January 09, 2017

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COMMENT PEUT-ON SE MUNIR D’UN PORTEFEUILLE ÉLECTRONIQUE ?
L’appropriation des Bitcoins par un public intéressé peut également se faire via un échange d’euros, de dollars ou d’autres devises contre des Bitcoins tenus par ces mineurs ou des intermédiaires sur des plateformes d’échange contre une redevance. Cet achat de Bitcoins, qui apparaissent ainsi comme une devise, a eu pour conséquence que le gouvernement allemand l’a reconnu comme étant une monnaie privée car il a sa propre valeur et son propre cours du jour.
Les sites internet dédiés, facile à repérer grâce à Google, expliquent comment peut-on se munir d’un portefeuille électronique, nécessaire pour stocker ces Bitcoins acquis. Attention, il faut surtout bien retenir son mot de passe car un mot de passe perdu signifie que vous perdez vos Bitcoins ! L’avantage de l’utilisation des Bitcoins réside dans l’anonymat de la transaction. De plus, les transactions de Bitcoins se font dans tous les coins du monde pour des frais très raisonnables et avec une vitesse qui est incomparable avec des versements d’argent traditionnel. En effet, une transaction est prise en compte par le système P2P en 10 minutes environ.

L’arrivée de ce nouvel argent privé dans l’économie est-il un succès ? Les paiements par Bitcoins sont-ils déjà beaucoup utilisés dans l’économie réelle ? Les statistiques figurant sur le site internet blockchain.info montrent environ 50 000 transactions de Bitcoins par jour, ce qui fait environ 17 million de transactions/an. Les virements de banque traditionnels en Allemagne ont atteint en 2010, selon les statistiques, un chiffre d’environ 6 milliards sur toute l’année, soit un peu plus de 17 millions/jour. Cette comparaison montre que les transactions de Bitcoins sont encore tout à fait microscopiques, en comparaison avec les virements bancaires traditionnels. En outre, le Bitcoin est apparu, notamment pendant la crise de l’euro comme une devise très volatile, constituant un frein à son utilisation dans l’économie réelle. Jusqu’en 2011, le cours était inférieur à 1 dollar pour atteindre par la suite, le 10 avril 2013, un record de 266 dollars, avant de chuter le même jour à un niveau de 105 dollars, pour finalement se stabiliser autour de 150 dollars. En juillet 2013, avant sa reconnaissance comme argent privé par le gouvernement allemand, le cours des Bitcoins avait de nouveau chuté autour de 67 dollars pour atteindre fin août, après plusieurs articles sur le Bitcoin publiés dans la presse économique, un nouveau record de plus de 148 dollars.

UN MARCHÉ NON-RÉGULARISÉ DONT LA RÉACTION DES ACTEURS EST IMPRÉVISIBLE
Une des raisons de ces excès de volatilité se trouve dans la rareté du Bitcoin. Jusqu’à aujourd’hui, il existait seulement environ 11 millions de Bitcoins. Ce marché non-régularisé a ainsi tendance à osciller et le prix sera le seul régulateur pour trouver une équilibre entre l’offre et la demande. Le Bitcoin est par ce fait une devise de refuge pour certains spécialistes. Les médias ont spéculé, pendant la crise chypriote en mars et avril, sur les comportements des investisseurs russes et chypriotes, ayant massivement investi dans les Bitcoins, mais ceci restant au stade de la pure spéculation à cause de l’anonymat des transactions.

De plus, une chute peut aujourd’hui être simplement provoquée par les grands acteurs sur ce marché qui ont accumulé d’importants portefeuilles de Bitcoins et qui souhaitent encaisser leurs gains en euros et en dollars en vendant les Bitcoins sur des plateformes virtuelles. La réaction de tels acteurs sur le marché est absolument imprévisible car aucun régulateur ne les contraint à communiquer, d’une manière ad hoc, leurs intentions au marché dédié pour le prévenir. Cette constatation est validée par une nouvelle statistique en Allemagne réalisée en mai 2013, se basant sur une enquête menée par l’Association Fédérale de Technologie de l’Information, de Télécommunication et des Medias nouvelles – BITKOM e.V.
Selon cette étude, 85 % des citoyens de la République fédérale d’Allemagne n’ont pas encore entendu parler de cette nouvelle monnaie. La même statistique révèle qu’il existe en Allemagne un potentiel de seulement 14 millions d’utilisateurs, représentant environ 20 % de l’échantillon de population analysé dans le cadre de l’enquête. Le directeur principal du BITKOM e.V, Dr. Bernhard Rohleder, résume ce résultat en soulignant que : Les Bitcoins sont, de l’aveu même de leurs créateurs, une expérience et ne peuvent être ainsi qualifiés comme un placement d’argent ou un moyen de paiement sûr pour la grande masse d’utilisateurs.

BITCOIN, UN MOYEN DE PAIEMENT ÉLECTRONIQUE IMMATURE POUR LA FRANCE
L’utilisation des Bitcoins ne présente pas une alternative prometteuse pour payer ses factures quotidiennes. La volatilité de cet argent privé le rend, à notre avis, beaucoup plus intéressant comme étant une alternative d’investissement pour stocker un trop de liquidité. La montée des Bitcoins jusqu’à 266 dollars pendant la crise de l’euro, quand la crise chypriote avait atteint son apogée, semble nous donner raison.
La chasse aux Bitcoins via son ordinateur et la spéculation prédestinent le Bitcoin comme une monnaie privée pour certains spécialistes. L’absence de règlement institutionnel se matérialise par le fait que chaque personne est lui-même responsable de la sécurisation de son portemonnaie virtuelle dans lequel sont stockés ses Bitcoins. Il n’y a aucune banque qui pourrait agir comme dernier secours dans le cas où ce portemonnaie serait pillé par des pirates informatiques, ce qui s’est déjà produit dans la courte histoire des Bitcoins.

Le Bitcoin est donc certainement une expérience intéressante qui enrichit les moyens de paiement existants aujourd’hui. Néanmoins, l’influence sur l’économie réelle restera très limitée. Le Bitcoin y est confronté à des moyens de paiement électronique beaucoup plus répandus comme les cartes bancaires NFC, les cartes bancaires classiques ou les comptes Paypal, ce qui rendra difficile pour le Bitcoin de quitter sa niche expérimentale.
En ce moment, vous lisez peut-être cet article sur votre mobile. Vos doigts interagissent naturellement avec l’écran, font défiler le texte, zooment ou cliquent sur un lien. Il se peut que vous répondiez à des messages, lisiez des notifications ou notiez un rendez-vous sans cesser votre lecture. Ces nouveaux usages font partie de notre quotidien, nous les répétons des dizaines de fois par jour. Ils sont rendus possible par une conjonction subtile de fonctionnalités et d’interfaces, à la fois matérielles, graphiques et logicielles. Cet ensemble crée une expérience utilisateur plus ou moins fluide, rapide et intuitive.

Comment crée-t-on ces interfaces, ces fonctionnalités, ces expériences ? Comment sont conçus ces parcours qui nous facilitent la vie et nous rendent accros à ces appareils ? Je souhaitais vous relater deux histoires emblématiques de l’ère numérique : la création du Palm Pilot et celle de l’Apple Watch. Ces deux exemples se déroulent à 20 ans d’intervalle mais partagent la même ambition : créer des produits qui non seulement fonctionnement parfaitement, mais que vous aurez encore envie d’utiliser l’année prochaine. Le Palm Pilot a été la première réussite commerciale d’un terminal portable grand public dans les années 90. Avec son écran tactile, son stylet et son logiciel de reconnaissance d’écriture manuscrite, il ne ressemblait à rien de connu jusqu’alors. Dans la Philosophie de la poche, Leander Kahney nous raconte comment Jeff Hawkins, le co-créateur du Palm, a simulé pendant plusieurs mois les usages virtuels de son appareil bien avant de le fabriquer. Quand on demanda à Hawkins quelle serait la taille idéale pour un tel appareil, il répondit : essayons la poche de chemise. Plutôt que de travailler en laboratoire, il eut l’idée de simuler ce que serait un appareil de ce type et ce qu’on pourrait faire avec. Pour cela il tailla un morceau de bois de la taille et de la forme de l’objet imaginé, qu’il porta dans sa poche pendant des semaines. Était-il libre à déjeuner ? Hawkins sortait son morceau de bois et cliquait dessus comme pour vérifier ses disponibilités. Il essaya également différentes configurations d’affichage de boutons et d’écrans en utilisant des feuilles de papier collées sur son bloc. Les gens prenaient Jeff pour un fou en le voyant prendre des notes, vérifier ses rendez-vous et synchroniser un petit bloc de bois avec son PC, faisant tout comme si ce bout de bois était un ordinateur qui tenait dans sa main.

Pour tester la reconnaissance d’écriture manuscrite, le fondateur écrivait sur des morceaux de papier toute la journée. Il n’écrivait pas des lettres les unes à côté des autres, mais les unes SUR les autres, afin de simuler l’usage souhaité. Ses petits blocs de papier finissaient couverts de gribouillis indéchiffrables.
La méthode a payé : lancés avec 512 K de mémoire (et oui, c’était au siècle dernier) pour 299 dollars, les Palm Pilot connurent un vrai succès commercial jusqu’au départ de l’équipe fondatrice en 1998. Au-delà de la taille, c’est bien le logiciel qui séduisit leur public, avec une grande facilité pour gérer son agenda, ses contacts, ses tâches et les synchroniser avec son PC. Le Palm Pilot a ouvert la voie pour ses successeurs les smartphones, en simplifiant et fluidifiant des usages jusqu’alors impossibles.

UN IPHONE ATTACHÉ PAR UNE BANDE VELCRO Près de 20 ans après, une méthode à peu près similaire était mise en Å“uvre pour créer un autre appareil révolutionnaire : l’Apple Watch (lire l'article complet ici). L’enjeu n’est pas anodin pour la firme qui a inventé l’iPod, l’iPhone et l’iPad : qu’est-ce que ce nouvel appareil pourrait apporter à la vie des gens ? Quelles nouvelles choses pourrait-on faire avec un appareil que l’on porterait au poignet ? L’équipe de designers formée autour de Jonathan Ive trouva la raison d’être de la Watch : votre iPhone est en train de ruiner votre vie, nous devons inventer un moyen de vous en délivrer.Achat Asus batterie ordinateur portable - fr-batterie-portable.com

20 ans après le Palm Pilot, nous sommes soumis à la tyrannie de la distraction, qui nous fait consulter sans relâche l’écran de notre smartphone à chaque bip, vibration, pop-up ou pastille de notifications. Que se passerait-il si nous disposions d’un appareil que nous ne pourrions pas – ou ne voudrions pas – utiliser pendant plusieurs heures ? Que se passerait-il si cet appareil pouvait filtrer toutes les bêtises que l’on reçoit et nous transmettre uniquement les informations les plus importantes ? Cet appareil pourrait à nouveau changer nos vies. Après avoir créé en grande partie notre problème avec l’iPhone, Apple eu donc la noble l’ambition de nous en libérer avec la Watch.
L’ironie est que, pour inventer un appareil destiné à nous libérer de notre smartphone, l’équipe a conçu un prototype utilisant un... iPhone attaché au poignet avec un velcro. Le software étant plus rapide à modifier que le hardware, l’équipe avait besoin de trouver un moyen simple de tester les usages au poignet. Ce simulateur (on retrouve le concept de Hawkins décrit plus haut) affiche en taille réelle les interfaces de la montre sur son écran. Un remontoir numérique a également été créé, que l’on pouvait faire tourner sur l’écran. Mais il rendait mal la sensation physique. Ils utilisèrent alors un vrai remontoir de montre, fiché dans le dock connector, la prise située sous le smartphone.

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January 07, 2017

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Der Hersteller wurde von einem chinesischen Konglomerat aufgekauft, das laut einem Bericht in China eine Fabrik errichten will, in der bis zu 50.000 Autos jährlich auf Basis des Fisker Karma und des Fisker Atlantic gebaut werden sollen.Mit Samsungs Gear IconX sollen sportlich aktive Nutzer nicht nur Musik hören, sondern auch ihre Aktivitäten aufzeichnen - dank eingebautem Pulsmesser und Fitnesstracker. Das funktioniert gut, die kurze Akkulaufzeit der kabellosen Ohrstecker verhindert aber einen ernsthaften Einsatz. Kabellose Ohrstecker mit Fitnesstracking: Seit der Veröffentlichung von Bragis The Dash versuchen weitere Hersteller, entsprechende Produkte auf den Markt zu bringen. Die Version von Samsung heißt Gear IconX.

Wie The Dash bestehen die IconX-Kopfhörer aus zwei einzelnen Steckern, die weder untereinander noch mit dem angeschlossenen Smartphone per Kabel verbunden sind. Diese vollständige Kabelfreiheit ermöglicht in jeder Situation ungestörte Bewegungen, was besonders beim Sport praktisch ist. Allerdings hat sie auch einen Nachteil, der uns während unseres Tests schnell aufgefallen ist: eine kurze Akkulaufzeit.Die Einrichtung der Gear IconX ist denkbar einfach: Nachdem wir die Stecker zunächst in ihrer Ladebox aufgeladen und die Samsung-Gear-App aus dem Play Store heruntergeladen haben, müssen wir die Stecker nur noch in unsere Ohren stecken. Sie schalten sich automatisch an und lassen sich problemlos mit unserem Oneplus Three koppeln. Kompatibel sind die Stecker mit Smartphones, die über die Android-Version 4.4 und höher sowie mindestens 1,5 GByte RAM verfügen. Mit iOS-Geräten funktionieren die Kopfhörer nicht.

Einmal gekoppelt, müssen die Gear IconX bei Benutzung nur ins Ohr gesteckt werden. Nach Gebrauch legen wir die Kopfhörer einfach wieder in ihre Ladebox zurück. Diese hat einen eingebauten Akku, der die Stecker wieder auflädt. Den Ladestand der einzelnen Stecker können wir über zwei LEDs an der Vorderseite der Ladebox ablesen, den der Box selbst auf der Rückseite. Hier befindet sich auch der Ladestecker für die Box.In der Bedienung sind die Gear IconX einfach und intuitiv: Gesteuert werden die Stecker über Touchpads an den Rückseiten der Stecker. Ein einfacher Tap auf das Pad stoppt und startet die Wiedergabe des aktuellen Musiktitels. Ein Doppel-Tap wechselt zum nächsten Titel und beantwortet und beendet einen Anruf. Ein dreifacher Tap gibt den vorigen Titel wieder. Auf- und Abstreichen auf dem Touchpad reguliert die Lautstärke. Die Steuerung ist trotz Auswahl eines Hauptsteckers über die Touchpads beider Stöpsel möglich.

Bei der Einrichtung und in den Einstellungen über die Gear-App können Nutzer auswählen, ob sie das Touchpad des rechten oder linken Steckers verwenden wollen. Sofern dieser Hauptstecker im Ohr gelassen wird, bleibt Gear IconX mit dem Smartphone verbunden und kann als Bluetooth-Headset genutzt werden. Wählen wir den rechten Stöpsel als Hauptstecker und nehmen ihn heraus, schalten sich die Kopfhörer hingegen nach knapp einer Minute ab.Trotz ihrer Fitnesstracking-Fähigkeiten sind die Gear IconX für uns in erster Linie Kopfhörer - entsprechend muss der Klang stimmen, besonders bei einem Preis von 200 Euro. Musik geben die beiden Ohrstöpsel gut in den Frequenzen getrennt wieder, die Bässe sind sehr unauffällig. Wir haben mit einem Equalizer etwas die unteren Frequenzen angehoben und auch die Höhen leicht verstärkt - in der Grundeinstellung sind uns die Kopfhörer etwas zu dünn in den Bassfrequenzen.

Es gibt natürlich geschmackliche Unterschiede bei unterschiedlichen Nutzern: Wer nur leichte Bässe bei Kopfhörern mag, wird bei den IconX nicht an den tiefen Frequenzen schrauben müssen. Insgesamt halten wir die Tonqualität für gut, die Frequenzen sind gut auseinanderzuhalten; der Klang ist nicht matschig, was auch an den dezenten Bässen liegt.Nutzer können nicht nur Musik vom Smartphone auf den Gear IconX hören, sondern auch direkt Musikdateien auf den Kopfhörern selber speichern. Dafür steht ein 4 GByte großer interner Speicher zur Verfügung. Besitzer eines Samsung-Galaxy-Smartphones können Musikdateien entweder vom Smartphone oder mit einer speziellen Software von einem PC übertragen; wer kein Galaxy hat, kann nur die Verbindung über den PC wählen.

Gedacht sind Samsungs Kopfhörer aber nicht nur als reine Musikwiedergabegeräte, sondern als Fitnessohrstecker. Daher hat Samsung den Stöpseln insgesamt drei unterschiedlich große Gummiaufsätze für den Gehörgang sowie drei Halteflügel beigelegt. Damit lassen sich die Gear IconX so konfigurieren, dass sie in die meisten Ohren passen dürften.Bauartbedingt haben wir beim Test Veränderungen beim Klang beobachtet, wenn wir unser Gesicht - und damit auch unsere Ohren - stärker bewegten. Dieses Problem haben betroffene Nutzer aber nicht nur mit den Gear IconX, sondern mit allen Kopfhörern, die verhältnismäßig tief im Gehörgang sitzen.

Die beiden Stöpsel haben einen Pulsmesser eingebaut, der während der Trainingseinheiten die Herzfrequenz misst und aufzeichnet. Ein Workout kann entweder über Samsungs Fitness-App S Health oder direkt über die Gear IconX gestartet werden. Dazu hält der Nutzer den Finger auf dem Touchpad; anschließend kommt eine Ansage, ob ein Workout gestartet werden soll. Wird der Finger jetzt von Touchpad genommen, startet die Aufzeichnung. Dafür ist keine Verbindung mit dem Smartphone nötig - der aufgezeichnete Verlauf kann auch später über S Health synchronisiert werden.Die automatische Aufzeichnung unterscheidet zwischen verschiedenen Sportarten, wie etwa Gehen, Laufen und Radfahren. Über S Health stehen noch zahlreiche weitere Sportarten zur Verfügung, die aber mitunter gar nicht die Gear IconX verwenden. Starten wir etwa ein Kraftsport-Workout oder geben wir an, dass wir einen Ellipsentrainer verwenden, wird lediglich die Zeit mit einem errechneten Kalorienverbrauch aufgezeichnet und kein Puls. Das geht auch nur mit einem Smartphone ohne die Ohrstöpsel.

Die Gear IconX sitzen während sportlicher Aktivitäten fest und stören uns überhaupt nicht - fehlendes Kabel sei Dank. Zwischendrin bekommen wir immer wieder Ansagen zu unserem sportlichen Fortschritt. Wer in einer Umgebung Sport macht, in der es wichtig ist, die Umgebungsgeräusche zu hören, kann einen entsprechenden Modus aktivieren.An sich schirmen die Gear IconX nämlich Geräusche sehr gut ab, was etwa beim Joggen auf der Straße zum Sicherheitsrisiko werden kann. Halten wir den Finger lange auf dem Touchpad, kommt zunächst die Frage, ob wir ein Workout starten oder beenden möchten; lassen wir den Finger auf dem Touchpad, kommt als Nächstes die Frage, ob wir die Umgebungsgeräusche aktivieren wollen. Lassen wir das Pad dann los, werden alle Geräusche über das Mikrofon der Kopfhörer aufgenommen und direkt wiedergegeben.

Dadurch bekommen Nutzer auch während des Musikhörens recht gut mit, was um sie herum passiert. Aufpassen sollte man hier bei sehr lauten Geräuschen, da es dann zu Übersteuerungen kommen kann, die nicht besonders angenehm für das Trommelfell sind.Als Trainingsunterstützung finden wie Samsungs Ohrstöpsel sehr praktisch. Ein Standard-Workout lässt sich schnell starten, die Stöpsel sitzen bequem im Ohr und stören dank fehlenden Kabels überhaupt nicht. Die aufgezeichneten Daten wirken auf uns kongruent und geben eine Reihe interessanter Informationen über die eigenen sportlichen Aktivitäten wieder. Die Bedienung per Touch und Sprachansagen ist mit kurzen Wartezeiten verbunden, dafür aber selbsterklärend und unkompliziert.

Leider haben die Gear IconX aber auch eine Kehrseite, die die Kopfhörer gemessen an ihrem Einsatzzweck - dem Tracken von Sport - mitunter einschränken: die Akkulaufzeit. Wir kommen sowohl beim reinen Musikhören als auch beim Musikhören mit gleichzeitiger Fitnessaufzeichnung auf eine Laufzeit von 75 bis 90 Minuten. Mehr als 1,5 Stunden ist mit den Kopfhörern schlicht nicht drin.Das schränkt die Nutzung unserer Meinung nach stark ein: Wer die Stöpsel hauptsächlich als reine Kopfhörer verwenden will, kann mit einer Laufzeit von maximal 1,5 Stunden absolut nichts anfangen. Wer die Gear IconX als Tracker verwenden will, muss seine Aktivität gut planen: Für eine kurze Jogging-Session reicht die Laufzeit. Wer allerdings etwa eine Radtour, eine längere Laufsession oder ein Workout im Fitnessstudio machen will, dürfte Probleme bekommen.Asus Laptop Akku, Asus Akku, Angebot von akku-fabrik.com - Akku online kaufen

Wir sind nach der Arbeit 30 Minuten zum Studio gefahren und haben anschließend trainiert. Nach 45 Minuten Training, noch bevor wir fertig waren, haben die Akkus schlappgemacht. Um sie in der Ladebox wieder vollständig aufzuladen, braucht es ungefähr eine Stunde; gut, dass wir noch kabelgebundene Kopfhörer als Ersatz dabeihatten.Natürlich ist Samsung aufgrund der kleinen Bauform bei der Auswahl der Akkugröße eingeschränkt. Mehr als zwei Stunden Laufzeit sollten bei explizit für die Aufzeichnung von Sport gedachten Kopfhörern aber drin sein, finden wir. Die Ladebox hat einen Akku mit einer Nennladung von 315 mAh, was für zwei Aufladungen beider Stöpsel ausreicht. Danach muss auch die Box wieder ans Ladekabel; ihr Akku und die Ohrstöpsel können gleichzeitig geladen werden.

Die von den Gear-IconX-Stöpseln aufgezeichneten Daten können über die S-Health-App mit einigen anderen Fitnessdiensten geteilt werden: Über das Einstellungsmenü der Anwendung kann der Nutzer die gewünschten Services auswählen. Aktuell stehen hier Fitbit, Jawbone, Microsoft, Misfit, Runkeeper und Strava zur Verfügung. Runtastic oder Google fehlen in der Auflistung.Welche Daten geteilt werden, ist je nach Anbieter unterschiedlich: Jawbone, Microsoft, Misfit und Runkeeper erhalten sowohl Aufzeichnungen über das Schlafverhalten als auch das Training. Fitbit bekommt nur Schlafdaten, Strava nur Trainingsdaten. Anhand dieser Auswahl ist erkennbar, dass nicht explizit die Daten des Gear IconX geteilt werden, sondern generell die von S Health: Schlafdaten zeichnen die Ohrstöpsel nicht auf, was auch keinen Sinn ergeben würde. Trägt der Nutzer die Stöpsel nicht, zeichnet S Health weiter die über das Smartphone gemessenen Schritte auf - und teilt sie dann mit dem verknüpften Service.

Eine explizite Möglichkeit, die Gear-IconX-Kopfhörer als externen Tracker in eine Drittanbieter-App einzubinden, haben wir nicht gefunden. Die Runtastic-App unter Android beispielsweise erkennt das Gerät zwar, kann es aber nicht als Quelle für Pulsfrequenzdaten nutzen.Die Gear IconX kosten bei Samsung 230 Euro und sind in den Farben Weiß, Schwarz und Blau erhältlich.Die Gear IconX messen zuverlässig Schritte und die Pulsfrequenz beim Trainieren, zudem klingen sie beim Abspielen von Musik gut. Dank der verschiedenen Aufsätze lassen sich die Ohrstöpsel gut an verschiedene Ohrformen anpassen.Die Bedienung über die an den Seiten der beiden einzelnen Stecker angebrachten Touchpads ist unkompliziert und eingängig. Aufgrund der Sprachausgabe müssen wir zwar immer ein wenig warten, bis wir einen Menüpunkt auswählen können, das hat uns in der Praxis aber wenig gestört.

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YI Technology bietet den Gopro-Konkurrenten YI 4K offiziell in Deutschland an: Für 270 Euro gibt es eine Actionkamera mit 4K-Videomodus, 2,19-Zoll-Touchdisplay und Sony-Bildsensor - günstiger als vergleichbare Gopro-Modelle.
Die verhältnismäßig günstige Actionkamera YI 4K ist offiziell in Deutschland erhältlich. Über Amazon.de kann das Gerät für 270 Euro bestellt werden. Bisher ließ sich die Gopro-Alternative des chinesischen Unternehmens YI Technology nur inoffiziell über verschiedene Importhändler beziehen. Die YI 4K ermöglich 4K-Videoaufnahmen mit 30 Bildern pro Sekunde. Als Sensor kommt Sonys IMX377 mit 12 Megapixel zum Einsatz, als Prozessor ist ein A9SE75 von Ambarella verbaut - dieses Chipset arbeitet auch in der Gopro Hero 4 Black Edition. Das Objektiv hat 7 Glaselemente und einen elektronischen Bildstabilisator. Ein wasserdichtes Gehäuse muss separat gekauft werden. Der Aufnahmewinkel der YI 4K beträgt 155 Grad, die Anfangsblendenöffnung ist f/2.8. Auf der Rückseite der Kamera ist ein Touchscreen eingebaut, über den die Funktionen gesteuert und ein Vorschaubild angezeigt werden. Das Display ist 2,19 Zoll groß und löst mit 640 x 360 Pixeln auf - das ergibt eine Pixeldichte von 330 ppi.

Als Aufnahmemodi stehen neben dem Video- und Fotomodus auch ein Zeitraffermodus sowie eine Burst-Foto-Funktion mit bis zu 30 Fotos pro Sekunde zur Verfügung. Eine Zeitlupenfunktion ermöglicht um ein Achtel, ein Viertel und um die Hälfte verlangsamte Videoaufnahmen.Die YI 4K ist mit WLAN ausgestattet und speichert Daten auf einer Micro-SD-Karte. Über WLAN können Einstellungen geändert und die Aufnahmefunktion gestartet werden. Auch lässt sich über die Drahtlosverbindung Bildmaterial teilen. Der Akku der Kamera hat eine Nennladung von 1.400 mAh. Damit sollen Nutzer zwei Stunden lang Videoaufnahmen in 4K-Qualität mit einer Bildrate von 30 fps machen können.

Vom Preis her liegt die YI 4K deutlich unter dem vergleichbaren Kameramodell von Gopro: Wer dort mit 4K Videos aufnehmen will, muss 530 Euro für die Hero 4 Black Edition investieren. YI Technologies wurde 2013 gegründet und ist mit Xiaomi in Verbindung gebracht worden. Nach Angaben des Herstellers arbeitet das Unternehmen allerdings unabhängig von Xiaomi, in China wird lediglich beim Verkauf kooperiert. Das Elektroauto Tesla Model S gibt es mit verschiedenen Akkukapazitäten zu kaufen. Nun scheint das Unternehmen auch eine 100-kWh-Version zu planen. Eine europäische Zulassungsbehörde hat das Fahrzeug in ihrer Datenbank gelistet.
Das Tesla Model S und das Model X sollen mit einem neuen Akku eine Reichweite von 610 km erzielen. Seit Tesla seinen 85-kWh-Akku nicht mehr anbietet, gibt es Gerüchte über Modelle mit höheren Kapazitäten.

Ein Model S P100D wurde im März 2016 von einem Hacker in einem Firmware-Update für das Fahrzeug entdeckt, doch bisher wurde das Auto nicht angekündigt. Nun tauchte ein entsprechender Eintrag in der Datenbank der niederländischen Zulassungsbehörde auf, die Tesla für seine Fahrzeuge in Europa nutzt. Demnach will der Elektroautohersteller den 100-kWh-Akku nicht nur im Model S, sondern auch im Stadtgeländewagen Model X einbauen. Das niederländische Blog Kenteken hat den Eintrag in der Datenbank des RDW entdeckt. Demnach soll das Model S im New European Driving Cycle (NEFZ) eine Reichweite von rund 610 km aufweisen. Aus diesem Fahrzyklus resultieren aber regelmäßig höhere Reichweiteneinschätzungen als aus dem EPA-Fahrzyklus. Wann Tesla das Update auf den Markt bringen will, ist nicht bekannt.Das Basismodell des Tesla S mit 70-kWh-Akku und Hinterradantrieb kostet 82.700 Euro. Das Model S 70D soll nach NEFZ-Fahrzyklus eine Reichweite von 470 km haben. Es beschleunigt in 5,4 Sekunden von 0 auf 100 km/h. Die Höchstgeschwindigkeit wird mit 225 km/h angegeben.

Für das Model S 90D werden 102.100 Euro verlangt, das Topmodell P90D ist ab 124.300 Euro zu bekommen. Die 90D-Variante mit einer Reichweite von 557 Kilometern soll in 4,4 Sekunden auf 100 km/h kommen und wird bei 250 km/h abgeregelt. Der P90D ist in 3,3 Sekunden auf Tempo 100 und weist eine Reichweite von bis zu 509 km auf. Mit dem Duraforce Pro versucht Kyocera, ein robustes Smartphone mit einer weitwinkligen Actionkamera zu verbinden: Das Smartphone ist gegen Stöße und Wasser geschützt und kann Videos mit einem Winkel von 135 Grad aufnehmen.
Kyocera hat das Duraforce Pro vorgestellt, ein robust gebautes Smartphone mit weitwinkliger Kamera. Dadurch soll sich das Gerät auch als Actionkamera verwenden lassen. Insgesamt gibt es zwei Objektive auf der Rückseite - einmal das der Action- und einmal das der normalen Kamera. Der Aufnahmewinkel der Actionkamera ist mit 135 Grad deutlich höher als bei den meisten Smartphones auf dem Markt. Aufnahmen sind in maximal Full HD möglich. Praktisch bei Videoshootings dürfte das 5-Zoll-Display des Smartphones mit einer Auflösung von 1.920 x 1.080 Pixeln sein: Die meisten Actionkameras haben nur einen kleinen Bildschirm, wenn überhaupt.

Die Kamera für Fotoaufnahmen hat 13 Megapixel, die Frontkamera kommt auf 5 Megapixel. Technisch gesehen ist das Duraforce Pro ein Smartphone der Mittelklasse: Als Prozessor kommt ein nicht näher genanntes Snapdragon-Modell von Qualcomm zum Einsatz, dessen acht Kerne sich die Arbeit aufteilen: Vier Kerne erreichen eine Taktrate von 1,5 GHz, die anderen vier eine Taktung von 1,2 GHz.Der Arbeitsspeicher ist 2 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher 32 GByte. Das Smartphone unterstützt LTE und WLAN nach 802.11ac, Bluetooth läuft in der Version 4.2. Ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut.

Das Gehäuse ist nach IP68 staub- und wasserdicht. Zusätzlich ist das Gehäuse nach dem Militärstandard 810G gegen Stürze, Stöße, Hitze, Wasser und Staub geschützt. Dadurch soll es weitaus robuster sein als andere Smartphones, zudem gibt es explizite Unterwasseraufnahmemodi für die Kameras. Der Akku hat eine Nennladung von 3.240 mAh. Ausgeliefert wird das Smartphone mit Android in unbekannter Version.Kyocera will das Duraforce Pro im Herbst zunächst in den USA in den Handel bringen. Den Preis hat der Hersteller noch nicht verraten. Wann und ob das Smartphone auch in Deutschland auf den Markt kommt, ist unbekannt. In der Vergangenheit hatte Kyocera einige Modelle auch hierzulande veröffentlicht.

Eine Million Elektroautos im Jahr werde VW Mitte des kommenden Jahrzehnts bauen, hat VW-Chef Herbert Diess angekündigt. Im kommenden Monat will der Wolfsburger Konzern einen seriennnahen Prototypen vorstellen, der sich durch eine große Reichweite auszeichnen soll. Der Volkswagen wird elektrisch: Der Wolfsburger Autokonzern VW will auf der Pariser Automesse im September ein neues Elektroauto vorstellen. Dessen Reichweite könnte die des Tesla Model S übertreffen. Das hat VW-Chef Herbert Diess dem Wirtschaftsmagazin Wirtschaftswoche gesagt.Das Auto soll die Maße eines VW Golf haben - der aktuelle Golf ist rund 4,3 Meter lang und 1,8 Meter breit. Das Platzangebot soll dem des größeren VW Passat entsprechen. Die Reichweite des Autos soll zwischen 400 und 600 Kilometern liegen - zum Vergleich: Teslas Model S 90D kommt mit Akkuladung knapp 560 Kilometer weit. Die neue Version von BMWs i3 schafft 300 Kilometer.

Das Auto soll im Winter 2018/19 auf den Markt kommen und ungefähr so viel kosten wie ein vergleichbar ausgestattetes Dieselfahrzeug des Herstellers. Einen Prototypen, der schon nahe an dem Serienfahrzeug ist, will VW auf der Pariser Automesse Mondial de l'Automobile vorstellen. Die Messe beginnt für Fachbesucher und Presse am 29. September, für die Öffentlichkeit am 1. Oktober, und endet am 16. Oktober.VW will die Elektroautos nach einer Art Baukastenprinzip bauen: Auf der gleichen Plattform und mit dem gleichen Akku sollen ein SUV, ein Coupé, ein Lieferwagen, vergleichbar dem Budd-e, und eine Oberklassen-Limousine entstehen."Bis 2025 soll unsere Marke weltweit eine führende Rolle in der E-Mobilität einnehmen und jährlich eine Million Elektroautos bauen", sagte Diess. Die Autos sollen zum Teil in Deutschland gefertigt werden. Eine Option sei aber, dass VW Elektroauto-Fabriken auch in den USA und in China bauen.Asus Laptop Akku, Asus Akku, Angebot von akku-fabrik.com - Akku online kaufen

Audi hat ein neues Stoßdämpfersystem entwickelt, das auch zur Rückgewinnung von Energie geeignet ist, die einen Akku aufladen soll. Je schlechter die Straße, desto besser arbeitet der elektromechanische Rotationsdämpfer, der auch den Fahrkomfort steigern soll. Audi arbeitet an einem Stoßdämpfer namens eRot, bei dem der hydraulische Dämpfer durch einen elektromechanischen Rotationsdämpfer ersetzt wird: "Jedes Schlagloch, jede Bodenwelle, jede Kurve bringt Bewegungsenergie ins Auto, die in den aktuellen Dämpfern aufgenommen wird und in Form von Wärme verloren geht", so Stefan Knirsch, Vorstand für die technische Entwicklung bei Audi. Beim eRot-System gibt es eine aktiv regelbare Dämpfung, die den Fahrbahnunebenheiten und dem Fahrstil des Fahrers angepasst werden kann. Die E-Maschinen der Dämpfer sind horizontal im Auto eingebaut und erlauben es, den Kofferraum größer zu gestalten, während die Aussparungen für die üblichen Teleskop-Stoßdämpfer dort viel Raum einnehmen können.

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January 06, 2017

Akku Samsung NC10-KA05

Xiaomi hat mit dem Mi Qicycle sein erstes Elektrofahrrad vorgestellt. Das Faltrad wiegt 14,5 kg und lässt sich für den Transport in öffentlichen Verkehrsmitteln zusammenfalten. Das Smartphone wird mittels Bluetooth mit dem Rad verbunden.
Xiaomi baut nach Smartphones, Wearables und Drohnen nun auch Elektrofahrräder. Das Mi Qicycle ist ein Faltrad, das nur 14,5 Kilogramm wiegt und mit einem 250 Watt starken Motor ausgerüstet ist. Die Stromversorgung des Pedelecs übernimmt ein Akku von Panasonic, der für eine Reichweite von bis zu 45 km ausreichen soll. Er steckt im Oberrohr des Fahrrads. Das Aufladen des Akkus an der handelsüblichen Haushaltssteckdose soll drei Stunden dauern. Die Trittkraftunterstützung reicht bis maximal 20 km/h. Der Fahrer kann auch schneller fahren, doch dann wird der Motor nicht mehr aktiv. Das Fahrrad wird zunächst nur in China vermarktet.

Das Xiaomi Mi Qicycle ist mit einer Dreigangnabenschaltung von Shimano und einem Drehmomentsensor von IDBike ausgerüstet. Der chinesische Hersteller liefert auch eine Android-App für das Gerät, mit der Daten zum Ladezustand des Akkus, der gefahrenen Kilometer und der aktuellen Geschwindigkeit angezeigt werden. Auch eine Hochrechnung des Kalorienverbrauchs ist eingebaut. Die Trittleistung soll dank des Drehmomentsensors angezeigt werden. Wer kein Smartphone montieren will, kann das 1,8 Zoll große Display nutzen, das fest eingebaut ist.Schadensersatz in Milliardenhöhe verlangt ein amerikanischer Erfinder von Apple. Er will das iPhone lange vor dem Konzern erfunden haben und beginnt einen kuriosen Rechtsstreit.
Neun Jahre nach Veröffentlichung des ersten iPhone hat in den USA ein Erfinder Apple in den USA verklagt, weil der Konzern mit dem Smartphone gegen einen Patentantrag verstoßen habe. Der Erfinder Thomas S. Ross will bereits 1992 das iPhone erfunden haben. Der Patentantrag, auf dem die Klage beruht, existiert allerdings seit 21 Jahren nicht mehr.

Der kanadische E-Reader-Hersteller Rakuten Kobo hat mit dem Kobo Aura One ein ungewöhnliches Lesegerät vorgestellt. Der 7,8 Zoll große E-Book-Reader ist wasserdicht und seine Beleuchtung soll wenige Blauanteile aufweisen.
Der Kobo Aura One ist ein 7,8 Zoll großer E-Book-Reader, der durchaus ins Wasser fallen darf, ohne Schaden zu nehmen. Er soll bis zu 60 Minuten in bis zu zwei Meter Wassertiefe unbeschadet überstehen. Das dürfte für Badewannenunfälle und Strandausflüge ausreichen. Trotz des großen E-Ink-Bildschirms mit 300 ppi und 1.872 x 1.404 Bildpunkten wiegt der Aura One nur 230 Gramm. Zum Vergleich: Der Kindle Paperwhite 3 mit 6 Zoll Display wiegt 206 Gramm.

Außerdem soll seine Beleuchtung wenige Blauanteile aufweisen. So soll der Nutzer besser einschlafen können. Eine ähnliche Funktion hat zum Beispiel Apple ab iOS 9.3 eingebaut. Das Licht des E-Readers lässt sich auch automatisch passend zur Umgebungshelligkeit dimmen. Online gehen kann das Gerät über WLAN 802.11 b/g/n. Der Akku wird über Micro USB aufgeladen.Der Kobo Aura One beinhaltet 50 Schriftgrößen und elf Schriftarten, mit denen der Anwender sein Leseerlebnis individualisieren kann. Der Speicher von 8 GByte soll etwa 6.000 Bücher vorhalten können. Der E-Book-Reader ist mit einem NXP-Solo-Lite-Prozessor und 512 MByte RAM ausgerüstet und soll hierzulande ab Anfang September 2016 für rund 230 Euro erhältlich sein.

Neben dem Aura One hat Kobo auch noch den E-Book-Reader Kobo Aura Edition 2 präsentiert. Dessen 6 Zoll großer E-Ink-Touchscreen bietet eine Auflösung von 1.024 x 768 Bildpunkten und 212 ppi. Der Speicher ist 4 GByte groß. Der Kobo Aura Edition 2 soll für rund 120 Euro auf den Markt kommen.Einen größeren Bildschirm als der Aura One hatte beispielsweise der Kindle DX. Auf seinem 9,7-Zoll-Bildschirm lassen sich auch Zeitungsartikel problemlos im Originallayout lesen.Die wenigsten Tablets haben einen HDMI-Anschluss. Ein 10-Zoll-Modell mit diesem Anschluss kommt nochmal in die Aldi-Filialen. Seit dem Verkauf Ende Mai 2016 ist der Preis gleich geblieben. Weiterhin ist die Ausstattung für 200 Euro sehr gut.
In den Filialen von Aldi-Nord gibt es ab dem 25. August 2016 nochmal Medions 10-Zoll-Tablet mit der Modellnummer P10506 für 200 Euro. Das P10506-Tablet gab es bei Aldi-Nord bereits Ende Mai 2016, es wurde bei Aldi-Süd Anfang Juni 2016 angeboten. Ob das Tablet in Kürze auch wieder bei Aldi-Süd ins Sortiment kommt, ist nicht bekannt. Das Tablet mit Full-HD-Display hat als Besonderheit einen Infrarotsender sowie einen HDMI-Anschluss und ist auch bei der Speicherausstattung gut aufgestellt. Andere Hersteller verlangen für ein Tablet mit einer vergleichbaren Ausstattung deutlich mehr.

In der Klageschrift verlangt Ross von Apple Schadensersatz. Dessen Höhe dürfte nach Berechnungen von Golem.de mindestens 21 Milliarden US-Dollar betragen. Denn darin enthalten sind auch Beteiligungen an Apples jährlichem Umsatz, den wir anhand des Umsatzes berechnet haben, den Apple vergangenes Jahr erwirtschaftet hat. Ross beruft sich auf eine Patentanmeldung aus dem Jahr 1992, die allerdings 1995 wieder gelöscht wurde. Der Grund dafür war, dass Ross die fälligen Gebühren nicht gezahlt hatte. Demnach existierte der Antrag seit zwölf Jahren nicht mehr, als Apple das iPhone 2007 vorstellte. Unklar ist auch, warum Ross Apple erst jetzt verklagt - neun Jahre nach dem Verkaufsstart des ersten iPhones. Ein Produkt ist aus Ross' Patentantrag nie entstanden.Ross hat der Klageschrift Zeichnungen aus seinem damaligen Patentantrag beigefügt. Demnach beschreibt er in seinen Zeichnungen ein Gerät, das aus zwei Komponenten besteht und sich zusammenklappen lässt. Die eine Komponente ist zum Lesen gedacht, hat einen Bildschirm, Vor- und Zurücktasten sowie einem Tastenblock. Es soll mit MS-DOS laufen und einen Einschub für 3,5-Zoll-Disketten sowie einen andockbaren Akku haben.

Die Schreibkomponente verfügt ebenfalls über einen Bildschirm, hat aber zusätzlich eine vollwertige Tastatur. Beide Komponenten haben Solarzellen. Optional wird eine Antenne für Mobilfunktechnik erwähnt. In der Klageschrift gibt Ross an, dass es sich bei den Bildschirmen um Touchscreens handele - in den Konzeptzeichnungen fehlt allerdings jeder Hinweis darauf, obwohl sonst viele Details zur technischen Ausstattung genannt werden.Bekanntermaßen hat Apples iPhone keinen Steckplatz für Disketten und auch nicht für Speicherkarten. Auch eine physische Tastatur ist nicht vorhanden. Außerdem gibt es kein iPhone-Modell mit einem Klappmechanismus.Die In-Ear-Kopfhörer ELWN Fit werden über Bluetooth mit dem Abspielgerät verbunden und in die Ohren gesteckt. Kein einziges Kabel verbindet die Kopfhörer, die allerdings mit einer Akkuladung nicht lange auskommen. Hier hilft ein ansteckbarer Zusatzakku.
Kabellose In-Ear-Kopfhörer sind noch relativ selten und auch nicht zu jedem Anwendungszweck sinnvoll. Die Kopfhörer gehen zudem schnell verloren, weil sie nicht mit Kabeln gesichert sind. Bei den In-Ear-Kopfhörern ELWN Fit ist das etwas anders.

In der Grundversion handelt es sich um zwei Knöpfe, die ins Ohr gesteckt werden und mit einer Akkuladung rund 3,5 Stunden auskommen können. Weil das nicht sehr lang ist, wollen die Entwickler einen Zusatzakku anbieten, der die Laufzeit auf 6,5 Stunden erhöht. Der Akku wird per Kabel mit beiden Ohrsteckern verbunden und lädt diese während des Musikhörens auf.Die Kopfhörer sind staub- und wasserdicht sowie mit einem Mikrofon ausgerüstet, damit sie auch zum Telefonieren genutzt werden können. Neben Anpassungsringen für den Gehörgang sind die ELWN Fit mit Kunststoffbügeln für die Ohrmuschel ausgestattet, damit sie nicht so leicht verloren gehen. Der Packung sollen mehrere Bügel und Anpassungsringe beiliegen. ELWN wurde nach eigenen Angaben von zwei ehemaligen Apple-Ingenieuren in den USA gegründet.

Der Hersteller ELWN kann bisher weder Preis noch Lieferbarkeit des Fit nennen. Ob es noch eine Crowdfunding-Aktion gibt, ist nicht bekannt. Auf der Website können sich Interessenten für einen Newsletter anmelden.Konkurrent Binatone hatte Mitte Juni 2016 die In-Ear-Headsets Verveones vorgestellt, die ähnlich aufgebaut sind. Zu den Verveones gehört auch eine Smartphone-App (iOS und Android), die beim Abreißen der Bluetoothverbindung vermutet, dass die Geräte verloren gegangen sind und den Standort per GPS auf der Karte markiert. Die wasserfesten Verveones+ kosten rund 250 Euro, das nicht wasserfeste Modell Verveones rund 200 Euro. Ob es später einmal eine Apple Watch mit Mobilfunktechnik geben wird, ist offen. Apple suche derzeit nach Mobilfunkchipsätzen, mit denen eine möglichst lange Akkulaufzeit erreicht werden kann. Diese könnten dann in künftigen Watch-Modellen eingesetzt werden. Laut Bloomberg wird die Apple Watch der zweiten Generation im Herbst 2016 vorgestellt. Demnach könnte das neue Modell zusammen mit der nächsten iPhone-Generation vorgestellt werden - möglicherweise im September 2016.

Bloomberg bestätigt ein anderes Ausstattungsdetail der Apple Watch, über das vergangene Woche berichtet wurde: Demnach wird das kommende Watch-Modell einen GPS-Empfänger samt Barometer erhalten, so dass die Smartwatch in diesem Punkt unabhängiger von einem iPhone wird. Bisher gelangen Ortungsdaten über eine Bluetooth-Verbindung vom iPhone auf die Smartwatch.Die Apple Watch der zweiten Generation soll nach dem Bericht von vergangener Woche einen leistungsfähigeren Prozessor und einen Akku mit einer größeren Kapazität erhalten. Es ist offen, ob das zu einer längeren Akkulaufzeit führt oder der größere Akku für die neuen Komponenten benötigt wird.

Das Uhrengehäuse soll eine bessere Wasserdichtigkeit erhalten. Bisher ist sie nur gegen Spritzwasser geschützt und nicht zum Schwimmen geeignet. Das Gehäuse wird Apple nur in wenigen Details verändern, so dass kein Modell mit rundem Ziffernblatt zu erwarten ist. Apple hat den Bloomberg-Bericht nicht kommentiert und die kommende Apple Watch noch nicht offiziell vorgestellt.Offen ist, ob die neue Watch erst kurz vor dem Verkaufsstart vorgestellt wird, wie es bei vielen Apple-Produkten mittlerweile üblich ist. Die erste Apple Watch wurde erst mehr als sieben Monate nach der Vorstellung auf den Markt gebracht. Sie wurde Anfang September 2014 vorgestellt, konnte aber erst Ende April 2015 gekauft werden.

Anders als von den Herstellern erhofft, ist das Interesse an Smartwatches weiterhin gering. Zuletzt gingen die Verkaufszahlen nach Erhebungen der Marktforscher von Gartner erheblich zurück. Auch Apple verkaufte im zweiten Quartal 2016 nur noch 1,6 Millionen Smartwatches - ein Jahr zuvor lagen die Verkaufszahlen bei 3,6 Millionen.Eine im März 2016 vorgenommene Preissenkung für die Apple Watch änderte nichts am geringen Interesse der Kunden. Das Watch-Einsteigermodell mit 38-mm-Bildschirm kostet seitdem regulär statt 400 Euro 350 Euro. Preissenkungen sind bei Apple sehr ungewöhnlich. Die Marktforscher gehen davon aus, dass sich Interessenten an der Watch zurückhalten und auf das neue Modell warten.

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Akku HP HSTNN-DB17

Lieber mögen die Arbeiter auf dem CTA die neuen AGVs: Sie haben einen Elektroantrieb und sind deshalb deutlich leiser als die Diesel-betriebenen. Zudem benötigen sie weniger Wartung und sind effizienter als die mit Verbrennungsmotoren. Rund 18 Stunden hält der Blei-Akku durch. Dann steuert das AGV eine Station an, wo der Akku automatisch gewechselt wird - ähnlich wie sich Shai Agassi das vor Jahren für den Straßenverkehr vorstellte.Allerdings haben die Blei-Akkus auch einen Nachteil: Einer wiegt 12 Tonnen. Die nächste Generation der Elektro-AGVs soll deshalb mit deutlich leichteren Lithium-Ionen-Akkus ausgestattet werden. Sie laden zudem schneller und brauchen deshalb nicht mehr gewechselt werden. Das AGV steuert eine Ladestation an und reiht sich, wenn der Akku voll ist, wieder in den laufenden Betrieb ein.

Diesen regeln rund 18.000 Transponder, die im Boden eingelassen sind: Sie sorgen dafür, dass die rund 90 AGVs nicht miteinander kollidieren, und sie leiten sie von den Ladebrücken zu den Blocklagern. Das sind lange Reihen aus Containern, rund 220 Meter lang und 24 Meter breit. 26 dieser Lager gibt es im CTA, und jedes wird von zwei Portalkränen versorgt. Sie sind verschieden groß, so dass beide im Blocklager arbeiten können, ohne sich in die Quere zu kommen. Hier werden die Container zwischengelagert, bis sie - im Schnitt nach zwei bis drei Tagen - abgeholt werden."Ein Containerterminal arbeitet dann effizient, wenn es so wenig Bewegung wie möglich gibt. Das heißt, ich möchte den Container so selten wie möglich anfassen", sagt Petters. Andererseits soll der Container abholbereit sein, wenn der Lkw vorfährt, und nicht tief unten in einem Stapel stehen.

Drahtlose Bluetooth-Ohrstecker sind aktuell in Mode - kosten aber meistens weit über 300 Euro. Fireflies Audio will das ändern und seine Ohrstecker für 100 US-Dollar anbieten. Ab dem 5. Juli 2016 sucht der Hersteller per Crowdfunding Unterstützer. Wer das Projekt früh unterstützt, zahlt nur 80 US-Dollar. Das US-amerikanische Unternehmen Fireflies Audio will mit seinen Fireflies-Kopfhörern eine preiswertere Alternative im Markt der drahtlosen Ohrstecker anbieten. Die Fireflies sollen per Crowdfunding finanziert werden und standardmäßig ab einem Unterstützungsbeitrag von 100 US-Dollar zuzüglich Versand zu bekommen sein. Im begrenzten Early-Bird-Special sollen die Ohrhörer auch für 80 US-Dollar erhältlich sein.

Wie The Dash oder Earin besteht das Fireflies-Set aus zwei kabellosen Einzelsteckern, die beide per Bluetooth an ein Audiogerät angeschlossen werden sollen. Auf diese Weise kommen die Stecker komplett drahtlos aus. Anders als The Dash fehlen den Fireflies-Steckern jedoch Sensoren für Fitness-Funktionen, sie dienen ausschließlich zum Anhören von Musik. Wie andere Konkurrenzgeräte auch sollen die Fireflies in einem kleinen Kästchen untergebracht werden, in dem die Stecker gleich geladen werden. Wie oft der Akku der Ladeschale die Stecker aufladen kann, ist noch nicht bekannt. Auch die Akkulaufzeit spezifiziert der Hersteller noch nicht - in einem Werbevideo ist lediglich von "Stunden" der Nutzung die Rede.

Wer die Fireflies während des Sports nutzen möchte, soll die im Lieferumfang enthaltenen Silikonflügel an die Stecker montieren. Diese sollen zusätzliche Stabilität bringen.Laut den Machern von Fireflies gibt es bereits einen funktionierenden Prototyp. Mit der Crowdfunding-Finanzierung soll die Produktion der Stecker finanziert werden, die Entwicklung ist abgeschlossen. Auch einen Fertiger habe man bereits gefunden. Dennoch besteht wie bei allen Crowdfunding-Kampagnen immer das Risiko, dass das Projekt doch nicht realisiert wird -die Zahlung des Unterstützungsbeitrags ist dementsprechend nicht mit einem Kauf vergleichbar.Die Crowdfunding-Kampagne startet am 5. Juli 2016. Ausgeliefert werden sollen die Fireflies-Stecker bereits im August 2016. Das Finanzierungsziel liegt bei 20.000 US-Dollar.

Dafür ist die Steuerungssoftware zuständig. Sie kennt die Standorte der Container und weiß, wann diese abtransportiert werden. Die Kräne sortieren den Container immer wieder einmal um, damit er zu dem Termin verfügbar ist.Kurz bevor der Container das Lager verlässt, ist der Mensch wieder gefragt: Ein Bediener setzt den Container auf einem Lkw ab oder hebt ihn von dort hoch, aber nur jeweils zwei bis drei Meter. Das macht er per Joystick vor einem Bildschirm sitzend vom Kontrollzentrum aus. Es sei eine Sicherheitsmaßnahme, weil mit den Fahrern externes Personal beteiligt sei, sagt Petters. Die Fahrer müssen währenddessen aussteigen, ebenfalls aus Sicherheitsgründen: Sollte der Container beim Entladen nicht richtig losgemacht sein, würde der Kran ohne weiteres auch den Container mitsamt Lkw hochheben.

Ein automatisiertes Bocklager nutzt die Fläche effizienter als ein herkömmliches Lager. Dort transportieren Portalhubwagen, auch Van Carrier (VC) genannt, die Container. Van Carrier sind hochbeinige Fahrzeuge, die einen Container anheben, transportieren und stapeln können. Allerdings benötigen sie eine Fahrspur, so dass zwischen den Container-Reihen immer Platz als Fahrspur frei bleiben muss. Zudem kann ein Van Carrier die Boxen nicht so hoch stapeln wie der Portalkran.Da Flächen im Hamburger Hafen knapp sind, stellt die HHLA auch eines ihrer anderen Terminals um: Das Containerterminal Burchardkai (CTB), das größte Containerterminal im Hamburger Hafen, erhält ebenfalls ein automatisches Blocklager. So lasse sich die Lagerkapazität auf der gleichen Fläche verdoppeln, sagt Petters.

Mehr Kapazität auf gleicher Fläche schafft die HHLA derzeit auch beim Containerbahnhof des CTA: Wo bisher sieben Gleise lagen, sollen künftig neun Züge nebeneinanderstehen können. So erhöht sich die Kapazität von derzeit etwa 800.000 Standard-Containern (Twenty Feet Equivalent Unit, TEU) pro Jahr um 140.000 TEU pro Jahr.Das wiederum macht einen weiteren Automatisierungsschritt notwendig. Durch den Ausbau rücken die Schienenstränge näher zusammen, weshalb die Wege dazwischen verschwinden. Auf den Wegen fuhren früher Mitarbeiter auf kleinen Fahrzeugen an den Zügen entlang und scannten jeden Container, bevor er das Terminal verließ. Diese Aufgabe übernimmt inzwischen das Traingate. Der Zug fährt hindurch und Kameras erfassen die Kennung des Containers und mögliche Beschädigungen. Eine ähnliche Einrichtung gibt es auch für Container, die auf dem Lkw kommen oder das Terminal verlassen: Sie werden am OCR-Gate gescannt.

Nebenan im Hansaport werden Frachter entladen, die Kohle und Eisenerz nach Hamburg bringen. Das machen vier Entladebrücken, die am Tag 100.000 Tonnen Erz und Kohle entladen können. Auf der Brücke fährt ebenfalls eine Katze hin und her. Daran hängt ein Greifer, der das Schüttgut aus dem Laderaum des Schiffes löscht. Mit einem 3D-Laserscanner erfasst sie den Frachter am Kai, die Ladeluken an Deck, und sie erkennt, woraus die Ladung besteht. Ihre eigene Position bestimmt die Brücke per RTK-GPS.Ein Steuerungssystem gibt vor, wie das Schüttgut entladen wird. Da Kohle und Erz schlechte Fließeigenschaften haben, wird der Laderaum von den Ecken her ausgebaggert. Die besondere Herausforderung dabei: Der Laderaum ist größer als die Luke. Es reicht also nicht, den Greifer einfach in den Laderaum abzusenken. Um die Ecken zu erreichen, muss er in den Laderaum hineingeschwungen werden.

Der Greifer ist mit einem leistungsfähigen Trägheitsnavigationssystem (Inertial Navigation System, INS) ausgestattet, das ständig dessen Position ermittelt. So kann der Steuerrechner den Greifer bis auf einen halben Meter genau im Laderaum platzieren - und das, obwohl das Schiff ständig durch Wind und Wellen sowie durch den Wechsel der Tiden in Bewegung ist.Die ständigen Bewegungen des Schiffes verhindern hingegen ein automatisches Entladen der Container. Um die Boxen von Bord zu holen oder dort zu stapeln, sind sogar zwei Mitarbeiter nötig. Einer sitzt in der Kabine und fährt den Kran, der andere steht an Bord des Frachters und weist ein, weil aus der Kabine oft nicht genau zu erkennen ist, wo die Container abgesetzt werden müssen. Nach vier Stunden wechseln die beiden den Platz. Dass diese Aufgabe in nächster Zeit ebenfalls automatisiert wird, ist deshalb nicht zu erwarten. Konkurrent Rotterdam - vor Hamburg die Nummer eins der europäischen Häfen - braucht für diese Funktion zwar ebenfalls noch menschliches Personal. Aber der Kranfahrer sitzt im Terminal Maasvlakte 2 nicht mehr in der Kabine in luftiger Höhe und schaut zwischen seinen Beinen hindurch in die Tiefe, sondern im Kontrollraum. Von dort steuert er die Kranbrücke aus der Ferne per Joystick.

Das erleichtert die Arbeit: Der Kranfahrer muss nicht mehr stundenlang nach vorne gebeugt sitzen. Und es macht die Brücke noch etwas leistungsfähiger, weil die Katze schneller fahren kann, wenn kein Mensch darin sitzt.Denn darum geht es: Effizienz. Mehr Container auf der gleichen Fläche lagern und umschlagen. Dazu gehört, den Abtransport effizienter zu gestalten, indem der Verkehr künftig besser gesteuert wird."Es ist bei unserem Geschäftsmodell oft so, dass das, was ökonomisch sinnvoll ist, auch ökologisch sinnvoll ist", sagt Petters. "Wir haben einen Nachhaltigkeitsbeauftragten. Den haben wir nicht so sehr, weil wir ein grünes Herz haben, sondern weil es ökonomisch sinnvoll ist, sich ökologisch sinnvolle Lösungen zu überlegen."

Ein Beispiel ist die Beleuchtung am Blocklager: Damit der Kranfahrer einen Container genau auf dem Lkw absetzen kann, muss er gute Sicht haben. Früher wurden dafür nach Einbruch der Dunkelheit konventionelle starke Scheinwerfer eingesetzt. Da diese sich nicht einfach ein- und wieder ausschalten ließen, leuchteten sie die ganze Nacht. Inzwischen werden die Scheinwerfer durch Leuchtdioden ersetzt, die bei Bedarf eingeschaltet werden können. Die Einsparungen entsprächen dem Strombedarf von 2.000 Haushalten, sagt Petters. Betrieben wird das CTA mit Strom aus nachhaltigen Quellen, unter anderem von Windrädern. Derzeit testet die HHLA zusammen mit dem Energieversorger Vattenfall das Terminal zudem als Energiespeicher: Bei Ökostromspitzen steuern die AGVs auch dann die Wechselstation an, wenn die Akkus noch gar nicht aufgeladen werden müssten, um diese Spitzen abzufangen.Doch trotz der ganzen Maschinen: Menschenleer ist es auf dem CTA nicht. Über 720 Menschen arbeiten auf dem Terminal. Und es nicht zu erwarten, dass sie wegautomatisiert werden.

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January 05, 2017

Akku HP Pavilion dv2

Das Gehäuse ist nach IP68 staub- und wasserdicht. Zusätzlich ist das Gehäuse nach dem Militärstandard 810G gegen Stürze, Stöße, Hitze, Wasser und Staub geschützt. Dadurch soll es weitaus robuster sein als andere Smartphones, zudem gibt es explizite Unterwasseraufnahmemodi für die Kameras. Der Akku hat eine Nennladung von 3.240 mAh. Ausgeliefert wird das Smartphone mit Android in unbekannter Version.Kyocera will das Duraforce Pro im Herbst zunächst in den USA in den Handel bringen. Den Preis hat der Hersteller noch nicht verraten. Wann und ob das Smartphone auch in Deutschland auf den Markt kommt, ist unbekannt. In der Vergangenheit hatte Kyocera einige Modelle auch hierzulande veröffentlicht.

Eine Million Elektroautos im Jahr werde VW Mitte des kommenden Jahrzehnts bauen, hat VW-Chef Herbert Diess angekündigt. Im kommenden Monat will der Wolfsburger Konzern einen seriennnahen Prototypen vorstellen, der sich durch eine große Reichweite auszeichnen soll. Der Volkswagen wird elektrisch: Der Wolfsburger Autokonzern VW will auf der Pariser Automesse im September ein neues Elektroauto vorstellen. Dessen Reichweite könnte die des Tesla Model S übertreffen. Das hat VW-Chef Herbert Diess dem Wirtschaftsmagazin Wirtschaftswoche gesagt.Das Auto soll die Maße eines VW Golf haben - der aktuelle Golf ist rund 4,3 Meter lang und 1,8 Meter breit. Das Platzangebot soll dem des größeren VW Passat entsprechen. Die Reichweite des Autos soll zwischen 400 und 600 Kilometern liegen - zum Vergleich: Teslas Model S 90D kommt mit Akkuladung knapp 560 Kilometer weit. Die neue Version von BMWs i3 schafft 300 Kilometer.

Das Auto soll im Winter 2018/19 auf den Markt kommen und ungefähr so viel kosten wie ein vergleichbar ausgestattetes Dieselfahrzeug des Herstellers. Einen Prototypen, der schon nahe an dem Serienfahrzeug ist, will VW auf der Pariser Automesse Mondial de l'Automobile vorstellen. Die Messe beginnt für Fachbesucher und Presse am 29. September, für die Öffentlichkeit am 1. Oktober, und endet am 16. Oktober.VW will die Elektroautos nach einer Art Baukastenprinzip bauen: Auf der gleichen Plattform und mit dem gleichen Akku sollen ein SUV, ein Coupé, ein Lieferwagen, vergleichbar dem Budd-e, und eine Oberklassen-Limousine entstehen."Bis 2025 soll unsere Marke weltweit eine führende Rolle in der E-Mobilität einnehmen und jährlich eine Million Elektroautos bauen", sagte Diess. Die Autos sollen zum Teil in Deutschland gefertigt werden. Eine Option sei aber, dass VW Elektroauto-Fabriken auch in den USA und in China bauen.

Audi hat ein neues Stoßdämpfersystem entwickelt, das auch zur Rückgewinnung von Energie geeignet ist, die einen Akku aufladen soll. Je schlechter die Straße, desto besser arbeitet der elektromechanische Rotationsdämpfer, der auch den Fahrkomfort steigern soll. Audi arbeitet an einem Stoßdämpfer namens eRot, bei dem der hydraulische Dämpfer durch einen elektromechanischen Rotationsdämpfer ersetzt wird: "Jedes Schlagloch, jede Bodenwelle, jede Kurve bringt Bewegungsenergie ins Auto, die in den aktuellen Dämpfern aufgenommen wird und in Form von Wärme verloren geht", so Stefan Knirsch, Vorstand für die technische Entwicklung bei Audi. Beim eRot-System gibt es eine aktiv regelbare Dämpfung, die den Fahrbahnunebenheiten und dem Fahrstil des Fahrers angepasst werden kann. Die E-Maschinen der Dämpfer sind horizontal im Auto eingebaut und erlauben es, den Kofferraum größer zu gestalten, während die Aussparungen für die üblichen Teleskop-Stoßdämpfer dort viel Raum einnehmen können.

Neben dem frei programmierbaren Dämpferkennfeld bietet der eRot die Möglichkeit, die kinetische Energie während des Ein- und Ausfederns in Strom umzuwandeln.Die Rekuperationsleistung erreicht nach Angaben von Audi im Mittel 100 bis 150 Watt. Je besser die Straße ist, desto weniger Strom wird generiert. Bei einer frisch asphaltierten Autobahn waren es im Test 3 Watt, während es auf einer holprigen Nebenstraße 613 Watt waren.Der Karma Revero ist das erste Auto des Fahrzeugherstellers Karma. Es soll vermutlich wieder ein Hybridauto werden, auch das Solardach des Fisker Karma wird beibehalten.
Der Autohersteller Karma, der früher Fisker hieß und nach dem Konkurs von einem chinesischen Konzern übernommen wurde, hat sein erstes Auto vorgestellt. Der Karma Revero basiert auf dem ursprünglichen, viertürigen Modell Karma. Technische Daten des neuen Fahrzeugs veröffentlichte der Hersteller noch nicht, nur einen Countdown mit 28 Tagen Laufzeit, nach dem es vermutlich weitere Informationen gibt oder die Bestellphase beginnt.

Das Fahrzeug soll wie der erste Karma ein mit Solarzellen überzogenes Dach besitzen, um den Akku des Fahrzeugs etwas aufzuladen oder die Klimaanlage im Stand zu versorgen. Noch gibt es keine Informationen, inwieweit der Antriebsstrang des Fahrzeugs überarbeitet wurde. Der frühere Fisker Karma wurde von zwei Elektromotoren mit je 150 kW angetrieben. Als Range Extender kam ein Verbrennungsmotor mit einer Leistung von 260 PS (194 kW) hinzu. Er trieb einen Generator an und erzeugte so Strom für die Elektromotoren. Im rein elektrischen Betrieb lag die Reichweite bei etwa 80 km. Durch den Range Extender kamen noch einmal etwa 400 km hinzu. Im rein elektrischen Betrieb beschleunigte der Karma in 7,9 Sekunden von 0 auf 60 Meilen pro Stunde. Die Höchstgeschwindigkeit betrug 153 km/h. Wurden alle drei Motoren zusammengeschaltet, verkürzte sich die Beschleunigung von 0 auf 60 Meilen um 2 Sekunden. Die Höchstgeschwindigkeit lag dann bei 200 km/h.

Der Hersteller wurde von einem chinesischen Konglomerat aufgekauft, das laut einem Bericht in China eine Fabrik errichten will, in der bis zu 50.000 Autos jährlich auf Basis des Fisker Karma und des Fisker Atlantic gebaut werden sollen.Mit Samsungs Gear IconX sollen sportlich aktive Nutzer nicht nur Musik hören, sondern auch ihre Aktivitäten aufzeichnen - dank eingebautem Pulsmesser und Fitnesstracker. Das funktioniert gut, die kurze Akkulaufzeit der kabellosen Ohrstecker verhindert aber einen ernsthaften Einsatz. Kabellose Ohrstecker mit Fitnesstracking: Seit der Veröffentlichung von Bragis The Dash versuchen weitere Hersteller, entsprechende Produkte auf den Markt zu bringen. Die Version von Samsung heißt Gear IconX.

Wie The Dash bestehen die IconX-Kopfhörer aus zwei einzelnen Steckern, die weder untereinander noch mit dem angeschlossenen Smartphone per Kabel verbunden sind. Diese vollständige Kabelfreiheit ermöglicht in jeder Situation ungestörte Bewegungen, was besonders beim Sport praktisch ist. Allerdings hat sie auch einen Nachteil, der uns während unseres Tests schnell aufgefallen ist: eine kurze Akkulaufzeit.Die Einrichtung der Gear IconX ist denkbar einfach: Nachdem wir die Stecker zunächst in ihrer Ladebox aufgeladen und die Samsung-Gear-App aus dem Play Store heruntergeladen haben, müssen wir die Stecker nur noch in unsere Ohren stecken. Sie schalten sich automatisch an und lassen sich problemlos mit unserem Oneplus Three koppeln. Kompatibel sind die Stecker mit Smartphones, die über die Android-Version 4.4 und höher sowie mindestens 1,5 GByte RAM verfügen. Mit iOS-Geräten funktionieren die Kopfhörer nicht.

Einmal gekoppelt, müssen die Gear IconX bei Benutzung nur ins Ohr gesteckt werden. Nach Gebrauch legen wir die Kopfhörer einfach wieder in ihre Ladebox zurück. Diese hat einen eingebauten Akku, der die Stecker wieder auflädt. Den Ladestand der einzelnen Stecker können wir über zwei LEDs an der Vorderseite der Ladebox ablesen, den der Box selbst auf der Rückseite. Hier befindet sich auch der Ladestecker für die Box.In der Bedienung sind die Gear IconX einfach und intuitiv: Gesteuert werden die Stecker über Touchpads an den Rückseiten der Stecker. Ein einfacher Tap auf das Pad stoppt und startet die Wiedergabe des aktuellen Musiktitels. Ein Doppel-Tap wechselt zum nächsten Titel und beantwortet und beendet einen Anruf. Ein dreifacher Tap gibt den vorigen Titel wieder. Auf- und Abstreichen auf dem Touchpad reguliert die Lautstärke. Die Steuerung ist trotz Auswahl eines Hauptsteckers über die Touchpads beider Stöpsel möglich.

Bei der Einrichtung und in den Einstellungen über die Gear-App können Nutzer auswählen, ob sie das Touchpad des rechten oder linken Steckers verwenden wollen. Sofern dieser Hauptstecker im Ohr gelassen wird, bleibt Gear IconX mit dem Smartphone verbunden und kann als Bluetooth-Headset genutzt werden. Wählen wir den rechten Stöpsel als Hauptstecker und nehmen ihn heraus, schalten sich die Kopfhörer hingegen nach knapp einer Minute ab.Trotz ihrer Fitnesstracking-Fähigkeiten sind die Gear IconX für uns in erster Linie Kopfhörer - entsprechend muss der Klang stimmen, besonders bei einem Preis von 200 Euro. Musik geben die beiden Ohrstöpsel gut in den Frequenzen getrennt wieder, die Bässe sind sehr unauffällig. Wir haben mit einem Equalizer etwas die unteren Frequenzen angehoben und auch die Höhen leicht verstärkt - in der Grundeinstellung sind uns die Kopfhörer etwas zu dünn in den Bassfrequenzen.

Es gibt natürlich geschmackliche Unterschiede bei unterschiedlichen Nutzern: Wer nur leichte Bässe bei Kopfhörern mag, wird bei den IconX nicht an den tiefen Frequenzen schrauben müssen. Insgesamt halten wir die Tonqualität für gut, die Frequenzen sind gut auseinanderzuhalten; der Klang ist nicht matschig, was auch an den dezenten Bässen liegt.Nutzer können nicht nur Musik vom Smartphone auf den Gear IconX hören, sondern auch direkt Musikdateien auf den Kopfhörern selber speichern. Dafür steht ein 4 GByte großer interner Speicher zur Verfügung. Besitzer eines Samsung-Galaxy-Smartphones können Musikdateien entweder vom Smartphone oder mit einer speziellen Software von einem PC übertragen; wer kein Galaxy hat, kann nur die Verbindung über den PC wählen.

Gedacht sind Samsungs Kopfhörer aber nicht nur als reine Musikwiedergabegeräte, sondern als Fitnessohrstecker. Daher hat Samsung den Stöpseln insgesamt drei unterschiedlich große Gummiaufsätze für den Gehörgang sowie drei Halteflügel beigelegt. Damit lassen sich die Gear IconX so konfigurieren, dass sie in die meisten Ohren passen dürften.Bauartbedingt haben wir beim Test Veränderungen beim Klang beobachtet, wenn wir unser Gesicht - und damit auch unsere Ohren - stärker bewegten. Dieses Problem haben betroffene Nutzer aber nicht nur mit den Gear IconX, sondern mit allen Kopfhörern, die verhältnismäßig tief im Gehörgang sitzen.

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Akku HP Pavilion g6

Wem das reine Herummalen zu langweilig wird, kann das gesockelte Arduino-Pro-Modul auch per Arduino IDE komplett neu programmieren. Zum Flashen ist allerdings ein USB-zu-seriell-Adapter notwendig. Leider sind auch die Sensoren und Aktoren mit Ausnahme des Servos und der Motoren fest auf der Basisplatine verlötet. Weitere Sensoren auf dem Roboter zu verbauen, ist so kaum möglich. Wer mit dem Arduino-Modul eigenständige Experimente durchführen will, muss zwangsläufig Zusatzeinkäufe im Elektronikhandel tätigen.Positiv demgegenüber steht allerdings, dass die Arduino-Bibliothek für den Mirobot komfortabel über den Bibliotheksverwalter der Arduino-IDE installiert werden kann. Und die Fernsteuerungskommandos sind ordentlich dokumentiert, im Gegensatz zu den beiden anderen Modellen. Das dürfte der Hauptgrund sein, weshalb auch Microsoft und Google den Mirobot in ihren Projekten nutzen.

Der Zowi von BQ kostet um die 120 bis 130 Euro. Der Makeblock mBot Ranger liegt bei circa 190 Euro. Beide sind in Deutschland bei Allnet erhältlich, in ihrem Makerstore in Berlin können sie auch ausprobiert werden. Der Mirobot ist direkt beim Hersteller oder auch bei Amazon zum Preis von circa 60 Pfund beziehungsweise um die 80 Euro erhältlich.Open-Source-Spielzeug, das Spaß macht: Das geht! Was uns aber besonders freut, ist, dass alle drei Roboter tatsächlich nachhaltige Spielzeuge sind - wenn der ferngesteuerte Roboter zu langweilig wird, ist die Elektronik weitgehend herstellerunabhängig weiter programmier- und nutzbar.Begeistert sind wir auch, dass keiner der Hersteller das Open-Source-/Hardware-Label als Ausrede für Designfehler oder schlecht funktionierende Software benutzt und auf Zuarbeit von der Community hofft. Insbesondere der Zowi legt die Messlatte für elektronisches Spielzeug recht hoch. Nicht nur, weil er Out-of-the-Box bereits zahlreiche unterhaltsame Funktionen besitzt und trotzdem vom Nutzer selbst frei programmiert werden kann. Sondern vor allem, weil er sich komplett zerlegen lässt und zum Basteln einlädt, obwohl es sich nicht um ein Baukastensystem handelt. Hier können sich die großen Spielzeugmarken ein Vorbild nehmen. Ein vermeintlicher Plastikbomber muss nicht zwangsläufig ein Wegwerfprodukt sein.

Alle drei Hersteller müssen aber noch beim Lehrmaterial nachbessern. Leider bietet nur der Zowi auch Erklärungen und Anleitungen in deutscher Sprache an. Doch auch bei den jeweils englischsprachigen Materialien fehlt es an sinnvoll aufgebauten Inhalten zum Selbststudium, wenn der Nutzer sie überhaupt auf der jeweiligen Webseite findet. Insbesondere beim Mirobot und beim Zowi, die bereits für Kinder im Grundschulalter attraktiv sind, ist eine Einführung und Betreuung durch die Eltern oder eine Lehrkraft sinnvoll. Jene sollten sich im Idealfall bereits vorher mit den Robotern beschäftigt haben und selbst die Grundkonzepte der Programmierung verstehen. Beim mBot Ranger ist der Mangel noch eher verzeihlich, richtet er sich doch vorrangig an interessierte Jugendliche, welche den nächsten Lernschritt gehen wollen.Da die Hardware und Software bereits recht ausgereift sind, hoffen wir, dass die Anstrengungen der Hersteller nun mehr bei den Lehrmaterialien liegen.

YI Technology bietet den Gopro-Konkurrenten YI 4K offiziell in Deutschland an: Für 270 Euro gibt es eine Actionkamera mit 4K-Videomodus, 2,19-Zoll-Touchdisplay und Sony-Bildsensor - günstiger als vergleichbare Gopro-Modelle.
Die verhältnismäßig günstige Actionkamera YI 4K ist offiziell in Deutschland erhältlich. Über Amazon.de kann das Gerät für 270 Euro bestellt werden. Bisher ließ sich die Gopro-Alternative des chinesischen Unternehmens YI Technology nur inoffiziell über verschiedene Importhändler beziehen. Die YI 4K ermöglich 4K-Videoaufnahmen mit 30 Bildern pro Sekunde. Als Sensor kommt Sonys IMX377 mit 12 Megapixel zum Einsatz, als Prozessor ist ein A9SE75 von Ambarella verbaut - dieses Chipset arbeitet auch in der Gopro Hero 4 Black Edition. Das Objektiv hat 7 Glaselemente und einen elektronischen Bildstabilisator. Ein wasserdichtes Gehäuse muss separat gekauft werden. Der Aufnahmewinkel der YI 4K beträgt 155 Grad, die Anfangsblendenöffnung ist f/2.8. Auf der Rückseite der Kamera ist ein Touchscreen eingebaut, über den die Funktionen gesteuert und ein Vorschaubild angezeigt werden. Das Display ist 2,19 Zoll groß und löst mit 640 x 360 Pixeln auf - das ergibt eine Pixeldichte von 330 ppi.

Als Aufnahmemodi stehen neben dem Video- und Fotomodus auch ein Zeitraffermodus sowie eine Burst-Foto-Funktion mit bis zu 30 Fotos pro Sekunde zur Verfügung. Eine Zeitlupenfunktion ermöglicht um ein Achtel, ein Viertel und um die Hälfte verlangsamte Videoaufnahmen.Die YI 4K ist mit WLAN ausgestattet und speichert Daten auf einer Micro-SD-Karte. Über WLAN können Einstellungen geändert und die Aufnahmefunktion gestartet werden. Auch lässt sich über die Drahtlosverbindung Bildmaterial teilen. Der Akku der Kamera hat eine Nennladung von 1.400 mAh. Damit sollen Nutzer zwei Stunden lang Videoaufnahmen in 4K-Qualität mit einer Bildrate von 30 fps machen können.

Vom Preis her liegt die YI 4K deutlich unter dem vergleichbaren Kameramodell von Gopro: Wer dort mit 4K Videos aufnehmen will, muss 530 Euro für die Hero 4 Black Edition investieren. YI Technologies wurde 2013 gegründet und ist mit Xiaomi in Verbindung gebracht worden. Nach Angaben des Herstellers arbeitet das Unternehmen allerdings unabhängig von Xiaomi, in China wird lediglich beim Verkauf kooperiert. Das Elektroauto Tesla Model S gibt es mit verschiedenen Akkukapazitäten zu kaufen. Nun scheint das Unternehmen auch eine 100-kWh-Version zu planen. Eine europäische Zulassungsbehörde hat das Fahrzeug in ihrer Datenbank gelistet.
Das Tesla Model S und das Model X sollen mit einem neuen Akku eine Reichweite von 610 km erzielen. Seit Tesla seinen 85-kWh-Akku nicht mehr anbietet, gibt es Gerüchte über Modelle mit höheren Kapazitäten.

Ein Model S P100D wurde im März 2016 von einem Hacker in einem Firmware-Update für das Fahrzeug entdeckt, doch bisher wurde das Auto nicht angekündigt. Nun tauchte ein entsprechender Eintrag in der Datenbank der niederländischen Zulassungsbehörde auf, die Tesla für seine Fahrzeuge in Europa nutzt. Demnach will der Elektroautohersteller den 100-kWh-Akku nicht nur im Model S, sondern auch im Stadtgeländewagen Model X einbauen. Das niederländische Blog Kenteken hat den Eintrag in der Datenbank des RDW entdeckt. Demnach soll das Model S im New European Driving Cycle (NEFZ) eine Reichweite von rund 610 km aufweisen. Aus diesem Fahrzyklus resultieren aber regelmäßig höhere Reichweiteneinschätzungen als aus dem EPA-Fahrzyklus. Wann Tesla das Update auf den Markt bringen will, ist nicht bekannt.Das Basismodell des Tesla S mit 70-kWh-Akku und Hinterradantrieb kostet 82.700 Euro. Das Model S 70D soll nach NEFZ-Fahrzyklus eine Reichweite von 470 km haben. Es beschleunigt in 5,4 Sekunden von 0 auf 100 km/h. Die Höchstgeschwindigkeit wird mit 225 km/h angegeben.

Für das Model S 90D werden 102.100 Euro verlangt, das Topmodell P90D ist ab 124.300 Euro zu bekommen. Die 90D-Variante mit einer Reichweite von 557 Kilometern soll in 4,4 Sekunden auf 100 km/h kommen und wird bei 250 km/h abgeregelt. Der P90D ist in 3,3 Sekunden auf Tempo 100 und weist eine Reichweite von bis zu 509 km auf. Mit dem Duraforce Pro versucht Kyocera, ein robustes Smartphone mit einer weitwinkligen Actionkamera zu verbinden: Das Smartphone ist gegen Stöße und Wasser geschützt und kann Videos mit einem Winkel von 135 Grad aufnehmen.
Kyocera hat das Duraforce Pro vorgestellt, ein robust gebautes Smartphone mit weitwinkliger Kamera. Dadurch soll sich das Gerät auch als Actionkamera verwenden lassen. Insgesamt gibt es zwei Objektive auf der Rückseite - einmal das der Action- und einmal das der normalen Kamera. Der Aufnahmewinkel der Actionkamera ist mit 135 Grad deutlich höher als bei den meisten Smartphones auf dem Markt. Aufnahmen sind in maximal Full HD möglich. Praktisch bei Videoshootings dürfte das 5-Zoll-Display des Smartphones mit einer Auflösung von 1.920 x 1.080 Pixeln sein: Die meisten Actionkameras haben nur einen kleinen Bildschirm, wenn überhaupt.

Die Kamera für Fotoaufnahmen hat 13 Megapixel, die Frontkamera kommt auf 5 Megapixel. Technisch gesehen ist das Duraforce Pro ein Smartphone der Mittelklasse: Als Prozessor kommt ein nicht näher genanntes Snapdragon-Modell von Qualcomm zum Einsatz, dessen acht Kerne sich die Arbeit aufteilen: Vier Kerne erreichen eine Taktrate von 1,5 GHz, die anderen vier eine Taktung von 1,2 GHz.Der Arbeitsspeicher ist 2 GByte groß, der eingebaute Flash-Speicher 32 GByte. Das Smartphone unterstützt LTE und WLAN nach 802.11ac, Bluetooth läuft in der Version 4.2. Ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut.

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January 04, 2017

Akku FUJITSU LifeBook N6010

Das Xiaomi Mi Qicycle ist mit einer Dreigangnabenschaltung von Shimano und einem Drehmomentsensor von IDBike ausgerüstet. Der chinesische Hersteller liefert auch eine Android-App für das Gerät, mit der Daten zum Ladezustand des Akkus, der gefahrenen Kilometer und der aktuellen Geschwindigkeit angezeigt werden. Auch eine Hochrechnung des Kalorienverbrauchs ist eingebaut. Die Trittleistung soll dank des Drehmomentsensors angezeigt werden. Wer kein Smartphone montieren will, kann das 1,8 Zoll große Display nutzen, das fest eingebaut ist.Schadensersatz in Milliardenhöhe verlangt ein amerikanischer Erfinder von Apple. Er will das iPhone lange vor dem Konzern erfunden haben und beginnt einen kuriosen Rechtsstreit.
Neun Jahre nach Veröffentlichung des ersten iPhone hat in den USA ein Erfinder Apple in den USA verklagt, weil der Konzern mit dem Smartphone gegen einen Patentantrag verstoßen habe. Der Erfinder Thomas S. Ross will bereits 1992 das iPhone erfunden haben. Der Patentantrag, auf dem die Klage beruht, existiert allerdings seit 21 Jahren nicht mehr.

In der Klageschrift verlangt Ross von Apple Schadensersatz. Dessen Höhe dürfte nach Berechnungen von Golem.de mindestens 21 Milliarden US-Dollar betragen. Denn darin enthalten sind auch Beteiligungen an Apples jährlichem Umsatz, den wir anhand des Umsatzes berechnet haben, den Apple vergangenes Jahr erwirtschaftet hat. Ross beruft sich auf eine Patentanmeldung aus dem Jahr 1992, die allerdings 1995 wieder gelöscht wurde. Der Grund dafür war, dass Ross die fälligen Gebühren nicht gezahlt hatte. Demnach existierte der Antrag seit zwölf Jahren nicht mehr, als Apple das iPhone 2007 vorstellte. Unklar ist auch, warum Ross Apple erst jetzt verklagt - neun Jahre nach dem Verkaufsstart des ersten iPhones. Ein Produkt ist aus Ross' Patentantrag nie entstanden.Ross hat der Klageschrift Zeichnungen aus seinem damaligen Patentantrag beigefügt. Demnach beschreibt er in seinen Zeichnungen ein Gerät, das aus zwei Komponenten besteht und sich zusammenklappen lässt. Die eine Komponente ist zum Lesen gedacht, hat einen Bildschirm, Vor- und Zurücktasten sowie einem Tastenblock. Es soll mit MS-DOS laufen und einen Einschub für 3,5-Zoll-Disketten sowie einen andockbaren Akku haben.

Die Schreibkomponente verfügt ebenfalls über einen Bildschirm, hat aber zusätzlich eine vollwertige Tastatur. Beide Komponenten haben Solarzellen. Optional wird eine Antenne für Mobilfunktechnik erwähnt. In der Klageschrift gibt Ross an, dass es sich bei den Bildschirmen um Touchscreens handele - in den Konzeptzeichnungen fehlt allerdings jeder Hinweis darauf, obwohl sonst viele Details zur technischen Ausstattung genannt werden.Bekanntermaßen hat Apples iPhone keinen Steckplatz für Disketten und auch nicht für Speicherkarten. Auch eine physische Tastatur ist nicht vorhanden. Außerdem gibt es kein iPhone-Modell mit einem Klappmechanismus.Die In-Ear-Kopfhörer ELWN Fit werden über Bluetooth mit dem Abspielgerät verbunden und in die Ohren gesteckt. Kein einziges Kabel verbindet die Kopfhörer, die allerdings mit einer Akkuladung nicht lange auskommen. Hier hilft ein ansteckbarer Zusatzakku.
Kabellose In-Ear-Kopfhörer sind noch relativ selten und auch nicht zu jedem Anwendungszweck sinnvoll. Die Kopfhörer gehen zudem schnell verloren, weil sie nicht mit Kabeln gesichert sind. Bei den In-Ear-Kopfhörern ELWN Fit ist das etwas anders.

In der Grundversion handelt es sich um zwei Knöpfe, die ins Ohr gesteckt werden und mit einer Akkuladung rund 3,5 Stunden auskommen können. Weil das nicht sehr lang ist, wollen die Entwickler einen Zusatzakku anbieten, der die Laufzeit auf 6,5 Stunden erhöht. Der Akku wird per Kabel mit beiden Ohrsteckern verbunden und lädt diese während des Musikhörens auf.Die Kopfhörer sind staub- und wasserdicht sowie mit einem Mikrofon ausgerüstet, damit sie auch zum Telefonieren genutzt werden können. Neben Anpassungsringen für den Gehörgang sind die ELWN Fit mit Kunststoffbügeln für die Ohrmuschel ausgestattet, damit sie nicht so leicht verloren gehen. Der Packung sollen mehrere Bügel und Anpassungsringe beiliegen. ELWN wurde nach eigenen Angaben von zwei ehemaligen Apple-Ingenieuren in den USA gegründet.

Der Hersteller ELWN kann bisher weder Preis noch Lieferbarkeit des Fit nennen. Ob es noch eine Crowdfunding-Aktion gibt, ist nicht be

kannt. Auf der Website können sich Interessenten für einen Newsletter anmelden.Konkurrent Binatone hatte Mitte Juni 2016 die In-Ear-Headsets Verveones vorgestellt, die ähnlich aufgebaut sind. Zu den Verveones gehört auch eine Smartphone-App (iOS und Android), die beim Abreißen der Bluetoothverbindung vermutet, dass die Geräte verloren gegangen sind und den Standort per GPS auf der Karte markiert. Die wasserfesten Verveones+ kosten rund 250 Euro, das nicht wasserfeste Modell Verveones rund 200 Euro. Ob es später einmal eine Apple Watch mit Mobilfunktechnik geben wird, ist offen. Apple suche derzeit nach Mobilfunkchipsätzen, mit denen eine möglichst lange Akkulaufzeit erreicht werden kann. Diese könnten dann in künftigen Watch-Modellen eingesetzt werden. Laut Bloomberg wird die Apple Watch der zweiten Generation im Herbst 2016 vorgestellt. Demnach könnte das neue Modell zusammen mit der nächsten iPhone-Generation vorgestellt werden - möglicherweise im September 2016.

Bloomberg bestätigt ein anderes Ausstattungsdetail der Apple Watch, über das vergangene Woche berichtet wurde: Demnach wird das kommende Watch-Modell einen GPS-Empfänger samt Barometer erhalten, so dass die Smartwatch in diesem Punkt unabhängiger von einem iPhone wird. Bisher gelangen Ortungsdaten über eine Bluetooth-Verbindung vom iPhone auf die Smartwatch.Die Apple Watch der zweiten Generation soll nach dem Bericht von vergangener Woche einen leistungsfähigeren Prozessor und einen Akku mit einer größeren Kapazität erhalten. Es ist offen, ob das zu einer längeren Akkulaufzeit führt oder der größere Akku für die neuen Komponenten benötigt wird.

Das Uhrengehäuse soll eine bessere Wasserdichtigkeit erhalten. Bisher ist sie nur gegen Spritzwasser geschützt und nicht zum Schwimmen geeignet. Das Gehäuse wird Apple nur in wenigen Details verändern, so dass kein Modell mit rundem Ziffernblatt zu erwarten ist. Apple hat den Bloomberg-Bericht nicht kommentiert und die kommende Apple Watch noch nicht offiziell vorgestellt.Offen ist, ob die neue Watch erst kurz vor dem Verkaufsstart vorgestellt wird, wie es bei vielen Apple-Produkten mittlerweile üblich ist. Die erste Apple Watch wurde erst mehr als sieben Monate nach der Vorstellung auf den Markt gebracht. Sie wurde Anfang September 2014 vorgestellt, konnte aber erst Ende April 2015 gekauft werden.

Anders als von den Herstellern erhofft, ist das Interesse an Smartwatches weiterhin gering. Zuletzt gingen die Verkaufszahlen nach Erhebungen der Marktforscher von Gartner erheblich zurück. Auch Apple verkaufte im zweiten Quartal 2016 nur noch 1,6 Millionen Smartwatches - ein Jahr zuvor lagen die Verkaufszahlen bei 3,6 Millionen.Eine im März 2016 vorgenommene Preissenkung für die Apple Watch änderte nichts am geringen Interesse der Kunden. Das Watch-Einsteigermodell mit 38-mm-Bildschirm kostet seitdem regulär statt 400 Euro 350 Euro. Preissenkungen sind bei Apple sehr ungewöhnlich. Die Marktforscher gehen davon aus, dass sich Interessenten an der Watch zurückhalten und auf das neue Modell warten.

Der kanadische E-Reader-Hersteller Rakuten Kobo hat mit dem Kobo Aura One ein ungewöhnliches Lesegerät vorgestellt. Der 7,8 Zoll große E-Book-Reader ist wasserdicht und seine Beleuchtung soll wenige Blauanteile aufweisen.
Der Kobo Aura One ist ein 7,8 Zoll großer E-Book-Reader, der durchaus ins Wasser fallen darf, ohne Schaden zu nehmen. Er soll bis zu 60 Minuten in bis zu zwei Meter Wassertiefe unbeschadet überstehen. Das dürfte für Badewannenunfälle und Strandausflüge ausreichen. Trotz des großen E-Ink-Bildschirms mit 300 ppi und 1.872 x 1.404 Bildpunkten wiegt der Aura One nur 230 Gramm. Zum Vergleich: Der Kindle Paperwhite 3 mit 6 Zoll Display wiegt 206 Gramm.

Außerdem soll seine Beleuchtung wenige Blauanteile aufweisen. So soll der Nutzer besser einschlafen können. Eine ähnliche Funktion hat zum Beispiel Apple ab iOS 9.3 eingebaut. Das Licht des E-Readers lässt sich auch automatisch passend zur Umgebungshelligkeit dimmen. Online gehen kann das Gerät über WLAN 802.11 b/g/n. Der Akku wird über Micro USB aufgeladen.Der Kobo Aura One beinhaltet 50 Schriftgrößen und elf Schriftarten, mit denen der Anwender sein Leseerlebnis individualisieren kann. Der Speicher von 8 GByte soll etwa 6.000 Bücher vorhalten können. Der E-Book-Reader ist mit einem NXP-Solo-Lite-Prozessor und 512 MByte RAM ausgerüstet und soll hierzulande ab Anfang September 2016 für rund 230 Euro erhältlich sein.

Neben dem Aura One hat Kobo auch noch den E-Book-Reader Kobo Aura Edition 2 präsentiert. Dessen 6 Zoll großer E-Ink-Touchscreen bietet eine Auflösung von 1.024 x 768 Bildpunkten und 212 ppi. Der Speicher ist 4 GByte groß. Der Kobo Aura Edition 2 soll für rund 120 Euro auf den Markt kommen.Einen größeren Bildschirm als der Aura One hatte beispielsweise der Kindle DX. Auf seinem 9,7-Zoll-Bildschirm lassen sich auch Zeitungsartikel problemlos im Originallayout lesen.Die wenigsten Tablets haben einen HDMI-Anschluss. Ein 10-Zoll-Modell mit diesem Anschluss kommt nochmal in die Aldi-Filialen. Seit dem Verkauf Ende Mai 2016 ist der Preis gleich geblieben. Weiterhin ist die Ausstattung für 200 Euro sehr gut.
In den Filialen von Aldi-Nord gibt es ab dem 25. August 2016 nochmal Medions 10-Zoll-Tablet mit der Modellnummer P10506 für 200 Euro. Das P10506-Tablet gab es bei Aldi-Nord bereits Ende Mai 2016, es wurde bei Aldi-Süd Anfang Juni 2016 angeboten. Ob das Tablet in Kürze auch wieder bei Aldi-Süd ins Sortiment kommt, ist nicht bekannt. Das Tablet mit Full-HD-Display hat als Besonderheit einen Infrarotsender sowie einen HDMI-Anschluss und ist auch bei der Speicherausstattung gut aufgestellt. Andere Hersteller verlangen für ein Tablet mit einer vergleichbaren Ausstattung deutlich mehr.

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Lieber mögen die Arbeiter auf dem CTA die neuen AGVs: Sie haben einen Elektroantrieb und sind deshalb deutlich leiser als die Diesel-betriebenen. Zudem benötigen sie weniger Wartung und sind effizienter als die mit Verbrennungsmotoren. Rund 18 Stunden hält der Blei-Akku durch. Dann steuert das AGV eine Station an, wo der Akku automatisch gewechselt wird - ähnlich wie sich Shai Agassi das vor Jahren für den Straßenverkehr vorstellte.Allerdings haben die Blei-Akkus auch einen Nachteil: Einer wiegt 12 Tonnen. Die nächste Generation der Elektro-AGVs soll deshalb mit deutlich leichteren Lithium-Ionen-Akkus ausgestattet werden. Sie laden zudem schneller und brauchen deshalb nicht mehr gewechselt werden. Das AGV steuert eine Ladestation an und reiht sich, wenn der Akku voll ist, wieder in den laufenden Betrieb ein.

Diesen regeln rund 18.000 Transponder, die im Boden eingelassen sind: Sie sorgen dafür, dass die rund 90 AGVs nicht miteinander kollidieren, und sie leiten sie von den Ladebrücken zu den Blocklagern. Das sind lange Reihen aus Containern, rund 220 Meter lang und 24 Meter breit. 26 dieser Lager gibt es im CTA, und jedes wird von zwei Portalkränen versorgt. Sie sind verschieden groß, so dass beide im Blocklager arbeiten können, ohne sich in die Quere zu kommen. Hier werden die Container zwischengelagert, bis sie - im Schnitt nach zwei bis drei Tagen - abgeholt werden.Ein Containerterminal arbeitet dann effizient, wenn es so wenig Bewegung wie möglich gibt. Das heißt, ich möchte den Container so selten wie möglich anfassen, sagt Petters. Andererseits soll der Container abholbereit sein, wenn der Lkw vorfährt, und nicht tief unten in einem Stapel stehen.

Drahtlose Bluetooth-Ohrstecker sind aktuell in Mode - kosten aber meistens weit über 300 Euro. Fireflies Audio will das ändern und seine Ohrstecker für 100 US-Dollar anbieten. Ab dem 5. Juli 2016 sucht der Hersteller per Crowdfunding Unterstützer. Wer das Projekt früh unterstützt, zahlt nur 80 US-Dollar. Das US-amerikanische Unternehmen Fireflies Audio will mit seinen Fireflies-Kopfhörern eine preiswertere Alternative im Markt der drahtlosen Ohrstecker anbieten. Die Fireflies sollen per Crowdfunding finanziert werden und standardmäßig ab einem Unterstützungsbeitrag von 100 US-Dollar zuzüglich Versand zu bekommen sein. Im begrenzten Early-Bird-Special sollen die Ohrhörer auch für 80 US-Dollar erhältlich sein.

Wie The Dash oder Earin besteht das Fireflies-Set aus zwei kabellosen Einzelsteckern, die beide per Bluetooth an ein Audiogerät angeschlossen werden sollen. Auf diese Weise kommen die Stecker komplett drahtlos aus. Anders als The Dash fehlen den Fireflies-Steckern jedoch Sensoren für Fitness-Funktionen, sie dienen ausschließlich zum Anhören von Musik. Wie andere Konkurrenzgeräte auch sollen die Fireflies in einem kleinen Kästchen untergebracht werden, in dem die Stecker gleich geladen werden. Wie oft der Akku der Ladeschale die Stecker aufladen kann, ist noch nicht bekannt. Auch die Akkulaufzeit spezifiziert der Hersteller noch nicht - in einem Werbevideo ist lediglich von Stunden der Nutzung die Rede.

Wer die Fireflies während des Sports nutzen möchte, soll die im Lieferumfang enthaltenen Silikonflügel an die Stecker montieren. Diese sollen zusätzliche Stabilität bringen.Laut den Machern von Fireflies gibt es bereits einen funktionierenden Prototyp. Mit der Crowdfunding-Finanzierung soll die Produktion der Stecker finanziert werden, die Entwicklung ist abgeschlossen. Auch einen Fertiger habe man bereits gefunden. Dennoch besteht wie bei allen Crowdfunding-Kampagnen immer das Risiko, dass das Projekt doch nicht realisiert wird -die Zahlung des Unterstützungsbeitrags ist dementsprechend nicht mit einem Kauf vergleichbar.Die Crowdfunding-Kampagne startet am 5. Juli 2016. Ausgeliefert werden sollen die Fireflies-Stecker bereits im August 2016. Das Finanzierungsziel liegt bei 20.000 US-Dollar.

Xiaomi hat mit dem Mi Qicycle sein erstes Elektrofahrrad vorgestellt. Das Faltrad wiegt 14,5 kg und lässt sich für den Transport in öffentlichen Verkehrsmitteln zusammenfalten. Das Smartphone wird mittels Bluetooth mit dem Rad verbunden.
Xiaomi baut nach Smartphones, Wearables und Drohnen nun auch Elektrofahrräder. Das Mi Qicycle ist ein Faltrad, das nur 14,5 Kilogramm wiegt und mit einem 250 Watt starken Motor ausgerüstet ist. Die Stromversorgung des Pedelecs übernimmt ein Akku von Panasonic, der für eine Reichweite von bis zu 45 km ausreichen soll. Er steckt im Oberrohr des Fahrrads. Das Aufladen des Akkus an der handelsüblichen Haushaltssteckdose soll drei Stunden dauern. Die Trittkraftunterstützung reicht bis maximal 20 km/h. Der Fahrer kann auch schneller fahren, doch dann wird der Motor nicht mehr aktiv. Das Fahrrad wird zunächst nur in China vermarktet.s

Dafür ist die Steuerungssoftware zuständig. Sie kennt die Standorte der Container und weiß, wann diese abtransportiert werden. Die Kräne sortieren den Container immer wieder einmal um, damit er zu dem Termin verfügbar ist.Kurz bevor der Container das Lager verlässt, ist der Mensch wieder gefragt: Ein Bediener setzt den Container auf einem Lkw ab oder hebt ihn von dort hoch, aber nur jeweils zwei bis drei Meter. Das macht er per Joystick vor einem Bildschirm sitzend vom Kontrollzentrum aus. Es sei eine Sicherheitsmaßnahme, weil mit den Fahrern externes Personal beteiligt sei, sagt Petters. Die Fahrer müssen währenddessen aussteigen, ebenfalls aus Sicherheitsgründen: Sollte der Container beim Entladen nicht richtig losgemacht sein, würde der Kran ohne weiteres auch den Container mitsamt Lkw hochheben.

Ein automatisiertes Bocklager nutzt die Fläche effizienter als ein herkömmliches Lager. Dort transportieren Portalhubwagen, auch Van Carrier (VC) genannt, die Container. Van Carrier sind hochbeinige Fahrzeuge, die einen Container anheben, transportieren und stapeln können. Allerdings benötigen sie eine Fahrspur, so dass zwischen den Container-Reihen immer Platz als Fahrspur frei bleiben muss. Zudem kann ein Van Carrier die Boxen nicht so hoch stapeln wie der Portalkran.Da Flächen im Hamburger Hafen knapp sind, stellt die HHLA auch eines ihrer anderen Terminals um: Das Containerterminal Burchardkai (CTB), das größte Containerterminal im Hamburger Hafen, erhält ebenfalls ein automatisches Blocklager. So lasse sich die Lagerkapazität auf der gleichen Fläche verdoppeln, sagt Petters.

Mehr Kapazität auf gleicher Fläche schafft die HHLA derzeit auch beim Containerbahnhof des CTA: Wo bisher sieben Gleise lagen, sollen künftig neun Züge nebeneinanderstehen können. So erhöht sich die Kapazität von derzeit etwa 800.000 Standard-Containern (Twenty Feet Equivalent Unit, TEU) pro Jahr um 140.000 TEU pro Jahr.Das wiederum macht einen weiteren Automatisierungsschritt notwendig. Durch den Ausbau rücken die Schienenstränge näher zusammen, weshalb die Wege dazwischen verschwinden. Auf den Wegen fuhren früher Mitarbeiter auf kleinen Fahrzeugen an den Zügen entlang und scannten jeden Container, bevor er das Terminal verließ. Diese Aufgabe übernimmt inzwischen das Traingate. Der Zug fährt hindurch und Kameras erfassen die Kennung des Containers und mögliche Beschädigungen. Eine ähnliche Einrichtung gibt es auch für Container, die auf dem Lkw kommen oder das Terminal verlassen: Sie werden am OCR-Gate gescannt.

Nebenan im Hansaport werden Frachter entladen, die Kohle und Eisenerz nach Hamburg bringen. Das machen vier Entladebrücken, die am Tag 100.000 Tonnen Erz und Kohle entladen können. Auf der Brücke fährt ebenfalls eine Katze hin und her. Daran hängt ein Greifer, der das Schüttgut aus dem Laderaum des Schiffes löscht. Mit einem 3D-Laserscanner erfasst sie den Frachter am Kai, die Ladeluken an Deck, und sie erkennt, woraus die Ladung besteht. Ihre eigene Position bestimmt die Brücke per RTK-GPS.Ein Steuerungssystem gibt vor, wie das Schüttgut entladen wird. Da Kohle und Erz schlechte Fließeigenschaften haben, wird der Laderaum von den Ecken her ausgebaggert. Die besondere Herausforderung dabei: Der Laderaum ist größer als die Luke. Es reicht also nicht, den Greifer einfach in den Laderaum abzusenken. Um die Ecken zu erreichen, muss er in den Laderaum hineingeschwungen werden.

Der Greifer ist mit einem leistungsfähigen Trägheitsnavigationssystem (Inertial Navigation System, INS) ausgestattet, das ständig dessen Position ermittelt. So kann der Steuerrechner den Greifer bis auf einen halben Meter genau im Laderaum platzieren - und das, obwohl das Schiff ständig durch Wind und Wellen sowie durch den Wechsel der Tiden in Bewegung ist.Die ständigen Bewegungen des Schiffes verhindern hingegen ein automatisches Entladen der Container. Um die Boxen von Bord zu holen oder dort zu stapeln, sind sogar zwei Mitarbeiter nötig. Einer sitzt in der Kabine und fährt den Kran, der andere steht an Bord des Frachters und weist ein, weil aus der Kabine oft nicht genau zu erkennen ist, wo die Container abgesetzt werden müssen. Nach vier Stunden wechseln die beiden den Platz. Dass diese Aufgabe in nächster Zeit ebenfalls automatisiert wird, ist deshalb nicht zu erwarten. Konkurrent Rotterdam - vor Hamburg die Nummer eins der europäischen Häfen - braucht für diese Funktion zwar ebenfalls noch menschliches Personal. Aber der Kranfahrer sitzt im Terminal Maasvlakte 2 nicht mehr in der Kabine in luftiger Höhe und schaut zwischen seinen Beinen hindurch in die Tiefe, sondern im Kontrollraum. Von dort steuert er die Kranbrücke aus der Ferne per Joystick.

Das erleichtert die Arbeit: Der Kranfahrer muss nicht mehr stundenlang nach vorne gebeugt sitzen. Und es macht die Brücke noch etwas leistungsfähiger, weil die Katze schneller fahren kann, wenn kein Mensch darin sitzt.Denn darum geht es: Effizienz. Mehr Container auf der gleichen Fläche lagern und umschlagen. Dazu gehört, den Abtransport effizienter zu gestalten, indem der Verkehr künftig besser gesteuert wird.Es ist bei unserem Geschäftsmodell oft so, dass das, was ökonomisch sinnvoll ist, auch ökologisch sinnvoll ist, sagt Petters. Wir haben einen Nachhaltigkeitsbeauftragten. Den haben wir nicht so sehr, weil wir ein grünes Herz haben, sondern weil es ökonomisch sinnvoll ist, sich ökologisch sinnvolle Lösungen zu überlegen.

Ein Beispiel ist die Beleuchtung am Blocklager: Damit der Kranfahrer einen Container genau auf dem Lkw absetzen kann, muss er gute Sicht haben. Früher wurden dafür nach Einbruch der Dunkelheit konventionelle starke Scheinwerfer eingesetzt. Da diese sich nicht einfach ein- und wieder ausschalten ließen, leuchteten sie die ganze Nacht. Inzwischen werden die Scheinwerfer durch Leuchtdioden ersetzt, die bei Bedarf eingeschaltet werden können. Die Einsparungen entsprächen dem Strombedarf von 2.000 Haushalten, sagt Petters. Betrieben wird das CTA mit Strom aus nachhaltigen Quellen, unter anderem von Windrädern. Derzeit testet die HHLA zusammen mit dem Energieversorger Vattenfall das Terminal zudem als Energiespeicher: Bei Ökostromspitzen steuern die AGVs auch dann die Wechselstation an, wenn die Akkus noch gar nicht aufgeladen werden müssten, um diese Spitzen abzufangen.Doch trotz der ganzen Maschinen: Menschenleer ist es auf dem CTA nicht. Über 720 Menschen arbeiten auf dem Terminal. Und es nicht zu erwarten, dass sie wegautomatisiert werden.

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January 03, 2017

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Google hat die beiden Smartwatches nicht offiziell vorgestellt und wollte den Bericht wie üblich nicht kommentieren. Möglicherweise werden die Nexus-Smartwatches zusammen mit den nächsten Nexus-Smartphones vorgestellt, die von HTC stammen sollen. Es wäre aber auch denkbar, dass Google erst die Nexus-Smartphones vorstellt und die Ankündigung der Smartwatches später erfolgt.Huawei bringt seine ersten Matebook-Modelle auf den Markt. Sie sind teurer als gedacht, enthalten jetzt aber die Tastaturhülle. Damit steigt der Hersteller in den Markt für Windows-10-Tablets ein.
Knapp fünf Monate nach der Vorstellung auf dem MWC 2016 in Barcelona bringt Huawei das Tablet Matebook in Deutschland auf den Markt. Zunächst gibt es nur zwei der sechs angekündigten Modelle und die als Tastatur nutzbare Hülle gehört zum Lieferumfang. Die beiden Elektronikmarktketten Saturn sowie Media Markt verkaufen bereits zwei Matebook-Modelle, andere Händler werden wohl bald nachziehen. Huawei verwendet unterschiedliche Varianten von Intels Core M mit Skylake-Architektur.

Die ersten beiden verfügbaren Matebook-Modelle sind teurer als der Listenpreis, den Huawei im Februar 2016 genannt hatte. Allerdings gibt es jetzt die Tastaturhülle dazum, die einzeln 150 Euro kosten soll. Das Einstiegsmodell mit Core M3-6Y30, 4 GByte RAM und einer 128 GByte großen SSD kostet 877 Euro und mehr. Den Listenpreis hatte Huawei seinerzeit mit 800 Euro angegeben - damals ohne Tastaturhülle. Das Modell mit 256-GByte-SSD ist noch nicht verfügbar und soll irgendwann für 950 Euro erscheinen. Beim anderen verfügbaren Matebook handelt es sich um das Modell mit Core M5, 8 GByte RAM und 256-GByte-SSD, das 1.172 Euro und mehr kostet. Es ist damit weniger stark im Preis gestiegen, eigentlich sollte es für 1.150 Euro auf den Markt kommen. Für 1.350 Euro soll diese Variante mit einer 512 GByte großen SSD erscheinen, ist aber ebenfalls noch nicht verfügbar.

Auch die beiden Topmodelle mit einem Core M7-6Y75 sind noch nicht verfügbar. Das Basismodell mit 8 GByte RAM und 256-GByte-SSD soll 1.600 Euro kosten und wer das Tablet mit 512 GByte großer SSD nimmt, muss 1.800 Euro zahlen. Derzeit ist davon auszugehen, dass auch die übrigen Modelle teurer werden, weil die Tastaturhülle jetzt dabei ist.Das Matebook hat einen 12 Zoll großen IPS-Touchscreen mit einer Auflösung von 2.160 x 1.440 Pixeln. Mit einem Seitenverhältnis von 3:2 ähnelt es damit dem Surface Pro von Microsoft. Huawei gibt an, dass das Display eine hohe maximale Helligkeit von hohen 400 cd/qm haben soll. Beim Vorserienmodell auf dem MWC war davon allerdings nicht viel zu merken. Damit erschien es unwahrscheinlich, dass Inhalte unter direktem Sonnenlicht noch gut erkennbar sind.

Das Matebook-Tablet misst 279 x 194 x 7 mm und ist mit einem Gewicht von 640 Gramm angenehm leicht. Trotz des dünnen Gehäuses macht es einen stabilen Eindruck und ist verwindungssteif. Dazu trägt auch das Unibody-Gehäuse aus Aluminium bei. In den Gehäuserand ist ein Fingerabdrucksensor integriert, mit dem sich das Tablet unmittelbar entsperren lässt, wie es bei Android-Geräten üblich ist. Der Fingerabdrucksensor reagierte beim ersten Ausprobieren schnell und zuverlässig.Das Tablet verbindet sich standardmäßig per WLAN mit dem Internet, eine LTE-Funktion fehlt. Das Tablet hat einen USB-Typ-C-Anschluss sowie eine Kopfhörerbuchse. Im Tablet steckt ein fest verbauter Akku mit 33,7 Wattstunden, mit dem bei durchschnittlicher Nutzung eine Akkulaufzeit von bis zu 10 Stunden erreicht werden soll.

Das Matebook-Tablet kann in die Tastaturhülle eingesteckt werden und sitzt dann fest in der Hülle. Sie bietet zwei verschiedene Haltepositionen, die sich aber nur minimal unterscheiden. In jedem Fall empfiehlt es sich, die Kombination auf einem ebenen Untergrund zu verwenden. Der Einsatz auf dem Schoß dürfte zu wackelig sein und kann damit ein Notebook nicht ersetzen.Die Tastatur hat einen ordentlichen Druckpunkt, das Schreiben darauf ist angenehm. Der Tastenhub ist zwar nur gering, genügt aber, um deutlich zu merken, wenn eine Taste betätigt wird. Die Tastatur ist wasserabweisend, und ein paar Wasserspritzer störten nicht - die Tastatur ließ sich ohne Einschränkungen weiterverwenden. Wird die Tastatur nicht benötigt, kann sie als Schutztasche für das Tablet dienen.Huawei hatte speziell für das Matebook weiteres Zubehör angekündigt, das bislang allerdings nicht verfügbar ist. So soll es für 70 Euro einen Stylus namens Matepen geben und die Dockingstation namens Matedock soll für 100 Euro erscheinen.

Samsungs Gear 360 bietet eine einfache Möglichkeit, Rundumpanoramen anzufertigen und sie beispielsweise direkt bei Facebook oder Youtube zu teilen. Im Test erweist sie sich als eine der besten günstigen Kameras am Markt - wenn auch nicht ohne Schwächen. In diesem Artikel finden sich mehrere 360-Grad-Bilder, die über einen Viewer von Google betrachtet werden können. Da die einzelnen Bilder mitunter recht groß sind, werden sie erst geladen, wenn sie angeklickt werden. Auf mobilen Geräten lassen sich die Panoramen auch mit Bewegungen des Endgerätes erkunden. 360-Grad-Kameras bieten die Möglichkeit, mit einem Bild ein komplettes Rundum-Panorama der Umgebung aufzunehmen - was an vielen Orten zu interessanteren Ergebnissen als herkömmlichen Fotos führt. Neben teuren Lösungen wie der Panono-Kamera gibt es neuerdings von Samsung eine günstige Rundumkamera: die Gear 360, die bei einem Preis von 350 Euro mehr als 1.000 Euro weniger als die Panono kostet.

Der Vorteil von Panoramas einer echten 360-Grad-Kamera wie der Gear 360 gegenüber einem aus zahlreichen Einzelfotos gestitchten Panorama ist, dass Bewegungen von Objekten im Bild nicht zu Bildfehlern führen. Zudem ist der Bequemlichkeits- und Schnelligkeitsfaktor zu berücksichtigen: Mit einer 360-Grad-Kamera macht der Nutzer einfach ein Bild, und fertig ist die Panorama-Aufnahme.Bei früheren Panorama-Kameras wie der Ricoh Theta mussten wir die Bildqualität stark bemängeln. Die Gear 360 macht diesbezüglich einiges besser, zeigt aber, dass auch sie noch Luft nach oben hat. Golem.de hat die Kamera unter anderem in China ausprobiert.Anders als die Ricoh Theta oder die 360 Cam von LG ist Samsungs Gear 360 kugelförmig. Die Größe liegt in etwa zwischen denen eines Golf- und eines Tennisballs. Panoramabilder und -videos werden aus zwei Bildern erstellt, die die Kamera gleichzeitig aufnimmt. Dafür hat sie zwei Fisheye-Objektive, die gegenüberliegend eingebaut sind. Im unteren Bereich ist die Gear 360 abgeflacht, so dass sie hingestellt werden kann, ohne wegzurollen. Hier ist auch ein Stativgewinde eingebaut; praktischerweise liefert Samsung gleich ein kleines Klappstativ mit, das zusammengelegt als Handgriff dient.

Von der Bedienung her ist die Gear 360 simpel: Nach dem Einschalten der Kamera wird über einen mit einem roten Punkt markierten Knopf an der Oberseite ein Foto geschossen oder ein Video gestartet. Zwischen den Betriebsmodi wird mit dem Menü-Button an der Seite der Kamera umgeschaltet, der über dem Einschalter sitzt. Zu den weiteren Betriebsmodi zählen eine Zeitraffer- und eine Video-Loop-Funktion. Hier werden neue Videoaufnahmen nach Ablauf eines vorbestimmten Intervalls wieder mit neuen Daten überschrieben.Einige Einstellungen können direkt an der Kamera im Einstellungsmenü vorgenommen werden, etwa die Auswahl der verwendeten Objektive - wahlweise lässt sich die Gear 360 auch mit nur einer Linse als Actioncam verwenden. Weitaus bequemer und auch umfangreicher lässt sich die Kamera aber über die zugehörige App konfigurieren. Hier lassen sich die Bildqualität beziehungsweise Videoauflösung, der Weißabgleich, die Belichtungskorrektur und der HDR-Modus einstellen.

Mit der Gear 360 lassen sich auch ohne ein über die App verbundenes Smartphone Fotos und Videos aufnehmen, die App ist aber dank eines Live-Suchers in vielen Situationen zur Kontrolle und als Fernauslöser praktisch. Zudem ist die App für die Zusammensetzung des aufgenommenen Bildmaterials zuständig: Nach der Übertragung auf das Smartphone erhalten wir ein fertig zusammengesetztes Foto oder Video, das direkt angeschaut oder geteilt werden kann. Videos können auch auf dem Smartphone geschnitten werden, was aktuell aber nicht über das Kürzen hinausgeht. Aktuell ist die App nur für Galaxy-S6- und Galaxy-S7-Modelle verfügbar. Andere Smartphone-Besitzer können die Anwendung momentan noch nicht aus dem Play Store heraus installieren. Wie Samsung uns vor der Präsentation der Gear 360 erklärte, soll die Kompatibilität mit anderen Smartphones noch folgen; aktuell kann uns der Hersteller aber keinen Zeitrahmen dafür nennen. Dementsprechend ist die Panorama-Kamera momentan Galaxy-exklusiv.

Samsung legt der Kamera allerdings einen Lizenzcode für das PC-Bearbeitungsprogramm Gear 360 Action Director bei. Damit lassen sich sowohl Videos als auch Fotos direkt von der Speicherkarte importieren. Zusammengesetzt werden sie in der gleichen Qualität wie vom angeschlossenen Smartphone - offenbar wird der gleiche Algorithmus eingesetzt. Jedes importierte Foto und Video wird automatisch gestitcht und auf dem Rechner gespeichert. Dadurch ist die Gear 360 auch ohne Galaxy-Smartphone nutzbar, Nutzer müssen dann aber auf zahlreiche Einstellungsmöglichkeiten, die Live-Vorschau und das schnelle Teilen verzichten.Die Bildqualität der Gear 360 ist um einiges besser als etwa die der Ricoh Theta. In den Details ist die Gear 360 wesentlich schärfer und weniger vermatscht. Besonders Fotos sind angenehmer zu betrachten. Videos sind jedoch auch bei höchster Auflösung verglichen mit den Fotos merklich unschärfer.Nagelneu Laptop-Batterie, Laptop Akku online shop - akku-fabrik.com

Die verglichen mit der Theta bessere Bildqualität darf aber auch bei der Gear 360 nicht darüber hinwegtäuschen, dass das Material selbst verglichen mit Smartphone-Kameras deutlich schlechter aussieht. Verglichen mit den Kameras des Galaxy S6 und S7 sind die Bildergebnisse weniger scharf, zudem sind Detailzeichnung und Dynamikumfang schlechter. Zoomen wir in ein Foto hinein, wird das Bild schnell schwammig; zudem hat die Kamera bei Gegenlicht mit chromatischen Aberrationen Probleme. Den 360-Grad-Blick zahlen auch Nutzer von Samsungs Rundumkamera beim heutigen Stand der Technik mit Abstrichen in der Bildqualität.Dazu kommen noch die mitunter sichtbaren Stitching-Fehler in den Bereichen, in denen die beiden Objektive der Gear 360 aufeinandertreffen. Besonders bei Objekten, die nah an der Kamera sind, können wir mitunter auffällige Bildfehler erkennen. Im unteren Bereich der Bilder ist dies unumgänglich, da sich hier das Stativ oder die Hand des Nutzers befindet; die Fehler ziehen sich aber über die gesamte Höhe des Bildes.

Ansonsten finden wir das Stitching aber in den meisten Situationen sehr gelungen. Achtet der Nutzer auf einen gewissen Mindestabstand von Objekten rund um die Kamera, kommt es nicht zu dramatischen Bildfehlern. In manchen Lichtsituationen ist ein leichter Helligkeitsunterschied an der Stelle zu erkennen, an der die beiden Teilbilder aufeinandertreffen. Oft ist dieser Rand aber nur im unteren Bereich zu auszumachen und nicht im kompletten Bild oder Video.Enttäuscht waren wir vom Ton, den die Gear 360 aufnimmt. Dieser wird nicht räumlich aufgezeichnet, bei einem Video ändert sich dementsprechend nicht die Richtung, aus der Ton kommt. Zudem sind die Audioaufnahmen sehr leise, sobald sich die Tonquelle etwas von der Kamera entfernt befindet.

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Akku Acer Aspire 3500

Die Fireflies werden mit einer Ladeschale ausgeliefert, die selbst mit einem Akku versehen ist. Dadurch lassen sich die Akkus in den Ohrhörern beim Verstauen aufladen. Bis zu drei Aufladevorgänge sollen damit möglich sein. Die Akkus in den Ohrhörern sind spätestens nach drei Stunden leer. Hier macht sich die geringe Größe negativ bemerkbar. Zusammen mit der Ladeschale sind mobil bis zu 12 Stunden Ladezeit möglich, allerdings muss zwischendurch Zeit zum Aufladen eingeplant werden. Wie lange das Aufladen der Ohrhörer-Akkus dauert, ist nicht bekannt.Laut den Machern von Fireflies gibt es einen funktionierenden Prototyp. Mit der Crowdfunding-Finanzierung soll die Produktion der Ohrhörer finanziert werden, die Entwicklung sei abgeschlossen. Auch einen Fertiger habe man bereits gefunden. Dennoch besteht wie bei allen Crowdfunding-Kampagnen immer das Risiko, dass das Projekt doch nicht realisiert wird - die Zahlung des Unterstützungsbeitrags ist dementsprechend nicht mit einem Kauf vergleichbar.

Samsung liefert die kabellosen Ohrhörer Gear IconX in Deutschland aus. Die Ohrhörer haben einen eigenen MP3-Player und einen Pulsmesser. Damit sollen sie gut für Sportaktivitäten geeignet sein. Die Akkulaufzeit verschweigt Samsung weiterhin.
Die kabellosen Ohrhörer Gear IconX können in Samsungs Onlineshop bestellt werden und kosten 230 Euro. Das Modell in Schwarz wird gleich geliefert, während die Modelle in Blau und Weiß erst später erscheinen werden. Im übrigen Handel sind die kabellosen Ohrhörer noch nicht erschienen, es könnte also noch einige Zeit dauern, bis sie allgemein verfügbar sind. Die Gear IconX bestehen aus zwei Ohrhörern, die keine Kabelverbindung aufweisen und drahtlos miteinander in Kontakt treten. Sie können zum Musikhören verwendet werden, aber auch sportliche Aktivitäten lassen sich damit protokollieren. In den Ohrhörern sind ein Pulsmesser sowie Sensoren enthalten, um das Sporttraining zu unterstützen. Das Gear IconX soll sich automatisch einschalten, sobald es im Ohr sitzt. Zum Aufzeichnen einer sportlichen Aktivität muss auf das Touchpad auf einem der beiden Ohrhörer gedrückt werden. Dabei soll das Gerät automatisch erkennen, welche Art von Sport der Nutzer gerade treibt.

Die Gear IconX sind so konzipiert, dass beim Sporttreiben kein Smartphone benötigt wird. Dabei soll auch die Unterhaltung nicht zu kurz kommen. In Samsungs Ohrhörern stecken 4 GByte Speicher, um darauf Musik abzulegen und diese abspielen zu können. Der für den Anwender nutzbare Speicher beträgt 3,5 GByte. Die Steuerung der Musik und Lautstärke erfolgt über das Touchpad. Ansonsten kann das Samsung-Set mittels Bluetooth mit einem Android-Smartphone verbunden werden, um dann auch Anrufe damit zu tätigen.Mitgeliefert werden drei verschieden große Stöpsel und Umrandungen, damit sie fest ohne zu drücken im Ohr sitzen können. Wie die Verbindung zwischen den beiden Steckern zustande kommt, verrät Samsung nicht. Die Gear IconX befinden sich in einem spritzwassergeschützten Gehäuse.Gear IconX zeichnet unter anderem die Distanz, Geschwindigkeit, verbrannte Kalorien und die Herzrate auf. Diese Werte lassen sich später mit Samsungs Fitness-App S Health auf einem Smartphone synchronisieren. Die Pulsrate kann auch in Echtzeit auf ein Smartphone übertragen und von bestimmten Drittanbieter-Apps ausgewertet werden.

Per Sprachausgabe wird der Nutzer über den aktuellen Stand seines Trainings informiert. Dabei sollen die Ohrhörer auch anhand der Herzrate erkennen können, ob der Nutzer in einem für das Training effektiven Bereich liegt. Die Gear-IconX-Hörer sollen Straßenlärm gut abschirmen; falls der Nutzer aus Sicherheitsgründen die umliegenden Geräusche hören muss, können diese eingeblendet werden.Die Ohrhörer haben einen 47-mAh-Akku, der in einer speziellen Ladeschachtel geladen wird. Die Ladeschachtel hat einen 315-mAh-Akku, mit dem die beiden Ohrhörer-Akkus geladen werden können. Samsung verspricht mit der Schachtel zwei Ladevorgänge, bevor der größere Akku in der Schachtel erschöpft ist. Zu Akkulaufzeiten macht Samsung keine Angaben. Zum Vergleich: Die nur zum Musikhören geeigneten Fireflies bieten eine Akkulaufzeit von lediglich drei Stunden. Auf einem ähnlichen Niveau dürfte die Akkulaufzeit der Samsung-Modelle liegen.

Zyxel hat einen mobilen LTE-Router vorgestellt, der per Micro-USB-Buchse mit Strom versorgt wird. Der LTE4506 kann die Daten nicht nur schnell ins Mobilfunknetz bringen, sondern auch fix lokal verteilen. Für den weltweiten Einsatz muss sich der Anwender jedoch erst einmal informieren. Zyxels LTE4506 ist ein für den mobilen Einsatz vorgesehener Router. Er bringt allerdings keinen integrierten Akku mit, sondern wird stattdessen per Micro-USB mit Strom versorgt. Das heißt, für einen Feldeinsatz braucht es entweder eine Powerbank oder das Gerät wird von einer anderen USB-Stromquelle versorgt. Mit einem Gewicht von 150 Gramm und 66,8 x 66,8 x 110,5 mm ist das Gerät zudem recht kompakt. Das ist etwas kleiner als eine handelsübliche Getränkedose (0,33 Liter). Zum Gerät gehört ein recht fähiges Mobilfunkmodem. So wird beispielsweise LTE Carrier Aggregation unterstützt, um Geschwindigkeiten bis 300 MBit/s im Download erreichen zu können. Im Upload sind es 50 MBit/s. Der Router unterstützt insgesamt neun Bandkombinationen für Carrier Aggregation, wie dem Datenblatt zu entnehmen ist. Laut Zyxel entspricht das Modem dem LTE-Cat-6-Standard. Wer auf Reisen geht, sollte aber trotzdem überprüfen, welche LTE-Bänder benötigt werden, denn umfassend ist die Unterstützung von LTE nicht. Es können die Bänder 1, 3, 7, 8, 20, 28 und 40 genutzt werden. Viele Smartphones sind da flexibler.

Der Router unterstützt aber auch ältere Funktechniken, darunter unter anderem Dual-Channel-HSPA, also rund 42 MBit/s. Aber auch hier sind die Frequenzen mit 2.100 und 900 MHz im 3G-Betrieb und 1.800 sowie 900 MHz im 2G-Betrieb recht eingeschränkt.Für die lokale Verteilung hat sich Zyxel hingegen für eine großzügige Ausstattung entschieden. An der Rückseite des LTE4506 befindet sich eine Gigabit-Ethernet-Buchse und für die Funkverteilung wird 802.11ac mit einer 2x2-Konfiguration unterstützt, so dass in der Bruttodatenrate 867 MBit/s möglich sind. Arbeitsgruppen können also auch untereinander recht schnell Daten austauschen. Bis zu 32 simultane Nutzer sieht das System vor. Für ältere Clients wird zudem 802.11a/b/g/n unterstützt und SSIDs können auf beiden Frequenzbändern aufgespannt werden. Für eine schnelle Verbindungseinrichtung wird WPS unterstützt.

Dieses Jahr könnten erste Nexus-Smartwatches von Google erscheinen. Die beiden Smartwatches werden wohl mit Android Wear 2.0 laufen und sollen ein rundes Ziffernblatt haben.
Google arbeitet derzeit an zwei Nexus-Smartwatches, berichtet Android Police mit Verweis auf eine vertrauenswürdige Quelle. Das Blog ist für gewöhnlich gut über künftige Pläne zu neuen Google-Produkten informiert. Wenn sich die Angaben von Android Police bewahrheiten, wären es die ersten Nexus-Smartwatches. Bisher gibt es noch keine Smartwatches mit Nexus-Branding.

Zwar gab es schon die ersten Android-Wear-Smartwatches im Google-eigenen Store zu kaufen, die Geräte kamen aber von den Google-Partnern wie Samsung, Motorola oder LG. Eine explizite Nexus-Smartwatch gab es bisher nicht. Im Herbst 2016 will Google eine neue Hauptversion seines Smartwatch-Betriebssystems Android Wear auf den Markt bringen. Im Zuge dessen werden neue Smartwatch-Modelle mit Android Wear 2.0 erwartet. Hier will Google sich nicht auf seine Partner verlassen, sondern zwei eigene Smartwatches mit Nexus-Brand herausbringen. Derzeit ist nicht bekannt, ob Google hier wie bei den Nexus-Geräten üblich mit einem Hardwarepartner zusammenarbeitet. Die beiden Nexus-Smartwatches werden unterschiedlich ausgestattet sein, haben aber beide ein rundes Uhrendisplay.

Ein größeres Modell mit dem Codenamen Angelfish soll einen Durchmesser von 43,5 mm haben. Die Angelfish-Uhr soll drei Knöpfe für die Bedienung haben und damit sportlich wirken. Alle drei Knöpfe sollen an der rechten Seite des Gehäuses untergebracht sein, um eine große Drehkrone postieren sich zwei kleinere Knöpfe. Welche Funktionen mit den beiden kleineren Knöpfen möglich sein werden, ist nicht bekannt.Die Smartwatch soll nicht nur mit einem GPS-Empfänger und einem Pulsmesser, sondern auch mit einem LTE-Modem ausgestattet sein, um auch ohne Smartphone Verbindung zum Internet zu halten. Durch die Ausstattung kann die Smartwatch auch sinnvoll ohne Smartphone verwendet werden. Außerdem ist ein entsprechend leistungsfähiger Akku geplant, was zu einem vergleichsweise dicken Gehäuse von 14 mm führt.

Mit Swordfish plant Google eine kleinere und schwächer ausgestattete Smartwatch. Das 42 mm große Modell soll mit 1,06 mm kleiner und deutlich dünner sein. Dafür fehlen Sonderfunktionen wie ein LTE-Modem, ein GPS-Empfänger und wohl auch ein Pulsmesser. Dieses Modell wird also stärker auf eine Zusammenarbeit mit einem Smartphone angewiesen sein. Außerdem hat die Smartwatch nur einen Knopf, der sich ebenfalls am rechten Gehäuserand befindet.Beide Smartwatches sollen Google Assistant nutzen können, den Nachfolger von Google Now. Es könnte sogar sein, dass der Google Assistant nur auf den Google-eigenen Geräten vorhanden sein wird. Damit würde sich Google stärker als bisher von der Konkurrenz abheben. Bisher zeichneten sich Nexus-Geräte nicht durch Softwarezugaben aus. Ganz im Gegenteil ging es bei den Nexus-Geräten eher darum, nur das Nötigste mit dabeizuhaben.

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January 02, 2017

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Dass in dem Klimastuhl Technik verbaut ist, fällt auf den ersten Blick nicht auf. Nur zwei Kippschalter auf der rechten Seite zeigen die Heiz- und Kühlfähigkeit an. Wir lassen uns in den Sitz fallen. Obwohl in der Sitzfläche und der Rückenlehne Lüfter und Heizelemente sitzen, ist davon nichts zu spüren. Die Polsterung ist nicht härter ausgelegt als bei unseren anderen Bürostühlen. Obwohl die Juni-Temperaturen es nicht erfordern, probieren wir zuerst die Heizfunktion. Wir stellen den vorderen Kippschalter auf Heizen, den hinteren auf Stufe 2. Es wird merklich warm, aber nicht heiß. Die Temperatur soll den Sitzenden nicht zum Kochen bringen, sondern nur den Wärmeverlust in einer kalten Umgebung kompensieren. Es fühlt sich an wie eine klassische Sitzheizung im Auto.

Bei mehr als 30 Grad Außentemperatur ist die Lüfterfunktion natürlich viel interessanter. Also stellen wir den Kippschalter auf Lüften. Und schon fängt der Sessel leise an zu surren. Je nach Dicke des Sitzfleischs oder der Hose sind auf Stufe 2 leichte, nicht unangenehme Vibrationen spürbar. Als wir auf Stufe 1 zurückschalten, merken wir nur noch die Kühle. Einen Luftstrom spüren wir dabei nicht. Die Lüfter pusten die Luft nicht etwa in den Rücken, sondern saugen die warme Luft vom Körper ab, ganz genauso, wie ein PC-Kühler die Abwärme einer CPU abtransportiert. Dass dabei auch die Luftfeuchtigkeit am Körper, sprich Schweißverdunstungen, abgeführt wird, ist vor allem nach der Radfahrt ins Büro eine willkommene Wirkung.

Nicht jeder dürfte sich aber über das Lüftergeräusch freuen. In einem stillen Büro ist es auch auf Stufe 1 hörbar und entspricht dem typischen Säuseln eines mäßig beschäftigten PC-Lüfters. Wer Kopfhörer trägt oder in einem Büro mit Getuschel und Vieltelefonierern sitzt, dürfte davon aber nichts mitbekommen. Leiser als ein klassischer Standlüfter ist der Stuhl auf jeden Fall.Am Ende des ersten Arbeitstags entnehmen wir den Akku. Dazu brauchen wir ihn nur herauszuziehen. An seiner Seite befindet sich eine mehrfarbige LED als Anzeige für den Ladestand, bei Druck auf den zugehörigen Knopf zeigt sie die noch verfügbare Akkukapazität per Ampelfarben an. Bei uns ist sie noch im grünen Bereich, ein Resultat der Stromspartechnik der Elektronik. Der Bürostuhl ist mit einem Drucksensor versehen. Geheizt oder gelüftet wird nur, wenn jemand darauf sitzt.

Es ist uns während des Tests nicht gelungen, den Akku innerhalb eines Arbeitstages zu leeren. Laut Klöber reicht der Akku im Lüfterbetrieb für 32 Stunden (Stufe 1) beziehungsweise 16 Stunden (Stufe 2). Im Heizbetrieb ist die Akkulaufzeit deutlich kürzer: 17 beziehungsweise 8,5 Stunden. Die Kapazität des Akkus beträgt 5.200 mAh, die Ausgangsspannung 11,1 Volt. Ist der Akku doch einmal leer, muss er entnommen und mit dem mitgelieferten 12,6-Volt-Netzteil wieder aufgeladen werden. Statt darauf zu warten, luden wir den Akku aus Gewohnheit einfach alle drei Tage.Einen speziellen Effekt bemerkten wir im Laufe des Tests bei unserer Sitzhaltung. Statt irgendwann im Stuhl zu lümmeln, hielten wir uns die meiste Zeit tatsächlich aufrecht, wie es Orthopäden empfehlen. Der Grund ist simpel: Die Lüfter und die Heizelemente befinden sind im hinteren Teil der Sitzfläche und im unteren Teil der Rückenlehne. Wer von der Technik profitieren will, muss zwangsläufig korrekt sitzen.

So angenehm der Stuhl ist, preiswert ist die private Klimaanlage nicht. In der von uns getesteten Ausstattung kostet der Klimastuhl mehr als 1.200 Euro. Der Hersteller rechtfertigt den hohen Preis mit den potenziellen Einsparungen bei klassischen, individuellen Heiz- oder Kühlmethoden und der Vermeidung baulicher Änderungen sowie mit der höheren Produktivität, wenn Mitarbeiter bei ihrer Wohlfühltemperatur arbeiten können.Wer nicht alle Verstellfunktionen braucht oder wem die Heiz- beziehungsweise Lüfterfunktion in der Sitzfläche ausreicht, der kann den Preis aufgrund der modularen Bauweise um einige Hundert Euro reduzieren.

Während der heißen Tage schalten wir den Standlüfter beim Betreten des Büros fast automatisch an. Eine Klimaanlage hat bei uns nur der Serverraum, wir haben während des Tests nicht unter Hitze gelitten, obwohl der Standlüfter aus blieb. Endlich konnten wir mal wieder Zettelchen auf dem Schreibtisch liegenlassen, ohne Gefahr zu laufen, dass diese bei der nächsten Gelegenheit verwirbelt würden. Leider gibt unser Budget die Kosten für den Klimastuhl derzeit nicht her. Wer aber im Winter zum 2.000-Watt-Fußheizer greifen muss oder wer räumliche Maßnahmen aus baulichen oder aus Kostengründen ausfallen lassen muss, bei dem dürfte die Rechnung anders ausfallen. Das auf der Computex 2016 vorgestellte Zenfone 3 Deluxe wird in einer Ausstattungsvariante den neuen Snapdragon 821 als SoC haben. Außerdem hat es 6 GByte RAM, 256 GByte Flash-Speicher und eine 23-Megapixel-Kamera. Für diese Ausstattung will Asus umgerechnet 700 Euro haben.
Asus hat in Taiwan auf einem Launch-Event angekündigt, dass das Android-Smartphone Zenfone 3 Deluxe in der Topversion mit Qualcomms neuem SoC Snapdragon 821 erscheinen wird. Damit ist das erstmals auf der Computex 2016 vorgestellte Smartphone das erste mit der verbesserten Version des Snapdragon 820.

Der Snapdragon 821 hat eine etwas höhere Taktrate als das 820er-Modell: Die beiden stärkeren Kerne kommen auf 2,4 anstelle von 2,2 GHz. Auch die Leistung der beiden schwächeren Kerne könnte angehoben sein, nähere Details hatte Qualcomm nicht verraten.Das Zenfone 3 Deluxe wird allerdings nur in der teuersten Version mit dem Snapdragon 821 erscheinen. Dann sind auch 6 GByte RAM und 256 GByte Flash-Speicher eingebaut. Laut Engadget soll das Smartphone dann 25.000 Neue Taiwan-Dollar kosten, umgerechnet 700 Euro.Die beiden günstigeren Modelle kommen mit dem bisherigen Snapdragon-820-Prozessor und entweder mit 4 GByte RAM und 32 GByte Flash-Speicher für 16.000 Neue Taiwan-Dollar (450 Euro) oder mit 6 GByte RAM und 64 GByte Flash-Speicher für 18.000 Neue Taiwan-Dollar (505 Euro). Alle drei Modelle haben einen Steckplatz für Micro-SD-Karten.

Ansonsten sind die Geräte technisch identisch ausgestattet: Das OLED-Display ist 5,7 Zoll groß und hat eine Auflösung von 1.920 x 1.080 Pixeln. Die Pixeldichte beträgt 386 ppi. Das Gehäuse ist komplett aus Metall, es gibt auch keine sichtbaren Kunststoffeinleger für die Antennen. Auf der Rückseite ist ein Fingerabdrucksensor eingebaut.Die Kamera auf der Rückseite hat 23 Megapixel, einen zweifarbigen LED-Blitz, Laser-Autofokus und ein Objektiv mit sechs Linsenelementen. Die Anfangsblende beträgt f/2.0, für ruckelfreie Bilder und Videos sind sowohl ein optischer als auch ein elektronischer Bildstabilisator eingebaut. Die Frontkamera hat eine Auflösung von 8 Megapixeln.

Das Zenfone 3 Deluxe unterstützt LTE, Nutzer können zwei SIM-Karten verwenden. WLAN beherrscht das Smartphone nach 802.11ac, Bluetooth läuft in der Version 4.2. Ein GPS-Empfänger und ein NFC-Chip sind eingebaut. Der Akku hat eine Nennladung von 3.000 mAh und soll dank Boostmaster-Schnellladefunktion in 39 Minuten 60 Prozent der Ladung aufnehmen können.Ausgeliefert wird das Zenfone 3 Deluxe mit Android 6.0, auf dem Asus seine eigene Benutzeroberfläche installiert. Wann das Smartphone in welcher Ausstattungsvariante und zu welchem Preis nach Deutschland kommen wird, ist noch nicht bekannt.

Superbook ist ein neuer Versuch, ein Smartphone zum Laptop zu machen: An eine Notebook-Einheit ohne Prozessor wird ein Smartphone angestöpselt, das dann als Recheneinheit fungiert. Ob es dafür Interesse gibt, wird sich in einer Crowdfunding-Kampagne zeigen. Das Startup Andromium hat mit Superbook ein Notebook-Dock für Smartphones vorgestellt. Mit Superbook sollen sich Android-Smartphones einfach zu einem Laptop umfunktionieren lassen. Dafür soll das Smartphone per USB mit dem Superbook verbunden werden.In einem Demovideo zeigen die Macher, wie nach der Verbindung auf dem Superbook eine Nutzeroberfläche gestartet wird. Hier sollen sich die auf dem Smartphone installierten Android-Apps ausführen lassen, die dank eingebautem Touchpad und Tastatur besser bedient werden können. Dabei sollen sich Anwendungen wie bei Windows in Fenstern öffnen lassen. Zusätzlich soll es spezielle Superbook-Apps geben.Nagelneu Laptop-Batterie, Laptop Akku online shop - akku-fabrik.com

Die Verbindung zwischen Superbook-Dock und Smartphone wird durch eine spezielle App namens Andromium OS ermöglicht, die auf dem Smartphone installiert sein muss. Sie ist in einer Betaversion bereits im Play Store verfügbar und kann momentan dafür genutzt werden, ein Smartphone per MHL-Adapter oder Chromecast und Miracast-Verbindung mit einem Monitor zu verbinden.Das Superbook soll ein 11,6 Zoll großes Display in HD-Auflösung haben. Der eingebaute Akku soll für eine Laufzeit von über acht Stunden ausreichen und bei Anschluss eines Smartphones dieses aufladen. Die Voraussetzung aufseiten der Smartphones ist Android 4.4.2. An technischen Vorgaben empfehlen die Superbook-Macher mindestens 2 GByte Arbeitsspeicher und einen Snapdragon-800-SoC als unterste Grenze.

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Der chinesische Drohnenhersteller DJI und Hasselblad haben eine Drohne mit einer professionellen Luftbildkamera vorgestellt, die 50 Megapixel große Bilder aufnimmt. Die Drohne Matrice 600 trägt Nutzlasten von bis zu 6 kg.
Unter die neue Drohne Matrice 600 von DJI lässt sich eine Hasselblad-Kamera A5D mit 50 Megapixeln Auflösung unterschnallen, die mit einem Gimbal auf die Motive ausgerichtet wird. DJI hatte 2015 eine Minderheitsbeteiligung bei Hasselblad erworben. DJI stößt mit dem neuen Modell ins Profisegment der Luftbildfotografie vor. Die staubdichte Mittelformatkamera A5D basiert auf der H5D-Kamera von Hasselblad. Der Sensor misst 43,8 x 32,9 mm und arbeitet zwischen ISO 100 und 6.400. Die Kamera speichert auf Compact-Flash-Karten und kann 50 Bilder pro Minute aufzeichnen. Die Kamera ist mit einem Hasselblad-HC 3,5/50mm-Objektiv ausgerüstet, dessen Fokussierung fest auf unendlich eingestellt ist.

Die professionelle Drohne ist mit sechs Akkus ausgerüstet, überträgt Bilder mit dem selbst entwickelten Funksystem Lightbridge 2 und kostet zusammen mit der Hasselblad-Kamera netto rund 25.000 Euro. Nach Herstellerangaben bleibt die Drohne auch dann in der Luft, wenn ein Akku ausfällt. Sicherheitshalber können Benutzer aber den Akkustatus auch während des Fluges überprüfen. Die DJI Matrice 600 kann bis zu 6 kg Nutzlast in die Luft heben und soll bis zu 5 km weit fliegen können. Mit Akkus wiegt die Drohne allein 9,6 kg und misst 1668 mm x 1518 mm x 759 mm.

Tesla Motors hat mit dem Model X 60D eine günstigere Einstiegsversion seines Elektro-SUV vorgestellt. Die Akkukapazität und damit auch die Reichweite sind geringer. Gegen Aufpreis kann der Akku per Softwareupdate auf 75kWh erweitert werden.
Teslas Model X kostete bisher in der Grundausstattung 75D in Deutschland 96.100 Euro, nun wird auch eine günstigere Variante angeboten. Der 60D bietet ebenfalls Allradantrieb, eine Höchstgeschwindigkeit von 210 km/h und eine für diese Fahrzeugkategorie gewaltige Beschleunigung, doch der Preis liegt bei 86.300 Euro. Dafür ist der Akku auf 60 kWh begrenzt. Dabei wurde nicht etwa ein anderer Akku eingebaut, er wurde lediglich softwareseitig gedrosselt. Gegen einen Aufpreis von 9.500 US-Dollar wird er auf 75 kWh freigeschaltet. Ein Euro-Preis für dieses Update ist noch nicht bekannt.

Das Model X 60D soll eine Reichweite von 355 km (NEFZ) aufweisen, während die 75D-Version auf 417 km kommen soll. Beide Fahrzeuge erreichen eine Höchstgeschwindigkeit von 210 km/h und sollen in 6,2 Sekunden aus dem Stand auf 100 km/h beschleunigen. Wer das Model X jetzt bestellt, soll nach Angaben von Tesla Ende Oktober 2016 beliefert werden.Auch beim Tesla Model S hatte der Hersteller kürzlich eine Version mit weniger Akkukapazität zu einem niedrigeren Preis vorgestellt. Im S 60 steht ein 75-kWh-Akku, der auf 60 kWh gedrosselt ist.Tesla scheint mit dem Model X einige Käufer mit Technikproblemen verärgert zu haben. Vor allem Probleme mit den Flügeltüren führten zu Klagen. Einige Käufer bemängelten, dass sich die Türen nicht öffneten oder schlossen. Bei einem Modell X öffneten sie sich, obwohl nicht genug Platz war, und schlugen gegen ein Hindernis. Andere Käufer berichteten von Schwierigkeiten mit den elektrischen Fensterhebern, der Lackierung oder der Klimaanlage. Mindestens einem Käufer gelang die Rückgabe des Fahrzeugs.

Das günstigere Model 3 soll ab 35.000 US-Dollar kosten, wobei es auch dort mindestens ein Upgrade geben wird: Die kostenlose Benutzung der Supercharger gibt es nur gegen Aufpreis.Pokémon Go ist offiziell in Deutschland erschienen. Seit dem Start von Nintendos zweiter Smartphone-App hebt die hauseigene Aktie ab. Weltweit fangen Spieler fleißig Pokémon und tragen Arenakämpfe aus. Wir waren in Paris, Berlin und auf dem Land unterwegs und klären im Test, ob Pokémon Go den Hype auch spielerisch verdient hat. "Pokémon Go öfter gegoogelt als Porn", "Nintendo-Aktie um 20 Prozent gestiegen", "Bitte keine Pokémon-Jagd im Holocaust-Museum" - das alles sind Schlagzeilen der vergangenen Woche, nach dem offiziellen Start von Pokémon Go in den USA. Bisher konnte Nintendos zweite Smartphone-Applikation nur durch ein paar Kniffe in Deutschland für iOS und Android installiert werden, seit heute ist sie offiziell erhältlich und verfügbar.

Nach Miitomo ist Pokémon Go zwar schon die zweite Applikation, aber gleichzeitig das erste richtige Videospiel von Nintendo für Smartphones. In Pokémon Go laufen Spieler mit aktiviertem GPS-Tracking durch die echte Welt und suchen wilde Pokémon. Wo und wann die knuffigen Biester auftauchen, definieren die Server von Niantic. Spieler werden durch ein Rascheln auf der digitalen Karte und die Vibrationsfunktion des Smartphones auf sie aufmerksam.Das Spiel blendet die Echtwelt-Umgebung durch die nach außen gerichtete Linse ein, Pfeile an den Displayrändern geben einen Hinweis darauf, wo sich das Pokémon versteckt hält. Gefangen wird es mit einem Pokéball, genau wie in der Anime-Serie. Ein simpler Wisch und etwas Timing sind gefragt, aber komplexe Kämpfe, wie Spieler sie aus den traditionellen Pokémon-Spielen auf den Nintendo-Konsolen kennen, sind nicht erforderlich. Um an die nötigen Pokébälle sowie andere Gegenstände wie Medizin oder Weihrauch zu kommen, müssen Spieler sogenannte Pokéstops aufsuchen.

Für die Entwicklung von Pokémon Go zeichnet das Studio Niantic Labs verantwortlich, das bereits mit Ingress eine erfolgreiche App mit Augmented-Reality-Fokus auf den Markt gebracht hat. Die Technik hinter Ingress arbeitet auch in Pokémon Go, die Ballungszentren sind identisch. Beide Spiele nutzen Gebäude, Denkmäler oder Graffitis für die Gestaltung der virtuellen Spielwelt. In Pokémon Go sind das die besagten Pokéstops und Gyms.Besonders schön ist es, wenn wir an bekannten Örtlichkeiten durch geschickt gesetzte Pokéstops auf Details aufmerksam werden, die uns vorher nie aufgefallen sind. So geschehen beispielsweise bei den Zinnrinnen der Alten Wache am Hauptbahnhof in Hannover.

Während die Pokémon-Spiele auf Nintendos Handhelds sich stets ausführlich in Tutorials erklärten, ist Pokémon Go nicht einsteigerfreundlich. Zwar erläutert uns das Spiel, wie wir Pokémon fangen oder im Level aufsteigen, wichtige Details lässt es aber häufig aus. So lernen wir erst beim Plausch mit anderen Spielern, die wir an sogenannten Gyms treffen, die vielen Feinheiten, die einen guten Trainer ausmachen.Pokémon-Duplikate sollten zum Beispiel immer zum Professor transferiert werden, um im Gegenzug Süßigkeiten zu bekommen. Die Süßigkeiten werden gemeinsam mit Sternenstaub (den wir durch Levelaufstiege erhalten) investiert, um die Pokémon weiterzuentwickeln. Die Stärke der Monster wird in einem Wert über ihrem Kopf angezeigt.

Die Poké-Eier, die wir manchmal auffinden, müssen manuell einem Brutkasten zugewiesen werden. Auch das verschweigt uns das Spiel. Nach einer definierten Zahl zurückgelegter Kilometer entschlüpfen den Eiern ebenfalls Pokémon, oft mit einer alternativen angeborenen Spezialattacke. Wir empfinden die Kilometermessung im Spiel als äußerst ungenau. Fünf zurückgelegte Kilometer in Google Maps entsprechen 2,7 Kilometern in Pokémon Go. Vielleicht stimmt da die Umrechnung von Meilen und Kilometern noch nicht?Nur mit unseren stärksten Pokémon haben wir in den eigentlichen Kämpfen in den Gyms überhaupt eine Chance. Ab Level 5 entscheiden sich Spieler für eines von drei Teams: Rot, Gelb oder Blau. Fortan erobern sie stellvertretend für das gewählte Team die Gyms und färben sie entsprechend ein. Nach der erfolgreichen Einnahme eines Gyms kann ein eigenes Pokémon dort hinterlassen werden, um Wache zu stehen. Erst wenn es von einem anderen Spieler besiegt wurde, kehrt es wieder zum Spieler zurück.

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