January 13, 2017

Batterie Dell XPS M1730

Selon le Wall Street Journal, le géant du e-commerce s'apprête à commercialiser une petite tablette, dotée d'un écran de 6 pouces. Disponible avant les fêtes de fin d'année au prix de 50 dollars, elle serait la tablette la moins chère commercialisée par Amazon, sa gamme Fire débutant actuellement à 100 dollars (pour un modèle de 6 pouces également). Mais l'entreprise a l'habitude de perdre de l'argent sur le matériel, pour mieux en gagner sur les services : c'est le modèle adopté avec succès pour ses liseuses Kindle. Cette tablette basique de 6 pouces - elle sera par exemple équipée d'un haut-parleur mono et non stéréo - pourrait servir de télécommande pour le shopping, le visionnage en streaming de contenus vidéo (en lien avec le système Fire TV) et surtout pour la smart home.

Amazon a en effet décidé de concentrer ses efforts sur les équipements de la maison connectée. D'autres objets devraient rejoindre la gamme naissante du distributeur dans ce segment, composée de l'assistant virtuel Echo et des boutons Dash permettant de commander un produit en un clic. On parle notamment d'un ordinateur pour la cuisine (nom de code : Kabinet) qui ferait office de hub domotique.
VIDÉO C'est un curieux détournement auquel s'est livré un hacker lillois. Avec pour seul équipement un ordinateur portable et un émetteur radio, celui-ci immortalise en vidéo un véritable piratage grandeur nature de la ville. En lieu et place du décompte des places de stationnement, les panneaux d'affichage urbain arborent... le message de son choix. Il en a apporté la démonstration concrète à des journalistes de la Voix du Nord. L'explication d'un tel tour de force ? L'absence de chiffrement des données radio contrôlant les caractères affichés par ce type de panneau. De quoi interroger la sécurité de nos villes et infrastructures connectées, puisque le pirate explique que les panneaux de signalisation autoroutière aussi souffrent de la même faiblesse.
Ah, si les Français faisaient ce qu'ils disent ! Bernard Pivot aurait eu davantage de public que Patrick Sabatier et les libraires seraient riches comme des banquiers d'affaires. La preuve avec une étude d'opinion menée par BVA selon laquelle lire un livre est l'activité préférée des Français... qui en achètent relativement peu et n'empruntent guère davantage. Le secret ? Lire plusieurs fois ceux qu'ils ont déjà lu ? A moins que...

Faire de l’ordinateur un jeu, aussi facile à construire que le dernier vaisseau pirate Lego. C’est le but de l’équipe qui a lancé Kano, un mini-ordinateur en kit à 99 dollars, basé sur le système d’exploitation open source Debian Linux. Il se monte comme un meuble Ikea, à l’aide du mode d’emploi. Ensuite, il ne reste plus qu’à… jouer ! Pour apprendre à coder dans les langages Smalltalk, Javascript ou Python, le plus simple est de programmer un jeu vidéo basique, comme Pong (une balle rebondit de plus en plus vite entre deux baguettes). Le système Kano Block rend le codage instinctif : le néophyte inscrit des lignes de code sur un fichier et la structure de son jeu, visible sur une autre fenêtre, évolue en parallèle. Programmer Bo et Yana pour qu’ils offrent des fleurs à la jolie fille d’à côté, leur faire jouer de la musique sur un xylophone… Les deux petits robots bleus de la start-up américaine Play-i enseignent aux enfants entre 5 et 12 ans comment coder grâce à des défis concrets. Les utilisateurs commandent la machine avec des tablettes iOS connectées en Bluetooth.

L’ancien maire de New York, Michael Bloomberg, s’est laissé tenter par Code Year. Ce programme de la Codecademy qui permet de suivre une initiation gratuite au code une heure par semaine. Les utilisateurs du site peuvent apprendre différents langages web (CSS, Javascript…) en faisant des exercices de plus en plus compliqués. A chaque leçon apprise (et validée par des exercices), vous recevez un badge ou un trophée.
4 : KODU, POUR CRÉER SON PROPRE JEU VIDÉO
Kodu ? Un environnement de programmation qui fonctionne sur Xbox 360 et qui permet aux plus de 9 ans de créer leurs propres jeux vidéo. Pas besoin de taper des lignes de codes. Kodu fonctionne grâce à un langage ludique, en image, créé spécialement pour l’occasion par Microsoft. Les utilisateurs inventent d’abord leur univers : ils positionnent les éléments de paysage (lacs, montagnes, immeubles…) dans lesquels évolueront leurs personnages. Puis ils établissent les règles qui s’appliquent à chaque élément : le personnage saute lorsque l’utilisateur appuie sur la barre espace par exemple.

1981. A 14 ans, le PDG de Free, Xavier Niel, était capable de programmer un logiciel. L’informatique ne faisait pas partie des programmes scolaires de l’époque : pour apprendre, le fondateur de l’école d’informatique 42, a utilisé la méthode Logo, un univers et un langage interactif conçu en partie par des chercheurs du MIT au début des années 70 pour initier les débutants aux mystères du web. Le principe de base, testé dans plusieurs écoles américaines : dessiner sur un écran en programmant les déplacements d’une tortue. M@teo21, jeune apprenti geek de 13 ans, a décidé en 1999 de construire un site web. Il cherche des cours gratuits sur Internet, mais ce qu’il trouve ne le satisfait pas : trop ardu, trop abstrait. Il décide alors de créer un blog, le site du Zero (actuel openclassroom) et d’y expliquer simplement à ses copains de cour de récré comment coder. Devenue une entreprise de e-learning, Openclassroom propose des cours en ligne écrits directement par les utilisateurs (et validés par les gestionnaires du site), des tutoriels, mais également des moocs (cours interactifs gratuits) complets pour apprendre, par exemple, différents langages comme le HTML 5.
Navya Arma, la navette électrique et totalement autonome de l’entreprise lyonnaise Navya, a roulé sur les routes bordelaises lors du salon mondial sur le transport intelligent, l’ITS du 5 au 9 octobre. Une première pour ce véhicule au design rond et transparent, plutôt destiné aux trajets très courts sur sites fermés, comme les hôpitaux, les usines ou les campus.

SUR ROUTE OUVERTE, MANETTE OBLIGATOIRE
En circuit fermé, la navette Navya Arma n’a pas besoin de volant, ni de pédale pour rouler. Elle s’oriente grâce à ses capteurs lidars, caméras stéréovision, GPS RTK, GNSS et ses capteurs infra-rouge. Comme nous nous sommes risqués à rouler sur route ouverte pour l’ITS, nous avons dû ajouter une manette et deux claviers d’ordinateur pour contrôler le véhicule en cas de problème, explique Henri Coron, le directeur commercial de Navya.
La convention de Vienne, qui régit le code de la route en Europe, stipule qu’un conducteur doit rester maître de son véhicule. Navya a obtenu une autorisation exceptionnelle du gouvernement pour pouvoir circuler sur les routes, mais seulement avec une manette. De même, pour des raisons de sécurité, la navette, conçue pour 15 passagers, n’est autorisée à transporter que 9 personnes.
Sur les routes, la navette a tendance à osciller de droite à gauche. C’est parce que lors du mapping, certains obstacles n’étaient pas présents, elle ne les a donc pas enregistrés, précise Henri Coron. Quand elle est sur un trajet qu’elle fait en continue, elle n’a pas ce problème puisqu’elle a appréhendé tous les obstacles. Sur route ouverte, la navette reste tout de même capable de reconnaître les obstacles statiques et dynamiques et d’adapter sa course en temps réel.

LE PROBLÈME C'EST LES AUTRES CONDUCTEURS
Malgré les deux écrans situés à l’arrière et à l’avant du véhicule, qui lui permettent de communiquer avec les autres voitures et les piétons, les conducteurs bordelais s’impatientent derrière le véhicule. Celui-ci ne roule qu’à 25 km/h. Lorsqu’Arma s’arrête trop longtemps au feu rouge, malgré un système lui permet de déterminer s’il est rouge ou vert, les automobilistes klaxonnent.
L’un des freins au développement des véhicules autonomes, ce sont les autres conducteurs, avance Henri Coron. Pour qu’ils s’habituent à un véhicule comme Navya Arma, il faudrait lui apprendre à conduire mal. La navette est pour le moment très respectueuse : elle se laisse dépasser par les autres véhicules, et respecte toujours les priorités.

LE MARCHÉ DES VATC EN PLEIN ESSOR
Navya livrera ses deux premiers modèles de navettes au mois de novembre. Les acheteurs souhaitent rester anonymes. Les premiers modèles seront destinés à rouler en ville sur de petits parcours prédéfinis, annonce Christophe Sapet, le directeur général de Navya. A terme nous voulons que Navya roule sur route ouverte. Christophe Sapet espère réaliser 5 à 10 millions de chiffre d’affaires en 2016. Notre potentiel de marché peut être estimé à plusieurs milliers de véhicules d’ici à 2025, prévoit-il.
Easymile, le concurrent français direct de Navya, confirme l’essor du marché des véhicules autonomes de transport collectif (VATC). Il vient de signer un partenariat avec l’autorité des transports californiens Contra et la société Gomentum. Ce partenariat permettra à Easymile de tester une flotte de EZ 10 (sa navette) sur un parc d’activité de San Ramon, en Californie. Début de l’expérimentation à l’été 2016.
La grande promesse de Facebook, c'est le marketing centré sur les individus, donc sur les utilisateurs et leurs préférences. Facebook balaie l'utilisation des cookies, inefficaces et peu fiables, selon Erik Johnson, en charge d'Atlas. Selon le Wall Street Journal, le réseau utilise à la place sa propre technologie liée au profil Facebook de l'utilisateur.Achat Acer batterie ordinateur portable - fr-batterie-portable.com

En reliant l'activité d'un individu sur la toile (et ses interactions avec des publicités) directement à son profil Facebook, Atlas permettrait de suivre les utilisateurs dans leurs déplacements sur le web de manière bien plus efficace que les cookies. Cela devrait aussi permettre de suivre un individu sur différents supports. Par exemple, selon Facebook cette stratégie devrait permettre de suivre les interactions sur mobile. Un annonceur utilisant Atlas pourrait désormais voir qu'un individu a acheté un produit depuis son ordinateur, mais a d'abord vu la publicité sur son smartphone. Un moyen d'intégrer les données mobiles dans le suivi publicitaire. C'est bien entendu l'atout principal d'Atlas pour les annonceurs, car il est encore difficile aujourd'hui de mesurer l'activité mobile des acheteurs.

A L'ASSAUT DE GOOGLE
Selon de nombreux experts, Atlas attaque le marché publicitaire de Google, Facebook ne s'en cache pas. Si le premier domine pour l'instant largement le marché de la publicité en ligne, les deux firmes sont déjà au coude à coude en ce qui concerne le marché des bannières publicitaires. Si celles-ci sont au coeur du modèle Facebook, Google se concentre avant tout sur les publicités liées à la recherche sur internet.
Facebook a annoncé un premier partenaire, le géant Omnicom, dont les clients Pepsi et Intel devraient être parmi les premiers à tester Atlas. Il faudra attendre de voir comment les annonceurs et les producteurs de contenu utilisent la plate-forme pour vraiment déterminer sa portée.

Posted by: retrouve3 at 08:04 AM | No Comments | Add Comment
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