September 30, 2016

Batterie ASUS B50A-B2

Chaque oreillette dispose d'un microphone utilisable pour la fonction kit mains-libres ainsi que pour entendre ce qui se passe aux alentours (mode Sons Environnants). Si la directivité et la bande de fréquences capturées resserrées permettent d'être entendu assez clairement dans la plupart des cas, elles sont moins adaptées à l'utilisation du mode Sons Environnants. Il est assez difficile de localiser clairement d'où les sons proviennent et leur timbre est bien trop focalisé sur les médiums pour les identifier clairement. C'est comme-ci on percevait cet environnement avec un son téléphone. Pour ne rien arranger, notre voix est bien trop présente dans la captation et elle est un peu décalée par rapport à notre voix perçue par résonance. Autre petit détail perturbant si on utilise les deux oreillettes, seule celle utilisée en maître diffusera le son de l'appel, et non pas les deux comme on aurait pu l'attendre.

L'autonomie n'est pas le fort des Samsung Gear IconX. En effet, dès qu'ils sont sortis de leur étui de rangement/chargement, ils ne peuvent être mis en veille ; ce qui signifie donc que la batterie continue d'être utilisée même lorsque les deux intras sont posés ou rangés dans la poche. Il faut régulièrement les ranger dans l'étui après utilisation. En communication Bluetooth avec un smartphone, ils ne disposent que de 1h30 d'autonomie en moyenne. Le résultat n'est guère meilleur lorsqu'ils fonctionnent seuls (maximum de 2h). La recharge complète demande environ 2h, mieux vaut donc préparer et recharger ses écouteurs à l'avance.

Le clavier, de type chiclet, perd le rétroéclairage, mais gagne en confort de frappe. Les touches sont de bonne taille et répondent mieux aux sollicitations, notamment grâce à une course de frappe légèrement plus longue et une meilleure résistance. Le clavier perd également — et heureusement — sa capacité à s'enfoncer dans le châssis lorsque l'on appuie un peu trop fort dessus. Le touchpad est de bonne taille et interprète bien sûr tous les raccourcis propres à Windows 8.1.La gestion de la température est assez bonne, surtout comparée à celle de son aîné. Nous avons relevé un maximum de 43,6°C (contre 56,3°C) au niveau de l'extraction d'air, située sur la tranche gauche du châssis ; un endroit qui ne gênera donc pas l'utilisateur. Le bruit généré par la machine est assez faible, puisqu'il ne dépasse jamais les 40,3 dB(A).

L'écran était le gros point faible du Z510 ; on attendait donc le Z50 au tournant. À notre plus grand regret, le constructeur a une nouvelle fois intégré une dalle de très mauvaise qualité. Elle parvient même à faire pire que la précédente.De type TN Full HD (1920 x 1080) semi-mate, elle délivre une luminosité maximale de 187 cd/m² pour un taux de contraste de 300:1 ; pas de quoi utiliser confortablement cet écran dans un environnement trop lumineux. Les mesures colorimétriques sont catastrophiques. Le deltaE — écart moyen entre les couleurs affichées et les couleurs réelles — est mesuré à 12,7 ; les meilleurs écrans descendent sous 3. La température des couleurs est aussi mauvaise ; nous l'avons mesurée à 11044 K, très loin de la norme fixée à 6500 K. La courbe de gamma (moyenne à 1,7) s'effondre littéralement dans les nuances de gris à blanc, les teintes claires sont donc brûlées.

La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-4510U, 8 Go de mémoire vive, une carte graphique Nvidia GT 840M et un HDD de 1 To. Contrairement au reste du test, qui est valable pour tous les Z50, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.Cette configuration permet au Z50 d'obtenir un indice machine de 109 sous notre panel de tests. Ce résultat la place loin derrière le Z510, également équipé d'un processeur i7, mais de série MQ (le 4702). Les performances sont équivalentes à celle d'un Lenovo Flex 2 15, un modèle assez similaire.

Le Z50 offre une expérience utilisateur convaincante. Le processeur délivre un bon niveau de puissance, ce qui permet d'appréhender un grand nombre de tâches sans avoir à trop patienter. On a donc une machine polyvalente, qui perme de surfer sur Internet, de faire du traitement texte, mais aussi d'utiliser confortablement un programme tel que Lightroom.On regrette cependant l'absence d'un SSHD, qui aurait permis d'offrir une meilleure réactivité, surtout lors du démarrage et de l'extinction.Lenovo équipe son Z50 d'une carte graphique Nvidia GeForce 840M. Nous avons déjà rencontré ce modèle sur le Lenovo Flex 2 15 et il offre ici le même niveau de performance. Elle se trouve donc logiquement en dessous d'une Nvidia GeForce GTX 850M et plus performante qu'un chipset intégré Intel.

La carte peut faire tourner certains jeux à condition qu'ils soient peu gourmands. Par exemple, pour profiter de jeux relativement récents tels que Battlefield 4 ou encore Assassin's Creed IV : Black Flag, les détails graphiques devront être réglés sur moyen et la définition ramenée à 1366 x 768 px pour espérer vivre une expérience fluide. Les jeux du Windows store sont tous jouables.Le Z50 gagne 4 millimètres en largeur (384 contre 380 mm) et deux en hauteur (265 mm) mais conserve la même épaisseur (25,4 mm). Sur la balance, le nouveau modèle pèse 300 g de plus que son prédécesseur (2,5 kg). On regrette un peu que Lenovo n'ait pas essayé de réduire les dimensions et le poids de sa nouvelle machine. Elle reste cependant dans la moyenne de sa catégorie. L'autonomie reste dans la même veine que le Z510 : 4h10 (en visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché .

La connectique est toujours complète et offre un connecteur HDMI, un VGA, un Ethernet, un lecteur de carte mémoire et d'un lecteur de DVD. On regrette cependant que l'unique port USB 3.0 alors que les USB 2.0 sont passés à deux, contre un sur l'ancienne version. La connectivité sans fil est confiée au Wi-Fi b/g/n et au Bluetooth 4.0. Le Wi-Fi offre un signal stable à -47 dBm entre 5 et 10 m. Il tombe à -55 dBm à 20 m.La sortie casque de ce Z50 est convaincante. Le niveau de sortie est bon, tout comme l'image stéréo. On n'entend aucun bruit parasite et elle offre une bonne dynamique. On peut donc s'en servir pour tout type d'utilisation, de l'écoute de musique à celle d'un film en passant par de la voix.

Les haut-parleurs sont malheureusement moins bons, avec une courbe de réponse en fréquence très étroite. Seules les voix sont réellement intelligibles.
La Sony SRS-ZR5 est l’enceinte sédentaire multiroom la plus compacte de Sony. Avec de larges possibilités de connexion et de configuration, elle vise avant tout la polyvalence. Voyons si elle respecte ses promesses et si les performances sonores sont également au rendez-vous.e assez discrètement, que ce soit de chaque côté d'un téléviseur, d'un écran d'ordinateur portable ou sur un meuble. Un petit pas de vis situé à l'arrière permet de la placer contre un mur ou sur un pied, mais près d'une prise, car le câble est relativement court (environ 1,30 m). En dépit de son look très sobre, elle profite d'un réel travail d'assemblage et de finition. L'ensemble est protégé par un plastique bien rigide et épais ainsi que par trois grilles en métal. Sans batterie interne, la ZR5 n'est absolument pas faite pour être transportée. Son poids assez important (1,7 kg) en atteste également.

Pour une enceinte compacte, même sédentaire, on peut dire que la SRS-ZR5 est très bien équipée en connectique. Du côté du sans-fil, on a le droit au Wi-Fi (DLNA) et au Bluetooth (4.2, puce NFC et profils A2DP, AVRCP, SPP, codecs SBC, AAC et LDAC) en plus d'une compatibilité avec Spotify Connect et surtout Google Cast, encore rare sur ce type d'enceintes. La bonne vieille connexion filaire est loin d'être délaissée : entrée mini-jack 3,5 mm, port USB (recharge et lecture), port RJ45 et surtout, la grosse nouveauté, le port HDMI ARC. Vous pouvez donc la connecter directement à un téléviseur, par exemple, et, avec deux ZR5, celle-ci peut communiquer avec la seconde en sans-fil pour délivrer de la stéréophonie.

L'enceinte offre peu de possibilités de contrôle rapide et très peu d'indications. Elle ne propose que trois boutons tactiles sur la face avant pour contrôler le volume d'écoute et la source désirée. D'autres boutons sont présents, mais ils ne servent qu'à configurer rapidement quelques fonctions (Wi-Fi, Bluetooth, appairage stéréo, mise à jour…). On aurait par exemple apprécié quelques boutons pour naviguer entre les pistes, une petite télécommande ou encore plus d'alertes vocales et sonores (niveau max./min., guidage total de l'appairage, mise sous tension…). Notons également l'absence d'accessoires (câble mini-jack, HDMI…).

Posted by: retrouve3 at 04:18 AM | No Comments | Add Comment
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