June 29, 2016

Batterie Lenovo IdeaPad S12

Au total, le secteur devrait peser 3,1 milliards de dollars (2,8 milliards d'euros) en 2020, grâce à une croissance annuelle moyenne des ventes de 34% d'après les estimations de BNEF.Et ce marché n'est pas prêt de se tarir. En effet, si 70% de l'Afrique pourraient être électrifiés au prix d'investissements évalués par l'Agence internationale de l'Energie à 7,5 milliards de dollars (6,83 milliards d'euros), ce sont encore 530 millions de personnes qui ne devraient pas avoir accès au réseau en 2040.

Ce n’est pas le premier programme de rappel de sécurité pour HP, mais celui-ci est massif. Le constructeur appelle en effet ses clients à vérifier leur batterie d’ordinateur portable. « Les batteries affectées étaient expédiées avec des ordinateurs portables HP, Compaq, HP ProBook, HP ENVY, Compaq Presario, et HP Pavilion spécifiques vendus dans le monde entier, de mars 2013 à août 2015, et/ou étaient vendues en tant qu’accessoires ou pièces détachées, ou fournies en tant que remplacement ».

Le problème concerne plus d’une trentaine de références. Ces batteries sont susceptibles de surchauffer, entraînant un « risque d’incendie et de brûlures ». « Il est extrêmement important pour les clients de vérifier si leurs batteries sont affectées, et d’arrêter immédiatement l’utilisation des batteries affectées » signale HP.HP a en outre mis en place un programme de remplacement des produits défectueux. Deux méthodes sont disponibles : une vérification manuelle en renseignant les références du portable et de la batterie, et un utilitaire vérifiant automatiquement si la batterie est affectée ou non.

Enfin, HP fournira « une batterie de remplacement pour chaque batterie vérifiée et éligible, sans frais ». Notez que l’ancienne batterie défectueuse ne doit pas être renvoyée. Le constructeur ne précise pas les délais d’expédition, mais indique, à toutes fins utiles, que « les clients peuvent continuer d’utiliser leur ordinateur portable sans la batterie, en connectant l’ordinateur portable à une source d’alimentation externe ».Alimentez votre système lors de vos déplacements professionnels et personnels grâce à cette batterie OEM pour pc portable HP PI06 . Grâce à haute capacité, cette batterie vous permet de travailler sansinterruptionlors de vos déplacements.

Ce batterie pour HP PI06 contient des composants électroniques avancés et a été testé en accordance avec les standards très stricts de la CE. Le batterie contient une puce qui empêche la surcharge et les courts-circuit. En plus de cela le HP PI06 batterie est composé de ccellules de bonne qualité qui ne souffrent pas d’un ‘effet mémoire’.Le marché des PC se porte mal. Malgré une stratégie hésitante, le groupe coréen Samsung n’abandonne pourtant pas sa position et mise aujourd’hui sur le segment des convertibles pour séduire un nouveau public. Le groupe a présenté cette semaine un nouveau modèle de portable élégant, performant, et relativement bon marché, le Flip 7.

La particularité de ce modèle vient de son écran qui est capable de pivoter à 180 degrés pour adopter différentes poses. Un concept qui n’est pas sans rappeler celui des ordinateurs de la gamme YOGA de Lenovo…Niveau spécificités, le Flip 7 impressionne. Il est proposé en deux tailles d’écran – 13,3 et 15,6″ – et deux variantes – avec un processeur i5 ou i7. L’acheteur a également le choix entre plusieurs capacités de stockage (jusqu’à 128 Go de SSD), et de RAM (jusqu’à 16 Go). Le tout pour un prix d’entrée qui ne devrait pas excéder les 800€ au moment de la commercialisation.

Petite spécificité intéressante : le Flip 7 est doté d’un système de recharge rapide, comme les mobiles du groupe coréen, qui permet de recharger l’équivalent de deux heures de batterie en seulement 20 minutes.Même si l’iPad Pro semble être un produit premium destiné au grand public, il a été positionné comme un appareil dédié aux professionnels par Apple. Ce Pro signifie que des outils dédiés à la création (photographe, designer, illustrateur et ainsi de suite) sont mis en avant sur l’iPad. Le calibrage d’écran devient dès lors indispensable.

Vous l’avez certainement remarqué, de base, les écrans vendus sont trop contrastés, trop lumineux, et une température de couleur tirant sur le bleu. Pourtant, l’écran est le point de départ du travail des images et photos.Théoriquement, les photographes et designers vous le diront : il est impossible de calibrer un écran à la volée. Pour un moniteur ou un écran d’ordinateur portable, il faut passer par une sonde de calibrage ou colorimètre. Sans elle il est impossible même de fixer la luminosité de l’écran ou encore le contraste. Donc je ne parle pas des dominantes colorées…

L’autre problème tient à l’environnement, si vous êtes dans une pièce soumise à la lumière directe du soleil le matin ou dans l’après-midi, ou que vous utilisez des éclairages diffus avec des dominantes de couleurs. C’est encore plus le cas pour un produit mobile, comme un ordinateur portable, une tablette ou un smartphone. Apple a donc introduit True Tone Display : l’iPad Pro va utiliser différentscapteurs, comme le capteur de luminosité, pour calibrer l’écran automatiquement en fonction de l’environnement. L’idée derrière : avoir un rendu des couleurs le plus juste possible.Ce sont des fonctions que l’on retrouve déjà sur Android, comme les produits MediaTek. Le dernier Helio X20 intègre la technologie Miravision Chameleon, nous avions publié une démonstration vidéo pendant le Mobile World Congress. Sur Android N, une option permet de le faire manuellement depuis les paramètres « System UI Tuner », mais l’action n’est pas encore automatique. Nous devrions retrouver ce type de fonctions sur de plus en plus de produits, ce qui n’est pas un mal pour les rendus de nos écrans. Posons le décor Après Android L et Android M, voici Android N. Google continue de suivre l’ordre alphabétique mais surtout, la firme américaine continue d’employer le même processus de déploiement de ses versions Android. Elle commence par une version bêta, dédiée aux développeurs, pour permettre aux éditeurs et développeurs d’intégrer les nouvelles APIs (et … Lire la suite

Alors que les voitures autonomes sont annoncées entre 2025 et 2030, bon nombre de constructeurs (Audi, Ford, BMW, Mercedes, KIA, PSA, Renault), d'équipementiers (Valeo, Delphi, Bosch) sans oublier Google et ses Google Cars font déjà rouler leurs prototypes sur circuits fermés et routes ouvertes — avec autorisation. Toutes ont un point commun : la présence d'un conducteur chargé de reprendre le volant en cas d'incident, comme le prévoit la Convention de Vienne.

Il existe pourtant déjà un véhicule autonome qui roule tous les jours et qui embarque même des passagers. Ce véhicule autonome, baptisé Arma, est une navette made in France conçue et fabriquée par la société lyonnaise Navya. Nous avons eu la chance de voir évoluer cette navette au sein de la centrale nucléaire de Civaux (86), où elle transporte les employés vers leurs différents postes de travail au gré de leur journée. Au total, ce sont près de 6 navettes qui assurent le ramassage des employés, en plus d'un bus thermique traditionnel, le tout opéré par l'opérateur Transdev.

La navette Navya Arma embarque jusqu'à 15 personnes. Ses quatre roues dotées de pneus neige sont directrices.
Extérieurement, la Navya Arma a un petit air de manga, avec ses phares qui remontent haut sur les côtés. Ellemesure4,75 x 2,05 x 2,55 mètres, pour une garde au sol de 0,2 mètre et un poids total à vide oscillant entre 2,1 et 2,350 tonnes. Elle est dotée de 4 roues directrices (2 x 2) dont les pneus de marque Nokian sont adaptés à la neige. Sous le capot moteur, une batterie LifePO4 (Lithium Fer Phosphate) d'une capacité de 33 kWh (temps de charge de 5 à 12 heures par induction) alimente un moteur électrique de 15 kW. Si sa vitesse maximale est de 45 km/h, la navette ne dépasse que rarement les 30 km/h en raison des sites où elle évolue. À noter qu'elle peut franchir des pentes à 12 %. En plus d'être autonomes, ces navettes sont intelligentes et se dirigent d'elles-mêmes vers une station de recharge quand les batteries sont trop faibles.

Si la ceinture de caisse est en matière plastique dure, le haut n'est que baies vitrées qui oblige à l'installation d'une climatisation. Le jour de notre visite, le soleil était au rendez-vous et l'intérieur s'est vite transformé en sauna. Le système de climatisation en question n'avait pas été raccordé ! Pour pénétrer à l'intérieur, deux larges portes automatiques qui coulissent de part et d'autre. Une fois à bord, on compte 11 places assises distinctes (deux rangées de quatre et trois strapontins) tandis que 4 autres personnes peuvent rester debout tout en se tenant aux lanières prévues à cet effet. Considérée comme un minibus, la navette Navya est ornée de son macaron d'assurance.

En bon véhicule autonome la Navya Arma se barde de capteur en tous genres : GPS RTK pour une géolocalisation en temps réel et deux LiDAR dont un positionné sur le toit et un second sur la façade avant. Dotés de 64 faisceaux laser, les LiDAR collectent plus d'un million de données par seconde pour cartographier l'environnement en temps réel. Deux caméras stéréovision scrutent la route sur l'avant et des capteurs sont apposés partout sur la carrosserie. Avant de laisser la navette partir seule, les ingénieurs de Navya cartographient la zone et établissent un circuit. Dans le cas de la centrale de Civaux — qui occupe 224 hectares —, la longueur du circuit ne fait que 2,8 kilomètres. Malgré cette « petite » distance, le trajet est semé d'embûches, comme les stops et les priorités à droite, sans compter la circulation d'autres véhicules qu'il faut prendre en compte. Audépart, les navettes répètent le circuit programmé avec une précision de l'ordre de deux centimètres ! Elles détectent et enregistrent toutes les évolutions survenant sur le parcours. Ainsi, que l'obstacle soit statique ou en mouvement, la navette sera capable de le contourner à la seule condition que l'espace nécessaire soit présent. Si tel n'était pas le cas, elle prévient la supervision — dans le cas de Civaux, elle ne se trouve pas sur place — qui, grâce aux caméras, peut estimer si la navette est en capacité de passer et de la faire repartir. Quel que soit l'incident, les navettes communiquent entre elles pour s'avertir. Les possibilités actuelles des navettes Navya sont le contournement d'obstacles, le croisement et les dépassements par d'autres véhicules et le respect des priorités à droite.

Lors de la présentation des navettes Navya Armia, nous avons été invités à les tester en tant que passagers. À bord, un superviseur armé d'un simple clavier d'ordinateur était présent pour régler les possibles incidents. Une fois installés, ce dernier nous demande où nous souhaitons nous rendre. Un écran tactile sur lequel apparaît le trajet permet de sélectionner les haltes. La navette s'ébroue en douceur et attaque son parcours. Passé la surprise de cette conduite autonome, chacun des journalistes présents à bord discute de choses et d'autres comme si de rien n'était. Comme nous le confiera plus tard le superviseur de notre navette, au bout d'un moment, personne ne fait plus attention qu'il se trouve à bord d'une navette autonome. Pas sûr que l'on ressente le même effet à bord d'une voiture autonome ou semi-autonome où l'attention est de rigueur. En revanche, la Navya Arma freine plutôt fort, voire un poil brutalement. Mieux vaut que les passagers debout soient bien accrochés ! Hormis cela, cette navette est plutôt bluffante. À aucun moment, on ne ressent une quelconque inquiétude ou de l'anxiété en l'absence de conducteur. Finalement, c'est comme si l'on prenait les lignes 1 et 14 du métro parisien ou l'Orlyval qui sont automatisés.

En attendant que la législation change, les navettes autonomes Navya se font les dents — ou plutôt les roues — sur des sites industriels avant de viser les aéroports, les parcs d'attractions, les campus universitaires et les hôpitaux. Aujourd'hui, CARPOSTAL, entreprise de transport suisse, a acquis deux navettes qu'elle teste en parc fermé avant de les « libérer » prochainement dans la ville de Sion où elles transporteront des passagers. En Australie, du côté de Perth, le Royal Automobile Club (RAC) va tester une navette Navya dans le cadre du nouveau plan d'expérimentation des technologies automobilesautonomes.

Pour l'inauguration, les 3 acteurs Navya (Christophe Sapet), Transdev et le directeur du CNPE de Civaux (Louis Bellegarde) étaient présents pour couper le ruban officiel.
C'est le 12 avril dernier que s'est tenue sur le site de Civaux l'inauguration de la mise en service officielle des six navettes Navya Arma, en présence des trois acteurs principaux : Navya, EDF et Transdev (opérateur). Ces six navettes viennent remplacer les deux bus affectés à la tournée sur le site de la centrale. Les navettes effectueront toujours le même trajet de 2,8 kilomètres et 100 à 300 km par jour selon les périodes, avec des rotations plus nombreuses aux heures de pointe. Le temps d'attente pour les salariés sera de 3 minutes entre chaque navette, contre 8 minutes auparavant.

Posted by: retrouve3 at 05:00 AM | No Comments | Add Comment
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