December 20, 2016

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Quoi qu’il en soit, il semble nécessaire de redéfinir les tâches qui peuvent être réalisées par des robots et celles qui doivent rester humaines. Au Japon, certaines entreprises comme Toyota ont réintroduit des hommes dans la production à côté des robots dans une démarche d’amélioration continue de la qualité.
Il faut remettre l’homme au centre des stratégies de robotisation. La démarche doit être celle d’une amélioration du travail pour les humains et non celle de leur simple remplacement par des machines dans un unique objectif de rentabilité à court terme.
Un autre problème me semble particulièrement préoccupant : celui des applications militaires et plus précisément des drones armés. Leur utilisation sur les terrains opérationnels et les conflits se généralise et l’on parle de plus en plus ouvertement de leur autonomie dans un avenir à court ou moyen terme. Dans une note du 17 novembre 2014, le sous-secrétaire à la Défense du Pentagone, Frank Kendall, a initié un projet d’étude plus large encore visant à répondre aux questions suivantes : "Quelles activités [militaires] ne peuvent être aujourd’hui effectuées par un système autonome ? Quand l’intervention humaine est-elle nécessaire ? Qu’est-ce qui limite l’utilisation des systèmes autonomes ? Comment pouvons-nous dépasser ces limitations et étendre l’utilisation des systèmes autonomes à court terme et dans les vingt prochaines années ?"

Il me semble important que l’utilisation de ces systèmes autonomes armés face l’objet d’un réel débat démocratique. La décision de tuer un humain ne doit pas être prise par un algorithme. La première loi de la robotique imaginée par Isaac Asimov dans les années 1950 semble alors déjà obsolète : "Un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, en restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger."
Même s’il n’est pas question d’intégrer à court terme les 3 lois de la robotique dans les systèmes autonomes, il me semble qu’elles peuvent nous servir de guide dans une nécessaire réflexion éthique, individuelle et collective, resituant l'homme au centre de la robotique et, plus généralement, des sciences et technologies.
ENQUÊTE Les fintech viennent grignoter des portions du (très gros) gâteau bancaire. Mais elles ont besoin des banques, de leur base client et de leur capacité à encaisser les crises économiques pour se développer. De leur côté, les dinosaures de la finance observent de près le fonctionnement de ces structures légères. Pour s'en inspirer, elles apprennent à tisser avec elles des relations fonctionnelles. Dans le monde de la finance, la symbiose semble l'emporter sur l'affrontement.
Square, Leetchi, Prêt d'Union… Extraterrestres il y a encore 5 ans, ces entreprises sont désormais plus que prises au sérieux et font partie intégrante du paysage bancaire. En 2014 la plate-forme de recensement des entreprises high-tech Venture Scanner comptait 1042 fintech dans le monde. C'est quatre fois plus qu'en 2013. Quelles raisons derrière ce boom ?

"Depuis que les accords européens de Bale III sont entrés en vigueur (en décembre 2010, ndlr), la voie est libre pour ces jeunes pousses qui ne sont pas soumises aux lourdes règlementations qui entravent les banques", explique Séverin Cabannes, directeur général adjoint de la Société Générale. Pour éviter qu'une crise économique comme celle de 2007 ne se reproduise, les autorités financières européennes et américaines ont en effet durci le ratio de solvabilité bancaire : les banques doivent détenir plus d'un tiers de fonds propres supplémentaires par rapport à 2007 pour prêter à leurs clients. Ces start-up qui combinent finance et technologies pullulent sur ce terreau.

Les acteurs traditionnels de la finance doivent donc composer avec ces nouvelles structures, comprendre si elles sont ou non une menace pour leur business. Une partie d'entre elles vendent aux banques des outils numériques qui les rendent plus agiles (un tiers environ selon Chris Skinner, spécialiste des fintech et auteur de l'ouvrage "Banque digitale : stratégies pour lancer ou devenir une banque digitale"). Ce qui sauve les acteurs en place c'est que ces start-up ont besoin de tisser avec eux des relations de confiance pour leur vendre leurs produits. Les deux autres tiers, essentiellement des spécialistes du paiement et du crowdlending (prêt contre intérêts), viennent concurrencer certains segments de l'activité bancaire. "Cette concurrence nouvelle présente un vrai risque pour les banques : celui d'une fragmentation du marché, car ces entreprises ne s'attaquent pas à l'ensemble de la chaîne de valeur, mais viennent en grignoter de petites portions", souligne Ada di Marzo, responsable du pôle services financiers de Bain & Company en France.

Les clients ne sont plus prisonniers d'une banque qui gère leurs économies de A à Z. Ils peuvent aller placer leurs bas de laine chez un acteur extérieur, comme un site de crowdfunding, faire leurs comptes via une application mobile qui leur permet de trier facilement leurs dépenses…
Ces jeunes pousses pourraient affronter sauvagement les acteurs séculaires, pour capter un maximum de clients. Mais le pragmatisme est roi : plutôt que de se lancer dans une guerre ouverte, destructrice pour l'écosystème dont ils font tous deux partie, institutions financières d'un côté et fintech de l'autre ont opéré un rapprochement stratégique, tissant des relations informelles, des partenariats ou des liens fournisseur/client.

UNE PRAGMATIQUE CONVERGENCE
Observons tout d'abord le tableau côté banques : initialement méfiantes, les entreprises intallées de la finance "ont été contraintes de prendre en compte les nouvelles règles de ce jeu qu'ils n'ont pas vu se transformer, de changer d'état d'esprit pour comprendre que leurs clients ne leur appartiennent plus totalement", souligne Nadeem Shaikh, fondateur et PDG de la société de capital-risque et de conseil Anthemis, spécialisée dans la digitalisation des services financiers. Pour mieux les comprendre, elles ont commencé à rencontrer ces entrepreneurs, à discuter avec eux de leur vision du business...
Trois fois par semaine, le patron du Crédit Mutuel Arkéa Ronan Le Moal rend visite à des créateurs d'entreprises. Certaines banques, comme la Barclays, Citygroup ou encore la BNP ont créé des incubateurs, pour observer à loisir ces structures en création.

De leur côté, les fintech se présentaient au départ comme les "start-up qui vont faire sauter la banque", pour créer le buzz. Mais elles se sont rapidement aperçu que le soutien d'un gros actionnaire financier est vital. Sa base client et sa connaissance pointue des règlementations du secteur sont des outils précieux pour ces entreprises qui n'ont pas les moyens de payer des juristes pour qu'ils épluchent les dernières lois européennes et l'énorme masse de règles encadrant leur activité.
Les dinosaures de la finance peuvent également offrir à ces start-up la solidité de leur structure face aux bourrasques économique. Ils sont des alliés essentiels pour les entreprises de crowdlending par exemple, qui ne peuvent fonctionner que si les sociétés qu'elles financent sont en bonne santé. Si crise il y a, une partie des emprunteurs aura du mal à rembourser la foule des prêteurs. Les sociétés de financement participatif ne pourront pas compenser seules ces pertes (ce n'est d'ailleurs que très rarement prévu dans le contrat). Les contributeurs qui n'ont pas récupéré leur mise risquent fort de leur tourner le dos... Sauf si leur actionnaire majoritaire est à même d'absorber le choc.

Même mouvement autour du bitcoin. Les start-up qui développent des services sur la base de de cette crypto monnaie créée en 2008 se sont initialement positionnées comme des concurrentes directes de "l'establishment bancaire". Mais leur marché est restreint : les utilisateurs du bitcoin sont rares, un million tout au plus début 2015 selon la start-up tricolore Utocat.
Certains entrepreneurs se sont aperçus que les banques étaient intéressées par le blockchain, la technologie sur laquelle repose le bitcoin. Ce registre virtuel recense toutes les transactions effectuées depuis la création de la monnaie virtuelle. A chaque fois qu'un nouvel échange a lieu, il s'inscrit sur le registre, laissant une trace numérique quasiment infalsifiable puisque le document est présent sur les ordinateurs de tous les membres de la communauté.

Le blockchain pourrait être utilisé par les banques pour faciliter les transferts d'argent à l'international par exemple. Selon un rapport daté de juin 2015 et co-signé par la banque espagnole Santander, son utilisation permettrait de réduire les coûts d'infrastructures bancaires de 20 milliards de dollars par an au total, pour peu que le secteur accepte une remise à plat de ses technologies actuelles.
Une partie des ingénieurs des fintech spécialistes de la blockchain ont donc retourné leur veste : ils ont proposé leurs services aux banques pour adapter ce système aux contraintes du monde financier traditionnel. Ces clients aux moyens quasi illimités sont bien plus intéressants pour les jeunes pousses que les quelques utilisateurs du bitcoin. Dans son programme d'accélération dédié aux fintech, la Baclays travaille par exemple sur le blockchain avec la start-up Safello.

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Posted by: retrouve3 at 01:54 AM | No Comments | Add Comment
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