July 20, 2016

Batterie Asus p43e

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L'ÉTUDE SANTÉ DU JOUR – Le nombre de notifications envoyées sur les smartphones a explosé en quelques années. D'après les conclusions d'une étude, la distraction causée par les sons et les vibrations de ces messages d'alerte ont pour effet de nous faire commettre trois plus d'étourderies.

Nous regardons en moyenne 150 fois par jour l'écran de notre smartphone.Nous regardons en moyenne 150 fois par jour l'écran de notre smartphone. Graeme Roy/AP/SIPA Photo:
Il y a celles qui reproduisent un tintement de verre, les premières notes d'un opéra, le cui-cui d'un oiseau, ou bien encore un vrombissement d'un paquebot. En quelques années, les messages d'alerte sur les smartphones ont envahi notre quotidien, pour le pire et le meilleur. On sait aujourd'hui que nous regardons en moyenne 150 fois par jour l'écran de notre smartphone.

Entre les messages d'alerte des sites d'informations, les messages Facebook ou encore celles de vos jeux, cela représente près d'une notifications toutes les six minutes au cours de la journée. Et les effets sur notre concentration d'être anodins. A en croire les conclusions d'une étude menée par des chercheurs de l'université d'État de Floride, la perte d'attention que causent les notifications est la même que celle d'un appel téléphonique, et cela même si vous l'ignorez !

â–º Méthodologie : un test d'attention mené auprès de 150 étudiants américains
Les trois scientifiques de l'université d'État de Floride ont demandé à 150 étudiants américains de passer un test pour évaluer leur niveau d'attention. Pour cela, les participants devaient observer une série de chiffres sur un écran d'ordinateur. Et toutes les secondes, un nouveau numéro apparaissait sur l'écran. Les cobayes devaient appuyer sur le clavier à chaque fois que le chiffre changeait, sauf lorsque c'était le nombre 3. Sans que les étudiants le sachent, les scientifiques les ont répartis en trois groupes : ceux qui ont reçu des appels, ceux qui ont reçu des texto et ceux qui n'ont pas été dérangés. Les appels et les textos étaient envoyés par les chercheurs.

â–ºCe que l'étude a montré : trois fois plus de bourdes que les autres
D'après les résultats de l'étude, le simple fait de recevoir une notification "push" sur son smartphone distrait autant que de répondre à un message texte ou un appel téléphonique. Même si la personne n'y prête pas une attention particulière. Les étudiants qui avait reçu des messages d'alerte ont fait trois plus de fautes que ceux qui n'en ont pas reçu lors du test. Les pires scores étaient ceux des participants qui avaient reçu des appels (sans même y répondre). Leur conclusion : il suffit d'entendre une sonnerie ou une vibration sur son smartphone pour perdre sa concentration.

â–º Ce que cela va changer : apprenez à vous déconnecter
En attendant la démocratisation des smartwatch, dont les effets sur l'attention ne devraient évidemment rien arranger à l'affaire, il est peut être temps de prendre de bonnes habitudes. La plupart des smartphones proposent aujourd'hui de définir la période pendant laquelle vous souhaitez recevoir des messages d'alerte sur votre téléphone. D'autant que toutes ces notifications réduisent l'autonomie de votre smartphone en utilisant la batterie. En outre, on peut imaginer les dangers que cela peut provoquer lorsqu'on est au volant. Un dernier conseil pour la route : apprenez à vous déconnecter !

Le clavier à des petites touches très espacées. On y trouve les caractères accentués et tout ce qu’on trouve sur un clavier d’ordinateur, avec bien sûr des fonctions spécifiques pour l’iPad, comme le bouton « home« , 2 touches pour sélectionner les caractères précédents ou suivants, lancer le diaporama…

Entouré en rouge, le bouton d’allumage
Au niveau de la frappe, j’ai l’impression qu’il faut taper « relativement fort », par rapport au clavier virtuel avec lequel je suis totalement habitué, mais c’est juste une question d’habitude. Ce qui me gêne le plus c’est que les touches sont trop petites pour mes gros doigts ! C’est en cela que je trouve le clavier virtuel plus pratique 😉Même si le clavier est amovible, il est difficile de voir l’iPad dans sa fonction ludique ! Placé de cette manière avec ce clavier, on pense tout de suite à un MacBook, enfin, à un ordinateur portable !Bon, c’est tout de même la bonne position pour regarder des films !Il est évident que pour utiliser ce clavier il faille être assis à une table ou un bureau. Encore une fois le côté sérieux se fait sentir.

Bien que ce soit agréable et pratique pour mes mails ou pour taper mes articles, je dois impérativement me mettre sur une table pour pouvoir le faire. Alors qu’en temps habituel, je tape mes articles assis sur un fauteuil ou la nuit dans mon lit. Ici avec le clavier il faut absolument être sur une table ou un bureau… Je trouve qu’on perd un peu le côté sympa et décontracté de la frappe sur l’écran pour le sérieux du bureau !

Un bricoleur connu sous le nom de Wermy vient de publier une vidéo sur YouTube où il présente une version revisitée de la console portable Game Boy lancée par Nintendo en 1989. La première chose visible, c’est l’intégration de deux boutons supplémentaires. En ouvrant la trappe à l’arrière, on trouve une batterie Lithium-Ion que l’on pourra recharger en Micro-USB et un circuit Raspberry Pi. À l’allumage ensuite, l’affichage monochrome a laissé la place à un affichage couleur.

Avec cette console, on pourra rejouer aux hits Game Boy, mais aussi Game Boy Advance, Nes, Super Nes ou Mega Drive. Les jeux seront stockés sur une carte MicroSD à glisser dans un convertisseur MicroSD/SD intégré dans une cartouche Game Boy et chargés grâce à l’émulateur Emulation Station. À noter qu’un port Mini-HDMI a été prévu pour afficher le contenu sur un écran d’ordinateur ou un téléviseur.

La i3, petite citadine électrique signée BMW, c’est l’assurance de se faire remarquer dans la rue, surtout dans sa livrée orange et noire. Un comble pour une voiture électrique qui émet zéro émission et zéro bruit. Cette stricte quatre places détonne par son design qui rompt avec la tradition BMW. Mais une fois à son volant, on tombe vite sous le charme de cette puce des villes qui cache bien son jeu avec un moteur électrisant. Une petite revue de détail s’impose.

« Stream Flow », c'est le terme utilisé pour le nouveau design caractérisant les BMW i3 et i8 ; le second véhicule étant radicalement opposé à la i3 puisque qu'elle fait partie du club très fermé des supercars ou voitures hyper sportives en version électrique. Comment décrire la i3 ? Ce n'est pas un cube auquel on aurait ajouté quatre roues. La i3, c'est un concept devenu réalité avec un large habitacle aéré sans montant central. Elle donne presque l'impression d'entrer dans un loft. Effet accentué par la présence de portes antagonistes s'ouvrant en grand telles deux portes-fenêtres. Nul besoin de rabattre les sièges avant pour grimper à l'arrière. Une fois à bord, un sentiment de zénitude s'empare de nous. C'est presque un deuxième chez soi où l'on prend le temps de profiter en faisant abstraction de la folie automobile qui nous entoure, surtout quand on circule à Paris !

Après cette mise en bouche enflammée, examinons plus en détail cette surprenante i3. Avec ces 3,99 m de longueur, la i3 boxe bien dans la catégorie des compactes. Elle est même petite par rapport à ses concurrentes déclarées que sont la Nissan Leaf (4,4 m), la VW eGolf (4,19 m) et la Renault ZOE (4,08 m). Son volume de coffre de 260 l (plutôt petit) atteint les 1100 l une fois la banquette passagers rabattue. À l'avant, sous le capot, un petit espace de rangement accueille un petit sac de voyage en plus du câble de recharge domestique.

BMW-i3-coffre-avant-WEB.jpg À l'avant se loge la prise de recharge domestique. Il reste un soupçon de place pour un petit sac de voyage.Installé confortablement à bord, pied sur le frein, on presse le contact situé sur un bloc faisant office de boîte de vitesses, elle-même installé derrière le volant. La i3 est une pure automatique. Comme toutes les voitures électriques, rien n'indique que le moteur est en route hormis l'écran de contrôle positionné juste derrière le volant, s'illuminant tel un sapin de Noël. D'ailleurs, ledit écran mériterait d'être surélevé car la partie supérieure du volant le masque un peu.

Fini le tableau de bord tourné vers le conducteur, place à la planche de bord totalement droite. Le petit écran faisant office d'ordinateur de voyage est partiellement caché par le volant.Les personnes qui ne sont pas adeptes de la boîte automatique risquent d'être un peu déroutées par les passages de vitesses. Et pourtant, il n'y a rien de plus simple : saisissez le bloc d'une main, faîtes le pivoter sur la position D (Drive) et retirer le frein à main électrique. La i3 se met en mouvement dans un silence total. Rien ne filtre dans l'habitacle. Le moteur électrique (capacité de 18,8 kWh) placé sur l'essieu arrière délivre une puissance de 125 kWh, soit 170 CV. Les watts répondent présents puisque BMW annonce une vitesse maximale de 150 km/h et un 0 à 100 km/h abattu en 7,2 secondes, soit autant qu'une Mini Cooper S. C'est la meilleure de sa catégorie. Nous n'avons pas eu le plaisir de vérifier cette donnée, mais nous avons pu apprécier sa vivacité à chaque démarrage dès que le feu tricolore passait au vert.

BMW-i3-boiteautoWEB.jpg Automatique, la boîte de vitesse se situe au volant. Il suffit de basculer le sélecteur sur l'action désirée.Il va de soi qu'à ce rythme la batterie ne peut tenir longtemps malgré une autonomie de 130 à 200 kilomètres annoncée par le constructeur. Dans la réalité, nous avons parcouru 121 kilomètres sur deux jours à une vitesse moyenne de 30 km/h. La consommation électrique s'est établie quant à elle à 16,9 kWh, bien loin des 12,9 kWh annoncés. Mais à aucun moment nous n'avons ressenti l'angoisse de la panne sèche. Et pour cause, notre modèle de i3 était doté d'un « prolongateur d'autonomie » qui prend la forme d'un moteur bicylindre de 34 CV (issu de la branche moto de BMW) accompagné d'un minuscule réservoir de 9 litres. Cet ensemble alourdit la voiture de 120 kg (1315 kg contre 1195 kg sans lui). Sa fonction : servir de groupe électrogène à la batterie électrique lorsque l'autonomie tend vers la panne sèche. Grâce à lui, on bénéficie d'une autonomie supplémentaire de 150 kilomètres. Cela s'avère bien utile lorsque l'on se trouve en rase campagne.

Posted by: retrouve3 at 04:57 AM | No Comments | Add Comment
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