May 20, 2017

Batterie pour ordinateur portable Dell Precision M50

Comment poursuivre un tel succès? Je suis ravi de vous présenter nos deux iPhones les plus récents, et aussi les téléphones les plus avancés au monde, a déclaré le patron d'Apple, Tim Cook, lors d'une présentation à San Francisco, avant de faire la démonstration d'un nouvel écran tactile, capable de réagir différemment selon l'intensité de la pression exercée par l'utilisateur.Baptisé 3D Touch par Apple, ce système, qui sera intégré dans le prochain système d'exploitation iOS 9, lancé le 16 septembre, permet à l'utilisateur de cliquer sur différents messages ou applications sans perdre de vue le contexte général.Ils ont l'air familier, mais nous avons tout changé avec ces téléphones, a assuré M. Cook.Les téléphones ont des écrans de respectivement 4,7 pouces de diagonale (environ 12 cm) et 5,5 pouces.Equipés de processeurs plus puissants que les générations précédentes, ils revendiquent une meilleure définition d'image et un nouveau type d'aluminium pour la coque, proposée en quatre couleurs (argenté, doré, gris sidéral et or rose).La caméra peut prendre notamment des photos en 12 mégapixels et des vidéos à la résolution 4k, revendiquant une définition d'image bien supérieure à la norme 1080p: la 4k est en effet quatre fois plus nette.

Parmi les fonctionnalités les plus innovantes, Apple a fait la démonstration d'un système d'images animées (Live Photos), intégrant des sons, qui sera le réglage par défaut de la prise de photos.On prend des photos comme d'habitude, a expliqué Phil Schiller, un vice-président d'Apple, il s'agit toujours de photos, pas de vidéos, mais nous étendons la capture d'image aux instants juste avant et juste après.Apple a précisé que ces nouveaux téléphones seraient vendus à partir du 25 septembre dans une douzaine de pays dont les Etats-Unis, le Canada, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la Chine, avec un système de pré-commande ouvert le 12 septembre.Quant aux prix chez nous, ils seront compris entre 749 et 969 euros pour l'iPhone 6S, et iront de 859 à 1079 euros pour le modèle 6S Plus. Le groupe informatique Apple a présenté mercredi une nouvelle tablette, baptisée iPad Pro, présentée comme la plus puissante de la gamme et d'un format plus grand que les autres modèles. L'iPad est l'expression la plus claire de notre vision de l'avenir des ordinateurs, a déclaré le patron d'Apple, Tim Cook, lors d'une présentation à San Francisco.Nous nous sommes demandés comment porter l'iPad plus loin, a-t-il ajouté, avant de montrer l'iPad Pro, l'iPad le plus puissant que nous ayons jamais créé.

L'iPad Pro, qui a un écran de 12,9 pouces de diagonale contre 9,7 pour le modèle classique, est aussi doté d'un clavier logé dans une couverture, jamais vu, du moins chez Apple.Phil Schiller, vice-président du groupe en charge du marketing, a précisé que l'iPad Pro avait des performances comparables à celles d'un ordinateur de bureau, plus rapides que 80% des ordinateurs portables vendus ces douze derniers mois.Il peut faire ce qu'un smartphone ne peut pas faire parce qu'il n'a pas besoin de tenir dans une poche, et il est assez mince et léger pour travailler toute la journée et être emporté partout, avec 10 heures d'autonomie, quatre hauts-parleurs et un poids (1,57 livre ou à peu près 712 grammes) et une épaisseur (6,9 mm) minimes.Enfin, Apple a égalemnt conçu un stylet équipé de capteurs pour détecter son inclinaison et tracer des traits plus ou moins fins.Quant à l'écran tactile, il est doté d'une technologie capable de réagir différemment selon l'intensité de la pression exercéde par l'utilisateur (force touch).L'iPad Pro doit être mis en vente à partir de novembre pour un prix débutant à 799 dollars avec 32 gigaoctets de mémoire, et jusqu'à 1.079 dollars pour 128 go, tandis que le stylet est vendu 99 dollars, et le clavier à partir de 169 dollars. Trois finitions seront proposées, argenté, doré, et gris sidéral.

Apple a aussi annoncé un nouvel iPad mini à partir de 399 dollars.Au terme de la seconde série de Portraits hybridés issus des Rencontres internationales de jeunes compositeurs à la Cité Miroir de Liège, l’objectif n’était que partiellement atteint. Il ne fait pas de doute que les musiciens - compositeurs, ingénieurs son et instrumentistes - réunis autour de Claude Ledoux (né en 1960 - et non en 1950, comme publié par erreur la semaine dernière ! ) - fourmillent d’idées, de talent, d’engagement. Mais les concerts ont-ils vraiment dégagé la dimension humaine de la composante électronique du concert, comme dans n’importe quel ensemble de musique de chambre ? Oui et non.Oui, parce que, comme l’avait expliqué Claude Ledoux, les joueurs de laptop - qui sont généralement aussi les compositeurs - sont sur scène et, parfois, bougent un peu. Mais si l’on prend l’exemple du solo de clarinette (excellent Rudy Mathey) qui ouvrit le concert de vendredi soir, qu’est-ce qui différencie cette pièce des innombrables pièces pour clarinettes composées ces soixante dernières années et dont le Dialogue de l’ombre double de Boulez (1985) est devenu l’étendard ?

Le dialogue avec les ordinateurs (Geoffrey François) est-il établi en direct ? S’agit-il de réponses préprogrammées ? Ou de bandes préenregistrées (comme chez Boulez) ?A la lueur blafarde des écrans, les trois opérateurs concernés semblaient de marbre (mais c’est le propre des souris de se laisser manÅ“uvrer d’un doigt…) tandis que la musique, très organique dans son déroulement, était loin de renvoyer à l’inouï. Si la qualité de l’œuvre tient à la méthode technique pour la produire, le lien est insuffisant pour déclencher la surprise et, partant, l’émotion. Reste la performance, indiscutable.Paradoxalement, plus l’ordinateur prendra de place, plus les Å“uvres se feront sensibles et convaincantes, la personne même de Claude Ledoux, très à son affaire dans sa manière de diriger ces partitions d’un genre nouveau, tantôt du pupitre, tantôt de son propre laptop, suscitant une irrépressible adhésion.

Outre Laps Init 1.0 (2013) de Ledoux, on découvrit ainsi les ambiances poétiques de Création (2015), seule pièce exclusivement réservée aux ordinateurs, signée Gilles Doneux, lui-même à la manÅ“uvre dans des bruitages produits en direct devant écran tactile; Singin’in the Wind de la Japonaise Tomoko Fukui, une pièce entraînante et fragile à la fois, construite comme un perpetuum mobile incorporant successivement différentes formules instrumentales, avec, vers la fin, une savante déflagration des sonorités en jeu; Sonrio/Sollozo (2015) du Péruvien Juan Arroyo, avec la violoncelliste Jeanne Maisonhaute en soliste, pièce austère et difficile, sans doute la plus formelle de la soirée dans sa façon naïve (et dépassée) de détourner l’usage des instruments; et enfin la Pièce pour ensemble amplifiés et ordinateurs portables (2015) de Gilles Gobert, la seule qui osa quitter le prudent modal pour une vigoureuse tentative harmonique, et même un peu jazzy.

Ledoux et ses disciples sont aujourd’hui à la recherche d’une forme associant le virtuel et le réel pour produire ses propres effets.Selon une source proche de l'enquête, Amedy Coulibaly, le tueur de la porte de Vincennes, a filmé son assaut au moyen d'une GoPro accrochée sur le torse.Dans cette vidéo de 7 minutes d'une rare violence, on peut y voir le complice des frères Kouachi abattre froidement 3 personnes au moyen de sa kalachnikov. C'est une information relayée par nos confrères de l'Express .Celui qui se revendiquait du groupe Etat islamique serait parvenu à envoyer ses images, malgré des problèmes de connexion rencontrés avec son ordinateur portable. Il a sorti la carte mémoire de la caméra, l'a mise dans l'ordinateur et a semblé manipuler ses images sur l'écran expliquait l'un des otages au journal Libération peu après l'attaque.
Il y a de très fortes probabilités pour que cette vidéo ait été transmise à un correspondant et pas à un média traditionnel précise l'un des enquêteurs à nos confrères français.

Voici un an, douze studios belges actifs dans l’industrie florissante et mondialisée du gaming (en gros, le jeu vidéo) avaient eu la bonne idée de se déplacer en équipe - sous la bannière Belgian Games - à l’une des deux grand-messes internationales du secteur, la Gamescom de Cologne. Manifestement, l’expérience fut payante car, douze mois plus tard, ils sont désormais quinze à repasser le Rhin pour participer, à partir de ce mercredi et durant trois jours, à la huitième édition de l’événement.La Gamescom, pour les non initiés, est un rendez-vous incontournable pour les professionnels et les amateurs de jeux vidéo. En pleine Pokémon Go mania, les organisateurs y attendent, du 17 au 21 août, près de 350 000 visiteurs ! Ils viendront découvrir et, surtout, tester les nouveaux jeux qui, demain, feront fureur (ou pas) sur les consoles, les ordinateurs, les tablettes et, de plus en plus, les smartphones.

Dans cette foule, les studios belges cibleront surtout les 35 000 professionnels présents à la Gamescom. Parmi les quinze studios présents cette année, on a trois profils différents , explique Thibaut Claes, chef de projet chez Startups.be (la structure qui fédère l’écosystème des start-up technologiques belges) . Il y a celles qui, comme Fishing Cactus, sont là pour entretenir et renforcer des contacts commerciaux. D’autres sont là pour amorcer la phase de lancement commercial de leurs jeux, comme Mode4 avec Bombslinger. Enfin, on a les studios qui viennent chercher de la visibilité sur des projets toujours en développement et engranger des premiers retours de gamers. La partie professionnelle de la Gamescom peut aussi être l’occasion d’entrer en contact avec des investisseurs.Les groupes de punk ou de skinheads qui caractérisaient Londres autrefois ont quasiment disparu: Internet et les réseaux sociaux, le manque d'espaces publics et des parents plus protecteurs ont sorti beaucoup de jeunes de la rue.

Le punk est né voilà 40 ans dans la boutique Sex de Vivienne Westwood à Londres. La police avait l'habitude d'attendre les punks à la sortie de la station de métro Sloane Square. Une fois qu'il y en avait environ 200, la police les escortait en procession jusqu'à la boutique, se souvient la styliste dans ses mémoires.C'était en 1976, le Royaume-Uni n'avait que trois chaînes de télévision - sans télécommande -, les familles étaient nombreuses et les jeunes, encouragés par leurs parents, ne voulaient qu'une chose: sortir.De nos jours, on ne voit plus de groupes aussi nombreux se réunir spontanément dans la capitale britannique, et encore moins de tribus urbaines.On trouve encore des jeunes dans les rues et dans les espaces publics à l'extérieur, mais globalement leur présence a été réduite, estime Paul Hodkinson, professeur de sociologie à l'université du Surrey. La société et les autorités sont devenues de plus en plus réticentes à voir les jeunes traîner dans les espaces publics tandis que les parents se montrent plus soucieux de la sécurité de leur progéniture, explique cet expert . Les gens veulent toujours sortir et être vus. La seule différence, c'est qu'ils ont accès à beaucoup plus de médias, estimait récemment le photographe Derek Ridgers, auteur de 78-87: la jeunesse londonienne, dans le quotidien The Telegraph.

Une photo postée sur Instagram peut faire le tour du monde en quelques heures. Selon une enquête de l'institut Ipsos Mori publiée en décembre, 68% des jeunes Anglais de 15 ans consacrent en moyenne dix heures par jour le week-end à des activités sédentaires - regarder la télévision, jouer à des jeux vidéos, être sur son ordinateur, surfer sur un téléphone portable, lire, etc. C'est plus facile: je n'ai pas besoin de bouger et je peux rester à la maison. C'est aussi plus drôle de jouer aux jeux vidéos, on peut parler et prendre un café en même temps, estime Nathan, 15 ans, du quartier londonien de Chiswick.A mesure que les jeunes s'ancrent dans l'univers des réseaux sociaux - mais sans que personne n'ait établi un lien de cause à effet -, la criminalité et la consommation d'alcool diminuent de manière significative. En 2013/2014, près de 22.400 jeunes Anglais ont été condamnés ou réprimandés pour la première fois, 75% de moins qu'en 2003/2004.Selon le professeur de sociologie Paul Hodkinson, la popularité des réseaux sociaux est plus un symptôme du manque de possibilités de se réunir dans des espaces physiques qu'une cause de la sédentarité des jeunes d'aujourd'hui.

Si Internet disparaissait du jour au lendemain, j'aurais une attaque, confesse en tout cas Ivy, 15 ans.Sa mère Liz Corcoran se plaint, elle, que la jeune fille soit sans cesse en contact virtuel avec ses amis: Les messages et les notifications sont constants. Pourtant Ivy, jeune fille du quartier londonien de Queen's Park, dit préférer être avec ses amies dans la rue plutôt que sur les réseaux sociaux.Même constat chez Phoebe, 16 ans: J'aimerais bien passer plus de temps avec mes amis et m'amuser. Mais ce n'est pas possible car nous avons trop de travail ou alors je suis trop fatiguée, explique l'adolescente. Notre classe a un groupe Facebook pour discuter et parler des devoirs, c'est très pratique!Certains jeunes en mal de contacts réels vont jusqu'à regretter l'époque révolue d'un monde non connecté: Si Internet disparaissait, je verrais bien plus souvent mes amis, juge ainsi Spencer, 16 ans, qui vit à Chesham, une ville au nord-ouest de Londres. Parfois, j'aimerais bien que ça arrive, quand ils ne veulent pas sortir...

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Posted by: retrouve3 at 03:25 AM | No Comments | Add Comment
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