September 15, 2016

Batterie Asus x93sm

Aorus X5 .jpg La version GTX 980 de l'Aorus X7 sera un peu plus lourde et épaisse que celle dotée d'un SLI de GTX 970M.
Pour conclure, sachez qu'Aorus et Gigabyte devraient, à moyen terme, séparer plus nettement leurs offres en matière de PC portables. Les deux marques resteront bien entendu sous la coupe du même groupe, mais Gigabyte souhaite s'éloigner du marché du laptop gamer et davantage se tourner vers des configurations grand public/multimédia, mais également vers les professionnels. Aorus devrait donc plus que jamais représenter l'offre pour les joueurs, avec des tarifs en conséquence.
Surtout connu pour ses smartphones, le constructeur chinois Xiaomi se lance sur un nouveau marché : le PC portable. Il semble cependant ne pas vouloir faire comme tout le monde.

Xiaomi fait régulièrement les choux gras de la presse high-tech, avec notamment ses nombreux smartphones aux caractéristiques haut de gamme vendus à des tarifs quasi imbattables. La marque investit également d'autres secteurs, comme celui des TV, des bracelets connectés ou des caméras, et devrait bientôt proposer une gamme de PC portables qui auront la particularité de tourner sous Linux.Le site Tech Times rapporte en effet les déclarations officielles du constructeur taïwanais Inventec : ce dernier aurait signé un partenariat avec Xiaomi dans le but de concevoir deux nouveaux laptops. Ces deux machines seraient commercialisées début 2016 sous la marque du fabricant chinois, et pourraient être l'une en 12,5 pouces et l'autre en 13,3 pouces. Le système d'exploitation installé sur ces PC serait Linux, sans plus de détail sur la distribution. Le choix de ne pas proposer Windows en série sur ces machines semble toutefois logique de la part de Xiaomi, le fabricant ayant un très long historique avec Android, dont il n'a pas hésité à modifier lourdement l'interface d'origine. On imagine que la compagnie souhaite en faire autant sur ces ordinateurs portables en optant pour un OS custom, ce qui baisserait significativement le prix de vente.

In addition to consumer vehicles, there are two other types of electric vehicle needed: heavy-duty trucks and high passenger-density urban transport. Both are in the early stages of development at Tesla and should be ready for unveiling next year. We believe the Tesla Semi will deliver a substantial reduction in the cost of cargo transport, while increasing safety and making it really fun to operate.
Après de nombreux mois d'absence, la Watch Urbane 2 3G de LG est de retour sur le marché. La première version était en effet handicapée par un problème d'écran, mais le constructeur n'a pas abandonné son appareil et ressort sa tocante connectée avec carte SIM 5 mois plus tard. Si l'appareil est séduisant sur le papier, dans la pratique c'est un peu plus complexe.
Première montre Android Wear avec une connexion de données autonome, la Watch Urbane 2 3G était déjà l'une des mieux équipées lors de sa sortie prévue en novembre 2015 et reste encore cinq mois plus tard, la seule tocante à se détacher un peu de la masse question fiche technique — signe de la morosité du marché. On retrouve certes l'éternel SoC Snapdragon 400 présent dans la plupart des autres montres, mais l'écran de 1,38 pouce dans un cadran de 44 mm de diamètre est le mieux défini de ceux des montres actuelles avec 480 par 480 pixels pour une résolution de 348 pixels par pouce. La montre embarque 4 Go de mémoire interne et 768 Mo de RAM. Et bien sûr, elle offre une compatibilité avec l'Internet mobile, en 3G uniquement dans l'hexagone.

Le boitier en lui-même mesure 44,5 mm de côté pour 14 mm d'épaisseur. Le bracelet vendu par défaut est en caoutchouc rigide. Il est maintenu par un mécanisme propriétaire composé de quatre vis Torx. Enfin, la vitre sur l'écran est recouverte d'une protection Gorilla Glass 3 et l'accessoire est certifié IP67, c'est-à-dire qu'il peut être immergé dans l'eau pendant 30 minutes jusqu'à un mètre de profondeur.Côté connectivité et capteurs, la Watch Urbane est compatible Bluetooth 4.1 (dit basse énergie), embarque une puce A-GPS, un accéléromètre, un baromètre, un cardiofréquencemètre, un gyroscope et un capteur de proximité. Le tout est alimenté par une batterie de 570 mAh tandis qu'Android Wear 1.5 prend les commandes côté OS. À noter que la montre est l'un des rares modèles à être éligible à la préversion bêta d'Android 2.0. Il est donc possible d'utiliser l'Urbane 2 3G seule ou en conjonction avec un téléphone sous Android ou iOS.

Si la fiche technique de la Watch Urbane 3G est alléchante sur papier, une fois la montre portée au poignet on déchante assez vite. En effet, pour supporter la demande en énergie que représente une connexion à l'Internet mobile LG a embarqué une batterie conséquente dans sa montre, et qui dit batterie de grande capacité dit appareil encombrant. Avec ses 14 mm d'épaisseur, la Watch Urbane 3G est la montre Android Wear grand public avec le plus d'embonpoint. S'y ajoute une masse de 91 g qui rend l'accessoire massif et rapidement pesant sur le poignet. La montre est donc à réserver à ceux pour qui l'encombrement et le poids d'une montre ne sont pas un problème.

Mais l'autre souci majeur de la Watch Urbane 3G, c'est son bracelet d'origine. Fait de caoutchouc, il est extrêmement rigide et portera vite assez chaud en plus de coller à la peau. On a un peu l'impression de se trouver face à un bracelet de montre de plongée, raide et relativement inconfortable. La faute en partie aux imposants connecteurs qui ont en plus le défaut d'être propriétaires, limitant de fait les possibilités de changement de bracelet.Nonobstant ces défauts, le design est assez réussi et plutôt classieux. Les finitions sont soignées et le cadran est assez élégant malgré son style massif. Les 3 boutons sur le côté ajoutent à l'impression sérieuse de l'ensemble. Seul petit bémol, lorsque la montre est portée un peu serrée, le bouton central peut être pressé accidentellement lorsque l'utilisateur relève le poignet. Une étourderie de design regrettable, mais on se consolera en se disant que vu le confort de l'ensemble, personne ne risque de porter sa montre très serrée.
Côté lisibilité, la Watch Urbane n'a pas grand-chose à se reprocher : la luminosité maximale atteint 400 cd/m², suffisant pour la plupart des usages. On regrette en revanche que celle-ci ne s'adapte pas automatiquement à la luminosité ambiante. Autre micro point noir, le rendu colorimétrique est loin d'être idéal avec un Delta E à 7,4. C'est bien évidemment très loin d'être d'une importance capitale sur un écran de montre, mais les couleurs fluo pourraient agacer un peu les puristes.

Côté OS, sans surprise c'est Android Wear en version 1.5 que l'on retrouve au sein de cette montre LG. L'évolution de l'OS de Google n'est pas énorme depuis ses premières versions et l'on retrouve donc toujours ce mécanisme des 4 panneaux horizontaux (cadrans, apps, contacts et dictée vocale), couplé à la navigation au sein des notifications qui s'effectue en vertical depuis le cadran. Les gestes de contrôle sont bien reconnus, mais restent à notre goût un peu anecdotiques. Google exerçant un contrôle assez strict sur son OS pour les montres, l'interface et les usages restent très proches de ce que l'on retrouve sur les autres tocantes connectées du marché. Le seul ajout logiciel se résume au bouton du bas de la montre qui lance l'app LG Health ; un raccourci que l'on aurait bien aimé pouvoir modifier.

Mais là où réside tout l'intérêt de cette nouvelle tocante LG, c'est dans sa carte SIM et l'autonomie qu'elle apporte par rapport au téléphone. La Watch Urbane peut ainsi, en théorie, être utilisée sans aucune connexion Bluetooth au smartphone. En théorie seulement, puisque dans les faits le nombre d'applications autonomes est assez réduit et, pour ne rien arranger, celles-ci souffrent d'une lenteur d'exécution disqualifiante. Le GPS est pour sa part incroyablement capricieux et la navigation a du mal à suivre, tandis que les recherches web peuvent prendre jusqu'à 30 secondes, quand elles ne plantent pas. La dictée vocale est également lente et vous vous retrouverez à plus d'une occasion planté devant une icône de chargement pendant de longues dizaines de secondes au lancement de beaucoup d'applications. Bref, la montre manque clairement de puissance et cela se voit. Soulignons tout de même que la bascule entre la connexion Bluetooth et 3G autonome a le bon gout de ne prendre guère plus d'une dizaine de secondes ; une maigre consolation.

Comme on pouvait s'y attendre, l'écoute de musique avec le haut-parleur intégré est douloureuse tant le son grésille et se déforme. Les appels sont un peu plus intelligibles, sans être la panacée, et si l'on omet le côté futuriste type K2000, passer des coups de téléphone avec sa montre reste assez inconfortable puisque cela nécessite de toujours la porter à 10 cm du visage. Cela reste pratique pour ceux bénéficiant d'un abonnement double SIM et qui ne veulent pas emporter leur téléphone partout ; une petite niche d'utilisateurs donc.



Pour compenser la consommation inhérente à la connexion 3G, LG a embarqué une batterie de 570 mAh dans sa tocante. Si cela induit forcément un certain encombrement, cela prête en revanche à la montre une autonomie généreuse de largement deux jours, un fait rare dans l'univers des montres Android. Utilisée de façon modérée, la tocante perd environ 33 % de sa batterie en une douzaine d'heures, de quoi envisager un second jour d'utilisation sereinement. On n'est bien sûr pas au niveau d'une montre Pebble, mais la Watch Urbane 3G tient l'une des meilleures autonomies du marché Android.

Posted by: retrouve3 at 04:02 AM | No Comments | Add Comment
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