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April 24, 2017

Batterie pour ordinateur portable Asus A32-F80A

Dans ce cadre, les outils de mobilité (smartphones, PC portables, tablettes) permettent, selon 49% des salariés interrogés, de travailler mieux et plus efficacement. La médaille a évidemment son revers : le Â« allways on Â». Deux salariés sur trois estiment que le travail déborde sur leur temps de loisirs. Pour 45% des répondants sur leurs voyages personnels, 3 sur 4 sur le week-end, 2 sur 3 en vacances, 1 sur 3 au petit déjeuner, 41% devant la télé. L'enquÃªte n'a pas franchi la porte de la chambre Ã coucher, il y aurait pourtant beaucoup Ã dire.Des outils de plus en plus d'origine personnelle. 51% des salariés interrogés vont dans ce sens. 20% d'entre eux utilisent réguliÃ¨rement leurs outils personnels pour des activités professionnelles, 16% de maniÃ¨re occasionnelle, 15% rarement. Un total de 51%. 29% ne le font jamais, car ce n'est pas autorisé, 19% parce qu'ils s'y refusent.Inversement, les entreprises ont du mal Ã entrouvrir la porte. Dans 65% des réponses, l'utilisation d'un terminal personnel n'est pas autorisée par l'entreprise. Parfois c'est toléré. Dans des cas infimes, l'entreprise accepte mais ne rembourse rien (ni l'achat ni l'utilisation). Cas encore plus limités, ceux oÃ¹ l'entreprise encourage en prenant en charge tout ou partie des frais d'acquisition ou d'utilisation.

En devenant plus mature, le Byod devient aussi plus contradictoire. Les salariés poussent, car leurs usages personnels sont plus développés et leurs outils souvent plus performants. En mÃªme temps, ils craignent d'Ãªtre encore plus envahis dans leur espace personnel. L'entreprise, elle, hésite Ã ouvrir ses applicatifs ou ses rÃ¨glements. Pour des raisons également contradictoires. L'efficacité sera peut Ãªtre au rendez-vous, mais par exemple, si le salarié utilise ses outils personnels dans le cadre de son travail, le fait-il toujours pour des activités professionnelles ou aussi pour d'autres qui n'ont rien Ã voir avec l'entreprise ? Et dans ce cas, est-ce le prix Ã payer pour accepter cette tendance dans l'entreprise ? Est-ce un combat d'arriÃ¨re garde ou une avancée ? Qui finance, qui sécurise, qui répare, dans quelles tanches horaires ? Autant de questions sans réponse tranchée. Le constructeur Texan a annoncé l'acquisition de Wyse Technology, spécialiste du client léger. Cette opération vise Ã développer ses offres de virtualisation de poste de travail.

Dell continue ses emplettes dans son activité entreprise. DerniÃ¨re acquisition en date, Wyse Technology, qui propose des clients légers, de la virtualisation du poste de travail, ainsi que des logiciels en mode cloud pour la gestion des PC portables et les terminaux mobiles (avec l'acquisition de Trellia en novembre 2011). Parmi les produits, on peut citer PocketCloud, une application qui fonctionne sur les smartphones et les tablettes pour disposer de son bureau de PC en situation de mobilité. Actuellement, Wyse dispose de 180 brevets et Ã livrer 20 millions de produits dans le monde. Dell n'a pas donné le montant de la transaction, mais s'attend Ã finaliser l'opération Ã la fin du deuxiÃ¨me trimestre fiscal 2013. Le constructeur estime que cette acquisition va lui permettre d'étoffer son offre de virtualisation du poste de travail et offrir de nouvelles solutions pour les entreprises. Pour se protéger du piratage ou pour les personnes electro-sensibles, des scientifiques grenoblois ont créé un papier peint capable de filtrer des ondes électromagnétiques.

Des chercheurs grenoblois ont présenté jeudi un papier peint décrit comme Â« révolutionnaire Â» qui permet de filtrer les ondes électromagnétiques d'un réseau local sans fil (WiFi) ou d'un téléphone portable, sans perturber les ondes de la radio ou des fréquences de secours. Développé par les chercheurs de l'institut polytechnique Grenoble INP et du Centre technique du papier (CTP), ce produit devrait Ãªtre commercialisé début 2013 par le groupe finlandais Ahlstrom, qui en a acheté la licence exclusive.D'une apparence banale, le papier peint est recouvert de motifs tracés Ã l'encre conductrice (contenant des particules d'argent) qui permettent de Â« filtrer jusqu'Ã trois fréquences Ã la fois Â», a expliqué Pierre Lemaitre-Auger, enseignant-chercheur Ã Grenoble INP, au cours du forum 4i de Grenoble.

Le papier peint a été conÃ§u par un doctorant de Grenoble INP, aidé de trois autres chercheurs. Son premier objectif est de permettre une meilleure protection des données d'un réseau informatique connecté en wifi. Â« Un réseau WiFi est muni de protections qui peuvent Ãªtre craquées par des petits malins. Si vous mettez du papier peint sur les murs entourant un bureau ou un appartement, votre WiFi marche bien mais il ne peut plus Ãªtre piraté Â», a souligné M. Lemaitre-Auger.Le papier peint peut aussi Ãªtre utilisé par des personnes souhaitant se protéger des ondes électromagnétiques. Â« Beaucoup de gens sont intéressés par les problÃ¨mes d'électrosensibilité, par le fait que les ondes seraient dangereuses pour la santé Â», a noté le chercheur. Sans se prononcer sur le fond du débat, il a souligné que ce papier peint offrait Â« aux gens qui le souhaitent la possibilité de se prémunir et d'avoir un trÃ¨s faible niveau d'ondes dans leur appartement Â». Il pourrait ainsi Ãªtre utilisé dans des hÃ´pitaux, des salles de spectacles ou pour protéger des chambres Ã coucher.Quant au prix de ce papier peint anti-wifi, il devrait Ãªtre Â« raisonnable Â», c'est-Ã -dire Â« équivalent Ã celui d'un papier peint classique de moyenne gamme Â», selon M. LemaÃ®tre-Auger.

La technologie développée pourrait en outre aussi Ãªtre utilisée sur des revÃªtements de sol, des plafonds ou des fenÃªtres, selon Guy Eymin Petot Tourtollet, du CTP. Le phénomÃ¨ne du Bring Your Own Device touche un nombre grandissant d'entreprises. Volvo IT, filiale informatique du groupe Volvo a mis en place une politique BYOD qui rencontre le succÃ¨s.Avec un parc évalué Ã 25 000 terminaux mobiles - hors PC portables - dans le groupe Volvo, Volvo IT - la filiale informatique de la société - a décidé, pour les utilisateurs qui le souhaitent, de mettre en place une politique de BYOD (Bring Your Own Device). Les utilisateurs de de la firme peuvent donc, s'ils en ont envie, accéder aux principales applications de type bureautique de l'entreprise sur leur appareil mobile personnel. Le systÃ¨me fonctionne sous iOS, Android et Windows Phone.En matiÃ¨re de sécurité des données et de protection du réseau, Volvo IT a mis en place un systÃ¨me de connexion oÃ¹ lors de sa premiÃ¨re connexion aux applications, l'utilisateur choisit un mot de passe. Celui-ci sert Ã protéger l'accÃ¨s au contenu de l'appareil. En cas de perte ou de vol de l'appareil, la compagnie a la possibilité de supprimer Ã distance les données relatives aux applications de l'entreprise.

Pour l'instant, les terminaux ne peuvent pas accéder au WiFi de l'entreprise et doivent donc Ãªtre équipés d'une connexion en 3G illimité. Mais un projet d'ouvrir un réseau WiFi dédié aux smartphones sur chaque site du groupe via un accÃ¨s sécurisé est en cours.Les salariés doivent faire la demande pour accéder Ã ce service, et le bouche-Ã -oreille est trÃ¨s bon. Ce sont ainsi prÃ¨s de 12 000 terminaux mobiles qui sont inscrits Ã ce service, dont 8 000 appareils personnels depuis septembre 2011, date de lancement du service. L'engouement pour ce service s'est confirmé en décembre 2011 oÃ¹ Volvo IT a reÃ§u prÃ¨s de 4 000 demandes en l'espace d'un mois. Â« Cela s'explique par la période de NoÃ«l propice aux cadeaux high-tech bien sÃ»r mais cela montre aussi que le bouche-Ã -oreille fonctionne trÃ¨s bien et qu'il y a une vraie volonté de la part de nos collaborateurs de centraliser les usages personnels et professionnels de leur smartphone ou tablette Â» explique Laurent Geray, responsable Innovation chez Volvo IT France. La politique est donc de laisser le choix aux collaborateurs d'installer ou non les applications de l'entreprise sur leur terminal mobile personnel.

Des évolutions sont en cours de développement, pour répondre aux besoins des utilisateurs : remplir des notes de frais, consulter les plannings ou encore réserver un taxi depuis un terminal personnel sera donc bientÃ´t possible pour les utilisateurs de Volvo IT.Â« Notre approche est trÃ¨s pragmatique. Nous avons commencé Ã laisser un accÃ¨s aux applications qui nous paraissaient essentielles comme l'agenda ou les e-mails et de faire évoluer le service en fonction des attentes de nos collaborateurs. Chercher Ã gérer le phénomÃ¨ne de BYOD dans sa globalité dÃ¨s le départ n'est pas une tactique efficace, il est important d'étudier de prÃ¨s les usages et de penser aux besoins de demain en agissant pas-Ã -pas. Â» conseille Laurent Geray. Sabre est un fournisseur de services et de produits pour l'industrie du voyage (gestion des réservations par exemple). Cet opérateur vient d'annoncer un contrat avec HP d'une valeur de 800 millions de dollars pour refondre son coeur d'infrastructure. Son secteur d'activité est caractérisé par une informatique extrÃªmement lourde et complexe avec une nécessité de trÃ¨s haute disponibilité. Dans les années 1970, l'informatique y avait été développée avec des outils et des systÃ¨mes souvent spécifiques sur des mainframes.

La migration pour quitter ce monde fermé, lourd Ã faire évoluer et coÃ»teux Ã entretenir constitue un sujet essentiel pour le secteur. Amadeus, concurrent de Sabre, avait entrepris cette migration depuis plusieurs années, comme l'avait raconté Bertrand Kientz, Vice-Président Software Development Strategy d'Amadeus, en mai 2011. Sabre, lui, vient donc de confier la refonte de son coeur mondial d'infrastructure sur mainframes Ã HP dans le cadre de ce contrat géant. Seront notamment mises en place des solutions de stockage et de réseau HP comme HP 3PAR et HP Networking. Le contrat inclut également des services pour les environnements LAN/WAN, les PC portables et fixes, les imprimantes, les serveurs et les terminaux mobiles. Depuis plus de dix ans, HP fournit d'autres services Ã Sabre, notamment du support pour les postes de travail, des services d'impression et de la gestion des applications.Pour étoffer ses solutions de sécurité pour terminaux mobiles, Symantec met en avant les technologies de gestion des applications mobiles issues des rachats de Nukona et d'Odyssey Software.

La sécurité mobile est devenue un élément de premier plan pour les entreprises, et la course entre Symantec et McAfee - propriété d'Intel - est relancée. L'enjeu : résoudre le casse-tÃªte du Â« Bring your own device Â» (Byod), qui consiste Ã laisser tout salarié utiliser son terminal personnel pour ses besoins professionnels, et qui préoccupe les services informatiques. Pour l'instant, si l'on en juge par la derniÃ¨re annonce faite par Symantec lors de sa conférence annuelle Vision, il semble que le vendeur a pris l'avantage sur son traditionnel rival. Mardi dernier, Symantec a donc déployé sa technologie de gestion des applications mobiles héritée de l'acquisition de Nukona, réalisée le mois dernier. Le vendeur devrait abandonner prochainement la marque Nukona au profit de Symantec. Le dernier produit du vendeur vient directement enrichir son portefeuille consacré Ã la sécurité des points d'accÃ¨s, et frappe au coeur de ce que les sociétés recherchent le plus aujourd'hui : le verrouillage des données professionnelles sur l'appareil mobile des salariés. La tendance au Â« Bring your own device Â» est une source de nuits blanches pour les administrateurs de services informatiques qui doivent bloquer les salariés, qui désirent utiliser leurs propres tablettes et smartphones, envoyer des courriers électroniques professionnels via leurs comptes de messagerie personnelle Gmail ou échanger des données professionnelles en utilisant des systÃ¨mes de partage de fichiers comme Dropbox ou SugarSync.

Posted by: retrouve3 at 05:19 AM | No Comments | Add Comment
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