June 30, 2016

Batterie Lenovo IdeaPad Z480

3DMark propose désormais deux tests spécialement pensés pour les casques de réalité virtuelle. Dans le même temps, l'application revoit son interface avec une page d'accueil plus intuitive et une mise à jour des tests qui peut se faire de manière indépendante.Alors qu'Oculus a récemment commencé à livrer son casque de réalité virtuelle Rift dans sa version commerciale, tout comme HTC avec son Vive, Futuremark vient d'annoncer une mise à jour de son outil de test des performances pour les cartes graphiques 3DMark. Et justement, elle intègre une nouveauté pour le benchmark maison VRMark.

Une nouvelle scène dans VRMark pour les casques de réalité virtuelle Alors qu'il est possible de tester une scène VRMark dans 3DMark depuis fin décembre, l'éditeur en ajoute aujourd'hui une seconde. Dans les deux cas, elles sont pour le moment pensées afin d'être utilisées avec un Oculus Rift ou un HTC Vive, mais vous pouvez également en profiter sur votre écran d'ordinateur.Futurmark explique que la première scène correspondant aux caractéristiques techniques minimum recommandées pour profiter de l'Oculus Rift dans de bonnes conditions, tandis que la seconde nécessite une partie matérielle plus conséquente. Comme c'était le cas avec la précédente bêta, aucun score ne sera par contre donné à la fin des tests.

Pour en profiter, il faudra disposer d'une version payante de 3DMark : Advanced ou Professional. Dans tous les cas, VRMark est encore en cours de développement et il ne s'agit donc que d'une « preview » pour le moment. Ce n'est pas la seule nouveauté et 3DMark dispose désormais d'une « nouvelle interface utilisateur plus rapide, plus souple et plus facile à utiliser », selon l'éditeur. Désormais, l'écran d'accueil affiche directement le benchmark recommandé pour votre machine, mais vous pouvez évidemment en lancer d'autres si vous le souhaitez.Le code de l'application a également été retravaillé afin d'apporter plus de flexibilité. Depuis Steam, vous pouvez désormais installer et mettre à jour individuellement les différentes scènes, ce qui permet de réduire la quantité de données téléchargée.

Enfin, Futurmark annonce que les tests Ice Storm Unlimited et Extreme sont maintenant accessibles avec la version Basic de 3DMark, tandis que SystemInfo a été mis à jour afin de détecter encore plus de composants. Les notes de version se trouvent par ici. La prochaine grosse mise à jour concernera le test DirectX 12 indique Futurmark.Détrompez-vous, point de robots ici ! Informaticien, Elliot est pris dans un engrenage mêlant multinationale, hackers anarchistes et société secrète."Notre démocratie a été piratée" : à défaut de parler de robots, la série Mr Robot annonce la couleur. Et ce n'est pas le jeune Elliot Alderson (Rami Malek) qui dira le contraire : le jeune ingénieur informatique, spécialisé dans la cybersécurité, met le pied dans un tourbillon qui l'entraîne au coeur du groupe de hackers Fsociety, qui rappelle furieusement les Anonymous. Son leader, un certain "Mr Robot" (Christian Slater) à la tendance anarchiste bien prononcée, essaie de recruter Elliot. Objectif : déclencher la "plus grande redistribution de richesse jamais vue dans le monde".

En face, E-Corp, surnommé Evil Corp, est un géant de l'informatique devenu omniscient, qui combine la superpuissance de Google, lacoolitudeapparente d'Apple et les costumes-cravate de Microsoft : une cible de choix pour changer le monde ! Et cela tombe bien, Elliot travaille – à contrecoeur – pour l'un de ses sous-traitants : AllSafe Security. Comme si ce n'était pas assez pour le scénario, le jeune héros est repéré par un responsable d'E-Corp (Martin Wallström), qui semble être membre d'un mystérieux "groupe de gens puissants qui dirigent secrètement le monde", comme le laisse entrevoir la bande-annonce.
Elliot, de son côté, se bat contre ses propres démons. Solitaire, il essaie de soigner ses problèmes psychologiques en se confiant à son ami imaginaire, à sa psy (Gloria Reuben) et à son amie bien réelle Angela (Portia Doubleday). Il ne peut s'empêcher de passer des heures à surveiller ses proches en piratant leurs comptes, parfois pour leur propre bien. Ou, du moins, ce qu'il considère comme étant leur bien... À l'ombre de sa capuche, ses yeux exorbités cachent un homme à la fois solitaire, torturé, passionné et mystérieux. Autant de caractéristiques qui, parole de journaliste high-tech, sont plus que communes chez les vrais hackers...
Pas d'hérésie technologique

Diffusée depuis le 24 juin 2015 sur USA Network, et pas encore en France, la série de Sam Esmail est écrite pour les geeks amoureux des théories du complot. Mais elle reste un thriller très abordable pour les moins technophiles, et prend soin de ne pas perdre le spectateur dans des dialogues pointus. Encore mieux : elle évite, pour le moment du moins, la plupart des hérésies technologiques que l'on voit partout ailleurs, dans les séries niaiso-geek du type Les Experts ou les blockbusters hollywoodiens. Ici, pas de bip à la noix quand l'écran affiche des informations, pas de virus-informatique-de-l'apocalypse ni de solution-miracle-universelle, pas d'adresse IP qui commence par 925 (le maximum étant 255...), pas d'ordinateur portable dont la batterie tient six mois, pas de clé USB qui contient l'ensemble des données mondiales... Bref, à quelques détails près, les conseillers technologiques d'USA Networks ont fait leur boulot.
Les premiers épisodes diffusés aux États-Unis posent l'intrigue et installent les personnages. Après deux semaines, la série recueille un très rare 9,4/10 de la part de plus de 22 000 internautes sur le site spécialisé IMDB : il n'y a guère que Game of Thrones, Breaking Bad ou True Detective qui se hissent à ce niveau. Mais attention, la série n'en est qu'à ses débuts : le scénario pourrait s'effondrer dans les bons sentiments américains qui font le succès des concurrents...
Ceci est un bon plan à destination de ceux qui cherchent à renouveler leur ordinateur, notamment en achetant une nouvelle tour PC. Lenovo, qui détient désormais Motorola, offre en effet un Moto E à ceux qui dépenseront 500 euros en matériel à ses couleurs.

Vendu entre 100 et 130 euros, le Moto E (4G) est un bon téléphone d’entrée de gamme, compatible avec la 4G et animé par un SoC Snapdragon 410 efficace. Et surtout, il est offert pour l’achat d’un PC portable, une tour ou un moniteur, le tout pour une valeur d’au moins 500 euros dans la sélection présentée sur cette page. L’offre est valable sur ldlc.com jusqu’au 24 févrierprochain, et nécessite d’entrer le code THINK dans le panier d’achat.

Calibrer un écran à la volée, qu’est-ce que c’est ? Apple vient de dévoiler un outil, nommé True Tone display, qui permet aux nouveaux iPad Pro de calibrer les écrans automatiquement. Une fonction que l’on retrouve de plus en plus sur Android, mais qui n’est pas encore proposée nativement.Le marché des solutions solaires pour l'éclairage ou la recharge de téléphones mobiles, destinées aux 1,2 milliard d'Africains et d'Indiens sans accès au réseau électrique, devrait approcher 3 milliards d'euros en 2020. De grandes entreprises françaises y sont présentes.
1,2 milliard de personnes dans le monde n'ont pas accès au réseau électrique, soit 114 millions de plus qu'en 2000. Essentiellement concentrées en Afrique mais aussi en Inde, elles dépensent collectivement 27 milliards de dollars (24,6 milliards d'euros) par an pour s'éclairer et alimenter leurs téléphones portables à l'aide de kérosène, bougies, lampes électriques et autres solutions à base d'énergies fossiles.

Comme le montre une étude menée par l'initiative Global Lighting de la Banque Mondiale avec Bloomberg New Energy Finance (BNEF), les solutions solaires, qui offrent une alternative non seulement bien moins nocives en termes de santé et de climat mais aussi moins onéreuses, sont en plein développement mais font encore face à certains défis, notamment en matière de financement.

Engie, Total et Scheider Electric sur les rangs
L'étude identifie pas moins d'une centaine d'entreprises qui fournissent lampes et kits solaires domestiques à 89 millions de personnes sans accès à une énergie moderne. Mi-2015, 44 millions de lampes et kits équipés de cellules solaires de moins de 10W avaient été vendus. Les ventes de ces produits ont connu une progression annuelle de près de 110% entre 2011 et 2014.Commençons tout d'abord par revenir sur les caractéristiques de base du produit annoncé : il s'agit d'un smartphone sous Windows 10 Mobile de 5,96 pouces, pensé pour un usage 3-en-1 (nous y reviendrons). La définition de la dalle AMOLED est de typeWQHD, soit 2 560 x 1 440 pixels. Modèle haut de gamme oblige, on retrouve une protection de type Gorilla Glass 4, un traitement anti-reflet, une certification IP67 / MIL-STD 810G et une base assez solide pour les composants.

Il est en effet question du Snapdragon 820 @ 2,15 GHz et sa partie graphique Adreno 820, qui sont sans conteste les stars de cette édition 2016 du MWC. Le chipset utilisé est un MSM8996, accompagné de 4 Go de LPDDR4 et de 64 Go d'eMMC 5.1. HP propose un lecteur de cartes microSD (jusqu'à 2 To) via un emplacement double nano SIM ou nano SIM + microSD, un port USB 3.0 Type-C et une connectivité fournie : 802.1ac (2x2) avec support de Miracast, Bluetooth 4.0 LE, NFC et 4G+.

Si le multimédia n'est pas mis de côté avec une partie audio B&O Play et un duo de capteurs photo de 8/16 Mpixels, HP n'oublie pas que son produit vise avant tout une clientèle professionnelle. Le HP Elite x3 intègre un lecteur d'empreintes digitales, un système de reconnaissance de l'iris et un chiffrement certifié FIPS 140-2.La batterie intégrée est un modèle de 4 150 mAh (16 Wh). Les dimensions de l'ensemble sont de 161,8 x 83,5 x 7,8 mm pour un poids de 195 grammes. Un seul coloris est proposé : Graphite.

On est donc en présence d'un modèle qui se veut à la fois puissant et complet, mais qui mise aussi sur ses usages pour se démarquer et séduire en entreprise. Comme nous l'avions vu lors de l'annonce, HP mise en effet sur la fonctionnalité Continuum de Windows 10 Mobile avec son Desk Dock, proposé dans le bundle afin de permettre une utilisation « identique » à celle d'un PC.

Sa connectique est assez classique, puisque outre l'alimentation, on trouve une sortie vidéo DisplayPort, un duo de ports USB 3.0 Type-A, un Type-C, et une prise RJ45 (Gigabit). La plus-value de la solution de HP par rapport à ce que l'on peut voir chez Microsoft ou Acer par exemple vient donc d'abord de l'offre logicielle puisque l'appareil est livré avec HP Workspace.

Comme nous l'avions évoqué lors de l'annonce, la société indique qu'il s'agit d'une solution de virtualisation. Mais il n'est heureusement pas question d'effectuer une telle opération sur le smartphone. HP Workspace est ainsi une solution de « virtualisaton dans le cloud » comme il en existe déjà d'autres. Comprendre : de streaming de vos applications.En effet, il reste encore une grande inconnue pour cet ensemble : son prix. Prévu pour être mis sur le marché d'ici l'été, il coûtera moins cher qu'un Macbook et qu'un iPhone nous promet-on. C'est à la fois assez flou, et la moindre des choses pour un simple smartphone avec deux docks.

Pas de quoi nous rassurer donc, surtout qu'il faudra sans doute rajouter l'abonnement à HP Workspace, ce qui pourra avoir un coût non négligeable à l'année. Il reste donc à faire le plus gros du travail : convaincre.Et c'est bien le choix de l'OS mobile de Microsoft qui peut s'avérer être un problème. Car si le mode Continuum peut avoir son intérêt pour éviter à l'entreprise d'avoir à acheter et maintenir des ordinateurs de bureau, il faudra que ce soit un avantage (financier et/ou pratique) pour elle plus qu'une contrainte.La necessité de devoir passer par HP Workspace pour disposer d'applications pourtant basiques pourra vite apparaître comme une limite problématique, même si le Windows Store continue de se remplir, sans parler de la question du stockage et du contrôle des données.

La convergence louée par Microsoft, mais aussi par d'autres acteurs comme Canonical (Ubuntu), montre ainsi ses limites dans un environnement logiciel qui est encore développé en grande partie pour des processeurs x86. Le raté de Windows RT l'a bien montré, et il faudra sans doute encore du temps pour que la donne soit différente et que l'équilibre soit plus en faveur de telles solutions.Mais c'est le dock sous forme d'ordinateur portable qui nous partage le plus. D'un point de vue technique, l'idée est excellente. On aimerait d'ailleurs sans doute voir bien plus de constructeurs miser sur de telles solutions, et pas forcément pour le marché professionnel. Mais la dépendance au réseau pour l'accès aux applications via HP Workspace va là encore être une source de contraintes assez importante dès lors qu'il s'agira de sortir des usages basiques.

On se peut ainsi se demander si un utilisateur ne préfèrera pas disposer d'un Ultrabook à utiliser en complément de son smartphone, plutôt qu'une telle solution. Le stockage peut en effet être assez simplement unifié à travers des solutions de synchronisation par exemple, et l'on trouve des machines très autonomes basées sur des Core m qui pourront très bien faire l'affaire pour la quasi-totalité des usages, quitte à miser sur de la virtualisation déportée pour des besoins plus gourmands.

Là encore, c'est sans doute le tarif qui sera juge pour certains, même si l'aspect pratique et la fiabilité de la solution d'HP auront un caractère essentiel à la réussite de ce produit. Des points qui restent à découvrir, il faudra donc encore attendre quelques mois pour savoir si ce MWC a donné naissance à une petite révolution ou à une énième déception.

Posted by: retrouve3 at 01:24 PM | No Comments | Add Comment
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