October 11, 2016

batterie d'ordinateur portable Dell inspiron 1520

NES et Mega Drive ne sont pourtant pas de même génération, puisque la Mega Drive avait plutôt pour concurrente la non moins célèbre Super Nintendo. Pas question malgré tout pour Sega de relancer sa Master System, réelle alternative à la NES à l'époque, et encore moins de concevoir lui-même de nouveaux modèles, puisqu'il s'agira une fois encore de consoles produites par AtGames, partenaire de la marque au hérisson bleu. Un retour qui nous semble donc quelque peu opportuniste pour surfer sur l'annonce de la Nintendo Classic Mini.Les deux Mega Drive Genesis d'AtGames seront vendues environ 60 € et intègreront 80 jeux, parmi lesquels les incontournables Sonic, Mortal Kombat, Virtua Fighter 2, Golden Axe... La version de salon sera livrée avec 2 manettes sans fil et acceptera les cartouches Mega Drive originales, contrairement à la NES Classic Mini qui, elle, doit se contenter des jeux installés dans sa mémoire interne. La Mega Drive portable proposera enfin un emplacement pour carte SD, permettant l'ajout de titres supplémentaires, ce dont est également incapable la NES Classic Mini.

Les deux consoles sont pour le moment référencées par le revendeur britannique Funstock Retro.Reste à espérer que cette nouvelle version de la Mega Drive sera au moins à la hauteur de la NES Classic Mini, avec une connectique digne de ce nom, puisque les Mega Drive commercialisées par AtGames ces dernières années ne profitaient pas de sorties audiovidéo numériques. Cela semble toutefois assez mal engagé, dans la mesure où rien de tel n'est mis en avant. Or, la médiocre qualité d'image et de son fait partie des reproches souvent formulés envers les différentes déclinaisons de Mega Drive proposées par AtGames. Ce point sera donc à vérifier attentivement.
Alors que HP caracole en tête des ventes de PC depuis un moment (en Europe, tout du moins), la marque n'a pas réussi à s'implanter sur un créneau pourtant de plus en plus lucratif : celui du PC dédié au jeu vidéo. Tout juste a-t-on eu droit à un Omen 15 sous GTX 860M il y a plus d'un an et à un Pavilion Gaming plus récemment. Pas de quoi s'emballer, donc, surtout quand des Asus, des MSI, ou même des Acer, sortent régulièrement des machines de guerre franchement sexy. Mais ça, c'était avant l'annonce de cette nouvelle gamme de produits Omen, qui devient désormais le seul label gamer chez HP.

Pour un pilotage plus complet, il existe l'application SongPal. Cette dernière accède à la bibliothèque musicale stockée sur l'appareil ou aux playlists Spotify et permet cette fois-ci la navigation entre les pistes (lecture/pause/piste précédente/suivante), mais également de sélectionner la source, les traitements audio (ClearAudio+, DSEE HX ou égaliseur 5 bandes) et le codec Bluetooth (SBC, AAC et LDAC), de visualiser le niveau de la batterie et de régler la mise en veille automatique de l'enceinte — pratique Patrick si on ne veut pas vider la batterie par étourderie.

Toutefois, les plus observateurs d'entre vous auront remarqué que les premières captures de SongPal montrent une application connectée à une certaine HG-1... pas avec la XB2. La raison est simple : SongPal n'a tout bonnement jamais reconnu la petite dernière — alors que le portable, lui, était bien appairé à l'enceinte en Bluetooth. On a essayé de l'allumer avant, après, de désappairer, de réappairer, de mettre le logiciel de l'enceinte à jour, de faire une danse de la pluie... en vain.
La connectivité est extrêmement fluide et agréable, la XB2 se reconnectant automatiquement au dernier appareil auquel elle a été appairée. On note toutefois quelques très rares problèmes de connexion au cours desquels la musique se met à couper, suivant plutôt le rythme d'un hachoir industriel que celui d'un gentil raton laveur.

La connectique enfin, à savoir l'entrée analogique en mini-jack et le port micro-USB pour le recharge, se situe à l'arrière et est dissimulée sous un cache en caoutchouc — splashproof exige. La XB2 n'est certes pas immersible, mais n'est pas non plus une mauviette : certifiée IPX5, elle est donc protégée contre les jets d'eau de toutes directions à la lance (buse de 6,3 mm, distance 2,5 m à 3 m, débit 12,5 l/min ±5 %). Notons malgré tout l'absence d'un port USB pour la recharge d'appareils mobiles (smartphone, tablette, baladeur, etc.).En parlant de recharge, l'autonomie annoncée à 12 heures tient bien ses promesses (12 h 27 min mesurées). Sur la tranche, enfin, on découvre un discret ADD qui permet de coupler deux XB2 pour profiter d'une véritable stéréophonie, ou tout simplement d'une plus grande puissance. Les leds L/R à son chevet indiquent si l'enceinte est assignée au canal droit ou gauche — après, vous faites bien ce que vous voulez.

La XB2 est certes catégorisée enceinte portable, cependant elle pourrait quasiment être considérée comme une ultra-portable. Et au vu de ce petit gabarit, doudou dis-donc, qu'est-ce qu'elle envoie ! Il ne s'agit pas de s'arracher les tympans en l'écoutant à niveau maximal, mais plutôt de bénéficier d'un volume d'écoute moyen à fort avec un taux de distorsion relativement faible : puisque la XB2 a de la réserve, elle peut sans aucun problème sonoriser une pièce de volume moyen, surtout en Bluetooth.Comme une personne agréable à vivre, la XB2 est une enceinte agréable à écouter. Sans Extra Bass, elle se concentre plutôt sur la partie haute du spectre et offre un niveau de détails tout à fait correct. Les voix sont sur le devant de la scène, et les aigus, légèrement chimiques, ne sont toutefois jamais agressifs. Lorsque l'on se place bien dans l'axe, les haut-parleurs délivrent une performance relativement équilibrée à partir de 400 Hz. Cependant, dès que l'oreille se décentre, la réponse se resserre autour des médiums et devient plus nasale. Dommage, étant donné que les enceintes nomades — contrairement à leurs copines du monitoring — ne sont pas vraiment faites pour être religieusement écoutées depuis un sweet-spot.

Pour simplifier les choses et attraper l'amateur de basses telluriques, Sony désigne son traitement sonore par Extra Bass — mais dans les faits, c'est un peu plus subtil que ça. Certes, enclencher ledit effet rajoute une certaine dose de bas-médiums — car ne vous méprenez pas, en deçà de 150 Hz, il n'y a plus personne — mais il n'y a pas que ça : les aigus eux aussi sont liftés — attention, de petites sibilances peuvent alors pointer le bout de leur nez à fort volume —, le volume général est rehaussé — ce qui psychoacoustiquement donne toujours une sensation de son plus ample — et surtout, la scène stéréophonique est considérablement élargie — via un travail sur la phase. L'impression générale est celle d'un son avec beaucoup plus d'assise et d'ampleur, mais de manière inversement proportionnelle, moins précis. Il est amusant de basculer avec/sans l'Extra Bass en fonction des morceaux et de l'effet recherché.

Enfin, avec 200 ms, la latence Bluetooth n'est pas discrète : regarder des vidéos sans-fil avec la XB2 sera donc une solution de dernier recours, le décalage son/image étant assez perceptible pour être dérangeant.
Le sac à dos KDB 101 est le dernier de la gamme Kontrast qui compte 6 modèles en tout, dont un étui, des sacs en bandoulière et une sacoche. C'est le modèle haut de gamme, destiné aux professionnels ou à ceux qui souhaitent transporter un matériel assez conséquent. Ses dimensions extérieures sont de 31 x 24 x 47 cm et il convient aux appareils 26 x 18 x 40 cm, donc jusqu'aux reflex. Plutôt imposant, le sac à dos pèse 1,77 kg vide. Le design est relativement classique et le coloris noir passe partout. Comme c'est souvent le cas, l'intérieur est quant à lui plus flashy. Le Kontrast Pro opte ici pour un vert fluo qui ne passe pas inaperçu mais qui permet de distinguer facilement le matériel. Vert que l'on retrouve également au niveau de la fermeture de la poche supérieure ou encore des lanières sur le côté.

Le KDB 101 est composé de polyester. Le sac n'est pas spécifié étanche ni déperlant, mais semble suffisamment costaud pour résister à une petite pluie. Il n'intègre cependant pas de housse de protection dont il faudra se munir en complément pour s'assurer de protéger le matériel, surtout si vous baroudez dans des conditions difficiles. En revanche, il profite d'une base DuraBase rigide qui assure stabilité et étanchéité, pratique pour poser son sac au sol sans se soucier de l'humidité ou des petites flaques gênantes. Autre bon point, le Kontrast Pro est garanti 25 ans par le constructeur ; de quoi faire un bon bout de chemin avec ce compagnon de voyage.

Le Konstrast Pro dispose d'une capacité de stockage impressionnante. Le compartiment central est suffisamment grand pour loger aisément un appareil photo reflex professionnel et 8 petits objectifs. En revanche, l'insertion de l'appareil s'effectue via la poche du dessus. C'est plutôt judicieux, notamment pour sortir son appareil rapidement, sans se soucier du reste du matériel et tout en gardant le sac à l'épaule. Dès que vous désirez changer d'objectif, par exemple, nous vous recommandons plutôt de poser votre sac à dos au sol ou à plat, afin d'éviter que votre matériel ne tombe. Même si le compartiment est relativement profond, le risque existe. Nous apprécions d'ailleurs la robustesse des séparateurs qui empêche le matériel du dessus d'écraser celui du dessous. Ces derniers sont également déplaçables pour réorganiser le sac à l'envi.

Deux poches latérales à filets permettent de ranger une bouteille d'eau et de fixer un trépied maintenu par les sangles de part et d'autre du sac. Deux autres poches localisées à l'avant du compartiment central et sur le dessus de la poche de l'appareil photo sont prévues pour accueillir petits accessoires et effets personnels (cartes mémoires, petits carnets, smartphone, etc.).Quand le sac est rempli, son poids est assez conséquent et a tendance à tirer vers le bas. Même ajustées, nous trouvons les épaulières trop fines et pas suffisamment rembourrées. Elles ont tendance à rapidement tirer sur les épaules et peuvent s'avérer gênantes lors de longues balades. Le dos, par contre, est bien molletonné et plus agréable.

Les lanières peuvent être ajustées au porteur, retroussées ou raccourcies pour ne pas pendre dans le vide. Une fois le sac sur le dos, une lanière à clip localisée à l'avant au niveau du torse permet de resserrer le sac pour une tenue optimale. Ce Konstrast Pro intègre un compartiment spécial avec deux logements pour ranger une tablette de 10,1 et un ordinateur de 15. Des outils de travail souvent indispensables aux photographes professionnels.
Nous n'avons pas encore eu l'occasion de tester l'Asus ROG G502, mais sa configuration laisse augurer de très bonnes performances dans les jeux. On profite ainsi d'un processeur Intel Core i5-6300HQ, de 8 Go de mémoire vive et, surtout, d'une carte graphique dédiée Nvidia GeForce GTX 970M (3 Go de GDDR5) . De quoi faire tourner l'immense majorité des jeux du marché en Full HD (la définition native de la dalle), à un niveau de détails situé entre élevé et très élevé, le tout à plus de 40 images par seconde. Par ailleurs, on apprécie la présence d'un SSD de 128 Go (en plus d'un HDD de 1 To), qui assure un démarrage et un Windows 10 (préinstallé très réactifs.

Posted by: retrouve3 at 06:23 AM | No Comments | Add Comment
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