January 16, 2017

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L’utilisation de l’ERP via une interface vocale peut aussi avoir des avantages en termes de sécurité, car la reconnaissance vocale peut jouer le rôle d’identifiant unique et inviolable. Seuls le bon utilisateur pourra accéder à l’ERP pour des tâches qui lui sont assignées. La reconnaissance vocale et, plus largement, la reconnaissance des commandes via différents capteurs (reconnaissance faciale, oculaire, etc.) ouvrent d’innombrables possibilités en matière de sécurité. Très récemment, Intel l’a illustré à l’occasion de sa conférence Intel Developer Forum (IDF), en dévoilant sa vision de l’informatique de demain, et différents projets basés sur l’internet des objets, dont la technologie de reconnaissance vocale Wake-on-Voice, notamment.
Enfin, il n’y a pas que des avantages métiers à des ERP devenus assistants personnels contrôlables par la voix ou d’autres interfaces de nouvelle génération, comme les objets connectés. Ne négligeons pas les avantages d’ordre sociaux, et notamment le fait que l’utilisation de tels outils peut désormais être ouverte à des personnes handicapées, dont l’intégration n’en sera que facilitée dans l’entreprise.

Il y a 50 ans, des Å“uvres de science-fiction telles que le film 2001, l’Odyssée de l’Espace imaginaient un monde où les hommes interagissent avec les ordinateurs par la voix, le plus naturellement possible. Ce qui semblait alors pure fiction est devenu aujourd’hui réalité, ou presque. Bien sûr, des progrès doivent encore être faits. Mais la technologie évolue vite, très vite, et il ne fait guère de doute que nous sommes à l’aube d’une nouvelle ère, où commander des applications d’entreprise par la voix va devenir une norme. ADMI, la société de service numérique de Gonfreville l’Orcher près du Havre (Seine-Maritime) a réussi à lever 1,4 million d’euros pour développer sa solution Bureo sur l’ensemble du territoire national.
Ce produit, créé en octobre 2013, permet une externalisation complète du système informatique comprenant l’ordinateur, les logiciels, la messagerie, l’antivirus, la gestion de la sauvegarde et la maintenance. Nous proposons aux petites entreprises et associations de gérer toute leur informatique pour un abonnement mensuel (ndlr 49,90 euros), explique Ludovic Salenne, le responsable marketing d’ADMI.

HÉBERGÉ CHEZ INTERXION ET AXIONE
Cette levée de fonds va permettre à ADMI (27 salariés) de recruter 10 nouveaux techniciens au cours des trois prochaines années. Elle lui permet aussi de renforcer ses infrastructures serveurs, en particulier en ÃŽle de France, sa première cible. Elle vient d’implanter une nouvelle baie de serveurs dans le data center Interxion de Nanterre (Hauts-de-Seine).
L’ESN possède déjà un data center à Gonfreville l’Orcher et loue des espaces dans le data center d’Axione (groupe Bouygues) à moins de 2 kilomètres. Le choix d’Interxion, data center agréé ASIP santé pour l’hébergement des données personnelles de santé, répond aussi à ses orientations stratégiques en termes de secteur. L’agrément ASIP Santé est capital pour nous car nous visons en premier lieu le secteur des associations du secteur de l’économie sociale et solidaire. Nous sommes nous-mêmes en cours d’agrément ASIP Santé » observe Ludovic Salenne.

ADMI a été créée en 1996 par Serge Hernando, le dirigeant fondateur et seul actionnaire. La PME revendique aujourd’hui 350 clients dont 33 pour Bureo. Elle ne souhaite pas communiquer son chiffre d’affaires.
Ce n'est pas la première fois que la mesure est évoquée. Comme les téléviseurs, la possession d'un accès à Internet pourrait entraîner le paiment de la redevance audiovisuelle. Conséquence logique de la multiplication des écrans ou mesure anachronique ?
On ne va pas réagir sur le projet de redevance sur les box Internet. Mais les élites politiques ont du mal avec les enjeux de l'économie numérique. élude le responsable d'un think tank numérique, contacté par l'Usine Digitale.
De fait, alors que la ministre de la Culture, Fleur Pellerin, s'était dite favorable à cette mesure, sa successeuse à l'économie numérique, Axelle Lemaire s'est montré beaucoup moins enthousiaste.
Pour la première, il y aurait une logique à élargir aux possesseurs de box qui n'ont pas de téléviseur la contribution à l'audiovisuel public car beaucoup de la consommation de la télévision passe par les box. Interrogé par nos confrères de l'Opinion, Axelle Lemaire a reconnu de son côté n'être pas tellement favorable à cette proposition, qui toucherait surtout les jeunes. Le ministère de la Culture et de la Communication avait pourtant indiqué qu'une éventuelle réforme ne devrait toucher ni les ménages jeunes ni les foyers fragiles.

TÉLÉVISEURS ET PORTABLES POUR TOUS OU PRESQUE
Si l'on s'en tient aux données publiées par l'Insee, la part des ménages détenant un téléviseur est plutôt stable aux alentours de 97 %, tandis que la possession d'un ordinateur (77 % des ménages) ou d'une connexion à Internet (75 %) croissent régulièrement. Sans parler des téléphones portables (89 %). Qu'une partie des téléspectateurs utilisent leurs tablettes pour regarder en direct ou en rediffusion ne fait guère de doute. Il n'est cependant pas exclu que d'autres possesseurs de tablettes ont choisi délibérément de ne pas avoir de téléviseur, parce que les programmes ne les intéressent pas. Y compris sur les chaînes publiques, que Delphine Ernotte, la nouvelle présidente de France Télévisions, considère comme notre bien commun à tous. Invitée de France Inter, elle a indiqué qu'en l'état, les recettes du groupe ne permettaient pas de financer l'ensemble des obligations contenues dans le cahier des charges.

LA REDEVANCE, UN SYSTÈME OBSOLÈTE ?
Le système de la redevance, inventée à une époque où l'offre de divertissements et d'informations audiovisuelles était rare, semble difficile à justifier aujourd'hui. Avec un abonnement à Netflix ou au site Mubi, il est possible d'accéder à des films ou des séries. Une information de qualité et contradictoire peut être trouvée sur bien des sites Internet, gratuits ou payants. Sans oublier les financements participatifs de documentaires, ou d'oeuvres culturelles. C'est dire qu'il est d'autres moyens que le service public pour financer collectivement des contenus. Gilles Babinet ne s'y trompe dans la tribune qu'il a consacrée au sujet sur le site des Echos. Derrière la mesure discutée, il y voit un symbole de la décrépitude du système fiscal français, si complexe qu'il rompt le principe d'équité des citoyens face à l'impôt, que l'on maintient pourtant en vie parce qu'il a le mérite d'exister. Il propose plutôt une fiscalisation de la redevance après qu'un débat aura décidé de la nécessité ou non de maintenir un secteur audiovisuel public.

En attendant, la décision ultime devrait revenir au président de la République, qui devrait se prononcer sur le choix ultime lors de sa sixième conférence de presse, lundi 6 septembre. Jusqu'ici, François Hollande s'est prononcé contre une intégration de la redevance dans les impôts. Tout nouveau jeu en ligne de la Française des jeux est testé préalablement à son lancement par la société marseillaise Stardust, qui en valide le bon fonctionnement sur n'importe quel support digital. L'entreprise songe à proposer ses services sur d'autres marchés et pays. Un blocage au moment de l'authentification, des bugs lors de la saisie d'informations (adresse, numéro de CB...), des requêtes qui n'aboutissent pas, des avantages fidélité qui ne se valident pas... Tout internaute a expérimenté de telles mésaventures lors de la consultation de sites web, d'achats d'applications ou de produits depuis son smartphone ou son PC. Implantée à Marseille et spécialisée dans l'assurance qualité des produits digitaux, Stardust dispose de 2 000 ordinateurs, téléphones et tablettes pour tester le bon fonctionnement de tout site ou application e-commerce avant sa mise en ligne et réduire ainsi les risques d'anomalies ou d'atténuation des performances au moment de l'utilisation. En 2014, la start-up née en 2011 dit avoir été associée à plus de 300 projets pour des groupes très divers : Accord, Axa, Citroën, Sanofi, L'Equipe, TF1, Viadeo, E.Leclerc, Logitech... Déterminée à accroître son positionnement dans les jeux en ligne (l'objectif est de multiplier par quatre les ventes d'ici à 2020 pour atteindre 20% du chiffre d'affaires total), la Française des jeux a fait de Stardust son testeur officiel, en appui de ses propres équipes. L'accélération de sa mutation digitale a conduit le groupe à conforter une collaboration jusqu'alors plus ponctuelle. Nous sommes désormais associés aux projets de production de jeux digitaux dès leur conception de façon systématique en vue de la réalisation des tests multi-terminaux, confie François-Joseph Viallon, fondateur et dirigeant de Stardust. Pour nous, les jeux de paris et d'argent représentent un secteur stratégique dont nous tirerons bientôt 20% de notre activité.

L'accord ne concerne que les jeux développés pour la France. La PME de 43 personnes y voit une reconnaissance pour d'autres déploiements, intervenant déjà pour Loto Québec, depuis son site de Montréal ou encore pour la Loterie Romande en Suisse. Nous avons commencé à internationaliser notre équipe pour prospecter en Europe et nous prévoyons une implantation en Suisse en 2016, annonce-t-il.
Sa croissance à deux chiffres devrait l'amener cette année à atteindre les 2 millions d'euros de chiffre d'affaires sur l'ensemble de ses cibles : banque/assurance, luxe, médias, e-commerce, jeux, industrie pharmaceutique... Parallèlement, l'entreprise recrute. Une vingtaine de postes devrait être créée d'ici à la fin de l'année prochaine.Achat Toshiba batterie ordinateur portable - fr-batterie-portable.com

Posted by: retrouve3 at 08:05 AM | No Comments | Add Comment
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