March 18, 2017

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Dans un premier temps, les Anonymous ont affirmé aussi qu'ils avaient piraté le site de paiement en ligne PayPal. Mais par la suite, le groupe a démenti ces déclarations, prétendant par contre qu'il avait identifié une vulnérabilité dans la fonction de réinitialisation de mots de passe dans le logiciel Open Source - un panneau web de contrôle d'hébergement gratuit pour les serveurs Microsoft Windows, Linux, Unix et Mac OS X -développé par ZPanel. Dans le même temps, PayPal a nié le piratage de son service. Dans communiqué diffusé par mail, Le service de paiement en ligne a déclaré que «finalement, l'exploit des Anonymous n'était semble-t-il pas dirigé contre PayPal, mais contre une société du nom de ZPanel. L'information diffusée initialement, a été mise à jour et re-tweeté via le compte Twitter d'Anonymous ». Pour l'instant, ZPanel n'a pas pu être joint.Au cours du week-end, d'autres informations laissaient entendre que Anonymous avait aussi l'intention de pirater Zynga le 5 novembre, et que l'on pourrait télécharger leurs jeux gratuitement. Le groupe a également menacé de mettre Facebook hors service, mais hier, rien n'indiquait que le réseau social avait été piraté.

Les menaces des Anonymous « sont parfois montées en épingle, sans parler de celles qui sont de pures inventions ». Au mois de septembre dernier, le groupe AntiSec, une émanation d'Anonymous, a affirmé qu'il avait réussi à voler des informations de millions d'utilisateurs d'iPhone et d'iPad sur l'ordinateur portable d'un agent du FBI. Mais, au final, le soi-disant piratage s'est avéré totalement bidon.Dans un autre genre, les Anonymous ont aussi affirmé avoir mis le site du registraire et fournisseur de nom de domaine GoDaddy hors service, ou encore qu'ils avaient réussi à s'introduire dans le système de communication établi entre la NASA et le rover Curiosity en mission sur Mars. Selon Bloomberg, Apple pourrait mettre ses propres puces ARM dans ses futurs ordinateurs, comme il le fait pour ses terminaux sous iOS. Plusieurs analystes restent sceptiques et pensent que cette évolution ne devrait pas se faire à court terme.

L'agence de presse financière Bloomberg affirme qu'Apple chercherait une solution pour se passer des puces Intel dans ses prochains ordinateurs Mac et les remplacer par ses propres puces ARM, comme ce qu'il fait avec l'iPhone et l'iPad. Selon l'article de Bloomberg, qui cite « des personnes proches du département de recherche de l'entreprise », les ingénieurs de la firme sont convaincus que les puces utilisées par Apple dans ses appareils iOS seront suffisamment puissantes pour faire tourner Mac OS X dans des iMac et des MacBook. D'après ces sources, il est peu probable qu'Apple abandonne les processeurs d'Intel dans « les prochaines années », mais selon les ingénieurs, cette évolution est «inévitable». En effet, étant donné que les terminaux mobiles et les ordinateurs sont de plus en plus semblables, ils estiment qu'Apple sera amené à intégrer ses propres processeurs dans ses appareils.

Au cas où la firme de Cupertino décidait de s'éloigner d'Intel, le fabricant de processeurs en serait affecté. Le fondeur subit déjà la stagnation du marché des ordinateurs sous Windows et souffre de son manque de présence dans l'industrie mobile. L'éloignement d'Apple pourrait également conduire d'autres fabricants à abandonner Intel et à développer leurs propres processeurs. « Apple est un pionnier. Le constructeur a commencé à produire ses propres puces, et d'autres pourraient suivre son exemple », a déclaré Sergis Mushell, analyste chez Gartner. « Si la mobilité devient demain plus importante que la fonctionnalité, le contexte va complètement changer ». Fin octobre, Apple a procédé à un remaniement de ses équipes dirigeantes. Parmi les changements, l'équipe Technologies d'Apple dirigée par Bob Mansfield, dont le travail de recherche est centré sur la conception de puces, a fusionné avec le groupe des semi-conducteurs, lequel, selon le communiqué d'Apple « a des projets ambitieux pour l'avenir ». Une appréciation qui pourrait aussi laisser entendre qu'Apple envisage de s'éloigner d'Intel.

Mais certains analystes et experts ne sont pas convaincus qu'Apple sera en mesure de quitter son fondeur attitré. « C'est une affaire très technique, et la vraie question est de savoir si Apple pourra faire aussi bien qu'Intel en terme de vitesse et de traitement graphique », a estimé Tim Bajarin, analyste chez Creative Strategies. « Actuellement, je n'en suis pas sûr ». Selon Achraf Eassa, analyste chez Seeking Alpha, il est important de comprendre qu'il y a une grosse différence entre la conception d'un micro-processeur haute performance et celle d'un processeur basse consommation, de faible performance. « Intel a des années d'expérience, et investit depuis longtemps dans de nouvelles techniques pour fabriquer des micro-processeurs haut de gamme performant. Elle doit juste transformer cette expérience et la transposer dans la fabrication d'un enveloppe thermique plus économe en énergie», écrit l'analyste. « A l'inverse, ARM - et ses licenciés - doivent trouver des techniques inédites pour atteindre un niveau de haute performance tout en conservant l'avantage énergétique ». Achraf Eassa estime qu'il est peu probable qu'Apple réussisse à fournir le rendement et les avantages technologiques procurés par Intel pour justifier une telle stratégie. En 2006, Apple avait choisi d'intégrer les processeurs d'Intel dans ses matériels, pour remplacer la puce PowerPC d'IBM.

Ce n'est pas la première fois que des spéculations autour d'un changement possible de processeur chez Apple font surface. Au mois d'octobre, Bloomberg a rapporté qu'Apple avait « discuté de l'opportunité de se passer des puces d'Intel dans le Mac », et d'autres articles parus par la suite sur le site de l'agence de presse ont réaffirmé sa conviction concernant les projets d'Apple en matière de processeur. Certes, ces dernières rumeurs ne sont pas dénuées de sens. Apple a l'image d'une entreprise qui veut contrôler son destin. Le constructeur a créé ses propres machines et logiciels, il a toujours protégé son « jardin », y a introduit ses propres écosystèmes, comme l'iTunes Store et l'App Store. Plus récemment, l'entreprise de Cupertino a pris davantage contrôle de la conception de ses processeurs. La puce A6 qui équipe l'iPhone 5 est construite selon une architecture processeur à base d'ARM imaginée par Apple, à la différence des noyaux ARM standards intégrés dans les premiers terminaux sous iOS.

Cependant, c'est une chose de concevoir un processeur différent, mais dont le logiciel reste compatible avec les designs existants, et une autre d'opter pour un noyau radicalement nouveau. Dans le passé, Apple a déjà fait deux transitions de ce genre avec le Macintosh. Une première fois, quand il a migré des processeurs 68000 de Motorola vers l'architecture PowerPC conçue par IBM et Motorola, et une autre fois quand il est passé du PowerPC à l'architecture Intel. Dans les deux cas, la transition ne s'est pas faite sans douleur, mais à chaque fois Apple a conservé un avantage : la technologie d'émulation a permis de continuer à faire tourner les anciens systèmes et les anciennes applications sur la nouvelle CPU. Lors du passage aux processeurs Intel, ceux-ci étaient tellement plus rapides que les processeurs PowerPC, que le fontionnement en mode émulé n'entamait pas les performances. Le passage éventuel d'Intel vers ARM est une toute autre histoire. D'une part, la performance des processeurs ARM actuels n'est pas comparable avec celle offerte par les processeurs Intel pour les configurations MacBook et iMac. D'autre part, les processeurs ARM actuels tournent en 32 bits. Lors de la Conférence ARM Tech (30 octobre dernier) le concepteur a bien annoncé une architecture ARMv8 64 bits, mais les produits basés sur cette nouvelle architecture ne risquent pas d'arriver sur le marché avant courant 2014.

Pendant ce temps, Intel n'est pas resté sans rien faire. Mi-2013, le fondeur doit livrer son prochain processeur Haswell. Celui-ci offrira de meilleures performances que les processeurs Ivy Bridge utilisés dans les MacBook et iMac actuels. Et Intel s'attend à des performances graphiques deux fois meilleures. Apple a estimé que le processeur Ivy Bridge et sa puce graphique intégrée était assez performant pour l'intégrer dans son récent MacBook Retina 13 pouces. On imagine qu'il ne voudra pas se passer des meilleures performances de la prochaine puce d'Intel pour ses futures machines.Après Haswell, Intel a prévu de fabriquer un autre processeur, nom de code Skylake, selon le processus de fabrication à 14 nm à venir, ce qui devrait considérablement réduire la taille de la CPU et contribuer à baisser la consommation d'énergie de manière encore plus significative. Intel parie sur sa technologie processeur pour réduire la dépense énergétique, et Haswell comportera déjà des améliorations majeures pour la gestion de l'énergie : en mode veille, il utilisera moins d'énergie que n'importe lequel des récents processeurs d'Intel.Pourtant, Apple reste imprévisible. Si nous considérons le fait que le constructeur cherche sans relâche à avoir le contrôle total de sa chaîne de fabrication, Apple a tous les moyens de mettre un tel projet en oeuvre. L'entreprise pourrait passer à ARM dès la disponibilité de la version 64 bits, et c'est certainement faisable. Mais, quoiqu'il en soit, cela ne concernera probablement pas la prochaine génération de MacBook ou d'iMac. Apple pourrait également concevoir son propre noyau ARM 64 bits pour Mac. C'est ce qu'a déjà fait le constructeur avec l'A6 utilisé dans l'iPhone 5.

Enfin, Apple pourrait toujours laisser la gamme de produits Mac mourir de sa belle mort. Cela n'est pas impossible. Apple pourrait continuer avec Intel tant que sa ligne Mac persiste. En attendant, il pourrait progressivement faire évoluer ses iPads pour les rendre plus puissants et plus flexibles. Une fois qu'ils seront assez puissants pour exécuter des applications graphiques professionnelles qui tournent sur les Mac de bureau, le rideau pourrait tomber.Ou alors, Apple pourrait continuer à proposer des machines Intel très performantes, haut de gamme, et construire des portables moins chers à base d'ARM, s'appuyant sur iCloud pour profiter des services et du stockage, un peu comme Google essaie de le faire avec ses Chromebooks. De cette façon, il pourrait tâter le terrain pour des Macs à base d'ARM, et éventuellement, revenir tranquillement en arrière en cas d'échec.

Mais il ne faut pas s'attendre à quoi que ce soit de ce genre dans un avenir proche. Les iMac et les MacBook qui sortiront l'année prochaine seront quasi certainement équipés de processeurs Intel. Finalement, Apple a encore besoin de livrer des produits qui répondent aux attentes de ses utilisateurs, et remplacer sa gamme de produits - ordinateurs de bureau et ordinateurs portables - avec des systèmes fonctionnant sur processeurs ARM est peu probable à court terme. Au-delà, tout ne serait que pure spéculation. Désormais lancé, le système d'exploitation Windows 8 de Microsoft doit se confronter à iOS et à Android et les enjeux de la bataille sont importants.Maintenant que Microsoft a enfin lancé Windows 8, l'éditeur doit s'attaquer à un défi marketing redoutable auquel il n'a sans doute jamais été confronté. D'ancien leader inaccessible de l'informatique personnelle, Microsoft se retrouve maintenant dans la situation d'un concurrent parmi d'autres dans un monde où le marché du PC a été sévèrement grignoté par les tablettes et les smartphones, des plates-formes où Windows est peu représenté. A la fin du mois dernier, lors du lancement d'Eight à New York, le PDG de Microsoft, Steve Ballmer a insisté sur le fait que Windows 8 constituait un changement radical par rapport aux précédentes versions du système d'exploitation phare de Microsoft. « Windows a été remanié afin de permettre à différents types d'appareils d'avoir accès à une interface unifiée, depuis les smartphones jusqu'aux tablettes et aux PC traditionnels ». Les responsables de Microsoft reconnaissent que beaucoup de choses ont changé pendant les trois dernières années, soit depuis la sortie de la dernière mouture majeure de Windows, Seven.

« Dans Windows 8, nous sommes sortis de la vision incrémentale », a déclaré Steven Sinofsky, président de la division Windows et Windows Live. « Grâce à la loi de Moore et aux améliorations spectaculaires des technologies, nous pouvons maintenant permettre aux utilisateurs d'accéder à une bonne puissance de calcul sur des dispositifs portables, d'offrir des alternatives à d'autres systèmes d'exploitation, comme iOS d'Apple et Android de Google basé sur Linux ». Néanmoins, Steven Sinofsky pense que Windows 8 peut s'appuyer sur le succès de ses prédécesseurs, sur Windows 7 notamment, « le système d'exploitation de Microsoft ayant eu le plus de succès », avec ses 670 millions licences de Windows 7 vendues par l'éditeur.Mais, les premiers succès de Windows 8 devront venir des utilisateurs, parce que les entreprises n'ont pas de raison majeure d'adopter rapidement le nouveau système de Microsoft, comme l'a déclaré le cabinet d'études Gartner. « Il n'y a, à l'heure actuelle, pas d'impératifs commerciaux suffisant pour amener les entreprises à opter pour des dispositifs sous Windows 8 », avait déclaré l'analyste de Gartner, Peter Sondergaard, au symposium annuel ITEXPO organisé le mois dernier par le cabinet d'étude. Selon lui, il faudra attendre « au moins jusqu'à 2014 » pour voir les entreprises s'orienter vers Windows 8.

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