September 19, 2016

Batterie a41-k55

Les applications professionnelles sont souvent délicates à embarquer dans un mobile. Pourtant, ce format est plébiscité par les professionnels : une grande partie de cette population accède au mail sur mobile. S'ils pouvaient aussi jeter un oeil sur le CRM ou l'ERP de leur entreprise avec la même facilité, cela serait un véritable progrès. Et ce n'est pas qu'une question de taille de l'écran : la puissance vient souvent à manquer pour faire tourner sur smartphone des applications gourmandes.Avec le HP Elite x3, HP promet la même performance sur son produit mobile que sur un PC classique. Soit un processeur Qualcomm Snapdragon 820, 4 Go de RAM, 64 Go de stockage, et un slot SD qui étend la mémoire de… 2 To.

Une alternative consiste à brancher le dock sur le « Mobile Extender », un client léger portable de 12,5 pouces dénué de mémoire et de processeur. Sa batterie de 48wH doit assurer à la fois l'autonomie de la machine et la recharge de la phablette. Un des avantages les plus évident de ce type d'architecture néanmoins - une phablette qui fait tourner une application utilisée sur une machine déportée - est la possibilité de prendre un appel sur son smartphone tout en continuant d'utiliser ses applications.Côté sécurité, l'appareil est doté d'une double authentification biométrique, des process TPM 2/0 hw encryption et, merci Windows, de Bitlocker 128 bits. FIPS 140.2 est également présent.Et si la phablette est destinée à être utilisée tout le temps, autant qu'elle résiste physiquement le mieux possible. Les normes IP 67 (étanchéité et MIL 810G (résistance au choc) sont donc de mise, tout comme le verre Corning Cornilla Glass 4 sur la dalle de l'écran. Côté autonomie, la batterie propose une capacité de 4150 mAh.

5 picots à l'arrière de la machine permettent de positionner des coques métier spécifiques (santé, retail, BTP) qui pourraient rajouter encore plus d'autonomie, et de solidité, à l'appareil. A noter que cette stratégie à déjà été déclinée sur d'autres appareils mobiles de la gamme professionnelle d'HP.Plus personne ne peut ignorer que les smartphones sont assemblés par des cohortes d'ouvriers chinois soumis à des cadences infernales dans de gigantesques usines-casernes. Mais on sait moins que, en amont, la plupart de leurs composants proviennent de minerais dont les gisements sont creusés dans des conditions effroyables en Afrique et en Asie du Sud-Est.

Dans la liste figurent l'étain, utilisé pour les soudures sur les circuits imprimés ; le coltan, présent dans les condensateurs ; le cobalt, composant important des batteries... Un bon quart de ces métaux serait, selon certaines ONG, comme les Amis de la Terre, extrait de mines clandestines et convoyé par des circuits parallèles. Les grandes marques de téléphones s'en lavent naturellement les mains, prétextant que ce commerce ne concernerait que de lointains sous-traitants.

> Vidéo. Le coltan, un minerai indispensable pour nos tablettes et nos smartphones :Les faits sont pourtant là. Les minéraux sont récupérés dans une atmosphère dantesque par les travailleurs qui s'échinent à les gratter 7 jours sur 7. Les photos que nous publions ont été prises en RDC (République démocratique du Congo, l'ex-Zaïre), l'une des nations les plus pauvres au monde. Selon l'Unicef, plus de 40.000 enfants travaillent dans les mines de cobalt et de cuivre de la province du Katanga, dans le sud du pays.Au Kivu, une région frontalière du Rwanda, se trouvent 20% des réserves mondiales de coltan, dont l'exploitation sauvage est contrôlée par des milices armées. Même constat à Bangka, une île de l'archipel indonésien. Ce lieu, un temps aussi paradisiaque que Bali, dont le sol sablonneux regorge d'étain, a été transformé ces quinze dernières années en une immense carrière grisâtre.

Par 10 mètres de profondeur, des plongeurs alimentés en oxygène par un simple boyau en caoutchouc manipulent les gros tuyaux bleus qui aspirent le sable à bord. Ce dernier y est filtré afin d'en retirer la cassitérite, une forme d'étain utilisée pour souder les composants électroniques. Il en faut entre 1 et 10 grammes par portable. Le cuivre entre notamment dans la composition des connecteurs, des fils conducteurs et de la batterie. Ce site est contrôlé par la multinationale Glencore - régulièrement dénoncée par les ONG pour non-respect des normes environnementales - et par l'homme d'affaires israélien Dan Gertler, cité dans l'affaire des Panama Papers.Tant que l'engouement pour les smartphones continuera - les ventes, qui approchent 1,5 milliard d'unités par an, ont décuplé depuis 2010 - ce business gardera sa part d'ombre.

Progressivement, mais rapidement, Flash sera écarté du navigateur web Firefox. À la clé, des performances en progrès, moins de plantages et une autonomie sur batterie renforcée.Le greffon Adobe Flash reste encore assez largement utilisé pour l’affichage d’animations, de publicités ou de vidéos sur Internet. Il est toutefois source de charge processeur, voire d’instabilité pour le navigateur web. Fort de ce constat, Mozilla compte réduire drastiquement l’utilisation de Flash dans son navigateur web Firefox.Après l'Acer Liquid Jade Primo, le HP Elite x3 est le second smartphone à sortir sous Windows 10 Mobile sans être estampillé Microsoft. Pour rappel, le terminal de HP est un smartphone de 6 pouces (15,2 cm env.) en dalle Amoled de 2 560 x 1 440 px. Il est animé par un SoC Snapdragon 820, 4 Go de RAM et une mémoire interne de 64 Go extensible. Le tout est alimenté par une batterie de 4 150 mAh. Au-delà de cette fiche technique peu surprenante pour un smartphone haut de gamme, l'Elite x3 a pour vocation de se muer en PC une fois relié à un écran, comme le Jade Primo et le Microsoft Lumia 950 XL. Pour ce seul smartphone, HP réclame la modique somme de 699 € HT, soit environ 840 € TTC.

Un tarif déjà salé qui peut atteindre près de 1 500 € TTC, pour peu que l'on décide de s'offrir le pack comprenant un dock permettant de relier le smartphone à un écran et le "Mobile Extender" qui le meut en ordinateur portable. HP respecte ainsi la volonté de Microsoft d'assoir les smartphones sous Windows 10 Mobile comme des ordinateurs de poche. Si le prix paraît forcément élevé de prime abord, il faut tout de même signaler que le fabricant ne vise pas le grand public, mais les entreprises. Pour comparaison, le Liquid Jade Primo est vendu 599 € avec son dock — certaines boutiques le bradent déjà à 399 € — et le Lumia 950 XL se trouve sous les 650 € avec un moniteur, le dock, un clavier et une souris.
Cependant, le HP Elite X3 est conçu pour fonctionner avec des quais en option de l’ajout de fonctionnalités d’ordinateur portable comme tels que USB et Ethernet. HP va vendre le paquet qui comprend une station d’accueil pour une utilisation de bureau et un casque X3 pour 838,80 euros.

Le smartphone Elite X3 de 5,96 pouces répond aux propriétaires de petites entreprises et les départements informatiques des entreprises. Le dispositif mobile est alimenté par un processeur 2.15GHz quad-core Qualcomm Snapdragon 820. Avec l’aide des docks groupés et la fonctionnalité de Microsoft Continuum qui peut se transformer en un ordinateur de bureau ou portable. Le dock de bureau peut être utilisé pour ajouter un seul port USB-C, deux ports USB 3.0 et un DisplayPort. La fonction de Continuum afficherait le contenu de votre téléphone, une fois que vous êtes connecté sur un moniteur. Les utilisateurs peuvent basculer entre l’écran externe et l’écran du smartphone. Cet appareil hybride HP de pointe est livré avec les spécifications mortelles telles que 64Go de mémoire. Le quai de recouvrement est essentiellement un ordinateur portable complet de 12,5 pouces que l’Elite x3 utilise comme son réseau, le stockage et le processeur. Il détient également une plus grande batterie qui peut charger le smartphone une fois que le quai de tour est connecté.

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Batterie Asus a32-n62

« C'est un dur dans les montées », déclare avec le sourire Baptiste, content d'avoir fêté trois 14-Juillet trois jours de suite, ceux de Pocé, Amboise et Chenonceaux. « L'autre jour il voulait s'arrêter car il était fatigué. On a trouvé aussitôt un camping qu'il a parcouru à velo de long en large toute la fin de journée… », raconte le vacancier.
La fin des vacances du père et du fils donne l'occasion de faire le bilan sur le circuit tourangeau « très agréable », et de regretter « le manque d'interconnexions sur le trajet et le fléchage des pistes cyclables parfois défaillant, en Allemagne c'est impeccable », mais aussi d'apprécier « les campings sympas, la beauté des paysages, le beau temps et l'absence de la pluie », conclue ce duo père-fils que tout le monde regarde avec tendresse et admiration pour ce circuit qui n'est pas une simple balade du dimanche !

Xiaomi prépare actuellement le lancement d’un nouveau téléphone, et plus précisément du Redmi Note 4. Il a pas mal fait parler de lui dernièrement mais un internaute a publié sur Weibo une nouvelle photo présentant la boite du terminal, et une partie de ses caractéristiques. Si ces informations sont vraies, alors le téléphone devrait mettre la barre assez haut.La conférence de presse de l’entreprise chinoise aura lieu le 27 juillet prochain. D’après les rumeurs circulant sur les sites spécialisés, Xiaomi devrait profiter de l’occasion pour présenter deux nouveaux produits.

Des produits assez différents l’un de l’autre par ailleurs car il serait question d’un téléphone et d’un ordinateur portable venant se ranger dans la catégorie des ultrabooks.Pour le moment, c’est le téléphone qui nous intéresse. Comme évoqué plus haut, un internaute a publié durant la nuit une photo de la boite du Xiaomi Redmi Note 4. Elle ne présente aucun visuel malheureusement mais elle laisse clairement apparaître une partie de la fiche technique de l’appareil.D’après ce cliché, le Redmi Note 4 devrait ainsi embarquer un écran de 5,5 pouces capable d’afficher une définition de type Full HD. Pas de QHD pour le moment, donc. Côté processeur, Xiaomi aurait opté pour un SoC MediaTek Helio X20. Si vous n’êtes pas familier de la gamme du fondeur, alors sachez que cette puce est arrivé sur le marché au début de l’année et elle regroupe pas moins de 10 coeurs répartis dans trois clusters différents.

Dans le premier, on trouve quatre coeurs Cortex A53 cadencés à 1,55 GHz. Ils se focaliseront sur les tâches communes, nécessitant peu de puissance de calcul. Le second cluster regroupera quatre Cortex A53 cadencés cette fois à 2 GHz et il s’activera pour les opérations un peu plus gourmandes. Enfin, on trouvera dans le troisième cluster deux coeurs Cortex A72 cadencés à 2,5 GHz réservés pour les calculs les plus complexes.Cette architecture est très séduisante sur le papier mais le MediaTek Helio X20 est aussi sujet aux surchauffes, exactement comme le Snapdragon 810. Lorsque sa température monte trop haut, il désactive automatiquement les deux coeurs les plus véloces. Il faut donc espérer que Xiaomi aura pris les devants.

Pendant la pause, certains lancent des leurres sur les Poké Stop et sont accueillis par une salve de remerciements. Pendant 30 minutes, les Pokémons seront attirés par les appâts et donc plus faciles à attraper.L’après-midi se déroule dans la même atmosphère de camaraderie teintée d’exaltation. « Pour une fois, ils sont dehors, s’exclame une passante, qui vient de prendre connaissance du jeu à réalité augmentée. Si ça n’existait pas, je suis sûre qu’ils auraient passé la journée à la maison, devant l’ordinateur ! »HP a profité du dernier Mobile World Congress pour lever le voile sur un terminal haut de gamme propulsé par Windows 10 Mobile : le Elite x3. Il avait fait forte impression à l’époque mais le constructeur n’avait pas communiqué sur son prix de vente.

Il a cependant corrigé le tir au début de la semaine en envoyant un communiqué à la presse spécialisée.Le HP Elite x3 sera donc proposé à partir de 699 €â€¦ hors taxes. Avec la TVA, il nous reviendra donc à 838,80 €.Le terminal ne sera pas donné, donc, mais cela n’a rien de surprenant compte tenu de son positionnement. Il s’adresse en effet avant tout aux entreprises et il est en plus doté d’une fiche technique résolument haut de gamme, une fiche technique à faire pâlir de jalousie la plupart des Lumia.L’appareil embarque ainsi un écran AMOLED de 5,96 pouces capable d’afficher une définition de type QHD et donc du 2 560 x 1 440, soit une densité de pixels de 494 ppp. Il est en outre propulsé par un SoC Snapdragon 820 composé de quatre coeurs cadencés à 2,15 GHz, avec un GPU Adreno 530 et pas moins de 4 Go de mémoire vive en LPDDR4.Derrière, on trouve aussi 64 Go de stockage et un lecteur micro SD compatible avec des cartes de 2 To au maximum.

Il a aussi droit à un capteur principal de 16 millions de pixels, à une caméra frontale de 8 millions de pixels, à un scanner rétinien et à tous les capteurs habituels, avec un port USB Type-C et une batterie compatible avec le chargement rapide et le chargement sans fil. Là dessus, le Elite x3 est aussi équipé d’une puce TPM et d’un lecteur d’empreintes digitales.Tout comme le Lumia 950 et le Lumia 950 XL, le Elite x3 est compatible Continuum et HP commercialise en parallèle un boitier doté d’une connectique complète ainsi qu’un dock ayant la forme d’un ordinateur portable.Si les smartphones sous Windows 10 peinent véritablement à convaincre le grand public, dans les entreprises, sa pénétration serait bien meilleure, affirme Microsoft qui met en avant le convergence évidente entre PC de bureau et terminal mobile dotés d'un OS commun.

Redmond mise par ailleurs sur la possibilité de transformer ses smartphones en vrai PC via la fonction Continuum et l'ajout d'un dock. Acer est ainsi l'un des premiers à proposer aux entreprises ce dispositif. HP ne sera pas en reste avec HP Elite x3. Présentée lors du dernier Mobile World Congress, la phablette dédiée aux professionnels apparaît sur les sites d'HP au prix de 699 euros HT. Sa disponibilité est prévue pour août. Une offre incluant le HP Elite x3 et ses accessoires, HP Desk Dock et HP Lap Dock, est prévue à partir de 1249 euros HT.HP entend bien surfer sur l'aspect hybride de l'appareil dans une logique d'évolution du poste de travail. « C'est un PC de nouvelle génération » corrige Philippe Chaventré, le directeur des ventes de HP Inc France en présentant il y a quelques mois le HP Elite x3, qui doit devenir le porte étendard de la marque sur le segment professionnel.

Dotée d'un écran 5,96 pouces et de Windows 10 Mobile, l'appareil tente d'e tirer la quintessence de Continuum, soit la possibilité de déporter l'affichage de la machine et l'exécution de ses applications sur un autre écran. « Nous pensons que le business du PC va prendre la même direction que le secteur de la musique » justifie sur ce point Michael Park, le responsable mobilité d'HP Inc. Soit la consultation d'informations sur des forms factors très différents.Concrètement, son appareil branché sur un dock dédié permettra avec une connexion USB-C de visualiser sur ordinateur les applications exécutées sur le smartphone, et de travailler directement sur la machine ou le logiciel est déporté. Mais que HP réussisse à convaincre, Microsoft devra être en mesure de fournir un écosystème d'applications qui supportent ce dispositif. Pour l'heure, seul Salesforce semble jouer le jeu.

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September 17, 2016

Batterie Asus 90-ni11b1000

En attendant la sortie du supposé Surface Phone l’année prochaine, l’Elite X3 sera probablement l’appareil mobile sous Windows 10 le plus puissant du marché. A l’intérieur se trouve un SoC Snapdragon 820, 4 Go de RAM, 64 Go de stockage, et une batterie de 4150 mAh. Le combiné dispose d’un écran 1440p AMOLED de 6 pouces, une caméra arrière de 16 mégapixels, un lecteur d’empreintes digitales, un système de reconnaissance de l’iris, la recharge sans fil, l’USB-C, NFC et plus.Il y a beaucoup de choix sur le marché de nos jours pour acheter une tablette. Les principaux acteurs sont Apple avec ses iPads et Microsoft Pro avec son Windows surface. Mais il existe aussi une forte concurrence de la part de Samsung, Lenovo et Google.

Avec son ZenBook 3, Asus semble s'être fixé plusieurs objectifs : concevoir un ordinateur portable encore plus fin et léger que le MacBook, mais aussi, et surtout, plus puissant et plus large d'écran. VOIR AUSSI : HP Spectre, l'ordinateur le plus fin du monde qui veut faire de l'ombre du MacBook Air Pari réussi pour ce nouveau modèle de 12 pouces, mesurant 11,9 mm de largeur pour 910 grammes. À titre comparatif, le MacBook dispose, lui aussi, d'un écran de 12 pouces, mais pèse 920 grammes. Lors de sa conférence de presse, la marque taïwannaise a assuré être parvenue à concilier ultra-portabilité, équipement et confort d'utilisation. Car le ZenBook 3 dispose d'un clavier rétroéclairé, avec une taille de touches comparable à celle de la plupart des ordinateurs portables. Pour réaliser un outil aussi fin, Asus affirme également avoir utilisé un ventilateur d'ordinateur d'une épaisseur de 3 mm et un alliage d'aluminium de type aérospatial pour le châssis.

Pour ce qu'elle a dans le ventre, la machine dispose d'un processeur Intel Core i7, de 16 Go de RAM et d'un disque dur dont la capacité est comprise entre 256 Go et 1 To. Pour cette configuration, il faudra payer 1 999 dollars, soit 1 795 euros. Sinon, le ZenBook 3 est aussi disponible avec un processeur Intel Core i5. une mémoire vive de 4 Go et un disque dur SSD de 256 Go, pour 999 dollars, soit 897 euros. Selon les versions disponibles, il intègre également un dispiositif de reconnaissance d'emprunte digitale, des hauts-parleurs Harman Kardon et un connecteur USB Type-C.

Conçu pour assister, divertir et tenir compagnie aux familles – à l'instar de Buddy, le robot de l'entreprise française Blue Frog que l'on a croisé la semaine dernière au salon de la robotique InnoRobo – Zenbo a comme qui dirait fait une entrée suprenante au Computex : disons-le, on ne s'attendait pas forcément à ce qu'Asus agrandisse la jeune famille des droïdes domestiques.Comme croisé avec E.T. et un iMac G4, ce petit bohomme doté d'intelligence artificielle fait à la fois office de majordome et d'assistant virtuel dans la lignée d'un Echo d'Amazon ou d'un Home de Google. Il est capable de répondre à des commandes vocales, de nous interpeler pour, par exemple, nous rappeler un rendez-vous chez le médecin, ou encore de donner l'alerte, à distance, en cas d'anomalie dans la maison.Grâce à sa tête-caméra, dont l'écran est tactile, il peut être facilement contrôlé à distance ; idéal pour prendre des photos de famille au complet ou pour espionner son chien quand il reste seul dans la journée. Doté de hauts-parleurs stéréo, il peut aussi raconter des histoires aux enfants au moment du coucher ou les occuper avec des jeux éducatif, et même se lier à nos objets connectés comme la télévision, les éclairages intelligents ou les climatisations dernière génération.

Asus a ouvert Zenbo aux développeurs désireux de créer des applications personnalisées. Et maintenant, venons-en au fait : il est très mignon, mais combien coûte-t-il ? Il est pour l'instant proposé à 599 dollars, soit 536 euros. Pour l'acheter en revanche, il faudra encore attendre un peu : aucun détail n'a été donné sur sa date de commercialisation.Le florilège des sorties Asus continue avec ces trois nouveaux smartphones Android : le ZenFone 3, le ZenFone 3 Deluxe et le ZenFone 3 Ultra, similaires dans leur design mais aux formats différents.

À première vue, le plus intéressant du trio semble être le ZenFone 3 Deluxe, qui réunit à peu près tous les critères que l'on demande à un bon smartphone aujourd'hui : un écran de 5,7 pouces full HD, une caméra arrière de 23 mégapixels (capable de filmer en 4K, gros bonus), un processeur Qualcomm Snapdragon 820, un GPU Adreno 530, 64 Go de stockage, jusqu'à 6 Go de RAM et un lecteur d'empreinte digitale. Son prix ? 499 dollars, soit 447 euros, même si pour l'instant, on ignore quand ces téléphones seront disponibles en Europe.

Son cadet, le ZenFone 3, soit le modèle standard, possède, lui, un écran Full HD de 5,5 pouces, un appareil photo arrière de 16 mégapixels, une caméra frontale 8 mégapixels, un processeur Qualcomm Snapdragon 625, 32 Go d'espace de stockage, jusqu'à 4 Go de RAM et un lecteur d'empreinte. Lui sera commercialisé à partir de 249 dollars, soit 223 euros.Enfin, le ZenFone 3 Ultra, se situe, d'un point de vue technique, à peu près entre les deux précédents, à quelques nuances près : son processeur Qualcomm Snapdragon 652, sa très très grande taille (6,8 pouces) et surtout, son autonomie hors norme. Ce modèle ultra-luxe est en effet capable de tenir 27 jours en veille et plus de 14 heures non-stop en navigation sur le web. Pour ces (gros) plus, il faudra débourser 799 dollars, soit 715 dollars.

TERRORISME - Tripéroxyde de triacétone, peroxyde d’acétone, TATP. Trois appellations pour un même explosif, découvert à la fin du 19e siècle par un chimiste allemand et devenu depuis le début des années 2000 une arme de choix pour les terroristes qui l'ont rebaptisé mother of Satan (mère du diable). Les enquêteurs ont retrouvé des traces à Londres en 2005, à Marrakech en 2011 ou sur le marathon de Boston en 2013.Découvert sur les kamikazes du 13 novembre, il a de nouveau été retrouvé à Bruxelles après les attentats du mardi 22 mars. Le procureur fédéral a même précisé que 15 kilogrammes de cet explosif très volatil et donc instable (ces apprentis chimistes du Nord l'ont appris à leurs dépends) ont été retrouvés dans un appartement perquisitionné dans la commune de Schaerbeek qui a vraisemblablement servi de planque aux terroristes bruxellois.

Par ailleurs, d'autres éléments entrant dans la confection de cet explosif ont été découverts sur place. En plus d'une valise remplie de clous et de vis (qui augmentent considérablement les dégâts et les blessures causés lors de l'explosion), les enquêteurs ont mis la main sur 150 litres d'acétone, 30 litres d'eau oxygénée et du matériel destiné à confectionner des engins explosifs comme des bacs en plastique et des ventilateurs.Ces ventilateurs servent à rafraîchir l'air au moment de la confection, dans la mesure où la réaction de tous ces éléments chimiques (auxquels il faut ajouter de l'acide sulfurique contenu dans les produits pour déboucher les canalisations) qui doivent être additionné au gramme près, dégage beaucoup de chaleur. Pour le stabiliser, le TATP (devenu poudre blanche cristalline, ndlr) est souvent mélangé à de la nitrocellulose, ce qui donne un mastic que l'on peut ensuite mouler selon la forme souhaitée, précise à Sciences et Avenir Véronique Vidotto, ingénieur en chef du département incendies-explosions à l'Institut national de police scientifique.

Le souffle qu'il provoque et sa puissance sont sensiblement égaux à ceux du TNT mais sa confection est nettement plus simple. Le système de mise à feu est également nettement plus simple qu'avec des explosifs moins artisanaux. Pas d’inflammateur, comme ceux utilisés pour les explosifs plus sophistiqués, mais très difficiles à trouver dans le commerce. Ici, un simple contact électrique suffit, permettant de créer une petite flamme et d’enclencher le dispositif, comme pour une clé de voiture ou des feux d’artifice, rapportait Libération dans la foulée des attentats du 13 novembre. Une pile de neuf volts peu suffire pour déclencher l'explosion, mais celle-ci peut aussi déclencher l'explosion après un mouvement intempestif du kamikaze.

A Paris et Saint-Denis, ce dispositif de mise à feu était relié à des gilets explosifs qui contenaient des barrettes de TATP. Au regard des dégâts engendrés à Zaventem, on peut clairement penser que les terroristes, qui en maîtrisent parfaitement la confection, n'ont pas eu recours à de petites ceintures ou gilets d'explosifs. À Paris et à Saint-Denis, ces ceintures contenaient entre 1,2 et 1,5 kg de TATP. Les terroristes de Bruxelles ont très bien pu encore se servir de TATP mais en quantité beaucoup plus importante, estime un spécialiste du déminage interrogé par Le Parisien.

Sur Internet, on ne compte plus les vidéos montrant des expériences avec du TATP. Sur certaines, on y voit des canettes pleines de liquide éventrées avec 0,5g ou une souris d'ordinateur explosée avec 1g. Slate précise qu'une simple cuillère à café (environ 5g) de TATP suffit à faire exploser un ordinateur portable. Avec une charge 3000 fois supérieure (celle retrouvée dans l'appartement de Schaerbeek), on imagine facilement les dégâts qu'auraient pu causer les terroristes.TECHNO - Les smartphones, c'est génial, mais le problème, c'est invariablement la batterie. Alors pour sauvegarder quelques pourcentages de batterie, chacun a sa petite astuce.

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Batterie Asus a32-u1

Quelle taille de tablette devrais-je acheter?
Tout d’abord, considérez la taille et le prix. La règle générale est : plus la tablette est grande, plus elle sera chère. Les tablettes ont généralement trois tailles d’écran – 7 pouces, 8 pouces et 10 pouces.Les tablettes 7 pouces ne sont généralement pas chers, légères et parfaites pour la lecture par exemple. Cependant, elles ne sont pas agréables pour regarder des films ou séries. Les tablettes de 10 pouces sont bonnes pour la productivité et pour regarder des vidéos, mais elles sont beaucoup plus lourdes et plus coûteuses. Les 8 pouces ont le parfait équilibre entre les deux et sont les plus populaires.

Quel type de tablette devrais-je acheter?
Vous devez également penser à quel type de tablette que vous voulez. Par exemple, si vous cherchez une tablette pour remplacer votre ordinateur portable, un «hybride» pourrait être votre meilleur choix. Certains, comme le Microsoft Surface Pro 4 , allient la performance à la la légèreté.Comment tester les tablettes à acheter ?
Les principaux aspects à prendre en considération sont la conception, la qualité de l’écran, l’autonomie de la batterie et le prix, cela constitue la plus grande partie des remarques à faire quand on veut acheter une tablette.

Nous avions déjà attiré votre attention sur Apple qui, à cause de sa manie d’intégrer les batteries non remplaçables par l’utilisateur au sein de ses produits, est hors la loi depuis la mise à jour de la directive batterie (2006/66/EC), entrée en application en septembre 2008. Paradoxalement, malgré la directive européenne, Dell fait de même. Caramba !, son nouveau PC ultraportable Adamo , qui se place en concurrent direct du MacBook Air, sacrifie aussi la batterie modulable sur l’autel du design !
Pourquoi une batterie amovible ?The device sports 16 infra-red sensors, all of which equate to about 4,000 measurements in the 2 seconds it becomes active. This makes it by far more accurate than most conventional thermometers, and it’s also why it’s a lot faster. The temperature will then be displayed on the small screen on the thermometer, but that’s not the only place where the results are shown.Since the "Thermo” is a smart thermometer, it also connects to smart devices, thus allowing users to keep track of their temperature using their preferred format. When tracking multiple temperatures from multiple patients, users can also create specific profiles to match those patients in order to avoid confusion. The thermometer is suitable for both adults and babies, so customers will only need to get the "Thermo” for everyone’s use.

On the matter of the power source, the device uses 2 AAA batteries, which is a little unconventional given the rechargeable units that are more common these days. Then again, the batteries are supposed to last for 2 years, so there wouldn’t be much of a point to recharge them anyway.For those wondering, The Verge reports that the FDA already approved the "Thermo” for mass production and sale, so there’s no need to worry about safety issues related to the device. The device costs a retail price of $99.95 and with that amount, customers get one of the best thermometers in the market right now.

Vous changez de voiture quand vos pneus sont usés ? Heureusement que non ! Les constructeurs d’automobiles se sont entendus sur un moyen (relativement) simple de remplacer les pneus. Pour les ordinateurs portables, le même principe s’applique. La batterie fait partie des composants qui s’usent le plus vite dans un ordinateur portable. Alors que les composants électroniques, le châssis, l’écran fonctionnent sans problème plus de 10 ans, la batterie commencera à montrer ses premiers signes de faiblesses au bout de 300 cycles de charge , soit à partir de 12 à 36 mois d’utilisation selon votre usage.
Pour vous éviter de changer de batterie, les constructeurs ont jusqu’à présent privilégié le bon sens en la rendant amovible. Vous pouvez ainsi la remplacer facilement, sans outils, ni connaissances techniques particulières. C’est encore plus facile qu’un pneu ! Sans compter que lorsque l’ordinateur devient un déchet , le démantèlement de la batterie, qui n’est pas traitée de la même manière que le reste, en est facilité.

Partie inférieur d'un Dell Adamo exempte des traditionnelles trappes d'accès à la RAM, Disque dur et batterie
Pourquoi Apple et Dell rompent-ils avec les habitudes du marché, quitte à braver la loi (ou plutôt à exploiter un flou juridique dans la directive) ? Les batteries qu’ils intègrent sont-elles révolutionnaires au point d’assurer à l’utilisateur le même niveau de performance pendant plus de 10 ans ? A première vue, non. Selon les spécifications du constructeur, le Macbook Air est équipé d’une batterie Lithium-Ion tandis que le Dell Adamo possède une batterie Lithium-Polymère, rien d’original, que du classique. Et il ne s’agit même pas d’une batterie Sonata de chez Boston Power qui supporte près de 1000 cycles de charge, soit trois fois plus que les batteries utilisées par Dell et Apple.
Partie inférieure du chassis du Apple Macbook Air. C'est à cet endroit qu'on trouve d'habitude les diverses trappes d'accès pour remplacer ou mettre à jour des composants comme la RAM, le disque dur ou la batterie.
Alors pourquoi ? Parce que le châssis est trop fin pour autoriser une batterie amovible ? Que nenni, les téléphones portables, pourtant bien plus fins, possèdent des batteries amovibles (à l’exception près de … l’Iphone d’Apple).
Mais alors pourquoi ? Probablement pour le design, pour proposer au client une machine épurée de toutes ces verrues que sont les ports d’extension, les trappes d’accès, la batterie modulable. Et c’est un pari réussi d’ailleurs : admirez la propreté de ces châssis, c’est très beau ! C’est très design ! Mais ce n’est pas vert du tout…

Apple et Dell pourraient nous dire…
Que la batterie est toujours remplaçable par leur soin et que ce service est gratuit durant la garantie de la batterie (très souvent de 6 mois, au maximum 1 an). Oui c’est vrai. Mais passée la durée de garantie, remplacer votre batterie vous coûtera chez Apple 139€ et plusieurs jours (voire semaines) d’attente . Pourtant, des batteries de MacBook Air se négocient à moins de 35€ sur eBay et la même procédure vous prendrait moins de 5 secondes sur un PC portable normal.
La seule raison valable semble être l’appât du gain. Les ventes d’ordinateurs neufs s’écroulent ? Qu’à cela ne tienne, Apple et Dell ont décidé de vendre des PC « jetables » aux victimes de la mode les plus nanties et les moins éco-friendly.
Amis lecteurs, c’est l’heure du choix :

Si vous envisagez de garder votre machine aussi longtemps que possible, ce qui est le geste éco-responsable le plus efficace en informatique, vous devrez abandonner l’idée de vous équiper de ces reines de beauté. Dans le cas contraire, prenez conscience que l’achat d’un de ces modèles est une aberration tant d’un point de vue écologique que financier. Le MacBook Air d’Apple est certifié Epeat Gold , soit la distinction la plus exigeante. Comment est ce possible ? Le critère de modularité existe bien dans l’écolabel EPEAT , mais celui-ci n’est pas obligatoire. Ainsi, en remplissant 21 des 27 critères optionnels, le MacBook Air est tout de même parvenu à décrocher la médaille d’or d’EPEAT. Ce label n’accorde donc pas assez d’importance à ce critère, qui, à notre avis, devrait être purement et simplement éliminatoire.

Le rêve de transformer nos smartphones en ordinateurs portables ne mourra jamais. Du Motorola Atrix au formidable HP Elite x3, il y a eu un certain nombre de fabricants qui ont déjà essayé (et en grande partie échoué de construire un smartphone qui peut être attaché à un dock et transformé en ordinateur portable. Dans une nouvelle tentative, une entreprise a choisi de vous vendre juste une coquille d’ordinateur portable, tout en vous permettant d’utiliser votre téléphone Android et une application pour la faire fonctionner.Le Superbook est en effet une coquille d’ordinateur portable de 11,6 pouces construite par l’équipe à l’origine d’Andromium OS, l’application qui permet à votre smartphone Android d’exécuter un système d’exploitation de type bureau.

Le mode de fonctionnement est assez simple : il faut télécharger l’application Andromium sur un smartphone fonctionnant sous Android 5.0 ou une version ultérieure, connecter l’appareil à l’aide d’un cordon micro-USB ou USB-C, et la coque d’ordinateur portable s’allumera. La société affirme que le Superbook prend en charge le multitâche et est livré avec un trackpad multi-touch La marque taïwanaise a tapé fort en présentant, lundi 30 mai, à l'occasion du Computex, toute une série de nouveaux produits. Petit tour d'horizon des annonces qu'il ne fallait pas manquer.Le plus grand salon asiatique dédié aux nouvelles technologies et attendu chaque année au mois de juin – le Computex –, se tient cette semaine dans la capitale de Taïwan, Taipei. Asus, qui "joue à domicile", s'y impose largement, avec de belles sorties.

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September 16, 2016

Batterie Asus a42-k56

La surface rugueuse sur les joysticks rompt bien avec l’aspect lisse du reste de la manette. Nos mains restent bien accrochées et le bout des doigts ne glisse jamais. On apprécie également que toutes les touches, même celles du milieu, sont à tout moment facilement accessibles. Qu’est ce que notre Stratus XL nous propose de particulier par rapport à la concurrence, outre son aspect et sa prise en main ? Tout d’abord, bénéficiant de la technologie Bluetooth 2.1, la manette se paire très facilement à de nombreux appareils Android et ordinateurs sous Windows. Le test a été effectué sur un Galaxy S5 et un ordinateur sous Windows 10, et un seul mot ressort de ces essais : enfantin.

En effet, il faut quelques secondes pour que la manette se connecte à n’importe quel appareil compatible. Une pression longue sur le bouton Bluetooth de la manette, une recherche des périphériques et le tour est joué. Aucun soucis n’a été rencontré, et les pilotes pour Windows n’ont même pas eu à être installé. On peut y jouer quelques secondes après l’ouverture. De plus, vous pouvez switcher d’un appareil à l’autre par simple pression d’une touche. Pratique. Les LED peuvent également indiquer le niveau de batterie pour savoir où vous en êtes et ne pas être surpris en pleine partie.

Certaines fonctionnalités de la Stratus XL sont personnalisables grâce au logiciel SteelSeries Engine 3, téléchargeable sur le site officiel. De la sensibilité des gâchettes, en passant par celle des joysticks, vous pourrez adapter l’utilisation de la manette au type de joueur que vous êtes. Le mappage des touches n’est cependant pas disponible pour le moment.Les LED présentes sur le centre de la manette vous indique l’état de celle-ci (en attente d’appairage, connectée, etc.) mais également quel joueur est actuellement en jeu. Vous pouvez tout à fait brancher plusieurs manettes sur un seul appareil et ainsi profiter des jeux multijoueurs comme avec une manette classique.

Quelques défauts, mais beaucoup de qualités
Le résultat est plutôt positif, car la manette a tout ce qu’il faut pour plaire : plutôt jolie, dotée d’une prise en main agréable et d’une facilité d’utilisation déconcertante. Toutes les fonctionnalités de la Stratus XL sont fort sympathiques, mais elles ont cependant un prix : 40 heures. C’est la durée de vie approximative de la manette avec des piles neuves. Une batterie n’est malheureusement pas proposée, ce qui peut en gêner plus d’un. Il faudra donc passer par la case piles rechargeables. Pas de port USB disponible non plus.

Les points négatifs ne sont donc pas nombreux ou sont contestables. L’absence de batterie peut ne pas gêner certains joueurs et l’autonomie reste somme toute convenable. En revanche, le point faible à souligner reste celui du support pour mobile qui aurait ajouté un plus non négligeable. Il faut poser le smartphone à plat pour pouvoir profiter de sa manette et c’est dommage. L’achat d’un support est donc fortement conseillé. Nos amis Den et Yamakhalah vous le confirmeront.

Vidéo Unboxing SteelSeries Stratus XL :Après de longues heures de jeu, nous pouvons confirmer que la Stratus XL est une manette qui tient bien en main, qui ne pèse pas trop son poids et qui permet une utilisation intuitive. En effet, nos paumes épousent agréablement ses formes et ses 283 grammes (avec piles) ne la rendent pas encombrante pendant les utilisations à longue durée. Si d’autres modèles de manette vous font hésiter, c’est sans doute qu’ils proposent des formes et des dispositions différentes. Avec celui-ci, aucun risque de dépaysement, son design de manette de console de salon et sa qualité de construction rassurent et les joueurs aguerris pourront y trouver leurs repères.

La Stratus XL s’adresse à un large public, qui désire avoir un objet solide et efficace. Les joueurs Android, PC et même VR (compatible Oculus et Samsung Gear VR) seront ravis de savoir qu’une seule manette peut regrouper leurs deux machines de jeu. On recommande fortement l’acquisition de cette manette qui confirme une fois de plus que SteelSeries sait de quoi il est capable.Though the smartphone market was nearly as massive a few short years ago as it is today, it was a terrible business to be in unless your company’s name was Apple or Samsung. There were simply no other phone vendors that could figure out how to make any real money selling smartphones. Try as they might — and oh, how they tried — rival phone companies spun their wheels while Samsung and Apple pulled in all of the smartphone industry’s profits.

Today, things are different. Galaxy phones and iPhones are still the most popular handsets by a wide margin, but other companies have managed to put a serious dent in Apple and Samsung’s combined market share. Gaps in the market have been exposed and several companies are taking advantage. Most notably, Chinese vendors have found success selling high-quality phones at surprisingly low prices.But price isn’t the only area of the smartphone market where there is an opportunity to strike. There’s also an innovation gap just waiting to be filled, and Lenovo’s new Moto Z Droid and Moto Z Force Droid are the latest phones that will attempt to fill it.

En milieu de semaine, une nouvelle rumeur a émergé sur Weibo à propos de cette dernière version. Elle est relayée par nos confrères de Mobipicker. Et elle dévoile en grande partie la fiche technique des trois moutures, notamment la meilleure qui promet d’être particulièrement haut de gamme, puisqu’il combinera les atouts du Galaxy Note 7 et ceux de l’iPhone 6S Plus, rien que cela. Notamment au niveau des propriétés de son écran. Comprenez qu’il sera non seulement Quad HD, d’une taille de 5,7 pouces, mais également incurvé sur ses deux cotés latéraux et compatible « Force Touch », avec capteurs de pression. Les autres versions ne seraient que Full HD et la mouture intermédiaire serait également compatible Force Touch.
Côté chipset, l’identité du modèle n’est pas clairement indiquée. Mais il semblerait que Xiaomi ne puisse choisir moins puissant que le Snapdragon 820, mais une version plus actuelle (821 ou 823) pourrait le remplacer. Les options de mémoire seraient de 4 Go de RAM et 32 Go de stockage pour la version standard, 6 Go de RAM et 64 Go de stockage pour la version intermédiaire et 6 Go de RAM et 128 Go de stockage pour la version « Edge ». La batterie, compatible Quick Charge, atteindrait les 4000 mAh.

Le capteur photo de la version standard serait un modèle 16 mégapixels, tandis que les deux capteurs jumeaux des deux versions intermédiaire et premium offriraient une définition de 12 mégapixels. Attendez-vous également à une ribambelle de technologie : NFC, infrarouge, lecteur d’empreinte Sense ID, chipset Hi-Fi, etc. Le tout pour un prix qui parait bon, sans pour autant être aussi intéressant que ce à quoi Xiaomi nous a habitués avec le temps. La version la plus économique serait proposée à 2500 yuans (340 euros), la seconde à 3000 yuans (410 euros) et la dernière à 3500 yuans (480 euros). Bien sûr, ceci n’est qu’une rumeur. Le prix final, ainsi que la configuration, pourrait être bien différent en fin de compte.
En 2015, Jason Zhang, l'ancien directeur d'Ambrella à Shenzhen, décide de se lancer dans une nouvelle aventure entrepreneuriale.



Après la récolte d'une bonne expérience chez le fournisseur du produit le plus important de la caméra sportif GoPro, qui est la puce de traitement, l'ingénieur chinois créée, avec son équipe, la caméra Z Cam E1.
Pour se procurer des ressources monétaires nécessaires à la réalisation de ce projet, il lance une campagne Kickstarter, en faisant appel aux amateurs de photographies pour lui donner un coup de pouce.
Le montant demandé par Jason Zhang et son équipe afin de lancer le produit était de 42 000 dollars et s'était, rapidement et amplement, couvert.
La caméra dispose, notamment, du Wi-Fi intégré et le Bluetooth pour communiquer avec d'autres appareils.
Cet ensemble, pesant 209 g, tourne dans un boîtier de 75.2mm x 56.1mm x 50.25mm, fabriqué en magnésium pour réduire la chaleur dégagée lors du tournage en 4K.

La Z Cam E1 est une caméra sportive qui ressemble beaucoup à la caméra d'action GoPro, avec des caractéristiques techniques plus avancées, mais une taille un peu plus grande.
Elle débarque sur un marché très concurrentiel, puisque GoPro ne se présente pas son seul rival, mais aussi Sony QX, Smartlens Air A0 de Olympus, Panasonic G7...
The "Withings” thermometer is now available for purchase. Dubbed the "Thermo,” it’s considered one of the most sophisticated in the world, particularly for one that’s sold in the commercial market. It’s available in Apple’s Stores and via online purchase from Apple’s and ‘Withings” websites.The "Thermo” is a smart thermometer that measures the body’s temperature via the temporal artery, Tech Crunch reports. All the user has to do is hold the thermometer against their temple for 2 seconds and they’re done.

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Batterie Asus a32-f82

En revanche, le chargeur fourni avec la montre n'est pas des plus pratiques. L'accroche aimantée façon magsafe est bien pensée, mais il nous est arrivé à plusieurs reprises de le connecter à la montre avant de s'apercevoir, de longues heures plus tard, que tous les connecteurs n'étaient pas alignés et que donc la montre ne s'était pas chargée... On aurait aimé, à défaut d'avoir de la recharge sans fil, un connecteur un peu mieux pensé.
Tesla CEO Elon Musk has revealed, via a blog post on his car company’s own website, his vision for the next decade of Tesla output, a decade after the Roaster ticked-box one of four from his original master plan. In a nutshell, while there won’t be a lower cost vehicle sitting below the Tesla Model 3, Musk does intend to offer a "a future compact SUV and a new kind of pick-up truck”, sitting either side of the Model X in utility. Also, Musk hopes Tesla can enter the HGV market. "Here are two other types of electric vehicle needed: heavy-duty trucks and high passenger-density urban transport. Both are in the early stages of development at Tesla and should be ready for unveiling next year.” Musk says his Tesla Semi (behave) will be fun to drive, and his autonomous bus will cut congestion.

However, so far as car production goes the main priority is ramping up production to get those waiting lists down. Here, Musk slightly lapses into PhD speak: "A first principles physics analysis of automotive production suggests that somewhere between a 5 to 10 fold improvement is achievable by version 3 on a roughly 2 year iteration cycle.”Next up, the autonomy problem. A hot topic, what with the recent news of Tesla’s Autopilot system being online during a fatal accident. Musk says future versions will have a failsafe back-up, so if anything on the car fails, your journey is still continued safely without driver input.

Apparently, three million miles-worth of system-improving data per day is being fed into Tesla’s servers, and Musk has promised that Autopilot will be considered a beta service until it’s demonstrated to be at least ten times safer than manual driving by a human (according to average crash stats in the US).Ride-sharing next. This is how Tesla intends to get around the problem of not making a cheaper family hatch or city car. On the other hand, like the idea of your car earning you a few quid (or ahem, bucks) while you’re on holiday, or at work, or even asleep?Musk says that once regulators approve Teslas to self-drive more than a few metres with no-one aboard at all, you’ll be able to summon a car yourself from a fleet of Teslas included on a shared fleet, and use it yourself for a limited lease time. Handy for errands, without having to park or recharge it yourself.

Finally, the fourth act of Elon’s ‘part deux’ plan is less about cars themselves and more a marriage between his status quo-busting car company and SolarCity, his solar panel interest. Musk wants to directly integrate "beautiful” solar roofs with batteries directly, easily orderable via a smartphone app and directly compatible with Tesla’s domestic Powerwall energy system.Corrections & clarifications: An earlier version of this story misstated Stanford University professor Andrea Goldsmith's name.As the summer sun rose over the Arizona desert, Facebook chief executive Mark Zuckerberg and his team watched the Aquila lift off the runway at a military installation near the California border, the first time the unmanned solar-powered aircraft had taken to the skies.

Aquila, with the wingspan of a Boeing 737, remained aloft at low altitudes for 96 minutes, more than three times longer than Facebook originally planned. Facebook had been testing a much smaller scale version of Aquila for several months, but this flight a month ago was the first true test of the aircraft.Hoots and high fives accompanied the successful launch, a milestone in Facebook's mission to beam the Internet to people who don't have it. The concept: Circling a region, the aircraft will use new laser-beam technology to deliver fast Internet to people in a 60-mile radius. Aquila will transmit a signal that can be received by the antennas of small towers and dishes on the ground. The antennas will convert the signal into Wi-Fi or 4G networks.

Facebook will have to solve some tough engineering problems — collecting enough energy during daylight hours to operate around the clock and designing high-energy, dense batteries that can efficiently store enough energy — before Aquila can complete its mission: to fly miles above the earth — 60,000 feet or more — for up to three months at a time. The current record for solar-powered unmanned flight is two weeks.Aquila's mission: to fly miles above the earth — 60,000 feet or more — for up to three months at a time. The current record for solar-powered unmanned flight is two weeks. (Photo: Facebook)
Facebook is not the only company racing to bring affordable Internet to hundreds of millions of people in hard-to-reach stretches of the globe. In fact, the pace of innovation from technology giants and start-ups is ushering in an important new era of experimentation, says Kerri Cahoy, an associate professor in MIT's aeronautics and astronautics department.

Google parent company Alphabet is backing Project Loon, which uses high-altitude, wind-propelled balloons. Loon beams the Internet from balloons circling the earth at altitudes twice as high as commercial aircraft, helping mobile operators extend wireless networks into more sparsely populated or remote terrains without running fiber optic cable or building cell towers.OneWeb Satellites, a joint venture between start-up OneWeb and Airbus Defense and Space, aims to build a new generation of small yet advanced satellites to offer Internet service, in part targeting developing regions. Elon Musk's Space X, too, aspires to use satellites to blanket the globe with Internet connectivity."It's great to see this push," Cahoy says. "I sure hope these technologies are groundbreaking enough to make it possible or make big steps toward making it possible."

BLU Energy XL est doté d’un écran AMOLED Full HD de 6 pouces, un processeur MediaTek 6753 avec GPU Mali-T720, 3 Go de RAM, 64 Go de ROM avec extension microSD et la compatibilité LTE. Il sera mis à jour vers Marshmallow d'ici la fin de cette année. A l’arrière du téléphone il y a une caméra primaire de 13 MP, avec un capteur frontal de 5 MP f/2.0. Il y a également un scanner d'empreintes digitales situé sur la coque arrière métallique du dispositif, et bien sûr cette batterie de 5 000 mAh qui vous permet également de recharger d'autres appareils (via USB Type-C et USB 2.0). Le BLU Energy XL est disponible en version Or et Argent pour 299,99 $.
Steelseries n’en reste pas à ses précédentes réussites. Après la SteelSeries Free Mobile et la SteelSeries Stratus, c’est au tour de la SteelSeries Stratus XL de se faire une place sur le marché des manettes pour mobile et PC. Merite-t-elle sa place sur votre bureau ou dans vos mains ? C’est ce que nous allons voir pendant ce test.

On devine déjà que la manette est complète et que, malgré l’absence de batterie, elle conviendra à beaucoup de joueurs compte tenu de la taille et du poids bien dosés ainsi que des nombreux boutons qu’elle propose. La particularité de la Stratus XL, c’est qu’on a l’impression d’avoir déjà vu ce design quelque part. En effet, et comme son nom l’indique, il s’agit là de la version XL du précédent modèle, la Stratus, manette compatible iOs et Mac. La ressemblance est donc frappante, seules quelques différences sont à noter. Bien entendu, la taille est pratiquement doublée, passant de 6 x 11 x 33 mm à 150 x 110 x 62.3 mm. La manette en impose donc un peu plus. La petitesse qu’on lui reprochait autrefois est maintenant compensée. De plus, son revêtement noir mat et ses touches de couleur orange lui donnent un côté gamer assez plaisant sans être pour autant excessif.

Globalement, la manette ressemble à un alliage de ce qui se fait de mieux. Toutes les bonnes idées des autres constructeurs ont été reprises afin de créer un hybride assez joli. Sur la partie inférieure de la manette, on retrouve deux joysticks qui semblent assez proches mais ne gênent que très peu la maniabilité de l’engin, nous le verrons plus tard. Leur surface rugueuse permettent un bon maintient des pouces. Ces derniers glissent moins pendant les sessions de jeux . On retrouve également le quatuor X Y A B, reprenant les codes de la manette Xbox. Les gâchettes arrières sont également bien placées même si l’on regrette l’absence d’un espace pour reposer ses doigts. Encore une fois, on retrouve des caractéristiques semblables à la manette Xbox One. Tout semble croire que cette dernière à influencé la conception de la Stratus XL quand on compare les deux manettes. Les formes et positions des boutons sont très ressemblants.

On se retrouve donc avec une manette à l’allure classique, semblable à celles des consoles de salon. Ce qui est un bon point, d’autant plus que l’objet est bien fini, et à l’air solide. Globalement, les touches et les gâchettes sont agréables au toucher, et ne demandent pas à être fortement pressées pour être activées. La manette est donc plutôt agréable à regarder. Qu’en est-il de sa prise en main et des sensations qu’elle procure ? Comparons-la une dernière fois avec la manette Xbox One, car les sensations sont très proches. On sent bien l’objet en main étant donné que sa taille et son poids (280g) sont suffisamment proportionnés. On a bien l’impression d’avoir une vraie manette de jeu en main, et non pas un produit de piètre qualité. Les joysticks sont facilement atteignables. Bien qu’ils semblent trop rapprochés, nos doigts ne se touchent pas en jeu. Justement, en jeu, lorsque l’on déplace la caméra et le personnage en même temps, il arrive que nos deux pouces se frôlent mais avec le temps l’adaptation se fait naturellement.

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September 15, 2016

Batterie Asus x93sm

Aorus X5 .jpg La version GTX 980 de l'Aorus X7 sera un peu plus lourde et épaisse que celle dotée d'un SLI de GTX 970M.
Pour conclure, sachez qu'Aorus et Gigabyte devraient, à moyen terme, séparer plus nettement leurs offres en matière de PC portables. Les deux marques resteront bien entendu sous la coupe du même groupe, mais Gigabyte souhaite s'éloigner du marché du laptop gamer et davantage se tourner vers des configurations grand public/multimédia, mais également vers les professionnels. Aorus devrait donc plus que jamais représenter l'offre pour les joueurs, avec des tarifs en conséquence.
Surtout connu pour ses smartphones, le constructeur chinois Xiaomi se lance sur un nouveau marché : le PC portable. Il semble cependant ne pas vouloir faire comme tout le monde.

Xiaomi fait régulièrement les choux gras de la presse high-tech, avec notamment ses nombreux smartphones aux caractéristiques haut de gamme vendus à des tarifs quasi imbattables. La marque investit également d'autres secteurs, comme celui des TV, des bracelets connectés ou des caméras, et devrait bientôt proposer une gamme de PC portables qui auront la particularité de tourner sous Linux.Le site Tech Times rapporte en effet les déclarations officielles du constructeur taïwanais Inventec : ce dernier aurait signé un partenariat avec Xiaomi dans le but de concevoir deux nouveaux laptops. Ces deux machines seraient commercialisées début 2016 sous la marque du fabricant chinois, et pourraient être l'une en 12,5 pouces et l'autre en 13,3 pouces. Le système d'exploitation installé sur ces PC serait Linux, sans plus de détail sur la distribution. Le choix de ne pas proposer Windows en série sur ces machines semble toutefois logique de la part de Xiaomi, le fabricant ayant un très long historique avec Android, dont il n'a pas hésité à modifier lourdement l'interface d'origine. On imagine que la compagnie souhaite en faire autant sur ces ordinateurs portables en optant pour un OS custom, ce qui baisserait significativement le prix de vente.

In addition to consumer vehicles, there are two other types of electric vehicle needed: heavy-duty trucks and high passenger-density urban transport. Both are in the early stages of development at Tesla and should be ready for unveiling next year. We believe the Tesla Semi will deliver a substantial reduction in the cost of cargo transport, while increasing safety and making it really fun to operate.
Après de nombreux mois d'absence, la Watch Urbane 2 3G de LG est de retour sur le marché. La première version était en effet handicapée par un problème d'écran, mais le constructeur n'a pas abandonné son appareil et ressort sa tocante connectée avec carte SIM 5 mois plus tard. Si l'appareil est séduisant sur le papier, dans la pratique c'est un peu plus complexe.
Première montre Android Wear avec une connexion de données autonome, la Watch Urbane 2 3G était déjà l'une des mieux équipées lors de sa sortie prévue en novembre 2015 et reste encore cinq mois plus tard, la seule tocante à se détacher un peu de la masse question fiche technique — signe de la morosité du marché. On retrouve certes l'éternel SoC Snapdragon 400 présent dans la plupart des autres montres, mais l'écran de 1,38 pouce dans un cadran de 44 mm de diamètre est le mieux défini de ceux des montres actuelles avec 480 par 480 pixels pour une résolution de 348 pixels par pouce. La montre embarque 4 Go de mémoire interne et 768 Mo de RAM. Et bien sûr, elle offre une compatibilité avec l'Internet mobile, en 3G uniquement dans l'hexagone.

Le boitier en lui-même mesure 44,5 mm de côté pour 14 mm d'épaisseur. Le bracelet vendu par défaut est en caoutchouc rigide. Il est maintenu par un mécanisme propriétaire composé de quatre vis Torx. Enfin, la vitre sur l'écran est recouverte d'une protection Gorilla Glass 3 et l'accessoire est certifié IP67, c'est-à-dire qu'il peut être immergé dans l'eau pendant 30 minutes jusqu'à un mètre de profondeur.Côté connectivité et capteurs, la Watch Urbane est compatible Bluetooth 4.1 (dit basse énergie), embarque une puce A-GPS, un accéléromètre, un baromètre, un cardiofréquencemètre, un gyroscope et un capteur de proximité. Le tout est alimenté par une batterie de 570 mAh tandis qu'Android Wear 1.5 prend les commandes côté OS. À noter que la montre est l'un des rares modèles à être éligible à la préversion bêta d'Android 2.0. Il est donc possible d'utiliser l'Urbane 2 3G seule ou en conjonction avec un téléphone sous Android ou iOS.

Si la fiche technique de la Watch Urbane 3G est alléchante sur papier, une fois la montre portée au poignet on déchante assez vite. En effet, pour supporter la demande en énergie que représente une connexion à l'Internet mobile LG a embarqué une batterie conséquente dans sa montre, et qui dit batterie de grande capacité dit appareil encombrant. Avec ses 14 mm d'épaisseur, la Watch Urbane 3G est la montre Android Wear grand public avec le plus d'embonpoint. S'y ajoute une masse de 91 g qui rend l'accessoire massif et rapidement pesant sur le poignet. La montre est donc à réserver à ceux pour qui l'encombrement et le poids d'une montre ne sont pas un problème.

Mais l'autre souci majeur de la Watch Urbane 3G, c'est son bracelet d'origine. Fait de caoutchouc, il est extrêmement rigide et portera vite assez chaud en plus de coller à la peau. On a un peu l'impression de se trouver face à un bracelet de montre de plongée, raide et relativement inconfortable. La faute en partie aux imposants connecteurs qui ont en plus le défaut d'être propriétaires, limitant de fait les possibilités de changement de bracelet.Nonobstant ces défauts, le design est assez réussi et plutôt classieux. Les finitions sont soignées et le cadran est assez élégant malgré son style massif. Les 3 boutons sur le côté ajoutent à l'impression sérieuse de l'ensemble. Seul petit bémol, lorsque la montre est portée un peu serrée, le bouton central peut être pressé accidentellement lorsque l'utilisateur relève le poignet. Une étourderie de design regrettable, mais on se consolera en se disant que vu le confort de l'ensemble, personne ne risque de porter sa montre très serrée.
Côté lisibilité, la Watch Urbane n'a pas grand-chose à se reprocher : la luminosité maximale atteint 400 cd/m², suffisant pour la plupart des usages. On regrette en revanche que celle-ci ne s'adapte pas automatiquement à la luminosité ambiante. Autre micro point noir, le rendu colorimétrique est loin d'être idéal avec un Delta E à 7,4. C'est bien évidemment très loin d'être d'une importance capitale sur un écran de montre, mais les couleurs fluo pourraient agacer un peu les puristes.

Côté OS, sans surprise c'est Android Wear en version 1.5 que l'on retrouve au sein de cette montre LG. L'évolution de l'OS de Google n'est pas énorme depuis ses premières versions et l'on retrouve donc toujours ce mécanisme des 4 panneaux horizontaux (cadrans, apps, contacts et dictée vocale), couplé à la navigation au sein des notifications qui s'effectue en vertical depuis le cadran. Les gestes de contrôle sont bien reconnus, mais restent à notre goût un peu anecdotiques. Google exerçant un contrôle assez strict sur son OS pour les montres, l'interface et les usages restent très proches de ce que l'on retrouve sur les autres tocantes connectées du marché. Le seul ajout logiciel se résume au bouton du bas de la montre qui lance l'app LG Health ; un raccourci que l'on aurait bien aimé pouvoir modifier.

Mais là où réside tout l'intérêt de cette nouvelle tocante LG, c'est dans sa carte SIM et l'autonomie qu'elle apporte par rapport au téléphone. La Watch Urbane peut ainsi, en théorie, être utilisée sans aucune connexion Bluetooth au smartphone. En théorie seulement, puisque dans les faits le nombre d'applications autonomes est assez réduit et, pour ne rien arranger, celles-ci souffrent d'une lenteur d'exécution disqualifiante. Le GPS est pour sa part incroyablement capricieux et la navigation a du mal à suivre, tandis que les recherches web peuvent prendre jusqu'à 30 secondes, quand elles ne plantent pas. La dictée vocale est également lente et vous vous retrouverez à plus d'une occasion planté devant une icône de chargement pendant de longues dizaines de secondes au lancement de beaucoup d'applications. Bref, la montre manque clairement de puissance et cela se voit. Soulignons tout de même que la bascule entre la connexion Bluetooth et 3G autonome a le bon gout de ne prendre guère plus d'une dizaine de secondes ; une maigre consolation.

Comme on pouvait s'y attendre, l'écoute de musique avec le haut-parleur intégré est douloureuse tant le son grésille et se déforme. Les appels sont un peu plus intelligibles, sans être la panacée, et si l'on omet le côté futuriste type K2000, passer des coups de téléphone avec sa montre reste assez inconfortable puisque cela nécessite de toujours la porter à 10 cm du visage. Cela reste pratique pour ceux bénéficiant d'un abonnement double SIM et qui ne veulent pas emporter leur téléphone partout ; une petite niche d'utilisateurs donc.



Pour compenser la consommation inhérente à la connexion 3G, LG a embarqué une batterie de 570 mAh dans sa tocante. Si cela induit forcément un certain encombrement, cela prête en revanche à la montre une autonomie généreuse de largement deux jours, un fait rare dans l'univers des montres Android. Utilisée de façon modérée, la tocante perd environ 33 % de sa batterie en une douzaine d'heures, de quoi envisager un second jour d'utilisation sereinement. On n'est bien sûr pas au niveau d'une montre Pebble, mais la Watch Urbane 3G tient l'une des meilleures autonomies du marché Android.

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Batterie Asus x50

Autre mise à jour majeure du constructeur : le Spectre x2, qui vient affronter de face la toute nouvelle Surface Pro 4. Comme la Surface Pro 4, la machine exploite un châssis de 12 (30,5 cm). Elle ne sera disponible qu'en définition Full HD (1 920 x 1 080 px) mais aura l'avantage d'être vendue avec un clavier, ainsi qu'un stylet signé Wacom. Si le concept est très proche de celui proposé par Microsoft, la réalisation est quant à elle bien propre à HP, avec un design qui fait la part belle à l'aluminium, du châssis au clavier. On apprécie en particulier la béquille en acier usiné retenue par aimant, particulièrement efficace. Autre détail, la partie audio, confiée à B&O, intègre deux haut-parleurs : l'un situé dans le clavier et l'autre, sur la tablette.

Lorsque la batterie est en charge, les ions se détachent de la cathode, passent à travers l'électrolyte et viennent s'accumuler entre ces flocons. Durant l'utilisation de la batterie, c'est l'inverse: les ions s'écoulent à nouveau vers la cathode. Mais le fouillis des particules de graphite les oblige à effectuer beaucoup de détours, ce qui affecte la performance de la batterie, souligne l'IPS (voir haut du graphique ci-dessous).Graphique: Juliette Billaud, Florian Bouville, Tommaso Magrini/Institut Paul Scherrer, ETH Zurich -
Pour aligner les particules de graphite, les chercheurs les ont d'abord couvertes d'une couche de nanoparticules d'oxyde de fer magnétique. Ensuite, au moment du dépôt sur l'anode, ils les ont soumis à un faible champ magnétique tournant (100 millitesla, l'équivalent d'un magnet de réfrigérateur). Les particules s'agencent alors à la verticale et leurs faces s'alignent parallèlement les unes aux autres, comme des livres sur une étagère (voir bas du graphique).

La précision de cette disposition permet de raccourcir au maximum les chemins que les ions lithium ont à parcourir, précise André Studart, expert en nanostructuration des matériaux à l'ETH Zurich. En laboratoire, les chercheurs ont pu constater jusqu'à un triplement des capacités de charge. Evidemment, il sera difficile d'atteindre ce niveau dans la réalité, compte tenu de la complexité de construction des différentes batteries rechargeables du commerce. Mais dans tous les cas, la performance s'en trouvera améliorée, peut-être entre 30 et 50%, estime Claire Villevieille.

Il y a encore quelques temps, avoir un iPhone ou un iPad, c’était renoncer à sa liberté de pouvoir transféré des fichiers aisément comme c’est le cas avec les appareils sous Android, ou encore renoncer à la possibilité d’étendre sa capacité de stockage. Depuis l’année dernière, ces contraintes n’existent plus grâce à l’apparition des Clés USB Lightning compatibles iPhone et iPad. Sandisk, véritable référence sur le marché, avait sorti en 2014 sa Clé USB iXpand, le constructeur revient cette année avec un nouveau modèle : la clé USB Sandisk iXpand nouvelle version.

Avant de commencer le test, je vous rappelle le principe et l’utilité d’une clé USB lightning compatible appareil iOS : c’est une clé avec 2 connecteurs, un connecteur USB classique pour la brancher sur des ordinateurs Mac ou Windows, et un connecteur Lightning pour la brancher sur un iPhone, iPad ou iPod Touch. Cette solution de stockage est donc idéale pour transférer des données facilement, sauvegarder vos données depuis les appareils Apple ou bien étendre la capacité de stockage de vos appareils sous iOS. Le leader mondial des solutions de stockage flash a revu le design de sa clé USB Lightning pour notre plus grand plaisir, cette nouvelle version est ainsi moins volumineuse, plus compacte et donc plus jolie. Disponible en quatre niveaux de capacité : 16, 32, 64 et 128 Go, la clé USB Sandisk iXpand tient facilement dans la cinquième poche du jean’s et profite d’une excellente finition.

Coté utilisation, la clé s’emboite parfaitement avec les appareils de la firme à la pomme, là où l’ancienne version était trop encombrante en mobilité pour la garder connectée. Comme toutes les clés USB Lightning du commerce, il faudra au préalable télécharger une application gratuite pour gérer les contenus et transferts.
L’ancienne version était équipée d’une batterie alors que celle-ci n’en a plus, c’est un bon point car cela permet à la clé de fonctionner instantanément là ou l’autre pouvait rester inactive faute de batterie. En revanche, cela puise de l’énergie sur l’appareil connecté lors des transferts de fichiers, mieux vaut le faire avec un iPhone ou iPad chargé à bloc puisque votre port lightning sera occupé par la clé, vous ne pourrez donc pas recharger.

L’application est très simple à utiliser et offre de nombreuses options comme le transfert des fichiers Clé USB vers iPhone/iPad ou de l’iPhone/iPad vers la clé USB (attention, limite de 4Go par fichier), et bien entendu toutes les options de sauvegarde de vos contacts, vos photos et vidéos. Pour ceux qui ont acheté la version précédente de la clé Sandisk USB Lightning, sachez que le logiciel est différent, par exemple, vous pouvez sauvegarder localement les médias de vos comptes Facebook, Instagram et Picasa, et même des médias issus d’autres applications. L’option la plus utile reste la sauvegarde des contacts, surtout lorsque vous souhaitez changer de téléphone.

Au final, cette clé USB iXpand de Sandisk est le compagnon idéal de votre iPhone ou iPad. Si jamais vous avez acheté l’ancienne version, revendez là pour acquérir la nouvelle qui corrige tous les défauts précédents.
Compacte et facile d’utilisation, la clé USB iXpand de Sandisk vous simplifiera la vie, du transfert des films de vos ordis vers votre iPad avant de partir en vacances à la sauvegarde de vos photos pour libérer de la mémoire sur votre iPhone. Le connecteur est compatible USB 3.0 pour un débit plus rapide sur les ordinateurs compatibles. Le seul véritable défaut a été l’impossibilité de transférer des vidéos HD supérieures à 4Go, mais honnêtement ce n’est vraiment grave puisque la HD n’est pas nécessaire sur un iPad ou un iPhone en mobilité. Coté prix, comptez entre 49,99€, et 139,99€ selon l’une des 4 versions, 16, 32, 64 et 128 Go, disponible sur le site Amazon et sur le site officiel Sandisk.

Si certains d'entres-vous ont peut-être déjà été tenté de se débrouiller pour obtenir Pokémon GO avant sa sortie officielle en Europe, sachez que certains utilisateurs australiens (voir ici) rencontrent quelques petits soucis plus ou moins gênants. Problèmes de serveur, de localisation ou encore de son décalé, le titre cumule quelques petits soucis que Niantic reconnait et promet de résoudre dans les heures qui viennent... Mais le plus gros problème concerne à priori, la batterie de certains téléphones qui aurait tendance à s'épuiser très rapidement. Conscient du problème, Niantic invite les joueurs à bien paramétrer son téléphone en activant le GPS de son portable et en le plaçant sur Haute précision. Dans le même temps, certains joueurs conseillent de baisser la luminosté et même de carrément couper le son de l'application pour gagner un peu de temps... On espère que ces soucis seront réglés d'ici la sortie du jeu en Europe qui devrait arriver incessamment sous peu.

When Elon Musk finally emerged from pulling his small-amounts-of-crack-fueled all-nighter and finally delivered his new Master Plan Part II, it proved to be full of some interesting ideas. Of those ideas, I think the plan for Tesla to build a semi heavy-duty truck is by far the smartest, and offers some really interesting possibilities.The idea for Tesla to build a large, long-haul trucking vehicle came from the section of the Master Plan modestly titled "Expand to Cover the Major Forms of Terrestrial Transport.” Interestingly, Musk didn’t mention any plans for shoes or skateboards, but did have this to say, emphasis mine:

In addition to consumer vehicles, there are two other types of electric vehicle needed: heavy-duty trucks and high passenger-density urban transport. Both are in the early stages of development at Tesla and should be ready for unveiling next year. We believe the Tesla Semi will deliver a substantial reduction in the cost of cargo transport, while increasing safety and making it really fun to operate.
The idea for Tesla to build a large, long-haul trucking vehicle came from the section of the Master Plan modestly titled "Expand to Cover the Major Forms of Terrestrial Transport.” Interestingly, Musk didn’t mention any plans for shoes or skateboards, but did have this to say, emphasis mine:

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September 14, 2016

Batterie Asus f5

Les configurations sont en revanche plus décevantes, car le constructeur ne propose que des processeurs Intel Core m3, m5, m7 ; ils sont certes très peu énergivores, mais n'offrent pas le niveau de puissance des Core i5 et i7 proposés par la Surface Pro 4. Ils seront secondés par un maximum de 8 Go de mémoire vive et des SSD de 128 à 512 Go. La connectique intègre un port USB type C et, bon point, HP fournit un adaptateur vers USB classique.Le HP Envy 13 vient compléter le tableau en proposant un ultraportable de 13,3 (33,8 cm) non tactile, avec dalle Full HD (1 920 x 1 080 px) et un châssis en magnésium fin (13 mm) et léger (1,3 kg en tout). D'apparence basique et très proche de celui du Spectre x360, le design cache cependant de petites innovations intéressantes, comme les charnières, devenues invisibles et qui permettent au châssis d'être légèrement surélevé, lui offrant ainsi un meilleur refroidissement.

Les configurations sont cohérentes avec un processeur Intel Core Skylake i3, i5 ou i7, des SSD allant de 128 à 512 Go et un maximum de 8 Go de mémoire vive. La machine sera donc taillée pour toutes les tâches de bureautique, des plus simples aux plus avancées.Si toutes les grandes marques du secteur ont dès à présent un segment gamer bien identifié et clairement dévolu aux joueurs exigeants (on pense notamment aux Predators d'Acer), HP s'attaque lui aux joueurs occasionnels en lançant un Pavilion Gaming. Proposé à partir de 799 €, ce modèle tend sans conteste à séduire les plus petits budgets. À ce prix, la configuration est logiquement modeste avec un processeur Intel Core i5 de dernière génération, une carte graphique Nvidia GeForce 940M, un disque dur mécanique de 1 To et une dalle 15,6 (39,6 cm) avec une définition HD (1 366 x 768 px). Il sera bien sûr possible d'opter pour des configurations plus puissantes avec un i7, des cartes Nvidia GeForce GTX 950 et 960M, des SSD de 128 ou 256 Go et une dalle Full HD (1 920 x 1 080 px).

Si le châssis reprend extérieurement les traits des Pavilion 15 actuels, HP nous a affirmé avoir retravaillé l'intérieur pour apporter à la machine un refroidissement digne de ce nom. De plus, le constructeur se démarque en partie de la concurrence en habillant son portable de noir et de vert, ce qui change des sempiternels noir et rouge.Le châssis, bien qu'entièrement en plastique, nous est apparu de bonne facture. Nous ne nous prononcerons pas encore sur les qualités matérielles du Pavilion Gaming, mais nous saluons d'ores et déjà la volonté du constructeur de proposer une machine typée gaming à un tarif relativement abordable.

En marge de ces lancements, HP a présenté un Pavilion bien particulier. La marque s'est en effet alliée à Disney pour créer le premier ordinateur portable aux couleurs de Star Wars. Si la configuration reprend celle d'un Pavilion multimédia milieu de gamme (Intel Core i5 ou i7 Skylake, un maximum de 12 Go de mémoire vive, un disque dur mécanique avec une capacité maximale de 2 To et une partie graphique laissée entre les mains d'une Nvidia GeForce 940M ou d'un chipset Intel intégré , le design est quant à lui clairement nouveau. Les designers de HP ont en effet travaillé de nombreux mois et proposé pas moins de 9 prototypes à Disney, pour arriver à ce résultat.

Et le moins que l'on puisse dire, c'est que la machine est réussie visuellement ; elle devrait plaire au plus grand nombre tout en restant relativement abordable, avec un prix autour de 800 €. Dernier point que nous n'avons pas eu la chance de vérifier par nous-mêmes : le packaging, que Stacy Wolff (VP du design industriel chez HP) nous a présenté comme particulièrement travaillé et luxueux.Vingt ans après la sortie du premier jeu Pokémon au Japon, Nintendo fait le pari visiblement gagnant d'allier la réalité virtuelle au smartphone. Ainsi chaque gamer pourra se promener dans les rues et capturer les Pokémons qu'ils rencontrent grâce aux célèbres Pokéballs et à la géolocalisation. Les parcs, monuments, ou les stations de métro par exemple constituent des points d'intérêts où les joueurs pourront trouver des objets comme des pokéballs, ou des potions pour soigner les pokémons.

Par ailleurs, Pokémon Go est un jeu free to play, c'est-à-dire que son installation est gratuite, mais les joueurs pourront payer pour acheter des objets et accélérer leur progression.
La marque américaine a présenté un nouveau smartphone économique dont la principale qualité est la capacité de sa batterie : 5000 mAh. Mais il ne démérite pas pour autant sur d’autres aspects.
Toujours à l’affut des opportunités commerciales, Blu Products n’hésite jamais à s’emparer d’un modèle chinois et à apposer sa griffe quand une tendance émerge. Quand Windows Phone avait le vent en poupe, Blu Products a été l’un des constructeurs les plus rapides et les plus incisifs pour venir concurrencer les Lumia entrée de gamme. Quand la mode était aux smartphones très fins, Blu Products est allé voir Gionee pour importer aux États-Unis le mobile le plus fin du monde. Quand les webcams sont devenues de vrais appareils photo, Blu Products a présenté son premier selfie phone. Et quand l’autonomie est devenue un argument de vente, elle était là.

octobre dernier, Blu Products a présenté deux téléphones : le Studio Energy 2 et le Studio Energy X. Dépourvu du label «Studio», mais toujours sous la bannière «Energy», la marque américaine présente l’Energy XL dont le positionnement est très similaire aux deux précédents téléphones. L’argument principal de cette phablette est sa batterie de 5000 mAh, laquelle est rangée dans un châssis qui semble être métallique. Ce qui est plutôt bon signe. Notez que la batterie est compatible Pump Express et qu’elle se recharge par un port USB type-C. Le reste de la fiche technique n’est pas entrée de gamme, mais milieu de gamme. Le très grand écran mesure 6 pouces, repose sur la technologie Super AMOLED, est protégé par un verre 2.5D Gorilla Glass 3 de Corning et affiche les images en Full HD, pour une résolution de 367 pixels par pouce. Ce qui est dans la bonne moyenne. Le chipset est un octo-core MediaTek, le MT6753, cadencé à 1,3 GHz. Le chipset est compatible LTE catégorie 4, en plus du WiFi, de la radio FM, du GPS et du Bluetooth.

À cela, Blu Products rajoute 3 Go de mémoire vive, 64 Go de stockage interne (extensible par microSDHC jusqu’à 64 Go supplémentaires) et un lecteur d’empreinte situé à l’avant du mobile, sous l’écran. Côté photo, l’Energy XL dispose d’un capteur 13 mégapixels avec objectif ouvrant à f/2.0 à l’arrière et d’une webcam 5 mégapixels avec objectif grand-angle (84°) à l’avant. Seul point noir au tableau, la version d’Android : 5.1 Lollipop, ce n’est pas très sérieux. Le smartphone est proposé en argenté ou en doré et pèse 208 grammes. Et son prix de vente sur Amazon est de 300 dollars. Notez que certains importateurs vendent les produits de Blu Products sur la Marketplace d’Amazon. Il ne serait donc pas très étonnant que cette phablette y apparaisse.
Rappelons que ce logiciel, à la différence de la plupart des batteries virtuelles du marché, repose sur des boucles jouées par des batteurs de renom et enregistrées en audio multipistes en plus du MIDI. La liste des batteurs impliqués force le respect puisqu'on y retrouve des gens aussi divers qu'Alan White (Yes, Lennon), Sly Dunbar (Bob Marley) ou Terry Bozzio, entre autres artistes de la baguette.

Les nouveautés du logiciel sont quant à elles assez intéressantes, puisqu'outre la compatibilité 64 bits aux formats VST/AAX/AU et une interface améliorée, DrumCore jouit désormais d'un mixeur avec possibilité d'insérer des effets (pas de possibilité d'utiliser ses propres plug-ins, mais un ensemble d'effets intégrés au logiciel allant du compresseur à l'EQ en passant par le bitscrusher), d'une timeline pour assembler les boucles depuis le logiciel et d'un espace de vente interne permettant d'acquérir de nouvelles banques. Tout cela pour des prix allant de 49$ à 639$.Un nouveau procédé de fabrication permettrait d'augmenter la capacité de charge des batteries de nos appareils de 30 à 50%. Et tout cela pour un coût industriel plutôt faible.

Bientôt, les batteries rechargeables qui alimentent nos smartphones, nos ordinateurs, nos voitures et nos objets connectés vont peut-être voir leur autonomie augmenter brutalement de 30 à 50 %.Cinq chercheurs en électrochimie et sciences des matériaux de l’Institut Paul Scherrer (IPS) et de l’ETH Zurich ont mis au point un procédé de fabrication qui accroît considérablement la capacité de charge de ce type de batterie. Et en plus, il serait parfaitement compatible avec les processus industriels utilisés aujourd’hui par les fournisseurs de batteries, quel que soit la taille de la batterie. Le gain serait donc presque immédiat.Tout ce dont on a besoin existe déjà. Si un fabricant adopte [ce procédé], des batteries prototype de ce genre pourraient être disponibles dans un ou deux ans. Par ailleurs, le procédé peut être transposé à d'autres matériaux et batteries avec une anode et une cathode, par exemple aux batteries à base de sodium, explique Claire Villevieille, responsable du groupe Matériaux pour batteries à l'Institut Paul Scherrer.

Photo: ETH Zurich - Les coauteurs à l’ETH Zurich, de gauche à droite: André Studart, co-premier auteur Florian Bouville et Tommaso Magrini.
Le procédé inventé par ces chercheurs est basé sur une idée simple: faciliter le transit des ions lithium au sein de l'électrolyte en alignant les particules de graphite sur l'anode. En effet, celles-ci sont généralement déposées de manière assez chaotique au moment de la fabrication de la batterie. L'anode ressemble alors à une barre de céréales faite de cornflakes gris sombre pressés en tous sens les uns contre les autres, souligne l'IPS dans un communiqué.

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Batterie Asus n73jn

Inventec, quant à lui, est l'un des plus gros fabricants de produits informatiques (PC portables, serveurs, appareils mobiles) à Taïwan, et travaille avec des marques comme HP, Acer ou encore Toshiba.
Marque allemande acoquinée avec le constructeur Clevo — dont elle reprend bien souvent les châssis et la configuration — XMG vient d'annoncer le U726, un PC « portable » 17 pouces pesant la bagatelle de 5 kg, pour la modique somme de 3135 €. À noter que ce modèle ne nous est pas inconnu, puisqu'il s'agit en fait du P870DM de Clevo, que l'on évoquait dans notre article de présentation de la GTX 980. À ce niveau de prix et de mensurations, inutile de préciser que la machine est surtout appelée à rester attachée à un bureau.

Bien entendu, à ce tarif, on peut s'attendre à du très, très lourd en matière de configuration, et nous ne sommes pas déçus : processeur Skylake Intel Core i7-6700K, carte graphique Nvidia GeForce GTX 980, et jusqu'à 64 Go de RAM en DDR4. Rien qu'avec ces trois composants, les benchmarks de notre banc de test frémissent déjà.Pour rappel, la GeForce GTX 980 pour laptop reprend les caractéristiques de la GTX 980 pour PC fixe, et propose des performances très haut de gamme, supérieures à celles des cartes graphiques estampillées « M » chez Nvidia. On peut donc afficher au minimum 30 i/s dans les jeux les plus exigeants du moment (au hasard, The Witcher 3 ou Metal Gear Solid V) avec tous les réglages graphiques au maximum, dans la résolution native de la dalle, soit 3840 x 2160 px.

XMG n'est pour le moment pas encore officiellement présent en France, mais il est possible de se procurer ce que l'on peut clairement appeler « le monstre U726 » sur le site de la marque.
Retrouvez regroupées au sein de cette page toutes les plus belles offres de prix. La rédaction des Numériques relaie quotidiennement les meilleures offres du web tout en apportant son expertise et sa connaissance des produits afin de vous aider à faire les bons choix. Les prix indiqués ci-dessous sont attractifs. Mais avant de craquer, pensez à consulter le test de l'appareil, quand il est disponible, pour connaître ses principaux atouts et défauts. Et puis, posez-vous la question de la réelle utilité d'acheter un appareil ! Un renouvellement de produit ? Le vôtre est peut-être réparable...

De notre côté, nous prenons soin de ne partager que de VRAIS bons plans. Autrement dit, nous ne nous arrêtons pas uniquement au prix affiché en le comparant au prix barré ! Nous analysons l'évolution du prix du produit sur plusieurs semaines (les prix artificiellement gonflés avant promo existent encore...) et nous le comparons aux offres d'autres marchands. Enfin, pour chaque bon plan publié, nos experts vous expliquent en quoi c'est un bon plan et à qui il s'adresse.
Une offre intéressante — accessible avec le code 7CBA-4C73-ZB676E —, d'autant plus qu'elle peut être appliquée sur le GE72 6QF, un excellent produit que nous avons récemment testé. Proposé à 1899,90 € habituellement, il peut donc être acquis temporairement au tarif de 1709,91 €.

Pour rappel, le MSI GE72 est un PC portable doté d'une très bonne dalle mate de 17,3 pouces Full HD (1920 x 1080 px), d'un processeur Intel Core 17-6700HQ et d'une carte graphique GeForce GTX 970M. Cette puce basée sur l'architecture Maxwell de Nvidia n'a plus grand-chose à prouver en matière de performances et permet de jouer à tous les jeux récents dans d'excellentes conditions.La configuration proposée par Materiel.net affiche par ailleurs 16 Go de RAM en DDR4, un SSD de 128 Go et un disque dur de 1 To. Ajoutez à cela une très bonne maitrise des dégagements thermiques et un système de refroidissement assez silencieux (40 dB(A) sans avoir à enclencher le mode turbo) et vous obtenez une machine équilibrée, qui mérite largement ses 5 étoiles.

Pour ceux qui préfèrent davantage de compacité et de légèreté, il est également possible d'opter pour le G60 sous GeForce GTX 970M, une machine dotée d'un écran de 15,6 pouces Full HD, qui ne dépasse pas 1,95 kg pour 20,05 mm d'épaisseur.
Outre ses séries les plus connues, comme la ZenBook ou la ROG, Asus propose régulièrement de nouvelles machines estampillées N, qui allient souvent une finition et des performances d'assez haut niveau. Les deux nouvelles machines de cette catégorie, N552 et N752, ne semblent pas faire exception.Ainsi, le N552 propose une configuration très intéressante, qui devrait permettre d'exécuter des tâches avancées et de jouer à beaucoup de titres dans de très bonnes conditions. On y trouve en effet un processeur Intel Skylake i5-6300HQ ou i7-6700HQ selon le modèle choisi, une carte graphique Nvidia GeForce GTX 960M, jusqu'à 16 Go de RAM en DDR4, deux emplacements pour un SSD et un disque dur, ainsi qu'un emplacement pour un lecteur optique — ce qui se fait de plus en plus rare.

La présence d'une carte graphique 960M est notamment une excellente nouvelle, puisqu'elle permet de profiter de titres récents dans de bonnes conditions. On peut ainsi espérer entre 35 et 50 images par seconde sur des FPS comme Battlefield 4 ou Far Cry 4, en Full HD (1920 x 1080 px) avec un niveau de détails réglé sur élevé. Le reste des caractéristiques du N552 est à l'avenant : dalle IPS de 15,6 pouces en HD (1366 x 768 px), Full HD ou UHD (3840 x 2160 px), trois ports USB 3.0, un port USB Type-C, un Ethernet, une sortie HDMI, un mini-DisplayPort, un lecteur de carte 2-en-1, ainsi qu'une entrée jack pour un microphone et une sortie pour un casque. Le châssis en aluminium porte le poids de l'ensemble à 2,53 kg.

Le N752, quant à lui, reprend les mêmes caractéristiques techniques que le N552, mais se décline en version 17 pouces. Le poids et les dimensions ne sont cependant pas connus.Le N552 devrait être disponible durant le premier trimestre 2016 en France. Asus annonce un tarif de 1599 €, pour une configuration basée sur une dalle UHD, un CPU Core i7-6700HQ, 16 Go de RAM, 1256 Go de stockage (SSD + HDD) ainsi qu'un lecteur graveur de Blu-ray.
HP a présenté à Barcelone l'ensemble de ses nouveautés. Une présentation dense, puisqu'elle ne comptait pas moins d'une dizaine de produits répartis sur différents segments clés, et les annonces faites par le constructeur sont particulièrement intéressantes pour comprendre comment se divise aujourd'hui le marché des ordinateurs portables.

HP étend sa gamme Spectre à 2 références, avec la mise à jour de son Spectre x360 et un nouveau Spectre x2, mais annonce également l'arrivée d'un Envy 13. Avec ces trois modèles, HP se prépare à concurrencer des produits jouissant d'une très forte image sur un segment stratégique, puisqu'ils viennent s'aligner respectivement face au Yoga 3 Pro, à la Surface Pro 4 et au MacBook Air 13.Le nouveau Spectre x360 exploite exactement la même recette que son prédécesseur, à commencer par un châssis totalement en aluminium doté d'une charnière permettant plusieurs modes d'utilisation, comme ce que propose Lenovo avec la gamme Yoga. Si le design et l'ergonomie de ce nouveau Spectre ne changent pas, la configuration évolue en douceur avec l'intégration de nouveaux processeurs Skylake d'Intel dans leur version i5 et i7 basse consommation. La mémoire pourra aller jusqu'à 8 Go, tandis que le stockage pourra être confié au choix à un SSD de 128 ou de 256 Go. On retrouve également la dalle IPS Full HD 13,3 (33,8 cm) qui nous avait particulièrement séduits sur le modèle précédent.

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September 13, 2016

Batterie Asus k73s

Aujourd'hui, l'intégralité de notre musique est souvent stockée sur un smartphone, baladeur ou même sur le Cloud, sans parler des services de streaming. Pour aller au travail ou faire son jogging, pas de problème, le casque est là. Mais une fois à la maison, au bord de la piscine ou dans le jardin de ses amis, on aimerait bien pouvoir profiter de sa musique sans avoir de casque, et même, soyons fous, la partager avec ses proches. C'est là que les petits systèmes désormais proposés par la plupart des marques deviennent fort pratiques. Avec des smartphones de plus en plus sollicités, les enceintes nomades rivalisent en temps d'autonomie, et même en capacité à recharger nos appareils nomades via un port USB, qui permet parfois également la lecture des morceaux.

La qualité sonore elle-même est bien entendu testée, comme toujours. On parle de réponse en fréquence, on avertit du fait que les basses sont mises en avant ou qu'au contraire ce sont les voix qui ont la part belle. Mais l'audio reste axé sur une chose : la puissance, assortie d'une distorsion docile qui ne s'affole pas dès que le volume grimpe, car on préfèrera toujours une enceinte moyennement puissante, mais qui le fait bien, à une enceinte qui nous promet une avalanche de décibels, mais est inexploitable à volume maximal. Les enceintes nomades servent bien souvent d'alternative aux haut-parleurs de nos ordinateurs portables. Ainsi, la latence induite par la connexion sans-fil est essentielle : jusqu'à 100 millisecondes c'est bien, au-dessus de 150 millisecondes, bonjour la lecture sur les lèvres. La facilité de connexion, la portée en Bluetooth, les possibilités de pilotage via les commandes, les diverses indications (source, batterie, volume) et la solidité de sa construction sont autant d'indices sur la fluidité d'usage global pris en compte dans la note finale.

Les tests ne sont pas que d'ordre théorique : si les mesures en laboratoire comptent (réponse en fréquence, distorsion…), les performances d'une enceinte nomade « sur le terrain » sont aussi importantes que ses prouesses acoustiques. On les emporte donc dans nos péripéties quotidiennes ou extra-quotidiennes en les mettant à rude épreuve.
Ces derniers mois, deux grandes tendances portent le marché du laptop et de l'Ultrabook : la montée en puissance des machines dédiées au jeu — qui n'ont presque plus rien à envier aux performances d'un PC fixe pour certaines — et la part de marché de plus en plus grande du deux en un et des convertibles. À tel point que l'on se demande si les portables milieu de gamme "classiques” — non tactiles ou dotés d'une configuration d'entrée de gamme — ont encore des choses à dire.

Vous l'aurez sans doute remarqué, nous proposons désormais deux modèles du constructeur MSI dans ce guide d'achat. La marque taïwanaise nous étonne en effet de plus en plus, aussi bien sur le créneau du PC "gamer” — dont c'est sa spécialité — que sur des machines à la puissance un peu plus modeste. Un très joli parcours, il est vrai aidé par les dernières cartes graphiques "M” de Nvidia, qui sont désormais présentes dans énormément de références. Seul le MacBook Pro Retina 15 pouces opte ici pour un GPU AMD Radeon, le reste étant trusté par la marque au logo vert.

Plus généralement, on peut cependant constater peu d'évolutions en matière de configurations. Nous sommes en effet dans une période de transition : les processeurs Intel Skylake commencent doucement à s'imposer et la prochaine génération de cartes graphiques n'a pas encore été dévoilée. Il faudra sans doute attendre le début de l'année 2016 pour profiter de fiches entièrement renouvelées.
Le constructeur taïwanais Aorus, spécialisé dans les PC portables « gamer » haut de gamme, était cette semaine de passage à Paris pour nous présenter sa gamme de la fin d'année 2015 et de début 2016. Au programme : le passage sous processeur Intel Skylake et l'arrivée des cartes graphiques GTX 980.

Aorus est un constructeur qui commence à se faire un nom dans nos contrées, et pas seulement parce que ses machines sont bien souvent vendues à prix d'or. La marque — affiliée à Gigabyte, rappelons-le — s'est en effet toujours attachée à proposer des configurations très haut de gamme, dans le châssis le plus fin et le plus léger possible. Un choix intéressant et forcément sexy sur le papier, même si le niveau de chauffe et le bruit sont bien souvent problématiques, comme nous l'avions constaté en début d'année sur le X3 Plus. Pour cette nouvelle collection de laptops haut de gamme, Aorus affirme avoir travaillé sur ces deux aspects, mais il faudra bien entendu que l'on vérifie ces belles promesses en labo.
Avant tout une mise à jour technique Quoi qu'il en soit, la compagnie compte commercialiser trois nouveaux modèles entre novembre 2015 et le début de l'année 2016 : le X3 Plus v5 sous CPU Skylake, le X5 décliné sous 980M et le X7 Pro en version GTX 980.

Premier à sortir, normalement d'ici la fin de ce mois, le X3 Plus v5 connait peu de nouveautés par rapport à la précédente génération : nous avons toujours droit à un PC doté d'un écran 13,9 pouces en QHD+ (3800 x 1800 px) et aux dimensions réduites, puisque l'on ne dépasse pas 22,9 mm d'épaisseur pour 1,8 kg. La partie graphique est toujours gérée par une puce Nvidia GeForce GTX 970M, que l'on ne présente plus, tandis qu'il est possible d'accompagner l'ensemble de 8 ou 16 Go de RAM. Comme dit plus haut, le processeur passe de Broadwell à Skylake et nous avons donc affaire à un Intel Core i7-6700HQ fonctionnant à 2,6 GHz (3,5 GHz en mode Turbo). Autres modifications notables : l'arrivée d'un port USB Type-C et du logo de la marque désormais rétroéclairé à l'arrière. Enfin, pour la partie stockage, le X3 Plus v5 sera livré en série avec un SSD de 512 Go, sachant qu'il est possible d'ajouter un SSD supplémentaire via un second port PCIe 3.0. Le prix devrait se situer aux alentours de 2300 €.

2_Aorus X3 Plus V5.jpg L'Aorus X3 Plus V5 sera disponible d'ici la fin du mois de novembre.
Peu de changements également du côté du X5 : ce PC portable profite d'une dalle de 15,6 pouces en 2880 x 1800 px (compatible G-Sync, contrairement au X3 Plus) et d'un processeur Intel Skylake i7-6700HQ. Si, aujourd'hui, la partie graphique est assurée par un SLI de cartes Nvidia GeForce GTX 965M, une déclinaison sous 980M devrait être proposée pour janvier 2016. Aorus précise répondre à une demande du marché, mais également de Nvidia, qui aimerait sans doute que son GPU haut de gamme soit présent dans plus de machines. Il est vrai que la 980M est souvent délaissée au profit des 965M et 970M. Comme son petit frère le X3, le prochain X5 profitera par ailleurs d'un port USB Type-C et d'un logo éclairé sur le capot.
Aorus X5.jpg Aorus promet avoir amélioré le système de ventilation sur ses prochains modèles de PC portables.

Enfin, le très haut de gamme chez Aorus est incarné par le X7 Pro, qui profitera d'une carte graphique GeForce GTX 980 dans les mois à venir. La machine avait déjà été annoncée par Nvidia lors de la présentation de la GTX 980 pour PC portable, mais n'avait jamais vraiment été officialisée par le constructeur taïwanais. La version que nous avons pu découvrir était encore à l'état de prototype, mais le design s'annonce très similaire à celui du X7 Pro « classique » équipé d'un SLI de 970M, avec toutefois un poids et une épaisseur légèrement supérieurs. Le reste ne change pas : écran 17,3'' en Full HD — Aorus réfléchit à proposer une dalle 4K à court terme —, comptabilité G-Sync, CPU Intel Skylake et jusqu'à 64 Go de RAM. Le prix de l'ensemble n'a pas été précisé, mais il sera forcément très élevé.

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Batterie Asus A72J

La Riva S est vendue avec une housse de transport ainsi qu'une protection en silicone étanche (pour les ports de connexion) offrant une protection IPX4 qui la protège contre les projections d'eau. Question connectique, un port Micro-USB permet de recharger la batterie et un port USB standard sert à la recharge d'un smartphone. L'autonomie est annoncée à 13 heures pour une écoute à un niveau sonore de 70 dB.Les touches sensitives situées sur la partie supérieure de l'enceinte permettent de contrôler le volume, le mode veille, le Bluetooth ou encore le mode surround. L'application disponible sous iOS et Android propose d'accéder à ces mêmes fonctions, mais directement depuis son smartphone. À l'image des UE Boom 2, JBL Pulse 2... il est possible d'appairer deux Riva S afin de créer un système stéréo. L'enceinte peut aussi être reliée à une platine vinyle via un mode Phono permettant de profiter d'un gain de puissance allant jusqu'à 9 dB.

Côté audio, La S se compose de trois haut-parleurs de 40 mm à large bande et de 4 radiateurs pour renforcer la sensation de graves, pour une puissance totale de 30 watts RMS. Espérons que la S, contrairement à la Turbo X, s'offre une partie sonore mieux maîtrisée. La gamme de PC portables Nitro d'Acer est globalement convaincante, affiche souvent un bon design et de belles finitions, en plus de configurations solides. À l'occasion de la fin des Cyber Days, Amazon propose le V Nitro 15 pouces à 599 € lieu de 799 € durant un temps limité, soit une réduction de 25 % — le tarif affiché dans le tableau de prix ci-dessus n'est pas le bon, mais le lien pointe vers la bonne offre. La machine profite d'un écran de 15 pouces en HD (1366 x 768 px), d'un processeur Intel Core i5 Broadwell cadencé à 2,2 GHz, de 8 Go de mémoire vive, d'un disque dur de 1 To et d'une carte graphique Nvidia GeForce GTX 950M. L'ensemble pèse seulement 2,4 kg, ce qui en fait un produit à la fois assez puissant et très facilement transportable. La définition de la dalle semble cependant un peu juste, mais le couple Core i5-GeForce 950M devrait permettre un usage complet et polyvalent, à condition de ne pas être un gros joueur. L'offre d'Amazon prend fin dans un peu moins de 4 heures.

Ce n'est plus vraiment une surprise : Toshiba n'est pas au plus haut de sa forme. La semaine dernière, la compagnie a en effet confirmé un impressionnant plan de suppression de postes et anticipe de lourdes pertes pour les mois à venir. En conséquence, certaines divisions de la firme connaissent de sérieuses coupes.Parmi elles, celle des PC est sans doute l'une des plus touchées. De nombreuses rumeurs faisaient état, depuis quelques semaines, d'un retrait de la compagnie sur ce marché. Rumeurs plus ou moins confirmées via un communiqué de presse daté du 21 décembre. Toshiba annonce ainsi se concentrer avant tout sur le milieu professionnel et devrait désormais distribuer ses PC sur deux uniques territoires : l'Amérique du Nord et le Japon. Il ne devrait donc plus y avoir de PC de la marque disponibles en Europe dans les mois à venir. En parallèle, la compagnie précise vouloir se concentrer sur un design et une chaîne de construction entièrement propriétaire et ne souhaite donc plus faire appel à des prestataires extérieurs.

Acer est parvenu à proposer un très bon rapport qualité/prix avec sa gamme Aspire V Nitro, puisque l'on profite d'un design réussi et d'une configuration suffisamment solide pour un usage polyvalent. Cette machine profite ainsi d'un processeur Intel Broadwell Core i7, de 8 Go de mémoire vive, d'un disque dur de 1 To et d'une carte graphique Nvidia GeForce GTX 960M. Cette dernière permet de profiter de la plupart des jeux récents dans la résolution native de la dalle. On pourra ainsi envisager de faire tourner Battlefield 4 ou Tomb Raider en Full HD, à plus de 40 images par seconde et à un niveau de détail "élevé".L'offre d'Amazon est donc franchement intéressante si vous cherchez une machine équilibrée et bien conçue, qui vous permettra à la fois de travailler et vous divertir. Accessible par le lien ci-dessus ou notre tableau de prix, elle est valable ce jour uniquement jusqu'à 15h ou épuisement des stocks.
Le site marchand propose en effet un pack incluant un PC portable gamer de chez MSI et une Xbox One 500 Go, à des prix allant de 1 799 € à 2 999 €. L'offre concerne les modèles de PC suivants : GT72 6QD, GT72 6QE, GT80 Titan 2QC, et GT80 Titan 2QE. Soit des configurations franchement haut de gamme, parmi lesquelles on peut trouver une carte graphique Nvidia GeForce GTX 970M au minimum (pour le GT72 6QD) et jusqu'à un SLI de GeForce GTX 980M (pour le GT80 Titan 2QE). Rappelons d'ailleurs que le GT80 Titan est un énorme portable de 18 pouces (45,7 cm) proposant un clavier mécanique conçu par Steelseries.

Les GT72, quant à eux, optent pour la dernière génération de processeurs Intel Skylake. Le modèle sous 970M dispose ainsi d'un core i7-6700HQ (4 cÅ“urs, pour une fréquence de base à 2,6 GHz), tandis que le GT72 6QE sous 980M a le droit à un i7-6820HK (4 cÅ“urs @ 2,7 GHz). Bref, des configurations très solides, qui permettent de jouer à absolument tous les jeux récents dans des conditions optimales.La Xbox One vendue avec ces machines fait donc office de joli bonus et pourrait intéresser les joueurs les plus gourmands, qui profiteront des quelques exclusivités de la machine. La fin de l'année est en effet plutôt bien remplie pour la console de Microsoft, avec de très bons titres comme Halo 5, Rise of the Tomb Raider (ci-dessous — prévu sur PC en fin d'année prochaine, cela dit) ou encore Forza 6.

Le ROG G501 d'Asus est actuellement, et pour une durée limitée, à 1299 € au lieu de 1499 € chez Amazon. La configuration proposée est plutôt solide, le tout dans un format assez compact. On profite en effet d'une dalle de 15,6 pouces en Full HD (1920 x 1080 px), d'un processeur Intel Core i7-4720HQ, d'une carte graphique Nvidia GeForce GTX 960M, de 16 Go de mémoire vive et d'un SSD de 256 Go. Bref, de quoi lancer des jeux récents dans de très bonnes conditions. On peut ainsi espérer dépasser les 40 images par seconde dans la définition native de la dalle dans la plupart des jeux récents, au niveau de détails "élevé". La seule présence d'un SSD de 256 Go risque en revanche d'être un peu juste, étant donné la taille de plus en plus importante que prennent les jeux. À noter que l'autre argument du G501 est sa taille et son poids réduits, puisqu'il affiche 2 kg sur la balance, pour une épaisseur de 2 cm.
On voyait l'écart se réduire d'année en année, mais ça y est : Nvidia l'a quasi annihilé, les ordinateurs portables vont bientôt pouvoir offrir la même puissance graphique que les ordinateurs de bureau. Le fondeur vient en effet d'annoncer l'arrivée très proche d'une nouvelle gamme de machines gamers dites "enthousiastes" qui n'intégreront rien de moins qu'une GeForce GTX 980, mais également un processeur Intel desktop de génération Skylake.

Pour la première fois, une carte graphique pour ordinateur portable n'est pas suivie de la lettre M et même si nous nous attendions à une hypothétique 990M, c'est bien l'appellation GeForce GTX 980 qui est employée pour cette nouvelle carte. Une logique qui peut se concevoir, puisque c'est réellement le GPU de la carte desktop qui est utilisé. Nous retrouvons donc un processeur Maxwell GM204-400 composé de 2 048 unités de calcul (16 SMM), 128 unités dédiées au traitement des textures et 64 unités de rendu (ROP). Quant à la mémoire, il s'agit logiquement de 4 Go de mémoire GDDR5 interfacée sur 4 bus 64 bits, pour un total de 256 bits, donc. Les fréquences sont données pour identiques à celles obtenues avec un GPU cadencé à 1 126 MHz de fréquence de base et 1 750 MHz pour la mémoire.

Sur le papier, nous sommes donc bien en face d'une vraie GTX 980 et non plus d'une version castrée, comme c'était le cas pour tous les modèles M. À titre d'exemple, la 980M utilise elle aussi un GPU GM204, mais avec 1 536 unités de calcul fonctionnant à 1 038 MHz de base, tandis que la mémoire fonctionne à 1 250 MHz.Les performances en jeux sont annoncées comme tout bonnement excellentes pour une machine mobile, même comparée à une solution intégrant deux cartes graphiques. On pourra ainsi jouer sans aucun problème à tous les derniers titres en Full HD, avec tous détails poussés à leur maximum. Un tel niveau de performance assurera également une bonne longévité à la carte. Sur ce point, il faut noter qu'elle n'est pas au format MXM et ne pourra donc pas être changée pour un modèle ultérieur.

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September 12, 2016

Batterie Asus p43sl

La Groove embarque un seul haut-parleur de 3 pouces, aidé par deux radiateurs passifs pour flatter les basses fréquences. Le tout est alimenté par une amplification de 10 watts. Klipsch promet un son précis et puissant, avec des basses profondes et réalistes. Nous attendrons son test pour vérifier cela. En tous les cas, le fabricant annonce une réponse en fréquence comprise entre 65 Hz et 22 kHz (+/- 3 dB) et une puissance de 97 dB (à 0,5 m ; aucune fréquence annoncée).L'enceinte nomade Klipsch Groove est déjà disponible chez les Parisiens de Colette au prix de 149 €. Aucune date n'est encore connue pour le reste de la France.
Cela faisait presque deux ans qu'Apple n'avait pas retouché à son ordinateur portable très haut de gamme. Pour cette version 2015, le MacBook Pro évolue cependant avec parcimonie. La carte graphique Nvidia laisse place à un modèle AMD Radeon R7-M370X, tandis qu'une nouvelle génération de SSD en PCI-Express trouve sa place. Enfin, le touchpad Force Touch vient renouveler l'expérience utilisateur. Le MacBook Pro Retina 15 de 2015 garde sinon le même châssis, ses processeurs Intel Core i7 et sa dalle Retina. Ces quelques nouveautés suffiront-elles à maintenir le MacBook Pro 15 au sommet ? Réponse dans ce test.

C'est sans aucune surprise que nous retrouvons le même châssis en aluminium que sur les précédentes générations de MacBook Pro 15. Même si l'on peut comprendre le choix d'Apple tant son produit est bien fini, impeccablement assemblé et exempt de tous défauts, nous aimerions tout de même que la marque à la pomme prenne un peu de risque dans ce domaine et améliore encore son concept.Le clavier de type chiclet est rigoureusement identique à celui de la version 13. Il possède donc un rétroéclairage complet et réglable sur 11 niveaux d'intensité. Ses touches sont bien espacées, dotées d'un rebond très agréable et d'une course assez courte. Il se montrera un excellent compagnon pour vos longues séances de frappe. Le touchpad exploite quant à lui la technologie Force Touch déjà croisée sur le MacBook Pro Retina 13,3 et le MacBook 12. Nous avons donc affaire à un système haptique et non mécanique. Ce touchpad se montre très agréable à utiliser, avec une grande surface de glisse et propose tous les raccourcis propres aux produits Apple.

La gestion des températures est très bonne compte tenu de la configuration embarquée. On atteint un maximum de 46,5°C au niveau de la sortie arrière droite de l'ordinateur. Cependant, notre modèle de test ne s'est pas montré particulièrement silencieux, puisqu'en plein stress test il a tout de même atteint les 41,5 dB(A). Sans surprise, nous retrouvons une dalle IPS dans notre MacBook Pro 15 (38,1 cm). Elle profite d'une définition de 2 880 x 1 800 px. Les mesures de luminosité et de contraste sont assez convaincantes, respectivement à 333 cd/m² et 951:1. Grâce à ces valeurs et malgré la dalle brillante, la lisibilité de l'écran est bonne, quelle que soit la luminosité. Sur ce point, le 15 d'Apple bat son concurrent direct sous Windows, l'Asus Zenbook Pro UX501.Petite déception pour le Delta E (dE): il est certes très bon, puisqu'il est inférieur à 3, mais ne rivalise pas avec les meilleures dalles de la marque, comme celle du MacBook Pro 13, et encore moins de la Surface 3 (1,6) côté Windows. Il est cependant meilleur que le dE du MacBook 12 et enterre celui de l'Asus Zenbook Pro UX501 (4,4). La température des couleurs est quant à elle parfaite, avec 6 554 K pour une norme fixée à 6 500 K. Notre modèle de test devient donc notre référence en la matière, car nous n'avions encore jamais eu un résultat aussi proche de la norme, tous modèles confondus. La courbe de gamma est elle aussi plus que correcte, avec un résultat quasi stable à 2,3, très régulier sur les tons sombres. De ce côté, le nouveau MacBook fait jeu égal avec son petit frère de 13 ; les dégradés de noir et de blanc sont donc correctement restitués.

La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-4870HQ, 16 Go de mémoire, une carte graphique R9-M370X et un SSD de 512 Go en PCI-Express. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les MacBook Pro 15 2015, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.Nous avions hâte de voir ce que donnerait le couple i7 et SSD en PCI-E et nous n'avons pas été déçus, puisque notre modèle de test décroche la plus haute place de notre podium des machines les plus puissantes. Il dépasse ainsi l'Aorus X7 Pro, pourtant équipé du même processeur et d'un RAID 0 de SSD. Il vient logiquement se placer devant des modèles comme l'Asus Zenbook Pro UX501 et le MSI GT72.

Le premier terme qui nous vient pour qualifier son usage est véloce. Quelle que soit la tâche que l'on veut accomplir avec cette machine, celle-ci s'effectue de manière extrêmement rapide (234 s pour exporter 100 photos sous Lightroom, 100 s pour encoder une vidéo, par exemple). Les programmes se lancent sans latence et la copie de fichiers se déroule extrêmement rapidement. On apprécie également le temps de démarrage extrêmement court (8 s), ainsi qu'une extinction expresse (5 s). La machine se révèle donc sans faille, quel que soit le type d'usage et profiter d'un tel niveau de performance sur une machine portable est un véritable plaisir.

Pour cette nouvelle génération, Apple a confié la partie graphique de sa machine à AMD. Nous retrouvons donc ici une Radeon R9-M370X, référence que nous ne connaissions pas et qui repose finalement sur une HD8870M, datant de 2012 et légèrement améliorée. Le GPU est donc de génération Cape Verde, introduite avec les HD7700 Desktop et compte 640 unités de calcul et 40 unités de texture. Les fréquences de fonctionnement sont de 800 MHz pour le GPU et 1125 MHz pour la mémoire. Elle vient se placer juste devant la AMD Radeon R9 M265X et donc entre une Nvidia GeForce GT 840M et une GTX 850M, deux cartes d'ancienne génération. Elle reste assez loin derrière la Nvidia GeForce GTX 960M de l'UX501.

En pratique, la carte ne sera donc pas de très bonne compagnie pour jouer, puisqu'elle ne permet que de faire tourner certains titres peu gourmands en Full HD avec un niveau de détail moyen. Cependant, ce n'est pas l'utilisation première de cette machine et la carte fait son office lorsqu'elle sert pour travailler sur des logiciels tel que Première. La lecture de fichiers vidéos ne lui pose pas non plus de problème.Le MacBook Pro est particulièrement compact pour un 15 pouces (358,9 x 247,1 x 18 mm) et léger (2,04 kg). Il est donc facilement transportable et se glisse sans trop de peine dans n'importe quel sac ou sacoche. Un point d'autant plus avantageux que ce modèle se révèle particulièrement autonome. Il a en effet tenu 6 h 45 à notre test d'endurance (visionnage d'une série en streaming sur Netflix, écran réglé à 200 cd/m², rétroéclairage du clavier éteint et casque branché soit 3 h de plus que l'Asus UX 501.

Sa connectique se compose de deux ports Thunderbolt 2, deux ports USB 3.0, un lecteur de carte SD, un port HDMI et une prise combo casque/micro. La connectivité sans fil est toujours assurée par le couple Bluetooth et Wi-Fi.La sortie casque est d'excellente qualité. La puissance maximale est très élevée et sans distorsion. La spatialisation est dans le même registre. Le MacBook Pro confirme son statut d'excellence également dans ce domaine.Enfin un ordinateur portable doté de haut-parleurs dignes de ce nom. Même si leur rendu manque de basses, on note une réponse en fréquence très neutre à partir des médiums. Le message sonore est détaillé et parfaitement intelligible.
En entrant le code indiqué sous l'image de la machine, vous bénéficiez ainsi de 50, 100 ou 200 € de remise sur le prix affiché. Grosbill a eu le bon goût de proposer une large variété de produits, de la machine idéale pour jouer à l'ultraportable discret et endurant. On note par exemple la présence du très remarqué Asus ROG G751 (en version GeForce GTX 965M, 970M ou 980M), qui est tout simplement l'un des meilleurs portables gamers de la fin de l'année dernière. Lenovo est également à la fête, avec notamment un Yoga 3 Pro à 799 € au lieu de 999 € ou un Z50-70 à 499 € au lieu de 549 €. Bref, il y a de quoi faire et, si vous cherchez à vous faire plaisir pour Noël, la machine de vos rêves se trouve peut-être là. À noter que l'opération dure jusqu'au 20 décembre.

En entrant le code indiqué sous l'image de la machine, vous bénéficiez ainsi de 50, 100 ou 200 € de remise sur le prix affiché. Grosbill a eu le bon goût de proposer une large variété de produits, de la machine idéale pour jouer à l'ultraportable discret et endurant. On note par exemple la présence du très remarqué Asus ROG G751 (en version GeForce GTX 965M, 970M ou 980M), qui est tout simplement l'un des meilleurs portables gamers de la fin de l'année dernière. Lenovo est également à la fête, avec notamment un Yoga 3 Pro à 799 € au lieu de 999 € ou un Z50-70 à 499 € au lieu de 549 €. Bref, il y a de quoi faire et, si vous cherchez à vous faire plaisir pour Noël, la machine de vos rêves se trouve peut-être là. À noter que l'opération dure jusqu'au 20 décembre. Avec la Riva S et ses dimensions de 191 x 64 x 66 mm (L x l x H) pour 700 grammes, Riva s'attaque au marché de l'enceinte portable. Cette enceinte utilise la technologie Bluetooth avec codec aptX (et AAC) pour transmettre en sans-fil. Il est également possible d'utiliser une connexion filaire — câble fourni avec l'enceinte — via l'entrée audio Jack 3,5 mm ou encore par le biais d'un câble Jack-RCA.

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Batterie Asus k53sv-sx055v

Les images issues de notre caméra thermique illustrent bien les dégagements de chaleur très contenus. En plein stress-test, la température n'a jamais dépassé les 44,2°C. La gestion du bruit est du même niveau, avec un maximum relevé à 37 dB(A).Le Pavilion x2 est équipé d'une dalle IPS brillante affichant une définition de 1280 x 800 px. La luminosité maximale a été mesurée à 267 cd/m², ce qui ne permet d'atténuer que très peu les reflets. Le taux de contraste est correct (744:1).
La colorimétrie est plus décevante, avec un delta E qui s'établit à 6,5, alors que les meilleurs laptops se situent sous la barre des 3. Pas meilleure, la courbe de gamma affiche une moyenne de 1,8, ce qui se traduit par des blancs brûlés et des noirs bouchés. Seule la température des couleurs est très bonne (6483 K mesurés, pour une norme fixée à 6500 K).

La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Atom Z3733F, 2 Go de mémoire, un chipset graphique Intel HD Graphics et 64 Go de mémoire. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les Pavilion x2, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.L'Atom Z3736F accompagné de 2 Go de mémoire vive n'est pas particulièrement puissant (indice de 9). Ce résultat le place logiquement derrière un modèle utilisant la nouvelle version des processeurs Atom (Microsoft Surface 3 avec un indice de 1 , mais positionne notre modèle de test au niveau de machines telles que l'Asus Transformer Book T100 Chi. Il reste bien sûr loin derrière un Yoga 3 11" doté d'un Core M (indice de 62).

Sans surprise, les programmes les plus gourmands (export de photos, encodage vidéo) ne s'exécutent pas rapidement. Cependant, cet hybride n'a pas été conçu pour faire tourner ce type de programmes. Pour le reste des tâches (traitement de texte, navigation Internet), il est parfaitement à son aise et propose une bonne réactivité générale et une expérience utilisateur satisfaisante.Autre bridage de cette tablette, l'espace de stockage interne limité à 43,5 Go. C'est très peu, même si l'on apprécie l'effort fait par HP de ne pas proposer seulement 32 Go, contrairement à certains concurrents. On dispose heureusement d'un port microSD qui permet d'étendre cette capacité. Pratique pour les fichiers, moins pour installer des programmes.

La partie graphique a été laissée aux mains d'un chipset intégré Intel HD Graphics. Ce dernier s'est montré moins performant que les chipsets accompagnant les Intel Pentium et Intel Core M, mais aussi rapide que celui de l'Intel Celeron.En pratique, il ne pourra faire tourner que des titres peu gourmands présents sur le Windows Store. Cette puce peut cependant décoder un grand nombre de formats vidéo.L'ensemble est relativement léger (1,18 kg) et profite de mensurations contenues (264 x 173 x 19,8 mm). On peut donc facilement le glisser dans un sac et l'emporter partout. L'autonomie est mesurée à 6h30 par notre test (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché . Cela constitue un bon score, mais loin derrière celui de la Transfomer Book T100 Chi (7h30 d'autonomie).La connectique n'est pas le point fort de ce modèle, puisqu'il ne compte qu'un seul port USB 2.0, un port USB type C pour le chargement, un port micro-HDMI, un lecteur de carte SD et une prise combo casque et micro.La sortie casque offre une puissance correcte, sans souffrir d'une trop forte distorsion. La spatialisation est pour sa part bien restituée.

Les haut-parleurs ne sont pas particulièrement mauvais. Leur utilisation est à limiter aux conversations et à de l'écoute musicale ponctuelle à cause du manque de basses et de médiums. La puissance de sortie est malgré tout honnête.
LG sera largement présent au CES de Las Vegas, qui, rappelons-le, ouvrira ses portes du 6 au 9 janvier prochain. Le constructeur coréen présentera bien entendu bon nombre d'écrans, mais aussi, et c'est plus étonnant, un nouveau PC portable. Celui-ci se nomme Gram 15 et a la particularité de profiter d'une dalle de 15 pouces et d'un poids de seulement 998 grammes. À l'image des derniers modèles XPS de Dell, le Gram 15 profite ainsi de marges très fines autour de son écran, ce qui permet d'intégrer une plus grande dalle dans un châssis que l'on trouve habituellement sur du 14 pouces.

LG donne pour le moment très peu d'informations techniques sur son produit, si ce n'est la présence assez évidente d'un processeur Intel de génération Skylake. La machine sera en tout cas visible dans les allées du CES et nous ne manquerons pas de vous donner plus de détails une fois sur place. Derrière la gamme Berserk de Materiel.net se cache en fait le constructeur Clevo, qui propose ici plusieurs configurations en marque blanche. On retrouve donc un design et des spécifications totalement similaires aux modèles P75 du fabricant taïwanais. Regroupés en trois catégories — MK1, MK2 et MK3 —, ces PC portables Berserk ont en commun de tourner avec un CPU dédié habituellement aux PC fixes.

Ainsi le Berserk MK1 dispose d'un processeur Intel Core i5-5690K à quatre cÅ“urs capables de tourner à 3,9 GHz en mode turbo. À cela s'ajoutent 8 Go de RAM en DDR3L et une carte graphique Nvidia GeForce GTX 970M équipée de 6 Go de GDDR5. Bref, un trio de composants conçu pour proposer une expérience de jeu vidéo impeccablement fluide en Full HD, avec tous les détails au maximum. La dalle mate, certifiée G-Sync, affiche une diagonale de 15,6 ou 17,3 pouces (39,6 ou 43,9 cm) selon le modèle choisi, et une définition de 1 920 x 1 080 px.La connectique reste classique : 4 ports USB 3.0, 2 DisplayPort, 1 port HDMI, 1 entrée micro/casque et 1 port Ethernet. Enfin, la partie stockage est assurée par un SSD de 128 Go et un HDD de 1 To.

Prix indicatif de cette configuration (MK1) : 1 709,99 € pour le 15 pouces et 1 769,99 € pour le 17 pouces.Cette base est ensuite déclinée dans des modèles un peu plus haut de gamme : le MK2 17 pouces voit ainsi sa mémoire vive passer à 16 Go et son SSD, à 256 Go, tandis que le processeur est cette fois-ci un Core i7-4790. La carte graphique reste identique, soit une 970M de Nvidia.Enfin, le très haut de gamme est incarné par le MK3 17 pouces. On profite de la même configuration que le MK2 17 pouces, avec cette fois une carte graphique Nvidia GeForce GTX 980M.Bref, les Berserk MK1, MK2 et MK3 forment un trio de PC portables gamers aux spécificités assez classiques, si ce n'est l'utilisation d'un CPU Intel habituellement dédié aux machines de bureau. Nous avons par ailleurs reçu le modèle MK1 en 15,3 pouces et vous proposerons son test complet très bientôt. Le constructeur japonais King Jim vient de dévoiler une machine au concept très original, puisqu'elle propose un écran de 8 pouces, mais un clavier au format 12 pouces. Quelle est donc cette sorcellerie ?

Le Portabook XMC10 est un produit surprenant. Ce tout petit ordinateur portable sous Windows 10 est en effet équipé d'un clavier qui a la particularité de se séparer en deux, afin que la machine prenne le moins de place possible lorsqu'elle est fermée. Concrètement, le Portabook XMC10 propose un tout petit écran de 8 pouces, mais un clavier que l'on trouve habituellement dans un format 12 pouces. On garde donc une grande compacité, tout en profitant d'un véritable confort de frappe. L'astuce, comme vous pouvez le voir sur les images ci-dessous, c'est que le clavier se sépare en deux et se cale à la verticale dans le châssis. Une fois refermé, le produit propose des dimensions réduites : 204 x 103 mm, pour 830 grammes. L'idée est en tout cas très bonne, même si le fait de travailler sur un écran de 8 pouces risque d'être rapidement fatigant.

Côté configuration, le Portabook XMC10 donne en revanche dans le classique et se dote d'un processeur Intel Atom X7-8700 (quatre cÅ“urs cadencés à 1,6 GHz, 2 Go de mémoire vive, 32 Go de stockage et une définition d'écran fixée à 1 280 x 768 pixels. La connectique se compose quant à elle d'un port USB 2, un port Micro-USB, une sortie HDMI et une sortie VGA.La sortie de l'appareil est prévue pour le mois de février au Japon, au prix de 90 000 yens, soit environ 684 €, ce qui parait très cher compte tenu de ses caractéristiques techniques. Comme beaucoup de laptops qui sortent dans ce coin du monde, les chances de le voir arriver un jour chez nous sont en revanche minces.
Le constructeur indianien Klipsch, surtout présent dans la Hi-Fi, n'en est pas à son premier coup dans l'audio nomade. Cependant, avec sa nouvelle Groove, c'est la première fois qu'il se lance dans la conception d'une enceinte aussi compacte et surtout aussi résistante.

La Groove est une enceinte nomade qui mesure 11,6 x 14 x 6,5 cm pour un poids de 0,77 kg très exactement. Comme souvent chez Klipsh, on opte pour un design sobre et minimaliste. La Groove se pare de matériaux variés avec du plastique (ABS), du silicone et du métal pour la grille frontale. Pour ce nouveau modèle, Klipsch met l'accent sur la robustesse de l'enceinte, notamment grâce à sa résistance accrue à l'eau et à la poussière (certification IPX4). Elle est donc protégée contre les projections d'eau dans toutes les directions. Sur sa partie supérieure se situe le panneau de commande ainsi que la majorité des indications. Il est possible de contrôler le volume d'écoute, de choisir sa source ou encore d'arrêter ou de relancer la lecture. Malheureusement, il ne semble pas être possible de naviguer entre les pistes. Comme beaucoup d'autres, cette enceinte propose le Bluetooth pour la connexion sans-fil (aucune précision sur celui-ci) et une entrée mini-Jack 3,5 mm pour le filaire. La Klipsch Groove serait capable de délivrer jusqu'à 8 heures d'écoute musicale.

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September 10, 2016

Batterie Asus n61ja

Autre sujet de recherche, utiliser la commande vocale d'une montre connectée pour déverrouiller ou verrouiller un véhicule, le géolocaliser voire le démarrer à distance. Les possibilités sont infinies à partir du moment où la voiture connectée est le centre névralgique de tous ces objets.Se pose alors le problème de la récolte de ces données et de leur utilisation. Comment va réagir un fabriquant de montres connectées ou de bracelets capteurs d'activité dans l'exploitation de ses propres données ? Et quid du porteur de ces objets ? Ceci étant dit, cette offre de services rentre dans la ligne que s'était fixé Mark Fields, CEO de Ford. En effet, lors du discours d'ouverture du CES 2015, ce dernier avait affirmé que les données récoltées auprès des utilisateurs étaient leurs propriétés et que leur utilisation par un tiers devait donner lieu à un service obligatoirement gratuit (le fameux usage donnant-donnant).

Le constructeur taïwanais Acer a annoncé hier le TravelMate B117, un laptop au format 11,6 pouces et à la fiche technique plutôt légère. La machine est en effet équipée d'un processeur Intel Pentium ou Celeron, de 4 Go de RAM au maximum, tandis que le stockage est géré au choix par un disque dur ou de l'eMMC (mémoire de stockage interne). Une fois refermé, le TravelMate B117 pèse 1,35 kg (1,43 kg pour la version avec disque dur), pour 22,3 m d'épaisseur. La connectique est composée d'un port USB 2.0, un port USB 3.0, ainsi qu'une sortie HDMI. Nous sommes donc à mi-chemin entre le netbook et l'ultraportable.

Dans son annonce, Acer vante par ailleurs les qualités de son ordinateur portable dans un cadre éducatif. Ses contours sont ainsi renforcés par du caoutchouc, afin de "protéger l'appareil contre les éventuels chocs et chutes". Il est également équipé d'une technologie baptisée TeachSmart par la marque, et reposant entre autres sur la présence d'une diode située à l'arrière de l'écran. L'intérêt, selon Acer, est que "les élèves ont la possibilité de basculer entre quatre couleurs pour indiquer à quel stade ils en sont : d'un seul coup d'Å“il, l'enseignant peut suivre l'avancement de la classe". La marque va même plus loin, en affirmant que cette diode peut remplacer le traditionnel lever de doigt pour prendre la parole. En attendant de juger de la pertinence d'un tel ajout, on se contentera d'un prix (389 € hors taxes) et d'une date de sortie, calée au mois de mai 2016.

La gamme Prestige de MSI propose tout le savoir-faire du constructeur dans des machines légères et polyvalentes situées dans le haut de gamme (processeur Intel Core i7, duo SSD et HDD, carte graphique Nvidia, dalle Full HD de 15 à 17 pouces calibrée en usine). Une fiche technique qui les place donc avec brio en concurrentes des Apple MacBook Pro et autre Asus Zenbook Pro.
Si la gamme Prestige est nouvelle chez le constructeur, le châssis de sa machine l'est beaucoup moins puisque c'est le même que celui du GS60 Ghost Pro. Ne boudons pas notre plaisir, le constructeur aurait pu choisir une base bien moins saine. Ce portable profite donc d'une coque en alliage de magnésium particulièrement réussie.

Le matériau est agréable sous les doigts et l'on n'a noté aucun défaut de fabrication. Le traitement gris métallisé brut est discret, mais la perception est moins flatteuse que sur les MacBook Pro ou Asus ZenBook Pro UX501.Le clavier est lui aussi très similaire à celui du GS60, sans que l'on retrouve ici la signature de Steelseries. Il bénéficie de touches chiclet rétroéclairées, de bonne taille et bien espacées.Elles sont dotées d'un rebond très agréable et d'une course assez courte. Ce clavier est un excellent compagnon pour les longues séances de frappe. Le touchpad, sans bouton, est entouré d'une fine ligne argentée. Il est d'une taille confortable et se montre précis. Il offre bien sûr tous les raccourcis propres à Windows 8 et Windows 10, la machine ayant été testée sous les deux OS.

Sans surprise, les températures mesurées lors de notre stress-test sont assez élevées, avec un maximum à 61,8°C. Le niveau sonore monte pour sa part assez vite, avec un volume maximal bruyant (45 dB(A)).La dalle IPS mate (1920 x 1080 px) offre une luminosité maximale de 301 cd/m² et un taux de contraste de 871:1. Notre MSI est donc moins performant que le MacBook Pro 2015 et se place au même niveau que l'Asus UX 501, le dernier 15 pouces haut de gamme sous Windows que nous avions testé. Le revêtement mat de la dalle garantit cependant une bonne lisibilité, quelle que soit la luminosité ambiante.

La température des couleurs est très bonne (6 627 K alors que la norme est à 6 500 K). Cela se traduit par des couleurs qui ne dérivent ni dans le bleu ni dans le jaune. La courbe de gamma est elle aussi plus que correcte, avec un résultat quasi stable à 2,1, très régulier sur les tons sombres. Mieux, ce MSI se permet d'offrir le meilleur Delta E (mesuré à 1) que nous ayons relevé sur un ordinateur portable. Il se place donc en haut de notre podium des écrans de portables, devant la Surface 3 de Microsoft (1,6), les MacBook Pro 13 et 15" (2,5) et enterre littéralement sont concurrent le plus direct, l'Asus UX501 (4,4).

MSI nous a donc bluffés avec cet excellent résultat et la calibration en usine est remarquable. Le PX60 propose ainsi un afficheur de choix à tous ceux qui aiment les images fidèles ou de qualité professionnelle. La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-4720HQ, 16 Go de mémoire, une carte graphique Nvidia GTX 950M et un SSD de 128 Go couplé à un HDD de 1 To. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les MSI PX60, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.Cette configuration permet à notre machine de test d'afficher un très bon indice de performance. Il fait jeu égal avec les ordinateurs les plus puissants de notre comparatif, dont l'Asus UX501 et le MSI GT72, mais il reste légèrement en retrait du très véloce MacBook Pro 15.

Durant sa séance de torture (compression de fichiers, calculs 3D, export de photo sous Lightroom et compression vidéo), ce MSI s'est donc naturellement montré à la hauteur de nos attentes. En usage, cela se traduit par une plage d'utilisation très étendue, allant du simple traitement de texte au montage vidéo et photo gourmand. En guise d'exemple, il lui a fallu 305 s pour exporter 100 photos sous Lightroom et 105 s pour encoder une vidéo de 254 Mo. Nous avons apprécié le duo SSD et HDD de forte capacité qui offre à la fois réactivité et large espace de stockage.La partie graphique est confiée à une puce Nvidia de dernière génération, une GeForce GTX 950M. Cette carte est en fait une copie presque conforme de la GTX 850M sous architecture Maxwell. On retrouve donc un GPU GM107 avec 640 unités de calcul accompagné de 2 Go de GDDR5 cadencés à 1250 MHz sur un bus 128 bits. Les seules différences viennent des fréquences de base du GPU, qui sont étonnamment revues à la baisse par rapport à celles de l'ancienne génération (914 MHz contre 936 MHz).

Les résultats en jeu s'avèrent satisfaisants. La carte fait tourner des titres comme Tomb Raider, Bioshock Infinite ou Battlefield 4 à plus de 30 i/s dans la définition native de l'écran et avec tous les détails au maximum. Dans des titres plus gourmands, comme Crysis 3 ou Hitman Absolution, on tombe à moins de 20 i/s avec les mêmes paramètres graphiques ; il faut alors réduire certains réglages pour vivre une expérience satisfaisante.Cependant, le jeu n'est pas la fonction première de cet ordinateur et l'on apprécie la présence de cette carte avec des logiciels comme Premiere où ses cÅ“urs Cuda accélèrent le traitement. La lecture de contenu vidéo est elle aussi assurée sans aucun problème, quel que soit le type de fichier ou son codec.

Avec une épaisseur de seulement 19,9 mm et un poids de 1,96 kg, on n'hésite pas à transporter le PX60 partout. Il ne faut cependant pas compter sur son autonomie relativement restreinte par la configuration musclée et la compacité du châssis. Nous avons mesuré cette dernière à 3h45 sous notre protocole de test (série sur Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché, rétroéclairage du clavier éteint).Malgré la finesse du châssis, ce MSI offre une généreuse connectique (trois ports USB 3.0, un lecteur de carte SD, une entrée casque, une sortie micro, un port HDMI, un VGA, un Ethernet et un mini-DisplayPort). La connectivité sans fil est assurée par le Wi-Fi b/g/n et le Bluetooth 4.0.Le PX60 est équipé d'une entrée micro et d'une sortie casque. Cette dernière est très bonne, avec une puissance plus que correcte, une bonne spatialisation, et cela sans distorsion.

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Batterie Asus g51jx-ix192v

L'autre machine concernée par cette ODR n'est autre que l'Aspire R11, un ultraportable convertible — la charnière permet à l'écran de basculer à 360 degrés — vendu moins de 350 €. Pour ce prix, il ne faut pas s'attendre à des caractéristiques haut de gamme : processeur Intel Celeron, 2 Go de RAM, 500 Go de disque dur, écran HD (1 366 x 768 px)... En déduisant les 50 € remboursés par Acer, le prix devient cependant très intéressant. Encore une fois, tous les détails de l'offre sont visibles chez Acer. Le PC portable Lenovo G70-80 est actuellement en promotion chez Rue du Commerce et peut être acquis pour 399,99 €, en utilisant le code promo CRAZY20. Un tarif intéressant pour une machine à la configuration relativement modeste, mais toutefois suffisante pour un usage polyvalent. On profite ainsi d'un écran IPS de 17 pouces doté d'une définition de 1 600 x 900 pixels, d'un processeur double cÅ“ur Intel Core i3-4005U de génération Haswell tournant à une fréquence de 1,7 GHz, de 4 Go de mémoire vive en DDR3 et d'un disque dur de 1 To à 5 400 tr/min.

On regrette évidemment l'absence de SSD, mais, à ce prix là, difficile de se plaindre. L'écran IPS devrait offrir de bons angles de vision, tandis que le processeur et la quantité de mémoire vive seront suffisants pour un usage orienté bureautique, web et lecture de vidéos. Ce laptop peut donc convenir à ceux qui recherchent une machine dotée d'un grand écran et qui n'ont pas de très grandes exigences en matière de puissance. À noter que la machine est fournie avec Windows 8.1, mais que la mise à jour vers Windows 10 est toujours gratuite jusqu'au 29 juillet 2016. L'offre chez Rue du Commerce est valable durant encore un peu plus de 3 jours.

MSI semble plus que jamais enclin à se faire une belle place sur le marché du laptop gamer et annonce une nouvelle machine, qui a l'avantage d'allier finesse, puissance et grand écran. Le GS72 Steatlh Pro prend ainsi la relève sur GS70 et propose une dalle de 17,3 pouces (43,9 cm), pour une épaisseur de 19,9 mm et un poids de 2,55 kg. Le châssis en magnésium, identique à celui du GS70 ou du GS60, est de retour, tout comme le clavier Steelseries doté de touches RGB. De base, la dalle IPS est proposée en Full HD (1 920 x 1 080 px), mais il est possible de profiter de l'option 4K, pour une définition de 3 840 x 2 160 px. Encore une fois, on s'interroge sur l'intérêt de la démarche, surtout dans le cadre du jeu, étant donné qu'aucun GPU de PC portable n'est actuellement capable de faire tourner correctement un titre récent dans cette définition. La partie graphique, d'ailleurs, est assurée, au choix, par une GeForce GTX 960M (2 Go de GDDR5), une GeForce GTX 965M (2 Go de GDDR5) ou une GeForce GTX 970M. Pour jouer dans de bonnes conditions, il faudra vraisemblablement opter pour cette dernière, et ainsi profiter de 40 à 60 images par seconde dans les jeux 3D, à un niveau de détails élevé.

Côté processeur, nous avons affaire à un Intel Core i7-6700HQ, CPU 4 cÅ“urs de dernière génération, affichant des fréquences allant de 2,6 GHz à 3,5 GHz en mode Turbo. Il s'accompagne de 32 Go de DDR4 au maximum. La connectique est assurée par 4 ports USB 3.0, 1 sortie HDMI 1.4, 2 mini DisplayPort, 1 port Ethernet et 1 lecteur de carte SD. On s'étonne par ailleurs de l'absence d'USB Type-C.Bref, ce GS72 Stealth semble disposer d'une configuration très correcte pour jouer et a l'avantage d'afficher des mensurations réduites, surtout pour un laptop 17 pouces gamer. La machine sera en vente mi-mars, à un prix débutant à 1 599 €.
Ce laptop de chez Asus propose en effet un écran de 15,6 pouces à la définition HD. La technologie de la dalle n'est pas spécifiée, mais il est probable que ce soit de l'IPS. À l'intérieur, on trouve un processeur Intel Core i5 6200U de dernière génération, une carte graphique Nvidia GeForce 920M (2 Go de mémoire vidéo), 8 Go de mémoire vive et un disque de 1 To. L'absence de SSD est cependant un peu regrettable et risque de brider les bonnes performances du couple CPU/RAM.

Notons également la présence d'un lecteur/graveur de DVD et une connectique très complète : 2 ports USB 3, 1 port USB 2, 1 port Ethernet, 1 sortie HDMI, 1 port VGA, une sortie casque et une entrée micro. Les dimensions restent relativement contenues : 382 x 256 x 25,8 mm, pour 2,3 kg.Pour 649 €, on profite donc d'un PC portable 15 pouces qui devrait être suffisamment performant pour de nombreux usages : bureautique, web, lecture vidéo, retouches photo... La carte graphique 920M reste par contre trop juste pour le jeu vidéo.
L'UE Megaboom nous avait plutôt convaincus grâce à une connectique complète, une bonne robustesse, une étanchéité à toute épreuve et surtout une excellente autonomie. La partie audio est néanmoins un peu en retrait avec des graves qui mériteraient d'être mieux maîtrisés. Le rendu reste toutefois plus que correct avec une diffusion à 360 degrés et un son très puissant pour une enceinte si compacte.

Bien sûr, son côté nomade est un peu mis en retrait avec plus de 900 grammes et son prix s'envole. Si cela pose problème, il vaut mieux se tourner vers la Boom 2, performante en tout point.
Désormais propriété de Japan Industriel Partners Inc., la marque Vaio continue d'exister dans quelques pays du monde, notamment au Japon et aux États-Unis. La preuve : plusieurs nouveaux modèles de laptop viennent d'être annoncés, aux caractéristiques alléchantes. Il n'y a plus qu'à espérer que tout cela arrive en France.
Deux nouvelles machines de la série Vaio Z ont ainsi été dévoilées, bénéficiant d'un design premium et de spécifications haut de gamme. Le Vaio Z Flip est ainsi un ultraportable convertible, puisque son écran peut basculer à 180 degrés, et ainsi faire office de tablette. La dalle de 13,3 pouces offre une définition de 2560 x 1440 pixels, tandis que le châssis en magnésium devrait garantir robustesse et légèreté. Ce modèle hybride ne pèse pas plus de 1,3 kg pour une épaisseur de 16 mm une fois fermé. On y trouve, à l'intérieur, 8 Go de mémoire vive, 256 Go de SSD et un processeur Intel Skylake (modèle non spécifié . L'autonomie annoncée semble par ailleurs très élevée, puisqu'elle atteindrait les 11h30.

Une autre déclinaison, baptisée simplement Vaio Z (ci-dessus) est également proposée : celle-ci abandonne le format hybride pour un écran non tactile de 13,3 pouces, qui passe alors à une définition Full HD (1920 x 1080 px). Le processeur est un Intel Core i5-6367U, s'accompagne de 4 Go de mémoire vive et d'un SSD de 128 Go. Cette machine a par ailleurs deux beaux arguments à faire valoir : un poids de seulement 1,17 kg et une autonomie annoncée de 15h30. Si la facture vous semble salée, vous pourrez vous reporter sur la nouvelle série S, dont les prix commencent à partir de 1099 $. Cette gamme se compose de deux machines : le Vaio S13 et le Vaio S15, soit un laptop de 13 pouces, et l'autre de 15 pouces. Le châssis est toujours en magnésium, mais la résolution de la dalle ne dépasse pas le Full HD (1920 x 1080 px). Les deux PC sont équipés d'un processeur Skylake. Le S15 est cependant mieux loti côté spécifications, puisqu'il possède 8 Go de mémoire vive (contre 4 Go pour le S3) et 1To de SSD (contre 256 Go pour son petit frère de 13 pouces). Le poids du S13 est de 1 kg, et celui du S15 atteint 2,4 kg.

Retrouvez le Top 10 des tests parus sur Les Numériques au cours des 7 derniers jours. On retient cette semaine les smartphones représentés en masse, avec la présence du nouveau Sony Xperia M5 notamment, ainsi que du Lumia 650 venu lui tenir tête. Dans le peloton suit une farandole de bonnes notes avec la télécommande Logitech Harmony 950, l'appareil photo Panasonic Lumix TZ80 et enfin le clavier gamer SteelSeries Apex M800. La qualité est là, faites votre choix.
Cet ordinateur portable conçu par HP n'a pour le moment pas été testé par notre labo, mais ses caractéristiques techniques laissent espérer une machine véloce. Il pourra même faire tourner correctement quelques jeux vidéo récents sur un écran de bonne taille, puisque l'on profite d'une dalle mate de 17,3 pouces (43,9 cm) de type IPS à la définition Full HD (1 920 x 1 080 px). Elle s'accompagne d'une carte graphique Nvidia GeForce GTX 950M dotée de 4 Go de DDR3, ainsi que d'un processeur Intel Core i7-6700HQ (génération Skylake). Ajoutez-y 8 Go de mémoire vive en DDR3L et vous obtenez un PC solide, qui devrait assurer dans à peu près toutes les tâches, même les plus lourdes. Petit bémol en revanche : l'absence de SSD, remplacé ici par un disque dur de 2 To à 5 400 tours/minute.

Un graveur de DVD est par ailleurs intégré, ce qui est à noter, car de plus en plus rare sur les laptops. Le reste de la connectique est classique : un lecteur de carte SD/MMC, une sortie HDMI, et 4 ports USB 3.0. L'ensemble pèse tout de même 2,8 kg. À noter enfin : le tableau de prix ci-dessus n'affiche pas le tarif mis à jour chez Materiel.net, mais pointe vers la bonne offre.
« Wearables » ? En français, il s'agit d'objets connectés que l'on porte sur soi en permanence comme une montre, un capteur d'activité ou des lunettes connectées. Ces petites choses intéressent vivement le constructeur automobile Ford qui vient d'ouvrir un laboratoire leur étant dédié au sein du centre de recherche et d'innovation de Dearborn dans le Michigan. Il ne s'agit nullement d'un caprice d'un des dirigeants de la marque. En revanche, Ford s'est rendu compte que beaucoup de personnes portaient ce type de produit dont la fonction première est de récolter des informations sur son propriétaire. S'agissant des objets connectés liés à la santé, alors pourquoi ne pas utiliser les données récoltées afin de mieux sécuriser la conduite ? C'est justement les recherches menées par les ingénieurs de ce département : imaginer un système où les capteurs de santé pourraient par exemple « activer des technologies d'assistance au conducteur et prévenir des risques d'endormissement » ou bien augmenter la sensibilité du « lane assist » si la montre connectée du conducteur signale que ce dernier manque de sommeil ou en cas d'accélération anormale du rythme cardiaque, « le régulateur de vitesse adaptatif ou le détecteur d'angle mort pourraient augmenter la distance entre les véhicules et diminuer le stress du conducteur lié au trafic ».

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September 09, 2016

Batterie Asus g51j

La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i3-5005U, 4 Go de mémoire, une carte Nvidia GeForce GTX 950M et un HDD de 1 To. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les Asus R516LX, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.Nous retrouvons un processeur de dernière génération (Broadwell), relativement similaire à un Intel Core i3 4030U d'ancienne génération, avec une architecture dual core équipée de l'hyperthreading (4 cÅ“urs logiques). Les différences viennent de la finesse de gravure de 14 nm contre 22 nm pour la précédente génération et des fréquences maximales revues à la hausse (100 MHz). Cet Asus affiche des performances légèrement en retrait par rapport à celles de l'Acer V3, par exemple, du fait de l'absence de SSD, mais il reste plus performant qu'un portable à base d'Intel Core M 5Y10, comme dans l'Asus UX305, ou à base de processeur Atom de dernière génération.

En pratique, le R516LX-XX096H se montre à son aise avec les tâches simples (navigation Internet, bureautique, même lourde) mais trouve ses limites avec les programmes complexes et gourmands, comme le traitement vidéo ou l'export de photographies sous Lightroom (723 s lors de notre test). Si l'on apprécie l'espace de stockage généreux (1 To), on regrette l'absence de système hybride avec un cache de mémoire flash. La réactivité générale en pâtit, notamment lors des démarrages (14 s) et des extinctions (17 s).Nous retrouvons, avec surprise et satisfaction, une carte graphique aux performances correctes, la Nvidia GeForce GTX 950M, bien rare dans les ordinateurs à moins de 600 €. Pour rappel, cette dernière embarque un GPU GM107 avec 640 unités de calcul accompagné de 2 Go de GDDR5 cadencés à 1250 MHz sur un bus 128 bits. Les seules différences viennent des fréquences de base du GPU, qui sont étonnamment revues à la baisse par rapport à celles de l'ancienne génération (914 MHz contre 936 MHz).

Bien que légèrement handicapée par la présence du petit i3, cette carte s'en sort très honnêtement en jeux grâce à la faible définition native de la machine. Vous pouvez ainsi jouer à bon nombre de jeux récents avec un niveau de détails compris entre "haut" et "maximum" avec plus de 30 i/s ; de quoi satisfaire beaucoup d'amateurs de jeux. Pour ceux qui préfèrent le 7e art, cette carte a su décoder l'ensemble des fichiers vidéo que nous lui avons soumis.Le châssis de ce 15,6 pouces est relativement fin, compact (382 x 255 x 21,7 mm), léger (2 kg), et donc relativement transportable pour une machine de cette diagonale. Cependant, son autonomie n'est pas au niveau de sa transportabilité et se limite à 4h sous notre test d'autonomie (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché .

La connectique est honnête (deux ports USB 2.0, deux ports USB 3.0, un port Ethernet, un port HDMI, un lecteur de carte SD et une prise jack combo casque/micro). La connectivité sans fil est assurée par le Wi-Fi 802.11 ac et le Bluetooth 4.0.La sortie casque de cet Asus délivre une qualité satisfaisante. La puissance est plus que suffisante, tandis que la stéréophonie est respectée et le son dépourvu de bruit et de distorsion.Les haut-parleurs restituent très bien les voix, mais font l'impasse sur les basses et les aigus. Le niveau de puissance est correct, sans que l'on ait à subir un trop haut niveau de distorsion. Sans être formidable, l'écoute musicale est supportable.
Le PC portable Asus ZenBook UX303 est en effet actuellement en promotion au prix de 799,99 €, soit 200 € de moins que le prix habituellement affiché chez Rue du Commerce. Cette version semble très bien équipée, puisque l'on profite d'un processeur Intel Core i5 de 6e génération, de 8 Go de mémoire vive (DDR3L) et de 256 Go de stockage en SSD. La dalle mate de 13,3 pouces affiche quant à elle du Full HD (1 920 x 1 080 px). En tant que bon ultraportable, ce ZenBook UX303 ne pèse pas plus de 1,45 kg et ne fait pas plus de 22 mm d'épaisseur une fois refermé. On profite également de 3 ports USB 3.0, 1 sortie HDMI et 1 lecteur de carte SD.

Bref, c'est un produit équilibré, suffisamment puissant pour la majorité des usages à l'exception du jeu vidéo ou du montage vidéo avancé, et qui profite d'une excellente portabilité de par son format.
38 centimètres : c'est la longueur de cet objet hybride qu'est la Boost TV. Utilisable principalement comme barre de son, elle arbore cependant un look d'enceinte nomade, très proche de celui de la JBL Xtreme : on reconnaît le tissu qui recouvrait l'excellente enceinte waterproof du constructeur californien.

Côté design, le compromis entre enceinte nomade et barre de son est parfaitement réussi : sa forme oblongue lui permet de se positionner sans choquer au pied d'un TV, mais ses dimensions et les matériaux en font un objet très aisément déplaçable. Sur le dessus, on retrouve les commandes de l'enceinte. De gauche à droite : l'activation du Bluetooth, le mode Surround, le réglage du volume, la fonction JBL Connect, le Soundshift et, enclavé entre le + et le -, la mise sous/hors tension. Le Surround, on connait. Le JBL Connect, on en a déjà parlé. Mais le Soundshift, kézako ? C'est une fonction qui permet de basculer automatiquement entre le son du TV et celui d'un appareil nomade connecté en Bluetooth ; pratique et très cohérent, puisque la Boost TV se trouve quelque part à la croisée de ces deux mondes. Pour ce, il faut évidemment qu'un appareil soit connecté en Bluetooth, et le TV en optique ou en auxiliaire. À partir du moment où la fonction est activée (icône en bleu), le Bluetooth a la priorité ; s'il n'y a pas de son transmis, la Boost TV reste sur l'entrée précédemment sélectionnée (auxiliaire ou optique), autrement, elle bascule automatiquement sur la source en Bluetooth. Dès que le son de la source Bluetooth est coupé, la Boost revient naturellement vers le son du TV.

L'option Soundshift fonctionne très bien, mais est tributaire du smartphone ou de la tablette : certaines applications émettent en effet des informations sonores quand elles sont lancées, rusant ainsi le Boost TV qui bascule alors sur l'entrée Bluetooth, alors qu'il n'y a pas de musique. Pour pallier ce problème, il suffit de lancer de la musique et de la mettre en pause. Une télécommande au format carte de crédit est elle aussi de la partie, offrant toutes les fonctions que l'on retrouve à bord de l'enceinte, et même deux supplémentaires : la fonction Mute et l'Audio Feedback qui offre une confirmation sonore des commandes appelées. Deux entrées, en plus du Bluetooth, se trouvent à l'arrière de la Boost — une en optique et une autre analogique en mini-Jack — aux côtés de l'alimentation et d'un port USB de mise à jour du firmware. JBL nous fournit même un câble optique, et un double mini-Jack.

La Boost TV veut améliorer sensiblement le son de notre TV. Pour ce faire, elle embarque deux haut-parleurs de 50 mm et se fend de deux évents, un sur chacun de ses flancs. Avec une telle configuration, on ne peut pas s'attendre à des miracles. En effet, la Boost TV ne descend vraiment pas bien bas, et offre un son plutôt axé sur la plage fréquentielle des médiums. La courbe de réponse en fréquence ci-dessus présage d'une réponse assez homogène sur l'intégralité du spectre, mais un certain manque de précision vient brouiller les aigus et les basses, et crée un son un peu "carton". Les aigus saturent facilement et deviennent acides. Plus généralement, dès que l'orchestration est trop riche (scène de combat + musique trépidante, par exemple), les membranes abandonnent le combat et le son perd réellement en définition.

Le rendu global reste bon malgré tout, avec notamment des voix très intelligibles. La fonction Surround fonctionne bien et choisit les canaux satellites uniquement, en laissant bien le canal central (dialogues) au centre. Le son s'étend considérablement, largement au-delà des enceintes, mais le traitement n'est pas inoffensif au son. S'il est envisageable pour une expérience cinématographique plus immersive (réverbération, EQ, ...), il ne l'est pas pour vos morceaux de musique. Le son en Bluetooth (ci-dessus en bleu) est très fidèle à la performance sonore en filaire (idem en noir). De par sa faiblesse dans le bas du spectre, la Boost TV ne fera pas trembler vos murs. Toutefois, la puissance étant tout à fait acceptable et la largeur stéréophonique dépassant largement les dimensions de l'enceinte, la Boost TV n'aura pas de mal à sonoriser votre TV dans une chambre ou même dans un salon. Attention toutefois à la distorsion qui rend les aigus encore plus acides ; le moment où, à l'épée, V grave son graphème sur le mur (V pour Vendetta), fait saigner les oreilles.

La latence en sans-fil est importante, trop importante même pour envisager cette utilisation pour l'audiovisuel (300 ms). Réservez donc ce type de connexion pour de la musique uniquement, et privilégiez autant que vous pouvez l'optique ou le mini-Jack pour regarder une vidéo. Retrouvez le Top 10 des tests parus sur Les Numériques au cours des 7 derniers jours. On retient cette semaine la remarquable première place d'un SSD SanDisk entrée de gamme. Le podium est complété par le portable Honor 5X ainsi que le G-Master GB2788HS d'Iiyama, moniteur gamer. Bonne lecture !
L'Acer Aspire V Nitro a été une très bonne surprise il y a un peu plus d'un an. La machine a depuis connu quelques mises à jour, avec l'arrivée des cartes graphiques de la série 900M de Nvidia ou des processeurs Skylake d'Intel. Nous avons affaire à un ordinateur portable très polyvalent et bien fini, qui profite qui plus est d'un très bon rapport qualité/prix. Il est également décliné en versions de 15 ou 17 pouces. En fonction du modèle qui vous intéresse, Acer vous rembourse ainsi entre 100 et 150 €. Le détail des offres est disponible sur le site du constructeur.

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Batterie Asus g73sw-91210v

La carte ne déçoit pas à l'usage et permet de jouer à un large panel de jeux avec toutes les options au maximum tout en restant à plus de 60 i/s de moyenne (Battlefield 4 : 73 i/s ; BioSchock Infinite : 83 i/s ; Hitman Absolution: 76 i/s). Seuls les titres très exigeants comme Crysis 3 ou Metro Last Light ont réussi à faire baisser le nombre d'images par seconde (respectivement 31 et 35 i/s).Malgré sa diagonale de 17,3", ce portable au format 17 pouces reste très transportable grâce à une épaisseur de seulement 22,5 mm et un poids de 2,8 kg. En comparaison, le MSI GT 72, équipé de la même configuration, mesure 48 mm pour un poids de 3,78 kg.
Il n'a cependant tenu que 4h05 à notre test d'endurance (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché .

La connectivité sans fil répond aux normes Wi-Fi 802.11 a/b/g/n et Bluetooth 4.0. La force du signal Wi-Fi est relativement stable, avec -46 dBm de 5 m à 10 m de distance, puis chute à -55 dBm à 20 m.Ce 17 pouces est équipé d'une prise combo casque/micro dont la sortie offre une puissance correcte, sans bruits parasites et avec une spatialisation convenable.Les haut-parleurs sont du même acabit, avec un son clair qui ne sature que lorsque le volume est poussé au maximum. On note toutefois une légère imprécision et un manque de basses peu compatibles avec les films et l'écoute musicale. Les PC portables hybrides — capables de se transformer en tablette — sont de plus en plus nombreux sur le marché, et la concurrence est rude. Ce modèle de chez Lenovo n'a pas encore été testé par notre labo, mais ses caractéristiques techniques sont alléchantes. On profite tout d'abord d'une belle diagonale de 12 pouces et d'une définition de 2160 x 1440 pixels, le tout sur une dalle tactile IPS. De quoi profiter, à priori, d'une image assez contrastée, fine et lumineuse. À l'intérieur, on y trouve un processeur Intel Core m5 de dernière génération, qui a l'avantage d'être dénué de ventilateur, ce qui permet à la machine d'être totalement silencieuse.

À cela, s'ajoutent 4 Go de mémoire vive et un SSD de 128 Go pour le stockage. La connectique va quant à elle à l'essentiel : 1 port USB 2, 1 port USB 3, une sortie HDMI et une sortie jack. À la manière d'une Microsoft Surface, le Lenovo Miix 700 propose un clavier détachable, qui fait office de couverture pour l'appareil. Les touches ne sont en revanche pas rétroéclairées. Le poids total est à l'avenant, et ne dépasse pas les 1,1 kg.Habituellement proposé aux alentours de 1000 € dans sa version Core m5, le Lenovo Miix 700 est vendu toute la journée à 749 € sur Amazon. Un prix qui nous semble très intéressant, au regard des caractéristiques du produit.
Le marché du PC portable "classique" perd chaque mois un peu plus de terrain face à la montée en puissance des ultraportables et des 2-en-1. Une catégorie fait cependant de la résistance et connaît même un peu de croissance : celle des portables pour joueurs. Ces PC, souvent assez lourds et épais, séduisent en effet de plus en plus des joueurs à la fois en quête de mobilité et intransigeants sur la puissance.

Les modèles "pour joueurs" sont donc de plus en plus nombreux et prennent désormais une place d'importance dans nos tests. À la fin de l'année dernière, Asus a mis tout le monde d'accord, ou presque, en sortant le ROG G752. C'est, à notre avis, le laptop pour joueurs le mieux équilibré du marché, alliant une configuration haut de gamme, un design réussi et — surtout — une gestion du bruit et de la température exemplaire. Il gagne donc naturellement sa place dans notre guide d'achat.
Nous avons tout récemment testé le Predator 15 (en version GTX 980M) et lui avons octroyé avec plaisir ses 5 étoiles. Acer est parvenu à concevoir un laptop "gamer" solide, bien fini, très bien refroidi et qui ne fait pas de compromis sur la puissance. La configuration en promotion chez Darty est un peu moins haut de gamme que celle qui est passée dans notre labo, mais reste très intéressante : processeur Intel Core i5-6300HQ, 8 Go de mémoire vive, carte graphique GeForce GTX 970M (3 Go de DDR5) et disque dur de 1 To à 7 200 tours/minute. Il est par ailleurs possible d'ajouter un SSD au format M.2 PCIe via un emplacement prévu à cet effet. Nous avons donc ici un ensemble de composants suffisants pour jouer à tous les jeux récents dans la résolution native de la dalle (1 920 x 1 080 px), à un niveau de détails élevé. Darty propose ici la machine à 1 275 €, soit une réduction de plus 100 € par rapport au prix public constaté.

Dans la catégorie des PC portables « gamer », la gamme ROG d'Asus fait partie de l'élite, le constructeur ayant souvent réussi à allier un design travaillé, un bon niveau de refroidissement et des performances haut de gamme. Le ROG G752 est le petit dernier et s'avère, sans surprise, un excellent produit. Cette nouvelle promotion chez Amazon est en tout cas très intéressante, car elle concerne une version très haut de gamme de la machine. On y trouve en effet un processeur Intel Core i7 de dernière génération, 8 Go de mémoire vive, un SSD 128 Go, un HDD de 1 To et surtout, une carte graphique Nvidia GTX 980M (4 Go de RAM). Une configuration suffisante pour jouer à tous les derniers jeux au niveau de détails le plus élevé et à plus de 40 images/seconde.

Le reste est totalement identique au PC que nous avons testé il y a quelques mois et qui a eu droit à son macaron « 5 étoiles ». La dalle de 17 pouces en Full HD (1920 x 1080 px) est de très bonne qualité, la finition est impeccable et le bruit très maîtrisé. Bref, si vous voulez vous faire plaisir avec un laptop haut de gamme qui ne fait pas de compromis sur la puissance, cette offre chez Amazon vous tend les bras. À noter que le prix affiché dans notre tableau de prix n'est pas le bon, mais pointe vers la bonne offre. Habituellement vendu 1799 €, le MSI GS70 Stealth Pro est actuellement à 1349 € chez Cdiscount (le prix dans le tableau ci-dessous n'est pas bon, mais le lien pointe vers la bonne offre). Nous n'avons pas eu l'occasion de tester ce modèle , mais il semble être dans la lignée des GS60 du même constructeur : un PC portable très bien équipé pour le jeu, tout en restant assez fin et léger, donc facile à transporter. La configuration proposée par Cdiscount est la suivante : écran Full HD (1920 x 1080 px) de 17 pouces, processeur Intel Core i7 de 5e génération, carte graphique Nvidia GeForce GTX 970M équipée de 3 Go de GDDR5, 8 Go de mémoire vive (en DDR3L), SSD de 256 Go et disque dur de 1 To. Les mensurations sont quant à elles assez réduites pour un PC de ce format : 2,18 cm d'épaisseur une fois fermé, pour 2,66 kg. Bref, ce GS70 peut être une machine idéale si vous cherchez une solution pour jouer confortablement en déplacement, puisque vous pourrez faire tourner à plus de 30 images par seconde la grande majorité des derniers titres sortis, au niveau de détails maximal et dans la définition native de la dalle.

En cette période de rentrée 2015, nous nous sommes rendus chez Boulanger pour trouver un portable polyvalent à bon rapport qualité/prix. Doté d'une dalle de 15,6 pouces contenue dans un châssis relativement fin et léger, l'Asus R516LX-XX096H (moins de 600 &euro semble correspondre à nos critères (processeur Intel Core i3, carte graphique assez puissante et large espace de stockage). Alors on sort nos appareils de mesure et on le teste...
Asus a opté pour un châssis entièrement en aluminium gris métallisé et bleu foncé sur le capot. Il offre une bonne rigidité à la machine, ainsi qu'un point contenu. On apprécie ce matériau, généralement dédié aux machines présentes dans le haut de gamme.

La finition est plus que correcte pour une machine à ce tarif et n'a rien à envier à son grand frère, le ZenBook Pro UX501, pourtant facturé le triple de son prix. Nous n'avons relevé aucun défaut de fabrication, l'ensemble ne présente aucun jeu et la charnière offre une résistance de bon aloi.Le clavier est directement intégré dans le châssis, ce qui permet d'éviter les effets d'enfoncement lors de la frappe, qui est par ailleurs agréable. Les touches sont de bonne taille et offrent un rebond souple et consistant. Le touchpad est lui aussi entièrement intégré au repose-poignet. Il offre d'un excellent toucher et gère tous les raccourcis de Windows.

Du fait de sa configuration contenue, et malgré sa relative finesse, cet Asus maîtrise très bien sa température. Nous avons relevé un maximum de 48,1°C. Le système de refroidissement étant situé en dessous de la machine, il faut faire attention à la surface sur laquelle on la pose pour ne pas obstruer les grilles de ventilation. Côté nuisances sonores, le bruit de fonctionnement ne se fait que légèrement entendre lorsque le processeur est fortement sollicité.L'Asus R516LX s'équipe d'une dalle TN HD (1366 x 768 px) brillante. Sa luminosité maximale s'établit à 315 cd/m², pour un taux de contraste de seulement 427:1. Une utilisation en environnement très lumineux est donc à proscrire. La colorimétrie est tout juste correcte, avec un Delta E à 5 — écart entre les couleurs idéales et les couleurs mesurées ; cela reste acceptable, même si les meilleurs écrans descendent sous la barre des 3. La température des couleurs s'établit à 7480 K, les couleurs tendent donc légèrement vers le bleu. La courbe de gamma se montre quant à elle satisfaisante, mais pas parfaite ; les noirs sont un peu bouchés.

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September 08, 2016

Batterie Asus g73jw-xb1

La connectivité sans fil répond aux normes Wi-Fi 802.11 a/b/g/n et Bluetooth 4.0. La force du signal Wi-Fi est relativement stable, avec -48 dBm de 5 m à 10 m de distance, puis chute à -52 dBm à 20 m. La sortie casque de ce GT80 Titan est convaincante, sans bruit parasite, puissante, avec une image stéréo bien représentée. On peut donc y brancher un bon casque gaming pour profiter pleinement de l'ambiance sonore des jeux.Par contre, et malgré les promesses de MSI, les haut-parleurs sont très décevants. Comme le montre le graphique ci-dessus, la bande des fréquences reproductibles est très étroite, sans basses ni bas-médiums ou aigus. On n'entend que les médiums en fait. Autant dire que le subwoofer n'est là que pour faire bien sur la fiche technique. Reste un volume puissant, qui ne laisse apparaître les distorsions qu'à son plus haut niveau.

Ce PC portable Acer V Nitro se dote d'une fiche technique très intéressante, surtout pour ce prix. Pour 699 € (après ODR), on profite ainsi d'un écran de 17 pouces en Full HD (1 920 x 1 080 px), d'un processeur Intel Core i5-6300HQ (génération Skylake), de 8 Go de mémoire vive, d'une carte graphique Nvidia GeForce GTX 950M (4 Go) et de 1 To de disque dur, qui s'accompagne d'un petit SSD de 8 Go. La connectique se compose de 3 ports USB 3, 2 ports USB 2, une sortie HDMI et un port Ethernet. La présence d'un Core i5 et d'une GTX 950M en version 4 Go devrait permettre de jouer dans des conditions assez bonnes, à condition de ne pas vouloir monter trop haut dans les détails graphiques. De plus, la gamme Nitro d'Acer a toujours fait preuve de belles qualités en matière de finitions et de design, grâce à un châssis solide et une charnière travaillée.

Si vous êtes à la recherche d'un PC portable dédié au jeu, mais que vous ne voulez pas faire de concession sur l'encombrement, le GS60 de MSI est un très bon choix. Il s'agit en effet d'une machine très bien équipée (processeur Core i7 Skylake, carte graphique GeForce GTX 970M, 16 Go de RAM, SSD de 256 Go + HDD de 1 To) et qui profite d'un châssis peu encombrant (20 mm d'épaisseur), ainsi que d'un poids de seulement 1,95 kg. Sa configuration est idéale pour faire tourner tous les derniers jeux, en Full HD à un niveau de détail élevé. Cette version en promotion chez Rue du Commerce a en plus la particularité de proposer une dalle IPS en Ultra HD (3 840 x 2 160 px). Une définition qui n'aura cependant pas grand intérêt en jeu, la carte graphique embarquée étant malheureusement ici un juste pour maintenir un haut niveau de détail en Ultra HD.

Quoi qu'il en soit, au regard de la configuration proposée, ce prix de 1 399 € (avec le code promo SPRING100) nous parait très intéressant. L'offre est cependant temporaire et prendra fin dans un peu plus de 4 jours.
Les PC portables Aorus ont souvent su nous convaincre, même si leur tendance à chauffer et leur prix très élevé les empêchent d'atteindre le haut de notre classement. Il n'empêche : entre grosse puissance pour les jeux et finesse du châssis, ils restent des produits haut de gamme, qui profitent de plus plus d'un design noir des plus sobres. Mais si vous goûtez peu aux couleurs classiques et aux courbes épurées, réjouissez-vous, puisqu'Aorus décline désormais ses derniers modèles de laptop en version camouflage.

Les X3 Plus, X5C et X7 Pro sont ainsi disponibles avec un châssis militaire et en édition limitée, puisque seules 1300 pièces sont fabriquées. Le constructeur précise qu'un revêtement spécial a été appliqué, protégeant le châssis contre les éraflures et les traces de doigts. Pour rappel, les X3, X5 et X7 sont dotés d'un processeur Intel Skylake Core i7 et profitent d'un écran allant de 13,9 à 17,3 pouces. Le X3 est équipé d'une carte graphique GeForce GTX 970M, le X5 d'une GTX 980M, tandis que le X7 profite d'un SLI de GTX 970M. Les prix, pour ces versions, n'ont pas été communiqués.

La gamme ZenBook d'Asus a toujours proposé des portables de qualité, qui plus est à des prix très intéressants. Nous avons tout récemment testé le ZenBook UX305C, un ultraportable de 13 pouces, que l'on peut trouver à partir de 621 €, et nous lui avons octroyé la note de 4 étoiles. Nous avons été particulièrement séduits par sa finesse et son poids, ainsi que sa configuration équilibrée. C'est le genre de machine idéale pour un usage très nomade, à condition de ne pas vouloir à tout prix lancer des tâches trop gourmandes. Il gagne donc logiquement sa place dans notre guide, en remplacement... d'un autre ZenBook, le UX305, sorti début 2015, et vendu un peu plus cher.
Le Gigabyte P37X v4 est un portable gamer de 17,3 Full HD, grand frère du P35X v4 que nous avons récemment testé. Comme lui, il se présente dans un châssis particulièrement fin et intègre des composants de dernière génération (processeur Intel Core i7-5700HQ, carte graphique Nvidia GeForce GTX 980M, SSD et HDD mécanique). Une machine complète qui, sur le papier, s'adresse aux joueurs enthousiastes au budget confortable, et qui s'attaque aux cadors du genre, comme le G751 d'Asus ou le GT72 de MSI.

Le châssis du Gigabyte P37X v4 est entièrement en aluminium noir métallisé. Les finitions sont très bonnes, sans jeu, avec des matériaux de qualité et des charnières solides. Seule petite erreur de style, les bordures de l'écran sont en plastique légèrement granuleux qui gâche un peu l'apparence générale.Le clavier de type chiclet dispose d'un rétroéclairage blanc réglable sur deux niveaux d'intensité. Les touches, certes de bonne taille et bien disposées, offrent un confort de frappe peu optimal. Le rebond est trop souple et la course légèrement trop courte.Heureusement Gigabyte n'a pas fait l'impasse sur les raccourcis pour macros (au nombre de 6) que l'on retrouve sur la partie gauche du repose-poignet. Le touchpad, de bonne taille, se révèle précis et rapide. Il gère bien sûr tous les raccourcis propres à Windows et propose des boutons mécaniques. Il est bien entendu adapté à la bureautique, mais pas aux jeux.

Problème récurrent des portables gamer de Gigabyte, la chauffe est ici encore un problème malgré le large châssis de 17,3 pouces. Notre machine est montée à 74,5°C lors de notre stress-test ; un record ! La partie supérieure, et notamment le clavier, n'est pas épargnée, avec une large zone à plus de 47°C. Les joueurs n'auront pas froid aux mains cet hiver ! Le tout est accompagné d'un bruit de soufflerie très rapidement audible et qui atteint les 54 dB(A).Le P37X v4 est équipé d'une dalle mate Full HD (1920 x 1080 px). Elle offre un taux de contraste de 890:1 et une luminosité maximale de 345 cd/m². Des valeurs correctes qui, alliées au revêtement mat de la dalle, permettent d'obtenir un bon niveau de lisibilité, quelle que soit la luminosité ambiante.

La colorimétrie est particulièrement satisfaisante. Le delta E — écart moyen entre les couleurs affichées et les couleurs réelles — s'établit à 4, très près de celui des meilleures machines (sous la barre des 3). La température des couleurs frôle la perfection (6398 K alors que la norme est fixée à 6500 K). La courbe de gamma se révèle être très stable à 2,3, ce qui garantit des dégradés bien restitués.La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-5700HQ, 8 Go de mémoire, une carte graphique Nvidia Geforce GTX 980M, un SSD de 256 Go et un HDD de 1 To. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les P37X v4, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.

C'est la seconde fois que nous testons une machine dotée de cette génération de processeurs Intel. Pour rappel, ce Core i7-5700HQ se différencie de son prédécesseur par sa finesse de gravure (14 nm contre 22 nm) et des fréquences de base légèrement plus élevées (2,7 GHz contre 2,5 GHz). Les fréquences turbo restent les mêmes, tout comme l'architecture basée sur quatre cÅ“urs physiques qui profitent de l'hyperthreading, ce qui lui offre huit cÅ“urs logiques. Notre modèle de test s'aligne donc sur son petit frère de 15 pouces, avec un indice de 158 qui le place au sommet de notre classement des ordinateurs portables les plus puissants. On retrouve logiquement à sa suite le P35X (157) l'Aorus X7 Pro (150) et le MSI GT72 Dominator Pro (14 .

En pratique, il se révèle particulièrement rapide grâce à la présence du SSD. On apprécie le HDD mécanique complémentaire pour sa capacité de stockage. Aucun programme ne fait peur à ce Gigabyte. Du simple traitement de texte à l'export de photo en passant par l'encodage vidéo, tout se déroule sans le moindre ralentissement. On citera, par exemple, l'export de 100 photographies réalisé en 268 secondes et la compression d'une vidéo de 228 Mo, expédiée en 99 s.Comme sur tous les portables gamer très haut de gamme, nous retrouvons une carte Nvidia Geforce GTX 980M accompagnée de 8 Go de mémoire. Pour rappel, cette dernière exploite un GPU identique à celui de la GTX 980 : le GM204. Cette version mobile compte cependant moins d'unités de calcul (1 536 contre 2 04 et de texture (96 au lieu de 12 . Les fréquences évoluent également à la baisse, puisqu'elles passent d'une fréquence de basse de 1 260 MHz à 1 038 MHz. La fréquence boost a été relevée à 1 130 MHz ; elle est restée stable durant l'ensemble de nos tests. Il en va de même pour la fréquence mémoire qui baisse de 1 750 MHz à 1 250 MHz.

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Batterie Asus g73jh-tz128v

Ce bon bilan se ternit cependant avec un delta E moyen à 4,7. On rappelle que le Delta E représente l'écart entre les couleurs mesurées et les couleurs idéales, et doit être inférieur à 3 pour être considéré comme idéal. En revanche, la température des couleurs s'établit à 6 483 K, soit un score très proche de la norme de 6500 K, tandis que la courbe de gamma permet de constater des noirs assez bouchés, mais des blancs bien équilibrés.Globalement, l'écran du Berserk MK1 15 est donc très bien calibré. On profite à l'usage d'une image nette et précise, de peu de reflets et d'une assez bonne colorimétrie. La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i5-4690K, 8 Go de mémoire, une carte graphique Nvidia GeForce GTX 970M et un SSD de 128 Go accompagné d'un HDD de 1 To. Contrairement au reste du test, qui est valable pour toutes les déclinaisons du MK1 15, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.

L'un des arguments marketing de Materiel.net pour ce Berserk MK1 15 est le fait de profiter de « la puissance du desktop dans un portable », grâce à l'utilisation d'un processeur Intel Core i5-4690K de génération Haswell. Il est en effet davantage présent dans les PC fixes, et propose quatre cÅ“urs cadencés à 3,5 GHz, et jusqu'à 3,9 GHz en mode Turbo. Nos benchmarks CPU montrent cependant peu de différences par rapport à des processeurs dédiés aux PC portables, l'indice de performance global étant même inférieur à celui des machines comme l'Asus ROG G751, le Gigabyte P55 ou encore le MSI GE72. Ces derniers optent certes pour des Core i7, mais sont vendus à un tarif équivalent. Bref, le choix d'un tel processeur est assez curieux, étant donné que le gain de performances est anecdotique, alors que le TDP, lui, est largement supérieur (88 W contre 45 W pour un Core i7-6700HQ, que l'on trouve notamment dans un Asus ROG G751).

Comme beaucoup de PC portables gamer de cette fin d'année, le Berserk MK1 15 opte pour une carte graphique Nvidia GTX 970M. Un GPU qui a donc déjà fait ses preuves dans de nombreux modèles, et qui, à nouveau, ne déçoit pas. Pour rappel, nous avons affaire à un GM204 à 1 280 unités de calcul fonctionnant à 924 MHz de base et 1 134 MHz pour les fréquences boost. Il s'accompagne de 6 Go de GDDR5. Notons la compatibilité avec G-Sync, qui est certes moins efficace sur les PC portables que sur les PC fixes, mais qui permet de sensiblement améliorer la fluidité des images affichées.Sans grande surprise, notre indice de performances graphiques est donc très bon, et à peu près équivalent à celui des PC concurrents tournant avec la même carte graphique.

En pratique, on profite ainsi de 59 images par seconde sur Battlefield 4, 66 images par seconde sur Batman : Arkham Origins, et même 88 images par seconde sur Tomb Raider, le tout en Full HD et toutes les options graphiques réglées au maximum — sauf pour Tomb Raider, où nous avons désactivé le TressFX. Sur des titres plus gourmands, comme Metro Last Light ou Assassin's Creed Black Flag, on tombe en revanche sous les 40 images par seconde.Malgré son écran de 15 pouces, le Berserk MK1 15 n'est pas vraiment ce que l'on peut appeler une machine nomade. Il reste en effet relativement encombrant et lourd (386 x 262 x 35 mm pour 3,8 kg). De plus, son autonomie très faible ne permet tout simplement pas un usage prolongé hors branchement sur le secteur. Notre test de lecture vidéo (visionnage d'une série Netflix, écran à 200 cd/m², rétroéclairage du clavier éteint, casque branché n'a en effet pas dépassé les 89 minutes.

Équipé d'une entrée jack micro et d'une sortie jack casque, le Berserk MK1 15 propose par ailleurs des haut-parleurs situés juste sous l'écran, qui délivrent un son somme toute très moyen.La distorsion à haut niveau est assez présente, tandis que basses et aigus sont presque aux abonnés absents. Comme souvent avec ce type de machine, on constate un rendu médiocre, tout juste valable pour faire passer correctement de la voix.
MSI est l'un des leaders du marché des ordinateurs portables gamer, avec un catalogue qui propose le plus de références qui s'étendent de 13" à 18,4". Et c'est justement ce dernier modèle super-large, le GT80 Titan, que nous testons ici. Si cette diagonale est relativement atypique, ce n'est rien par rapport au reste de la configuration, composée d'un vrai clavier mécanique et d'un SLI de cartes graphiques Nvidia performantes. Une machine unique qui, nous allons le voir, mérite bien le nom de Titan.
Le GT80 Titan est particulièrement imposant en raison de sa diagonale hors norme. On retrouve le même capot que celui du GT72 Dominator Pro. Le portable s'habille d'aluminium noir du plus bel effet et seule la partie inférieure est en plastique. Deux bandes lumineuses illuminent le capot et le logo est rétroéclairé. On aime ou on n'aime pas, mais cela reste relativement discret.

Un ordinateur portable doté d'un clavier mécanique — en opposition aux habituels claviers "ciseaux" — n'est pas véritablement une première. Des modèles de ce type ont existé vers la fin des années 80, mais ils avaient aujourd'hui disparu de la circulation, au grand dam des joueurs. Comme pour tous ses claviers MSI a ici fait appel à l'expertise de SteelSeries.Rétroéclairé en rouge, il intègre des switchs Cherry MX Brown qui sont des interrupteurs mécaniques dits "tactiles", dont la pression d'activation commence à 45 g en début de course pour passer à 55 g au-delà du point d'activation. La réactivité est en tout cas excellente. Par contre, on ne sent que très peu le point d'activation sur ce clavier. Le rebond est réactif et offre une frappe rapide et précise. On pourra l'utiliser avec plaisir aussi bien pour de longues séances de frappe que des jeux. En termes de nuisance sonore, pas de miracle, comme tous les claviers mécaniques, il se fait remarquer.

Du fait de son positionnement en bord de châssis, MSI fournit un boudin en mousse en guise de repose-poignet. Confortable, il permet aux mains de se placer de manière satisfaisante sur les touches.À côté du clavier on trouve un pavé tactile qui offre une double fonction de touchpad et de numpad. Son utilisation en tant que touchpad est précise et rapide. Il gère bien sûr tous les raccourcis de Windows et propose des boutons mécaniques. Il est bien entendu adapté à la bureautique, mais pas aux jeux.Pour cette dernière utilisation, MSI fournit une petite souris qui offre un meilleur confort que le touchpad, mais qui reste tout de même moins agréable ou performante qu'un modèle gamer vendu séparément. On apprécie toutefois le geste.Un gros travail a été réalisé sur le système de refroidissement, composé de deux ventilateurs et de radiateurs imposants. Ce système est performant, même sans enclencher le mode Turbo.L'air chaud extrait lors de notre stress-test ne dépasse pas 58,8°C, pour un bruit contenu sous la barre des 39 dB(A) ; un excellent résultat compte tenu de la configuration de la machine. En mode Turbo, la température descend de 2,5°C, mais les nuisances sonores montent tout de même à 53 dB(A). À n'utiliser qu'avec un casque donc.

Parmi les mesures qui fâchent, une température des couleurs trop élevée (8 013 K) qui se traduit par des couleurs qui tirent vers le bleu. C'est d'autant plus regrettable que c'est le seul point noir de cette dalle qui nous a surpris par ses autres résultats. La courbe de gamma est ainsi plus que correcte (stable à 2,1). Même le Delta E est mesuré (3,3) dans de bonnes valeurs, pour une reproduction parfaite des couleurs. Tous les portables ne peuvent pas en dire autant, loin de là, surtout chez les modèles pour joueurs.Notez que, comme avec le PX60, il faut choisir le profil sRGB dans le logiciel True Color installé sur le portable pour bénéficier du meilleur affichage.

La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-4720HQ, 16 Go de mémoire, un duo de cartes graphiques Nvidia GTX 980M, deux SSD de 128 Go accompagnés d'un disque dur mécanique de 1 To. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les GT80 Titan, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.Notre machine de test ne profite malheureusement pas d'un processeur Broadwell, mais d'un Haswell. Même si l'écart de performances entre les deux est relativement réduit (10 %), on aurait apprécié une machine dotée de la dernière génération de processeur Intel en date. Quoi qu'il en soit, ce portable comporte très bien et se place au niveau des cadors du segment, comme le GT72 et le ROG G751. Il reste logiquement derrière les modèles les plus récents, comme le Gigabyte P37X v4. Le GT80 Titan n'est jamais à court de ressources et toutes les tâches, même les plus lourdes, sont exécutées rapidement. Prenons comme exemple l'export de 100 photographies réalisé en 307 secondes ou la compression d'une vidéo de 228 Mo expédiée en 107 secondes. On apprécie également la présence des deux SSD de 128 Go montés en Raid 0 qui offrent des temps de chargement courts, ainsi que des démarrages et extinctions expéditifs.

MSI n'a pas fait les choses à moitié en intégrant pas moins de deux cartes graphiques Nvidia GeForce GTX 980M. Cette solution se veut particulièrement efficace et vient se placer en tête de nos machines pour joueurs, devançant les Nvidia GTX 980M et GTX 970M et le SLI de 970M de l'Aorus X7 Pro. Le duo de cartes s'approche même des performances d'une carte de bureau comme la Nvidia GeForce GTX 980, sans toutefois l'égaler. Cette solution pulvérise littéralement tous les scores des autres machines portables. Elle permet de jouer à tous les titres avec l'ensemble des options au maximum dans la définition native de l'écran, tout en restant à plus de 100 i/s (!) de moyenne (Battlefield 4 : 124 i/s ; BioSchock Infinite : 151 i/s ; Hitman Absolution : 98 i/s ; Metro Last Light : 100 i/s ; Tomb Raider : 200 i/s ). Seuls des titres très gourmands comme Crysis 3 ont réussi à faire baisser le framerate à une moyenne de 74 i/s.Il est également à noter que nous n'avons rencontré aucun problème de pilotes liés à la configuration en SLI. Tous les jeux testés ont parfaitement reconnu la configuration, même s'il faut bien noter qu'il s'agit de titres âgés de quelques mois déjà.

Embarquer une grosse configuration bien refroidie implique de faire des sacrifices en matière de poids et d'encombrement. Le GT80 est à ce jour l'ordinateur portable le plus lourd et le plus volumineux que nous avons testé (56 x 330 x 49 mm pour un poids proche de 5 kg). Il est tout de même livré avec un sac à dos capable de porter la bête.
Pas de miracle non plus du côté de l'autonomie, elle plafonne à 2h30 pendant notre test (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché . Sur la partie gauche : 3 ports USB 3.0, l'entrée audio, la sortie casque, la sortie optique, le lecteur de carte et le lecteur Blu-ray.

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