December 23, 2016

Batterie Dell 312-0429

Sur une partie du dispositif, des milliers de lignes se tordent et croisent de façon chaotique une serpentine, sorte de colonne vertébrale de données, décrit Harry Pettit dans son article, publié sur le site du Collège Impérial. Cette visualisation représente une attaque de spams, dont le système de Bitcoin a été victime l’an dernier.
Le système ne peut effectuer que trois à sept transactions par seconde, soit un rythme faible par rapport aux autres systèmes financiers. Mais si un algorithme vient le surcharger, les transactions ralentissent et peuvent prendre 14h pour se réaliser. Ce ralentissement ouvre alors une fenêtre aux attaquants pour casser les mots de passe des portefeuilles numériques et voler des Bitcoins. Une telle attaque peut faire perdre beaucoup d’argent.
Microsoft annonce que son casque de réalité augmentée HoloLens sera commercialisé en France et dans cinq autres pays dès novembre 2016. Il se destine dans un premier temps à une utilisation professionnelle, et ne sera vendu que sur le Microsoft Store.
Microsoft annonce ce 12 octobre 2016 la sortie de son casque de réalité augmentée HoloLens dans six pays additionnels : l’Australie, l’Allemagne, la Nouvelle Zélande, le Royaume-Uni, l’Irlande... et la France ! Il n’était auparavant disponible qu’aux États-Unis et au Canada. La commercialisation vise essentiellement les entreprises et les développeurs pour le moment, même si la vente sera ouverte à tous. Les équipements seront disponibles à partir de fin novembre, et ne seront commercialisés que via la boutique en ligne de Microsoft. Le prix unitaire variera entre 3 299 euros et 5 489 euros suivant le modèle (édition "développeur" ou "commerciale").

UN CASQUE AUTONOME AUX FONCTIONNALITÉS UNIQUES
Pour rappel, HoloLens n'est pas un simple périphérique mais un casque complètement autonome, qui intègre un ordinateur à son bord. Il se différencie en cela de concurrents comme Meta, dont le casque nécessite d'être relié à un PC. Il tourne sous une version particulière de Windows 10 (baptisée Windows Holographic) et dispose ainsi de fonctionnalités beaucoup plus avancées que d'autres équipements déjà utilisés en entreprise, comme les lunettes connectées d'Epson. Microsoft a par ailleurs annoncé en juin dernier que WIndows Holographic serait ouvert à ses partenaires pour qu'ils puissent créer leurs propres casques aux capacités similaires à celles d'HoloLens.

HOLOLENS PRÊT POUR UN ENVIRONNEMENT DE PRODUCTION ?
Microsoft avait frappé fort en dévoilant HoloLens début 2015, prouvant qu'il pouvait encore surprendre et innover. L'éditeur a par la suite su conserver cette dynamique en sortant l'édition développeur du casque en mars 2016, puis en annonçant une version "entreprise" en août. Le message était fort : Microsoft considère HoloLens comme étant prêt pour un environnement de production. C'est ce que nous a d'ailleurs confirmé Ben Reeds, director of Business Strategy for Windows Experiences, lors de l'annonce de l'expansion d'HoloLens à ces six nouveaux marchés. A noter qu'HoloLens ne gérera pas la langue française à son lancement. La seule langue compatible reste l'anglais.

Difficile pour un guitariste en herbe de valider la justesse d’une note devant un tutoriel sur YouTube. Pour faciliter l’apprentissage de cet instrument, MyMusic Teacher à Sarrebourg (Moselle) a imaginé une tablature interactive. Via le micro d’un ordinateur, tablette ou smartphone, son application reconnaît les sons et attribue des points par notes réussies. « Les participants aiment se défier sur le tchat interactif », se réjouit Frank Houbre, cofondateur avec Antonin Kalk. Bien implantée dans la francophonie, la start-up (quatre personnes, 40?000?euros de chiffre d’affaires) part désormais à la conquête de la Corée du sud. Elle participe jusqu’en décembre aux phases finales du K-Startup grand challenge de Séoul. L’occasion rêvée de percer sur un marché branché e-learning, avant de lancer une tablature pour piano.
C'est un virage stratégique qu'a opéré Mappy "il y a cinq ans", selon Bruno Dachary, son actuel directeur général. Conçu pour planifier les déplacements automobiles, le spécialiste du calcul d'itinéraires a pris acte de l'explosion des nouvelles formes de mobilité. Il y a deux ans, la société a lancé un gros chantier technique : l'intégration d'un comparateur de déplacements multimodal. "Le monde a évolué et le tout-auto commence à vaciller, constate-t-il. Nos utilisateurs ont envie d'avoir le choix".

VERSION PC DÉBUT 2017
Simple à dire, plus compliqué à mettre en Å“uvre. Car désormais, quand un utilisateur entre une adresse de départ et un point d'arrivée, ce sont des dizaines de recherches qu'il faut lancer à la fois et de multiples bases de données à interroger. La soixantaine de techniciens de la société (qui compte au total 80 salariés) a travaillé dur pour créer une application fluide et efficace. C'est la version mobile qui est lancée en premier. "La version pour ordinateur sera disponible début 2017, car on veut s'assurer que l'infrastructure technique soit assez solide", indique le directeur général.

DU VÉLO, DU COVOITURAGE, DU BUS...
Mappy a d'ores et déjà signé de nombreux partenariats pour référencer de nouvelles formes de transports. Du covoiturage avec Blablacar, du bus longue distance avec Ouibus, du taxi avec G7, du VTC avec Uber, de l'autopartage avec Autolib. Les transports publics parisiens sont également de la partie, ainsi que les données de train (via Voyage SNCF) et de vélos libre-service (dans une dizaine de villes). "On cherche à nouer d'autres partenariats nationaux pour intégrer les bus longue distance (Flixbus, Isilines), de l'autopartage, des scooters en libre-service… puis des accords locaux", indique Bruno Dachary. Mais Mappy se défend d'avoir une approche centrée sur les grandes villes, comme ses nouveaux concurrents Citymapper et Moovit, et dit intégrer les données de transports publics de 3 800 villes françaises. Le comparateur traite à la fois des trajets de proximité et de longue distance.

Avec cette nouvelle fonctionnalité, Mappy, division cartographie du groupe Solocal, espère booster son audience. Le site revendiquait 12,3 millions de visiteurs uniques en juillet dernier, dont 45% sur smartphones et tablettes.
VIDÉO Alors que le maché de la réalité virtuelle grand public commence à véritablement prendre son essor, Oculus rappelle qu'il reste un pionnier en dévoilant un prototype de casque autonome, sans fil, sans tracking externe.
Deux jours après l'annonce Daydream View de Google et à l'orée de la sortie du PlayStation VR, Oculus se devait de rappeler qu'il n'est pas que celui qui a démarré la renaissance de la réalité virtuelle, mais qu'il incarne aussi son avenir. C'est ce qu'a fait Mark Zuckerberg, très tôt dans la keynote d'Oculus Connect 3, en dévoilant au grand jour un prototype de casque autonome dont les capacités se situent entre celles du Gear VR (mobile) et du Rift (PC).

UN CASQUE AUTONOME, TOUT INTÉGRÉ
Baptisé "Santa Cruz", il s'agit d'un Rift modifié qui intègre à son bord non seulement la puissance de calcul nécessaire à l'affichage du contenu (dans un module à l'arrière), mais surtout quatre caméras (sur le devant du casque) qui lui permettent d'effectuer un suivi de la position de l'utilisateur dans l'environnement sans aide extérieure, entièrement à l'aide d'algorithmes de vision par ordinateur. Pas de câbles, pas de marqueurs, pas de capteurs.

A l'heure actuelle, le seul appareil à disposer d'une capacité "room scale" mobile similaire est le casque de réalité augmentée de Microsoft, HoloLens. Si aucun produit n'est encore annoncé, le prototype est en démonstration à la conférence : de nombreux journalistes et développeurs ont pu le tester et attester de la solidité de son suivi, équivalent à celui du Rift. Pour Mark Zuckerberg, il s'agit de la prochaine étape dans la réalité virtuelle. Mais c'est surtout un rappel d'Oculus à sa communauté de développeurs que sa vision du futur ne se limite pas aux smartphones, marché sur lequel il est attaqué de plein fouet par Google, ni aux PC (où il subit la concurrence amère de Valve et sa plateforme Steam). Préférer l'une de ces plateformes à celle d'Oculus, c'est donc risquer pour eux de passer à côté du véritable marché. De façon plus positive, le message envoyé est qu'Oculus, grâce aux fonds de Facebook, a les ressources pour permettre à la réalité virtuelle d'atteindre son vrai potentiel, et qu'il y travaille d'arrache-pied. Le pionnier ne se repose pas sûr ses lauriers.

Batterie pour ordinateur portable http://www.fr-batterie-portable.com

Posted by: retrouve3 at 07:59 AM | No Comments | Add Comment
Post contains 1438 words, total size 15 kb.




What colour is a green orange?




23kb generated in CPU 0.0243, elapsed 0.1326 seconds.
35 queries taking 0.1155 seconds, 56 records returned.
Powered by Minx 1.1.6c-pink.