October 08, 2016

Batterie ASUS N50V

En ce qui concerne l'insertion de la carte SIM dans l'emplacement situé sous le bouton d'alimentation, il n'y pas de problème particulier à signaler. La possibilité d'insérer une deuxième carte SIM est clairement un atout pour les professionnels possédant deux numéros de mobile.La mise en route se révèle simple et sans mauvaise surprise. Au niveau de l'interface, l'Alcatel Idol 4S fonctionne sous Android Marshmallow (6.0) qui s'avère à l'usage très fluide. J'ai pu lancer plusieurs applications sans que le téléphone ralentisse ou chauffe énormément. Je regrette toutefois que certaines applications préinstallées ne puissent pas être désinstallées…

Le smartphone est sobre et plutôt élégant. La prise en main s'avère très bonne. Il ne glisse pas des doigts. Dommage que le capteur photo dépasse de la coque. BENOÃŽT, informaticien
L'ouverture de la boîte de cet appareil m'a impressionné. Celle-ci contient le téléphone, ses accessoires et, plus original, un casque VR ainsi qu'une coque et un film protecteur d'écran.L'Idol 4S s'avère sobre et plutôt élégant. La prise en main est très bonne. Le smartphone ne glisse pas des doigts. Signalons la présence de 4 boutons (alimentation, volume et le Boom Key) tous en métal, ce qui procure une sensation de qualité. Je regrette toutefois que le capteur photo dépasse de la coque de l'appareil. Ce qui rompt l'harmonie et les lignes du mobile.

La sortie casque de l'Aorus X5S est de bonne qualité. Le taux de distorsion est bas (0,01 %) et la puissance de sortie est au rendez-vous (130 mV rms).L'ensemble du spectre sonore est bien restitué. Côté haut-parleurs, comme bien souvent, le bilan est très moyen, mais tout de même un peu plus convaincant qu'avec la majorité des produits concurrents (graphique ci-dessus). Le son a malheureusement tendance à vite saturer à haut volume, mais on perçoit tout de même un soupçon de basses et quelques aigus. Les médiums et les hauts-médiums dominent tout de même largement. La mémoire 3D XPoint peut être vue comme une mémoire hybride, puisque si elle est destinée au stockage des données, elle pourra prendre la forme d'unités classiques (SSD) ou au format DIMM, c'est-à-dire au format de barrettes de mémoire vive. Cette mémoire est annoncée comme ultra rapide, profitant notamment d'un temps de réponse 10 fois inférieur à celui de la NAND utilisée actuellement sur les puces de stockage — il est question de 10 µs en lecture et 20 µs en écriture.

L'été dernier, Intel mettait en lumière Optane, sa première série de produits qui utilisera de la 3D XPoint. Cette première sortie publique de la 3D XPoint a permis de constater plus de 401 000 IOPS (charge de 70 % en lecture et 30 % en écriture — 8 queues) pour le SSD Optane, contre un peu moins de 80 000 IOPS sur un SSD professionnel PCIe Intel DC P3700. Le prototype montré par Micron prend le nom de QuantX et permet d'aller encore plus loin puisqu'il a été possible d'atteindre 900 000 IOPS dans les mêmes conditions. Dans les trois cas cités jusqu'ici, il s'agissait de SSD utilisant une interface PCIe 4x. En passant à une interface PCIe 8x, Micron a été capable de pousser le nombre d'opérations par seconde à 1,9 million ! Au passage, le graphique montré par Micron fait état de quatre capacités : 200 Go, 400 Go, 800 Go et 1,6 To. Il faudra néanmoins se montrer patient pour voir arriver les premiers modèles commerciaux, Micron évoquant une sortie au cours des 12 prochains mois. Intel a pour sa part, livré de premières unités à ses partenaires à des fins de tests. Il est question de SSD de plus de 1 To d'à peine 1,5mm (format M.2 notamment) à destination des ordinateurs portables et tablettes et d'un maximum de 15 To dans un format de 2,5.

Comme pour le modèle dédié à l'iPad Pro 12,9, ce Slim Book Case promet une autonomie de 2 ans. Une endurance théorique évaluée sur la base d'une fréquence de frappe d'environ 2h par jour sur une semaine de 5 jours ouvrés. Un usage moyen, en somme. Pour un usage plus poussé, il sera sans doute question d'une autonomie de plusieurs mois. Difficile, par conséquent, de juger l'autonomie de tels produits, mais pour faire court, il ne s'agira sans doute pas d'une préoccupation... sauf si vous comptez utiliser le Slim Book dans la pénombre 90 % du temps. En effet, l'usage effréné du rétroéclairage draine la batterie de manière substantielle et peut alors entraîner un besoin de recharge chaque semaine ou 10 jours. Par ailleurs, la recharge complète de l'appareil demande moins de 90 minutes via le port micro-USB situé sur la tranche droite du clavier.
Les smartphones ne font pas encore (vraiment) le café, mais ils cannibalisent de plus en plus les fonctions d'autres appareils. Dans cet esprit, la marque Caterpillar et le constructeur Bullit avaient présenté à Barcelone en février leur dernière création, le Cat S60. En plus d'être un mobile durci comme ses prédécesseurs, l'appareil embarque une caméra à imagerie thermique. Mais au-delà de l'aspect gadget que l'on essaye 5 fois pour s'amuser, la caméra thermique du Cat S60 est-elle suffisamment précise et efficace pour remplacer un appareil dédié ? Réponse ici.

Pour jauger de la qualité du module du Cat S60, nous l'avons mis face à notre fidèle Fluke Ti25, la caméra thermique valant quelques milliers d'euros que nous utilisons pour toutes nos mesures thermiques, qu'il s'agisse de smartphones, télés, consoles, caméras ou encore ordinateurs. Nous avons fait un relevé thermique simultané d'un même objet, sur la même scène et dans les mêmes conditions, puis nous avons vérifié grâce à un thermomètre de contact laquelle des deux caméras s'approchait le plus question température. Mais avant de livrer les résultats, intéressons-nous un peu à l'imagerie thermique. Au-delà des relevés de chauffe des appareils technologiques que nous faisons régulièrement, une caméra thermique peut avoir de nombreux usages. Dans le monde du bâtiment, elle peut servir à un architecte pour repérer les problèmes d'isolement d'une paroi, par exemple. Si une jolie tache bleue vient se nicher sur un mur autrement à température ambiante, c'est qu'il y a un problème. Même chose pour les plombiers : une caméra à imagerie thermique permet de visualiser le chauffage au sol, localiser les tuyaux ou les fuites de gaz. Pour le pompier, elle permet également de voir virtuellement à travers la fumée l'architecture d'une pièce. Ses usages vont donc d'utile à une question de vie ou de mort et, comme beaucoup d'équipements technologiques, le progrès et les années l'ont rendue partiellement abordable. Certains modèles continuent de coûter des dizaines de milliers d'euros, mais les plus abordables commencent aujourd'hui aux alentours de 300 €.

Parmi ceux qui fabriquent ces modèles grand public, on trouve notamment FLIR, l'entreprise qui a fourni le capteur du S60. Lepton — tel est le nom du module — n'est pas la première percée de FLIR dans le monde de la mobilité : le constructeur commercialise déjà un accessoire pour smartphones Android et iOS, la FLIR One, qui reproduit peu ou prou les capacités du capteur intégré du Cat S60. Alors que valent ces capteurs mobiles face aux encombrantes caméras professionnelles ?
Place aux mesures
Nous avons d'abord effectué une première mesure sur un smartphone, un Galaxy S6 edge+, au niveau des boutons sensitifs pour être précis. Notre thermomètre de contact a relevé 27,8 °C. La Fluke Ti25 s'en approche, avec un relevé à 27,3 °C, tandis que la capture thermique du Cat S60 est complètement dans les choux à 23,8 °C, soit une différence de pas moins de 4 °C !

Première manche, Ti25 gagnante sur la précision, donc. Passons à la deuxième mesure, sur le trackpad d'un ordinateur portable. Nous relevons 28,3 °C au thermomètre de contact et la Fluke, elle, relève 29,3 °C, soit 1 °C de différence. Le Cat S60 reste quelque peu perdu avec un relevé à 24,9 °C. La différence n'est pas aussi flagrante que sur le smartphone, mais reste (trop) prononcée. En guise de troisième et ultime mesure, nous avons tenté de savoir à quelle température étaient les panneaux de leds de notre labo photo. Notre thermomètre de contact a relevé 29,5 °C, la Ti25, 29,9 °C et le Cat S60, 27,1 °C. La Fluke reste donc encore et toujours la maîtresse de la précision, loin du Cat S60 et de ses 2 degrés d'écart. Il n'y a donc pas photo ; le module thermique du Cat S60 est loin d'être aussi précis que celui de notre caméra pro. Mais au fond, ce n'est pas si étonnant : la qualité photo d'un mobile n'est pas comparable à celle d'un reflex, et il en va de même pour l'audio. Les mobiles font rarement aussi bien que les outils professionnels. La véritable valeur ajoutée se trouve dans la commodité d'utilisation, et là-dessus, le S60 sait briller.

Le téléphone embarque une pléthore de modes de visualisation thermique différents et profite d'une qualité d'image thermique assez fine. De plus, la possibilité de visualiser en un coup d'Å“il la photo standard et son équivalent thermique permet de repérer très facilement dans l'espace les fuites de chaleurs. Deux petits regrets tout de même : la qualité de la photo traditionnelle qui accompagne une capture thermique est exécrable et la photo brute thermique ne semble pas pouvoir être extraite et traitée avec un logiciel. Il faudra faire toute l'édition sur le téléphone puis extraire le .jpg. Bonne nouvelle tout de même, les outils proposés par le constructeur sont assez complets.

Posted by: retrouve3 at 09:13 AM | No Comments | Add Comment
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