September 27, 2016

Batterie Asus m50sa

Selon les informations du site Digitimes, MSI et Asus se partageraient en effet 50 % du marché du PC portable gamer. En 2015, MSI aurait ainsi vendu 900 000 machines, contre 1,1 million pour Asus. Au total, entre 3,8 et 4 millions de laptops "pour joueurs" auraient été vendus dans le monde en 2015. Un chiffre qui peut sembler faible comparé à d'autres types de produits informatiques, mais qui est toutefois en progression et devrait atteindre 5 millions d'unités en 2016, toujours selon Digitimes. Le reste du marché se partage entre Acer, HP, Lenovo, Razer, Gigabyte ou encore Dell. Ce dernier, via sa marque Alienware, aurait ainsi vendu 100 000 machines en 2015. Un résultat plutôt appréciable, étant donné qu'Alienware se positionne sur un créneau très haut de gamme, avec des PC dépassant la plupart du temps les 2 000 €.

Si extérieurement rien ne différencie le P35X V4 des précédentes, Gigabyte a néanmoins réalisé de nombreux ajustements sur la configuration. Le P35 de 2015, jouit ainsi des derniers processeurs Intel Broadwell quadcore, d'une carte Nvidia haut de gamme et d'une dalle mate en 2560 x 1620 px. Tout sur le papier nous amène à penser que cette machine sera particulièrement convaincante. Voyons ce qu'il en est...
Extérieurement, rien ne différencie le Gigabyte P35X V4 du P35 V2. On apprécie toujours autant sa sobre finition en aluminium noir qui plaît aux utilisateurs qui n'aiment pas l'aspect souvent extraverti des machines pour joueurs. L'assemblage est excellent, sans défaut, et l'ensemble respire la solidité et le sérieux.

Le clavier de type chiclet est composé de touches de bonne taille qui offrent un rebond rapide, mais une profondeur de frappe qui semble moins importante que celle de l'ancienne génération. Le confort est cependant toujours de mise et ce clavier est un bon compagnon, quelle que soit l'utilisation que l'on en fait.Il profite d'un rétroéclairage blanc avec un seul niveau d'intensité. Le touchpad, quant à lui, garde ses dimensions (10 x 8 cm). Il offre bien sûr tous les raccourcis propres à Windows 8. Cependant, comme sur l'ensemble des portables gamers déjà testés, son utilisation en jeu ne peut être qu'anecdotique et l'on préférera s'offrir les services d'une vraie souris pour joueurs.

Le gros point faible du P35 V2 était sa gestion de la température et, malheureusement, rien ne s'est arrangé sur cette version. Un constat logique puisque Gigabyte a fait le pari de mettre des composants encore plus puissants, donc plus chauds, sans même faire évoluer le système de refroidissement. On atteint donc une température de 66,7°C en pleine charge. Plus gênant, les températures les plus hautes ne sont pas concentrées sur une zone du châssis mais réparties sur l'ensemble des composants. La partie supérieure pâtit également de cette mauvaise gestion, avec des points chauds atteignant 50°C sur le clavier. Le tout est accompagné d'un bruit de soufflerie très rapidement présent et qui atteint les 50 dB(A).

Le delta E — écart moyen entre les couleurs idéales et celles réellement affichées, qui doit être inférieur à 3 pour être parfait — est très correct (3,7). La température des couleurs est elle aussi satisfaisante (6 371 K, pour une norme située à 6 500 K). La courbe ce gamma est quant à elle satisfaisante ; les dégradés de noir sont bien restitués, les blancs un peu moins.La configuration reçue en test comprend un processeur Intel Core i7-5700HQ, 16 Go de mémoire, une carte graphique dédiée Nvidia GeForce GTX 980M et un SSD de 256 Go accompagné d'un HDD de 1 To. Contrairement au reste du test, qui est valable pour toutes les références du Gigabyte P35X V4, seule la déclinaison ici testée est concernée par nos commentaires sur les performances.

C'est la première fois que nous testons une machine dotée de la dernière génération de processeur Intel Core i7-5700HQ. Ce processeur se différencie de son prédécesseur par sa finesse de gravure (14 nm contre 22 nm) et des fréquences de base légèrement plus élevées (2,7 GHz contre 2,5 GHz). Cependant, les fréquences turbo restent les mêmes, tout comme l'architecture basée sur quatre cÅ“urs physiques qui profitent de l'hyperthreading, ce qui lui offre quatre cÅ“urs logiques en plus de ses cÅ“urs physiques. Les performances ne s'envolent donc pas mais gagnent tout de même 10 % par rapport à la génération précédente. Avec un indice de 157, ce Gigabyte se positionne donc en haut de la hiérarchie, devant l'Aorus X7 Pro et son i7-4870HQ (150) et le MSI GT72 (14 .

En pratique, n'importe quelle tâche peut être effectuée sans avoir peur de manquer de ressources. Tous les programmes, des plus légers aux plus lourds, s'accomplissent en un minimum de temps. On prendra comme exemple l'export de 100 photographies réalisé en 270 secondes et la compression d'une vidéo de 228 Mo, expédiée en 101 secondes.On apprécie la présence du duo SSD et HDD mécanique qui permet à l'utilisateur de profiter d'une excellente réactivité générale et d'un espace de stockage confortable. La partie graphique est confiée à une carte Nvidia Geforce GTX 980M accompagnée de 8 Go de mémoire. Pour rappel, cette dernière exploite le même GPU que la GTX 980, à savoir un GM204. Cette version mobile est toutefois délestée d'un certain nombre d'unités de calcul (1 536 contre 2 04 et de texture (96 au lieu de 12 . Les fréquences ont également été revues à la baisse, puisqu'elles passent de 1 260 MHz en fréquence de base à 1 038 MHz. La fréquence boost a été relevée à 1 126 MHz ; elle est restée stable durant l'ensemble de nos tests. Il en va de même pour la fréquence mémoire qui baisse de 1 750 MHz à 1 250 MHz. La quantité de mémoire passe en revanche de 4 Go pour la GTX 980 de bureau à 8 Go (!) sur notre modèle.

Et la carte est toujours aussi performante en pratique. En Full HD, elle permet de jouer à un large panel de jeux avec toutes les options au maximum tout en restant à plus de 60 i/s en moyenne (Battlefield 4 : 72 i/s; BioSchock Infinite : 80 i/s ; Hitman Absolution : 76 i/s). Seuls des titres extrêmement gourmands comme Crysis 3 ont réussi à faire baisser le framerate à une moyenne de 35 i/s.Plus impressionnant encore, dans la définition native de la dalle (2880 x 1660 px), les titres restent parfaitement jouables avec un niveau de détails réglé sur haut. Les premiers titres cités tournent ainsi à plus de 40 i/s et les seconds oscillent entre 25 et 32 i/s. Le Gigabyte P35X V4 tient dans un châssis raisonnable (385 x 270 x 21 mm pour 2,3 kg) vu sa configuration. Bonne surprise, son autonomie atteint 4h15 pendant notre protocole de test (visionnage d'une série sur Netflix, écran à 200 cd/m², casque branché .

La connectique est complète (deux ports USB 2.0, deux ports 3.0, des sorties HDMI et VGA, une prise RJ45, une entrée micro et une sortie casque S/PDIF). Le tout est accompagné d'un lecteur/graveur de DVD en façade, une position peu courante sur les portables.Nous retrouvons bien sûr le Bluetooth et le Wi-Fi 802.11 b/g/n. Ce dernier offre un signal relativement stable à -47 dBm entre 5 et 10 mètres, et tombe à 51 dBm à 20 m. La sortie audio de notre modèle de test est d'assez bonne facture. Sa puissance de sortie est relativement importante, avec une belle image stéréo. La distorsion se fait sentir seulement à haut volume et les bruits parasites sont absents. Les haut-parleurs sont de moins bonne facture, comme le montre en partie la courbe de réponse en fréquence. Les basses sont absentes et seuls les médiums se font entendre. On peut aussi leur reprocher leur faible niveau de puissance. Ils sont donc juste bons pour écouter des voix.
Le Pavilion x2 est la réponse de HP aux nombreux hybrides de 10 pouces lancés par les concurrents, Asus T100 Chi en tête. S'il affiche un design qui lui permet de se différencier sans mal de ses opposants, sa configuration est somme toute commune. Espérons qu'il fera la différence sur des critères souvent absents des fiches techniques, comme l'autonomie réelle ou la qualité de la dalle d'affichage. Place aux tests...

Malgré un châssis tout en plastique, le HP Pavilion x2 affiche une finition honnête et sérieuse, sans défaut apparent. La matière blanche et nacrée est agréable sous les doigts et a l'avantage de ne pas retenir les traces de doigts. Le portable se prend facilement en mains grâce à des arêtes biseautées (l'arrière est plus épais que l'avant). La charnière aimantée semble solide et permet d'associer et de dissocier facilement le dock clavier de l'écran.En toute logique, cet hybride peut être utilisé de différentes manières : comme un ordinateur portable ordinaire, comme une tablette, avec l'écran seul, comme "display" (afficheur), où l'écran fait dos au clavier, et enfin en mode "tente", visible ci-dessus. Seul petit détail gênant en mode standard : l'écran a tendance à faire basculer le clavier avec lui s'il est trop orienté vers l'arrière. Pour le reste, on n'hésite pas à mettre le Pavilion x2 dans toutes les positions qu'il propose, sa charnière étant vraiment bien conçue.Le clavier de type chiclet est une excellente surprise. Les touches, certes un peu petites, sont correctement espacées et répondent très bien à la frappe, avec un rebond ferme et suffisamment profond. Le touchpad, beaucoup plus large que haut, offre une glisse très agréable et accepte les raccourcis de Windows 8. L'écran tactile est précis et ne manque pas de réactivité dans l'utilisation de l'interface Metro de Windows 8.

Posted by: retrouve3 at 05:32 AM | No Comments | Add Comment
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