde ayer mismo ante una desagradable situación después de que la Comisión para la Seguridad de los Productos de Consumo (CPSC) haya solicitado la retirada de más de 100.000 baterías de ordenadores portátiles de la compañía.

Esta medida ha sido tomada por la CPSC después de varios informes en los que se ha detectado un riesgo de sobrecalentamiento que podría provocar otros efectos mayores como posibles incendios o explosiones de este componente, aunque por el momento no se conoce ningún caso de que esto haya podido suceder.De cualquier modo, para evitar cualquier riesgo tanto material como personal, la CPSC ha ordenado la retirada de todas las baterías de más de 39 modelos de portátiles de la marca que fueron fabricada por Panasonic y que están incluidos en gran cantidad de dispositivos que fueron fabricados entre mediados de 2011 y principios de 2016.

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Batería HP Compaq 6735b

En ocasiones he utilizado el Yoga 900 como soporte al redactar artículos o para realizar llamadas por Skype, apoyándolo sobre la mesa como si fuera un tejado: se dispone la pantalla y la base formando un ángulo de 45º. Es un buen sistema para maximizar el espacio disponible y tener la pantalla más cerca de uno mismo: en cierto modo es como si tuviéramos un marco ante nosotros, lo que puede ser decorativo si se muestran fotografías o vídeos en alta resolución.

La versatilidad de este ordenador es evidente, lo que ayuda a disponerlo de la forma más conveniente según el uso que vayamos a darle en cada momento: productividad, siendo necesario utilizar el teclado; reproducción de contenidos multimedia, disponiéndolo como un libro abierto en ángulo de 45º; o exploración de contenido en línea, doblando la pantalla en su totalidad. La ubicación de los dos altavoces JBL del Yoga 900 no es la que yo hubiera elegido, pues estando en la base la apreciación del sonido cambia bastante en función de si las ondas rebotan contra una superficie a tres milímetros de distancia o si lo hacen a más de 1 metro.

En el caso de querer un modelo que no esté ni entre los más limitados ni tampoco entre los más potentes del mercado, la misma empresa china Teclast lo ha conseguido creado al modelo X80 Plus. Se trata de una tablet también con sistema operativo dual (Windows 10 + Android Lollipop 5.1) que puede adquirirse por solo 75 euros.

A partir de una pantalla IPS de 8 pulgadas con una resolución de 1280 x 800 píxeles, este modelo combina un procesador Intel de cuatro núcleos con una GPU Intel HD Gen8, 2 GB de memoria RAM y 32 GB de memoria interna, además de una batería de 3500 mAh. Para evitar equivocaciones, puede accederse a nuestro pasado artículo sobre la Teclast X80 Plus que diferencia a esta tablet con otra de mismo nombre pero denominación "Pro” que es algo más potente.

Por último, el fabricante Onda tampoco se ha querido perder las rebajas en tablets chinas y ha colocado varios de sus equipos más atractivos en el mercado. Este es el caso de V919 Air, la cual mezcla un atractivo diseño metálico con buenas especificaciones a un precio de 141 euros para su versión de 64 GB de almacenamiento.

Con un estilo similar a los iPad de Apple, Onda V919 Air dispone de una pantalla Retina de 9,7 pulgadas con excelente resolución de 2048 x 1536 píxeles, procesador Intel de cuatro núcleos con arquitectura 64 bits, 2 GB de RAM y muy buena batería de 7200 mAh. También posee sistema operativo dual, aunque a Windows 10 se le complementa una versión Android más antigua, 4.4 KitKat. Puedes encontrarse el análisis de la Onda V9191 Air en el siguiente link.

En definitiva, estas son solo algunas tablets chinas de más de una veintena publicadas que pueden comprarse a menor costo del que poseen habitualmente. Además, no faltan accesorios como fundas, teclados inalámbricos o hasta un router Wi-Fi provisto por Xiaomi. No esperes más e ingresa a igogo para encontrar la oferta que mejor se adapta a tus necesidades.Se les hacen responsables de todos los ataques en todo el mundo en todo momento de Anonymous
Según el abogado Carlos Sánchez Almeida, que representa a uno de los acusados, "el hecho del que se les acusa no es delito", sencillamente porque el informe "sólo dice que hubo un gran número de direcciones IP que lanzaban un gran número de peticiones, pero no informa ni de cuanto tiempo está inoperativa la página, ni de qué servicios quedaron afectados, ni nada". "Ni siquiera acredita exactamente qué trabajos se hicieron, ni se aporta factura alguna" de los famosos 700 euros, recuerda.

En cuanto a al mail bombing de correos electrónicos, el letrado apunta que "a los imputados en ningún momento se les ha acusado de haberenviadoesos correos, no se ha demostrado que ellos enviaran correos ni se han aportado pruebas, ni siquiera el techo de uno solo de estos e-mails"."No hay constancia en el sumario de ningún otro ataque aparte del de la JEC", añade David Maeztu, abogado de otro de los acusados. "La Policía dice que han atacado a otros sitios de instituciones o partidos, pero no se aportan pruebas de ello". "Sin embargo", añade este abogado, "se pide un delito de daños continuados por todos los delitos de Anonymous desde ni se sabe, porque ni siquiera se determinan cuáles"."Se les imputa un delito de daños continuados", comenta Maeztu, que explica: "Es decir, se les hacen responsables de todos los ataques en todo el mundo en todo momento de Anonymous".

Como siempre, los juegos para PC siguen siendo más popular en comparación con los de consola, principalmente por la configuración que pueden hacer en sus equipos a precios más bajos y de esa manera sacar una mayor calidad de gráficos de sus títulos más favoritos. Y en el caso de los portátiles se ha ido reduciendo las pocas desventajas en comparación con un PC de sobremesa, tal como sus precios, potencia, almacenamiento, diseño/peso y batería, y muestra de ello es el portátil que estamos analizando, el Gigabyte P35K v3, un portátil de 15.6″ FHD que cuesta entorno a los 1500 euros y presenta un diseño atractivo y delgado, pero potenciado con un procesador Intel Core i7-4720HQ, 8GB de memoria DDR3L, una excelente gráfica dedicada GTX965M y dos discos de almacenamiento, un SSD de 128GB y un HDD de 1TB.

Gráfica NVIDIA® GeForce® GTX 965 con 4GB compatible con tecnología NVIDIA® MFAA para una experiencia de juego más atractiva. Consigue una puntuación superior a P7000+ en 3DMark 11 que asegura una sólida ventaja sobre la competencia de juego. Con 4GB VRAM para ofrecer efectos sorprendentes sin comprometer el rendimiento del sistema. Consigue directamente más FPS con efectos de iluminación, de movimiento, y filtrado de texturas.
Diseño increíble: Una mezcla de un novedoso diseño térmico junto a un perfíl súper delgado y ligero (20.9mm / 2,2 kg).
Innovadora tecnología Supra-Cool que cuenta con dos heatpipes, un ventilador para la CPU y otro para la GPU para garantizar una excelente conductividad térmica. rendimiento impresionante y una estabilidad superior al ordenador portátil gaming.
El v3 P35K soporta hasta dos SSD mSATA de 512GB y dos enormes HDD de 2TB. La estructura RAID 0 y la extraordinaria velocidad de lectura / escritura por el SSD mSATA es la que todos los verdaderos jugadores siempre han deseado.
La incorporación de 3 unidades SSD en RAID 0, rompe la barrera en velocidad de transmisión por encima de 1500MB/s, lo que elimina el tiempo de acceso y pantallas de carga brindando así una experiencia de juego mejorada. Esto es 12.5 veces más rápido que un disco duro convencional y 3 veces más rápido que un SSD mSATA estándar.

Ingenioso diseño intercambiable en caliente ODD/HDD por una bahía intercambiable que da la posibilidad al usuario de añadir una grabadora, unidad Blu-ray o disco duro de 2 TB adiciona.
Pantalla completa de alta definición con amplio ángulo de visión
El P35K v3 viene con puerto Mini DisplayPort capaz de dar salida a una pantalla externa para un ultra-alta resolución de hasta 4K a 60Hz. Disfrutar ahora de efectos visuales de última generación y de sus juegos favoritos en grandes pantallas.
Conexión inalámbrica 802.11ac, que ofrece conexiones más estables para disfrutar de un rendimiento más fuerte, una mayorcobertura, una menor reducción de velocidad y, sobre todo, la libertad para jugar en cualquier lugar con el P35K v3.
La cuarta generación de procesadores Intel® Coreâ„¢ llevan la eficiencia de energía a un nivel superior consiguiendo que mejore la vida de la batería. Además, ofrece una rápida velocidad de procesamiento de datos / multimedia.
Con tecnología Dolby Digital Plusâ„¢ que crea un entorno de juego realista que permite escuchar todos los efectos del juego para brindar una experiencia realista como si estuviera sucediendo en ese momento. Surround Virtualizer crea una experiencia de sonido envolvente virtualizado de contenido estéreo o multicanal a través de los altavoces incorporados o de auriculares.

El P35K v3 viene con un teclado retroiluminado con sensor de luz ambiental. Se ajusta la luz emitida al entorno del usuario, por lo que escribir en condiciones de poca luz y jugar en la oscuridad estará libre de problemas.
Fan Tweak adapta la velocidad del ventilador para diferentes escenarios de usuario, logrando un perfecto equilibrio entre la estabilidad y la tranquilidad necesidades del sistema.
GIGABYTE LAN Optimizer aumenta el doble de velocidad de su red en juegos y navegación. Dirigido con diferentes escenarios de usuario, el LAN Optimizer gestiona los paquetes de red por prioridad anteriormente definida por el usuario para la mejor experiencia online.

La tecla de Windows se puede desactivar y activar de nuevo a través de la tecla de función LockWin. Juego libre de la interrupción de ahora en adelante.
La tecnología GIGABYTE Smart optimiza e integra aplicaciones para una mayor experiencia del usuario.Gigabyte P35K v3
La última actualización del MacBook de Apple de 12 pulgadas ha presentado algunas mejoras con respecto a sus antecesores, una mayor duración de la batería y un procesador mas rápido. Sin embargo, en algunos aspectos, este último modelo de Apple se ha visto superado por el MacBook Air de 2015 en su versión de 13″. ¿Son convenientes en favor de la ultra portabilidad concesiones como un único puerto USB-C o una CPU más lenta?

En AppleInsider ya sometieron a una comparativa a la segunda generación de MacBook con pantalla de retina y a su predecesor, otorgando una pequeña ventaja a esta última generación, en términos de rendimiento. Esta vez la página nos sorprende con una comparativa más arriesgada, pero con unos resultados en algunos aspectos más que sorprendentes, el último modelo de MacBook frente al que pudiera ser uno de los últimos modelos Air de Apple.Si ahora mismo estás buscando un ordenador portátil ultrafino y ligero y te encuentras en la disyuntiva de comprar el modelo retina de 12″ o el Air de 13″, el video de su comparativa no te va a dejar la decisión muy fácil, y menos si tenemos en cuenta que la versión Air ya sale de serie con 8 gb de ram.

Podríamos pensar que en términos de conectividad, el MacBook Air gana si tenemos en cuenta el número de puertos y conexiones disponibles en ambos ordenadores . Mientras en el nuevo portatil de Apple sólo disponemos de un único puerto USB-C, dedicado tanto a la carga como a la transmisión de datos, en el modelo Air de 2015 contamos con el puerto MagSafe de carga, dos puertos USB 3, un puerto thunderbolt 2 y un lector de tarjetas SD.

¿Es suficiente un único puerto USB-C?. Probablemente sí. Con un único adaptador multipuerto tendríamos muchas necesidades resueltas. Además, por otro lado, lo que podría parecer a priori decepcionante, como la ausencia de puertos thunderbolt o de una ranura para la lectura de tarjetas SD, esencial hoy en día para aquellos que trabajamos con fotografía, si analizamos latendenciay evolución de la tecnología, tal vez no sean tan importantes en un futuro cercano. Apple siempre ha tendido a la conexión inalámbrica y las cámaras de fotos ya incorporan conexión wifi. ¿Necesitaríamos entonces la ranura para tarjetas sd?

En el caso de la pantalla , creo que sobran los comentarios. El hecho de que Apple no haya incluido en el MacBook Air la pantalla Retina es un fallo intolerable. El MacBook 2016 gana pese a tener una pulgada menos de tamaño. Es indiscutible la calidad de la pantalla Retina con mejores ángulos de visión, mejor contraste y precisión de color, mayor resolución… son los aspectos que convierten a la pantalla Retina en clara vencedora frente a una pantalla lcd que pese a ser de 13″ cuenta con menor espacio de trabajo dada su resolución.

Cierto es que el procesador del MacBook Air es más potente que el del MacBook 2016. Sin embargo a nivel usuario no se notarán mucho las diferencias de rendimiento entre ambos modelos. Apple ha apostado claramente por la simplicidad en las líneas, la ligereza y la delgadez en su nuevo portátil y ello tiene un coste. Componentes más finos y delgados y por lo tanto con alguna prestación menor, como las dos horas menos de duración de la batería.Las diferencias en el caso de teclado y trackpad se localizan sobre todo a nivel interno para conseguir incluir la tecnología necesaria en tan solo 13 mm. de espesor.Ambos teclados están retroiluminados por leds individuales y las diferencias se localizan principalmente a nivel interno con una teclas un 17% mas anchas y con el nuevo mecanismo de mariposa bajo las teclas. Puede que cueste algo, al principio,acostumbrarseal nuevo teclado, a su tamaño y por tanto a la posición de la manos y a su tacto, pero una vez superado este primer contacto no hay ningún problema.En el caso del trackpad el panel táctil es más fino y teniendo en cuenta la nueva tecnología de motores de retroalimentación háptica que incluye, la respuesta es uniforme independientemente de donde se presione, una gran mejora sobre el tradicional trackpad del MacBook Air.

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Batterie Fujitsu Siemens Amilo Li 1818

50 m2, cela vous paraît suffisant pour vivre ?
Je considère que c’est assez grand, dans la mesure où je n’ai pas d’électro-ménager ; pas de machine à laver la vaisselle, ni de lave-linge, ni de sèche-linge, ni de four, ni de téléviseur, ni d’ordinateur, Je n’ai pas de salon non plus, avec fauteuils et canapés… Finalement cela me laisse beaucoup d’espace. J’ai une chambre pour moi et même une chambre d’ami. Et bien sûr, un coin cuisine, une douche, et même une cave. Ce n’est pas si petit que ça, finalement !

Sans eau ni électricité, cela impose forcément un style de vie particulier, n’est-ce pas ?
Évidemment, encore une fois, je n’ai aucun appareil qui nécessite un branchement électrique. Sans aspirateur, je passe le balai, la lumière est fournie par des appliques solaires, et si je dois repasser des vêtements, j’utilise des fers à repasser en fonte, que je mets à chauffer dans le poêle à bois. Quant à la nourriture, je peux la conserver dans un « frigo » aménagé côté nord, pour la période hivernale. La cave me sert plutôt pour l’été. Mais comme je suis végétarien, cela limite grandement mes besoins. Je consomme essentiellement des légumes, du riz, des pâtes, des lentilles… qui seconserventtrès bien. Je fais mes cuissons soit dans le poêle l’hiver, soit en extérieur l’été, sur un réchaud gaz tripatte. Quand c’est possible, je mange cru.

Et pour l’eau, comment vous faites ?
J’utilise l’eau de pluie pour tous les usages, sauf pour la boisson. Mais, je viens d’acquérir un filtre qui me permettra également d’assurer l’eau potable, à partir de l’eau de pluie.

Et pour la lessive, alors ?
Pour le petit linge, je le lave à la main avec de la lessive que je fabrique moi-même, soit à partir de la cendre de bois, soit au moyen de copeaux de savon fait maison, mélangés à de l’eau chaude. J’avoue que j’ai recours aux laveries automatiques pour les éléments les plus volumineux, tels que les draps notamment.

Côté professionnel, quelle est votre situation ?
Après une carrière militaire, en tant que sous-officier dans le renseignement militaire, puis officier en gestion du personnel, j’ai basculé dans la fonction publique territoriale. Je travaille à présent au sein du Département, dans le domaine de la protection de l’enfance.

Vous avez évoqué des engagements dans le milieu associatif, quels sont-ils ?
Je suis bénévole en soins palliatifs, depuis 4 ans et demi. Depuis que je suis dans le Lot, je suis intervenu dans un premier temps à l’hôpital de Cahors et à présent je vais au domicile de personnes en fin de vie. Depuis deux ans, je pars également deux semaines l’été, sur mes congés, avec l’Association des Paralysés de France, en tant qu’accompagnant bénévole de personnes en fauteuil roulant. Par ailleurs, pour mon plaisir et surtout le plaisir de partager, je pratique le chant au sein de la chorale de Caillac depuis un an et demi, j’apprends l’accordéon diatonique au Conservatoire de musique du Grand Cahors depuis octobre dernier et je viens de débuter des cours de danses traditionnelles à Mercuès. Enfin, je pratique le yoga depuis l’été dernier, à Cahors également. Il est bien évident que je ne pourrais faire autant de choses et profiter de tous ces moments de partage d’une richesse humaine incomparable si je passais des heures devant la télé, l’ordinateur ou mon smartphone comme le font malheureusement une majorité de nos concitoyens.

Dans quel état d’esprit vivez-vous cet isolement ?
Pour moi, il n’est pas question d’isolement. Au contraire, je vis cela comme une manière de renouer avec la nature. Je préfère cet environnement-là, à la vie dans un lotissement. Vous constatez que je ne suis pas coupé du monde. Simplement j’ai besoin de moments à partager avec les autres et de moments où je me retrouve seul. Pour moi, tout cela est parfaitement complémentaire et participe à mon équilibre et ma joie de vivre.

Quel sens donnez-vous à tout cela ?
Le sens, le sens ! Être en accord avec soi-même et son environnement. Il n’est pas question pour moi de faire de prosélytisme. Je ne m’inscris nullement dans une démarche philosophique, politique ou religieuse. Ce n’est pas non plus une écologie punitive, que je m’imposerai dans la douleur ! J’éprouve un vrai plaisir à vivre dans cette maison où je ne suis pas parasité par toutes sortes d’appareils. Cela fait deux ans et demi que je vis là et tout se passe très bien. La décroissance se pose simplement face à la croissance prônée absolument partout. C’est pour moi en tout cas, une manière de vivre, tournée vers lesautres. Car je me rends bien compte qu’en me dégageant de la dimension matérielle, cela me laisse énormément de temps pour me consacrer aux rapports humains. Et ce qui est sûr, c’est que je ne suis pas non plus dans le virtuel, mais dans ce qu’il y a de plus concret qui soit.

Quel message souhaiteriez-vous faire passer en définitive ?
Je comprends qu’on ne veuille pas adopter ce style de vie. Néanmoins, il y a des actions très simples que tout un chacun peut appliquer, comme par exemple éteindre la télévision, au moins de temps en temps, ce qui permet de gagner 4 heures par jour, au regard de la consommation moyenne des Français à ce niveau, pour faire autre chose. On peut également acheter moins, en essayant de sortir de la spirale de la sur-consommation. On peut fabriquer tant de choses soi-même ou acheter d’occasion, auprès d’Emmaüs notamment. Ce qui ne rend pas moins heureux pour autant, au contraire ! Il me semble avoir trouvé un style de vie à la fois équilibrant et très harmonieux. Et j’ai simplement envie d’affirmer que vivre en « décroissant », c’est possible !

Depuis quelques années, Xiaomi se façonne une réputation solide sur le marché du smartphone, et son Redmi 3 Pro devrait largement participer à faire connaitre la marque en France.
Après avoir rencontré un grand succès avec son Redmi 3, Xiaomi récidive avec une version Pro affichant plus de RAM et de stockage pour un prix toujours contenu qui devrait séduire un large public.Les initiatives chinoises sur le segment des smartphones accessibles se multiplient, et Xiaomi frappe donc très fort avec son Redmi 3 Pro. Au menu du smartphone : un Soc Snapdragon 616 de 8 coeurs associé à un GPU Adreno 405, 3 Go de Ram, 32 Go de stockage et un écran 5 pouces de 1280 x 720 pixels.

Le smartphone est compatible 4G/LTE et propose un capteur photo principal de 13 mégapixels doté d'un autofocus capable de faire une mise au point en 0.01 seconde. Le tout est agrémenté d'un lecteur d'empreintes digitales, d'un lecteur de carte microSD, et d'une batterie de 4100 mAh.Le Redmi 3 Pro affiche également une finition premium avec une coque en métal. Notons que c'est la ROM MIUI 7 basée sur Android 5.1.1 lollipop qui anime le smartphone.Compte tenu de sa fiche technique, le smartphone est plutôt accessible : il est actuellement proposé au prix de 145 € sur le site de GearBest.

Le ZBook Studio propose un écran de 15,6 pouces (en Full HD ou en 4K), un processeur Intel Core i5, i7 ou Xeon avec 32 Go de RAM au maximum, une carte graphique Nvidia Quadro M1000M ou Intel HD. La mémoire peut elle atteindre 2 To en couplant un HDD à un SSD. Le tout pèse 1,8 kilo et l’écran ne fait que 4 mm d’épaisseur.Une belle machine qui sera vendue à 1700 dollars dans sa version entrée de gamme et qui sera disponible aux Etats-Unis en décembre.Avec ce nouveau PC, HP attaque de front Apple et ses MacBook Pro. Selon l’aveu même du patron de HP, Le ZBook Studio est avant-tout destiné aux professionnels déçus d’Apple qui cherchent une nouvelle machine sur laquelle bosser.

Un premier test réalisé sur Antutu révèle ainsi que le nouvel iPhone de 4 pouces est bien doté de 2Go de RAM, à l'instar de ses grands cousins, et plus étonnant, le « SE » parvient même à décrocher un score de 134,358, devançant ainsi l'iPhone 6s (132,620). À titre de comparaison, le Galaxy S7 de Samsung, sans doute le plus puissant dessmartphonesAndroid disponibles sur le marché, obtient un score compris entre 105 000 et 125 288, en fonction du processeur.

Cette avance trouve sans doute son explication dans la taille plus réduite de l'écran de l'iPhone SE, dont le processeur doit ainsi gérer moins de pixels. On regrette en revanche que l'appareil manque de quelques fonctions pratiques propres aux plus grands modèles, comme les raccourcis 3D Touch, un stabilisateur optique pour la vidéo et un capteur Touch ID de 2ème génération.
Samsung fait partie des entreprises les plus innovantes. Un brevet retrouvé en mai dernier par PatentlyMobile, indique la possibilité qu’un Galaxy Note 6 hybride, puisse s’imbriquer dans un PC portable afin d’étendre ses capacités sur un autre support plus complet, à l’instar de l’Asus Padfone.

Le site PatentlyMobile spécialisé dans la découverte de brevets a remis au jour des plans pouvant présenter les futures innovations présentes sur le Galaxy Note 6. Si le Note 5 n’a pas (encore) fait son apparition sur le Vieux Continent, nous pouvons toujours espérer pouvoir mettre la main sur le modèle suivant. Pour l’instant, ce modèle n’est encore que fantasme, raison de plus pour nous laisser aller à quelques hypothèses.

Si une sortie courant 2016 n’est pas exclue, restons sur nos gardes. Il reste que si l’on se base sur les plans de brevet découverts, le Galaxy Note 6 pourrait faire office d’appareil hybride, capable de s’emboîter dans un ordinateur portable et l’alimenter. Ce n’est pas une idée nouvelle puisque Asus avait déjà expérimenté ce genre de dispositif avec son Padfone, combinaison d’un smartphone venant animer une tablette.

De nos jours, les smartphones possèdent des caractéristiques très proches des ordinateurs, possèdent leur propreRAM, leur processeurs et puces graphiques, leurs espaces de stockage…autant dire qu’ils pourraient sans problème être utilisés comme cÅ“urs et cerveaux capables d’animer une « coquille » d’ordinateur portable.Amovible, le potentiel Samsung Galaxy Note 6 pourrait ainsi être utilisé comme smartphone puis comme ordinateur, alors, il après l’avoir enclenché. Les fonctionnalités du mobile se verraient alors démultipliées, permettant une utilisation plus poussée. Si Asus nous avait donné le smartphone animant une tablette, Samsung pourrait bien nous apporter le smartphone emboîté dans un ordinateur portable.Que pensez-vous de cette idée, serait-ce un bon moyen de développer l’utilisation de ses produits et trouvez-vous cela utile ?

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Batterie Dell U011C

Nous l'avions noté dans notre précédente analyse du marché du PC cet été, pour contrer la baisse du volume des ventes d'ordinateurs (entre 10 et 12 % sur un an selon Gartner et IDC), les constructeurs misent sur la diversification.L'une des solutions les plus populaires consiste à se tourner vers le marché du matériel dédié au jeu sur PC, un segment en pleine croissance qui selon Jon Peddie Research, pesait 24,7 milliards de dollars l'an dernier pour gonfler jusque 32 milliards de dollars en 2018. Cerise sur le gâteau, 44 % de ces revenus sont issus du marché haut de gamme et de clients que l'institut qualifie de « très orientés sur le style et les performances, à l'instar des propriétaires de voitures de sport », notaient nos confrères de MCV.

Forts de ce constat, les fabricants de PC se risquent à des alliances que bien peu d'observateurs auraient imaginé il y a quelques années. Dernier en date, Lenovo, qui s'est associé avec Razer, une marque spécialisée dans les périphériques pour joueurs, dans le but de commercialiser des ordinateurs de bureau haut de gamme.

Lenovo présentera cette semaine à l'occasion de la DreamHack un prototype d'ordinateur conçu en partenariat avec Razer, avant de se lancer dans de plus larges annonces à l'occasion du CES en janvier à Las Vegas, où nous nous rendrons. Devant nos confrères de VentureBeat, Victor Rios, le vice-président et directeur général du segment « Performance PC » de Lenovo explique que « Nous n'avons jamais eu de focalisation particulière sur les PC de jeu. Mais en voyant les opportunités sur ce marché, nous avons recherché des entreprises avec qui il serait bon de s'allier. Et Razer se trouvait en haut de la liste ».

Contrairement à Lenovo, Razer ne met pas ses Å“ufs dans le même panier. La marque multiplie les partenariats avec des fabricants de matériel qui conçoivent des boîtiers à ses couleurs, elle tente par ailleurs d'entrer seule sur le marché des ordinateurs dédiés au jeu. C'est justement dans cette optique que Razer a annoncé en fin de semaine dernière que son PC portable Blade, jusqu'ici uniquement commercialisé aux États-Unis, traversera l'Atlantique le 10 décembre prochain, juste à temps pour les fêtes. Il s'agit pour rappel d'un portable de 14 pouces, équipé d'une dalle IPS 1920x1080 non tactile ou IZGO 3200x1800 tactile, d'un processeur Core i7-4720HQ, de 8 à 16 Go de RAM, d'une GeForce GTX 970M et de 128 à 512 Go de stockage via un SSD au format M.2. Tous les détails sont disponibles sur cette page.

Pour l'heure, Razer précise que seules les variantes avec 256 ou 512 Go de stockage et un clavier QWERTY seront proposées à la vente. Seule inconnue pour l'instant, le tarif de la bête, actuellement proposée aux Etats-Unis à partir de 2000 dollars pour la version dotée d'un écran Full HD et de 2300 dollars pour la version QHD+, toutes deux avec 256 Go de stockage.

Pas de doute, ce petit compact a tout ce que l'on attend des APN de dernière génération : un viseur électronique (escamotable), un écran orientable — toutefois non tactile —, un super zoom 30x, équivalent à un 24-720 mm f/3,5-6,3 et une compacité extrême. Cette version en solde bénéficie, en complément, du GPS intégré pour géolocaliser ses images. Très équilibré, ce compact miniature fait d'ailleurs toujours partie de notre sélection du guide d'achat, et est le seul à proposer simultanément autant de fonctionnalités pratiques et techniques. Équipé d'un capteur CMOS rétroéclairé 1/2,3" à 18 Mpx et du processeur Bionz X, qualité d'image et réactivité sont au rendez-vous, et nous n'attendions plus qu'une petite baisse de son prix pour vous inciter à sauter le pas.

Il est en effet logique d'espérer une présentation simultanée de ces deux gammes : le Mac mini utilise les mêmes processeurs que le MacBook Pro 13,3" (lire : Quel processeur Skylake pour quel Mac ?), dont le renouvellement prochain est une évidence. Bien sûr, le Mac mini ne suscite pas les mêmes attentes que le portable professionnel pommé, et il est d'ailleurs assez peu mis en avant par Apple qui préfère largement promouvoir l'iMac. Notons également qu'Apple ne voit aucun problème à garder certaines de ses gammes une éternité à son catalogue : le Mac Pro actuel date par exemple de décembre 2013... La présentation d'un Mac mini 2016 en juin n'est donc pas une absolue certitude, mais la rampe de lancement serait idéale.

Quoi qu'il en soit, une bonne nouvelle nous provient du côté de l'USPTO cette semaine. Le Bureau américain des brevets et des marques de commerce vient en effet d'enregistrer une nouvelle marque pour le compte d'Apple : 11 ans après la sortie du premier modèle de Mac mini, Apple a enfin jugé utile de déposer le nom de son petit ordinateur ! Une mesure qui est assez étonnante autant d'années plus tard, mais qui a au moins le mérite de montrer qu'Apple n'abandonne pas le Mac mini.

Nous saurons donc dans quelques semaines si ce nouveau dépôt de marque aquelquechose à voir avec une hypothétique volonté d'Apple de redonner un coup de jeune au Mac mini. La présentation d'un modèle revu et corrigé, plus compact (avec de la mémoire flash par défaut ?) et doté de la connectique USB-C, aurait assurément de quoi relancer l'intérêt pour cette gamme trop délaissée ces derniers temps. Wait and see...
Écran cassé, batterie à plat, boutons endommagés… Les smartphones sont des appareils fragiles qui tombent souvent en panne. Est-il toujours intéressant de les faire réparer ? Vaut-il mieux s’adresser à un réparateur ayant pignon sur rue ou à une boutique en ligne ? Les réparations donnent-elles toujours satisfaction ? Les résultats de notre enquête menée auprès de 1 704 personnes ayant subi un dommage sur un smartphone au cours des 12 derniers mois.
L’écran de votre smartphone constitue la casse la plus fréquente. L’écran est le plus exposé des composants, celui auquel une mauvaise chute peut être fatale. Le plus souvent, seule la vitre est endommagée (50 % des pannes). Mais il arrive aussi assez fréquemment (19 %) que la dalle LCD soit touchée, auquel cas il est indispensable de changer le bloc écran dans son entier. C’est un peu plus cher (les prix varient en fonction des modèles de smartphones), mais la réparation n’en est que plus pérenne.
La deuxième panne la plus fréquente est liée à la batterie (15 %). L’autonomie ne donnant plus satisfaction, il est nécessaire de changer la batterie. Sur certains modèles de smartphones, rien de plus simple : il suffit de retirer la coque arrière et de procéder au remplacement après avoir acheté une batterie neuve. Hélas, de nombreux constructeurs proposent désormais des appareils à batterie non amovible. Dans ce cas, les manipulations sont plus délicates, car il faut alors ouvrir le téléphone. Notez que si l’autonomie est une grande source d’insatisfaction des utilisateurs, il est néanmoins normal qu’elles s’usent avec le temps. Notre test en laboratoire de batteries de smartphones et tablettes a même montré qu’il s’agit de composants plutôt fiables, n’en déplaise aux exigeants consommateurs que nous sommes.

Les autres pannes (16 %) concernent le bouton marche/arrêt, la face arrière de l’appareil ou encore leconnecteurqui permet de recharger le smartphone. D’autres possesseurs de smartphone évoquent également des problèmes avec leur carte SIM et la fonction photo. Dans 77 % des cas, l’objet de la réparation n’est pas couvert par la garantie (écran cassé suite à une chute, par exemple). L’intervention d’un tiers non agréé est souvent invoquée par la suite pour refuser l’application de la garantie en cas de panne. Un tel refus peut tout à fait être contesté notamment en rappelant que la garantie légale de conformité court sur 2 ans.

La plupart des consommateurs confient leur smartphone en panne à un réparateur (lire ci-dessous). Mais 21 % des personnes que nous avons interrogées indiquent qu’elles l’ont réparé elles-mêmes. La plupart des pannes sont facilement réparables, tant qu’on fait preuve de patience et de minutie. Plusieurs sites Internet se sont spécialisés dans la vente de pièces détachées aux particuliers, qu’ils proposent en kit avec les outils nécessaires à la réparation. Des tutoriels très détaillés vous accompagnent dans chaque étape. En les suivant à la lettre, n’importe quel bricoleur est capable de s’en sortir. Neuf personnes sur dix ayant réparé elles-mêmes leur smartphone ont déclaré avoir été satisfaites de leur « autoréparation ».
Parce que la réparation est jugée trop coûteuse, qu’ils ne savent pas à qui s’adresser, ou qu’ils préfèrent changer de smartphone, 8 % des consommateurs relèguent leur téléphone cassé au fond d’un tiroir sans le réparer.

Conforme à ce qu’expliquent les professionnels de la réparation, notre enquête montre que la plupart des smartphones à réparer sont des appareils de marques Apple et Samsung. Il s’agit donc d’équipements assez haut de gamme (338 € en moyenne) qui ont toujours de la valeur sur le marché de l’occasion et qu’il est donc souvent intéressant de faire réparer. Pour le revendre ou continuer à l’utiliser, 71 % d’entre vous ont fait réparer leur smartphone, principalement en boutique (plus de 8 fois sur 10). Il existe de nombreux sites Internet dédiés à la réparation de smartphones et detablettes, mais il faut être patient. Bien que conformes à ce qui a été annoncé, les délais de réparation sont plus longs, 13 jours en moyenne (expédition comprise) contre 1 heure en boutique ! Les tarifs sont les mêmes, il n’y a donc pas forcément d’avantages à opter pour une réparation en ligne. D’autant que la facture est, dans plus d’un cas sur quatre, plus salée que le devis annoncé. Notez toutefois qu’il est plus difficile d’établir un devis exact lorsque le technicien doit se baser sur les déclarations en ligne du client.

24 % des personnes interrogées indiquent qu’après réparation leur smartphone ne fonctionne toujours pas ou moins bien qu’avant le dommage, le plus souvent à cause de l’écran tactile moins sensible (à cause d’un écran de mauvaise qualité , mal repositionné, ou sous lequel le technicien a laissé une poussière visible. D’autres se plaignent de pannes non réparées (problèmes de connexion au réseau, jeu dans la coque arrière) ou de nouveaux problèmes apparus après l’intervention ! Un conseil : choisissez un réparateur qui garantit sa réparation au moins 6 mois. Sachez qu’en cas d’oxydation (l’appareil a pris l’eau), la réparation n’est jamais garantie. Dans ce cas précis, d’ailleurs, seul 1 appareil sur 4 est correctement réparé.

Enquête réalisée par Internet en juin 2015 auprès de 1 704 abonnés à la newsletter de Que Choisir qui ont subi un dommage sur un smartphone au cours des 12 derniers mois.
Selon big blue, pour le premier fois présent au CES de Las Vegas, sa collaboration autour de Watson avec le fabricant d'appareils médicaux Medtronic bénéficiera aux diabétiques.

IBM n’est pas à proprement parler un fournisseur d'électronique grand public. Néanmoins, hier, sa CEO Ginni Rometti est venue au CES de Las Vegas (6 au 9 janvier) afin de promouvoir la technologie Watson pour les objets connectés et les appareils médicaux. Celle-ci a notamment annoncé deux partenariats autour de Watson, l'un avec le fabricant d’appareils médicaux Medtronic et l'autre avec Under Armour, plus connu dans le domaine du sport, qui vend désormais aussi des objets de fitness connectés. C’est la première fois qu’un CEO d'IBM intervient au CES. Pendant son discours, Ginni Rometti a surtout parlé des services d'intelligence artificielle de Watson, qui, selon elle, sont indispensables pour analyser les flux de données générées par les appareils connectés. « Passer au numérique n’est pas un objectif, c’est un point de départ », a-t-elle déclaré. Ajoutant : « Ce qui va différencier les acteurs, c’est leur capacité à comprendre toutes ces données ».

Le Surface Pro 4 est proposée à 999 euros avec 128 Go de mémoire, 4 Go de RAM et un processeur Intel Core m3 ; à 1.099 euros avec un processeur Intel Core i5 ; à 1.499 euros avec 256 Go de RAM et un processeur Intel Core i5 ; à 1.799 euros avec un processeur Intel Core i7 ; à 1.999 euros avec 16 Go de RAM et un processeur i7 et à 2.449 euros avec 512 Go de RAM et un processeur i7. Le clavier est vendu 149,99 euros. Le stylet est fourni avec la tablette.L'iPad Pro s'affiche à 919 euros avec 32 Go de stockage et une connexion Wifi ; à 1.099 euros avec 128 Go de mémoire et Wifi et à 1.249 euros avec 128 Go de mémoire, connexion Wifi et 3G/4G.

Battery Eater Pro permet de tester l'autonomie des batteries de votre ordinateur portable
Battery Eater Pro est un outil de test qui révèle le potentiel des batteries d’ordinateurportable. Ce logiciel permet de mesurer l’autonomie de votre machine aussi bien en charge maximale avec toutes les options d’économie d’énergie dévalidées, qu’en mode " Idle ".

Durant les tests, le programme sollicite le processeur, la mémoire vive, le disque dur et la carte vidéo pour simuler les différents modes d’utilisation de la machine. Battery Eater Pro fournit aussi des informations sur la batterie, comme le modèle et le constructeur, mais aussi sur le processeur, la mémoire vive, la carte vidéo, etc.REVENUS – Dans une semaine, le service de déclaration en ligne des revenus sera ouvert. Les dates limites varient ensuite en fonction du département de résidence.

REVENUS – Dans une semaine, le service de déclaration en ligne des revenus sera ouvert. Les dates limites varient ensuite en fonction du département de résidence.Comme le rappelle le gouvernement, les contribuables dont le revenu fiscal de référence dépasse 40.000 euros doivent déclarer leurs revenus en ligne dès 2016 s’ils possèdent un accès à internet. Progressivement, ce seuil sera diminué. En 2019, la déclaration en ligne concernera l’ensemble des contribuables. Pour ceux qui déclarent leurs revenus sous forme papier, la date limite a été fixée au mercredi 18 mai 2016, pour tous les départements.

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June 25, 2016

Acer Aspire 6530G Battery

A total of 91,000 laptop batteries are affected in the US, with a further 10,000 sold in Canada. Satellite, Satellite Pro, Protege, and Tecra models are all included in the recall. Toshiba has setup a web page detailing the specific battery pack part numbers carrying the risk along with the laptop models that shipped with them. There is also a utility which will check for you and detailed instructions on who to check manually.

It’s important that both the laptop and any extra/replacement batteries are checked because Toshiba also sold the faulty packs separately. If you find you own one or more, Toshiba will ship you out replacements free of charge. In the meantime, it’s best if you can avoid using the faulty packs, even if they have been serving you well for years.101,000 batteries may seem like a lot of to replace, but it’s not the biggest Toshiba has dealt with. Way back in 2006 the company had to recall 340,000 laptops due to the Sony batteries they used either not charging or producing no power.

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The redesigned keyboard is much shallower than previous versions
As I found last year, typing on the new keyboard does take some getting used to. The keys initially feel closer together, despite being larger, and because the key assembly is 40 per cent thinner, there is less of a ‘response’ when typing. I found I quickly adjusted to the new assembly, but it was a strange first hour or so using it.The Force Touch trackpad contains four force sensors to detect how much force you’re using when tapping away on the new, larger trackpad. A technology first utilised in the Apple Watch, it’s a way of using a single surface for multiple functions. Using Force Touch on the Watch’s lock screen triggers the face-change menu, for example.

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The glass Force Touch trackpad generates haptic feedback to produce a uniform click CREDIT: DAVID ROSE/TELEGRAPH
Pressing down hard on the glass trackpad over a word on a website - known as a Force click - automatically summons a menu to search for the definition of the word, or pulls up a map when you click on an address. Underneath the glass surface, a taptic engine generates haptic feedback intended to produce a uniform click wherever you’re pressing on the pad.

Like the keyboard overhaul it’s a clever advancement, but also one that takes a while to get used to, and won’t be to everyone’s tastes.The biggestaestheticchange is the new rose gold finish, joining gold, silver and space grey, and joining the iPhone, iPad and Apple Watches already available in the shade. Last year it was easy to be sceptical about how many people were going to proudly tout a gold laptop, but the enthusiastic adoption of rose gold across all the major product lines suggests there’s a real appetite out there for slightly unusually coloured laptops.

On a Windows 10 laptop, when you mouse over the battery icon in the system tray, you can see how many minutes remain to a full charge. The time remaining stays on screen for only a few seconds, so if you want to keep an eye on the time remaining without continually tapping on the battery icon, head to Settings > Battery saver where you can watch the countdown to a full charge.

The opposite holds true for the above advice when you are on battery power. Clicking the battery icon in the OS X menu bar or in the Windows 10 system tray shows you how much time remains before your laptop's battery runs out. You can also see the battery life remaining in System Preferences in OS X and Settings in Windows 10.

RAM affects the battery life of your laptop. If there is lesser RAM, then the apps that require more RAM will use the virtual memory for which access to the hard drive is necessary. Eventually, this will increase the power consumption. So, have necessary RAM to reduce the usage of virtual memory and enhance the battery life.
Repeatedly charging and depleting your MacBook Pro's battery will surely affect itsbatterycapacity over time. The only challenge is finding out how much has the battery's lifespan depleted in the course of its existence.

Lenovo has ever worked in customer satisfaction and safety. So, from time to time, went through a product recall program when some problems were encountered with them. This year, the company had recalledbatteries certain models of ThinkPad notebooks. This is because the units are in error, an error message system. Some of these messages, said: battery is charging, while another said irreparable. The problem was with the T60, T61, R60, R61, X60 and X6-widely used models.

Earlier, in 2007, in the interest of public safety, the company had joined hands with the US Consumer Product Safety Commission, and went through a withdrawal program. We encourage customers to 9 cell battery packs with laptops were included or purchased as a replacement set for free-of-charge to have a replacement. Lenovo has found that some were heated by batteries with extended use. This could have caused many accidents. After this project has begun.

Kanex has been making Apple accessories for quite some time now, but its latest could be seen as a Godsend for all those with 12-inch Retina MacBooks.
The Kanex GoPower for Mac is a 15,000mAh portable battery that can fully charge a MacBook and iPhone or iPad at the same time. It has two USB Type-C ports, one to connect to the laptop, the other to recharge the GoPower itself.
It also has a 2.4A USB port which is capable of charging any other Apple device (or rival smartphone or tablet, come to think of it).
There are built-in safety features, so your devices are protected while charging. There is surge protection and priority charging, meaning that when powered and connected to multiple devices, the power passes through in order to charge them before charging itself.

Instead of a fragile magnetic disk whirring at 90 or 120 times every second, SSDs store binary data on shock-resistant silicon chips. Some people use the word ‘memory' when they mean storage, but the lines are blurred with NAND flash technology, which is essentially non-volatile memory. In other words, RAM that keeps its memory even after you switch off the power.
Besides being physically robust, silent, and smaller and lighter than any hard-disk drive, the big incentive to go flash remains sheer data-hurtling performance. The bits can be read and written hundreds and thousands of times faster from electronic flash memory then conventional hard-disk drives.

This speed factor is about so much more than go-faster bragging rights though. Old-schooldesktopPC users may still battle over who has the fastest processor or the hottest graphics card, but SSD performance is more about the overall user experience – applications launch almost instantly, web pages spawn faster, and files copy in a fraction of the time.
Put simply, and regardless of whether your processor has an Intel or AMD logo, the whole computer responds so much faster to your clicks. The main drawback in the past has been the steep price of entry to the premier-class storage club. (See all storage reviews.)

It's taken six years or more, but we are now at the state where the SSD is a truly affordable component for any computer user. And if your wallet won't even stretch to £100, just juggle your byte budget instead and get a 256GB SSD for £70 or less.
Performance has swelled over the years – not just in the drag-race test of copying big files, but crucially with the way that small files are handled. And also in the way that a drive maintains itself, forever pruning and sweeping up the garbage of deleted files in the background. Much of the background housekeeping of a modern PC operating system is with the incessant background reading and writing of very small files of 4 kilobytes or smaller. It's the random access to these that can choke old disks that need to physically move a pickup head across spinning platters.

We have reached a point where just about any SSD you put into a computer to replace a hard disk will transform yourexperience. But for those seeking the very best performance, there's still a case for finding the fastest rather than just choosing the cheapest. And that fastest metric is now more about small-file transfers, which we can measure by the number of input and output operations capable in one second – otherwise known as IOPS. The best SATA-based flash drives are returning peak figures around 100,000 IOPS, made possible by the way that data streams can be paralleled together, a major asset of flash over hard disks.

Best SSD 2016: buying an SSD for your computer
Performance – in terms of the speed with which data can be read and written – has now effectively plateaued among the best SSDs. It's not that flash memory has reached its limit, far from it, but the Serial ATA interface between the flash and your computer is now an increasingly narrowing bottleneck.
Pioneered by Apple and now finally trickling into the Windows world are solid-state drives that put SATA in the wastebasket, flash storage drives that hook more directly into the PC's native PCI Express bus. But Apple Macs take a proprietary version of these cards that are not available to buy or upgrade; and Windows PCs that are now available with the necessary M.2 PCIe attachments are just starting to go mainstream in 2016. With that said, they're still expensive, alongside the motherboards which actually support M.2.

So for the moment, if you're building or upgrading a PC, chances are you'll be turning to the old tried-and-tested Serial ATA Revision 3.0 interface; often called SATA III. This bus has a 6Gb/s (750MB/s) nominal speed, but circa-550 MB/s real-world ceiling. Despite current SATA SSDs' shortcomings and converging performance specs we have tested the essential speed, both in large-file sequential transfers and small-file random access, as differences do exist between brands and models.
Our selection covers the highest-performing SATA SSDs today, as well as some cheaper models that juggle the value factor rather than best-in-class performance figures.
There are various technologies SSD manufacturers choose to utilise, from multi-level cell (MLC), to the cheaper triple-level cell flash (TLC) architectures. You might even come across the rare and more expensive single-level cell (SLC) drive. The differences between the cell technologies boil down to the amount of bits (data) that a single cell (within the SSD) can handle. TLChandlesthree, MLC, two and SLC one. The greater the number of bits per cell, the increased likelihood of failure, inconsistencies and most importantly performance. However, as this is a general sweeping statement, manufacturers have found ways around the limitations of SSD technology, but it's worth noting what is being used in your SSD, regardless of how it performs.

When buying an SSD, look out for long warranties and high write limits if you prize data integrity, although with the help of proper backup routines, data loss is less of an issue today. Different SSDs demand more or less power in active use or when idle, and there are different power ratings again for when a laptop is in a sleep or hibernation mode.How much is 20,000mAh? For comparison, the Dell Latitude 12 7000 Series (E7250) battery is about 7,000mAh, while the Surface Pro 4's battery is just over 5,000mAh. Microsoft's 12-hour Surface Book battery comes in at a total of 9,187mAh, with the base containing a 6,800mAh battery and the tablet portion housing a 2,387mAh battery.The IntoCircuit's 26,000mAh battery, if it's completely efficient, is theoretically capable of giving the Latitude three times more battery capacity than its internal battery and five times the charge of the Surface Pro 4.

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Batterie DELL Latitude E6320

L’Agence nationale des fréquences (ANFR) qui gère la communication grand public pour le basculement vers la « TNT HD » le martelait depuis plusieurs semaines : n’attendez pas le 5 avril pour vérifier que votre installation télévisuelle est prête et, surtout, pour aller acheter un adaptateur. Le risque ? Que le modèle convoité ne soit plus disponible. Mais, visiblement, tout le monde n’a pas suivi ce conseil. Ces derniers jours, les rayons téléviseurs des distributeurs et leur espace consacré aux adaptateurs ne désemplissaient pas. Ces produits s’arrachaient comme des petits pains et des trous étaient effectivement visibles dans les rayonnages ! Comme au Darty Nation, dans le XIIe arrondissement de Paris, en cet après-midi pluvieuse du 30 mars. Le ton est donné dès l’entrée du magasin, avec un message affiché sur un téléviseur de 55 pouces : « Le 5 avril 2016, passage à la haute définition. Êtes-vous prêt ? » Sous ce message, un compte à rebours égrène le temps restant avant cette échéance.
Lors de la visite de « Que Choisir », on en est à « 5 j – 8 h – 22 min – 49 s ». Mais devant les adaptateurs exposés (six références différentes), de nombreux clients demeurent perplexes.

Faut-il vraiment s’équiper et, si oui, comment brancher ce boîtier ? Mon téléviseur est-il apte ? Serviable, un retraité (venu acheter un adaptateur pour « l’un des téléviseurs de sa maison de campagne ») ne cesse de prodiguer des conseils plutôt avisés. La ruée devrait s’amplifier au fur et à mesure que l’on se rapproche du 5 avril. Elle devrait même se poursuivre après, lorsque des téléspectateurs se retrouveront devant un écran noir. Dans les foyers, ce sont surtout des téléviseurs annexes (ceux installés dans les chambres, les cuisines…) qui ne sont pas parés pour la « TNT HD ». De fait, plutôt que de les relier à un adaptateur, certains consommateurs préfèrent les remplacer. Au Darty Nation, ils étaient nombreux à repartir avec un écran de petite taille sous le bras, laissant derrière eux un rayon bien vide !
Le marché du PC portable a énormément évolué ces dernières années : il a dû s'adapter à de nouveaux usages et, surtout, faire face à la concurrence de produits plus mobiles, comme les tablettes ou les smartphones. Mais, quoi qu'on en dise, un bon vieux clavier physique accompagné d'un écran reste encore aujourd'hui la meilleure solution pour travailler correctement. Côté prix, la courbe a cependant tendance à augmenter, avec la montée en gamme des ultraportables et des deux-en-un. Beaucoup d'acheteurs sont en revanche réticents à dépenser une somme folle dans ce type de machine, comme en témoigne ce courrier reçu récemment :

"Bonjour, j'aimerais de l'aide pour choisir un PC portable. Je suis au lycée et je m'en servirai seulement pour le traitement de texte et lanavigationinternet. J'aurais un budget d'environ 350 à 400 €. Merci de votre aide et j'attends avec patience votre réponse."Il faut savoir que ce jeune étudiant est loin d'être un cas isolé, puisque beaucoup d'utilisateurs acquièrent un laptop à moins de 400 €. En faisant un tour dans notre guide d'achat, on se rend cependant vite compte que le choix, à ce prix, est relativement limité. Soyons donc réalistes : pour moins de 400 €, il est difficile, voire impossible, de trouver un PC portable qui aura droit à plus de trois étoiles sur Les Numériques. Mais cela ne veut pas dire que le produit ne conviendra pas à certains types d'usage. Le courrier ci-dessus est d'ailleurs on ne peut plus clair : traitement de texte et navigation sur le Web doivent être possibles dans de bonnes conditions, rien de plus. Dans ce cas-là, on peut se satisfaire d'une machine vendue quelques centaines d'euros et dotée de caractéristiques d'entrée de gamme. Un processeur Intel Celeron ou Atom, couplé à 2 ou 4 Go de mémoire vive feront ainsi l'affaire.

En revanche, là où il faudra bien faire attention, c'est du côté de la taille et de la qualité de l'écran. Sur ce point, malheureusement, un budget serré implique quasi invariablement une dalle de qualité moyenne, de type TN. L'IPS, qui propose entre autres un meilleur rendu des couleurs et un meilleur taux de contraste, est très difficile à trouver sur des produits dans cette gamme de prix. Également, la diagonale dépasse rarement les 15,6 pouces à ce prix, à quelques exceptions près. On peut par exemple trouver du 17,3 pouces chez Boulanger, via sa marque Essentiel B, mais, là encore, il faut faire l'impasse sur des couleurs fidèles ou un taux de contraste décent.
Ceci étant dit, ce genre de machine, assez mal notée chez Les Numériques, avouons-le, peut être valable dans le cas d'un usage essentiellement sédentaire, ce qui semble être le cas de notre lecteur. S'il doit avant tout faire des recherches sur Internet, taper du texte sous Word, en restant assis à son bureau, un produit comme cet Essentiel B W10 Smart'MOUV peut lui correspondre.

De l'autre côté du spectre, intéressons-nous à un autre type de machine d'entrée de gamme, qui donne davantage dans l'hybride, mais peut tout à fait convenir à un étudiant en quête de mobilité. Ainsi, des produits comme le HP Pavilion x2 ou l'Asus Transformer Book T100TA Chi ont l'intérêt d'être très compacts, de se doter d'un écran tactile et de proposer une bonne autonomie. C'est le genre de laptop que l'on emporte un peu partout, par exemple dans une bibliothèque ou durant un déplacement scolaire. La configuration embarquée reste très légère (processeur Intel Atom ou Celeron, 2 Go de mémoire vive) et il est quasi indispensable d'étendre la capacité de stockage via une carte mémoire. Également, il faut tout d'abord bien s'assurer que le travail sur un petit écran (ici 10,1 pouces, soit un peu plus qu'une tablette comme l'iPad Air 2) n'est pasproblématiqueet ne pas hésiter à aller en boutique pour tester le confort du clavier, qui est forcément de taille réduite.
D'ailleurs, ce dernier conseil est valable pour tout PC portable : que vous dépensiez 300 ou 1500 €, il est indispensable de manipuler le produit avant, de tester le clavier, de vérifier que son poids n'est pas trop élevé pour vous. Et, surtout, il faut toujours garder en tête l'usage auquel il sera destiné. Un PC portable noté 2 ou 3 étoiles par notre labo peut en effet tout à fait convenir à quelqu'un qui a des besoins simples en matière d'informatique. On en revient ici à notre lecteur, qui ne souhaite faire que de la bureautique et du surf sur le web, et qui n'a clairement pas l'obligation d'acquérir une machine haut de gamme.

Donc, et pour répondre définitivement à la question de notre jeune étudiant : pour moins de 400 €, nous lui conseillons de se tourner vers deux types des machines, en fonction de ses futurs usages : soit des PC portables hybrides, type Asus Transformer Book ou HP Pavilion x2, soit des produits plus classiques, moins nomades, mais plus confortables à utiliser, comme l'Essentiel B W10 Smart'Mouv. À noter que pour 50 € au-dessus de son budget, il est possible de trouver un Lenovo Z50 très correct, équipé d'un processeur Intel Core i3 et d'un disque dur de 1 To.
La Surface Pro 4 est le nouveau fer de lance de la gamme professionnelle des hybrides signés Microsoft. Nous avons fait de ce mix entre une tablette et un laptop notre outil de travail principal : l'occasion de le tester à fond dans ses usages en entreprise.

Travail et vie professionnelle : voilà ce que met en avant Microsoft avec sa Surface Pro 4 et voilà comment j’ai souhaité tester cet hybride. La méthodologie était simple. Une fois la tablette reçue à la rédaction, j’ai mis mon fidèle Macbook Air de côté avec un projet ambitieux : utiliser la Surface Pro 4 comme seul outil de travail. Il s’agissait donc de retrouver rapidement en productivité et d’avoir un environnement suffisamment efficace pour que toutes les tâches soient confortables en quelques heures.

Avant de continuer, je me permets une petite note de background : commebeaucoupde monde, j’ai grandi avec Windows à la maison. C’est un système que je connais extrêmement bien et qui est toujours installé sur mon ordinateur de bureau personnel, qui me sert aussi de machine de jeu, en dual boot avec des distributions de Linux à tester. Pour autant, je l’ai toujours détesté en mobilité, pour deux raisons.

La première vient de Windows en lui-même. Comme c’est un système avec des tas de fenêtres qui s’empilent, j’ai beaucoup de mal à m’en servir sur un petit écran. Je m’y perds très vite, quand mes fenêtres sur MacOS sont bien rangées dans leur case en plein écran ou sur le bureau. Chacune a sa place et je sais où chaque fenêtre se trouve. Windows, pour moi, ça s’utilise sur un dual screen de 27 pouces.

La deuxième, ce sont les constructeurs d’ordinateur portable Windows qui ne m’ont jamais convaincu. Même sur de l’ultra haut de gamme, un élément comme le trackpad n’arrive jamais à la cheville d’un trackpad de Macbook et ses multiples fonctionnalités tactiles, à plusieurs doigts, qui sont entrées dans mon workflow et dont je ne peux me passer. Je ne saurais dire pourquoi j’ai toujours l’impression que tous les autres trackpad sont médiocres, peu réactifs et limités par rapport à ceux proposés par Apple, mais c’est comme cela, je n’y arrive pas.Pour résumer, j’ai donc toujours été Windows sur un ordinateur fixe et toujours été MacOS en mobilité et j’ai tendance à concevoir le Macbook Air comme un produit en tous points parfait pour mon métier, aussi bien au bureau qu’en déplacement.

L'association de l'écran et du clavier est aisée grâce à la forte attraction magnétique qui se fait sentir dès que l'on approche les ergots de la charnière du bas de l'écran. Une fois assemblé, on a l'impression d'avoir un pc portable classique. Mais étant donné que tous les composants sont situés derrière l'écran, ce dernier est lourd et peut assez facilement basculer selon l'inclinaison qu'on lui donne.

La partie clavier abrite un disque dur de 500 Go, ce qui est un plus pour stocker des fichiers et d'autres contenus volumineux. Il y a une option qui permet au disque dur de se chiffrer lorsque le clavier est détaché de l'écran. Le clavier a beau être petit, il n'en est pas moins bien agencé. Les touches offrent une course de frappe correcte, mais leur réactivité s'avère un peu spongieuses et elles présentent du jeu sous les doigts. On salue la présence de touches Maj et Ctrl de taille décente, ce qui n'est pas toujours le cas sur ce type de machine.

Le pavé tactile est très réactif, il enregistre bien les gestes multipoint comme le défilement à deux doigts. On peut mettre cela en partie au crédit de Windows 10 qui améliore la prise en charge des commandes gestuelles.L'écran de 10,1 pouces de diagonale est entouré d'une bordure particulièrement épaisse. Sa définition de 1280 x 800 pixels équivaut au 1366 x 768 que l'on trouve sur de nombreux portables d'entrée de gamme. Mais cela reste assez faible quand on voit le nombre de portables et de tablettes qui proposent du 1920 x 1080 pixels et surtout si l'on considère que les usages sont désormais centrés sur la consommation d'informations en ligne et la lecture en streaming de vidéos HD.L'écran convient bien pour naviguer sur la Toile et travailler, mais sa surface est si brillante qu'elle capte le moindre reflet. Ajoutons à cela des haut-parleurs chétifs et l'on peut dire que l'ensemble ne se prête pas vraiment à un usage multimédia.

Enregistrement. Dans leur écrasante majorité, les appareils permettent d’enregistrer, sur une clé USB (parfois fournie avec l’appareil) ou un disque dur externe, des programmes diffusés par les chaînes de la TNT. Les adaptateurs disposent même d’un avantage par rapport à de nombreux téléviseurs, pourtant sophistiqués ! En effet, pour des raisons juridiques (protection des droits de reproduction/copie), la plupart des téléviseurs ne sont compatibles qu’avec des disques durs formatés par la marque. Autrement dit, un film enregistré sur tel téléviseur de marque X ne pourra pas être lu sur tel téléviseur de marque Y. Avec les adaptateurs, une fois qu’un programme a été enregistré, celui-ci peut être visionné sur n’importe quel écran. Un réel atout.
Time shift. Même en France, cette fonction est désignée en anglais dans les notices. On pourrait néanmoins la traduire par « pause ». Lorsque le téléspectateur regarde un programme diffusé par une des chaînes de la TNT, et à condition de brancher une clé USB ou un disque dur sur l’adaptateur, il peut actionner le « time shift » s’il est dérangé ou doit quitter la pièce (par exemple, appel téléphonique). À son retour, en appuyant sur la touche « lecture » de la télécommande de l’adaptateur, il reprendra la vision du programme là où il l’a abandonnée. En général, les appareils formatés pour l’enregistrement (voir ci-dessus) intègrent cette fonctionnalité.

Lecture de vidéos. C’est un fait, les téléviseurs anciens – a fortiori ceux qui sont donc destinés à être reliés à un adaptateur Mpeg4 – ne possèdent pas toujours de port USB. De fait, ils sont incapables de lire les programmes enregistrés sur un support extérieur (clé USB, disque dur externe…). Avec certains adaptateurs, cela devient possible ! EPG. Cet acronyme signifie « Electronic Program Guide », soit en français « guide électronique des programmes ». Sur un téléviseur d’un certain âge, une telle fonction est absente. Mais avec un adaptateur Mpeg4, le téléspectateur peut en bénéficier. Selon les modèles, l’EPG renseigne sur la nature du programme (nom de l’émission, rapide résumé…). Et il peut offrir la possibilité de programmer très facilement un enregistrement.

Les foyers qui reçoivent la TNT par satellite grâce à une parabole (et sans abonnement) parce qu’ils sont non ou mal desservis par la diffusionhertziennene peuvent pas choisir la solution de l’adaptateur HD/Mpeg4 standard. Cette diffusion par satellite est assurée par deux opérateurs : Fransat (Eutelsat) ou TNTSat (Canal plus). Pour rendre conforme leur installation, ces foyers doivent dès lors se tourner vers des adaptateurs « spécial satellite » Mpeg4, disponibles en magasin pour 90 à 160 € environ. Pour ceux qui possèdent un téléviseur avec tuner satellite, Fransat propose en outre un petit module à brancher directement dessus, vendu à partir de 70 €.
Nul besoin de se rendre au fin fond du Nevada ou en Californie pour avoir la chance de voir rouler une voiture autonome. Il vous suffit d’aller du côté de la région lyonnaise pour apercevoir un drôle d’engin à quatre roues se déplacer en semi-liberté. Il s’agit d’une navette autonome Navya Arma, 100 % made in France.

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June 24, 2016

Batterie pour Vostro 3500 batterie-tech.com

Lors de notre test, il est en effet parvenu à résister durant 10 heures, ni plus ni moins. Merci à la batterie imposante qu'il embarque. Du coup, il est un peu lourd, nous aurions préféré un écran mat, et surtout, les 128 Go de stockage sont un peu justes. Mais si vous remplacez ce SSD par un modèle 250 Go (on en trouve désormais sous les 75 euros), vous obtenez une machine proche de la perfection pour un peu plus de 1 000 euros. Sans doute l'un des meilleurs portables de l'année.
Sur le papier, ce Portégé a absolument tout pour plaire pour qui recherche un portable nomade évolué : dalle mate Full HD, clavier rétroéclairé, très léger (1,2 kg), fin (de 14 à 18 mm), construit dans un alliage robuste de magnésium... Comble du raffinement, un module 4G/LTE qui vous assure une connectivité où que vous soyez. Destinée aux professionnels, cette machine est également équipée d'une puce de chiffrement TPM. A ses côtés, on trouve un Core i5, bon compromis entre puissance et consommation, 8 Go de RAM et un SSD de 256 Go. Quant à la connectivité, elle comprend 3 ports USB 3.0 et même un port Ethernet, en plus du traditionnel lecteur de cartes SD.

Parfait le Portégé Z30-B ? Pas tout à fait sûr. Nous ne l'avons pas eu entre les mains, et il faudrait vérifier l'autonomie (annoncée tout de même à 12h) et la luminosité de l'écran avant de finaliser l'achat. Mais à coup sûr, il vaut le déplacement.L'alternative à ce portable Toshiba, au même prix ? Le XPS 13 9333-4672 . Une machine à la fiche technique similaire (Full HD, 8 Go de RAM, SSD 256 Go, puce TPM), mais qui est doté d'un Core i7, plus véloce, mais aussi plus gourmand. On gagne donc en puissance, mais on perd sur l'aspect nomade, d'autant que le module 4G ne fait pas partie du programme sur ce portable, pas plus que la dalle mate. Un choix qui reste tout de même intéressant, tant les qualités de ce modèle sont nombreuses (voir notre test du XPS 13). Surfant sur la vision de Microsoft de faire tourner des terminaux mobiles Windows 10 sur un PC de bureau avec sa fonction Continuum, NexDock a lancé un financement participatif pour lancer un ordinateur portable capable de faire tourner les contenus et interfaces de n'importe quels smartphone et tablette. D'autres prototypes plus ambitieux sont aussi dans les tuyaux.

L'idée de Microsoft de permettre de faire tourner sur l'écran d'un PC fixe ou portable l'interface et les contenus provenant d'un smartphone ou d'une tablette Windows 10 ont manifestement donné des idées à certains. En particulier NexDock qui a repris à sa sauce la fonction Continuum de la firme de Redmond mais en a étendu le principe à d'autres terminaux non estampillés Windows. Le projet est actuellement porté via la plateforme de financement participatif Indiegogo et a pour l'heure recueilli plus de 25 000 dollars sur l'objectif de 300 000 dollars visés.

Pour près de 149 dollars, les personnes intéressées pourraient ainsi s'équiper un ordinateur portable « nu » doté d'un écran de 14 pouces, d'une batterie de 10 000 mAh ainsi que d'un clavier Bluetooth. Relié à un smartphone ou à une tablette Windows ou Android, ce terminal - baptisé NexPad - permet ainsi d'afficher l'interface et le contenu de ces périphériques. A noter que le NexPad ne dispose d'aucun processeur, mémoire ou stockage, toute l'informatique étant embarquée dans le terminal invité et non dans l'ordinateur hôte.

Lenovo se démarque en proposant pour la première fois un PC portable équipé d'un écran OLED, en remplacement de la technologie LCD utilisée depuis des décennies.Les derniers produits ThinkPad X1 de Lenovo sont bourrés de technologies surprenantes. Le constructeur a notamment doté son PC portable X1 Yoga hybride d’un écran OLED et son X1 Tablet de docks dernier cri. Avec ces produits X1, dont fait aussi partie le laptop X1 Carbon, Lenovo veut proposer des designs de PC qui tranchent avec les conceptions classiques. Le constructeur a également allégé ses dispositifs, les a rendus plus performants et plus autonomes.

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Selon Lenovo, le ThinkPad X1 Yoga serait le premier portable hybride du monde proposé en option avec un écran OLED du constructeur Samsung. Comparés aux écrans LCD classiques, les écrans OLED améliorent la netteté des images. Cette technologie a déjà été adoptée pour certains écrans de smartphones, de tablettes et de téléviseurs. Un autre avantage de la technologie, c’est qu’elle permet de réduire l’épaisseur des facteurs de forme, leur poids, mais aussi d’offrir une vision angulaire sans déformation, une gamme de couleurs plus riche, le tout en consommant moins d'énergie.

Le X1 Yoga hybride est le dernier venu de la gamme Yoga de Lenovo, déjà bien fournie. Il est doté d’un clavier amovible qui permet de transformer le portable en tablette. Le XI Yoga mesure 16 mm d'épaisseur et pèse 1,27 kilo. L’hybride peut supporter différents processeurs jusqu’au Core i7 d’Intel. Il intègre également 1 To de stockage SSD et 16 Go de RAM DDR3. Le modèle de base sera disponible en janvier pour un prix démarrant à 1449 dollars HT. En standard, le X1 Yoga sera livré avec un écran LCD haute définition. Le modèle OLED sera disponible à partir du mois d’avril à un prix qui n'a pas encore été communiqué.

Le X1 Tablet de 12 pouces a toutes les fonctions d'un ordinateur portable. La tablette, qui mesure 8.4 mm d'épaisseur et pèse 795 grammes, est accompagnée d’un dock polyvalent qui permet de connecter un clavier, un projecteur, une caméra 3D ou une batterie supplémentaire. Les modules additionnels sont généralement peu encombrants et légers, et la batterie permet de profiter de 5 heures d’autonomie en plus des 10 heures de la batterie intégrée. Le ThinkPad X1 Tablet sera disponible le mois prochain pour un prix démarrant à 900 euros HT. Le modèle de base sera doté d’un écran de 2160 x 1440 pixels. Le X1 Tablet pourra intégrer divers processeurs Intel Core jusqu'au M7, 1 To de stockage SSD, 16 Go de RAM, et une caméra de 2 ou de 8 mégapixels. Sur ce modèle, le constructeur ne proposera pas d’écran OLED en option.

Quid de l’endurance ? Pour une machine ultra nomade dépourvue de processeur Core i3/i5/i7, l’UX305CA reste -de notre point de vue- un peu trop sage : 6 h 30 en utilisation polyvalente et presque 7 heures en lecture vidéo continue. C’est bien, globalement dans les mêmes eaux que le UX305FA, à quelques minutes près. Mais nous espérions secrètement qu’elle dépasse allégrement les 9 heures d’endurance, comme le Spectre x360 de HP.
Corolaire de l’endurance, la question de la consommation. Précisons que le wattmètre ne dépasse pas les 40 watts lorsque les composants de la machines sont stressés, ce qui est très bien. Précisons que l’adaptateur secteur reprend –peu ou prou- la forme d’une grosse prise électrique, un peu comme celui d’Apple sur ses MacBook Air.

Sur iOS, fermer les applications ne ménage pas la batterie
Le problème majeur de nos smartphones est l’autonomie de la batterie et l’iPhone ne fait pas mieux que les autres sur ce point. Alors tout le monde y va de sa petite astuce pour essayer d’économiser la batterie. Les utilisateurs d’iPhone pensaient qu’en fermant les applications tournant en arrière-plan ils pourraient utiliser leur appareil plus longtemps avant de le recharger. Autant le dire tout de suite, cela ne sert à rien.

Un utilisateur intrigué d’Apple a décidé de poser la question directement à Tim Cook. Le site 9toMac s’est procuré l’échange d’e-mails. Tim Cook n’a pas répondu à cette question personnellement, c’est Craig Federighi, le responsable d’iOS qui s’en est chargé. A la question : « Est-ce que vous fermez régulièrement vos applications, et est-ce nécessaire pour prolonger la durée de votre batterie ?« , sa réponse est courte mais claire : « Non, et non. 🙂 » mais il n’explique pas pourquoi.

iOS gère automatiquement les applications en arrière-plan
iOS est un système capable de gérer les applications de manière autonome, l’utilisateur n’a en théorie pas besoin d’intervenir, sauf en cas de plantage de l’appli, il a alors la possibilité de forcer sa fermeture. Fermer des applications manuellement entrainerait même une diminution de l’autonomie de la batterie de l’appareil car elles seront relancées automatiquement par iOS, au final ces arrêts/redémarrages affecteront l’autonomie de la batterie.Pour économiser de la batterie, et ce sur n’importe quel smartphone, il est conseillé de baisser la luminosité de l’écran et de couper les connections comme le Bluetooth ou le WiFi lorsque l’on en a pas besoin.Le marché de l'ordinateur a grandement évolué ces dernières années. Aujourd'hui, on retrouve les tablettes, ultrabooks, convertibles et tout-en-un dans les rayons. Aujourd'hui, Acer propose un tout-en-un qui sort de l'ordinaire : le Acer Aspire Z3-700 intègre une batterie.

Pour se différencier de la concurrence, Acer mise sur une batterie interne. Rien d’étonnant en soi, mis à part que cette batterie se retrouve dans un ordinateur tout-en-un offrant un écran tactile 1080p de 17,3 pouces et avec ses 2 kg sur la balance, il devrait être assez transportable. De quoi le faire passer de la cuisine au salon sans problème et profiter de ses cinq heures d’autonomie.Pour le reste, on retrouve un processeur Intel Core Skylake ou Celeron, un SSD ou un disque dur classique et jusqu’à 8 Go de RAM. Cet Acer Aspire Z3-700 sera commercialisé d’ici la fin de l’année en Europe, à partir de 599€.

Acer a aussi dévoilé un autre produit, le Aspire R14 – en photo ci-dessus -, un notebook convertible de 1,9 kg. Sa charnière 360° vous permettra de profiter de votre appareil selon les différents modes que l’on connaît – ordinateur portable, tente, pied ou tablette -. Processeur Skylake, SSD ou disque dur classique, jusqu’à 8 Go de RAM, écran de 14 pouces (résolution non précisée). Sortie prévue aux États-Unis avant la fin du mois, à partir de 699$.

En présentant son nouveau smartphone, Asus a été plutôt clair: son ambition n’est ni plus ni moins que d’atteindre des nouveaux records d’autonomie. Pour cela, une batterie de 5000 mAh est embarquée aux côtés du processeur Snapdragon 410 et des 2 Go de mémoire vive. Pour 249 euros, on se retrouve donc face à un milieu de gamme assez classique, mais avec un gros quelque chose en plus. Asus Zenfone Max

Avec ses 5,5 pouces, l’Asus Zenfone Max pourrait presque se fondre dans la masse des grands formats. Mais c’est sans compter ses 202 grammes qui le rendent plutôt difficile à oublier. Soit entre 30 et 50 grammes de plus que ses concurrents ayant la même diagonale d’écran. Il faut bien ça - et une épaisseur de plus d’un centimètre - pour promettre une autonomie de trois jours. Mis à part son côté imposant, l’appareil est plutôt agréable à regarder, avec un dos en plastique - imitation cuir grainé - assez réussi. Malgré une hauteur plus importante, il n’est toutefois pas plus large que l’Asus Zenfone 2 Laser, dans sa version 5,5 pouces.

Ce grand format, couplé à une définition HD (1280x720) offre une résolution de 267 ppp, un chiffre moyen mais suffisant pour ne pas trop souffrir du manque de détails. Les couleurs sont agréables, malgré un contraste moyen (1009:1, à l’image d’un Wiko Pulp FAB 4G). La luminosité de 454 cd/m² reste très correcte, même pour une utilisation à l’extérieur. Sans être un modèle du genre, la dalle est globalement satisfaisante et devrait convenir aux gros consommateurs de vidéo. Et avec une autonomie comme celle du Zenfone Max, il y a de quoi faire.

Avec une batterie de 5000 mAh, c’est évidemment la plus grosse promesse de l’appareil, quand la concurrence dépasse rarement les 3000. Et à l’arrivée, les résultats sont tout simplement époustouflants. En communication, vous aurez usé toute votre salive bien avant d’atteindre les 36h30. On dépasse la journée en surf Web (25h20) contre une quinzaine d’heures pour les meilleurs smartphones de cette gamme de prix.

En lecture vidéo, le Zenfone Max tient 19h08 quand les bons tiennent environ 12h. Quant à notre mesure d’autonomie polyvalente, le record est tout simplement pulvérisé. Avec près de 17h, on est loin devant le second du classement, à savoir le Samsung Galaxy S7 Edge (13h13). La conclusion est élémentaire : on tient un nouveau champion de l’autonomie, à mille lieux de ses rivaux.

Côté puissance, on se retrouve à des niveaux bien plus classiques, avec un Snapdragon 410 qui fait le boulot, sans faire de miracle côté jeu. La navigation se fait plutôt bien, malgré quelques lenteurs pour passer d’une appli à une autre. Rien de catastrophique pour la grande majorité des utilisateurs, mais le téléphone manque parfois un peu de punch. L’interface ZenUI est au rendez-vous, toujours avec l’accent mis sur la personnalisation.

Posted by: retrouve3 at 02:57 PM | No Comments | Add Comment
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