September 09, 2016

Batterie Asus g51j

La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i3-5005U, 4 Go de mémoire, une carte Nvidia GeForce GTX 950M et un HDD de 1 To. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les Asus R516LX, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.Nous retrouvons un processeur de dernière génération (Broadwell), relativement similaire à un Intel Core i3 4030U d'ancienne génération, avec une architecture dual core équipée de l'hyperthreading (4 cÅ“urs logiques). Les différences viennent de la finesse de gravure de 14 nm contre 22 nm pour la précédente génération et des fréquences maximales revues à la hausse (100 MHz). Cet Asus affiche des performances légèrement en retrait par rapport à celles de l'Acer V3, par exemple, du fait de l'absence de SSD, mais il reste plus performant qu'un portable à base d'Intel Core M 5Y10, comme dans l'Asus UX305, ou à base de processeur Atom de dernière génération.

En pratique, le R516LX-XX096H se montre à son aise avec les tâches simples (navigation Internet, bureautique, même lourde) mais trouve ses limites avec les programmes complexes et gourmands, comme le traitement vidéo ou l'export de photographies sous Lightroom (723 s lors de notre test). Si l'on apprécie l'espace de stockage généreux (1 To), on regrette l'absence de système hybride avec un cache de mémoire flash. La réactivité générale en pâtit, notamment lors des démarrages (14 s) et des extinctions (17 s).Nous retrouvons, avec surprise et satisfaction, une carte graphique aux performances correctes, la Nvidia GeForce GTX 950M, bien rare dans les ordinateurs à moins de 600 €. Pour rappel, cette dernière embarque un GPU GM107 avec 640 unités de calcul accompagné de 2 Go de GDDR5 cadencés à 1250 MHz sur un bus 128 bits. Les seules différences viennent des fréquences de base du GPU, qui sont étonnamment revues à la baisse par rapport à celles de l'ancienne génération (914 MHz contre 936 MHz).

Bien que légèrement handicapée par la présence du petit i3, cette carte s'en sort très honnêtement en jeux grâce à la faible définition native de la machine. Vous pouvez ainsi jouer à bon nombre de jeux récents avec un niveau de détails compris entre "haut" et "maximum" avec plus de 30 i/s ; de quoi satisfaire beaucoup d'amateurs de jeux. Pour ceux qui préfèrent le 7e art, cette carte a su décoder l'ensemble des fichiers vidéo que nous lui avons soumis.Le châssis de ce 15,6 pouces est relativement fin, compact (382 x 255 x 21,7 mm), léger (2 kg), et donc relativement transportable pour une machine de cette diagonale. Cependant, son autonomie n'est pas au niveau de sa transportabilité et se limite à 4h sous notre test d'autonomie (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché .

La connectique est honnête (deux ports USB 2.0, deux ports USB 3.0, un port Ethernet, un port HDMI, un lecteur de carte SD et une prise jack combo casque/micro). La connectivité sans fil est assurée par le Wi-Fi 802.11 ac et le Bluetooth 4.0.La sortie casque de cet Asus délivre une qualité satisfaisante. La puissance est plus que suffisante, tandis que la stéréophonie est respectée et le son dépourvu de bruit et de distorsion.Les haut-parleurs restituent très bien les voix, mais font l'impasse sur les basses et les aigus. Le niveau de puissance est correct, sans que l'on ait à subir un trop haut niveau de distorsion. Sans être formidable, l'écoute musicale est supportable.
Le PC portable Asus ZenBook UX303 est en effet actuellement en promotion au prix de 799,99 €, soit 200 € de moins que le prix habituellement affiché chez Rue du Commerce. Cette version semble très bien équipée, puisque l'on profite d'un processeur Intel Core i5 de 6e génération, de 8 Go de mémoire vive (DDR3L) et de 256 Go de stockage en SSD. La dalle mate de 13,3 pouces affiche quant à elle du Full HD (1 920 x 1 080 px). En tant que bon ultraportable, ce ZenBook UX303 ne pèse pas plus de 1,45 kg et ne fait pas plus de 22 mm d'épaisseur une fois refermé. On profite également de 3 ports USB 3.0, 1 sortie HDMI et 1 lecteur de carte SD.

Bref, c'est un produit équilibré, suffisamment puissant pour la majorité des usages à l'exception du jeu vidéo ou du montage vidéo avancé, et qui profite d'une excellente portabilité de par son format.
38 centimètres : c'est la longueur de cet objet hybride qu'est la Boost TV. Utilisable principalement comme barre de son, elle arbore cependant un look d'enceinte nomade, très proche de celui de la JBL Xtreme : on reconnaît le tissu qui recouvrait l'excellente enceinte waterproof du constructeur californien.

Côté design, le compromis entre enceinte nomade et barre de son est parfaitement réussi : sa forme oblongue lui permet de se positionner sans choquer au pied d'un TV, mais ses dimensions et les matériaux en font un objet très aisément déplaçable. Sur le dessus, on retrouve les commandes de l'enceinte. De gauche à droite : l'activation du Bluetooth, le mode Surround, le réglage du volume, la fonction JBL Connect, le Soundshift et, enclavé entre le + et le -, la mise sous/hors tension. Le Surround, on connait. Le JBL Connect, on en a déjà parlé. Mais le Soundshift, kézako ? C'est une fonction qui permet de basculer automatiquement entre le son du TV et celui d'un appareil nomade connecté en Bluetooth ; pratique et très cohérent, puisque la Boost TV se trouve quelque part à la croisée de ces deux mondes. Pour ce, il faut évidemment qu'un appareil soit connecté en Bluetooth, et le TV en optique ou en auxiliaire. À partir du moment où la fonction est activée (icône en bleu), le Bluetooth a la priorité ; s'il n'y a pas de son transmis, la Boost TV reste sur l'entrée précédemment sélectionnée (auxiliaire ou optique), autrement, elle bascule automatiquement sur la source en Bluetooth. Dès que le son de la source Bluetooth est coupé, la Boost revient naturellement vers le son du TV.

L'option Soundshift fonctionne très bien, mais est tributaire du smartphone ou de la tablette : certaines applications émettent en effet des informations sonores quand elles sont lancées, rusant ainsi le Boost TV qui bascule alors sur l'entrée Bluetooth, alors qu'il n'y a pas de musique. Pour pallier ce problème, il suffit de lancer de la musique et de la mettre en pause. Une télécommande au format carte de crédit est elle aussi de la partie, offrant toutes les fonctions que l'on retrouve à bord de l'enceinte, et même deux supplémentaires : la fonction Mute et l'Audio Feedback qui offre une confirmation sonore des commandes appelées. Deux entrées, en plus du Bluetooth, se trouvent à l'arrière de la Boost — une en optique et une autre analogique en mini-Jack — aux côtés de l'alimentation et d'un port USB de mise à jour du firmware. JBL nous fournit même un câble optique, et un double mini-Jack.

La Boost TV veut améliorer sensiblement le son de notre TV. Pour ce faire, elle embarque deux haut-parleurs de 50 mm et se fend de deux évents, un sur chacun de ses flancs. Avec une telle configuration, on ne peut pas s'attendre à des miracles. En effet, la Boost TV ne descend vraiment pas bien bas, et offre un son plutôt axé sur la plage fréquentielle des médiums. La courbe de réponse en fréquence ci-dessus présage d'une réponse assez homogène sur l'intégralité du spectre, mais un certain manque de précision vient brouiller les aigus et les basses, et crée un son un peu "carton". Les aigus saturent facilement et deviennent acides. Plus généralement, dès que l'orchestration est trop riche (scène de combat + musique trépidante, par exemple), les membranes abandonnent le combat et le son perd réellement en définition.

Le rendu global reste bon malgré tout, avec notamment des voix très intelligibles. La fonction Surround fonctionne bien et choisit les canaux satellites uniquement, en laissant bien le canal central (dialogues) au centre. Le son s'étend considérablement, largement au-delà des enceintes, mais le traitement n'est pas inoffensif au son. S'il est envisageable pour une expérience cinématographique plus immersive (réverbération, EQ, ...), il ne l'est pas pour vos morceaux de musique. Le son en Bluetooth (ci-dessus en bleu) est très fidèle à la performance sonore en filaire (idem en noir). De par sa faiblesse dans le bas du spectre, la Boost TV ne fera pas trembler vos murs. Toutefois, la puissance étant tout à fait acceptable et la largeur stéréophonique dépassant largement les dimensions de l'enceinte, la Boost TV n'aura pas de mal à sonoriser votre TV dans une chambre ou même dans un salon. Attention toutefois à la distorsion qui rend les aigus encore plus acides ; le moment où, à l'épée, V grave son graphème sur le mur (V pour Vendetta), fait saigner les oreilles.

La latence en sans-fil est importante, trop importante même pour envisager cette utilisation pour l'audiovisuel (300 ms). Réservez donc ce type de connexion pour de la musique uniquement, et privilégiez autant que vous pouvez l'optique ou le mini-Jack pour regarder une vidéo. Retrouvez le Top 10 des tests parus sur Les Numériques au cours des 7 derniers jours. On retient cette semaine la remarquable première place d'un SSD SanDisk entrée de gamme. Le podium est complété par le portable Honor 5X ainsi que le G-Master GB2788HS d'Iiyama, moniteur gamer. Bonne lecture !
L'Acer Aspire V Nitro a été une très bonne surprise il y a un peu plus d'un an. La machine a depuis connu quelques mises à jour, avec l'arrivée des cartes graphiques de la série 900M de Nvidia ou des processeurs Skylake d'Intel. Nous avons affaire à un ordinateur portable très polyvalent et bien fini, qui profite qui plus est d'un très bon rapport qualité/prix. Il est également décliné en versions de 15 ou 17 pouces. En fonction du modèle qui vous intéresse, Acer vous rembourse ainsi entre 100 et 150 €. Le détail des offres est disponible sur le site du constructeur.

Posted by: retrouve3 at 07:17 AM | No Comments | Add Comment
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