June 25, 2016

Batterie DELL Latitude E6320

L’Agence nationale des fréquences (ANFR) qui gère la communication grand public pour le basculement vers la « TNT HD » le martelait depuis plusieurs semaines : n’attendez pas le 5 avril pour vérifier que votre installation télévisuelle est prête et, surtout, pour aller acheter un adaptateur. Le risque ? Que le modèle convoité ne soit plus disponible. Mais, visiblement, tout le monde n’a pas suivi ce conseil. Ces derniers jours, les rayons téléviseurs des distributeurs et leur espace consacré aux adaptateurs ne désemplissaient pas. Ces produits s’arrachaient comme des petits pains et des trous étaient effectivement visibles dans les rayonnages ! Comme au Darty Nation, dans le XIIe arrondissement de Paris, en cet après-midi pluvieuse du 30 mars. Le ton est donné dès l’entrée du magasin, avec un message affiché sur un téléviseur de 55 pouces : « Le 5 avril 2016, passage à la haute définition. Êtes-vous prêt ? » Sous ce message, un compte à rebours égrène le temps restant avant cette échéance.
Lors de la visite de « Que Choisir », on en est à « 5 j – 8 h – 22 min – 49 s ». Mais devant les adaptateurs exposés (six références différentes), de nombreux clients demeurent perplexes.

Faut-il vraiment s’équiper et, si oui, comment brancher ce boîtier ? Mon téléviseur est-il apte ? Serviable, un retraité (venu acheter un adaptateur pour « l’un des téléviseurs de sa maison de campagne ») ne cesse de prodiguer des conseils plutôt avisés. La ruée devrait s’amplifier au fur et à mesure que l’on se rapproche du 5 avril. Elle devrait même se poursuivre après, lorsque des téléspectateurs se retrouveront devant un écran noir. Dans les foyers, ce sont surtout des téléviseurs annexes (ceux installés dans les chambres, les cuisines…) qui ne sont pas parés pour la « TNT HD ». De fait, plutôt que de les relier à un adaptateur, certains consommateurs préfèrent les remplacer. Au Darty Nation, ils étaient nombreux à repartir avec un écran de petite taille sous le bras, laissant derrière eux un rayon bien vide !
Le marché du PC portable a énormément évolué ces dernières années : il a dû s'adapter à de nouveaux usages et, surtout, faire face à la concurrence de produits plus mobiles, comme les tablettes ou les smartphones. Mais, quoi qu'on en dise, un bon vieux clavier physique accompagné d'un écran reste encore aujourd'hui la meilleure solution pour travailler correctement. Côté prix, la courbe a cependant tendance à augmenter, avec la montée en gamme des ultraportables et des deux-en-un. Beaucoup d'acheteurs sont en revanche réticents à dépenser une somme folle dans ce type de machine, comme en témoigne ce courrier reçu récemment :

"Bonjour, j'aimerais de l'aide pour choisir un PC portable. Je suis au lycée et je m'en servirai seulement pour le traitement de texte et lanavigationinternet. J'aurais un budget d'environ 350 à 400 €. Merci de votre aide et j'attends avec patience votre réponse."Il faut savoir que ce jeune étudiant est loin d'être un cas isolé, puisque beaucoup d'utilisateurs acquièrent un laptop à moins de 400 €. En faisant un tour dans notre guide d'achat, on se rend cependant vite compte que le choix, à ce prix, est relativement limité. Soyons donc réalistes : pour moins de 400 €, il est difficile, voire impossible, de trouver un PC portable qui aura droit à plus de trois étoiles sur Les Numériques. Mais cela ne veut pas dire que le produit ne conviendra pas à certains types d'usage. Le courrier ci-dessus est d'ailleurs on ne peut plus clair : traitement de texte et navigation sur le Web doivent être possibles dans de bonnes conditions, rien de plus. Dans ce cas-là, on peut se satisfaire d'une machine vendue quelques centaines d'euros et dotée de caractéristiques d'entrée de gamme. Un processeur Intel Celeron ou Atom, couplé à 2 ou 4 Go de mémoire vive feront ainsi l'affaire.

En revanche, là où il faudra bien faire attention, c'est du côté de la taille et de la qualité de l'écran. Sur ce point, malheureusement, un budget serré implique quasi invariablement une dalle de qualité moyenne, de type TN. L'IPS, qui propose entre autres un meilleur rendu des couleurs et un meilleur taux de contraste, est très difficile à trouver sur des produits dans cette gamme de prix. Également, la diagonale dépasse rarement les 15,6 pouces à ce prix, à quelques exceptions près. On peut par exemple trouver du 17,3 pouces chez Boulanger, via sa marque Essentiel B, mais, là encore, il faut faire l'impasse sur des couleurs fidèles ou un taux de contraste décent.
Ceci étant dit, ce genre de machine, assez mal notée chez Les Numériques, avouons-le, peut être valable dans le cas d'un usage essentiellement sédentaire, ce qui semble être le cas de notre lecteur. S'il doit avant tout faire des recherches sur Internet, taper du texte sous Word, en restant assis à son bureau, un produit comme cet Essentiel B W10 Smart'MOUV peut lui correspondre.

De l'autre côté du spectre, intéressons-nous à un autre type de machine d'entrée de gamme, qui donne davantage dans l'hybride, mais peut tout à fait convenir à un étudiant en quête de mobilité. Ainsi, des produits comme le HP Pavilion x2 ou l'Asus Transformer Book T100TA Chi ont l'intérêt d'être très compacts, de se doter d'un écran tactile et de proposer une bonne autonomie. C'est le genre de laptop que l'on emporte un peu partout, par exemple dans une bibliothèque ou durant un déplacement scolaire. La configuration embarquée reste très légère (processeur Intel Atom ou Celeron, 2 Go de mémoire vive) et il est quasi indispensable d'étendre la capacité de stockage via une carte mémoire. Également, il faut tout d'abord bien s'assurer que le travail sur un petit écran (ici 10,1 pouces, soit un peu plus qu'une tablette comme l'iPad Air 2) n'est pasproblématiqueet ne pas hésiter à aller en boutique pour tester le confort du clavier, qui est forcément de taille réduite.
D'ailleurs, ce dernier conseil est valable pour tout PC portable : que vous dépensiez 300 ou 1500 €, il est indispensable de manipuler le produit avant, de tester le clavier, de vérifier que son poids n'est pas trop élevé pour vous. Et, surtout, il faut toujours garder en tête l'usage auquel il sera destiné. Un PC portable noté 2 ou 3 étoiles par notre labo peut en effet tout à fait convenir à quelqu'un qui a des besoins simples en matière d'informatique. On en revient ici à notre lecteur, qui ne souhaite faire que de la bureautique et du surf sur le web, et qui n'a clairement pas l'obligation d'acquérir une machine haut de gamme.

Donc, et pour répondre définitivement à la question de notre jeune étudiant : pour moins de 400 €, nous lui conseillons de se tourner vers deux types des machines, en fonction de ses futurs usages : soit des PC portables hybrides, type Asus Transformer Book ou HP Pavilion x2, soit des produits plus classiques, moins nomades, mais plus confortables à utiliser, comme l'Essentiel B W10 Smart'Mouv. À noter que pour 50 € au-dessus de son budget, il est possible de trouver un Lenovo Z50 très correct, équipé d'un processeur Intel Core i3 et d'un disque dur de 1 To.
La Surface Pro 4 est le nouveau fer de lance de la gamme professionnelle des hybrides signés Microsoft. Nous avons fait de ce mix entre une tablette et un laptop notre outil de travail principal : l'occasion de le tester à fond dans ses usages en entreprise.

Travail et vie professionnelle : voilà ce que met en avant Microsoft avec sa Surface Pro 4 et voilà comment j’ai souhaité tester cet hybride. La méthodologie était simple. Une fois la tablette reçue à la rédaction, j’ai mis mon fidèle Macbook Air de côté avec un projet ambitieux : utiliser la Surface Pro 4 comme seul outil de travail. Il s’agissait donc de retrouver rapidement en productivité et d’avoir un environnement suffisamment efficace pour que toutes les tâches soient confortables en quelques heures.

Avant de continuer, je me permets une petite note de background : commebeaucoupde monde, j’ai grandi avec Windows à la maison. C’est un système que je connais extrêmement bien et qui est toujours installé sur mon ordinateur de bureau personnel, qui me sert aussi de machine de jeu, en dual boot avec des distributions de Linux à tester. Pour autant, je l’ai toujours détesté en mobilité, pour deux raisons.

La première vient de Windows en lui-même. Comme c’est un système avec des tas de fenêtres qui s’empilent, j’ai beaucoup de mal à m’en servir sur un petit écran. Je m’y perds très vite, quand mes fenêtres sur MacOS sont bien rangées dans leur case en plein écran ou sur le bureau. Chacune a sa place et je sais où chaque fenêtre se trouve. Windows, pour moi, ça s’utilise sur un dual screen de 27 pouces.

La deuxième, ce sont les constructeurs d’ordinateur portable Windows qui ne m’ont jamais convaincu. Même sur de l’ultra haut de gamme, un élément comme le trackpad n’arrive jamais à la cheville d’un trackpad de Macbook et ses multiples fonctionnalités tactiles, à plusieurs doigts, qui sont entrées dans mon workflow et dont je ne peux me passer. Je ne saurais dire pourquoi j’ai toujours l’impression que tous les autres trackpad sont médiocres, peu réactifs et limités par rapport à ceux proposés par Apple, mais c’est comme cela, je n’y arrive pas.Pour résumer, j’ai donc toujours été Windows sur un ordinateur fixe et toujours été MacOS en mobilité et j’ai tendance à concevoir le Macbook Air comme un produit en tous points parfait pour mon métier, aussi bien au bureau qu’en déplacement.

L'association de l'écran et du clavier est aisée grâce à la forte attraction magnétique qui se fait sentir dès que l'on approche les ergots de la charnière du bas de l'écran. Une fois assemblé, on a l'impression d'avoir un pc portable classique. Mais étant donné que tous les composants sont situés derrière l'écran, ce dernier est lourd et peut assez facilement basculer selon l'inclinaison qu'on lui donne.

La partie clavier abrite un disque dur de 500 Go, ce qui est un plus pour stocker des fichiers et d'autres contenus volumineux. Il y a une option qui permet au disque dur de se chiffrer lorsque le clavier est détaché de l'écran. Le clavier a beau être petit, il n'en est pas moins bien agencé. Les touches offrent une course de frappe correcte, mais leur réactivité s'avère un peu spongieuses et elles présentent du jeu sous les doigts. On salue la présence de touches Maj et Ctrl de taille décente, ce qui n'est pas toujours le cas sur ce type de machine.

Le pavé tactile est très réactif, il enregistre bien les gestes multipoint comme le défilement à deux doigts. On peut mettre cela en partie au crédit de Windows 10 qui améliore la prise en charge des commandes gestuelles.L'écran de 10,1 pouces de diagonale est entouré d'une bordure particulièrement épaisse. Sa définition de 1280 x 800 pixels équivaut au 1366 x 768 que l'on trouve sur de nombreux portables d'entrée de gamme. Mais cela reste assez faible quand on voit le nombre de portables et de tablettes qui proposent du 1920 x 1080 pixels et surtout si l'on considère que les usages sont désormais centrés sur la consommation d'informations en ligne et la lecture en streaming de vidéos HD.L'écran convient bien pour naviguer sur la Toile et travailler, mais sa surface est si brillante qu'elle capte le moindre reflet. Ajoutons à cela des haut-parleurs chétifs et l'on peut dire que l'ensemble ne se prête pas vraiment à un usage multimédia.

Enregistrement. Dans leur écrasante majorité, les appareils permettent d’enregistrer, sur une clé USB (parfois fournie avec l’appareil) ou un disque dur externe, des programmes diffusés par les chaînes de la TNT. Les adaptateurs disposent même d’un avantage par rapport à de nombreux téléviseurs, pourtant sophistiqués ! En effet, pour des raisons juridiques (protection des droits de reproduction/copie), la plupart des téléviseurs ne sont compatibles qu’avec des disques durs formatés par la marque. Autrement dit, un film enregistré sur tel téléviseur de marque X ne pourra pas être lu sur tel téléviseur de marque Y. Avec les adaptateurs, une fois qu’un programme a été enregistré, celui-ci peut être visionné sur n’importe quel écran. Un réel atout.
Time shift. Même en France, cette fonction est désignée en anglais dans les notices. On pourrait néanmoins la traduire par « pause ». Lorsque le téléspectateur regarde un programme diffusé par une des chaînes de la TNT, et à condition de brancher une clé USB ou un disque dur sur l’adaptateur, il peut actionner le « time shift » s’il est dérangé ou doit quitter la pièce (par exemple, appel téléphonique). À son retour, en appuyant sur la touche « lecture » de la télécommande de l’adaptateur, il reprendra la vision du programme là où il l’a abandonnée. En général, les appareils formatés pour l’enregistrement (voir ci-dessus) intègrent cette fonctionnalité.

Lecture de vidéos. C’est un fait, les téléviseurs anciens – a fortiori ceux qui sont donc destinés à être reliés à un adaptateur Mpeg4 – ne possèdent pas toujours de port USB. De fait, ils sont incapables de lire les programmes enregistrés sur un support extérieur (clé USB, disque dur externe…). Avec certains adaptateurs, cela devient possible ! EPG. Cet acronyme signifie « Electronic Program Guide », soit en français « guide électronique des programmes ». Sur un téléviseur d’un certain âge, une telle fonction est absente. Mais avec un adaptateur Mpeg4, le téléspectateur peut en bénéficier. Selon les modèles, l’EPG renseigne sur la nature du programme (nom de l’émission, rapide résumé…). Et il peut offrir la possibilité de programmer très facilement un enregistrement.

Les foyers qui reçoivent la TNT par satellite grâce à une parabole (et sans abonnement) parce qu’ils sont non ou mal desservis par la diffusionhertziennene peuvent pas choisir la solution de l’adaptateur HD/Mpeg4 standard. Cette diffusion par satellite est assurée par deux opérateurs : Fransat (Eutelsat) ou TNTSat (Canal plus). Pour rendre conforme leur installation, ces foyers doivent dès lors se tourner vers des adaptateurs « spécial satellite » Mpeg4, disponibles en magasin pour 90 à 160 € environ. Pour ceux qui possèdent un téléviseur avec tuner satellite, Fransat propose en outre un petit module à brancher directement dessus, vendu à partir de 70 €.
Nul besoin de se rendre au fin fond du Nevada ou en Californie pour avoir la chance de voir rouler une voiture autonome. Il vous suffit d’aller du côté de la région lyonnaise pour apercevoir un drôle d’engin à quatre roues se déplacer en semi-liberté. Il s’agit d’une navette autonome Navya Arma, 100 % made in France.

Posted by: retrouve3 at 07:52 AM | No Comments | Add Comment
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